PHILIPPE EP 31 : LUIDJI ABUSE

PHILIPPE
EP 31 : LUIDJI ABUSE



Vous l'avez compris, il était ronchon. Vous connaissez le proverbe …

Érection du matin … ( désolé j'ai toujours pas trouvé de suite ) !
Érection contrariée … Ronchon pour la journée !

Oui là c'est bon, ça marche et en plus ça lui va bien ! 

Luidji avait passé les deux premières semaines enthousiaste comme pas deux. Sur sa lancée il avait signé pour un an. Deux semaines encore plus tard il avait dépassé son délai de rétractation et se retrouvait obligé, engagé, encagé pour le reste de l'année scolaire. 

C'est ballot parce que là il commençait à le regretter. Il ne commençait pas seulement, il le regrettait vraiment. Il commençait à en baver. J'y suis passé, je sais ce que c'est. On peut tenir le coup quand on n'a pas le choix. Le dispositif est indestructible et si on ne peut pas le retirer on le garde. Il est parfaitement étudié et je sais de quoi je parle je connais les inventeurs ( éh, éh, éh ), donc si on enferme quelqu'un dans ce truc, il y reste. On parle même d'un dispositif qui ne pourrait pas être retiré … Jamais … Vous vous rendez compte ? … Enfermé pour toujours ! Il n'y aura jamais de volontaires pour un truc pareil ! Ça c'est clair.

En attendant Luidji il en bavait et prenait seulement maintenant l'étendu de l'engagement qu'il avait pris. Il aurait pu attendre la fin de l'année mais vous savez c'est ça la jeunesses. On ne réfléchit pas toujours à ce qu'on fait !

Oui bon c'est pas la peine de me rappeler que moi, avec Joey … Ça va, j'en suis revenu ! ( ep 19 )

Enfin ce matin, il le vivait mal, demain ça ira peut être mieux. Avec le temps il apprendra à supporter. De toutes façons il n'a pas le choix. Il faisait des grimaces le pauvre Luidji en se levant. Il partait prendre sa douche, et là, je remarquais qu'il mettait sa serviette autour de la taille. Au retour il avait toujours sa serviette autour de la taille …

C'était fini, l'enthousiasme du début était terminé !

Moi je bandais et je me vengeais de tous ces jours ou il m'avait échauffé la cervelle, tous ces matins ou il se levait avec la trique, tous ces jours ou je ne pouvais que regarder, ou je n'avais pas le droit de toucher …

Mais je dis n'importe quoi moi là. Ça ne va pas être mieux pour moi cette nouvelle situation. Pour lui je ne dis pas et je m'en moque. Mais pour moi, je n'ai toujours pas le droit de toucher, c'est certainement pas Luidji qui va me laisser l'enculer, en tout cas pas tout de suite. Et là devant moi je le voyais se tortiller en enfilant son caleçon, et moi je me voyais me tortiller pour enfiler mon slip. Il y avait un truc qui ne voulait pas rentrer dedans ! Bein oui je bandais !

D'accord j'allais me montrer à Luidji tous les matins, ça allait bien lui échauffer la cervelle entre les oreilles, il serait en manque tous les jours, toute la journée mais … C'est que lui aussi il m'échauffe la cervelle dans ma tête, et encore plus que par le passé. Vous ne pouvez pas imaginer à quel point il est sexy mon petit Luidji avec son truc sur sa bite !

On était tout beau, tout propre comme tout les matins et on finissait par sortir de la chambre pour aller aux cours. 

Une fois de plus je n'ai pensé qu'à Luiji, je le voyais partout, y compris là ou il n'était pas. Je ne pensais plus qu'à sa bite que j'avais vu se relever tous les matins, je la voyais maintenant enfermée dans une cage minuscule. Enfin quand je dis que je pensais plus qu'à sa bite, j'exagère un peu tout de même, je pensais aussi à ses couilles. Ce matin elles étaient bien lâches sous la douche, elles tombaient et se balançaient mollement sous la cage.

Quand je pense qu'il y en a qui voulaient que je travaille à l'école mais ils ne se rendaient pas compte qu'il n'y avait que des garçons que la moitié de ces garçons portaient un dispositif de chasteté que moi les filles ne m'intéressent pas que ce sont les garçons qui m'attirent moi qu'il n'y a rien de plus sexy qu'un mec qui porte une cage de chasteté que tous les matins il y a mon voisin de chambre qui m'allumait la cervelle et que le reste de la journée je ne pensais plus qu'à lui alors forcément ensuite pendant tout le reste de la journée je voyais sa bite en cage ses couilles pendantes au point que tout ce qui ressemblait à un homme me faisait bander et me donnait l'envie de lui sauter dessus et de l'enculer et pas seulement parce que je suis romantique mais tout simplement : PARCE QUE !

Et tout ça sans aucune ponctuation ! C'est vous dire dans quel état j'étais. 

Je vais craquer !

Le soir c'était toujours un peu plus calme, vous l'aviez deviné je suppose mais Luidji ne se baladait plus à poil dans la chambre. Trop dur à gérer pour lui ce truc. Je connais j'y suis passé. Son regard avait changé, il faisait un peu moins son fier. Je remarquais plusieurs fois que son regard se perdait dans mon entre jambe. 

– TU FERAIS QUOI TOI A MA PLACE ? Hurlait Luidji un soir .

Je sursautais, il avait gueulé cette phrase, comme ça, sans prévenir. Je me retournais vers lui.

– Mais pourquoi tu me cris dessus ? J'ai rien fait moi !
– Excuse moi ! Mais tu sais c'est pas facile à supporter ce truc ça va bientôt faire un trimestre que je le porte et … Tu ferais quoi toi à ma place ,
– Tu veux vraiment que je te le dise.
– Oui je sais tu n'as jamais porté ce truc mais tu dois bien avoir une idée.
– Enfin jamais, c'est un bien grand mot …
– Tu as déjà porté ce truc ?
– Oui pendant plus d'un mois il n'y a pas si longtemps.
– J'y crois pas !

Il me regardait, semblait se demander si je plaisantais ou pas. Plus d'une fois j'avais répété et répété encore … JA-MÉ …

– Et tu as des conseils.

Je respirais profondément, me relevais, baissais mon pantalon, ma queue se relevait presque à la verticale …

– Suce moi la queue !

Luidji me regardait l'air incrédule. Moi dans ma tête je me disais '' Soit il m’envoie son poing dans la figure, soit il me suce la queue. J'espère que j'ai correctement estimé la situation. ''

Luidji me regardait droit dans les yeux, je ne savais plus quoi dire. Il regardait ensuite ma queue. Déjà  c'était bon signe je n'avais pas reçu son poing dans la figure !

Finalement il se mettait à genoux devant moi, il n'avait pas l'air convaincu et il hésitait. J'avais correctement estimé la situation. Il était en manque, tellement en manque qu'il aurait sucé un mec le pauvre. C'est idiot ce que je viens de dire, ' il aurait sucé un mec ', non il n'aurait pas seulement, il le faisait et le mec, c'était moi. Cool je vais pouvoir le former, lui expliquer comment il faut faire … Au moment ou ses lèvre touchaient mon gland je relevais les sourcils l'air satisfait et quand je sentais sa langue sur ma queue j'affichais un très large sourire.

Il y allait doucement, pas convaincu, hésitant, un instant j'ai cru qu'il se forçait. Il relevait la tête.

– Tu es sûr ?

Je faisait oui de la tête. Il reprenait.

– Tu as déjà essayé ?

Je confirmais. Il reprenait de nouveau.

– Tu es vraiment sûr ?

Avec un grand soupir, je hochais la tête de bas en haut.

– Tu …
– Bon tu me la suces ma queue ou merde, on ne va pas y passer la nuit !
– Ok, Ok, Ok …

Là c'était bon, il ouvrait la bouche en grand et baissait la tête sur ma queue, je la voyais rentrer lentement bien à fond. Il s'appliquait, je ne sentais pas les dents et rapidement un court instant je sentais la douceur du fond de sa gorge. Je gémissais de plaisir.

Là je dois vous avouer qu'il m'a bluffé le lascar. C'était peut être la première fois qu'il faisait ça mais il y avait déjà pensé plus d'une fois, c'est sûr !

Rapidement il semblait y prendre goût. Ma queue rentrait presque en entier, il avait tout de même du mal quand elle arrivait au niveau de la glotte. C'est normal quand on n'est pas habitué, si on y va trop fort on risque de vomir. Il gérait bien, il savait se retirer avant et rapidement il synchronisait sa respiration et s'en sortait vraiment bien.

Je lui caressait les cheveux. D'un geste rapide il repoussait ma main avec la sienne. Je recommençais, il faisait pareil.

– Mais c'est bon, tu me laisse te caresser les cheveux ?
– Tu ne m’appuies pas sur la tête parce que là je … Me répondait Luidji en relevant la tête.
– Je ne t'appuierai pas sur la tête mais tu me laisses te caresser les cheveux.
– Si je veux me relever …
– Si tu veux te relever je ne te retiendrai pas mais tu me laisse te caresser les cheveux ? T'es du genre pénible toi !

Finalement il reprenait. Je posais mes deux mains sur sa tête et appuyais doucement. A plusieurs moment je le sentais paniquer et relever la tête, je prenais le plus grand soin à ne surtout pas le retenir. Il finissait pas me faire confiance. 

Sa langue me caressait la queue sur toute sa longueur, puis il prenait mon gland dans sa bouche et avec sa langue me prodiguait des caresses digne d'un spécialiste. Je gémissais de plaisir. 

J'avais posé mes deux mains sur ses joues et je le guidais. Par réflexe mon bassin se relevait un peu comme des convulsions. Il relevait la tête à chaque fois et râlait. C'est vrai que quand on a pas l'habitude c'est pas confortable mais c'était pas ma fautes, c'était juste un réflexe.

Il restait là un long moment, ma queue à moitié enfoncée dans sa bouche, avec la langue il caressait le gland, c'était bon. Je lui caressais les joues et la gorge avec douceur. 

– Allez à fond ! Essaye !

Je le sentais prendre une longue respiration suivie de quelques  mouvement de la tête, ma queue s'enfonçait et ressortait, il recommençait plusieurs fois de suite, c'était divin. Et dire il faisait des manières pour commencer. Brusquement sans prévenir son visage s'approchait de mon ventre, je sentais ma queue qui s'enfonçait, j'ai cru qu'il n'y arriverait pas puis j'ai senti son nez qui touchait mon ventre et aussitôt il se relevait. Il était tout rouge et reprenait son souffle.

– Tu es vraiment sûr que ça va m'aider ? J'ai l'impression que c'est pire maintenant.

Je me penchais vers lui, lui donnais un baiser sur la bouche, il me rendait mon baiser. On se prenait dans les bras et on se relevait. Nous étions enlacés au milieu de la chambre. Lui tout habillé, moi le pantalon sur les pieds. Je retirait mon t-shirt et repoussais mon pantalon. J'étais nu. Il se laissait aller et me caressait le corps.

Je glissais mes mains sous sa chemise et lui la lui retirais. Il se laissait faire. Je l'avais tant de fois vu nu. Tant de fois j'avais eu envie de caresser ce corps superbe et là j'en sentais la chaleur, la douceur et je goûtais à ses baisers, il embrasse bien en plus. 

Dans le même mouvement j'ouvrais son pantalon et en m'agenouillant devant lui je le repoussais sur ses chevilles. Il relevait les pieds et son pantalon était écarté à son tour. Il était presque nu devant moi, je dis presque nu à cause de ce truc qu'il avait entre les cuisses, sur sa bite. C'était superbe à voir, c'était sexy et je bandais de plus en plus ( comme si c'était possible ).

J'admirais un long moment son dispositif, il n'y a rien de plus beau, de plus sexy qu'un dispositif céramique. Il avait encore les trace du bronzage de l'été passé et ce contraste était comme hypnotisant. Je lui caressais l'intérieur de ses cuisses et lui gobais les couilles. Ça ne semblait pas le calmer !

Remarquez, c'est normal, c'est pas comme ça qu'on calme quelqu'un. 

– Retourne toi, et penche toi en avant !

Luidji ne parvenait pas à dissimuler une certaine inquiétude.

– Je vais t'enculer, ça va te calmer. Lui disais-je  en lui donnant un baiser très doux dans le cou. 

Il avait l'air tétanisé, dans son regard j'ai cru voir un instant de panique mais il obtempérait. 

Je savais qu'il faudrait y aller doucement, je me lubrifiais donc abondamment et lui glissait un doigt dans le cul.

Il a gémi de plaisir. Il a gémi très fort. J'ai senti tout son corps se contracter, frémir, trembler. C'est à cet instant qu'il a éjaculé et c'était pas en silence !

– Tu avais raison ! 
– Euh … Répondais-je sans comprendre.
– Ah c'était bon, tu avais raison. Je me sens mieux là !

Il se relevait, se retournait, et me donnait un baiser sur la joue.

– Merci ! Tu es un amour !
– Euh … Lui répondais-je, toujours sans comprendre.

Mais qu'est ce qu'il me fait là ? J'ai dis que j'allais l'enculer … Et … Il y a un truc que j'ai pas compris là. Je pouvais voir que la pressions dans sa cage avait baissé. Maintenant son dispositif se balançait entre ses cuisses avec légèreté. Moi je bandais toujours comme un malade.

– Bon on se fait une douche et puis dodo ! Me déclarait Luidji, il était détendu.

Quelques instants plus tard je le voyais se savonner sous la douche, il avait retrouvé le sourire et semblait totalement détendu. Moi j'étais dégoûté. Je n'osais pas me branler, je savais qu'il l'aurait mal pris. Il m'avait assez souvent dit qu'il ne voulait pas voir ça. 

De retour dans la chambre il s'est couché, il était à poil, et il s'est endormi en quelques instants. 

Pas moi !

C'est quoi qui s'est passé là ( excusez le style mais là je bug ) ! Non mais c'est vrai, c'est quoi qui s'est passé là ? J'ai pas compris ! C'est lui qui porte le truc et c'est moi que je suis frustré ?

Il y a quelque chose qui ne va pas là !




N'hésitez surtout pas à me laisser une commentaire et à me retrouver sur Twitter …  @CharlyChast 

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