Jeudi j'ai piscine

 Jeudi j'ai piscine



Il n'y avait pas grand monde dans cette piscine ce jour là. J'étais seul dans les vestiaires, ici les utilisateurs ne se compliquaient pas la tête et se changeaient devant tout le monde. Il y avait deux ou trois cabines pour se changer, pour ceux qui pourraient se sentir gênés de se déshabiller devant tout le monde. 


Je les utilisais toujours … Bein oui je sais, c'est pas que je suis prude mais je préfère éviter de me faire remarquer avec ma cage à bite. C'est plus simple !


Mais ce jour là il n'y avait pas grand monde dans la piscine et encore moins donc dans les vestiaires. C'est sans même y penser que je m'étais retrouvé entièrement nu devant mon placard. C'est toujours entièrement nu que je passais sous la douche, et c'est donc … à poil … que je me retrouvais de nouveau devant mon placard pour enfiler mon maillot de bain.


Mon dispositif de chasteté n'est pas trop mal étudié ( c'est moi qui l'ai fait ) de forme arrondie il est très discret sous un maillot de bain, en plus mon maillot de bain était coloré avec des motifs décoratif ce qui rend les formes de mon dispositif totalement invisible. Ça me donne juste un aspect flatteur. Bein oui on voit tout de même une bosse que certains peuvent trouver prometteuse ...


Je sortais des vestiaires tout guilleret quand je remarquait la présence d'un habitué. Un mec que je ne connais pas en fait. Enfin si je le connais un peu on se voit souvent dans cette piscine, c'est pour ça que je sais que c'est un habitué. Au passage lui aussi il a une bosse assez prometteuse mais comme je l'ai vu sous la douche tout nu déjà deux ou trois fois je sais que ce n'est pas une vaine promesse. Je vous jure il en a une grosse ! 


Il me regardait bizarrement, je me demandais ce qu'il avait. Il me fixait avec insistance, je ne comprenais pas vraiment ce qu'il voulait, je réfléchissais quand je finissais par comprendre …  Il m'avait vu sous la douche !


La vache ! J'étais un peu embarrassé, je pense que je suis devenu tout rouge puis je me suis dit … '' Oh et puis on s'en fout ! ''. Je retrouvais mes couleurs et continuais vers le grand bassin, et c'est de nouveau tout guilleret que je plongeais avec élégance. 


Oui bon, avec élégance ! Et si il y en a un qui dit le contraire je l'attends à la sortie … 


Je nageais, je plongeais, je me défoulais, le mec des vestiaires ne me quittait pas du regard. Il avait plutôt le sourire, c'était pas un regard menaçant, au contraire. Je le voyais passer devant moi à plusieurs reprises et j'avais l'impression que la bosse sous son maillot de bain était un peu plus grosse. 


Moi aussi je bandais, mais rien ne se voyait, mon dispositif est efficace et sait rester discret. Je suivais son regard et c'est mon maillot de bain qu'il fixait quand il me regardait.


Je le saluais, ce qui l'incitait à s'approcher. 


On se saluait, on se serrait la main, il se présentait et j'en faisais autant. Puis on commençait à parler de banalité. 


C'est seulement au bout d'un long moment qu'il me demandait.


– C'est quoi ce truc que tu portes là ?


D'un regard il précisait de quoi il parlait.


– Tu as remarqué ?

– Bein oui. Mais c'est quoi ce truc ?

– C'est pour rester sage !


Il restait pensif à cette réponse. 


– Et pour … ? Tu fais comment ?

– Et bien … pour … Je suis passif !


A ma réponse il affichait un large sourire et je voyais ses yeux pétiller.


On a passé les trois heures qui suivaient ensemble, on a fait connaissance. Ou on travaillait, ou on habitait, nos sorties, on prenait le temps de se découvrir. Il était bien foutu, un peu plus grand que moi, des épaules larges et carrées, musclé mais pas difforme, un beau sourire et surtout une très belle bosse qui là, ça ne faisait plus aucun doute avait grossi depuis la scène des vestiaires. 


Pour moi rien ne changeait, je sentais de plus en plus de pression autour de ma queue mais rien ne changeait, en apparence !


Il me posait les questions habituelles, si ça fait mal, si ça gêne, si on peut bouger comme on veut, si …


Je lui répondais au mieux. Mais vous savez quelquefois les questions sont claires mais les réponses peuvent ne pas l'être. 


Si ça gêne, oui, quelquefois.


Si ça fait mal, quelquefois aussi, la nuit en particulier. Il faut alors réajuster le dispositif en tirant sur la peau puis ça repart !


Si on peut bouger, là je lui faisait remarquer que ça faisait un moment qu'il me voyait bouger, que là par contre je n'était absolument pas dérangé. 


– Au contraire même. Je pense qu'en ce moment je peux bouger plus facilement que toi sans me faire remarquer !

– C'est malin !


Il gardait depuis un moment sa serviette autour de lui, j'avais remarqué qu'il bandait et là ce n'était plus du tout discret.


L'après midi avançait et on décidait d'aller boire un verre quelque part. On repassait sous la douche. Il n'y avait pas grand monde dans la piscine et les vestiaires étaient vides. 


Il en profitait pour me montrer la bête, nu sous la douche il était magnifique, surtout que je commençais à être bien allumé. Il bandait ferme, je l'avais déjà vu nu mais nu et en érection, pas encore, c'était une première.


Il avait les yeux complètement allumés en me voyant également nu. C'est pas ça qui le calmait et il bandait sans risquer de ramollir. On rigolait, on plaisantait en surveillant les vestiaires, on ne voulait surtout pas se faire remarquer. 


Je le regardais s'habiller, il avait du mal à ajuster son pantalon tellement il bandait, mais une fois ses vêtements ajusté on ne voyait plus rien. Juste avant de sortir je tâtait discrètement pour voir, il bandait toujours !


Il me regardait m'habiller, il était impressionné par le dispositif, il tâtait juste avant que je n'enfile mes sous vêtements. 


– On ne voit rien, on ne devine rien sous tes vêtements. Déjà sous ton maillot de bain, il faut vraiment le savoir et faire attention.


Il me tâtait de nouveaux et affichait un large sourire. 


– Il y a un endroit ou c'est tout dur !  Ça ne fait pas mal, vraiment ?

– Non, ça ne fait pas mal mais là je le sens bien. 


Je lui glissais à l'oreille … '' Pourtant tu peux me croire, là je bande au moins autant que toi !''. Il ne cachait pas sa surprise .


– Pourtant on ne voit rien !

– Non, il n'y a rien qui dépasse.


Il n'habitait pas très loin, il était venu en bus, j'habitais plus loin, je le ramenais en voiture. Il était bien installé, un grand appartement sans vis à vis, moderne, confortable. Son travail de cadre dans un grand groupe lui en donnait les moyens.


On se retrouvait face à face, un verre dans la main.


– Tu bandes toujours ? Lui demandais je.


Il me faisait oui de la tête.


– Tu fais voir !


Il ne lui fallait que quelques secondes pour se retrouver à poil devant moi. Sa queue n'était pas à l'horizontale, il avait atteint le niveau supérieur. Elle se relevait presque à la verticale, pas tout à fait mais presque.


Je n'attendais pas je me mettais à genoux devant lui, sans rien lui demander, je lui caressais la queue et rapidement la prenait dans ma bouche. Il en avait une belle, de belle taille mais pas que, elle était ferme, bien droite. Il n'était pas circoncis et je dégageais un très beau gland. Je le caressais de la main, je le caressait avec ma langue et lui me caressait les cheveux en gémissant.


Ma queue protestait avec une grande violence dans sa cage. C'était une pathétique tentative de révolte qui ne pouvait aboutir à rien du tout. C'était sans espoir.


J'enfonçais sa queue dans ma bouche et son gland s'écrasait d'abord sur ma glotte puis un peu plus profond. Sa queue s'enfonçait dans ma gorge, il avait l'air d'aimer tant il gémissait, il appuyait sur ma tête avec douceur. Je ne résistais pas et à la moindre pression sur l'arrière de ma tête, j'avançais mon visage vers son ventre et je recevais sa queue encore plus profond. Mon visage s'écrasait sur le bas de son ventre.


Il ne gémissait plus, c'était maintenant une véritable plainte de plaisir, il devenait bruyant. C'est à ce moment qu'un réflexe, un violent coup de bassin poussait sa queue qui venait frapper avec force le fond de ma gorge. J'étais un peu surpris mais j'encaissais. En Fait j'étais ravi. Les choses commençaient à bouger un peu.


Il m’attrapait par le bras et me relevais, pour être précis c'est moi qui me relevait tout seul, je suivais le mouvement et lui me guidait. Il me prenait dans ses bras, m'enlaçait et m'embrassait. Il était nu devant moi et je pouvais enfin découvrir la douceur de sa peau et de ses baisers. Il m'ouvrait la chemise et la faisait tomber dans mon dos. J'ouvrais mon pantalon et le faisais tomber. En quelques secondes j'étais nu dans ses bras.


De nouveau ma queue protestait avec violence. Mon dispositif  de chasteté se relevait sous la pression de ma queue. Avec un vêtement, même léger on ne remarquait rien de spécial mais nu, on voyait que la révolte grondait. 


Il me repoussait sur le canapé, prenait ma tête entre ses mains et m'enfonçait sa queue dans la bouche. Il y allait un peu plus fort, là il était décidé, il savait que je pouvais encaisser et ne se retenait pas vraiment. J'ai encaissé avec plaisir. Jusque là il avait été d'une totale douceur, c'est lui qui se laissait faire, là, il prenait la direction des opération. 


Il devenait plus virile mais toujours avec beaucoup de douceur. J'appréciais de plus en plus.


Il s'installait à côté de moi, je me penchais sur sa queue que je ne voulais pas lâcher, je continuais à la sucer. Je lui caressais les cuisses et le ventre. Il me caressait tout le corps en insistant sur mes fesses puis sur mon cul. Avec un doigt il insistait longuement et tentait même d'y glisser un doigt, je me contractais et relevais la tête.


– Là tu ne veux pas ?

– C'est pas ça mais, il faut lubrifier sinon ça fait mal !

J'avais ce qu'il fallait, j'attrapais le gel dans ma poche et le lui donnais. Puis je reprenais, je lui gobais les couilles, là il a sursauté et par réflexe il a refermé ses cuisses. J'en ai pas tenu compte. Je le sentais se contracter et c'est d'un geste rapide, qu'il me glissait deux doigt dans le cul. C'était bon. Là c'est moi qui gémissais.


Il me massait la prostate avec vigueur pendant un long moment puis se relevait.


– Allez, à quatre patte sur le tapis. 


Je m'exécutais. Il prenait alors position juste derrière moi. Je sentais sa queue se placer juste contre mon anus, puis il poussait. Sa queue était large, et il ne m'avait pas vraiment détendu avec ses doigts. Il m'avait bien lubrifié le cul mais pas vraiment détendu. 


Il poussait plus fort, j'ai senti mon cul se contracter, il était bien large, et d'un dernier réflexe je résistais. Je m'amusait alors à résister encore un peu plus. La je contractais mon anus, il poussait plus fort, je résistait encore plus …


Ça semblait le faire rire cette affaire.


– Ça résiste ! Me disait il.

– Vas y force !


C'est ce qu'il a fait, mais là il a forcé, il n'a pas fait semblant. Je résistait mais mon cul s'est brusquement dilaté. Il est rentré, je l'ai senti passer. C'est un peu ce que je cherchais remarquez en résistant comme je le faisait. J'ai gueulé. Il a hésité un court instant mais comme je ne lui disais rien il a continué à poussé.


J'ai senti sa queue m'envahir, il était large mais il était long aussi. Inexorablement il s'introduisait, il me remplissait le cul jusqu'au nombril et même bien plus loin. C'est en tout cas l'impression que j'avais. Son ventre s'écrasait sur mes fesses. Je gémissais, je poussais une longue plainte. Il me faisait bien un peu mal mais pas que. Et c'était surtout un incroyable plaisir. 


Le désir avait eu le temps de monter pendant trois heures à la piscine.


Il me balançait un coup de rein et se retirait, là je suffoquais, je manquais d'air. Sans faire de pause il revenait à la charge avec force. Il se retirait aussitôt, il se retirait complètement. Il mettait une nouvelle dose de lubrifiant puis sans prévenir me défonçait le cul avec force, bien à fond, son ventre claquait sur mes fesses. J'ai hurlé mais je ne lui ai pas dit d'arrêter. 


Il a continué à me masser et me défoncer le cul. Il passait à des mouvements doux et fermes, presque tendre puis à des mouvements violents et amples. Se retirant complètement pour revenir avec force. Je respirais fort, et là je vous jure, je prenait mon pied. 


Il me tenait bien serré contre lui, il me caressait, m'embrassait dans le dos, dans le cou. Sa queue n'arrêtait pas de me limer le cul, c'est là que j'ai joui. C'est là que j'ai commencé à jouir, j'ai commencé à trembler, à frémir. Je sentais le plaisir m'envahir dans tout le corps et je jutais.


Il s'en ai rendu compte et brusquement ses mouvements sont devenus violent, très violents. Là j'en ai pris plein le cul il à joui. J'ai senti son corps trembler, ses bras se refermer avec force contre moi. Il a convulsé et a hurlé dans mon oreille. Puis je l'ai senti se détendre. 


Sa queue restait encore bien dure pendant un petit moment puis il se retirait. Je le regardais, il avait un large sourire, il m'embrassait. Je me sentais bien .




N'hésitez surtout pas à me laisser une commentaire et à me retrouver sur Twitter …  @CharlyChast 


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