Un bel athlète

 Un bel athlète



C'est un petit texte non prévu que je propose là, je viens de le terminer mais comme j'ai des textes en réserve pour aller jusqu'au 1 er avril, je vous le propose sans attendre …



Il bougeait avec élégance, ses gestes semblaient amples et lents. C'était peut être sa taille, il était grand ! Il n'était pas bien gros non plus, pas maigre il avait des muscles, des muscles fins mais qu'on devinait forts. Son pantalon le mettait très en valeur, il faisait ressortir ses fesses et laissait deviner des cuisses solides, des jambes fines sous ce pantalon droit mais des cuisses solides. 


Et sa chemise ouverte sur son torse ne cachait pas une jolie tablette de chocolat qui n'en avait pas que la forme mais aussi la couleur. Ses cheveux étaient très courts et sa boucle d'oreille en or brillait et semblait jeter un éclair tel un clin d’œil quand il soulevait ses lunettes de soleil et dévoilait deux yeux noirs, il avait un large sourire et des dents blanches. Il avait les yeux noirs mais son regard, lui, ne l'était pas. 


Il était là sur le remblais de la ville, juste derrière lui la plage, la mer. Il traversait la route et s'installait à la terrasse d'un café, il commandait et ouvrait la revue qu'il venait d'acheter. 


Les deux petits jeunes qui le regardaient depuis un moment étaient restés en face, ils avaient un peu l'air con. Ils regardaient l'athlète, qui maintenant était en face d'eux, ils l'avait regardé, je devrais même dire admiré, quand il avait traversé la route, ils bavaient en le voyant s'asseoir. 


S'asseoir en déplaçant une chaise, juste déplacer une chaise c'est un geste banal mais quand c'est lui qui le faisait, ça devenait vite un spectacle. Il était tellement beau, tellement élégant et il bougeait avec une telle grâce. C'était un plaisir de le voir faire.


Il feuilletait sa revue, même ses doigts étaient élégants, il prenait soin de ses mains, ses ongles étaient parfaits. Régulièrement il relevait les yeux et regardait de l'autre côté de la rue, il y avait les deux petits branleurs qui ne le lâchaient pas des yeux. Ça semblait l'amuser et il avait du mal à dissimuler un léger sourire. 


Les deux branleurs ne disaient plus rien, ils avaient la bouche ouverte. Par moment ils se tournaient l'un vers l'autre et s'échangeaient quelques mots. L'un ajustait son entre-jambe. Franchement, ils n'avaient pas l'air futé les deux branleurs, ils ne remarquaient même pas qu'ils étaient repérés. Il faut dire qu'ils étaient tout sauf discret.


Ils étaient mignons aussi, deux visage de gamins, il n'étaient plus des enfants mais ils n'étaient pas très vieux … Deux branleurs quoi ! Il étaient un peu rigolard mais aucun des deux ne bougeait une oreille au moment ou le très beau mec qu'il regardaient leur faisait signe de le rejoindre à sa table. 


Ils se regardaient l'air idiot, oui, là ils avaient franchement l'air idiot … Ils se regardaient, hésitaient, se concertaient puis finalement se décidaient. Ils ne faisaient plus les marioles en s'approchant. Le gars les regardait approcher, ils étaient mignons, une allure d'adolescent, l'air idiot d'un branleur pris sur le fait. On pouvait deviner une bosse au niveau du pantalon, ils avaient réussi à bien s'exciter en regardant le beau mec, et il s'en rendait compte.


Ils s'installaient, se saluaient.


– Moi c'est Mathieu, vous avez l'air de sacrés guignols tous les deux.


Ils baissaient les yeux ne sachant pas quoi répondre.


– Franchement vous faites ça à tous les mecs qui passent près de vous ?

– Seulement les plus sexy ! Répondait avec un certain aplomb un des deux.


Son camarade rigolait, mais gardait toujours les yeux baissés. 


– Et vous vous appelez comment ?

– Alain. Répondait celui qui avait déjà parlé.

– Éric . Rajoutait en hésitant le second, il n'arrivait toujours pas à relever les yeux.

– Je vous offre un verre, vous prenez quoi ? Demandait Mathieu.

– Whisky ! Répondait Alain, sûr de lui.


Mathieu appelait le barman et lui commandait …


– Deux diabolos fraise s'il vous plaît … Et pas trop de fraise, je ne tiens pas à les ramener !


Les deux branleurs relevait les yeux et lui lançait un regard qui se voulait tueur, il était juste rigolo. 


– Vous pensiez vraiment que … Vous m'avez l'air déjà bien allumés tous les deux.

– Oui bon, on peut tenter … Rajoutais Alain … Mais le diabolo, ça ira très bien !

– Et vous avez quel âge les mômes ?

– Les mômes ! Comment il dit ça lui ? S'exclamait Éric. J'ai presque dix neuf ans, et mon copain Alain en a plus de dix huit …


Mathieu rigolait à cette réponse. 


– Vous êtes plutôt mignons tous les deux, pourquoi nous n'essayez pas de vous trouver une copine ?

– Bein, c'est que … Commençait Alain.

– On préfère les mecs … Continuait Éric.

– Et je suis à votre goût ?


Les deux gamins faisaient oui de la tête avec un sourire pincé. Mathieu rigolait à les voir ainsi. 


– Terminez votre verre, j'habite au dessus, et je vous paye un verre à la maison.

– Whisky ? Demandait Alain.

– Bien tenté, une bière à la rigueur !


Un peu plus tard ils se retrouvaient tous les trois chez Mathieu. Il leur servait une bière bien fraîche. Ils étaient tous les deux assis sur le canapé, ils étaient intimidés. Mathieu avait lui aussi une bière à la main et les regardait.


– Bon et maintenant ? Demandait Mathieu.


Les deux jeunes se regardaient, un ajustait son entre-jambe, toujours le même, c'était Alain.


– Ça te démange ? Lui demandait Mathieu.


Alain lui répondait avec un sourire, lèvres pincée, il le regardait en levant les yeux pas la tête.


– Mets toi à l'aise .


Alain relevait les sourcils, l'air interrogateur mais pas l'air futé.


– Je voulais dire, mets toi à poil !


Éric lui donnait un coup de coude en ricanant bêtement, il préférait baisser la tête. On peut imaginer que Alain s'est senti défié et a voulu relever le défi. Il se levait retirait sa chemise et en quelques gestes de plus il avait retiré son pantalon et tout le reste. 


– Mais c'est que tu es encore plus mignon comme ça. Faisait remarquer Mathieu … Puis se retournant vers Éric … Allez suce lui la queue toi !

– Mais vas y Éric, ce ne serait pas la première fois. Rajoutait Alain.


Éric râlait un peu, puis faisait des manière et finalement, il s'exécutait ! '' Ils n'ont pas froid aux yeux ! '' se disait Mathieu en retirant ses vêtements. Il avait vite fait lui aussi, il faisait beau et chaud et tout le monde était habillé légèrement. Là c'était une autre histoire, Alain était bien foutu et bien monté mais Mathieu lui, était super bien foutu et super bien monté. Déjà il bandais et les vingt deux centimètres de sa queue se relevaient à l'horizontale. Les six centimètres de largeur promettaient soit des cris de plaisir soit des hurlements de douleurs.


Alain voyait ça et commençait déjà à s'inquiéter. Éric ne pouvait rien voir, son visage était écrasé sur le ventre de son copain qui au passage lui retenait fermement la tête en lui balançant des coups de bassin. Et en voyant la queue de Mathieu, énorme, longue et large ses coups de bassins devenaient plus violents.


– Vas y doucement tu vas l'étouffer ! Faisait remarquer Mathieu. Montre moi donc ce que tu sais faire.


Alain, un peu effrayé, se mettait à genoux et commençait à sucer cette queue énorme comme il pouvait.


– La vache ! S'exclamait Éric. Alors ça c'est du lourd. Je me la prends pas dans le cul.

– Met toi à poil toi aussi. Lui répondait seulement Mathieu. 


Mathieu prenait les choses en mains, il dirigeait la tête d'Alain, il lui enfonçait la queue le plus profond possible. Ça résistait bien un peu mais Mathieu poussait et Alain faisait des efforts, de gros efforts. Il arrivait à prendre cette énorme queue sur la moitié de sa longueur. 


Éric se retrouvait à poil à genoux devant Mathieu. Avec une main Mathieu appuyait sur la tête d'Alain et de l'autre il caressait avec douceur le visage de son camarade. Un peu plus tard il inversait. Au bout d'un moment les deux gamins arrivaient à avaler un peu plus profond la queue de Mathieu. Ils se masturbaient en même temps. 


– Toi, tu te mets à quatre pattes et tu suce ton pote ! Lançait Mathieu à Alain.


C'est totalement terrifié que Alain s'exécutait, il était terrifié mais il obéissait. Il prenait position, ouvrait grand la bouche et son copain Éric lui enfonçait la queue jusqu'à la garde. Ils venaient tous les deux de se prendre une queue bien plus grosse, et la bite d'Éric rentrait sans résistance jusqu'à la garde, elle s'écrasait au fond de la gorge d'Alain.


Pendant ce temps Mathieu lubrifiait soigneusement le cul d'Alain, il y glissait un puis deux doigts. Il n'était vraiment tendre mais le lubrifiait à fond. Il agitait ses deux doigts avec force. Il était impossible de savoir si Alain appréciait ou s'il détestait, de toutes façons Mathieu s'en moquait. A cet instant précis, il pensait surtout à son propre plaisir. Alain faisait des bruits bizarres, avec la bouche pleine il ne pouvait pas faire autre chose.


Ces bruits devenaient plus forts et plus inquiétants, plus affolés aussi au moment ou Mathieu plaçait sa queue sur le cul d'Alain. On pouvait deviner comme une panique quand Mathieu à poussé, il a poussé avec douceur. Alain s'affolait, Éric le retenait avec force et enfonçait sa queue avec plaisir. 


Le cul d'Alain se dilatait doucement, Alain se crispait, par moment il voulait se dégager, par moment il ne bougeait plus, par moment il couinait et gémissait. La queue de Mathieu s'enfonçait lentement. Éric se retirait, Alain avait le souffle court, il gardait la bouche ouverte, il manquait d'air au moment ou le ventre de Mathieu s'écrasait sur ses fesses. 


Il criait le pauvre Alain, il grimaçait on avait l'impression qu'il hurlait, mais c'était en silence. Mathieu se retirait puis revenait. Alain tremblais. Mathieu recommençait et accélérait le mouvement. Il lubrifiait encore généreusement et revenait d'un mouvement plus rapide. La Alain a poussé un cri, un hurlement pour être exact, un hurlement suivi de sanglots. Il tremblait, il  gémissait, il chialait. 


Éric faisait une tête terrifiée en voyant les grimaces que faisait Alain. Mathieu balançait encore un dernier coup de bassin dans le cul d'Alain puis se retirait. C'est à ce moment qu'Alain à éjaculé, il a joui aussi, il a tremblé et à juté pendant un moment. 


Au suivant ! A ton tour Éric !


Éric pâlissait. Mais son copain l'avait fait il voulait le faire aussi. La queue de Mathieu lui faisait peur mais le reste de son corps l'excitait tellement. Il prenait position, à quatre pattes. Là on ne lui proposait pas la queue de son copain à sucer, Alain ne bandait plus, il en avait pris plein le cul et ce n'est pas une façon de parler.


De nouveau Mathieu lubrifiait, avec un engin comme le sien, il valait mieux que ça glisse et que ça glisse bien. Il prenait position, Éric avalait sa salive et tentait de se détendre. Mathieu poussait, Éric résistait, il poussait encore un peu plus fort et c'est à ce moment que Éric à hurlé. Son cul s'est ouvert, il a paniqué. La queue de Mathieu glissait, elle glissait lentement Mathieu savait qu'il devait y aller en douceur, il poussait, il poussait lentement mais il poussait à fond . 


Éric gémissait, il se tordait dans tous les sens. Mathieu le tenait fermement, et le tirait vers lui en même temps qu'il avançait son bassin. Éric gémissait de plus en plus fort.


– Tu es encore plus étroit que ton copain toi ! Si tu ne te détends pas, je ne vais pas tenir très longtemps !


Éric ne s'est pas détendu et il n'a pas fallu bien longtemps avant que Mathieu ne jute dans le cul d'Éric. Il s'agitait il avait encore quelques mouvements violents qui lui échappaient à ce moment et une dernière fois Éric a hurlé. 


A son tour il a juté au moment ou Mathieu s'est retiré. 


Mathieu était là debout devant les deux petits jeunes. Il bandait mou maintenant et avait un large sourire satisfait. Les deux branleurs étaient allongé, pas assis sur leurs fesses, allongé sur le côté. Ils sont ensuite passés sous la douche, histoire de se rafraîchir le cul. Mathieu ne cachait pas son amusement en les regardant faire.


Il faisait chaud, et Mathieu prenait une douche à son tour. Il était content de lui. Les deux autres étaient moins fiers et c'est en marchant avec les jambes un peu écartées qu'ils repartaient. 


– Vous pouvez passer quand vous voulez les jeunes ! Leur lançait Mathieu. Vous verrez même si la première fois ça fait un peu mal, après on en redemande … 




N'hésitez surtout pas à me laisser une commentaire et à me retrouver sur Twitter …  @CharlyChast 


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