PHILIPPE EP 30 : LES SOIREES CHEZ PETER

PHILIPPE
EP 30 : LES SOIREES CHEZ PETER




Les jours qui suivaient je remarquais que Luidji ne prenait plus la peine de mettre des sous vêtements. Le matin il passait rapidement sous la douche, je ne sais pas ce qui leur prenait mais de plus en plus de porteurs se baladaient à poil dans les couloir pour aller à la douche, juste une serviette sur l'épaule au lieu de la porter en pagne autour de la ceinture. Ensuite, dans la journée, sous son pantalon il ne portait rien … Euh … Sauf bien sûr le petit truc qu'il ne pouvait pas retirer.

Moi je gardais un sous vêtement pour aller à la douche parce que je bandais. Sous la douche ça faisait rigoler tout le monde, surtout ceux qui portaient un de ces trucs. Ils me taquinaient et comme avec les années ils étaient plus nombreux ils se lâchaient. Il ne se passait pas un jour, surtout le matin, qu'au moins un de ces nouveaux porteur me conseillait de faire comme lui …

… 
… Mais tu attends quoi toi ? Le fils Brosso ?
… C'est ton père en plus qui les fabrique !
… Tu pourrais montrer l'exemple au moins ! 

Je peux vous garantir qu'en plein jour, personne ne faisait le clown en racontant ce qui se passait plusieurs fois par semaine dans la chambre de Peter ! J'en repérais rapidement plusieurs et je peux vous assurer qu'eux il ne me disait pas de mettre un truc comme le leur. 

Vous connaissez l'expression : '' Il faut des baisés ! '' ? Ouai bein dans ces cas là il ne faudrait pas oublier qu'il faut aussi des baiseurs … Éh ,éh , éh, j'avais choisi mon camp !

Sous les douches, dans les vestiaires, je ne cachais plus mes érections, remarquez j'ai jamais réussi à les dissimuler vraiment, mais là je n'essayais même plus. Je faisais mon fier. Remarquez comme je ne traînais plus sous les douches pour arriver quand c'était possible après tout le monde, je n'arrivais plus en retard aux cours. 

Un jour ou je croisais le directeur dans le couloirs, il me disait, non sans une certaine malice.

– Mr Brosso, mais je vous croyais malade. Ça va faire trois semaines que je ne vous ai pas vu dans mon bureau pour être arrivé en retard à votre cours ! Me faisait remarquer le directeur avec un brun de malice.
– Vous me taquinez Mr le directeur, vous me taquinez ! Faites attention je suis parfaitement capable de mobiliser votre salle d'attente pendant des heures si je veux.

Il rigolait.

– Là c'est vous qui me taquinez Mr Brosso. Mais faites moi plaisir, continuez comme vous faites maintenant. Me répondait-il.

Je continuais ma route avec un grand sourire, bien sûr mes notes ne s'amélioraient pas mais le nombre de mes sanctions était en chute libre. Comme quoi, ces histoires de cul, ça a du bon dans les études !

Le soir Luidji se déshabillait avant d'aller prendre sa douche, il y arrivait à poil, la serviette sur l'épaule. Il en revenait à poil, quelquefois il traînait dans les couloir, il lui arrivait même de s'arrêter dans une chambre. Juste à côté de notre chambre, nos voisins portaient tous les deux un dispositif … Luidji restait à poil toute la soirée, sauf s'il devait sortir. Moi je voyais ça, je bavais d'envie, l'envie de l'enculer. 

Un jour que je me changeais j'entendais Luidji.

– Si tu veux te mettre à poil, il n'y a pas de problème mais tu mets un dispositif alors. Sinon c'est pas loyal. Tu peux te branler quand tu veux toi, pas moi ! Tu peux te faire plaisir toi, pas moi ! C'est déjà assez dur comme ça, si en plus c'est pour te voir bander, et pourquoi pas te branler pendant que tu y es … Me déclarait Luidji.

Le ton était agacé, il ne parlait plus de la même manière que quelques semaines plus tôt. 

Éh, éh, je savais bien moi que c'était pas si cool qu'il le disait ! Et je vous le rappelle : Moi, ça  JA-MÉ !

Régulièrement, si vous préférez, plusieurs fois par semaine je me glissait discrètement sans prévenir dans la chambre à Peter. J'y allais aussi quand j'étais invité je vous rassure. J'y avait emmené Théo, il ne pouvait plus faire grand chose le pauvre Théo avec son truc autour de sa queue. Je ne l'avais bien sûr pas prévenu de ce qui l'attendait, il en avait bien une petite idée mais le mieux c'est de voir pas soi-même.

– Bon Théo tu te mets à poil ! Lui demandais-je.
– Alors là c'est direct, pas de préliminaires ! Me répondait Théo.
– Je me mets à poil moi aussi si tu veux. Rajoutait Peter.

Rapidement on était tous les trois à poil. Peter s'installait dans son large fauteuil.

– Suce moi la queue ! Ordonnait Peter.

Je me penchais sur Peter, accroupi juste à côté de lui et commençais à lui caresser la bite. Je bandais ( vous vous en doutiez ! Bon d'accord ... )

– Mais qu'est-ce que tu fabriques toi ? Me demandait Peter.
– Beuh ! Je te suce la bite !
– Mais c'est pas à toi que je parlais. Allez, toi viens t'installer à côté de moi. 

Théo s'accroupissait et me donnait un coup d'épaule, pousse-toi de là toi !

Il caressait ensuite avec douceur la queue de Peter. Là dans cette situation Peter c'est un chef, il sait exactement ce qu'il faut faire. C'est simple il ne fait rien ! Il laisse faire ! Je les regardais. Je bandais ( oui je sais vous vous en doutiez ), je commençais à me tripoter un peu la bite.

Peter me tapais sur le dos de la main.

– Tu connais la règle, pas de branlette. Il y en a qui ne peuvent pas faire ça ici. Si tu veux te faire plaisir tu les sollicites.
– C'est la nouvelle philosophie ? Demandais-je.
– Parfaitement. Il faut penser aux autres. Tous tes camarades qui ne peuvent se faire plaisir qu'en te faisant plaisir.

Théo changeait de bite, il suçait la mienne maintenant. C'était pas la première fois, j'appréciais de plus en plus. Il faut aussi dire qu'il faisait ça de mieux en mieux. En quelques mouvement de tête ma queue s'écrasait contre le fond de sa gorge. 

Il continuait à masturber doucement la queue de Peter et avec l'autre main il me caressait le ventre puis la cuisse. Au bout d'un petit moment il changeait de nouveau, il continuait à me caresser les cuisses. Son visage s'écrasait contre le ventre de Peter, qui maintenant lui retenait bien la tête en appuyant dessus.

C'était mon tour de nouveau, Théo avalait ma queue et sans états d'âme que moi aussi j'appuyais sur sa tête de toutes mes forces. Il lâchait la queue de Peter et tentait de se dégager avec ses deux mains. Je le retenais et ne finissais par le lâcher que quand je voyais qui allait manquer d'air. 

Il relevait la tête et râlait : '' Non mais tu veux me tuer ! ''.

Il passait à Peter et ne s'occupait plus de moi. Peter guidait sa tête avec les deux mains. Je tournais le visage vers Théo et on échangeait un baiser, puis un autre et finalement pendant que Théo suçait Peter moi j'embrassais Peter le caressais. Ça aussi j'aimais bien.

– A moi, à mon tour. M'exclamais-je.

Je donnais une tape sur la tête à Théo. Qui me répondait par un doigt d'honneur sans relever la tête. La queue de Peter glissait sur toute sa longueur dans la bouche de Théo et s'écrasait au fond de sa gorge.

– Bon si c'est comme ça !

Je me relevais et me lubrifiait la queue. Sans rien demander à personne je prenais position et enfonçais ma bite dans le cul de Théo. Histoire de me venger je la lui enfonçais bien à fond dans un mouvement rapide et violent.

C'est ce qu'on appelle '' Pan dans l'cul !''.

Jeu eu comme l'impression qu'il voulait gueuler mais il était bâillonne par la queue de Peter. Il voulait se relever mais j'appuyais sur sa tête et j'étais en position de force. Il voulait se dégager Théo mais n'y parvenait pas. Peter ne faisait rien, il laissait faire. Il faut dire que lui il n'avait pas fait grand chose depuis le début de cette  affaire. Il était allongé les deux bras derrière la tête et il regardait avec un grand sourire satisfait.

Je me retirais et en même temps lâchais la tête à Théo qui là râlait vraiment et avant qu'il n'ait le temps de dire quelque chose je revenais à la charge. Ma queue s'écrasait au fond de son cul et la seule chose pouvait dire … C'était un cri de plaisir. 

Il respirait fort, Peter lui montrait de la tendresse en lui caressant la joue. Moi j'étais déchaîné, plein d'un immense romantisme. J'avançais et reculais mon bassin avec vigueur et force. Je n'avais pas envie de traîner aussi j'accélérais le mouvement. Théo poussait des cris gutturaux, comme il pouvait, avec la queue de Peter dans la gorge, il faisait ce qu'il pouvait le pauvre. 

Puis brusquement j'ai éjaculé, sans prévenir, presque sans l'avoir vu venir ( un peu quand même mais j'avais rien dit ), j'ai éjaculé plusieurs fois et à chaque fois j'ai poussé de toutes mes forces mon bassin contre le cul de Théo avant de lui écraser les fesses en appuyant mon ventre de toutes mes forces.

Théo avait posé sa joue sur la cuisse de Peter et râlait de plaisir.

Je me relevais, enfilait vite fait mon pantalon et repartais me coucher. Au moment ou je sortais je voyais Peter qui prenait ma place, son colocataire arrivait. Je me disais que celui là il risquait d'être frustré ce soir, il porte un dispositif et s'il n'avait trouvé personne pour le soulager il n'aurait que le droit de regarder …

Il est comme ça Peter, c'est pas un tendre et il aime bien jouer avec la frustration des porteurs. 

J'arrivais dans ma chambre. Luidji était à poil, il avait l'air tendu le pauvre. Moi j'étais complètement détendu, cool, relax et c'est à moitié en chantant que je lui demandais si tout allait bien pour lui.

Il me regardait l'air presque méchant. Il lâchait son ordinateur et me faisait face, les jambes écartées. Je pouvais voir à quel point il était tendu. Son dispositif se relevait avec force, la cage était bien remplie et la peau de sa bite ressortait par les trous d'hygiène. Ses couilles formaient une grosse boule bien pleine et qui semblait bien dure.

– C'est cool ce truc, tu as raison ! Lui déclarais-je.
– Ouai c'est cool ! Me répondait Luidji sur un ton qui n'avait rien de convaincu.
– Et on se sent … C'est difficile à décrire … On se sent … Fort …
– Tu me fais chier là !

Je le regardais un peu surpris. Il avait passé quelques semaines dans sa cage et sa manière de voir les choses avait un peu changé. Ça m'amusait beaucoup, il n'était plus aussi convaincu.

– Et tu le portes combien de temps ton truc.

Là il faisait la gueule !

– Je le sentais bien moi ce truc au début. Au bout de deux semaines j'étais tellement enthousiaste que j'ai validé pour jusqu'à la fin de l'année. M'expliquait Luidji.


– Puis je me disais que, comme ça, j'aurais de l'expérience pour l'année prochaine …


– Tu sais la classe de préparation.


– Il faut porter le truc du premier jour au dernier jour, vacances comprise.


– Je ne sais pas comment je vais faire …
– Pour l'année prochaine ? Finissais-je par répondre.
– Mais non, essaye de suivre un peu. Non pour cette année.

Le ton de sa voix montrait un peu plus que de l'agacement. Il était à cran.

– Pour cette année ?
– OUI POUR CETTE ANNEE !
La il était vraiment à cran !

Il s'était levé en disant cette dernière phrase puis il rasseyait. Il était nerveux. 

– On m'a dit que j'aurais envie de me défouler en sport. Que je serais bien meilleur, que je pourrais me concentrer, que je serais plus fort.


– Il ne faut pas les croire ! C'est l'enfer !

Je sais qu'il a mal dormi cette nuit là, il m'a souvent réveillé. C'était sans le faire exprès mais je l'ai entendu se retourner et se retourner encore pendant toute la nuit. 

Quand je me suis réveillé, il dormais, il était allongé sur le dos, sa couverture était relevée. Il était nu, magnifique, tellement sexy, sa cage était pleine mais sans excès. Bien pleine, il avait juste une grosse molle. Il avait l'air paisible. 

Quelques instants plus tard il se réveillait. Il ouvrait les yeux et nos regards se croisaient.

– Tu fais quoi là ? Me demandait Luidji.
– Rien je te regarde.
– tu n'as rien d'autre à faire ?

Sa queue se réveillait aussi et je voyais la pression monter.

– Moi j'adore ! Déclarais-je.
– Tu adores quoi ? Me demandait Luidji sur un ton agacé.
– Voir un mec en cage, avec sa queue qui se révolte et tente de sortir.
– C'est malin !
– Bein ouai moi je trouve ça tellement sexy.
– Tu me trouves sexy ?
– Bein ouai !
– Connard !



N'hésitez surtout pas à me laisser une commentaire et à me retrouver sur Twitter …  @CharlyChast

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