PHILIPPE EP 29 : LUIDJI M'ALLUME

PHILIPPE
EP 29 : LUIDJI M'ALLUME


La semaine suivante se passait tranquillement. Je m'étais retrouvé avec le même colocataire que l'année précédente. L'autre allumeur de Luidji qui me montrait sa bite tous les matin au réveil l'année précédente.

Un de ces jours il va falloir qu'on règle ça !

En plus, il ne se contentait pas de me montrer sa bite, il bandait, il me montrait sa bite en érection. 

Remarquez là je m'emporte, la première semaine avait passé et je n'avais pas encore vu le bout de sa queue à celui-là, même pas sous la douche. Ça me manquait un peu, c'est vrai quoi, c'est pas la peine d'avoir un colocataire canon, exhibitionniste et bien monté si on ne peut pas se rincer l’œil. 

Ah vous pensiez que je râlais ? Oui d'une certaine manière je râlais mais c'était uniquement parce que j'avais pas le droit de toucher … Non ! En fait je vais pas me plaindre, il est canon tout de même, il est bien foutu, simplement j'aurais bien aimé pouvoir y toucher moi ! Un matin, nous n'étions pas encore levé. 

– Tu ne portes toujours pas de dispositif de chasteté toi ? Me demandait Luidji.
– Non mais tu rigoles. Moi ! Ça ! JA-MÉ ! Répondais-je.
– JA.MÉ ??
– Si tu préfères … Jamais ! … Tu n'avais pas traduit ?
– Et tu vas faire comment l'année prochaine à la fac ?
– Je trouverais une solution, je ne sais pas encore comment je vais faire mais … Mais c'est quoi tes conneries ? Tu sais très bien qu'on ne peut pas entrer avant l'âge de dix neuf ans !
– Dix huit !
– Non dix neuf !
– Ils ouvrent une nouvelle classe de préparation, accessible dès l'âge de dix huit ans. Pour les bons élèves !
– Ouai ! Donc j'ai rien à craindre … Là je ne suis pas concerné !

Il rigolait de ma réponse.

– Et bien moi je suis déjà inscrit ! Rajoutait Luidji.

Et disant cela, il relevait sa couverture et se dévoilait pour la première fois de cette année entièrement nu à mes yeux. Il portait un dispositif de chasteté. Je regardais ça avec des yeux tout ronds qui ressortaient de ma tête et qui le faisaient rire.

– Je n'avais encore jamais essayé mais finalement c'est pas si désagréable, c'est stimulant. Continuait Luidji.
– Tu aimes ? Lui demandais-je.
– Ouai ! C'est super cool ! Ça ne fait pas mal ! On peut bouger librement !
Et surtout … Ça motive !
– Ça motive quoi ?
– Je ne sais pas comment t'expliquer. Tu devrais essayer tu verrais !

Essayer, essayer, je ne vais pas lui raconter que j'ai déjà essayé. Il serait capable de se moquer de moi. Bon c'est vrai que ça ne gêne pas pour bouger, mais c'est pas une raison. 

C'est pas désagréable ! C'est pas si agréable que ça non plus !

Et en tout cas, moi ça ne m'a pas motivé ! 

Il s'habillait devant moi, il prenait le temps, il n'est jamais pressé, là ça n'a pas changé ! L'année précédente il me le faisait souvent aussi. Il prenait tout son temps pour passer ses vêtements, bien les ajuster mais … là j'avais l'impression qu'il prenait encore plus son temps.

Il me semblait que l'année précédente il enfilait son caleçon plus rapidement, là il prenait vraiment son temps, il enfilait un T-shirt, puis sa chemise qu'il ajustait en gardant les fesses à l'air, et la bite en cage, à l'air aussi. Je ne pouvais pas détacher les yeux de son truc. C'est fou comme c'est sexy un mec en cage !

Je me demandais même si c'était pas plus calme de voir sa bite se relever , plus calme dans ma tête je veux dire. Là il n'y avait plus que ses couilles qui se balançaient et sa queue ratatinée dans une petite cage qui semblait si petite. La cage se redressait devant lui, la bite tentait désespérément de s'élancer vers le ciel, telle une tour penchée forte, fière, puissante. Je vais finir par devenir poète si ça continue. Mais rien de dépassait, la tour penchée s'arrêtait au premier étage. 

Finalement c'était pire que quand il se baladait à poil, enfin pire dans ma tête je veux dire, je bandais comme un fou moi. C'est vrai que plus rien ne m'en empêchait depuis une petite semaine. Et là, j'étais pris d'une violente poussée de romantisme … J'avais envie de lui sauter dessus et de l'enculer !

Il avait ajusté sa cravate, la chemise était parfaitement ajustée également et c'est seulement à ce moment qu'il allait enfiler son caleçon. Même pas ! Le fou il enfilait un jockstrap ! Vous savez ce genre de sous vêtement qui ne maintient que les couilles, enfin la bite aussi. Mais je veux dire par là que ça laisse les fesses à l'air et il a un cul le gars. Je ne vous dis pas ! Je me disais '' Je vais craquer, je vais craquer, je vais craquer … ''.

J'ai été héroïque … J'ai pas craqué !

Je ne sais pas comment j'ai fait mais j'ai pas craqué. Remarquez j'étais pas plus avancé, j'ai pas débandé du reste de la journée, j'avais son cul devant mes yeux toutes la journée et quand c'était pas son cul c'étaient couilles et sa cage que j'avais devant les yeux. 

Toute la journée, dans ma tête je me disais : '' Je vais craquer, je sens que je vais craquer. Mon cœur ne tiendra pas une année entière à ce rythme !''

On faisait une longue séance de sport dans l'après midi, je me défoulait, je me défonçais, j'étais à fond, je bandais tout de même. En plus il y avait les corps de tous mes camarades très légèrement vêtus. Il faisait chaud et une grande partie d'entre eux terminaient même torse nue. Ils étaient tous jeunes, beaux, musclés, élégants, sveltes … Je vais craquer je vous dis !

Les muscles roulaient sous la peau et la peau se moulait avec finesse sous les vêtements de sport. Partout ou je tournais le regard il y avait des corps attirants. Je me suis noyé dans le romantisme. Les culs les plus ronds, j'avais envie de les défoncer. Les bosses les plus visibles entre les cuisses j'avais envie de les voir de plus prêt, je les imaginaient en forme ( en érection pour ceux qui ne suivent pas ) et j'avais une folle envie de me les prendre dans le cul.

Cette année il y avait plus de la moitié des élèves qui portaient un dispositif de chasteté et ça se voyait. Les tenues de sport sont suffisamment minces et moulantes pour ne rien dissimuler. Et je ne vous dis pas comment c'est sexy un mec en tenue moulante dont l'élasticité du tissus trahie la présence d'un dispositif PK, c'est encore plus sexy que quand il est à poil. 

Je vais craquer je vous dis. Mon cœur aura lâché avant la fin de l'année !

Ensuite on se retrouvait sous la douche, douches collectives. Mes camarades rigolaient en me voyant. Je bandais comme un fou. Rien à faire je ne contrôlais plus rien, je n'essayais même plus. Personne ne restait très longtemps sous la douche, ils sortaient les uns après les autres en faisant du bruit et en rigolant. La moitié portait un dispositif de chasteté, d'autres avaient une grosse molle qui pendait lourdement devant eux à chacun de leurs mouvement, quelques un bandaient aussi, comme moi. 

J'allais sortir, Luidji passait juste devant moi et d'un geste rapide, presque accidentel, me caressait les couilles … '' Tu as l'air en forme toi dis-donc, encore plus que d'habitude … ''.

C'est vrai que c'est pas la première fois que j'ai bandé sous la douche.

Sans le faire exprès, enfin, sans l'avoir prémédité je lui caressait moi aussi les couilles, ma main remontait sur sa cage et ma queue à ce contact semblait se contracter encore plus … Je dis ' semblait ' parce que j'étais déjà au maximum. 

Je ne vous dis pas mais c'est pas ça qui risquait de me calmer.

Les premiers sortaient déjà des vestiaires, j'arrivais en dernier, je m'installais dans un coin et m'habillais rapidement. Je bandais. Je sortais à mon tour, pour une fois je n'étais pas le dernier, il restait un mec qui se dépêchait, il bandait, et un autre qui prenait son temps. Mes yeux se sont attardés sur lui, il portait un dispositif céramique. 

Son corps était bronzé, il avait sans doute passé ses vacances au soleil. Il était bronzé de partout. Bronzage intégral comme j'aime. La couleur blanche mate du dispositif ressortait bien sur sa peau ambrée et satinée. Je sentais une montée de romantisme qui me prenait. Il n'avait pas un poil sur tout le corps, et ses muscles étaient fins, parfaitement dessinés et parfaitement proportionnés. J'avais là encore une violente envie de lui défoncer le cul et de vérifier au toucher chacun de ses muscles, à l’œil c'est bien mais des fois il faut voir de plus prêt. 

Je sais de quoi je parle, je suis peut être encore jeune mais je commence à bien connaître mon sujet !

Je rattrapais rapidement le reste du groupe. Il y avait Luidji devant moi, il portait un costume comme nous tous. Son pantalon était parfaitement ajusté, je n'avais jamais remarqué à quel point ces pantalons nous mettaient en valeur. Ça ne donnait pas dans le genre exhibitionniste, non, c'était des costumes parfaitement classiques et très sobres. Jusque là ils m'avaient toujours paru austères mais en voyant le cul de Luidji devant moi une nouvelle bouffée de romantisme me montait au visage et je m'imaginais là, lui sautant sur le dos, lui arrachant son pantalon, je l'aurait alors poussé en avant, il se serait penché sur un banc et je l'aurait culbuté là. Sans autres préambules, sans prévenir, sans me préoccupé de nos autres camarades. Ils auraient regardé le spectacle et à la fin ils auraient applaudi.

Et à la fin oui ! Quand Luidji m'aurait supplié de le laissé, juste après qu'il m'ait imploré de ne pas le lâcher, de lui en donner encore plus. Quand n'en pouvant plus j'aurais finalement décidé que c'était bon, qu'il avait son compte, que j'avais pris assez de plaisir quand … Ouai, à la fin j'aurais réajusté ma cravate et je serais reparti avec une allure digne ...

Ouai ! Alors ça c'était une grosse crise de romantisme ou alors j'y connais rien !

J'ai pas craqué !

En y repensant je me demande si c'était vraiment nos costumes qui me faisaient cet effet. Ça venait peut être juste de moi. Et puis j'ai bien fait de ne pas me laisser aller finalement. Je crois que je me serais fait remarquer !

Un peu plus tard on se retrouvait tous au réfectoire. Je bandais. D'ailleurs je me demandais si à un moment de la journée javais débandé. Je me souvenais qu'à chaque fois que je m'étais posé la question et bien je bandais  ! Enfin c'est pas ce que je voulais dire. Simplement je ne me souvenais pas si il y avait un moment dans la  journée ou je n'avais pas bandé ?

Il m'avait vraiment allumé ce matin là Luidji. Je ne m'en étais pas remis de toute la journée. Il faut bien se dire aussi que c'est vraiment sexy un mec en cage, je ne parle pas de moi là. Je parle des autres, parce que moi … JA – MÉ … ! C'est pas négociable ! Si jamais quelqu'un veut me faire porter un de ces trucs, je vous jure, je ne sais pas ce que je fais, mais je le fais … 

En tout cas, cette  histoire ne m'avait pas coupé l’appétit. J'ai mangé comme un goinfre !

Ce soir là dans la chambre, Luidji était studieux comme à son habitude. C'est tout lui ça, soit il joue les allumeurs et les exhibitionnistes, soit il fait l'innocent et fait semblant d'étudier. Enfin semblant peut être pas, lui, il est bon, il a des notes qui feraient plaisir à mon père, si  j'avais les mêmes bien sûr mais il faut pas rêver, là il n'y a aucune chance !

Et puis comment voulez-vous que je me concentre moi ? On était dans une école de garçons, la moitié de mes camarades de classe portaient un dispositif de chasteté, je trouve que les garçons sont particulièrement sexy avec un truc pareil sur la queue et précisément mon colocataire en portait un depuis peu et tous les matins désormais j'aurais droit au spectacle de sa queue en cage.

– Tu sais il paraît qu'il y a des plages qui autorisent les porteurs à se balader à poil. Me faisait remarquer Luidji.
– Ouai je sais ! Ça s'appelle des plages naturistes !
– Non ! En fait sur les plages naturistes c'est pas bien vu de porter un truc comme ça.

En  disant ça il s'était mis torse nue.

– J'ai entendu parler de ça moi aussi.
– Tu sais, tu peux te mettre à poil aussi, si tu veux ! Me répondait Luidji.

En disant ça il avait retirer le reste de ses vêtements, il se retrouvait à poil et faisait les cent pas à travers la chambre.

– C'é ta bunne tonne didé ta bon ravi … Bafouillais-je .
– Tu disais, j'ai pas trop compris là. Me faisait remarquer Luidji.

Je prenais une grande respiration, avalais ma salive .

– C'est pas une bonne idée … Répondais-je.
– Mais si tu faisais comme moi, tu pourrais te mettre à poil aussi sans que ça ne devienne inconvenant. Tu mets une PK toi aussi et c'est réglé.

J'avalais à nouveau ma salive. Je me disais : '' Je vais craquer, je sens que je vais craquer '' , je le regardais faire, c'est vrai qu'on nous l'a dit. Quand on porte un dispositif PK on n'est pas vraiment nu … Donc … !

Je bandais. J'avais comme un doute, il me semblait que quelques instants plus tôt je ne bandais pas mais j'étais même pas sûr.

– Tu sais que tu es bien foutu ! Rajoutait Luidji.
– Qu'est-ce que t'es pas plumé toi !

Il me regardait bizarrement. 

– Tu es fatigué toi !
– Fai la bouté géante ! Lui répondais-je.

Vous m'excuserez si je ne traduit pas mais je ne sais même plus ce que je disais à ce moment. Et puis j'ai arrêté de parlé à ce moment là. Il me faisait bafouiller l'autre zouave !

– Tu sais j'aime bien me balader à poil comme ça. M'expliquait Luidji en faisant les cent pas.
–  … 
– Avant j'osais pas, j'avais peur de te mettre mal à l'aise.
– G... ?

Mais qu'est ce qu'il raconte il me fait le coup tout les matins.

– C'est cool que ça te dérange pas ! Surtout que maintenant c'est beaucoup plus convenable. Enfin pour moi … 
– Rh … !

Mais j'ai jamais dit que ça me dérangeait pas, ça m'affole c'est tout.

– Tu sais on est vraiment bien comme ça. Et puis je sais que  je ne vais pas bander, je peux me laisser aller, je me sens bien, dans mon corps. Tu devrais vraiment essayer !
– Gh, Gh …
– Tu sais il y en a plein qui font ça, qui se mettent à poil comme moi là  parmi les porteurs. 
– C … C …

Non mais franchement il va pas me faire ça tous les soirs maintenant. Il me le faisait déjà tous les matins …

Je vais craquer je vous le dis, je vais craquer !





N'hésitez surtout pas à me laisser une commentaire et à me retrouver sur Twitter …  @CharlyChast

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