Djé saison 7

Ep 81 : SAUCISSE CHAUDE



C'est l'âge qui nous mettait dans cet état ou bien ? Je sais j'exagère un peu en disant ça, on a tout au plus trois ans de plus que les plus jeunes, quand je pense que nous sommes en quatrième année … Je réalisais à peine toute la route que nous avions parcouru. Là allongé sur le lit dans une cabane de vacance, mon camarade Antoine à côté de moi, je revivais dans ma mémoire les événements marquants … Il faisait chaud, à l'extérieur la chaleur montait toujours, dans les cabanes la température restait plus agréable, pas de doutes, ils avaient climatisé les baraques, si on ouvrait en grand les portes et fenêtres la température montait. J'étais rapidement réveillé de mes méditations par la voix d'Antoine qui était à côté de moi.

Antoine : Il fait chaud !
Moi : Il fait chaud !
Ant : On va se baigner ?
Moi : Pas le courage de me traîner jusqu'à l'eau !
Ant : Moi pareil !
Moi : Ils sont fatigants les petits jeunes !
Ant : Ouai !
Moi : Ils me fatiguent déjà !
Ant : Au fait, tu me montres comme ça marche cette espèce de saucisse de Francfort en caoutchouc ?
Moi : A ouai ! Je vais te montrer !

Je fouillais dans le sac à dos de Florian, il y avait le chargeur, je branchais le tout. Il est prévoyant le petit Florian, il l'avait rechargé ! Je me retournais alors vers Antoine.

Moi : Tu t'enfiles ça dans le cul.
Ant : C'est un gode ?
Moi : Mieux que ça !
Ant : C'est un gode vibrant ?
Moi : Encore mieux que ça. C'était une idée à Léa, c'est elle qui me l'avait acheté. Tu vas voir c'est génial. 

Antoine se le glissait dans le cul, comme je lui avait demandé.

Ant : C'est un petit calibre !
Moi : C'est vrai on a connu pire !
Ant : Mais c'est mignon !
Moi : C'est mignon … On va le dire comme ça !

Antoine se relevais, il faisait comme des exercice de détente, il avait le sourire. Le gigoteur était entièrement entré dans son cul, la ficelle pendait derrière lui. 

Ant : Le truc qui pendouille là derrière c'est un peu ridicule.
Moi : Tu l'enroule autour de ton sexe et tu l'attache à ta PK, on ne le verra plus.

C'est ce qu'il faisait. Ensuite, sans prévenir je prenait mon téléphone et enclenchait le mode vibration douce. Aussitôt j'entendais Antoine gémir de plaisir.

Ant : Ahhhhh oui ! Ça c'est bon, j'adore … C'est une gode vibrant, c'est bien ce que je disais … Il y a plusieurs vitesses je suppose …

Pour seule réponse je rigolais. 

Moi : Allez on va se baigner !
Ant : J'ai peur que si je bouge un peu trop, le truc il ne ressorte.
Moi : C'est prévu, la ficelle sert justement à le récupérer car les vibrations provoquent une contraction de l'anus, ça augmente les sensations, il ne risque pas de sortir tout seul et pour le retirer sans la ficelle il faut vraiment … Pousser !
Ant : Ça marche alors, je te fais confiance. Le premier dans l'eau à gagné .

Il partait en courant mais il était encore à porté de mon téléphone au moment ou j'enclenchais un programme un peu plus violent.
Je le retrouvais dans l'eau. Je l'avais bien regardé courir sur la plage, on ne pouvais absolument pas deviné ce qu'il avait dans le cul. 

Ant : On le sens bien le truc, j'ai l'impression qu'il vibre plus fort … Ouah ! C'est pas une impression … 
Moi : Et c'est bon ?
Ant : Ah ça oui ! C'est génial ce truc. 
Moi : On se fait une petite course jusqu'à la pointe la bas ?
Ant : Ça marche !

On courait ainsi en suivant la plage, je pouvais voir à sa manière de courir, de ne pas suivre une direction toute droite que le dispositif devait s'activer. Nous avions couru deux bons kilomètres quand il s'arrêtait brusquement ou gémissant. Se penchait en avant et s'appuyait sur ses genoux.

Ant : Ahhhh ! Oui … Non de dieu, c'est bon. Je peux te garantir il vibre plus fort là. 

Il se contractait alors comme s'il avait reçu un coup de pied dans le cul et faisait une grimace.

Moi : Un petit problème ? ( d'un air détendu )
Ant : Djé tu es un enfoiré … Ahhhh … Il y a plusieurs programmes ?
Moi : Euh ! Oui !
Ant : Et tu les con … ( nouvelle contraction, nouveaux gémissements ) … tu les connais je suppose. 
Moi : Bein oui !
Ant : Djé tu est un enfoiré … 
Moi : Allons jusqu'aux rochers là bas, tu pourras t'allonger, tu verras c'est génial . Ce programme je l'avais testé un jour de retour de week-end. 

Il se prenait encore un coup de pied dans le cul … Pour ceux qui auraient loupé les épisodes précédents il faut que je vous rappelle que ce dispositif ne se contente pas seulement de vibrer il peut aussi se replier à quarante cinq degrés dans les deux sens. Il peut le faire avec douceur, façon massage, ou avec plus de force, de violence, et là à chaque fois que le dispositif se déclenche on peut avoir l'impression de se prendre un coup de pied au cul … C'est absolument génial.

Je n'avais pas choisi le programme massage en douceur !

Nous arrivions enfin sur les rocher, Antoine ne pouvais plus contrôler certains réflexes, il avait presque des convulsions. Moi je jubilais. Il s'allongeait sur le dos, son souffle devenait fort et irrégulier, il tremblait.

Ant : Djé, tu es un enfoiré ! 
Moi : Tu n'aimes pas ?
Ant : C'est génial, c'est le pied, j'en peux plus … Ça dure encore longtemps ton programme ?
Moi : Je ne sais pas tu en es ou exactement ? 
Ant : La j'ai des coups répétés et fréquents sur la prostate.  ( à chaque coups il avait comme une convulsion )

C'est à ce moment que nos deux camarades arrivaient tout joyeux. 

Mike : Vous venez faire un tennis de plage avec nous ?

Les deux garçons s'approchaient.

Mike : Mais qu'est ce qu'il a, ça va pas ?
Florian : Il n'a pas l'air bien.

Antoine avait le souffle court, il arrivait à peine à parler et avait régulière des contraction avec des gémissements.

Moi : Non, non tout va bien. Dis moi Florian tu sais le petit dispositif que je t'avais donné, le gigoteur, tu te souviens ?
Florian : Oui je l'ai emmené d'ailleurs !
Moi : Justement ...
Florian : Non ?
Moi : si !

Florian était alors pris d'une crise de fou rire ! Mike regardait sans comprendre. Florian expliquait alors à son camarade en trois mots … '' Le truc que je t'ai montré, et bien il l'a dans le cul. '' . Antoine faisait de véritables grimaces et Mike restait impressionné par les réactions.

On le regardait, un peu comme si on veillait un blessé, il se calmais, se détendait, il se relevait et s'appuyait sur son coude.

Antoine : Je crois que le cycle est fini, le programme s'arrête là ! Purée, la vache, Djé tu es vraiment un enfoiré !
Florian : Tu lui a mis quoi comme programme ?
Moi : Le cinq !
Florian : Il a raison, tu es un enfoiré ! Je l'ai pas supporté jusqu'au bout !
Ant : Quoi, de quoi vous parlez les mec ?
Florian : Il n'est pas fini le programme !

Il n'avait pas fini sa phrase que Antoine était pris de convulsions, il tremblait, il se tordait, il se roulait sur le sol et je peux vous garantir que ce n'était pas de douleur. Il jouissait, il jouissait comme un fou, il jutait, il éjaculait plusieurs giclées de spermes au travers de sa cage avant de s'effondrer sur le sol, allongé sur le dos les bras en croix, le souffle fort.

Florian : Oui là je crois que le programme est fini !
Antoine : (complètement essoufflé ) Djé tu es un enfoiré !
Moi : A ta place je traînerais pas, je l'ai mis en mode répétition … Le programme va recommencer dans quelques instants …

Antoine me lançait un regard de fou, se relevait comme il pouvait et courait vers la cabane pour pouvoir retirer le truc tranquillement. Il me gueulait '' On en reparlera, tu es un enfoiré Djé, tu es un enfoiré ! ''.

Je rigolais comme un fou.

Florian : Et tu as mis le truc en répétition ?
Moi : Non, ça c'était pour le faire courir !

On se retournait vers Antoine !

Florian : Ça a l'air de marcher en tous cas ! Tu sais moi j'ai jamais tenu le programme cinq jusqu’au bout. C'est un truc de malade !

Mike regardait sans rien dire depuis un moment.

Mike : C'est ton truc qui l'a mis dans cet état ? … J'veux essayer moi aussi !

On revenait vers la plage en courant dans l'eau, au passage on s'arrêtait pour taper quelques balles avec des copains. On faisait quelques plongeons, on se poussait dans l'eau, on rigolait. Il nous fallait plus d'une heure pour faire les quelques kilomètres de retour.

Dans la baraque Antoine était allongé sur le dos sur son lit.

Antoine : Tu es un enfoiré Djé ! 

Je lui sautais dessus et le chevauchais, il se laissait faire.

Moi : Et tu vas me dire que tu n'as pas aimé !
Antoine : Enfoiré, c'est pas ça mais … Et puis ton truc il ne marche pas, il s'est arrêté là, il n'est pas reparti !
Moi : Normal, ça c'était juste pour te faire courir. 
Antoine : Moi, là je suis mort, j'ai plus envie de bouger. C'est un truc de dingue ce machin et tu l'as trouvé ou tu me disais ?
Moi : Tu en veux un aussi ?
Antoine : Ouai, c'est un truc de fou mais c'est génial. 
Moi : C'est Léa qui a trouvé ça, elle a un goût très sûr pour ce qui est de se faire défoncer le cul.
Antoine : Ah parce que tu lui as défoncé le cul toi ? Avec ta Pk ? Pffff ! Guignol !
Moi : Tu dis ça parce que tu es en colère, mais j'ai essayé son ex. 
Antoine : Et il est comment son ex ?
Moi : Plus épais, plus large, plus long que le truc que tu avais dans le cul tout à l'heure. Celui là aussi tu le sens passer.
Antoine : Tu le sens aussi partir ?
Moi : Ça fait un bien fou à cet instant !
Antoine : Ça fait toujours un bien fou quand ça s'arrête.

Je m'étais allongé sur Antoine, je le caressais, il tremblait encore un peu mais je le sentais se détendre. Il me caressait les bras, on s'embrassait. Je m'allongeait juste à côté de lui, après ce long trajet en train je commençais à en ressentir la fatigue.

Antoine ne bougeais plus, il avait fermé les yeux, sa respiration était régulière et douce. Je me laissais aller et c'est juste avant le souper que nos deux camarades nous retrouvaient enlacés chacun dans les bras de l'autre. Il nous réveillaient, heureusement qu'on n'avait pas besoin de s'habiller, on n'en avait pas vraiment envie. J'avais à peine ouvert les yeux que j'entendais la cloche qui annonçait le repas. 

Antoine avait récupéré, il était en pleine forme.

Moi : Tu vas mieux toi ? Tu m'en veux toujours ?
Antoine : Plus du tout mon doudou … Je cherche seulement comment je vais me venger. 

Les deux autres rigolaient à cette réflexion. Puis on fonçait comme on était, presque à poil, juste vêtus de nos dispositifs de chasteté. J'étais reposé là, reposé et détendu. Mais ça ne devait pas durer, rapidement alors que je voyais avec un vrai plaisir pour les yeux les dispositifs de chasteté de mes camarades de balancer entre les cuisses de mes camarades, le mien se relevait, il ne se balançait plus. Ils avaient tous pris leur plaisir, moi j'avais bien rigolé c'est vrai mais je n'avais pas pris mon plaisir, je n'avais pas joui. J'avais dormi et j'étais en forme et mon dispositif se redressait fièrement comme il pouvait.

Dans la cantine, je remarquais que je n'étais pas le seul, à la fac, nous avions tous en permanence ce dispositif sur nous mais on ne se retrouvait pas à poil le soir pour le souper, le matin, toute la matinée, le midi pour le repas, l'après midi, tout l'après midi … Enfin à poil en permanence, pendant toutes les activité, toute la journée du soir au matin et du matin au soir … Tout le temps, en permanence …

Franchement je ne sais pas si c'était plus facile à vivre que le reste de l'année ou les vêtements nous protégeaient de certaines stimulation, de nos pulsions, de certains désirs ou envies. 

Mais tous ces corps nus, c'est vraiment beau à voir. Tous ces dispositifs de chasteté qui se balancent entre les cuisses avec plus ou moins légèrement c'est excitant. Ces fesses fermes et fines, ces muscles qui roulent sous la peau, cette peau que l'on peut voir partout ou on se retourne c'est … 

Je sens que je vais encore craquer moi !

Et une question me traversais la tête, une question que je ne m'étais plus posée depuis longtemps …

Mais qu'est ce que je suis venu faire dans cette galère ?

J'étais en manque !



Ep 82 : L'APPROVISIONNEMENT



J'étais en manque mais mes trois camarade eux semblaient tout à fait détendu, eux ils s'étaient vidé les couilles … Pas moi !

Après le repas on traînait sur la plage un long moment. Je les laissais et partais me promener plus loin, j'entrais dans la forêt, elle n'est pas bien grande et on ne risque pas de se perdre. On n'est pas sur la plus grande île de l'archipel, on est sur l'île nord, elle est bien plus petite que l'île principale. Elle appartient à la PK et cette compagnie aimerait bien acheter tout l'archipel. Pour le moment elle investi et fait construire un ensemble résidentiel, des immeubles uniquement de grand standing avec casino, boîtes de nuit, restaurants, bar …

La PK veut en faire un centre de loisir, il y fait toujours beau, et si on installe tout ce qu'il faut ça pourrait devenir un centre de vacances haut de gamme.

Je me rendais sur la pointe Est de l'île, de là je pouvais voir l’embarcadère et quelques constructions qui devaient être des entrepôts, c'était une petite installation, le bateau qui nous avais conduit ici était reparti. On voyait parfaitement se dessiner l'île principal au Sud, et un endroit attirait particulièrement mon attention, plusieurs immeubles étaient en construction et on pouvait les apercevoir à la distance ou j'étais. Pour l'instant ils ne s'élevaient pas bien haut dans le ciel, mais on devinait des grues qui montraient, le chantier n'était pas terminé.

J'étais à la pointe Est de l'île et je voyais le soleil descendre il allait se coucher sur la forêt. '' J'irai voir le soleil se coucher sur la mer demain, sur la pointe Ouest … ''. 

D’où j'étais je pouvais aussi apercevoir la plage, pas les baraques et installations mais je pouvais voir qu'il y avait encore beaucoup de monde qui jouait à des jeux de plage, il y avait aussi du monde dans l'eau. Moi, je me détendais, le voyage avait été fatigant. J'avais trouvé un petit coin confortable ou je m'étais assis. J'étais à poil, ça c'était pas désagréable mais dans ma cage de chasteté il y avait une pression dingue, j'étais en manque, j'avais une folle envie de me faire enculer mais … Ici tout le monde portait un dispositif de chasteté. Tout le monde sans exception, c'était sans espoir.

Je devinais un mouvement sur la mer, au Sud. J'observais avec attention, c'était un bateau, du ravitaillement sans doute. C'est vrai qu'il va nous en falloir, vous avez du comprendre que la bande que nous formions ne manquait pas d’appétit. Ils bouffaient tous comme des goinfres …

Le bateau accostait, plusieurs hommes en descendaient et déchargeaient rapidement la cale. Il y avait un grand nombre de sac, de caisses, de bouteille d'eau … C'était bien le ravitaillement. Il y avait une petite grue pour décharger les palettes, c'était une installation de petite taille mais il y avait tout ce qu'il fallait.

 Je les entendais, '' On va dormir ici, on repartira demain à la première heure. '' . Le soleil descendait derrière la forêt, le ciel semblait s'enflammer, je ne bougeais pas et me perdais dans mes pensées. 

Un voix masculine juste derrière moi me faisait sursauter : '' Ça se passe bien pour toi bonhomme ? ''.

Je me retournais, c'était un jeune homme, dans mes âges. J'étais à poil mais lui était tout habillé. Il avait une bonne tête et me faisait un sourire.

Bastien : Salut ! Moi c'est Bastien !
Moi : Djé : … Salut !
Bastien : Tu fais partie du groupe de jeunes qui passe ses vacances ici ?

Je faisais oui de la tête.

Bastien : Ouai ! Délire ! On m'a raconté que vous portiez tous des dispositifs de chasteté. J'y crois pas ! C'est des conneries non ?

Je me relevais lui faisais face …

Moi : Non c'est pas des conneries. Comme tu peux voir !

Il regardait ça l'air incrédule, il avait un large sourire.

Bastien : Wouah ! … Moi je trouve ça sexy ! Je peux voir ça de plus près ?
Moi : Vas y mon gars.

Il s'approchait il prenait mes couille dans la main, il y allait doucement, il ne voulait pas me faire mal. Il voulait seulement voir ça de plus prêt et ne se gênais pas. 

Voyant ça je décidais d'en faire autant, je posais fermement ma main sur son sexe, il bandait. Je n'étais pas vraiment surpris. Je n'avais rien vu, il avait un pantalon ample, mais il n'y avait pas de doutes il bandais ferme. Je lui massais les couilles et la queue au travers de son pantalon en même temps que lui me tripotait les couilles et mon dispositif de chasteté.

On se déplaçait derrière un gros rocher pour ne pas risquer d'être vu par ses camarades. Il gardait toujours ce petit sourire au moment ou il ouvrait son pantalon et le laissait tomber sur ses chevilles. Sa queue se relevait fièrement. En quelques seconde je me retrouvais à genoux devant lui, je ne lui tripotais plus la queue là, je la lui suçais. J'étais en manque, ici je ne pouvais pas faire une telle chose, ici tout le monde portait une dispositif de chasteté et là j'avais trouvé un mec qui avait la bite libre de ses mouvements. J'en profitais. En plus le mec était plutôt mignon et semblait serviable, apparemment prêt à sa sacrifier pour me faire plaisir.

Oui je sais là j'en rajoute, c'est le genre de sacrifice qui ne coûte par cher, mais ça peut toujours faire plaisir. J'étais en manque et ça me faisait plaisir de sentir une belle queue dans ma bouche. C'était pas un géant mais il n'était pas ridicule non plus. Je parvenais à prendre sa queue sur toute sa longueur jusqu'au fond de ma gorge, il appréciait je peux vous le garantir. Je sais faire plaisir aux mecs moi.

Doucement je passais ma langue sur son gland, il faut toujours bien humecter, il faut y aller avec force et douceur, très grande douceur. Ensuite il ne doit surtout pas sentir les dents, sinon ce n'est plus agréable, bien recouvrir les dents avec les lèvres. Caresser le gland avec la langue en appuyant de toutes ses forces, de toutes la force de la langue. Avec la langue ça ne peut pas lui faire mal, bien au contraire. 

Il gémissait de plaisir, il me caressait la tête, les cheveux, les joues. Il appuyait un peu sur ma tête … Juste pour voir si sa queue entrait en entier ? Je ne sais pas. Mais elle entrait en entier je vous le confirme. Et c'était bon ! J'avais la tête en feu à voir tous mes camarades à poil avec un dispositif de chasteté sur eux et j'avais envie d'une queue, j'en avait tellement envie.

Je prenais mon temps, il n'avait pas l'air pressé, les derniers rayons du soleil nous éclairaient de cette lumière chaude. Il ne bougeait pas, il ne me donnait pas de coups de bassin.  Chaque fois que je relevais la tête je voyais son sourire et son visage, il avait vraiment l'air d'aimer.

Je me relevais en couvrant son ventre de baisers, puis suivait son torse. Je le caressais partout ou mes mes mains pouvaient passer. Sa peau était douce et  il était musclé, pas autant que moi mais c'est vrai que moi je suis un champion. Lui c'était juste un mec canon, super canon et ce n'est pas que le manque qui me faisait penser ça.

Je le prenais dans mes bras, il me rendais mes étreintes …

Bastien : Retourne-toi, je vais te prendre.

Je ne me faisais pas prier, je me retournais et m'appuyais sur un rocher, j'écartais les jambes. Je me détendais, je respirais bien à fond, je sentais mon anus qui frétillait. J'étais en manque, tellement en manque. 

Il avait retiré tous ses vêtements, il se penchait sur moi, me donnais un baiser sur l'épaule, me caressait le torse. Je sentais sa queue qui se positionnait contre mon anus. Ensuite il poussait doucement, puis un peu plus fort.

J'étais tellement en manque que je ne résistais pas longtemps, je me détendais puis sa queue entrait rapidement, en douceur mais rapidement jusqu'à la garde. Il appuyait contre mes fesses, c'était bon, je gémissais de plaisir. Il me serrait fort contre lui. La je contractais mon anus, ou alors c'est qu'il se contractait tout seul. Mais c'était bon. Il se retirait rapidement, je gémissais plus fort, puis il revenait avec force.

Il remarquais que je ne résistais pas et que j'aimais ça, il en profitais et accélérait le mouvement. Plus rapide, plus ample, plus profond, je tremblais de plaisir. Plus je frémissais plus il y allait.  Ses mouvements devenaient rapides et violents, je lui criais '' Vas y, encore, défonce moi le cul ''.

Il posais alors sa main sur ma bouche … '' Moins fort tu vas donner l'alerte ! ''. Il retirais sa mains, je continuais à gémir de plaisir. Aucune douleur, que du plaisir, je ne contrôlais plus mes mouvements, je jutais, je jouissais … C'était un instant de bonheur pur. Je gémissais et mes gémissements ressemblaient à des sanglots. Du sperme continuait à couler de ma cage, il ne se calmais pas et on pouvait entendre son ventre claquer contre mes fesses. Il me tenait fermement contre lui, son menton posé sur mon épaule et je sentais son souffle au moment ou il jouissait dans mon cul. A cet instant il me serrait de toutes ses forces contre lui, je passais mes mains dans son dos comme pour le retenir. 

Nos muscles se détendaient tous les une après les autres, je m'écroulais tout mou contre un rocher, il s'effondrait tout mou lui aussi contre moi. Sa queue revenait à sa taille de repos ressortait de mon cul. Il me donnais un baiser.

Bastien : Bon il faut que je te laisse, les autres vont se demander ce que je deviens.

Je lui rendais son baiser.

Moi : Tu viens souvent ici ?
Bastien : Je reviens dans trois jours … 
Moi : Même heure ?
Bastien : Même heure, même endroit, même …

Je le regardais se rhabiller, moi je n'avais pas ce problème, je n'avais pas de vêtements. Il avait toujours ce sourire satisfait.

Bastien : Vous êtes tous comme ça vous les porteurs ?
Moi : Certains oui …
Bastien : J'en avais entendu parler mais je ne voulais pas y croire !
Moi : Tu avais raison de ne pas y croire et de vouloir vérifier par toi-même.

Un dernier baiser rapide puis il me laissait. Là c'est moi qui gardais un sourire satisfait. C'était un bon coup, il était câlin et attentif à mes réactions. Je restais pensif encore un petit moment, le soleil disparaissait derrière l'horizon des arbres, le ciel s'assombrissait, je repartais vers la plage, j'avais le visage de Bastien devant les yeux, '' C'était un bon coup tout de même, il a dit qu'il revenait quand … ? ''.

Je retrouvais mes camarades, ils étaient tranquillement installés sur la terrasse de notre cabanes, plusieurs d'entre elles étaient déjà fermée et on en concluait que les occupants devaient dormir … Enfin peut être … Il faisait chaud, très chaud et la meilleure manière de rester au frais était de fermer portes et fenêtres, les baraques étaient en effet climatisées. 

On sirotait un jus de fruits bien frais, en discutant.

Antoine : Tu as l'air plus détendu que tout à l'heure toi !
Moi : Moi ?
Antoine : On dirait  que tu t'es amusé avec le gigoteur …
Moi : Non pas du tout, je ne vais même pas y toucher de tout mon séjour.
Florian : Allons bon, tu ne veux plus t'amuser toi maintenant ?
Mike : Ouai bein moi, le gigoteur demain je le teste.
Moi : Et pourquoi pas ce soir ?
Antoine : On a regardé l'objet de plus près, on l'a fait marcher et il n'y a plus de pile …
Moi : Et qui en a profité ?
Florian : Personne, on l'a fait marcher là sur le sol, juste pour voir.
Mike : C'est un truc de fou ce machin.
Florian : Je vous l'avais dit. C'est démoniaque ce machin. Tu deviens fou.
Antoine : Ouai mais c'est bon !

Il faisait nuit quand on allait se coucher, on était épuisé par le voyage              , il devait être presque onze heures, avec le décalage horaire ça faisait plus d'une  heure du matin, heure du continent … Les autres je ne sais pas mais moi je m'endormais tout de suite. Je me sentais mieux, je me sentais détendu, j'avais le sourire de Bastien devant les yeux : '' Il reviens dans trois jours il a dit '' …

Le lendemain tout le groupe se réveillait de bonne heure et commençait à faire du bruit. On en faisait de même, j'étais en forme, je me disais '' premier jour, il a dit trois jour le gars hier . '' .

Les activités se mettaient en marche, dès l'après midi on pourrait faire du ski nautique. C'est pas si facile que ça en a l'air ce truc. Moi je me disais : '' Bon je vais me faire une petite séance d'une heure, ça devrait me mettre en forme … '' . J'avais vu grand, une heure ! Je suis peut être un champion en sport mais ça tire sur les muscles, je me limitait à quinze minutes avant de tout lâcher, je me retrouvais alors dans l'eau, sur les rotules mais dans l'eau … C'est super et tout nouveau pour moi ce truc mais comme je disais, ça tire sur les muscles ! On prenait les skis les uns après les autres, on récupérait en les regardant puis on recommençait. Le soir on était sur les rotules.

Pour le lendemain, second jour et je repensais à Bastien, il avait dit trois jours … On nous informait qu'une initiation à la plongée serait organisée dès l'après midi. Là ça ne m'intéressait pas vraiment, la plongée c'est du sérieux, les règles de sécurité sont draconiennes. On ne plongerait pas à plus de dix mètres, il y aurait un moniteur pas plongeur initié. Cette activité était sous haute surveillance, il n'était pas question qu'il y ait le moindre accident. En moins dangereux il y avait la plongée en apnée. J'ai réussi à plonger à dix mètres, mais je préférais me limiter à cinq ou six, à dix mètres je ne vous dis pas, la pression,  ça appui déjà bien sur la tête.

Le jour suivant un petit avion, bimoteur, se posait sur une petite piste d’atterrissage. Les plus rapides comprenaient et fonçaient en courant vers la piste en hurlant '' Parachutisme ! '' . Il avaient bien compris, ce petit appareil pouvait transporter huit passagers et était en effet là pour le parachutisme, il y aurait désormais plusieurs vols par jours.

On s'occupait aussi avec les séances de sport plus traditionnelles, un mur d'escalade, des tournois de foot, hand, basket ainsi que des tyroliennes dans les arbres … On était le troisième jour, je pensais à Bastien toute la journée et souvent mon regard se perdait en direction de l’embarcadère, on pouvait deviner sa présence depuis la plage. Après le repas je disparaissais et me rendais sur la pointe Est de l'île, là ou je l'avais rencontré trois jours plus tôt.

Lui, c'était Bastien mais vous l'aviez deviné. Le bateau d'approvisionnement était venu plus tôt ce jour là. Et quand j'arrivais sur les rochers je le voyais qui repartait déjà. '' Et merde ! Ce ne sera pas pour ce soir ! '', '' Il est venu au moins ? '' , '' De toutes façons ça n'a plus d'importance . '' .

Je m'installais sur le rocher ou j'étais l'autre jour et, un peu dégoûte, je regardais le bateau disparaître à l'horizon, l'eau était calme, pas une vague sauf celle du sillon que le bateau laissait derrière lui.

J'entendais alors une voix juste derrière moi. 

Bastien : Alors bonhomme ça se passe bien pour toi ? 

Je sursautais, j'avais retrouvé le sourire, je me retournais. Il avait un large sourire, à côté de lui il y avait un autre garçon.

Bastien : Je te présente Logan … On a tout déchargé, c'est dans l’entrepôt, on passe la nuit ici, demain on rangera tout avant que le bateau ne vienne nous récupérer mais ce soir …  



Ep 83 : ILS ETAIENT DEUX



Bastien n'était pas venu seul, il avait emmené avec lui un camarade. Logan était un peu plus petit mais plus trapu, plus large d'épaule. Il était bien foutu lui aussi, ils avaient tous les deux un large sourire et un petit regard vicieux, comme je les aime.

Bas : Je te présente Logan, un collègue. Il ne travaillait pas ce soir, je l'ai invité à me suivre. Ça ne te dérange pas ?
Moi : Non pas du tout !

Ils échangeaient un regard complice. 

Bas : Relève toi, et montre à mon pote le truc que tu portes, il n'en a jamais vu.
Log : Si j'en ai vu mais uniquement en photo.

Je me relevais et leur faisait face. Je remarquais tout de suite une belle bosse qui se formait entre leurs jambes, ils avaient tous les deux la même réaction. Logan me regardait avec insistance, son regard s'attardait sur ma cage de chasteté et en même temps il se tripotait la queue à travers sont pantalon.

Bastien le poussait vers moi, il hésitait, je faisais le premier pas. Je lui retirait son T-shirt, et ne me privais pas de regarder à mon tour son torse, il était bien bâti, bien carré, bien musclé. Il  était tout à fait à mon goût. Je passais une main sur un téton puis je laissais ma main descendre le long de son torse. Il me caressait le bras. 

Quand j'arrivais à sa ceinture, avec les deux mains je l'ouvrais, déboutonnais sa braguette et laissait tomber son pantalon sur ses chevilles, il me laissait faire avec un large sourire, il n'avait pas de sous vêtements ( tien je ne suis pas le seul à voyager léger ) sa queue se redressait avec vigueur, il était bien monté, mieux que Bastien, qui pourtant n'était pas ridicule. Sans être un géant, il était bien monté.

Au moment ou je me penchais vers lui il me caressait la joue avec une douceur, il était superbe, il était doux, j'étais sous le charme. Je n'avais plus qu'une envie … Lui sucer la queue pour commencer et c'est ce que je faisais.

Il était circoncis et c'était un plaisir à voir, je passais ma langue sur son gland, juste sur le bout de son gland en insistant, comme si je voulais rentrer ma langue dans son urètre. Il réagissait vite, je le sentais frémir, il aimait ça. C'est vrai que j'ai de l’entraînement et que je fais ça très bien. J'ai jamais eu de réclamations.

Avec ses deux mains il me caressait les joues ou les cheveux, doucement il passait une main sur ma nuque, il n'osait pas appuyer sur ma tête. Ce n'était pas le cas de Bastien qui lui montrait, je sentais sa main appuyer fortement sur ma tête, il appuyait fort d'un geste rapide et avant que j'ai le temps de réagir, mon visage s'écrasait sur le ventre de Logan. Je sentais sa queue s'enfoncer bien à fond dans ma gorge.

Bastien avait retiré ses vêtements, et Logan avait repoussé du pied son pantalon. Je continuais à le sucer, j'avançais mon visage contre son ventre, sa queue s'enfonçait puis je relevais la tête, elle ressortait. Par moment je me retirait complètement et lui suçais les couilles.

C'est à ce moment que Bastien en profitait pour prendre la place de Logan, et enfoncer doucement sa queue dans ma gorge. Je ne résistait pas, il était un peu plus petit et ça passait plus facilement, il appuyait un peu plus sur ma tête que son copain mais ce n'était pas une brute, il me guidait plus qu'il ne me contraignait. Si j'offrais la moindre résistance il n'insistait pas. 

Ils faisaient tous les deux preuve de beaucoup de douceur et de tendresse. 

Ce jeux devait durer un long moment, je n'avais pas de montre, le soleil éclairait encore, il n'était pas encore descendu derrière les arbres. La queue de Logan s'enfonçait dans ma gorge puis en ressortait, ensuite c'était la queue de Bastien qui prenait le même chemin. 

Ils me massaient les épaules avec force et douceur, une main descendait sur mes omoplates, sur mon dos puis me caressait les cotes. L'un guidait ma tête et enfonçait sa queue dans ma bouche, l'autre me caressait le corps. Je ne résistait pas, c'était très agréable, vraiment très agréable. Il échangeaient ensuite les rôles. 

Les caresses sur mon corps descendaient sur mes reins, sur mon ventre puis la main devenait plus entreprenante et se glissait entre mes cuisses. L'un m'enfonçait sa queue dans la gorge, l'autre me massait les couilles et me glissait un doigt entre les fesses avec insistance. Ils n'étaient pas pressés de conclure, de nouveau ils échangeaient leurs positions. 

Ma queue protestait dans sa cage mais je n'y faisait plus attention. Je passait moi aussi mes mains sur les cuisses de mes partenaires, je leur caressait les fesses, les cuisses, je leur massais les couilles, je leur gobais les couilles. Ils frémissaient entre mes mains. J'aime bien sentir un homme trembler de plaisir dans mes bras.

C'est Bastien qui commençait en premier, je le sentait me saisir au niveau du bassin. Logan s'asseyait sur le rocher et Bastien me guidait, il m'écartait les jambes, je me retrouvais à genoux, il me glissait son pantalon sous les genoux pour que je sois à mon aise ( ils ne sont pas mignons ces deux là ? ) puis il prenait position derrière moi. Je sentais aussitôt un forte pression contre mon anus. 

Je ne résistais pas, bien au contraire. Logan ne bougeait plus, je devinais qu'il regardait faire son camarade et devait être impressionné. Je sentais mon anus se détendre, se dilater. Je sentais la queue de Bastien passer la première frontière, mon premier muscle anal. C'était terriblement bon. Ensuite la queue de Bastien glissait contre les parois internes de mon cul, lentement mais fermement, une forte pression s'exerçait contre ma prostate. Ma queue se contractait, ma cage de chasteté semblait minuscule, ma queue était sous pression et elle se révoltait, j'éjaculais et je jouissais en même temps. J'avais le souffle court surtout que j'avais du mal à respirer.

Le bassin de Bastien frappait contre mes fesses, je gémissais, enfin je faisais des bruits bizarres avec la queue de Logan dans la bouche. 

Logan : La vache, il a l'air d'aimer ça !
Bastien : J'ai l'impression aussi.

Bastien se retirait, mais pas complètement. Il faisait tout d'abord une pause puis revenait d'un mouvement rapide, enfonçait de nouveau sa queue bien à fond et son ventre frappait de nouveau contre mes fesses. Il appuyait alors de toutes ses forces, de tout son poids. Il se retirait puis commençait des mouvements de va et vient. Lentement au départ les mouvements devenaient plus rapides, toujours très amples mais rapide. Quand il faisait une pause c'était pour rajouter une bonne dose de gel lubrifiant, il reprenait ensuite avec des mouvements très rapides. 

Je jouissais de nouveau, j'avais l'impression d'éjaculer mais en fait je ne savais plus si je pissais ou si je jutais. Ma prostate paniquait et me donnait des sensations contradictoires. Je ne savais plus ce qui se passait dans ma cage de chasteté, tout ce que je sais c'est que c'était bon, intense mais bon.

Les coups devenaient violents quand j'entendais Bastien gémir et râler de plaisir. Il jouissait dans mon cul, il jutais et j'en faisais de même. Ce n'était pas comme on éjacule ou la sensation ne dure que quelques instants, là ça durait dans le temps.

Bastien ne bougeait plus. Logan lâchait ma tête, en fait il ne la retenait pas vraiment, il avait seulement les mains posées sur ma nuque et mes cheveux, juste posées. Mais quand il les retirait je relevais la tête, mon souffle était fort et irrégulier. Dans mon cul je sentais comme un grand vide, un vide jouissif, toujours cette sensation de plaisir. 

Logan : Moi j'aimerais …
Bastien : Oui vas y ! Exprime toi !
Logan : Pas comme ça mais …

Il n'osait pas terminer sa phrase.

Logan : Face à face …

Je me retournais sur le dos, j'écartais puis relevais les jambes. Je voyais un sourire sur le visage de Logan. 

Logan : Comme ça je peux ?

Bastien ne me laissait pas le temps de répondre.

Bastien : Vas y je te dis, c'est toi qui dirige. Si ça ne lui plaît pas il te le dira.

Logan se penchait alors sur moi, posait mes chevilles sur ses épaules, s'appuyait en repliant mes jambes contre mon corps. En même temps il enfonçait en un mouvement rapide sa queue jusqu'à la garde.

Je râlais de plaisir. C'était bon, de nouveau j'avais l'impression de juter mais en relevant la tête je pouvais constater que de ce côté rien ne se passait. Ma queue remplissait bien ma cage à bite mais je ne sentais plus cette pression.  Ma queue était bien gonflée, bien grosse, mais molle. 

Logan avait peut être été un peu timide au début mais la il se lâchait. Sa queue était bien large et belle taille, pas géante mais bien grasse tout de même. La taille idéale. Il me burinait à son tout le cul. Souvent il ressortait complètement, quelquefois il rajoutait une dose de gel et revenait d'un geste rapide et violent. 
Je râlais de plaisir, j'en redemandais, c'était le pied. Et j'avais toujours cette sensation de plaisir au niveau de mon urètre, un peu comme quand on éjacule, même si rien ne ressortait, même si là rien ne se passait. Tout mon corps tremblait, je manquais d'air, mon souffle était irrégulier. Et quand Logan s'écroulait sur moi dans un cris de plaisir, il lâchait mes jambes, je les refermais alors dans son dos, le prenais dans mes bras et le retenais contre moi. A nouveau je jouissais et mes gémissements de plaisir ressemblaient à des sanglots.

On restait là encore quelques instants sans bouger, le soleil avait disparu derrière les arbres à l'autre bout de l'île. Logan se relevait, me tendait la main et m'aidait à me relever, il avait un petit sourire un peu malicieux mais ravis. On allait prendre un bain entre les rocher, je me sentais bien, terriblement bien.

Le soleil était couché quand j'arrivais à ma cabane, mes camarades commençaient presque à s'inquiéter. Je les rassurais en leur disant que le coucher du soleil était magnifique …

Le lendemain matin j'étais en forme, en pleine forme. Je me sentais bien, et je faisais comme tout le monde. Ils se levaient tous comme des furies couraient sur la plage en faisant beaucoup de bruit et couraient vers le réfectoire pour prendre le petit déjeuner. Mes camarades de chambre ( enfin de cabane ) n'en revenaient pas de me voir aussi détendu. 

Je me sentais libre, comblé, heureux !

Deux jours plus tard je revoyais Logan, il est mignon Logan … On partageait encore un moment de plaisir, un moment intense. Le petit malin avait réussi à retardé le départ du bateau pour qu'il n'ai pas le temps de décharger et de ranger l'approvisionnement le soir même. Ce qui l'obligeait à passer la nuit sur l'île. C'était prémédité ! Le bateau était donc déchargé à la va-vite et Logan était donc condamné par le capitaine du bateau à rester sur place pour ranger tout proprement.

La première semaine sur cette île se terminait, j'avais participé à toutes les activités excepté la plongée avec bouteille. J'étais à table avec mes camarades quand on m'appelait au téléphone. C'était Bob, il avait une voix fatiguée le pauvre.

Bob : Salut Djé, ça va …
Moi : Oui moi ça va mais toi tu as une toute petit voix ! Tu as un problème !
Bob : Non, ça va mais je te téléphone pour te demander si tu veux bien me prêter ta voiture …
Moi : Il y a un problème ?
Bob : Non je te dis mais … C'est Luc … 
Moi : Luc ? Tu m'inquiètes. 
Bob : Il ne faut pas t'inquiéter, simplement il travaille comme un fou et il me fait travailler plus de quinze heures pas jour. J'en peux plus ! Je suis en fac moi, et c'est déjà du boulot. Je suis en vacance et j'ai besoin de me reposer … 
Moi : Et tu as besoin de ma voiture ?
Bob : Oui je voudrais partir faire une petit voyage, c'est le seul moyen que j'ai pour pouvoir me reposer.
Moi : Pas de problème tu peux prendre ma voiture.
Bob : Merci, c'est sympa. Je vais confirmer à Charles que tu es d'accord.
Moi : Tu veux que je le lui confirme ?
Bob : Non, il n'est pas là pour le moment. Il ne voulait pas me donner les clés sans ton autorisation, mais il me croira …
Moi : Tu es sûr ?
Bob : Tu crois que je suis de taille à lui mentir ?
Moi : ( Je rigolais à la réplique ) C'est vrai que si tu essayes de mentir tu deviens tout rouge toi. 

Quand on avait fait sa connaissance Bob n'arrêtait pas de changer de couleur, si on lui faisait peur il devenait tout blanc et s'il était embarrassé il devenait tout rouge … C'était rigolo je ne dis pas mais heureusement ça a fini par lui passer. Par contre s'il essayait de nous raconter des histoires ou de nous cacher quelque chose ça recommençait. Charles le savait très bien, de plus c'est un garçon adorable et on lui faisait confiance.

On continuait à discuter un long moment ensemble, et on se disait que finalement il aurait mieux fait de venir avec moi, ici on s'amusait. Ici on était vraiment en vacances. Je ne lui parlais pas des rencontres que j'avais fait.

Je lui demandais bien sûr comment il s'adaptait avec son dispositif de chasteté.

Bob : Bon c'est un peu galère, mais ça va !
Moi : Tu verras, on s'y fait, on devient même accro à ce truc. A la fin de l'année en cours tu ne voudras plus le retirer.
Bob : Alors là ça m'étonnerais ! Je le sens tout le temps ce truc, c'est vrai ça ne fait pas mal mais … J'aimerais bien pouvoir tirer mon coup de temps en temps moi. Enfin, ça marche quand même …  

Il me remerciait encore pour la voiture et je retrouvais mes camarades.

Moi : C'était Bob, il parait que Luc est devenu une bête de travail.
Antoine : Je te rappelle qu'il pouvait sauter sa dernière année de lycée, et avoir ainsi un an d'avance … Il a toujours beaucoup travaillé, il n'en a pas l'air c'est tout, quand on le voit on voit surtout un petit guignol mais c'est un petit guignol qui bosse dur !
Moi : C'est vrai …
Antoine : Et il travaille sur quoi en ce moment ?
Moi : Une nouvelle émission de télé qu'il veut superviser, il est aussi depuis peu chroniqueur dans une revue, je ne sais plus trop laquelle mais c'est toujours sur le même thème, l'orientation dans les études … Le monde du sport … 
Antoine : Mais il n'arrête pas !

Luc avait déjà une émission qu'il animait en directe par semaine et quatre émission qu'il réalisait et animait … Maintenant il rajoutait un travail de chroniqueur ! C'est vrai que mon petit frère à l'air d'un guignol mais c'est un guignol qui travaille dur.

En attendant moi j'étais en vacances. Il me restait encore une semaine et j'avais bien l'intention d'en profiter. 

Dans les jours qui suivaient on faisait une balade en bateau à fond vitré, on pouvait admirer le fond du lagon en restant bien au sec, c'était superbe. Pendant toute cette petite croisière je n'avais que le visage de Bastien ou de Logan devant les yeux, on m'a dit qu'il avait des poissons … Moi j'ai rien vu !

Ils ne m'ont pas dit quand ils reviendraient, trois jours peut être, Bastien était passé trois jours plus tôt … Quand il est repassé il avait emmené un copain. Ils seront peut être trois la prochaine fois, avec un peu de chance. 

Mes camarades me trouvaient étranges par moment, je disparaissait tous les soir et revenait juste après le coucher du soleil. Ils ne se posaient pas vraiment de questions, ils pensaient que j'avais envie de me retrouver seul un moment. Il est vrai que dans la journée on était toujours en groupe. 

Je passais tous les soirs vers l'embarcadère mais le bateau passait désormais le matin et je ne voyais personne … Pas de Bastien, pas de Logan.



Ep 84 : MIKE S'ECLATE


Je n'allais pas pour autant me laisser abattre. Dans ma cabane il y avait trois garçons canons. Bien sûr ils portaient tous un dispositif de chasteté, on portait tous un dispositif de chasteté et Bastien et Logan n'en portaient pas, eux. Et en plus ils étaient bien montés et j'ai aimé ça. 

Une nuit je me réveillait, Antoine et Mike étaient dans le même lit. Antoine était paisiblement allongé sur le dos, Mike était blotti contre lui un bras posé sur sur sa poitrine. Florian allongé sur son lit montrait un corps magnifique, de très belles fesses que j'aurais volontiers défoncées jusqu'à plus soif si ne n'avais pas porté mon dispositif de chasteté. 

Je sortais sans faire de bruit, la nuit était profonde, le ciel brillait de mille feux, on voyait parfaitement la voix lactée. Je marchais sur la plage, seul le bruit des vagues brisait le silence. J'aurais pu croire que j'étais seul au monde. A quelques kilomètres plus au sud, sur la mer, la silhouette de l'île principale se détachait nettement, en dessous d'elle, la mer, au dessus d'elle, le ciel étoilé.

On pouvait parfaitement distinguer sa surface, son altitude. Elle était de très faible altitude sur sa plus grande surface, en son centre on apercevait les immeubles qui naissaient et qui bientôt deviendraient un véritable village de vacances. Enfin village … presque une ville. Sur sa partie Ouest on distinguait parfaitement un relief plus élevé. Il y avait là un rocher qui montait à près de cent mètres de haut et qui retombait en falaise sur le sud. D'ici je ne voyais que la silhouette de l'île que les étoiles dessinaient sur fond noir.

Une fois terminé, ce projet devrait avoir de l'allure. Mais pour le moment ce n'était qu'un projet. Le voie ferrée se terminerait et traverserait l'océan, ce petit archipel allait devenir un endroit très demandé et une fois que cette  route ferroviaire sera doublée dans les deux sens et terminée ce sera aussi une excellente alternative à l'avion. Enfin on n'en était pas là.

Je marchais sur la plage, juste à l'endroit ou les vagues viennent disparaître sur le sable, là au milieu de l'océan les marées n'étaient pas perceptibles, ou si peux. Quand j'arrivais vers la pointe ouest de l'île j'apercevais une silhouette qui arrivait en courant dans ma direction. Je m'arrêtais et regardais qui arrivait. C'était Mike !

Mike : Djé ? C'est bien toi ?
Moi : Oui c'est bien moi, je croyais que tu dormais toi ! Quand je suis sorti tu étais dans les bras d'Antoine.
Mike : Oui, je me suis réveillé, j'avais l'impression que quelqu'un était sorti ou entré dans la cabane mais comme tu n'étais plus là j'en ai conclu que tu étais sorti faire un tour. 
Moi : C'est quoi que tu as autour du cou là ?
Mike : Mon téléphone !
Moi : Tu attends un appel ,
Mike : Non c'est pas ça mais … 
Moi : Mais …
Mike : Tu sais le truc que Antoine a essayé l'autre, je l'ai emporté lui aussi.
Moi : Fais voir.
Mike : Euh ! C'est que … 
Moi : Il est en marche ?
Mike : Non pas en marche mais en place.
Moi : Fais voir le téléphone, je vais te montrer comment ça marche.

Il me donnait son téléphone. On s'installait sur l'herbe, le dos confortablement appuyé contre un rocher, on regardait la mer, je synchronisais le téléphone.

Mike : On est bien là, demain on aura le lever du soleil.
Moi : Non le lever du soleil c'est de l'autre côté.
Mike : Ah !
Moi : Ça donne quelque chose là ?
Mike : De quoi tu parles. 

Je lui montrait son téléphone.

Mike : Ah oui d'accord !
Moi : Il y a des piles au moins ?
Mike : Oh ça oui ! Oh oui ! Oh oui ! Oooooooh ouiiiiiiiii !
Moi : C'est ce que je vois !
Mike : Oh non de dieu ! Oh la vache ! C'est un truc de dingue !

J'arrêtais tous.

Moi : Je crois que j'ai commencé un peu fort là.
Mike : Là oui, c'était violent ! Il n'a pas que vibré le machin il s'est plié, c'était violent … Recommence pour voir !

En pouffant de rire, j'actionnais plusieurs de ces mouvement rapides et violent. Il se crispait, se contractait. Il ne pouvait déjà plus tenir en place, il soulevait son cul avec les bras, respirait fort, s'allongeait, puis s'allongeait sur l'herbe, le rocher était trop dur. Je calmais le mouvement.

Mike : C'est vraiment un truc de dingue ton machin. Je comprend pourquoi ça s'appelle ' gigoteur '. 
Moi : Bon on lance un programme normal ?
Mike : Vas y mec, je te donne carte blanche. Je te fais confiance 

Je lançais sans attendre un programme progressif, très progressif. Je devinais qu'il était du genre gourmand et que ça se terminerait très fort. La nuit n'était pas total on pouvait se voir, enfin s'apercevoir. Il s'allongeait sur l'herbe et rapidement j'entendais les petits gémissements qu'il poussait.

Il ne faisait pas beaucoup de bruit au début, par moment il se détendait, s'étirait et soupirait.

Moi : C'est bon ?

Je le voyais me répondre oui avec un mouvement de sa tête, je pouvais facilement voir ses mouvements mais je ne pouvais pas deviner l'expression de son visage. Là je ne pouvais qu'imaginer.

Il se caressait le torse avec la main et respirait plus fort. Le gigoteur vibrait bien maintenant. Je posais ma main sur le torse de Mike, il a la peau douce Mike, je l'ai déjà essayé … ? … Bein oui je l'ai déjà essayé dans le train Mike, il n'est pas farouche. Vous avez loupé l'épisode ? Même que c'est lui qui avait commencé. Non il n'est pas farouche vous pouvez me croire et le contact de son corps est très agréable.

Je lui caressait le torse, je penchais ma tête vers lui et lui donnais un baiser. Il me caressait les cheveux en retour et gémissait de plaisir. Le gigoteur vibrait plus lentement puis faisait une pause.

Mike : C'est super agréable ton truc.
Moi : Il vibre fort ?
Mike : Non là il s'est arrêté.

… 

Mike : Ça y est il recommence.

Je continuais à embrasser Mike sur tout le corps. Je m'allongeais sur lui et l'embrassais sur la bouche. Ma bite hurlait de colère dans sa cage et poussait contre les parois de la cage. C'était la deuxième fois que nos deux corps se caressaient ainsi l'un l'autre. Je le sentais trembler un peu plus, le gigoteur accélérait le mouvement. 

Je m'allongeais à côté de lui, je glissais une main sous sa cuisse et lui caressais les couilles, sa cage de chasteté était sous pression, de l'autre main je lui caressais le corps, de sa main il me caressait le bras. Ses gémissements devenaient plus forts. 

Il avait maintenant des convulsion. Légères je vous rassure. Par moment il se contractait et se détendait en tremblant. Je sentais sa main se refermer sur mon poignet en même temps un souffle étouffé dans sa gorge. Il tremblait.

Ma queue restait sous pression, mon dispositif devenait inconfortable. Je me disais que j'aurais mieux fait de profiter des vacances pour le retirer et m'amuser un peu, la queue de Mike était elle aussi sous pression, mais lui semblait détendu, enfin il semblait détendu entre chaque contraction de son corps, entre chaque convulsion. 

Il commençait à se tortiller dans tous les sens, ses gémissements devenaient bruyants, son souffle fort et irrégulier, le ' gigoteur ' ne se contentait plus de vibrer, et il se tordait dans un sens puis dans l'autre. A chaque mouvement de ce petit dispositif je sentais Mike convulser.

Il ne se tortillait plus, il se tordait, relevait son torse, gémissait et respirait très fort, le dispositif n'était toujours pas au régime maximum. Mike tremblait.

Un peu plus tard il se rallongeait tranquillement sur le sol, le ' gigoteur ' ralentissait son mouvement. Mike réagissait en se détendant complètement, il ne bougeait plus ne disait plus rien mais poussait seulement un long gémissement qui n'en finissait pas. Tous ses muscles se détendaient. 

Je me penchais sur lui, l'embrassais et le caressais. Brusquement il se relevait tous ses muscles se contractaient, il relevait le torse et poussait un cris. Le gigoteur s'énervait de nouveau, il était maintenant à la vitesse maximum. Mike était pris d'une crise de tremblement, ses couille étaient sous pression et formaient un boule juste en dessous de sa cage de chasteté. Il jutait abondamment. Il n'éjaculait pas vraiment, il jutait, un flux de sperme s'écoulait sans fin de son dispositif, il râlait, tremblait, se tordait dans tous les sens …

Il se levait alors et partait en courant vers les cabanes …

Mike : Je craque !

Je restais là, le téléphone dans la main. Par malice avant qu'il ne soit hors de portée j'enclenchais les mouvements les plus rapides et les plus violents, j'entendais Mike qui poussait un cris plus fort à ce moment.

Il était vite hors de portée du téléphone mais le dispositif dans ce programme continuait à gigoter jusqu'à ce qu'il reçoive l'instruction de s'arrêter ou qu'il soit retirer. 

Quand j'arrivais à la cabane, Mike était allongé sur son lit, il ne bougeait plus, le Gigoteur était posé dans un coin, il ne bougeait plus. Je rigolais doucement en voyant ça. 

Mike : C'est un truc de fou ça !

Il parlait tout bas pour ne réveiller personne.

Moi : Tu as vu ça ?
Mike : Et tu l'as trouvé ou ce truc ?
Moi : Dans un magasin spécialisé, il faudra que j'en achète d'autre, j'en avait qu'un et je l'ai donné à Florian. 
Mike : J'en veux un moi aussi, ça coûte cher ce truc ?
Moi : En fait j'en sais rien !
Mike : C'est pas toi qui l'a payé ?
Moi : Si … Euh … En fait oui mais c'est pas moi qui l'ai acheté, c'est une copine qui l'a acheté avec ma carte de crédit.
Mike : Et il s'appelait comment ta ' copine ' ?
Moi : Léa !
Mike : Mais c'est que c'était vraiment une fille ta copine alors !
Moi : Enfin ! Mike ! Tu t'attendais à quoi ?
Mike : Pas à ça en tout cas ! Et tu faisais quoi avec une fille toi ?
Moi : Mais c'est que je te trouve bien indiscret. Bon je ne faisais pas grand chose. 
Mike : Et elle ! Elle faisait quoi avec toi ?
Moi : Elle s'amusait avec ma carte de crédit !

Mike rigolait de ma réponse. On ne parlait plus, on ne bougeait plus, j'avais toujours une pression de malade dans ma cage de chasteté, non seulement je ne m'étais pas détendu mais j'étais encore plus excité, sexuellement excité,  qu'au moment ou je m'étais levé. Je le sentais bien mon dispositif PK, je ne sentais que ça avant de m'endormir. Je me retournais vers Mike, il dormait. 

Moi finalement j'ai pas dormi du reste de la nuit !

Les jours suivants on passé très vite, je surveillais l’horizon tous les soirs, le bateau n'est pas revenu, ou alors ce n'était plus à la même heure. La seconde semaine avançait et il fallait se préparer pour le retour. 

Tout le monde était détendu, pardon je voulais dire reposé. Oui parce que détendu pas toujours, on avait tous un petit truc entre les cuisses qui nous gardait tous un peu sous tension. 

Mais enfin on était tous reposés. Enfin reposés, c'est pareil on était épuisé, on avait fait des heures de sport tous les jours, mais enfin c'est ça les vacances, ça ne sert pas vraiment à se reposer, ça sert surtout à se laver la tête et là on se l'était lavé, la tête … 

Dans le train pour le retour plus personne ne bougeait. Il n'y avait presque pas de bruit, tout le monde s'était bien dépensé pendant deux semaines, on avait encore deux jours avant de reprendre les cours. Les vacances se terminaient nous commencions tous enfin à nous reposer … Il vaut mieux tard que jamais !



Ep 85 : PAS CHAMPION CETTE ANNEE


Le reste de l'année passait très rapidement. Tout s'est mis à avancer très vite. Les travaux de construction de l'université semblaient s'accélérer. De nouveaux bâtiments destinés à l'interna se construisaient et les anciens provisoires qui s'étaient montés en si peu de temps, étaient démontés au fur et à mesure. L'école prenait peu à  peu sa forme définitive … Monumentale, une façade de presque un kilomètre de large. 

La partie gauche de la façade qui était l'ancienne école était entièrement restaurée et semblait aussi neuve que le reste. Des passages entre l'ancien bâtiment et le nouveau étaient créés, les deux bâtiments n'en faisaient plus qu'un.

Deux ailes de bâtiments étaient construits perpendiculaires à la façade, juste derrière, on y installait le nouveau réfectoire et autres installation de ce genre, ils étaient séparés par une cour d'honneur qui allait jusqu'à l'autre extrémité du campus et se terminait par une ouverture monumentale à l'arrière du nouveau bâtiment ainsi obtenu.

En façade, juste en face, dans l'alignement de la cour d'honneur l'entrée monumentale principale de l'école trouvait sa place … Très exactement au  milieu de la façade … Je ne vous dis pas … Ça avait de la gueule ce truc.

Depuis ses studios télé, Luc témoignait régulièrement de l'avancée des travaux. Une inauguration se profilait. Monsieur Leconte serait là bien sûr, C'est Luc qui était désigné pour assurer l'interview. Il enregistrait plusieurs émissions courantes et disparaissait pendant une semaine au Château pour préparer cette émission spéciale.

Bob ne décevait personne pour ce qui est de son travail, il m'avait toujours fait une très bonne impression ce petit gars, il était, toutes matières confondues dans les cinq premier de ses cours … Très bonne position, résultats très réguliers. 

Il avait fallu calmer Luc pour qu'il le laisse étudier tranquillement. Luc aurait voulu que son doudou soit toujours avec lui à préparer les émissions, mais Bob avait des études à suivre, il était en fac lui. 

Mon frère me surprenait tous les  jours, en plus de ses cinq émissions télé par semaines, des chroniques qu'il écrivait régulièrement dans la presse, il présenterait bien sûr la nouvelle inauguration de l'école … Il investissait la plus grosse partie de ses revenus, ce qui ne représentait pas des sommes négligeables, dans la production d'une série de reportage pour la télé sur le thème du voyage et du dépaysement … Ça marchait très fort il avait déjà plus de vingt chaînes de télé sur la planète qui s'intéressaient à ses reportages. 

Il m'a dit un jour que s'il vendait les films à seulement deux chaînes de télé il rentrait dans ses frais. 

Et vous allez rire, la journaliste qui nous avait un peu malmenés quelques années plus tôt était désormais sous la direction de mon petit frère … 

Je donnais toujours trois fois par semaines mes soirées à la maison. Il y avait toujours mes camarades par roulement et de plus en plus de personnalités, qui voulaient s'approcher de mon frère, d'Antoine ou de moi-même. Bob profitait par sa seule présence de notre notoriété, même Charles en profitait, où qu'il aille il était reçu comme un prince … Sait-on jamais, on aurait peut être besoin un jour de demander quelque chose au majordome des trois personnes les plus célèbres et les plus influentes de la ville. 

Notre carnet d'adresse à chacun était devenu énorme, le mien et celui de mon frère surtout, ce n'était plus un carnet mais un véritable bottin, surtout celui de mon frère.

Économiquement, nos revenus ne cessaient de monter, sauf peut être pour ce qui est de Bob, il avait régulièrement des petits contrat, toujours très bien payés, Luc avec la complicité de Mr Le Conte y veillait. Mais il faut dire que son activité première à lui c'était … Étudier !

Quand le second trimestre se terminait, le calendrier était arrêté, finalement c'était pour la rentrée suivante que la nouvelle inauguration serait organisée. C'est vrai que pour mobiliser Mr Le Conte il fallait mieux s'y prendre en avance. 

J'étais au sommet de ma forme, Antoine pareil, Bob participerait également à la rencontre sportive, on avait pris les même dispositions que l'année précédente.

On s’entraînait à l’abri des médiats. 

Nous étions dans les vestiaires, bien concentrés, quand des cris nous sortaient de notre calme.

'' Alors les champions ! Vous nous ramenez combien de médailles cette année ? ''. 

Bein oui c'était mon petit frère, et il était pas tout seul, il y avait aussi un cameraman et un preneur de son.

Moi : Fout moi le camp d'ici tout de suite, et en plus tu as emmené une caméra !
Luc : Tu sais le matériel est étanche on peut même vous suivre sous la douche !

Je le regardais en prenant l'air méchant …

Luc : Bon on va peut être attendre que vous sortiez de la douche alors ...

Par contre il ne traînait pas le guignol, pour chacun d'entre nous, il attendait et lui sautait presque dessus pour avoir ses impression à la sortie de la douche. Nous sommes tous passé devant sa caméra, devant son micro avec seulement une serviette de bain autour de la ceinture. 

Certains étaient visiblement surpris, ceux qui avaient pensé qu'il n'oserait pas. D'autres semblaient gênés, d'autres encore s'y attendaient et arrivaient avec un grand sourire, ceux là jouaient le jeux. Plusieurs laissaient même tomber négligemment la serviette sur le sol pour taquiner mon petit frère et voir s'il oserait aller encore plus loin.

Et bien devinez ! Il a osé, on a pu apercevoir ainsi plusieurs de mes camarades à la télé entièrement nus avec seulement leur dispositif de chasteté sur eux … Le soir à la maison il prenait un air faussement embêté. 

Luc : J'vous jure, je ne sais pas ce qui s'est passé, on aura mélanger les bandes vidéo …
Charles : Mais nous n'en avons jamais douté Monsieur Luc ! J'en parlais à votre frère à Antoine et à votre doudou Bob et c'était là aussi notre conclusion.

Nous n'en avions bien sûr pas parlé, et on rigolait à entendre Charles dire cela en faisant des manières.

Luc : Tu te moques là Charles … Dis ?
Charles : Mais non, mais on faisait seulement semblant de te croire et tu pourrais en faire autant avec moi.

Luc ricanait alors en faisant le guignol. Il était content de son coup ! Il avait réussi son lancement des prochains jeux inter-école comme tous les ans. 

Au départ, l'année précédente on prévoyait d'inviter jusqu'à vingt écoles mais si les travaux de construction de l'école avaient bien avancé, c'était au détriment des installations sportives, elles, elles avaient pris du retard. Finalement on n'invitait que cinq écoles. Les compétitions étaient étalées du lundi au vendredi inclus, les invités seraient là du week-end au week-end inclus.

Quelques jours plus tard Antoine, Bob et moi nous retrouvions au château, juste pour quelques jours pour nous reposer un peu avant la compétition et c'est là que le drame s'est produit. 

Un matin en descendant les escaliers pour notre entraînement quotidien je loupais une marche, tombais mal, j'entendais un crac au niveau de ma cheville et ressentais une grande douleur.

Quelques instants plus tard, il y avait un attroupement autour de moi, on me soulevait, me transportait à l'infirmerie, un infirmier m'examinait. Avant que j'ai le temps de réagir davantage un hélicoptère se posait juste derrière dans le parc. Quelques dizaines de minutes plus tard j'étais dans une salle de radiographie à l'hôpital.

Le diagnostique était implacable, déchirure musculaire, le tendon était touché et l'os légèrement fêlé. Rien de très grave à mon âge, le cartilage était intacte, mais c'était clair … Je ne participerais pas à la compétition !

Je rageais !

Je ne sais pas si Mr Le Conte avait une idée derrière la tête quand il me confiait aux mains de fée d'un infirmier super canon. Je bavais rien que de le voir, il me chouchoutait. Alors que j'étais dans mon lit devant la télé, à regarder Antoine me piquer les médailles d'or que j'aurais du avoir. Je me disais que, au moins, ça ne sortait pas de la famille. 

Charles aussi était sur place, il avait rejoint les masseurs de l'équipe, comme vous le savez c'est un masseur d’exception. Il m'avaient donc tous laissé tout seul à me morfondre devant la télé, je n'avais pas vraiment envie de me rendre sur place. On m'avait oublié, abandonné, délaissé … Oui bon d'accord j'en rajoute un peu là. Il y avait Gérôme.

Et il était canon Gérôme, les bras nus avec sa tenue d'infirmier, ça me donnait envie de jouer au docteur. Il s'approchait de moi, au niveau soin il n'avait pas grand chose à faire, j'étais pas vraiment malade vous savez. Une grosse foulure de la cheville même avec de légères complication c'est pas vraiment une maladie … J'avais un plâtre mais c'était uniquement pour garantir que rien ne bougerait, sinon un pansement aurait suffi. 

Souvent Gérôme s'approchait de moi, il ajustait mon oreiller, je sentais sa cuisse qui appuyait contre mon bras. Il aurait voulu m'allumer celui-là il ne s'y serait pas pris autrement ! Je sentais sa cuisse ferme mais légèrement élastique ? Je veux dire par la que … Je ne sentais pas ce que j'aurais du sentir, c'est à dire un truc dur, bien dur. 

Il s'en rendais compte.

Gérôme : Bein non je ne porte pas de dispositif.
Moi : Ah ! Heu … zrt … heu … owarz …
Gérôme : Ça te fait bafouiller, tu fatigues peut être ? Tu veux prendre un bain et te reposer ?
Moi : Moua yeu !

Pas de doutes, je bafouillais. Ça faisait un moment que je n'avait pas touché  une vraie queue. Et là j'avais comme l'impression qu'une grosse bosse se formait justement là ou c'était tout mou, ça devenait tout dur. 

Je ne parle pas de moi là mais bon vous aviez suivi.

Sitôt dis, sitôt fait … Je boitais joyeusement jusqu'à ma baignoire, mon petit frère faisait son mariole à la télé. Mon infirmier me glissait une sorte de grosse capote autour de la jambe pour que mon pied reste au sec à cause du  plâtre. Et m'aidait à me déshabiller. Et j'en avais grand besoin vous savez, tout seul je n'y serait jamais parvenu. 

Vous ne me croyez pas ? Bein vous avez raison ! J'en rajoutais et je faisais mon malade. Ce n'est pas dans mes habitudes, mais j'aurais voulu vous y voir moi. Il était canon le médecin, pardon je voulais dire l'infirmier. Je me retrouvais donc à poil dans mon bain bouillonnant pendant que l'eau le remplissait.

Gérôme : Ça m'a toujours paru un peu bizarre moi, ce genre de truc que tu portes.
Moi : On s'y fait tu sais.
Gérôme : Bon je vais te laisser tremper un moment.
Moi : Beuh, … , viens donc tremper avec moi, tu sais c'est très agréable et ça détend.

Il ne se faisait pas prier, on aurait dit que … Il se déshabillait et je pouvais constater que le truc tout dur qui semblait grossir chez lui, bein c'était pas une illusion. Il bandait bien ferme, il en avait une belle qui se redressait au moment ou il tombait le pantalon.

Gérôme : Désolé mais, moi je ne porte pas de truc comme toi.
Moi : GLP !
Gérôme : Tu disais ?
Moi : Bon nien ve bavait ma valise !

Bon je devine que vous devez être désorienté par ma réponse. Je traduis '' Non rien, j'avalais ma salive ! ''. Après tout ce que j'ai vécu, et je ne vous ai pas tout raconté, je reste toujours surpris de voir à quel point je peux être encore ému par une belle grosse queue !

Il prenait place juste à côté de moi, son bras touchait le mien ( pourtant il y a de la place on a tenu à plus de six ). Là je ne disais plus rien.

Gérôme : Ça ne te gêne pas ce truc.

D'un geste naturel, il approchait la main et faisait comme s'il ajustait mon dispositif. Il ne le lâchait pas, il me regardait dans les yeux, son visage était juste devant le mien, il s'approchait, j'en faisais autant. Nos lèvres se touchaient, je caressais sa bite.

On n'allait pas en rester là ! Il me prenait dans ses bras, je l'attrapais et me cramponnais à lui. On se caressait comme des fous, comme si on n'avait attendu ça depuis des semaines, comme si on était en manque ( c'était mon cas remarquez ), lui je ne sais pas. On plongeait la tête dans l'eau, j'avais passé ma main derrière sa tête et le tenais bien serré contre moi. Nos baisers étaient chauds.

Quand nous remontions à la surface, essoufflés comme si nous venions de faire une véritable plongée nous embrassions toujours avec la même passion. Je sentais sa queue qui se glissait entre mes cuisses. 

Il s'allongeait sur le sol, les pieds toujours dans le bain bouillonnant, je me penchais sur lui le caressais, l'embrassais sur tout le corps pour terminer en lui prenant la queue dans la bouche. Elle était bien ferme, je n'avais pas touché à une vrai queue depuis quelque temps, depuis les dernières vacances sur la plage avec les deux employés qui assuraient l'approvisionnement si je ne me trompe. Je retrouvais immédiatement mes réflexes, j'avalais sa queue sur toute sa longueur sans efforts, je sentais son gland qui s'écrasait au fond de ma gorge, juste derrière la glotte.

A ce moment il faut surtout bien synchroniser sa respiration, faire une pause avant de reprendre. Il ne bougeait plus, il me laissait faire, quand je relevais les yeux je voyais son sourire ravi et son regard surpris.

Vous savez j'ai jamais eu de réclamations moi. Je suce très bien  et j'y mettais tout mon cœur, il était tellement canon. Quand je retirais ma tête c'était pour replonger de nouveau et lui gober les couilles. Je le sentais se contracter un court instant et sursauter aussi puis je le sentais se détendre à nouveau et gémir de plaisir. 

Je lui gobais les couilles, puis je revenais sur sa queue, il gémissait, il était complètement détendu. Ma queue protestait, mon cul frétillait dans l'attente du plaisir que je savais maintenant très proche. C'était une belle queue et je me faisais un plaisir de me la prendre entre les fesses.

Je faisais durer ces préliminaires le plus longtemps possible, il gémissait, ma queue protestait, ma frustration montait mais je ne lâchais rien. 

Je glissais mes mains sous ses fesses, puis un doigt entre. Doucement je glissait le doigt entre ses fesses, je m'attardais tout doucement sur son trou du cul. Sans  essayer d'y entrer je le massais avec un mouvement circulaire, de plus en plus fort. Ses gémissement se faisaient entendre eux aussi de plus en plus fort. Ma queue poussait également de plus en plus fort, sans espoir mais avec persistance. 

Sa queue entrait dans ma gorge, ma langue la parcourait avec douceur depuis la base jusqu'à son gland, il était circoncis, j'aime bien ça moi. Maintenant il me caressait les cheveux, il appuyait doucement sur ma tête, il ne pouvait plus retenir les mouvements de son bassin qu'il relevait et laissait tomber.

Mon doigt ne bougeait plus sur son anus, j'appuyais et c'est à ce moment que je lubrifiais avec ma salive, continuais à lui sucer la queue, et poussais mon doigt qui s'enfonçait d'un coup, rapidement. Il poussait un cri de plaisir, un râle de plaisir et me jutais dans la gorge sans prévenir en me balançant un mouvement réflexe de son bassin qui n’empêchait de retirer ma tête, je prenais tout dans la gorge. 

Je bougeais mon doigt et frappais doucement contre sa prostate, il continuait à gémir et à trembler de plaisir, il continuait aussi à juter, il me lâchait encore quelques giclées de sperme dans la bouche.

Peu à peu on retrouvait notre calme. Enfin il retrouvait son calme parce que moi … j'avais pas eu ce que j'avais espéré. C'est pas dans la gorge que je voulais me prendre sa queue et là il débandait.

Il me laissait m'amuser encore un moment avec puis se relevait. 

Gérôme : Tu en voulait encore plus ?
Moi : Béééééé !
Gérôme : Promis, si tu n'est pas un malade trop difficile, la prochaine fois je t'encule.
Moi : Moué ! Des promesses toujours des promesses !

Il rigolait de ma réplique, se penchait vers moi et me donnait un baiser très doux sur les lèvres.



Ep 86 : COMPETITION EN BEQUILLE


Le soir Luc me tombait sur la couenne ( si j'ose dire ) il était enthousiaste, il voulait que je sois avec lui pour animer la compétition.

Luc : Mais tu ne peux plus bouger, là au moins tu t'occuperas. Tu dois t'ennuyer  tout seul à la maison alors qu'on est tous là bas .
Moi : Mais non, pas …
Luc : En plus ils seront tous super content de te voir avec nous !
Moi : Oui mais …
Luc : Tu verrais, tout le monde me demande ce que tu deviens.

Ça durait encore un long moment, il ne me lâchait que quand je disais oui.

Le lendemain je me retrouvais donc au studio, j'avais à ma disposition, un fauteuil roulant, deux cannes, deux béquilles et un déambulateur … rien que ça ! Il n'est pas seulement prévoyant mon petit frère, il en fait trop tout simplement … Je me contentais des béquilles, dans mon cas c'est encore ce qu'il y avait de plus pratique.

Je ne l'avais jamais vu au boulot et il faut dire qu'il m'étonnait, il dirigeait tout avec une main de fer que je ne lui connaissais pas, mais il gardait toujours beaucoup de respects pour ses collaborateurs, leur parlait avec avec gentillesse, courtoisie. Il connaissait tout le monde et avait le mot juste … '' On m'a dit que ta femme avait accouchée dans la nuit … Ça s'est bien passé ? '' … ( bien sûr il faisait livrer le jour même des fleurs à la nouvelle maman et s'organisait pour trouver du temps libre pour le papa  ), ou encore '' Je suis intervenu pour ton fils, son entrée à l'université est réglée … '' …

Il exigeait le meilleur de ses collaborateurs, quand il donnait un ordre il devait être exécuté … Mais plutôt que d'utiliser l'autorité, il se faisait obéir de tous par sa gentillesse et tous ses collaborateurs étaient prêts à se mettre en quatre pour lui faire plaisir. C'était là une technique de management qui marchait bien et satisfaisait tout le monde. Le nouveau papa par exemple ce jour là, était venu travailler par nécessité, il n'y avait personne pour le remplacer et Luc n'avait même pas eu à le lui demander …

Mon jeune frère m'impressionnait de plus en plus.

On faisait quelques directes, quelques pauses. Tout le monde me soutenait, histoire de me remonter le moral, à cause du fait que je ne pouvais pas participer. J'étais bien entouré.

Je suivais Luc en dehors des studios et boitait tranquillement derrière lui, mon apparition était  saluée par des applaudissement et quelques acclamations.

Finalement je ne regrettais pas ma sortie, j'étais mieux que devant la télé. Le soir par contre je me retrouvais tout seul. Gérôme était reparti, on m'avait vu boiter avec élégance de long en large pendant toute la journée, je ne pouvais pas prétendre que j'avais encore besoin d'être bordé … Pour ce qui est des menus travaux de la maison c'est le majordome de Greg ( mon voisin du dessous ) qui s'en occupait. Greg était à la compétition donc son majordome avait du temps libre. Il est bien, il est très bien mais moins rigolo que Charles …

J'ai regretté le départ de Gérôme. Oulàlà que oui. J'ai même rêvé de lui une fois ou deux. Et que je n'entende personne ricaner bêtement, j'avais pas touché à un homme depuis trois mois, et il était super bien foutu. J'aurais bien aimé me prendre sa queue dans les fesses moi ! Pfff !

Antoine s'était trouvé un nouveau copain qui ne portait pas de dispositif de chasteté et je me disais que je ferais bien d'en faire autant. Je parcourais la liste des premières années, Mike était déjà en main. J'en était pas vraiment surpris, il est pas farouche Mike et il est vraiment craquant. C'est à peu près à ce moment que je voyais Liam. Un petit gars discret, un tête de moins que moi, un corps très mince, musclé mais très mince. Il paraissait plus jeune que mon frère mais en fait il avait l'âge de Bob.

Il s'était glissé discrètement à côté de moi et s'arrangeait pour n'être jamais loin quand je sortais du studio. Quand d'un geste maladroit je laissais tomber mes deux béquilles en même temps, il arrivait sans prévenir. J'étais en équilibre sur un pied, il me ramassait mes béquilles avant que je n'ai le temps de réagir.

Liam : Tu sais Djé, tu peux t'appuyer sur mon épaule si tu veux, j'en ai pas l'air mais je suis solide.

Solide, il l'était, sa musculature était mince, fine mais c'est pas pour ça qu'il n'était pas costaud. C'était un bel athlète, cheveux courts, pas de barbe. J'en profitais et j'utilisais l'appui sur son épaule pour réajuster ma chaussure. En fait il n'y avait pas besoin de réajuster quoi que ce soit mais je voulais tâter le bestiau … Bon ça va j'ai honte de ce que je viens de dire mais c'est vrai quoi, depuis deux mois, pardon je voulais dire trois mois, j'avais bien un peu tripoté la bitte à Gérôme, sinon … Rien !

Et le petit Liam, me semblait bien mignon.

Donc, après m'être assuré que le petit gars était solide je l'invitais à me suivre. On s’arrêtait boire un verre dans un café, puis je retournais au studio. Liam  me suivait.

J'en ressortais plus de trois heures plus tard. Il m'avait attendu devant la porte, j'avais autour du cou une sorte de sacoche, c'était pas très pratique avec les deux béquilles, Liam se proposait pour me la porter … Il est pas mignon ce petit gars !

Il me suivait, on parlait.

Je finissais par l'inviter pour le souper à la maison. Toute l'équipe soupait dans le réfectoire de l'école, moi je soupais en tête à tête avec un petit jeune très mignon. Stéphane ( mon majordome provisoire ) m'avait répondu … '' Bien Monsieur je vais faire le nécessaire pour que deux soupers soient prêts '' . Il est toujours un peu coincé Stéphane, on a même l'impression quelquefois qu'il s'est coincé un parapluie dans cul, mais c'est seulement une manière de parler … Enfin j'espère pour lui !

Il avait fait ça bien Stéphane, une table, deux couverts, juste à côté de la baie vitrée, deux bougies, et un repas digne des meilleurs restaurant. Sur ce dernier point il n'avait rien à envier à Charles.

Avec Liam on discutait tard, Stéphane n'avait pas assuré le service mais tout était prêt. Pour Liam j'étais sa star, il voulait suivre mon exemple, c'est à cause de moi qu'il avait voulu entrer dans cette école et au moment ou nos deux mains se touchaient en voulant attraper la bouteille il ne retirait pas la sienne. Au contraire même.

Brusquement on ne parlait plus, on se regardait dans les yeux, on se souriait, imperceptiblement on se penchait en avant, nos visages s'approchaient,  je penchais la tête vers ma droite, il en faisait de même nos lèvres se touchaient et nous échangions un baiser d'une incroyable douceur.

Au fait c'était qui ce Gérôme dont je vous parlais un peu plus tôt ?

Il n'y avait plus que Liam.

Moi : Tu veux dormir ici ?

Je lui donnais un baiser.

Liam : Je ne voudrais pas déranger !

Il me donnait un baiser.

Moi : Tu ne me déranges pas du tout !

Je lui donnais un baiser.

Liam : C'est vrai que l'appartement est assez grand.

Il me donnait un baiser.

Vous imaginez que ce petit jeux devait durer encore un moment avant qu'on décide de se lever de table. Et là on ne disait plus rien … On se donnait des baisers, je le tenais dans mes bras, ça me faisait bizarre, il était tout menu, tout mince, il faisait une tête de moins que moi. La plus grande partie des garçons que j'ai tenu dans mes bras était soit dans ma taille soit plus grands. Mais lui … C'était pas désagréable pour autant.

Liam : Tu vas réussir à boiter jusqu'à la chambre ?
Moi : Je vais essayer, tu est prêt à me soutenir ?
Liam : Pas de problème, j'en ai pas l'air mais je suis costaud. Tu verras, l'année prochaine je ramène une médaille aux altères … Les premières années en général ne participent pas, même s'il y a des exceptions.

Je sautais sur un pied jusqu'à ma chambre, il me suivait l'air un peu amusé.

Liam : Ouah la baignoire, j'y crois pas !

J'enfilais une capote sur ma jambe ( le plâtre ) puis on se retrouvait tous les deux, à poil, face à face dans le bain moussant. On ne se lâchait pas des yeux, il avait un petit sourire malicieux et se décalait vers sa gauche, je me décalais vers ma droite. On finissait par se retrouver côte à côte.

Là ce n'était plus que caresses, câlins, baiser sur les lèvres, dans le cou, sur l'épaule. Le sol autour du bain bouillonnant a été rehausse, on peut donc se retrouver allongé sur le sol, les pieds dans l'eau. C'est dans cette position qu'il était quand je me penchais sur lui. Les bras en croix, il me laissait le câliner.  Je caressais son corps avec le bout de mon nez et le bout de ma langue, il respirait doucement en poussant quelques petits gémissements de temps à autre.

Je le chevauchais et ne regrettais qu'une seule chose. Il avait un dispositif de chasteté, mais ça je le savait déjà. Il chausse petit … du deux … il a une petite bite qui doit faire quinze centimètres de long, pas plus. Il ne faut pas oublier que j'ai participé à la conception des ces dispositifs. Mais c'est vrai que si d'habitude je fantasme sur les grosse bittes, avec un dispositif dessus, la taille à tout de suite moins d'importance.

Mes mains couraient sur ses cuisses, à l'extérieure de ses cuisses, à l'intérieur de ses cuisses. Je soulevais son bassin, posais ses chevilles sur mes épaules et lui caressais les fesses. J'y glissais un doigt puis deux. Juste au fond de sa grosse ride naturelle. Il me laissait faire.

J'insistais sur l'ouverture de son petit trou du cul, je le sentais se contracter, avec mouvement circulaire du doigt je le massais. Il me répondait par de petits gémissements. Je me lubrifiais un doigt et l'enfonçais avec force et douceur bien à fond. Un long gémissement de sa part suivait. Je sentais son muscle se contracter autour de mon doigt.

Il relevait la tête, passait sa main sur ma nuque et me tirait vers lui, je lui massais la prostate, on s'embrassait.

J'attrapais un harnais et un gode. Ce soir je me fait défoncer les fesses, je me disais … Voyant cela Liam ouvrait des yeux tout ronds.

Liam : Ne bouge pas et laisse moi faire. C'est délire ce truc, j'ai toujours voulu essayer.

Je me disais '' Là c'est sympa, il va se le fixer et je vais me faire encules ce soir, ça commençait à me manquer tout ça. ''

Mais il ne se fixais pas le dispositif, il me le fixais. '' Bon on va commencer dans ce sent alors … Pff ''.

On inversait la position, c'est moi qui me retrouvais allongé sur le sol. Il me câlinait comme je l'avais fait un peu plus tôt. Il m'embrassait sur tout le corps, me lubrifiait la prothèse ( je parle là du gode qu'il avait fixé à mon harnais ), ensuite il prenait position et s'empalait doucement, il prenait bien son temps. Je le voyais relever la tête, il râlait de plaisir. Le gode s'enfonçait doucement, à chacun de ses mouvements un peu plus. Je ne bougeais pas je le regardais faire, tout au plus je lui caressais les cuisses pour l'encourager.

Il prenait son pied et moi je regrettais de porter ce dispositif, c'était encore une de ces soirées ou je me serais damné pour pouvoir le retirer, j'avais envie de  l'enculer avec ma vraie bitte. Vous imaginez bien qu'avec ce genre de truc je ne ressentais rien. Mais quand je dis rien … Lui il aimait moi j'étais en manque. Je relevais mon bassin, doucement au début puis plus vite. Il glissait, peut être volontairement et se retrouvait entièrement empalé sur le gode. Je relevais alors le torse et le prenais dans mes bras, il croisait ses pieds dans mon dos, on s'enlaçait.

Je basculais mon bassin d'avant en arrière, il gémissait, il couinait, il me serrait dans ses bras fins mais terriblement musclés. Je lui caressais les cheveux, et l'embrassais dans le cou. Chacun prenait un vrai plaisir à sentir à sentir la peaux de l'autre sur sa propre peau.

Par moment je le sentais contracter les muscles de ses cuisses, il se soulevait légèrement et se laissait retomber. Ses gémissements devenaient plus bruyant, ses caresses plus désordonnées, ses baisers plus passionnés. Il tremblait, frémissait je le regardais avec passion il faisait des grimaces, fermait les yeux et fronçait les sourcilles.

Brusquement il ouvrait la bouche et poussait des râles de plaisir, il se contractait, tout son corps se contractait. Il se cramponnais à  moi, je le serrais fort également et je sentais un liquide couler sur mon ventre, il jutait et je vous garantis qu'il jouissait en même temps.

Il s'effondrait sur moi, sa tête sur mon épaule, le moindre de mes mouvements lui arrachait alors des cris et lui provoquait des tremblements incontrôlés. On ne bougeait plus.

Un peu plus tard il se retirait, ses jambes tremblaient et j'ai bien cru qu'il n'y arriverait pas mais il se relevait.

On se lavait rapidement, puis il me prenait la main et m'entraînait vers le lit, j'avais toujours le harnais dans la main, prêt à le lui enfiler pour me faire plaisir. Je vous rappelle qu'au début je voulais me trouver  un mec qui ne porterait pas ce dispositif de chasteté !

On s'allongeait l'un à côté de l'autre, encore des câlins, encore des caresses, il tirait la couette sur nous, se blottissait tout contre moi. Les quelques bouts de sa peau que je voyais me faisaient penser à une fille, non pas qu'il était efféminé, oh non mais il était totalement imberbe, naturellement imberbe. Il n'avait pas plus de deux ou trois poils sous les bras, pas d'avantage autour du sexe et sur le menton … pas un !

Je sentais cette douceur de peau particulièrement extraordinaire et ma queue protestait encore plus fort dans sa cage. Il s'endormait, je n'osais plus bouger.

Oui bien c'est très beau ces passages romantiques, mais je vous jure que ce soir là ça m'a gavé. J'ai pas dormi avant … tard , très tard dans la nuit. Ma queue s'est manifestée toute la nuit, me rappelant que le gode au départ je me le gardais pour moi … Me rappelant que ça faisait trois mois que personne n'avait touché à mon cul … Me rappelant j'étais en manque !

C'est toujours pareil ! J'arrive jamais à me faire enculer quand j'en ai envie moi. C'est pas la première fois que ça m'arrive, mais je suis maudit ou quoi ? Non mais c'est vrai ça il faut que je fasse quoi ? Que je sorte au bordel ? … Tiens c'est une idée ça il faudra que je me renseigne …

Je me souviens avoir râlé dans ma tête pendant une bonne partie de la nuit. Je n'osais pas bouger, je n'osais rien dire, j'avais peur de le réveiller, il était si mignon endormi dans mes bras.



Ep 87 : LIAM



Quand je me réveillais c'était l'enfer, j'avais contre moi le corps très doux de Liam, tout contre moi. Je sentais sa cage contre ma cuisse, il avait l'air détendu alors que moi … Dans sa cage ma queue protestait. J'aurais voulu vous y voir, je n'avais pas tiré mon coup depuis … Oui bon là d'accord, on ne se pose plus la question … Mais je ne m'étais rien pris dans le cul depuis … ? Bein oui là vous comprenez mieux de quoi je veux parler.

Et dans mes bras il y avait un corps d'une incroyable douceur, gabarit jeune femme mais c'était un mec, et musclé comme je les aime. Sans le grand confort de mon dispositif ce serait insupportable. Et déjà c'était pas loin. 

Je ne sais pas comment il fait Stéphane, le petit déjeuner était prêt mais lui était déjà reparti. Comme il ne savait pas combien on serait, avec les trois autres occupants de l'appartement qui pouvaient ne pas dormir ici en ce moment, il avait prévu large. Une grosse brioche avec de la confiture. On n'était que deux et on s'est gavé !

Luc téléphonait.

Luc : Tu ne m'oublies pas j'espère ?
Moi : Mais non je ne pense qu'à toi !
Luc : Ça c'est pas la réponse que j'attendais.

Ils avaient traîné tard la veille, surtout Luc qui avait finalement dormi à son bureau. Ils ont un petit coin réservé au cas ou … Le reste de mes colocataires avaient dormi à l'internat. C'était plus simple, comme ça ils restaient en équipe.

Liam avait bien sûr son permis de conduire aussi je lui confiais ma voiture. Il conduisait bien et ça me faisait plaisir de me faire conduire. Arrivé aux studio, je ne voulais pas le laisser tomber et lui proposais donc de me suivre.

Il avait l'air de se faire chier grave le pauvre, j'étais bien embêté, je ne savais pas quoi faire … C'est alors que Bob est arrivé, ils se connaissaient ces deux là, finalement Bob s'est occupé de mon nouveau doudou, il l'a emmené visiter les installations. 

Le midi Luc nous invitait à la cantine de la télé. Alors ça c'est bien lui, soit il se contente d'une cantine soit il lui faut un restaurant d'au moins trois étoiles. C'est quelque chose quand même ! Mais bon, c'est vrai qu'on ne mange pas trop mal à la télé.

Luc : ( à mon oreille ) Alors c'est ton nouveau doudou m'a dit Bob.
Moi : Ouép !
Luc : Tu m'étonne un peu là !
Moi : Ouép !
Luc : Et ça se passe bien entre vous !
Moi : Ouép ! … On va se marier !
Luc : G … N … 
Moi : Ouép !

Il faisait une tête, je ne vous dis pas. Je pouffais de rire.

Moi : Mais non, je déconne !
Luc : Dommage, on aurait fait ça à quatre !

Là c'est moi qui devait faire une drôle de tête et qui ne savait pas quoi dire. Luc pouffait de rire.

Luc : Mais non, je déconne !

Bob et Liam nous regardaient, ils n'avaient rien entendu et ne comprenaient pas pourquoi on rigolait.

Liam : Ils semblent très complices.
Bob : Ils sont frères.
Liam : Oui ça je le savais. Mais c'est grâce aux relations de Luc que Djé est entré à la fac ? 
Bob : Là moi … pas compris !
Liam : Si j'ai bien suivi, Luc est venu travailler ici et son jeune frère est venu étudier dans la même ville pour rester en famille …
Bob : Nan ! Là c'est la première fois qu'on nous la fait celle là !

Luc et moi nous regardions.

Moi : Mais qu'est-ce qu'il raconte ?
Luc : Le grand frère c'est Jérémy. Pas moi !

Il est vrai que mon frère parait plus vieux à la télé mais on a tout de même plus de quatre ans d'écart. De là à croire que je suis le plus jeune. Il faut dire aussi que la carrière de mon frère a été particulièrement rapide. Ça fait un an qu'il a commencé la télé, juste un an.

Bref, on expliquait tout ça à Liam qui n'avait pas tout surpris, il avait loupé un épisode le pauvre, il savait bien que j'étais en quatrième année mais il avait pensé que mon frère était là avant et qu'il ne commençait à devenir célèbre que maintenant.

Liam : Alors Luc est plus jeune que moi ? J'y aurais pas cru !
Bob : Luc vient juste d'avoir dix neuf ans. 
Liam : J'ai passé les vingt ans. Je croyais qu'il était plus vieux que moi !

Luc semblait amusé qu'on le trouve plus mature.

Pendant toute la compétition Liam a dormi avec moi. Ça m'a fait un bien fou. Depuis trop longtemps je dormais seul, depuis trop longtemps je n'avais pas caressé une peau aussi douce, depuis trop longtemps je m'étais privé de ce contacte. Pendant la compétition on était un peu comme en vacances.

L'internat était transformé en résidence pour sportif, les nouvelles installations n'étaient pas terminées mais on avait trouvé de la place sans problème et Liam se faisait une joie de laisser la sienne pour profiter de celle que je lui faisais dans mes bras. 

On prenait tous nos repas ensemble, on s'endormait ensemble, mais le meilleur moment c'est quand on se réveillait … Ensemble !

Si on se réveillait assez tôt on en profitait pour faire un câlin. Bein je suis câlin également, vous en doutiez sans doutes ?

Ce matin on se réveillait tôt pourtant on avait décidé de nous lever tard. Il se glissait sur moi, contre moi. J'étais allongé sur le dos, il s'allongeait sur le ventre, sur moi. Il était léger, quand je pense qu'il était capable de soulever des altères que j'avais du mal à déplacer … 

Non je déconne, mais c'est vrai qu'il était très fort aux altère ou au lancer du marteau, pourtant il était gros comme rien. Il m'avait impressionné quelques jours plus tôt en me montrant ce qu'il pouvait faire, avec son poids plume il ne nous apporterait pas de médaille mais c'était pas le plus important. 

Il me caressait les bras, m'embrassait dans le cou, sur les épaules, sur la bouche. Il se laissait aller à un moment de tendresse, je lui rendais ses baisers autant que ses caresses, on se tenait fermement. On roulait l'un sur l'autre, je n'avais pas peur de l'écraser, je sentais ses muscles, il pouvait supporter mon poids sans effort et quand  c'est lui qui était sur moi, j'étais toujours surpris de sentir toute cette force dans ce poids plume.

Il attrapait au passage le harnais et un beau gode. J'étais sur le dos, il me chevauchais, il se relevait les genoux posés de chaque côté de mon bassin. Avec un regard un peu coquin il se fixait le harnais, l'ajustais bien puis y fixait le gode. 

Je regardais dans les yeux, je lui caressais les cuisses en insistant bien sur l'intérieur de ses cuisses, un peu sur ses couilles aussi. Il me souriait.

Liam : Retourne toi !

Je m'exécutais, je m'allongeais sur le ventre, j'écartais les jambes. Il n'avait pas pris un gode trop gros, pas le tout petit non plus là il ne faut pas exagérer, un beau petit truc de dix huit centimètres.

Ah , il y en a qui trouvent ça gros parmi mes lecteurs … Bande de petites natures !

Bon je reprends, j'en était à … Ah oui, un petit gode donc … 

Il savait s'y prendre le petit Liam, et commençait par me caresser sur tout le dos, il me couvrait de baisers également, je poussais de petits gémissements pour lui faire savoir que j'appréciais.

Rapidement pendant que ses baisers devenaient plus intenses dans mon cou il me glissait une main entre les fesses et me lubrifiait abondamment. Il s'allongeait alors sur moi, je sentais la douceur de sa peau, la chaleurs de ses caresses, la tendresses de ses baisers et la force de ce truc qui appuyait contre mon anus, qui poussait. Je me détendais et le laissais passer, le gode entrait alors  doucement, je ne le laissait pas forcer je le laissais passer.

Je me sentais alors envahi avec force et douceur, mon muscle anal était massé avec douceur et me procurait aussitôt un immense plaisir. Je gémissais de plus en plus fort, son ventre s'écrasait sur mes fesses, il appuyait de tout son poids, de tout son poids plume.

Je relevais la tête, poussait une longue plainte de plaisir, je retournais la tête, il a penché la sienne vers moi et m'a embrassé longuement, tendrement, avec passion. Il continuait à faire des mouvements de bassin, d'avent en arrière, sans ressortir pour autant gode de mon cul. Il me massait la prostate autant que le muscle de mon cul. C'était bon, tellement bon …

A cet instant j'ai joui, j'ai éjaculé aussi, il a senti que je frémissais et il a accéléré le mouvement. Je suis alors retombé, le visage entre deux oreillers en râlant de plaisir. 

Il continuait ses mouvements, le gode entrait et ressortait doucement, je ne frémissais plus je tremblais. Je tremblais de plus en plus. Mes mouvements devenaient incontrôlables, c'était bon. Je jouissais, je jouissait sans fin, depuis mon anus en remontant sur tout mon dos que la douceur de sa peau caressait avec fermeté, en continuant sur mes épaules, mon torse, mon ventre et l'intérieur de ma bitte, je jouissais et j'avais l'impression d'une douce éjaculation qui n'en finissait plus.

Liam était peut être jeune mais il savait ce qu'il faisait. Il restait concentré sur mes moindres réactions, sur le moindre de mes gémissements, sur chaque tremblement qui trahissait le plaisir qui m'envahissait.

J'étais pris de convulsions, de violent et rapides mouvements de mon bassin. Suivait un coup de rein de sa part. Je râlais.

Une tentative de fuite, il me retenait. Il jugeais sans doute que c'était trop tôt pour mettre fin à cette étreinte. Je sentais sa force. Il était bien plus frêle que moi mais il était certainement aussi fort que moi et même peut être plus. 

Il me retenait de toutes ses forces alors que j'étais pris d'un mouvement que je ne contrôlait plus, toujours ce plaisir intense qui continuait à envahir mon corps, j'éjaculais de nouveau. Je gueulais de plaisir, il ne lâchait toujours pas mais il faisait une pause, il ne bougeait plus, je me calmais, je ne bougeais plus non.

Je retrouvais mon calme, mon cul me procurait toujours une sensation agréable, il ne s'était pas retiré. La chaleur de sa peau devenait brûlante. 

Nous ne bougions plus depuis des heures, des minutes seulement en fait, quand il reprenait ses caresses, son corps glissait contre le mien et le gode recommençait ses mouvements, le gode me massait de nouveau la prostate et m'arrachait un cri de plaisir. Je tremblais de nouveau, mon souffle devenait totalement incontrôlable, j'étais de nouveau pris de convulsion, je jouissais pour la troisième fois, et j'éjaculais encore.

Liam jugeais que j'avais ma dose et se retirait, je restais là amorphe, heureux, je me sentais bien tellement bien. Liam se penchais une dernière fois vers moi et déposait un baiser sur mon omoplate. Il se relevait ensuite et se débarrassait de son équipement .

Il s'allongeait à côté de moi, me regardait et c'est son sourire que je découvrais quand je tournais la tête dans sa direction. Je lui souriais à mon tour. On ne bougeait plus.

La porte de ma chambre s'ouvrait alors avec beaucoup de bruit.

Luc : Debout la marmotte ( en hurlant ).  On se lève !

Il faisait une pause rapide …

Luc : Laissez moi deviner … Je dérange ?

Il est perspicace quand il veut mon petit frère ! J'étais pris d'une crise de fou-rire, Liam également.

Luc : Bon Jérémy, tu n'as pas oublié notre directe à la télé ?

Il ressortait.

Liam : Il est toujours comme ça ?
Moi : Ça faisait longtemps, mais il a fait pire !
Liam : Pourquoi il t'a appelé Jérémy ?
Moi : Parce que c'est mon nom.
Liam : Et Djé ?
Moi : Mon surnom !
Liam : Ah ! Il va falloir se lever ?
Moi : Bein oui !

On traînait encore un peu puis finalement … Il fallait bien se lever.

Sous la douche, je me disais que finalement, ce serait un bonne idée, avec Liam, si je faisais durer cette relation. Je me disais qu'à la rentrée prochaine si on est toujours ensemble ce serait une bonne idée que d'avoir un nouveau colocataire, il ne serait pas le premier externe …

Mais pour le moment on prenait notre … dîner ? … Bein mince alors, on avait sauté le petit déjeuner ! 

Au studio, Luc faisait sa star comme d'habitude, il annonçait les résultats des compétitions, et me nommais volontaire pour la distribution des médailles. J'étais pris de cours mais j'étais aussi pris au piège, on était en directe à la télé. 

La cérémonie se voulait rapide et sans trop de protocole, la compétition prenait fin et les participants avaient surtout envie de faire la fête. Luc faisait un dernier petit discours, tout petit discours, il sait faire court quand il faut. 

La compétition était officiellement close. 

On s'attendait à ce que j'apporte quelques médailles et c'est vrai qu'on faisait un peu moins bien que l'année précédente mais on se taillait toutefois la part du lion. Trois médailles sur dix alors qu'on ne représentait que un participant sur six … Nos concurrents devenaient de plus en plus forts.

Pas mal ! 

On reprenait notre vie studieuse, Liam participait désormais à toutes les soirées que nous organisions. Il passait aussi ses week-end avec moi. On devenait très proche, inséparable.



Ep 88 : AMOUREUX


J'ai passé un dernier trimestre particulièrement agréable. Liam participait à toutes les soirées que nous organisions, ce privilège le rendait très populaire auprès de ses camarades, pour les premières années il y avait aussi Florian qui y participait très souvent et Bob bien sûr. Pour Bob c'était un peu différent, lui en plus était externe et habitait sur place. 

Il n'était pas rare que Liam termine la nuit avec moi et le week-end, on se le réservait. Comme à une époque, dans une autre vie sans doute, on se retirait tous les deux dans un hôtel que je connaissais bien, les raisons étaient toujours les même, comme à l'époque de Léa, si je voulais être tranquille il fallait que je m'éloigne de la ville. 

J'en profitais pour retrouver la boutique ou Léa avait acheté le '' Gigoteur '', j'en achetais tout un lot. 

N'allez pas vous imaginer que c'était par gourmandise, un seul me suffit, mais j'avais compris que ça pourrait intéresser plein de monde. 

Dans l'hôtel ils ne posaient pas de questions, je pense même qu'on peut dire qu'ils ne se posaient de questions. Je prenais une suite, on était deux, bien sûr il n'y avait qu'un seul lit mais … N'étions nous pas porteurs de PK tous les deux ? Donc moralement irréprochables ! Au dessus de tous soupçons !

C'était là une bien étrange morale que j'avais largement contribué à faire apparaître. Mais finalement tout le monde semblait s’accommoder de cette nouvelle manière de voir les choses. Deux garçons ensemble … '' Ils seront forcément sages, comment pourrait-il en être autrement ? '' … Un couple homme femme non mariés, c'était pareil …

Bien sûr pour le reste, les détails qui auraient pu paraître scabreux, on préférait fermer les yeux. La morale préférait ne rien voir, ne rien savoir …

On évitait seulement de se faire des câlins en public.

C'était une période de sérénité et de paix pour moi. Liam semblait beaucoup aimer aussi. J'avais passé des périodes de grosse paniques médiatiques, d'agitations sociales ou je me trouvais dépassé tant il y avait de monde autour de moi, ou je me trouvais en manque de contactes ou en manque de tendresse. Pendant cette période, rien de tout cela !

Liam est un garçon adorable, un jour ou il m'accompagnait à une séance photo ( je pose toujours pour la mode ou pour des pub ). Le photographe qui avait carte blanche a remarqué mon doudou.

David Badmington : ( Ep 43 ) Toi là tu veux bien te mettre torse nue !

Liam ne faisait pas de manière, il n'avait pas vraiment honte de sa silhouette à la fois fine et musclée. C'était parti Badmington prenait quelques clichés et les coordonnées de Liam. 

Un peu plus tard sur la route du retour. Liam conduisait.

Liam : Tu le connais bien Badmington ?
Moi : Oui ça fait quelques années qu'on travaille ensemble.
Liam : Les photos dans la presse …
Moi : C'est lui qui a fait pratiquement toutes les photos de moi qui ont été publiées.
Liam : Et tu crois qu'il va me proposer quelque chose ?
Moi : Ça ne m'étonnerait pas.

C'était pas le premier de mes proches qui commencerait une carrière de mannequin. Au fait Bob continuait sa petite carrière de mannequina. C'était super bien payé et quelque temps plus tard on les voyait défiler ensemble. Bob qui est un garçon adorable comme vous le savez lui expliquait tout ce qu'il fallait savoir pour s'en sortir dans ce boulot. 

J'ai vraiment été heureux à cette époque. Je n'avais plus envie de retirer mon dispositif, il était vraiment devenu un partie de moi-même. Mon amant en portait un aussi et ça ne nous empêchait pas  de partager beaucoup de plaisir.

Il y avait bien sûr toujours cette frustration. Ma queue tentait toujours de se redresser, quand je touchais par exemple la peau de Liam, cette peau si douce, ces muscles si fermes. Quand je voyais ce visage souriant, ce regard si doux … Quand je touchais de mes lèvres la gorge de Liam, oh pas pour la mordre, non. Juste pour y déposer un baiser. Un baiser qui souvent était suivi par un autre baiser sur l'épaule.

Si je me serrais alors contre lui je sentais sa cage de chasteté qui tentait de se relever. Je n'étais pas le seul à être sous pression. Notre plaisir tactile se concentrait sur nos torses, et quand nos torses se touchaient, quand ils se caressaient l'un contre l'autre, ce contact nous électrisait autant l'un que l'autre. Nos mains se promenaient sur le dos de l'autre. A ce moment nos deux cœur se synchronisaient, la même vitesse, le même force et nos respirations devenaient plus fortes.

Nos ventres se serraient également, nos bras parcouraient le corps de l'autre et malgré ce petit truc en métal qui ne se laissait pas oublier, jamais … Malgré ça, on ne semblait plus faire qu'un, qu'un seul corps, celui de chacun  comme mêle à celui de l'autre. Nos cages se relevaient après s'être bien rempli sous l'effet de la pression. Par moment il y avait comme un léger désespoir qui se manifestait mais ce n'était que quand j'étais seul.

Quand Liam revenait dans mes bras, c'était le bonheur, le plaisir, le désir, un peu de frustration que la douceur de son corps ne parvenait pas à me faire totalement oublier, à moins bien sûr que ce ne soit ce qui justement entretenait cette frustration. 

Frustration qui ne nuisait pas au plaisir que nous partagions, et aux orgasmes que nous savions nous donner et peut être même, frustration qui sublimait nos plaisirs partagés. 

Combien de fois j'ai frémi de désir en voyant Liam, ces moment ou je ne pouvais que le regarder, que le caresser de mon regard, il le savait, il le sentait, il ressentait chacune de ces caresses rêvée, son regard me le disait, son sourire me répondait.

Ce soir en particulier ou il fallait se tenir. L'ambiance était décontractée, c'est une obligation chez moi ! Mais ce soir là en particulier, nous n'avions invité aucun élève, sauf Liam et Bob mais Bob était chez lui et Liam un peu aussi … Il y avait le maire de la ville chez moi ce soir, le directeur de la banque, Greg, les deux directeurs de l'école ( un des deux aurait du passer la main mais en attendant ils étaient toujours deux ), c'était une soirée … un peu politique si j'ose dire … quelques notables de la ville principalement. Il faut savoir soigner les relations, et j'en avais beaucoup. 

En tout cas ce soir là, ce n'était pas le soir ou je pourrais toucher la main de mon amant, lui caresser le bras. Il avait les bras nus, il portait juste un T shirt lycra, on pouvait voir chacun de ses muscles. Il n'avait vraiment pas à avoir honte de les montrer, dans les revues pour lesquelles il posait il ne les cachait pas, bien au contraire. Il était beau, tellement beau.

Et ce soir là, même si on dormait souvent ensemble, j'avais envie de lui sauter dessus et de lui arracher ses vêtements. Je m'étais déjà trouvé dans ce genre de situation mais à l'époque j'étais en manque, là, je l'avais pour moi tout seul trois ou quatre nuit par semaines, mais c'est vrai que les autres nuits j'étais en manque de lui.

Il l'avait deviné, de la même manière que je devinais que ses désirs étaient les même que les miens. Mes yeux caressaient ses avant bras, ses bras, ses épaules avant d'embrasser chacun de ses muscles que le lycra dessinait si bien. 

Je voyais aussi que ses yeux suivait le même chemin sur mon corps, et je sentais ses caresses autant que les baisers que ses yeux déposaient sur moi.

Mon souffle devenait presque plus fort, ça me donnait un air plus sérieux devant tout ce monde. 

Antoine avait le regard rieur, ses yeux passaient de moi à Liam, il me connaît bien Antoine et son sourire me laissait deviner qu'il entendait mes pensées. 

Bob, charmant comme toujours, avait choisi de s'installer à côté de Liam pour qu'il ne se sente pas trop mal à l'aise. Il n'y avait comme je vous le disais que des personnages importants de la ville ce soir là, et le service était assuré par deux majordomes.

Luc était très en forme et parlait boulot, il passait du reportage sur la construction de la nouvelle école à la construction des prochaines installations sportives ou d'un livre qu'il devait publier prochainement, enfin c'est surtout Luc qui animait la soirée, et ce soir là je prenais conscience qu'il devenait plus important que moi auprès des notables. Il m'avait volé la vedette !

Je n'en prenait pas ombrage, bien au contraire. Mais c'est vrai que je ne l'avais pas venu venir celle là ! Moi mon regard se perdait dans les yeux de Liam, je m'y noyais … Je n'ai rien compris de tout ce que mon frère à raconté ce soir là mais je l'ai soutenu sur tout, j'ai acquiescé à tout ce qu'il disait et au moment ou j'ai failli dire une grosse connerie parce que je n'avais rien écouté, Antoine est venu à mon secours, il m'a coupé la parole pour m'éviter de me retrouver hors sujet .

C'est bien de voir qu'on peut toujours compter sur ses amis ! 

Comme d'habitude tout était prévu pour que nos invités se sentent bien et comme d'habitude tout se passait bien. Luc avait réussi à convaincre je ne sais pas qui de je ne sais pas quoi et quand il me demandait ce que je pensais de son idée, je lui répondait …

Moi : Tu as toujours de bonnes idées là Luc, je suis tout à fait d'accord avec toi et je te soutiens totalement …

A voir la réaction du petit groupe concerné je n'avais pas dit de conneries, j'espérais seulement ne pas avoir pris d'engagement à mon insu. Par la suite j'ai préféré ne rien demander à mon frère et je n'ai jamais su de quoi ils parlaient ce soir là. 

La nuit avançait quand tout ce joli monde quittait la maison.

Il était tard et Liam choisissait de rentrer à son internat. Je ne sais pas si c'était la fatigue ou la présence des deux directeurs et qu'il ne voulait pas se faire remarquer mais j'aurais bien aimé qu'il reste. J'avais promené mes yeux sur son corps toute la soirée et ma queue protestait déjà dans sa cage, il me manquait . Il me manquait quand il n'était pas là. Mon cœur battait plus fort quand je le voyais. Je me sentais tellement bien quand on se touchait …

Ça veut dire quelques chose tout ça selon vous ?

C'est nouveau pour moi ce genre de sensation !

Pour une fois c'est peut être pas juste une histoire de cul cette histoire !

J'avais du mal à m'endormir cette nuit là. J'avais le visage de Liam devant les yeux, quand je fermais les yeux c'est son sourire qui apparaissait, quand je me blottissais dans mes couvertures c'est la douceur de sa peau que je ressentais contre la mienne …

Quand je le revoyais le lendemain j'avais le souffle court et le cœur affolé. Là j'étais heureux et ma cage se rappelait à ma conscience !

L'année scolaire allait se terminer, je proposais à Liam de passer les vacances avec moi. 

Moi : On pourrait partir en voyage, on a la voiture, on est deux chauffeurs …
Liam : C'est pas possible, tu te souviens de ces contrats que tu m'a fait avoir, on me demande pour un défilé, Bob aussi devrait y participer, ce sera pendant la deuxième semaine de vacances …

Nous étions à la maison et Charles arrivait avec le courrier.

Charles : Djé, c'est pour toi, l'agence de mannequin ! … Tient, il y en a aussi une pour Luc … Et encore une pour Antoine …

J'ouvrais le courrier. Et regardais Liam.

Moi : Et bien je crois que ça ne devrait pas gêner, on me propose aussi le même défilé que toi.

Finalement c'est toute l'équipe qui participait à ce défilé de mode. Je pouvais voir que Liam commençait à s'y faire, il s'en sortait comme un vrai professionnel.  

Pour moi c'était pas facile, pas le boulot non, ça je connais mais c'était Liam. Il fallait rester professionnel, je le croisais, je le frôlais, j'avais à chaque fois envie de le prendre dans les bras, surtout que c'était pour des vêtements d'été, des vêtements léger qui ne cachaient que très peu le corps. Je le voyais se changer et à la maison quand il s'habille je ne me gêne pas de lui glisser un baiser sur l'épaule ou dans le cou, là il fallait rester professionnel. 

Je bandais, rien ne se voyait mais je bandais dans ma cage, ma queue protestait, il me souriait à chaque fois qu'il me croisait, à chaque fois qu'il me frôlait. Et à chaque fois je bandais plus fort. Ma frustration était à son maximum. Je rêvais en regardant Liam quand je recevais une claque sur les fesses … '' Et bien alors tu rêve ma grosse ! ''

Non c'était pas Luc mais vous n'étiez pas loin, c'était Antoine ! Il avait remarqué que je n'étais pas comme d'habitude. C'est vrai je rêvais sur le corps de mon amant, je m'étais laissé allé alors qu'il fallait rester professionnel.

Mais bon je redevenais professionnel mais j'avais du mal, surtout quand on arrivait au vêtement de plage, les maillot de bains, les shorts étaient alors les seuls vêtements que nous portions, bien sûr devant les spectateurs on était en tenue convenable mais dans les coulisses il fallait bien nous changer. 

J'ai souvent vu mes camarades à poil, mais là je ne pouvais me retenir d'admirer les fesses de Liam, il a un beau cul vous savez et je voyais sa cage se relever, il bandait, enfin il essayait, j'en faisait de même, je ne contrôlais plus rien de ce côté, heureusement, même en maillot de bain rien de transparaissait. Il faut savoir rester professionnel et là le dispositif, ça aide !

Finalement je vous rassure, je suis resté très professionnel. Personne n'a rien remarqué, sauf peut être … Juste après le défilé, on avait salué, on s'était rhabillé, on avait participé à la petite sauterie qui suivait … la dégustation champagne et petit gâteaux … On allait repartir quand mon frère me rattrapait.

Luc : Ça va Jérémy ? Je t'ai trouvé bizarre aujourd'hui ! Comment dire ? Distrait !
Moi : Oh oui, ça va très bien je te rassure, tout va bien !
Luc : Alors c'est que tu es amoureux !

Luc venait de lâcher une bombe, je le regardais l'air hébété, complètement tétanisé mais lui n'y portait aucune attention il continuait son chemin vers sa voiture, tranquille … C'est tout Luc ça !

On retrouvait les voitures, Liam prenait le volant, sur la route je le regardais et je repensais aux paroles de mon frère. Finalement il avait peut être raison ... 



Ep 89 : UNE RUPTURE


Pendant tout le trajet du retour je regardais Liam sans rien dire. J'avais la phrase de mon frère qui repassait en boucle dans ma tête. 

'' Alors c'est que tu es amoureux ! ''.

Il est pénible mon petit frère, il est capable de balancer un bombe comme celle-là et après de continuer sa route comme s'il n'avait rien dit. Il est pénible mais le pire c'est qu'il avait peut être raison sur ce coup. 

Soyons lucide, quand je ne le vois pas il me manque ( là je parle de Liam mais vous l'aviez deviné ), quand je le vois mon cœur bat plus fort et plus vite, quand je le touche c'est tout mon corps qui tremble et j'éprouve alors une sensation de bonheur. Oui de bonheur pas seulement de plaisir !

Quand j'entends sa voix, quand son regard croise le mien, quand nos corps se touchent, quand nos lèvres se rencontrent … Quand … !

Bon ça va ! Mon petit frère à raison je suis raide dingue de Liam !

Je le regardais conduire, il était concentré, il conduit bien mais il faut dire que tout ce qu'il fait, il le fait à la perfection !

Ça c'est peut être pas toujours vrai mais pour moi ça l'est ! Et ne me dites pas le contraire sinon je me fâche !

Liam jetais un regard dans ma direction et me souriait brièvement. Ce regard furtif, ce sourire rapide me faisait monter une bouffée de bonheur là dans mon torse … Là juste à l'emplacement de mon cœur et de mes poumons. 

Mais c'est quoi dans ses yeux ? J'ai cru voir une inquiétude, presque rien mais, il me semble … Aurait-il des problèmes dont il ne m'aurait pas parlé ? Je commençais déjà à m'inquiéter. Ça ne devait être qu'une impression, une idée que je me faisais, si quelque chose n'allait pas il m'en aurait parlé.

Je continuais à le regarder conduire. 

Liam : Tu ne dis rien Djé ?

J'avais entendu sa phrase et le plaisir que m'avait donné le son de sa voix me confirmait que j'étais vraiment raide dingue de lui, j'en oubliais de lui répondre.

Liam : Tu me regardes d'un air bizarre je trouve.
Moi : Non !
Liam : Tu vas bien tu es sûr ?
Moi : Oui !
Liam : Il fait chaud, tu veux que je mette la clim ?
Moi : Hum !

Pendant le reste du trajet il ne disait plus rien. Plus on roulait plus son visage se refermait. Arrivé à la maison son visage s'était complètement refermé. Il ne disait plus rien, il me ne regardait même pas au moment ou il descendait de la voiture, il me tendait la clé et rentrait dans l'appartement, je ne voyais pas son visage, il a un si beau visage, si doux, et des yeux marron clairs comme le ciel ( oui je sais des yeux marron mais ciel quand même ! … ). 

Liam entrait rapidement dans l'appartement, je le suivais quelques instants plus tard et je me retrouvais face à Charles qui avait l'air inquiet.

Charles : Mais qu'est ce qui s'est passé ?
Moi : Hein, rien, pourquoi, de quoi tu parles ?
Charles : Je viens de voir passer Liam, tu ne vas pas me dire que tout va bien ?
Moi : Mais si, tout va bien, je ne comprends pas de quoi tu me parles, enfin expliques !
Charles : Mais … Il était en larmes !
Moi : Liam ? Mais que ? Qu'est-ce que ?

J'entrais dans ma chambre et je trouvais Liam en larme, il faisait ses bagages.

Moi : Mais qu'est ce que tu fabriques ?
Liam : Je te simplifie la vie, je m'en vais !
Moi : Mais pourquoi ? Mais qu'est-ce que ce … ? Je ne comprends rien, pourquoi tu t'en vas ?
Liam : J'ai compris Djé. C'était génial le peu de temps qu'on est resté ensemble, vraiment génial. Mais ça va j'ai compris, tout va bien ne t'inquiètes pas !
Moi : Ah bien si, je m’inquiète si. J'ai fais quelque chose ?
Liam : Non t'as rien fait ! 
Moi : Tu vas m'expliquer ce qui se passe !

Je repoussais violemment son sac, me plantait devant lui et tentais de le prendre dans mes bras. Il se dégageait.

Moi : Liam, ne me fais pas ça ! Dis moi ce qui ne vas pas !
Liam : Je sais que tu as eu de nombreuses conquêtes, des mecs, des filles alors que tu portais ou que tu ne portais pas le dispositif PK.

Il évitait mon regard, et voulait rattraper son sac. Je shootais dedans et il se retrouvait à l'autre bout de la chambre.

Moi : Tu vas me dire ce qui t’arrive.
Liam : J'ai compris Djé, tu n'as pas décroché un mot de tout le retour, pendant le défilé tu as évité tout contact avec moi, si je m'approchais tu te rétractais, tu évitais même de me frôler … Tu ne veux plus de moi !

Je le prenais dans mes bras, il n'essayait plus de se dégager. 

Moi : C'est pas ça Liam, c'est pas ça !

Il avait son visage contre mon épaule et il était en larmes.

Moi : Je t'aime Liam, je suis dingue de toi ! J'ai évité de te toucher de te frôler même parce que si je t'avais, ne serais ce que frôlé, je n'aurais pas résisté au besoin de te prendre dans mes bras. Je n'ai rien dit pendant le retour, je te regardais avec passion et je n'avais rien à dire, ta présence me comblait et me comble toujours. 

Il relevais la tête vers moi.

Liam : Alors tu ne voulais pas rompre avec moi ?
Moi : Mais qui t'as donné des idées pareils ?

Je l'embrassais avec passion, nos deux cœurs se synchronisaient on n'entendait plus que ce battement qui résonnait dans ma chambre. Suivait une étreinte passionnée, ferme, tendre, forte, douce, vraiment passionnée.

Ma bouche se glissait contre son cou, elle cherchait un peu de peau pour l'embrasser. Nous étions en été et nos vêtements étaient légers, ma bouche trouvait facilement toute la peau nue qu'elle pouvait embrasser et je le sentais frémir dans mes bras.

C'était ses bras je que sentais dans mon dos, ses mains qui me caressaient, ses bras qui me serraient contre lui, je ne résistais pas, je le retenais fermement contre moi il ne résistait pas.

La porte de ma chambre s'est ouverte à ce moment mais ni Liam ni moi n'avons bronché. C'était Luc, il devait s'inquiéter et il venait aux nouvelles, j'ai reconnu sa voix quand il a dit … '' Oh pardon ! '' … juste avant de refermer la porte.

Liam et moi ne nous sommes pas lâché, nous ne voulions pas nous séparer, nous étions cramponnés l'un à l'autre. Je me souviens avoir senti le sol se dérober sous mes pieds, il était dans mes bras allongé sur moi, sur le lit.

Je recherchais le contact avec sa peau, il en faisait de même, rapidement nos chemises se retrouvaient à l'autre bout de la chambre. Nous nous serrions l'un contre l'autre, nos deux corps se frottaient. Chacun avec toute sa peau voulait caresser toute la peau de l'autre comme pour s'en imprégner. 

Les pantalons suivaient les chemises, puis c'était les sous vêtements qui … ( oh pardon ) il n'y en avait pas … mais les chaussures oui, ça il y en avait. Nous étions nus, chacun habillé par les caresses et les baisers de l'autre, chacun habillé de la tête aux pieds.

A cet instant il n'y avait rien de sexuel, c'était bien au delà. Ce n'était pas son sexe, son cul que je recherchais, c'était tout son corps que je désirais, tout son corps que je voulais posséder. Je me suis noyé dans son regard à de nombreuses reprises ce jour là mais à chaque fois il me ranimait pas des baisers empreints d'amour. 

Chacun, à son tour, retournais l'autre sur le ventre pour pouvoir lui caresser le dos, l'embrasser, vous savez là entre les deux omoplates, là ou ça chatouille, là ou ça fait frémir et rire. Puis plus bas pour s'arrêter dans le creux des reins, quelques baisers continuaient encore sur une fesse, l'autre. Puis je me retournais pour lui rendre ces baisers qui m'arrachaient des sourires, des fous rires, des éclats de rires …

Il ne résistait pas. Il n'y avait plus de larmes. Je m'exprime mal ... Moi non plus je ne pleurais plus !

Je ne me suis pas attardé sur son cul, je ne me suis pas  non plus attardé sur sa cage ou ses couilles, il en a fait de même. Chacun ne s'est attardé que sur tout le reste du corps de l'autre. Chacun s'est attardé longuement, avec toute la tendresse dont il était capable, avec une tendresse qu'il ne devait même pas soupçonner. Et plus tard quand il s'est relevé, quand il m'a chevauché alors que j'étais sur le dos, quand il m'a regardé et qu'il a alors semblé lui aussi se noyer dans mon regard, notre émotion était telle que j'ai senti un plaisir intense, une jouissance physique. J'ai joui et j'ai éjaculé et en même temps j'ai senti un liquide chaud qui coulait sur mon ventre. Il jouissait et il éjaculait également. Cette émotion que nous partagions était forte, puissante, intense et nous conduisait à un orgasme commun que nous n'avions pourtant pas voulu provoquer.

Il se laissait alors tomber sur moi, ne bougeait plus. Nos deux corps n'en faisaient plus qu'un, nos deux cœurs battaient au même rythme, un seul souffle, une seule respiration pour deux. Nous étions bien et nos deux visages étaient éclairés par un sourire de bonheur.

Mon téléphone sonnait. Je prenais le message, c'était Luc, il me disait seulement … '' A table ! '' … Cette histoire avait du l'impressionner, un autre jour il serait entré comme une furie en hurlant … '' Alors tu viens bouffer ou tu préfère jeûner, je te préviens il n'y aura pas de restes ! '' … Avec Liam nous nous rendions présentables puis on passait dans le salon, non sans s'être donné un baiser rapide avant de sortir de la chambre.

Au salon tous les regards tombaient sur nous. 

Charles qui semblait inquiet regardait tout particulièrement le visage de Liam puis le mien, il y cherchait une information pour l'aider à comprendre et aussi à se rassurer. Il était le seul à avoir vu Liam en larmes. 

Luc et Bob nous souriaient ils devaient se dire que Charles avait sans doutes exagéré la situation. Antoine scrutait mon regard puis …

Antoine : Ça à l'air d'aller tous les deux ! Mais qu'est-ce qui s'est passé ?
Charles : Liam tout va bien ? Tu m'as inquiété tout à l'heure !
Luc : Petite dispute d'amoureux ? Vous m'aviez l'air réconcilié tout à l'heure !
Bob : Ça va Liam ? 

Liam et moi échangions un regard.

Moi : Et si on passait à table ! Tu nous a fait quoi pour ce soir dis moi Charles ?

Vous imaginez bien qu'il a fallu leur expliquer le quiproquo en long en large et en travers pendant le repas. Mais tout allait bien, très bien, j'étais raide dingue de Liam et lui aussi était fou amoureux de moi. J'étais heureux, je ne me demandais même pas  si cette situation allait durer ou pas. Le présent me suffisait.

Quelques jours plus tard Liam faisait ses bagages … Mais il n'était pas le seul, je faisais mes bagages également. On partait en vacances et on partait ensemble. 

Bob me tombait dessus.

Bob : Djé dis moi, je peux partir en vacances avec vous ?
Moi : Je veux bien mais …
Liam : ( il arrivait derrière moi à ce moment ) Pour moi il n'y a pas de problème !
Moi : Bien c'est d'accord mais tu ne veux pas rester avec Luc ?
Bob : Ah non, surtout pas, il va bosser comme un malade, je n'aurai pas une minute pour moi et j'ai vraiment besoin de prendre des vacances. C'est simple soit je vais avec vous soit je vais passer mes vacances au Château. Mais Luc, non, je veux me reposer moi !

Finalement on prenait la voiture à trois, c'est vrai qu'on pouvait conduire tous les trois. On a fait du camping, à la mer, à la montagne, à la campagne, à la ville on logeait dans un hôtel. 

Avec Liam on ne se quittait plus, chaque heure nous la passion ensemble, Bob n'était jamais très loin. Nous avions gardé tous les trois nos dispositifs de chasteté, je n'avais pas emporté de jouets. 

Les nuits avec Liam étaient pourtant très chaudes, quand nous faisions du camping on utilisait deux sac de couchage refermés ensemble, un sac de couchage XXL qui pouvait recevoir notre tendresse, nos caresses, la chaleur de nos baisers et de nos caresses. Souvent la nuit on ouvrait le duvet tant il y faisait chaud.

Finalement on n'était pas très sexe, câlin là oui mais pas très sexe. Nous n'avions pas de jouet et nous décidions donc de faire un peu comme Bob, de pratiquer l'abstinence, enfin sauf au niveau câlin bien sûr. 

Mon torse et mon ventre devenaient une véritable zone érogène, quand Liam s'allongeait sur moi la chaleur de son corps, la douceur de sa peau faisait monter en moi un vrai plaisir, je tremblais de plaisir, je parvenais à jouir, sans éjaculer, juste sous la l'effet de la brûlure des caresses que nous partagions avec générosité Liam et moi.   

Bob devait vivre cette période autrement mais je ne vous cacherai pas que nous n'y pensions pas, le soir quand nous refermions la tente, la nuit dans la douceur de nos duvets on ne pensait pas vraiment à lui. Liam dormait dans mes bras, contre moi, tout contre. J'ai aimé chaque soir ou il se blottissait contre moi. Il est tout petit Liam, il est d'un tout petit gabarit. Je le recevais, pendant un moment je le caressais, je le laissais partir doucement vers le sommeil avant de le suivre.

Enfin ça c'était les soir ou Bob dormait juste à côté de nous, on ne voulait pas l’embarrasser. Lui aussi il portait toujours son dispositif PK, il devait être frustré lui aussi. Pendant ces semaines il n'a touché personne, enfin quand je dis toucher, je parle de câlin, de tendresse, de baiser, de contact érotiques quoi !

Moi j'étais frustré et Liam devait être dans le même état que moi. J'ai passé des moment d'abstinence … Des moments d'abstinence totale quand j'étais seul, que je n'avais personne auprès de moi. Là j'avais quelqu'un auprès de moi mais nous ne pouvions nous abandonner totalement, sexuellement je veux dire, sans mettre mal à l'aise un ami qui dormait juste à côté de nous.

Tous les soirs, quand Liam se blottissait contre moi, tous les jours, cent fois par jour quand ma peau frôlait sa peau, mille fois par semaine quand nos regards se croisaient, quand je frôlais Bob également, je sentais ma queue se révolter dans sa cage. C'était sans douleur, sans mal être. C'était un manque, une envie, un désir, un besoin qui ne serait pas assouvi. Une frustration jouissive que je partageais avec mes camarades sans qu'on ne se dise rien.

Être en manque, c'est une chose, mais être en manque et tenir tous les jours dans ses bras l'objet du désir c'en est une autre … Je ne sais pas comment chacun a vécu cette période mais ils avaient l'air heureux. Moi j'étais comblé … Mais franchement qui pourrait imaginer que dans mon esprit il puise y avoir l'idée d'une rupture ?



Ep 90 : VACANCES AVEC LIAM


On a trouvé des plages ou les porteur de dispositifs PK avaient le droit de de ne rien porter d'autre. C'étaient pas des plages naturistes mais quelque part ça y ressemblait. Il y avait aussi des plages naturistes ou le port d'un tel dispositif semblait mal vu … 

La morale changeait et avec elle la vision que la société porte envers la nudité, un peu comme avec la sexualité, ça devenait bizarre tout ça. Si on avait le choix on choisissait les premières plages. Dans les secondes on se sentait obligés de garder un maillot de bain … C'était ridicule !

C'est un tout autre plaisir que Liam et moi découvrions chaque jour. Nous n'avions pas de jouets, pas de gigoteur non plus, j'ai bien penser faire des courses mais Liam ne réclamait pas.

Au  niveau de la bite, au niveau du cul c'était l'abstinence totale. On se suçait bien les couilles, souvent le soir dans le lit. On se massait l'un l'autre les couilles un peu, quelquefois, souvent, enfin quand on le pouvait … Aucun d'entre nous deux n'a glissé un doigt dans le cul de l'autre, pas de massage de la prostate, pourtant on a pris du plaisir, on s'en est donné.

Ce n'étaient que des caresses et des baisers, des caresses à n'en plus finir, une douceur sans fin, son torse contre mon torse, une caresse contre une caresse, un baiser contre un baiser. Des étreintes, et pour finir, le plaisir infini de se toucher, juste de se toucher. 

A plusieurs reprises, on parvenait même à éjaculer, les caresses sur les testicules n'y étaient pas étrangères. Et puis il y avait aussi une certaine frustration, un manque délicieux. Je l'avais déjà connu ce manque, cette frustration mai à cette époque j'étais seul, là je partageais sans aucune restriction une tendresse avec un garçon que j'aimais. 

Bob semblait lui aussi apprécier ses vacances, il gardait toujours le sourire et une humeur réjouie. Le mois passait vite, on n'a même pas parlé de retirer notre dispositif, on n'a pas abordé le sujet une seule fois. 

Un matin, au petit déjeuner sur la terrasse de notre chambre double, Bob en avait une simple. Nous partagions toujours nos repas, tous nos repas …

Bob : J'ai eu des nouvelles de Luc !
Moi : C'est vrai ça il ne m'a pas appelé une seule fois !
Bob : Il travaille et je crois qu'il nous avait un peu oublié !
Moi : Et il dit quoi mon petit frère !
Bob : Il voulait savoir si nous avions prévu de passer par le château pour le retour.
Moi : J'allais vous le proposer.
Bob : Il y est déjà !
Liam : Le Château ?

On lui avait déjà raconté … On lui racontait encore. Ça nous a pris une partie de la matinée pourtant on avait choisi la version courte ! Après ça je vous garantis qu'il voulait y aller aussi. Bob se chargeait de rappeler Luc pour qu'il avertisse de notre arrivée. Et deux jours plus tard on prenait la route. On était à l'autre bout du pays et comme nous avions décidé de faire la route en une seule fois, on partait très tôt et on se relayait. Pour midi Bob arrêtait la voiture sur le parking d'un restaurant.

J'ouvrais un œil, '' Je vois que tu as fini par prendre les habitudes de Luc toi ! ''. Il me regardait semblant ne pas comprendre … '' C'est un trois étoiles que tu as choisi ! ''.

Bob : Oh, je n'avais même pas fait attention !
Moi : C'est exactement ce que m'aurait répondu mon frère !

On s'offrait un repas réconfortant, c'est moi qui invitais. Une petite pause après le repas et c'est Liam qui prenait ensuite le volant. Ce jour là on n'a fait que de l'autoroute, on voulait être arrivé le soir même. C'est moi qui était au volant quant on arrivait. 

Bob donnait un coup de téléphone peu avant. Liam n'en revenait pas en voyant la lourde grille de fer s'ouvrir seule devant la voiture, personne ne vérifiait rien, personne ne contrôlait la voiture. J'avançais jusqu'à la porte du château. Des employés venaient nous accueillir, Antoine était là. Il nous faisait l’accolade.

Antoine : Il est tard, on sort de table, on a prévu de vous servir le souper dans votre chambre si vous le souhaitez, mais si vous préférez la salle à manger … 
Bob : Et Luc ? Il n'est pas là Luc ?
Antoine : Luc, il est intenable en ce moment. Il travaille tous les jours. On a tout essayé mais il n'y a pas moyen de le décoller de son ordinateur.

Justement Luc arrivait. Il me faisait la bise, à Liam aussi … 

Bob : Et moi alors ? Tu sais que tu m'as manqué aussi …
Luc : Toi je ne te parles plus lâcheur … 

Quelques secondes plus tard ils étaient dans les bras l'un de l'autre. Liam ouvrait des yeux tout rond. Pour lui tout était nouveau, il avait entendu parler du fameux ' Château ', on le lui avait décrit. L'architecture, le fameux groupe de vacances ( pour ceux qui ne connaîtraient pas le groupe de vacances, je rappelle que c'est le point de départ de cette histoire ), les lieux de détente. 

Heureusement qu'il commençait s'habituer à la présence d'un majordome car il y en avait plusieurs qui entouraient la voiture pour prendre les bagages, les clés pour aller garer la voiture. Même la présence de son professeur de philosophie, Greg, ne le surprenait plus. 

Il suivait le mouvement, la maison l'impressionnait on ne pouvait pas en douter, il regardait partout. Un secrétaire arrivait.

Le secrétaire : Monsieur … Liam … Je suppose. Monsieur Le Conte aimerait s'entretenir avec vous dès que possible, et comme il doit s'absenter demain de très bonne heure, si vous n'êtes pas trop fatigué par votre voyage, il aimerait vous recevoir tout de suite.
Luc : Oh là là ! Mon pauvre ! Là je ne voudrais pas être à ta place !
Moi : Mais vas-tu te taire espèce de grosse bourrique. Ne l'inquiète pas. Liam c'est juste une formalité, et Mr Le Conte est un homme adorable !
Bob : N'écoute pas Luc c'est une bourrique, il rigolait quand il est sorti du bureau lui.

On est jeune, et ce n'est pas quelques kilomètres qui allaient nous fatiguer, Liam suivait le secrétaire, nous on montait dans notre chambre. Je n'étais pas vraiment surpris de me trouver dans une chambre avec un grand lit et d'y trouver les bagages de Liam et les miens. Bob lui trouvait ses bagages dans la chambre destinée à Luc. 

Il n'y avait presque personne dans le château, enfin je veux dire qu'il n'y avait pas plus de personnes qu'en temps normal. Les commerciaux qui étaient formés ici avaient disparus.

Moi : Dis moi Greg, il n'y a plus de stagiaires, vous ne formez plus de commerciaux pour les bureaux de la PK ?
Greg : Oh que si mais on les reçoit dans des bureaux administratifs, à environ un kilomètre d'ici. Tu sais que tous les bâtiments qui suivent sur la route sur deux kilomètres sont des locaux qui appartiennent à la PK .
Moi : Je ne m'étais jamais vraiment posé la question mais je me doutais qu'il y avait quelques chose comme ça.

Greg nous accompagnait Bob et moi à la salle à manger, on nous avait réservé un petit coin. Greg, Luc et Antoine avaient déjà soupé mais ils s'installaient avec nous, histoire de discuter et de prendre des nouvelles. 

On ne nous faisait pas attendre bien longtemps, mais le serveur servait les trois repas en même temps …

Moi : On pourrait peut être attendre Liam ?

Je n'avais pas terminé ma phrase qu'il arrivait, il avait le sourire, tout s'était bien passé. 

Luc : Tu en a bavé non ? Il t'a dit quoi ? Il a fait quoi ? Il a pas été trop dur avec toi ?
Greg : Mais tu as fini toi, tu veux faire passer mon oncle pour un ogre ou quoi ?
Liam : Ton oncle ?
Moi : Eh oui, notre ami Greg est le neveux de notre hôte. 
Bob : Vas y raconte.
Liam : Tout d'abord il s'est excuser de me recevoir ainsi, avant de me laisser passer à table, mais il devait s'absenter … Ensuite il s'est montré charmant, il savait tout de moi …
Bob : Oui ça, il fait le coup à tout le monde !
Liam : Il m'a demandé quels étaient mes projets, comment je m'entendais avec Djé, il a dit Jérémy et j'ai pas compris tout de suite … Ensuite on a parlé un peu puis il m'a souhaité bon appétit … Voilà ... 

Pour ce repas décalé on ne nous demandait pas de nous changer. Ici on s'habille toujours pour passer à table, mais pas ce soir, pour nous en tous cas.

On se retrouvait dans nos chambres. Liam n'en revenait pas le château paraissait magique à ses yeux. On restait allongé sur le lit un bon moment, la nuit était tombée quand je me relevait. 

Moi : Je crois que c'est le moment !

Liam me regardait sans comprendre. Je lui faisais signe de me suivre. On prenait le couloir en direction des escaliers, je montais au grenier, il me suivait.

Liam : On va ou comme ça ?
Moi : Tu vas voir ! La PK est pleine de contradictions, tu vas voir.

Arrivé au grenier on prenait le couloir, au bout la porte était fermée mais on voyait un filet de lumière sous la porte. J'ouvrais doucement sans faire de bruit, je reconnaissais aussitôt la voix de mon frère et celle de Bob. 

Je suppose que vous avez compris ou je voulais en venir. Liam, lui, n'a compris que quand il a vu ce qu'il y avait dans les cartons. J'entrais en criant très fort.

Moi : Plus personne ne bouge, ils sont là je les ai repéré.

Luc n'était pas impressionné mais pas impressionné du tout mais Bob hurlait de surprise et jetais en l'air gode qu'il avait dans la main. C'est Liam qui l'a rattrapé, sans savoir ce que c'était au départ.

Liam : Ah ouai je vois mieux là, je vois mieux !
Bob : Mais ça va pas Jérémy ! Tu veux me tuer ou quoi ?

Moi je rigolais mais j'étais le seul, Luc me regardais en faisant la moue, '' C'est malin tu es content de ton effet ? ''. Bob m'avait engueulé, et Liam regardait avec un petit sourire amusé ce qui lui était tombé dans les mains. On faisait notre choix, comme vous le savez il y en avait pour tous les goûts. Des gros, des moins gros, longs, courts …

On revenait vers notre chambre avec chacun un jouet dans les mains. J'avais laissé Liam choisir celui qu'il voulait pour lui, je m'en était choisi un de belle taille et deux harnais. 

Depuis plus d'un mois Liam et moi avions surtout marché aux câlins, il était temps de partager d'autres plaisirs. Je lui sautais dessus, le renversais sur le lit et lui retirais tous ses vêtements. Quelques minutes plus tard on était à poil tous les deux.

C'était câlin, caresses, baisers. C'était une sorte de combat dans lequel aucun de nous ne tentait de faire du mal à l'autre mais tentait de lui fixer un harnais alors que l'autre résistait. On finissait par y arriver je prenais alors le gode qu'il s'était choisi pour lui, il en faisait de même avec le mien.

Je ne me doutais pas à quel point il était en manque mon petit Liam. Il était allongé sur le dos, il relevais et écartait les jambes et me regardait avec un air triste. Frénétiquement je m'allongeais sur lui, positionnait le gode bien lubrifié et en même temps que je l'embrassais avec passion lui enfonçais le gode dans le cul. 

C'est un long gémissement qui lui échappait par le nez. C'était amusant mes lèvres étaient collées aux siennes, il ne restait plus que cette solution. J'y allais doucement, ce n'était pas la première fois que je le pratiquait le petit Liam, vous vous en doutez mais, depuis plus d'un mois oui, c'était la première fois. 

Quand il laissait retombé sa tête en arrière, il gémissait de plaisir, il fermait les yeux. Je le sentais vibrer. Ses mains se refermaient fermement sur mes bras. Il se cramponnait à moi, refermait ses jambes dans mon dos et me tirait vers lui. Il aime bien la position de passif sexuel Liam, je ne suis pas le seul.

Mon ventre touchait ses fesses, un sanglot lui échappait. Je me retirais, son souffle devait plus fort. Je revenais, il gémissait. J'accélérais le mouvement il tremblait, et en redemandait.

En temps normal on ne se livre pas à cette gymnastique à chaque fois qu'on est ensemble mais là, ça faisait plus d'un mois. Je continuais mes mouvements, je le regardais dans les yeux et je voyais son visage se transformer, je voyais le plaisir naître sur son visage, je voyais le désir monter toujours plus dans ses yeux. Il se cramponnait à moi.

Son souffle était irrégulier, ses gémissements aussi, il râlait de plaisir, il semblait ne plus contrôler ses gestes. Je sentais ses jambes que se resserraient dans mon dos ou qui lâchaient tout. Suivaient quelques convulsions puis un long gémissement comme une plainte, il jutais et de toutes évidences il jouissait aussi. 

Je continuais mes mouvements, toujours aussi rapides, toujours aussi violents, aussi amples et son corps se cambrait, se raidissait, il ne contrôlait plus rien. Je ne me calmais que quand il me criait .. ;

Liam : Arrête ! Arrête tout, j'en peux plus.

Là je ne bougeais plus, il continuait à trembler dans mes bras. Je me retirais lentement il continuait à convulser à chaque mouvement du gode dans son cul mais au moment ou je me retirais totalement je sentais tout son corps se relâcher, se détendre. Ses bras tombaient à côté de lui, il était tout mou. Il respirait fort. Je retirais le gode et le harnais et m'allongeait à côté de lui. 

Il lui fallait un moment pour retrouver son souffle.

Liam : Ça te dérange si on en restait là pour ce soir Djé ?

Vous auriez dit quoi vous à ma place ? J'étais en manque, j'avais dans mes bras le garçon que j'aimais, nous étions dans un décor de rêve dans un lit très confortable. Personne ne viendrait nous déranger et depuis un mois j'avais espéré que …

Moi : Repose toi mon doudou !

Et je l'embrassais tendrement sur les lèvres. Je lui retirais son harnais, je le bordais et m'allongeais à côté de lui. La chaleur de sa peau, l'endroit, le confort du lit provoquait chez moi un manque particulier fort … 

J'ai pas vraiment bien dormi cette nuit là !



Ep 91 : DERNIÈRE ANNÉE



Le lendemain, Liam était très reposé il se réveillait avant moi. Je dormais paisiblement, il se levait, enfilait son harnais y fixais le gode que je m'étais choisi et se glissait contre moi dans le lit.

Il y allait avec douceur, il ne voulait surtout pas me réveiller trop tôt et c'est seulement quand le gode me rentrait dans le cul que je me réveillais. C'était une pression délicieuse et forte, je sentais mon anus se dilater, j'ai déjà souvent pratiqué et c'était sans douleur, c'était agréable, très agréable. 

Au moment ou je manifestais ma première réaction, Liam m'attrapait de ses deux bras, me serrait contre lui et m'embrassait dans le cou. Il me mordillait doucement en poussant un peu plus fort sur le gode et me l'enfonçait rapidement jusqu'à la garde. Il appuyait alors doucement puis avec force. 

Je poussais un long soupir de plaisir suivi par un long gémissement.

Liam : Ça t'a manqué ?
Moi : Un peu … 

Je tournais la tête vers lui, on s'embrassait. Il ressortait puis revenait en moi avec des mouvements amples, lents mais amples, très amples. C'était un délicieux massage sur l'anus qu'il me prodiguait. Un massage plein de douceur et de force, c'était bon et c'est vrai, ça m'avait manqué ! Là j'en profitais, je le laissais faire et j'en profitais.

Quand le gode s'enfonçait totalement dans mon cul je me sentais envahi jusque dans mon intimité. Vous devez tous connaître le plaisir que cela peut provoquer, c'est tout le corps qui vibre, c'est un frisson qui vient d'en bas puis qui glisse le long de tout le corps, qui remonte jusqu'aux épaules, la respiration qui s'accélère et quand le gode vient à masser la prostate assez longtemps, c'est une explosion de plaisir qui nous envahit. 

Je sentais ce plaisir monter de plus en plus fort en moi. La peau, la chaleur de Liam contre ma peau, la douceur de ses caresses. Ma cage, mes couilles étaient les seules parties de mon corps qu'il ne caressait pas, qu'il essayait même d'éviter. C'était voulu il savait qu'on pouvait jouir autrement maintenant.

Depuis un mois nous nous étions donné du plaisir avec seulement la peau contre la peau, là il avait seulement rajouté un petit truc de même pas vingt centimètres pour épicer la plaisir, pour le reste il faisait comme nous le faisions depuis le début de nos vacances.

Ma queue protestait comme jamais, mes couilles formaient une grosse boule juste sous ma cage. S'il y avait un certain inconfort à ce niveau le reste de mon corps était plongé dans la douceur, dans la tendresse. Même ce massage sur mon anus restait un massage plein de douceur autant que de force. 

Je me sentais envahis de plaisir. Puis quelques convulsion, quelques contractions que je ne contrôlais plus et c'était l'explosion de plaisir, je jouissais par la prostate, par le muscle anal, par la queue, par ma peau. J'éjaculais, je râlais, je hurlais de plaisir et tous mes muscles se relâchaient. Je me laissais retomber sur moi-même, tout mou comme Liam la veille au soir. 

Il arrêtait alors tout mouvement, et se retirait lentement, infiniment lentement. J'ai senti le gode se retirer millimètre après millimètre, et chaque millimètre me procurait un plaisir supplémentaire. Je ne manifestais aucune réaction mais là encore je jouissais tout au long des dix neuf centimètres …

Je ne bougeais plus, Liam se serrait contre mon dos il ne bougeait plus non plus. Seules ses lèvres se permettaient de me donner encore quelques baisers dans le dos, juste entre les omoplates, vous savez là ça fait guili-guili, ça chatouille et au bout d'un certain temps que je ne saurais mesurer on finissait par se relever. Il rigolait de mes réactions.

Moi : Tu me chatouilles.
Liam : Moi ! Mais j'ai rien fait.

On se précipitait sous la douche. On en ressortait à temps pour le petit déjeuner. En l'absence du big boss c'est toujours plus détendu. Le reste de la matinée, je faisais découvrir à Liam toute la propriété. Les installations sportives, la piscine couverte, le parc, la piscine non couverte … Tient c'est nouveau ça ! … Elle n'était pas encore là cette piscine la dernière fois que je j'étais venu.

Je lui montrait l'endroit par ou on était passé Antoine et moi le jour ou … Vous vous souvenez, quand on avait fait le mur pour entrer. ( Groupe de vacances ep 10 ). C'était il y a déjà trois ans, et en repensant à cette époque je voyais le parcours que j'avais fait.

Nous ne devions rester que quelques jours au Château, et le temps passait vite. Bob repartait avec Luc, Antoine rentrait par ses propre moyens et c'est avec Liam que je revenais donc. Nous avions passé de super vacances une nouvelle année de travail s'annonçait. Pour moi ce serait la dernière, il ne me semblait pas utile de faire une sixième année. J'avais prévu de me lancer dans la vie active pour l'année suivante.

Cette année, ce serait donc l'année des recruteurs. Les entreprises privées de tous bords contacteraient l'école qui ferait le tri des entreprises sérieuses. Des proposition de carrières, oui de carrières plus que ' d'emploi '. La réputation de l'école était telle qu'il y aurait plus de propositions que d'étudiants. 

Ce serait les étudiants qui auraient le dernier mot, c'est eux qui choisiront parmi toutes les propositions qui seront faites.

Je suis intervenu pour demander au directeur s'il accepterait d'avoir un autre étudiant externe. Tout d'abord il refusait. J'insistais, il tenait bon. Luc passait à l'attaque avec moi, le directeur ne lâchait rien.

Le directeur : Écoutez moi bien les frères Brosso … Il a été prévu dès le début qu'il n'y aurait plus aucun élève externe à l'avenir …
Luc : Sauf moi bien sûr !
Le directeur : Comment ça … Toi !
Luc : Je devais être externe, si je n'avais pas été trop jeune … 
Le directeur : Oui mais tu peux t'inscrire quand tu veux Luc, tu seras externe.
Moi : Sauf Bob. 
Le directeur : Bob, c'est vrai, je l'avais complètement oublié celui-là.
Luc : Ça va lui faire plaisir … 


Moi : Et donc si je comprends bien, on me refuse à moi ce qu'on acceptait à mon frère …
Luc : Qui en plus n'est pas étudiant dans cette école !


Moi : Surtout que Liam n'a passé que la moitié des nuits dans sa chambre.
Le directeur : Comment ça ?
Moi : Souvent après les soirées que Antoine et moi donnons …
Luc : Et moi tu m'oublie moi ... là tu m'oublies …
Moi : Donc après les soirées que Antoine …
Luc : Qui est externe d'ailleurs …
Moi : Bon je peux terminer ma phrase oui ou …
Luc : Oui vas y je ne dis plus rien …


On l'a un peu saouler le directeur ce jour là, il finissait pas me couper la parole.

Le directeur : Bon ça va, ça va, ça va … Liam pourra être externe ! Vous avez gagné, je renonce …
Luc : Sinon il restait encore l'arme absolue !
Moi : Monsieur Le Conte ?
Luc : Oui !
Le directeur : Mais tu sais Luc tu peux t'inscrire quand tu veux !
Luc : Trop vieux !
Le directeur : Ils me fatiguent ces deux là. Heureusement qu'il n'y en que deux ! Un de plus dans ce genre et je change de boulot moi !

On sortait du bureau du directeur … '' S'il vous plaît les jeune ne claquez pas la porte, j'ai la migraine moi d'un coup … ''. On sortait donc du bureau du directeur sur la pointe des pieds.

Luc : Voilà, finalement c'était pas si dur !
Moi : Il a tout de même fallu le saouler pendant plus d'une heure …
Luc : Une heure … Ahhh … Mon rendez-vous … 

Il repartait comme un fou vers sa voiture. 

Un peu plus tard je voyais Liam et lui donnait la nouvelle. Le jour même il s'installait à la maison .

Dans la journée je recevais un appel de Mr Le Conte.

MLC : Dites moi Jérémy, je viens d'apprendre ce qui s'est passé chez le directeur de mon école. Je vous rappelle qu'il était prévu qu'il n'y aurait plus de nouveaux externes … Si j'ai bien compris vous et votre frère vous avez eu mon directeur à l'usure … Bien ! Je ne reviendrai pas toutefois sur sa décision mais, si jamais votre relation avec Liam venait à prendre fin il restera externe, il devra donc être logé ailleurs et ce sera à vos frais !
Moi : Je comprends très bien Monsieur Le Conte, mais je vous assure que cela ne se produira pas !

On l'avait un peu contrarié ! Mais il n'est pas rancunier !

L'école continuait à se métamorphoser, plusieurs bâtiments définitifs étaient terminés au fond du campus, et les bâtiments provisoires étaient en cours de démontage. L'école avait presque sa forme définitive, et les installations sportives en périphérie de la ville avançaient rapidement désormais. Elles devaient être prêtes pour la prochaine compétition inter école, là il avait été décidé qu'il y aurait trente grandes écoles au total qui devraient y participer sur une semaine de compétition. 

On se mettait donc au travail. Liam était un très bon élève, il est devenu encore meilleur, Bob était aussi parmi les meilleurs élèves de deuxième année. 

Il ne s'est pas passé grand chose de croustillant cette année là. Ma relation avec Liam est devenue de plus en plus solide. Luc à publié un livre qui s'est très bien vendu, il a développé une maison de production de programmes télé. Puis une filiale concurrente.

Ça peut paraître bizarre comme idée mais vous devez savoir qu'avec mon petit frère … Il s'était dit que la meilleur manière de contrôler la concurrence c'était de la créer soi-même. Il s'agissait en fait d'une autre maison de production qui produisait des programme bon marché mais à très forte valeur ajoutée. Il a gagné des somme folles avec cette idée, surtout que ses deux sociétés marchaient bien. 

La vente des produits PK augmentait et notre fortune à Antoine et à moi augmentait dans les même proportions. Nos camarades Liam et Bob vivaient tranquillement eux aussi, il s'était fait une petite réputation, et on les voyait régulièrement sur les affiches des journaux de mode ou dans des publicités à la télé. 

Avec Liam on profitait de nos week-end en s'éloignant de la ville. On y faisait des rencontres comme ce dernier week-end avant la compétition sportive. Nous étions tranquillement installé à la piscine d'une hôtel de bon standing, on avait un maillot de bain bien sûr. Deux touristes métisses nous avaient remarqué et ne le cachait pas ou alors le cachait très mal. 

Liam : Tu penses qu'ils portent un de tes dispositifs ?
Moi : J'aimerais bien le savoir.
Liam : Ça devrait être possible il y en a un qui vient vers nous.

Le jeune homme nous abordait.

Lui : Bonjour, mon ami et moi vous avons remarqué, je ne voudrais pas vous déranger mais vous ne seriez pas Djé et Liam.

Liam relevait la tête.

Liam : On est repéré !

Nous sympathisions rapidement, les deux nouveaux se joignaient à nous. On faisait quelques plongeons, on passait un moment à discuter au bar sans alcool. 

Teddy : Et vous portez réellement le fameux dispositif comme on le dit ?
Moi : Oui, tout à fait !
David : Il n'abusent pas un peu dans la communication de la PK Company?
Liam : Je te confirme que non, moi ça fait plus d'un an et demie que je ne l'ai pas retiré.
David : Pas le droit ? On t'interdit de le retirer ?
Liam : Non, pendant les vacances on a le droit mais c'est pas une obligation …

Un peu plus tard on montait dans la chambre. Avec Liam on discutait longuement. Allions nous nous autoriser un peu de libertinage. Depuis qu'on était ensemble nous étions restés rigoureusement fidèles … On en parlait et on concluait qu'une petite sauterie ne serait pas une tromperie, le mensonge le serait là il n'y avait aucune tromperie …

Un peut plus tard on retrouvait nous nouveaux amis au restaurant de l'hôtel. On avait bien sûr deviné que nos deux nouveaux amis ne portaient pas le célèbre dispositif qui m'avait rendu riche avec mon ami Antoine.

On terminait tous les quatre dans notre chambre. Vous avez deviné la suite … ? 

Allons bon, il y a un lecteur qui a dit non ! 

C'était bien la peine que j'écrive plus de quatre vingt dix épisodes des aventures de Djé ( Note de l'auteur ).

Le rapprochement était rapide, on n'était pas farouche, aucun d'entre nous n'était farouche. C'est Liam qui commençait, il retirait sa veste avec élégance, je le regardais avec des yeux pleins de tendresse, il est tellement beau. Suivait sa chemise, Teddy le rattrapait et c'est torses nues qu'ils dansaient en se prenant dans les bras.

David me prenait par la main et m'entraînait vers le centre de la pièce. Il ouvrait ma chemise, me caressait le torse et faisait tomber ma chemise, je l'embrassais, glissait mes mains sous sa chemise que je faisais glisser également.

Je passais ensuite dans les bras de Liam, J'avais aimé le contact avec David mais Liam me faisait un autre effet. C'est Teddy qui passait dans mon dos, ses mains glissaient vers ma ceinture et m'ouvrait mon pantalon qui tombait, j'étais nu. Je ne sais plus si je vous l'ai déjà dit mais je ne porte pas de sous vêtement. David faisait la même chose à Liam et je ne l'avais pas remarqué quand on s'était habillé mais Liam fait comme moi désormais.

Teddy me caressait les couilles et la pression dans ma cage montait immédiatement au plus haut. Je ne sais pas si c'était les caresses ou la vue de Liam en face de moi, dans les bras d'un homme. Je ne sais pas mais je vous garantis que la pression était maximum.

Liam se retournait, ouvrait le pantalon de David qui bandait déjà bien, puis prenait sa queue dans la bouche. Je devinais le plaisir que David pouvait ressentir. On n'a jamais fait ça entre nous ! Liam semblait savoir ce qu'il faisait, j'en faisait de même, je me retournais vers Teddy et le suçait avec science.

On échangeait nos partenaires, au passage on s'embrassait. Un peu plus tard je ne savais plus qui était ou, sauf Liam bien sûr. Nos nouveaux amis s'amusaient avec nous, il appuyait sur ma tête, avançait le bassin violemment. J'encaissais comme je pouvais, il recommençait et semblait y prendre beaucoup de plaisir. 

C'est Teddy qui se décidait en premier, il entraînait Liam face au lit. Liam se penchait en avant et sans plus attendre Teddy lui enfonçait sa queue bien à fond. Je l'entendais gueuler, mais je l'entendais à sa voix, et il ne demandait pas à Teddy d'arrêter. De toutes évidences Teddy n'en avait pas envie.

Avec David je regardais la scène, c'était terriblement excitant de voir mon doudou se faire défoncer le cul comme ça. Sans prévenir David me retournait sur le lit et m'enfonçait sa queue dans le cul, comme le faisait son copain à mon doudou. C'était bon, c'est tout de même différent que de se prendre un gode ceinture ou un plug. 

Ils nous limaient longuement, avec force, avec des mouvements rapides, avec des mouvements amples et doux puis plus lents. Ils faisaient durer le plaisir, il faisait une pause puis reprenaient. Il changeaient de place et reprenaient. Liam gueulait de plaisir, je gémissais de plaisir moi aussi. Les coups sont devenus plus violents au moment ou Teddy jouissait dans mon cul. Son souffle était devenu soudainement très fort, ensuite il se laissait retomber sur moi, il ne bougeait plus. David continuait à buriner Liam pendant un long moment puis gueulait de plaisir au moment ou il jouissait dans le cul de Liam. 

Plus personne ne bougeait, nos nouveaux amis se décidaient en premier et se retirait, là je l'ai senti quand il est sorti de mon cul, puis allaient prendre une douche. Avec Liam on se faisait un gros câlin, on échangeait nos impressions.

Finalement on s'autoriserait de nouveau ce genre de soirée.



Ep 92 : DU NOUVEAU POUR LA ROUTE



Nous revenions parfaitement détendus à l'appartement. Devant l'immeuble Bob était en train de laver la voiture de Luc. Mais il y avait surtout une magnifique Rolls-Royce juste devant la voiture de mon frère. En descendant de la voiture …  

Moi : Dis mois Bob, il y a une visite importante à la maison ?
Bob : Euh ! Non !
Moi : Ça doit être une visite chez Greg alors !
Bob : Euh ! Non plus ! Il est pas là !
Moi : Ah ???
Bob : Mais dis moi Djé, il faut que je te dise … 
Moi : Oui je t'écoute !
Bob : Luc m'a donné sa voiture, ça ne te dérange pas ?
Moi : Donné sa voiture ? Voilà une étrange idée … Mais bon ça va lui passer on le connaît tous ! 
Bob : Non, il me l'a vraiment donnée et comme c'est toi qui la lui avait offerte ... aussi je te demande si ça ne te dérange pas ?
Moi : Bon, bein moi avec Luc je n'essaye plus de comprendre ! S'il te l'a donnée tu la gardes.

C'est à ce moment que mon frère déboulait comme un fou …

Luc : Tu as vu ma nouvelle voiture dis ? Tu as vu ma nouvelle voiture dis ? Tu as vu ma nouvelle voiture dis ?

Pour ce qui est d'être enthousiaste il était enthousiaste. Je me retournais vers la Rolls. 

Moi : Ah c'était donc ça ! Et tu pourrais me dire comment tu as payé cette merveille ?
Luc : Bein c'est pas compliqué, j'ai cassé mon cochon tirelire !

Je levais les yeux au ciel, Bob rigolait et Liam faisait le tour de la nouvelle voiture en sifflant d'admiration. 

Luc : C'est pas compliqué, j'ai investi tout ce que j'ai gagné dans mes sociétés de production, mon livre s'est bien vendu et avec mes droits d'auteur j'ai acheté cette merveille. Par contre maintenant j'ai presque plus de sous moi !

On pouffait de rire à cette dernière réplique.

Moi : Je t'en prête si tu veux mais toi tu me prêtes ta voiture !

Luc faisait une tête avec des yeux tout rond !

Luc : Non mais tu es fou, personne il ne touche pas à ma voiture ! Et puis de toutes façons j'ai une rentrée d'argent qui doit arriver d'un jour à l'autre. Et quand je dis presque plus de sous, j'ai encore de quoi remplir le réservoir !

Il allait repartir en prenant l'air vexé de ma réplique mais brusquement se rapprochait de sa nouvelle voiture, sortait son mouchoir et essuyait fébrilement le dessus de l'aile avant. On se précipitait tous pour voir ce que ça donnait. 

Luc : Non mais c'est fini oui, vous n'avez jamais vu une voiture ?
Liam : Là il y a un petit truc aussi …

Luc se précipitait.

Luc : Ou ça ? Je ne vois rien !
Liam : Oh c'était juste une mouche mais elle est partie. Elle a peut être laissé des trace de pas … 
Luc : Moqueur ! Pfff ! 

Il donnait tout de même quelques coup de mouchoir à cet endroit avant de repartir vers l'appartement.

Moi : Et il l'a reçu quand cette voiture ?
Bob : L'autre jour juste après votre départ. Je ne vous raconte pas, j'ai pas dormi de la nuit, toutes les demie heures il se levait pour l'admirer. 
Moi : Tout nouveau … Dans quelques jours il sera calmé !

Quelques jours plus tard il ne s'était pas calmé. Il arrivait au stade ou se déroulaient les épreuves sportives. Jusqu'au dernier jours on n'y avait pas cru mais les travaux étaient terminés. La finition pas encore, les peintures par exemple par endroit le carrelage … Enfin des détails de ce genre quoi ! Pour le reste tout était OK. 

Les épreuves dureraient un peu moins de deux semaines. L’événement se passait pendant les vacances aussi il fallait que les élèves aient le temps de repartir et de se préparer paisiblement pour la reprise des cours , il y avait vingt neuf écoles  qui participaient, avec la nôtre ça faisait trente. Cent participants par école en moyenne, je vous laisse faire le calcul … Ça faisait du monde, ça ne faisait pas peur à Luc qui était le chef d'orchestre de toute l'organisation médiatique.

Une fois de plus il m'a épaté le p'tit, il était très pro, très sérieux, très organisé … 

Le plus jeune présentateur vedette de la télé. Il s'était réservé plusieurs directes à la télé par jour, le reste du temps il le passait dans la régie, c'est lui qui dirigeait tout. Bob participait en natation et gymnastique, Liam participait en haltérophilie et lancé du marteau … Ils ont été adorables tous les deux en nous rapportant des médailles …  

Luc, c'est simple, on ne l'a pratiquement pas vu pendant deux semaines, la voiture était dans un parking gardé, il se faisait livré ses repas au studios, et un costume propre par jour … 

Nous avons raflé plus de quatorze  pour cent des médailles et coupes alors que nous représentions à peine plus de trois pour cent des participants. On restait les champions !

Liam venait me retrouver dans les vestiaires, je me préparais pour l'interview que mon frère avait prévu. Nous étions très en avance, je totalisais le plus grand nombre de médailles et coupes ramenées à l'école depuis sa création, je ne serait plus élève à cette école l'année suivante, et Luc voulait donc un interview du champion de l'école pour sa dernière participation. 

Un gars d'une autre école traînait sous les douches, il râlait, il avait terminé quatrième à chacune des épreuves auxquelles il avait participé. 

Lui : Ah il est marrant le coach, ' Tu devrais penser à porter une de ces trucs' il dit. Mais c'est quoi cette mode de malade. C'est hors de question ça pour moi ! 

Liam se déshabillait rapidement et me faisait signe de le suivre. Je ne cherchais pas à comprendre, je le suivais. On entrait dans les douches.

Liam : Tu as vu ça Djé, on est les meilleur comme d'habitude.
Moi : Deux médailles d'or pour toi et une d'argent. C'est bien !
Liam : Et toi, toujours le meilleur cinq médailles d'or. Tu es et restes notre champion !
Le gars : Vous frimez les mecs, mais franchement vous êtes ridicules avec votre truc sur la bite. 
Liam : Remarque c'est vrai que lui il est pas ridicule, il en a une grosse !
Moi : S'il s'en sert aussi bien que du javelot …
Le gars : Tu veux voir peut être, et je te signale que le javelot, c'était pas ma discipline, mais il fallait remplacer quelqu'un !
Liam : Remarque, moi je veux bien voir !

Le gars bandait depuis le début. Liam s'approchait et sans faire plus de manières lui suçait la queue. 

Moi : Alors on fait la paix !
Le gars : Eh, heu, ah ! …

Puis il ne disait plus rien, ne bougeait plus. Il regardait le visage de Liam de dessus, je le regardais aussi. Il fait ça bien Liam. C'est pas avec moi qu'il s'est entraîné mais il fait ça bien. Le gars était bien monté mais Liam avalait sa queue sans difficulté. Ma cage se relevait devant moi, je me savonnais pour la deuxième fois depuis une demie heure. 

Le visage de Liam s'écrasait sur le ventre du mec qui finalement se décidait à intervenir. Il appuyait alors sur la tête de Liam et donnait des coups de bassin. J'intervenais à mon tour et me plaçant derrière le gars je le caressais le corps, je me collais à lui. Au moment ou ma main touchait la base de sa bite, je sentais le visage de Liam, il se retirait me donnait un baiser sur la main et reprenait.

Le mec tournait la tête vers moi et on s'embrassait longuement. 

Le gars : Vas y montre moi ce que tu sais faire à ton tour.

Je prenais alors la place de Liam. Le gars gémissait un peu plus, c'est pas parce que je m'en sortais mieux mais c'est parce que ça durait et si vous avez déjà essayé ( je vous demande cela au risque de vous embarrasser ) vous devez savoir que le plaisir monte avec le temps.

D'ailleurs il gémissait encore plus fort quand Liam prenait ma place. Nous échangions nos places et le gars gémissait de plus en plus. Le gars demandait à Liam de se retourner. Je me plaçais alors devant lui et le prenait dans mes bras. Le gars nous attrapait tous les deux, nous enlaçait et sans aucun ménagement enfonçait sa queue dans le cul de Liam qui hurlait.

Décidément il aime bien ça le petit Liam mais il manque un peu de pratique. Moi je ne hurle plus mais j'aime bien quand même !

Rapidement le gars se lâchait sur le cul de Liam, il se retirait, ressortait sa queue complètement, j'écartais les fesses de Liam et le gars revenait rapidement, avec violence. J'avais les mains sur les fesses de mon doudou et je pouvais sentir la violence des coups qu'il prenait dans le cul. Il se cramponnait à moi et le visage enfoncé sur mon torse, il gémissait, j'avais presque l'impression que par moment il pleurait.

Il respirait fort, très fort le gars sous la douche. Il nous tenait tous les deux contre lui, Liam était écrasé entre nous et ça par contre il ne s'en plaignait pas. Puis le gars a gémi, crié, hurlé de plaisir qu moment ou il à joui dans le cul de Liam. Il se retirait alors, s'éloignait de nous, il nous regardait en terminant de se doucher. 

Liam était dans mes bras et ne semblait pas vouloir me lâcher. Ma queue protestait, la pression était totale, j'étais frustré. Liam avait joui, il avait éjaculé il était détendu. Il me donnait un baiser …

Liam : Il faudrait penser à se dépêcher, le directe avec Luc ne va pas attendre !
Moi : C'est malin, et tu sais dans quel état je suis là moi ?
Liam : J'imagine, j'imagine.

On revenait dans les vestiaires, on se séchait rapidement. Ça m'avait retardé cette histoire mais bon, j'avais encore le temps. Les studios étaient sur place et nous y étions en quelques minutes. Luc nous attendait, il était calme, je sentais que la fatigue l'envahissait. Il avait dirigé, supervisé toutes les diffusions télé ainsi que la préparation des événements depuis deux semaines, même Bob ne l'avait presque pas vu pendant cette période.

Luc avait organisé un direct final. Une petite cérémonie télévisuelle destinée à clore la compétition. On commençait par mon interview puis nous descendions dans le stade pour la cérémonie de fin.

Tout le monde était content, tout s'était bien passé. Il y avait une école dont les élèves ne portaient pas le dispositif PK, dont aucun élève ne le portait. Cette école remportait à peine un pour cent des médailles et coupes mais aucune en or. 

Une dernière petite fête pour terminer dans la joie et la bonne humeur et quelques jours avant la rentrée tout le monde se disait au revoir. 

Le dernier trimestre commençait, c'était celui des recruteurs. L'administration de l'école avait sélectionné les propositions sérieuses, il y en avait presque deux par élèves. Comme je vous le disais, l'avantage était aux élèves. 

Un soir ou j'étudiais tranquillement les propositions qui pourraient m'intéresser on sonnait à la porte, Luc qui était à la maison ce soir là allait ouvrir. Suivait un cri, enfin quand je dis un cri … un hurlement de surprise et de joie. On a tous fait un bon avant de nous précipiter à la porte pour voir ce qu'il se passait …

C'était bien Luc qui avait hurlé. Sophie qui passait nous voir. J'ai hurlé moi aussi, Bob a hurlé également ensuite c'est Antoine qui a hurlé, Liam a hurlé mais c'était juste pour faire comme tout le monde et Charles est retourné préparé le repas après avoir salué Sophie et lui avoir demandé si elle souperait avec nous …

Sophie : Et bien vous êtes toujours aussi fous les garçons !

On échangeait les nouvelles, même si Sophie savait ce qui se passait chez nous. Elle restait régulièrement en contact avec son frère Greg ( mon voisin du dessous ) qui, je vous le rappelle était enseignant dans mon école. 

Sophie : En plus du plaisir de vous revoir, je suis venu au sujet du recrutement. 
Moi : Du recrutement ?
Antoine : Tu recrutes ?
Luc : Tu veux pas m'accorder une interview ?
Sophie : Tout à fait Djé. Oui  Antoine . Si tu veux Luc !

Pendant ce temps Bob expliquait à Liam qui était exactement Sophie. 

Elle nous expliquait que progressivement elle prenait la direction de la PK , régulièrement son oncle lui accordait un peu plus de pouvoir de décision dans l'entreprise. On recrutait dans la section ingénierie et administration. Les postes concernés seraient destinés à devenir des postes de direction au plus haut niveau. Elle avait pensé à nous, Antoine et moi.

Antoine : Et tu as pensé à nous ? Tu es un amour !
Sophie : Antoine, tu as montré des capacité étonnante dans le domaine de la conception, si tu acceptes le poste, tu seras stagiaire, rémunéré bien sûr. Tu passeras pendant la première année dans toutes les filiales de l'entreprise, et il y en a plus que tu ne l'imagines.
Antoine : Intéressant !
Sophie : Djé , c'est un poste d'administration que je te propose, enfin pour commencer un stage d'un an comme pour ton ami.  Tu travailleras depuis un bureau dans cette ville ainsi que depuis le Château ou tu auras aussi un bureau. 
Liam : Ça veut dire que tu vas déménager ?
Moi : Ça veut dire que je vais déménager ? ( à l'intention de Sophie )
Sophie : Tu gardes l'appartement ici, ce sera ton domicile principal et c'est là que tu passeras le plus de temps. De plus tu auras aussi un véhicule de fonctions.
Moi : Mais j'ai déjà une très belle voiture.
Sophie : Je parlais d'un Jet, pour tes déplacements professionnels mais on n'est pas très regardant sur l'utilisation que tu en feras.

Il n'y avait ni à hésiter ni à réfléchir bien longtemps avant de donner une réponse positive. Sophie soupait avec nous, ma nouvelle patronne était connue de nous tous et on l'appréciait au moins autant qu'elle nous appréciait. Elle recherchait bien sûr des collaborateurs compétents, mais aussi des collaborateurs de confiance et sur ce dernier points elle savait qu'elle pouvait compter sur nous. 

Avec bonne grâce elle se livrait à l'interview de mon frère. Il avait fait ça bien, un très court reportage pour présenter la prochaine PDG de société PK. Sophie était en effet inconnue du grand publique. Il présentait ensuite la PK et surtout ses filiales. La société est en effet très bien connue mais pour un seul de ses produits. Il y avait l'immobilier, la communication, l'électronique, la sidérurgie, la chimie … Bon la liste serait longue.

Je savais que le groupe était puissant et étendu mais j'étais malgré tout surpris et par moment je me demandais si mon frère n'en rajoutait pas … Eh bien non, il avait potassé son sujet et le connaissait parfaitement.

Sophie s'était installée chez son frère, on se voyait tous les jours. Elle passait à l'école pour constater par elle même l'avancée des travaux. On en était à la finition, les installations sportives aussi mais les grands chantiers n'étaient pas terminés pour autant. Il y avait encore à venir le lac artificiel, plusieurs hôtels ... Dans la périphérie de la ville il y avait donc toujours des travaux importants.

Sophie installait aussi le centre administratif, c'est là qu'il y aurait son bureau et le mien. Le quartier devenait de plus en plus chic depuis l'arrivée de Sophie, maintenant il y avait une deuxième voiture du même genre que celle de mon frère stationnée devant la maison.



Ep 93 : ÇA DÉCOLLE



A son tour la série Djé tire sa révérence. 93 épisodes il ne devait y en avoir que 5... Aucune suite n'est prévue aujourd'hui mais qui sait … Nous aurons peut être de temps en temps des nouvelle de Djé ou de David ...



Les derniers mois d'école se faisaient à mie temps si j'ose dire. Je faisais trois stage dans les bureaux de la PK, les nouveaux bureaux, là ou la future présidence allait s'installer. Ils se trouvaient au dernier étage d'un immeuble de vingt étages, c'était le plus haut bâtiment de la ville. Il ne faut pas oublier que c'est une petite ville. Tout au dessus, il y avait une terrasse avec une piste d’atterrissage pour hélicoptère léger.

Quand je m'installais à mon bureau pour la première fois, ça me faisait tout drôle de me dire dans ma tête … Mon bureau … Le premier jour ou j'étais venu devinez qui je rencontrais dans le hall de l'immeuble qui sortait de l'ascenseur … 

Luc !

Moi : Mais tu es partout toi ! Qu'est-ce que tu fais ici ?
Luc : Je prospecte …
Moi : Qu'est-ce que tu as encore inventé ?
Luc : Nous somme dans un immeuble de bureaux ? Exact ?
Moi : Exact !
Luc : Et bien je pense que je vais installé mes bureaux d'édition ici …
Moi : Bureaux d'édition ? Mais tu n'est pas éditeur !
Luc : Et si, et c'est pas nouveau … Ça date de la semaine dernière ! Déjà, comme le temps passe. Chuis pas un débutant dans le métier moi !
Moi : Pour ce qui est de dire des conneries non plus !
Luc : Pffff !
Moi : Je sais pas si c'est normal mais j 'ai comme une migraine qui monte là.
Luc : Petite nature va !
Moi : Et tu vas éditer quoi ?
Luc : Je sais pas moi ! Des livres, des fascicules, des revues … Enfin tout ce qui peut s'imprimer et se diffuser … Et toi tu fais quoi toi ici ?
Moi : Je viens voir Sophie …
Luc : Et tu as vu ses bureaux ? Ils sont extra, je veux le mêmes. 

Il montait avec moi dans l'ascenseur, j'avais pourtant l'impression qu'il s'en allait quand je suis arrivé mai enfin, on sait qu'avec Luc il ne faut pas toujours chercher la logique. On arrivait au dernier étage en quelques instants. 

Sophie : Luc ? Te revoilà, tu as oublié quelques chose ?
Luc : Non mais je voulais te présenter le nouveau !
Sophie : Tu me feras toujours rire, Luc. Salut Djé, tu vas voir c'est tout nouveau, c'est tout beau, tu auras le bureau là. Si la déco ne te convient pas tu pourras toujours la changer par la suite.

Je faisais le tour des bureaux, Luc me suivait … 

Luc : Tu as vu ça, c'est chouette. Moi j'aime bien. C'est beau. Sophie m'a donné l'adresse du décorateur !
Moi : Au fait tu ne m'avais dit que tu n'avais presque plus de sous toi ?
Luc : C'est de l'histoire ancienne ça ! J'ai vendu trois reportages depuis … 

Finalement Luc nous laissait. 

Sophie : Il est mignon ton petit frère !
Moi : Tu t'entends bien avec lui ?
Sophie : Oui très bien, et tu as vu en affaire il s'en sort bien. Il a trouvé deux partenaires pour ouvrir ses nouveaux bureaux …
Moi : Deux partenaires ?
Sophie : Bein oui, Bob et Liam, ils ont gagné pas mal d'argent avec leurs défilés ! Ah tu n'était pas au courant !

Moi : Mais c'est qu'il ne m'a pas tout dit le petit bonhomme, il faudra que je tire ça au clair .

Un peu plus tard je m'installais à mon bureau. Un fraction de seconde j'avais l'impression d'être le maître du monde, de mon bureau j'avais une vue imprenable sur tout le centre ville. Sophie me laissait un peu de temps pour rêver puis m'appelait.

Le reste du stage je la suivais partout, je lui servais de chauffeur, de secrétaire, je restais en retrait mais rien ne m'était caché. J'observais, j'apprenais … Finalement c'est pas mal à conduire aussi les voitures comme celle qu'a mon frère.

On m'avait donné deux secrétaires, deux hommes, dans le bureau d'à côté, celui de Sophie il y avait deux secrétaires, deux femmes … La semaine passait vite, j'ouvrais le courrier et triais les informations en fonctions de leur importance. Ça a l'air facile, dit comme ça mais en fait c'était pas si simple. Vers la fin de la première semaine Sophie me confiait …

Sophie : Tu sais Djé ce que tu fais en ce moment n'a absolument aucune importance, on te fait juste trier des documents ou des informations qui l'on déjà été. 
Moi : Alors ça sert à quoi ? C'est juste pour m'embêter ?
Sophie : En fait, c'est pour te familiariser avec l'entreprise. Les informations et les documents sont réels. 

Pendant mon second stage je voyais passer des documents incroyable. Un contrat de production de dix avions de ligne, petits porteurs pouvant transporter une cinquantaine de passagers sur huit mille kilomètres. Des courriers qui parlaient de la production d'un bateau. Pfff, un bateau … Oui mais celui-ci faisait deux cent cinquante mètres de long …

Ce n'était là que quelques unes des activité du groupe PK. Cinq ans plus tôt cette entreprise n'existait pas. C'est nous Antoine et moi qui avions imaginé le nom de cette entreprise. Les autres entreprises existaient déjà elles. Un seul propriétaire ou presque … La PK était en fait juste une image de marque, juste une façade, un bureau de direction qui concentrait le contrôle de tout le groupe Le Conte. Sa nièce en prenait le contrôle, son frère qui ne s'intéressait pas à la gestion d'un tel '' machin '' pour reprendre ses propres mots lui laissait plein pouvoir. 

Finalement la section '' Dispositifs de Chasteté '' par laquelle nous avions découvert ce groupe ne représentait pas grand chose dans le chiffre d'affaire total , là on comptait encore en million. Trois sous quoi !

Pour la fin du deuxième stage Sophie m'invitait à aller voir ailleurs …

Sophie : On est vendredi soir, si tu prenais ton week-end, dans un hôtel par exemple ? 
Moi : Euh oui, pourquoi pas ?
Sophie : Tu mets Liam dans tes bagages et tu passes les deux jours qui viennent sur le bord du pacifique …
Moi : Moi je pensais partir en voiture, c'est ce que je fais d'habitude …

Sophie éclatait de rire.

Sophie : Il y a un jet qui n'attend que toi et ton copain, il vole à une fois et demie la vitesse du son, en une nuit il te conduira à l'autre bout du monde. Dans le plus grand confort, tu descends de l'avion parfaitement reposé et il te redéposera lundi matin pour aller à ta fac … L'hélicoptère attend, tu téléphones à Liam tout de suite.

J'en revenais pas, je savais que la PK avait des moyens énormes, mais là on m'offrait un week-end sur le bord du Pacifique, mais c'est que ça fait de la route tout ça surtout que nous, nous sommes sur la façade Atlantique, Atlantique Est … Le pacifique ça c'est sûr, j'y serais pas allé en voiture !

Liam ne traînait pas, je lui avais téléphoné, il avait alors sauté dans la Mercedes et il arrivait. Il sifflait d'admiration en voyant les bureau, c'était la première fois qu'il voyait mes bureaux. Sophie arrivait. Lui faisait la bise.

Sophie : Bon les garçons je vous laisse, vous pouvez laisser la voiture au parking il est surveillé. Et … Amusez-vous bien ! Votre taxi est sur le toit !


Liam : Elle veut dire quoi par là, notre taxi est sur le toit ?

Je le prenais dans mes bras, lui faisait un câlin rapide et l'entraînait sur le toit. Comme prévu il y avait un hélicoptère. Liam ne cachait pas sa surprise mais ne disait rien. Quelques instants plus tard on arrivait à l'aéroport, le jet attendait. 

On s'engouffrait dans l'avion, Liam ne disait toujours rien, mais je voyais à sa tête qu'il n'en revenait pas. C'était un petit salon qu'il y avait dans l'avion. Derrière une porte une chambre, petite mais très luxueuse. L'avion décollait. 

On nous servait un repas léger, homard, caviar, fois gras et quelques bricoles de ce genre. Ensuite on regardait un film ( écran géant aussi large que la cabine ), puis on allait se coucher. On ne ressentait aucune vibration, un petit écran indiquait notre vitesses nous devions être à environ mille six cent kilomètres heure environ. Pas le moindre bruit ne venait nous gêner. 

Liam baillait longuement. Je lui sautais dessus. 

Moi : Et tu t'imagines que je vais te laisser dormir.

Il me recevait dans ses bras. D'un mouvement énergique il me retournait sur le dos et se retrouvait sur moi. Puis c'était avec tendresse qu'il me couvrait de baisers en me retirant mes vêtements. Je le laissais faire, il me chatouillait et me faisait rire. Je ne me défendais pas et si un morceau de peau passait à ma portée j'y déposais un baiser.  

Il avait ouvert mon pantalon et déposait un baiser sur le bas de mon ventre.

Liam : Je vois que tu voyage toujours léger …

Je lui répondais par un baiser sur la bouche. Il tirait alors sur mon pantalon pour me le retirer. Je soulevais les fesses pour l'aider et me retrouvais rapidement complètement nu. Il avait toujours ses vêtements et était allongé sur moi. Je passais mes jambes derrière ses fesses, il se laissait retomber de tout son poids, je l'enlaçait, je l'embrassais, je le caressais longuement avant de lui retirer également sa chemise …

La pression dans nos dispositifs PK était intense, nos souffles se synchronisaient. Le désir montait, une certaine frustration aussi mais nous savions comment la gérer, nos torses étaient devenus particulièrement tactiles, le moindre contacte avec la peau de l'autre était terriblement sensuel et si je ne pouvais pas me tripoter la queue ni la sienne d'ailleurs, je pouvais caresser, tâter chacun de ses muscles, et il en avait, il en avait partout .

Mes mains se promenaient sur son corps, mes lèvres elles se limitaient en premier à son visage, avant d'aller plus loin … Mes mains se glissaient dans son pantalon, sur ses fesses.

Moi : Je vois que toi aussi je aime voyager léger …

Il me répondais par un sourire puis un baiser. J'ouvrais son pantalon et le faisais glisser, il ne se débattait pas et se retrouvait nu à son tour. Il y avait toujours le contact froid, dur, sans pitié de nos PK entre nous. Mais la peau de tout le reste de nos corps était brûlante … Douce et brûlante .

Je passais mes jambes autour de lui, je le retenais fermement contre moi et ce n'était plus que caresses et câlins. Il me caressait et me massait les couilles, je plongeais et lui gobais les lui gobais. Il en faisait de même. Nous avions pris instinctivement la célèbre position du chiffre sacré … Soixante neuf ( année érotique … Pom, pom, pom ) …

Je glissais mes doigts entre ses fesses, juste là dans sa plus grosse ride, sa seule ride.  J'insistais longuement sur le petite ouverture, la massais avec un mouvement circulaire mais sans essayer d'entrer. Je le sentais réagir, il appréciait. En réponse il me caressais les cuisses et le torse. Il avait replié ses jambes, une légèrement et j'avais posé ma tête dessus. L'autre complètement replié et reposé sur moi me laissait librement un accès à son anus.

Je le lubrifiais, et le massais avec plus de force maintenant. Je gardais toujours ce mouvement rotatif mais j'appuyais plus fort, il faisait plus de bruit en respirant. J'appuyais alors fort et mon doigt glissait doucement dans son cul. Doucement, lentement mais complètement, bien à fond.

Sans attendre plus je lui massais la prostate avec à la fois force et douceur. Il gémissait de plaisir, et je sentais son corps se détendre totalement, tous ses muscles se relâchaient et il gémissait de plaisir.

Il me caressait les fesses avec douceur. À son tour il glissait son doigt entre mes fesses puis c'est deux doigts qui me glissait dans le cul. C'était bon, je sentais ma queue se contracter dans sa prison, elle voulait sortir, là aussi c'était bon.

Il me massait la prostate avec la force de ses deux doigts. Je passais moi aussi à la vitesse supérieure et c'est avec force que mon doigt frappait contre sa prostate. Par moment il se contractait, il convulsait, il gémissait en même temps, par moment c'est moi qui gémissais et convulsais. 

Il passait une mains sur mes testicules et je tremblais de plaisir. Ma queue poussait contre sa cage et c'était une sensation agréable de la sentir ainsi parfaitement confinée, sans douleur, le plaisir montait depuis l'intérieur de mon urètre, un peu comme si j'allais éjaculer. Je frissonnais de plaisir, de ce plaisir qui ne se manifestait pas encore mais s'annonçait …

Liam tremblait, gémissait et je le sentais jouir, il éjaculait, un long filet de sperme coulait de son dispositif. Sa respiration redevenait plus lente mais plus longue. Il ne bougeait plus, je me détendais. Il avait laissé des deux doigts dans mon cul et c'est quelques instants plus tard qu'il reprenait le mouvement, il ne prévenait pas et y allait avec force.

Je me ressaisissais de nouveau, tous mes muscles se tendaient, mon souffle redevenait rapide et de nouveau cette sensation de plaisir naissant au cœur de ma queue. Je tremblais, je respirais fort, je gémissais et finalement je jouissais et jutais longuement.

Plus personne ne bougeait. 

Un peu plus tard on se retrouvait face à face, on se tenait bien serrés dans nos bras et c'est dans cette position qu'on s'est endormi. Nous étions alors quelque par au dessus de l'océan atlantique.

Je me réveillais brusquement, il m'avait semblé ressentir un choc dans mon sommeil. J'avais l'impression qu'on roulait. Je prenais le téléphone pour me renseigner, le steward me rassurait en m'expliquant que en effet nous roulions, nous faisions une escale technique, pour faire le plein de carburant.

On me disait de ne pas nous inquiéter, je ne m’inquiétais pas. Un peu plus tard avant de me rendormir, je sentais l'avion rouler puis une légère secousse puis de nouveau je sentais qu'on volait. Liam ne s'était pas réveillé, je me blottissais tout contre lui et me rendormais.

On était réveillé le lendemain matin. Une limousine nous attendait juste à côté de l'avion, pas de douane, pas de contrôle d'identité. C'est ce jour que j'ai fait connaissance avec l'administration Le Comte, elle savait s'occuper efficacement de ce genre de détails. 

On nous conduisait directement à l'hôtel, on nous y servait un petit déjeuner de fou. Surtout que ce n'était pas le matin. On était parti le soir et comme on avait volé presque à la même vitesse que le soleil, il faisait donc nuit, surtout que sous ces latitudes la nuit tombe très tôt …

Qu'importe nous allions vivre une journée et demie à l'heure de la ville de départ. On a commencé par faire la fête toute la nuit. A l'aube nous dînions, c'était l'heure ou les locaux prenaient leur petit déjeuner mais nous on dînait léger dans un restaurant vingt cinq étoiles ( je sais ça n'existe pas, c'est une façon de parler ) enfin le genre de restaurant que mon petit frère saurait apprécier. Plus tard dans la matinée on allait se coucher avant de remettre ça dans la soirée, nous avions droit à une visite touristique de nuit … 

Et c'est donc un peu avant le lever du soleil, je vous avoue qu'on était un peu perdu mais je suivais sans me pauser de questions. Ils doivent avoir l'habitude de gérer ce genre de situations. Comme prévu on remontait dans l'avion, ou on passait une nuit de repos utile et, comme prévu, c'est reposés qu'on se retrouvait à l'aéroport de départ, c'est dans les délais que l'hélicoptère nous déposait, on prenait notre voiture et on se retrouvait à l'appartement.

Nous avions pris le petit déjeuner dans l'avion, on retrouvait Luc et Bob.

Bob : Vous n'êtes pas en avance si vous voulez prendre votre petit déjeuner .
Liam : Non ça va on l'a pris dans l'avion !
Luc : Dans l'avion ! Et vous étiez ou ?
Liam : Mexique !

Luc et Bob nous regardaient avec des yeux tout ronds. On entrait dans ma chambre  pour nous changer et prendre une douche. Quand on en ressortait quelques instants plus tard ils nous regardaient toujours avec des yeux tout ronds.

Luc : Mexique ?
Moi : Bein oui !
Liam : Bon c'est l'heure d'aller à l'école, finalement au niveau timing c'était bon, on n'est pas en retard. Tu viens avec nous Bob ou bien …
Luc : Mexique ??

Bob ne comprenait plus rien mais nous suivait. Luc restait sans bouger la bouche ouverte, il n'avait pas l'air futé là il faut dire …

Liam et moi étions assez content de nous … Il a bien sûr fallu leur raconter.





N'hésitez surtout pas à me laisser une commentaire et à me retrouver sur Twitter …  @CharlyChast 

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