L'HÔTEL DU DESERT EP 11 : Brice trouve un job.

 L'HÔTEL DU DESERT

EP 11 : Brice trouve un job.



Brice se relevait à son tour et retirait son pantalon. D'un clin d’œil il invitait Gylou à s'approcher. Brice s'asseyait en tailleur tout comme son copain, Gylou s'approchait, Brice lui suçait la queue rapidement, et en un mouvement rapide Gylou s'accroupissait et s'empalait sur la queue de Brice en le prenant dans ses bras, il refermait ses jambes dans le dos de Brice, poussait quelques gémissement, faisait quelques grimaces puis suivait le mouvement que Brice lui imposait, le même balancement que l'autre couple. 

Personne ne venait les déranger. Tout la troupe devait être en train de se faire un câlin, vous savez, les garçons surtout. Oui, les garçons, le matin, érection du matin … Ça marche bien le matin en général. Et puis il faut dire aussi qu'il était encore tôt.


Peu à peu les autres membres du groupe arrivaient un peu plus tard. Ils venaient se préparer une boisson chaude. La présence de Johnny et Lucie enlacés et très intimement unis ne dérangeait personne. Chacun des arrivants passait même donner un baiser un Lucie et à Johnny qui était très amusé de la situation. Brice et Gylou avaient terminé leur câlin mais eux aussi avaient droit à un salut, une caresse sur l'épaule ou un baiser, c'était selon. 


Presque tout le monde était nu, mais les  hommes ne bandaient pas. Ils avaient pris le temps de se lever, de se réveiller, de s'étirer et de faire l'amour. Tous étaient parfaitement détendus et dans un coins il restait Johnny et Lucie toujours enlacés et très intimement liés.


Plus tard dans la journée, Johnny s'était habillé, il avait enfilé un pantalon, et retrouvait quelques garçons autour d'une voiture.


– Alors c'est cette voiture qui refuse de démarrer ? Demandait Johnny.

– Oui, et on ne sait pas quoi faire. S'il faut faire venir un mécano, ça va nous coûter une fortune. Lui répondait un des garçons.

– Laissez moi faire, lui répondait Johnny, je m'y connais un peu en mécanique !


Johnny a passé deux jours sur la voiture. On ne le laissait pas tout seul se débrouiller, il était aidé et deux jours plus tard, non seulement la voiture démarrait parfaitement mais son moteur tournait comme une horloge. Il sait tout réparer Johnny ! 


Brice et Johnny sont restés un peu plus de trois semaines dans ce camps, et en trois semaines ils ont appris à connaître, au sens biblique du terme, tout le monde dans le groupe … Les nuits étaient chaudes mais pas que les nuits. S'il prenait l'envie de se faire un câlin à deux personnes ou plus, nul ne se compliquaient pas la vie, ils se trouvaient un tas de coussins et se laissaient aller.


Ils ne restaient pas très longtemps à la même place et au bout de plus de trois semaines tout le groupe commençait le démontage du camp. Johnny avait participé en révisant tous les véhicules, tout le monde avait beaucoup apprécié. Brice avait aidé au démontage de la yourte et de quelques tentes. Et c'était la séparation. 


La caravane se mettait en marche. Johnny et Brice se retrouvaient seuls.


– Et bien dis donc, c'était quelques chose ! S'exclamait Johnny.

– Pour être chauds, ils sont chauds ! Rajoutait Brice.

– Il y en a un ou une que tu ne t'ai pas fait toi ? Demandait Johnny.

– Non je ne crois pas en avoir oublié.

– Ils abusent tout de même.

– Pourquoi c'est pas vraiment désagréable de faire faire l'amour tous les jours … Faisait remarquer Brice.

– Tous les jours, je ne dis pas ! Mais jusqu'à cinq fois dans la journée. Pfui !


Ils se regardaient et éclataient de rire. Puis remontaient dans la voiture et se racontaient leurs aventures amoureuses respectives en continuant leur voyage, ils partageaient leurs impressions.


La bande de '' baba cool '' étaient parti vers l'intérieur des terres, Brice et Johnny décidaient eux de continuer leur voyage sur la côte et comme la saison froide arrivait ils partaient vers le Sud.


Ils continuaient sur plusieurs centaines de kilomètres en longeant la côte, traversaient plusieurs villes plus ou moins grandes. En fait il recherchaient un endroit moins froid. Dans le désert les journées étaient toujours chaude, pendant une partie de l'année les nuits étaient froides et même très froides mais dans la journée il faisait toujours chaud.


La présence de la mer adoucissait les températures, la journée et la nuit étaient plus douce. Plus au sud la température devenait plus agréable, surtout la nuit. Et le duo s'arrêtait dans une petite ville. Là aussi la ville vivait surtout en été, pendant la période touristique. Ils s'arrêtaient dans un petit bar-restaurant pour routier. Ils sont sociables tous les deux et rapidement faisait connaissance avec la serveuse et le cuisinier. 


Ils apprenaient qu'on recherchait un serveur ou une serveuse. 


– C'est pas la pleine saison mais Johanna vient de nous laisser tomber et une seule serveuse, c'est franchement court. La pauvre petite Sophie ne peut pas faire l'ouverture le matin et la fermeture le soir. Expliquait le cuisinier et patron. 


Juste à côté de lui, la pauvre petite Sophie confirmait de la tête, elle avait l'air complètement épuisée. José le patron avait l'air sympa, Brice se proposait pour le poste. Il était pris dans l'heure. C'est dans l'heure aussi qu'il leur trouvait un logement, une chambre dans un motel juste à côté du restaurant. 


La chambre n'était pas très grande, mais ce serait principalement pour dormir. C'était propre, il y avait une baignoire et le lit était confortable et large. Brice se jetait dessus tout content de pourvoir dormir dans un lit, dans un vrai lit. Il prendrait son service dès le lendemain matin, juste à côté donc. Il s'endormait pendant que Johnny faisait un tour, histoire de repérer les lieux. 


La nuit était tombée quand Johnny revenait. Il était passer prendre un repas à emporter pour deux et quand il rentrait dans la chambre il trouvait Brice profondément endormi. Il déposait les paquets sur la table et s'approchait du lit. Avec douceur, en évitant surtout de réveiller Brice, il se penchait vers lui. Lui donnait un baiser sur le front et le chatouillait. Brice passait sa main sur son visage par réflexe et continuait à dormir. Johnny recommençait, tout doucement avec un doigt il chatouillait de nouveau Brice. Ce jeu durait un moment avant que, agacé, Brice se réveillait en râlant. Johnny lui donnait alors un baiser sur la bouche pour le faire taire, et ça marchait.


Brice se réveillait avec le sourire, et regardait Johnny.


– C'est malin. On peut plus dormir tranquillement maintenant.

– J'ai rapporté à manger.

– Super tu as pris quoi ?

– J'ai trouvé un chinois, je sais que tu aimes ça. 


Brice se relevait, les yeux encore un peu dans le brouillard puis ils soupaient de bon cœur et avec appétit.


– Et c'était ou ton chinois. C'était rudement bon !

– Le petit restau juste à côté …

– La ou je commence à travailler demain ?


Johnny faisait oui de la tête !


– Et en plus il m'a fait un prix. Rajoutais Johnny.

– Et bien au moins, on sait qu'on y mange bien, c'est déjà ça.

– Et en plus il m'a peut être trouvé un boulot. C'est cool non ? Continuait Johnny. Au fait je lui ai dit qu'on était frère pour qu'il ne soit pas choqué de voir deux garçons vivre ensemble.

– Surtout qu'il n'y a aucune raison … 

– Non en fait on est hétéro tous les deux …

– Hétéros … Ouai ! … Mais pas que … Finissait par conclure Brice.


C'est à ce moment que Johnny déposait un baiser sur les lèvres de son camarade qui le regardait avec un large sourire avant de lui rendre son baiser. Il semblaient émus tous les deux. Ce n'était pas le sexe qui pouvait les émouvoir, les deux dernières semaines avaient été actives sur ce point, active et violente. Mais c'est vrai que ça faisait un moment qu'ils ne s'étaient pas retrouvés seul, à deux, juste à deux … A deux seulement !


Johnny se penchait vers son camarade, glissait avec tendresse une mains sous sa chemise. Brice se laissait tomber sur le dos et caressait le visage de son ami. 


Une chemise tombait puis une autre et les deux corps pouvaient enfin se toucher de la manière la plus douce et la plus agréable qu'ils connaissaient. Les bras de l'un se refermaient sur l'autre, les visages se touchaient, les lèvres s'embrassaient et les corps roulaient l'un sur l'autre. 


Brice chevauchait son amant et lui ouvrait le pantalon, en réponse Johnny en faisait de même. Brice se relevait et tirait sur le bas du pantalon de Johnny qui soulevait ses fesses et ses jambes pour aider son amis à le déshabiller, juste après il sautait sur Brice pour lui retirer à son tour son pantalon. Ils se taquinaient, c'était un peu comme un bagarre dont le but était de ne surtout pas faire de mal à son adversaire.


Tout se calmait, plus personne ne bougeait au moment ou Johnny prenait la queue de Brice dans la bouche et lui suçait le gland avec expertise. Ces deux là se connaissaient bien maintenant et chacun savait comment faire plaisir à l'autre. Brice caressait la tête de Johnny entre ses deux mains et la guidait. Il relevait la tête en arrière et gémissait de plaisir. Hétéros tous les deux, c'était difficile à croire ou alors vraiment … Pas que … !


Brice tirait la tête de son amant vers lui, sa queue disparaissait totalement, son gland s'écrasait dans la gorge de Johnny qui pourtant ne mollissait pas et continuait ses mouvements de succion. Brice gémissait vraiment fort. Il ne retenait pas son plaisir et finissait pas donner des coups de bassin contre le visage de son ami. Johnny encaissait, je ne dirais pas qu'il encaissait facilement mais il encaissait et ne parvenait qu'à émettre des sons gutturaux des plus rigollots.


Johnny avait glissé ses mains sur les fesses de Brice, il les lui massait, il les lui malaxait. Et par moment les poussait vers son visage, il ouvrait alors en grand la bouche prenait une grande inspiration et, comme en apnée avalait la queue de son amant sur tout sa longueur. Elle pénétrait bien à fond, et il lui fallait un bon contrôle de lui même pour ne pas vomir. Il contrôlait parfaitement. Il ne pouvait pas respirer c'est tout et il toussait un peu au moment ou Brice reprenait un peu de recul.


Johnny reprenait plus calmement, moins à fond, il fallait bien qu'il récupère un peu le pauvre. Il en profitait pour lubrifier le cul de Brice et y glisser un puis deux doigts. Ensuite il les agitait avec force et lui massait la prostate avec énergie. Brice poussait de véritable cris de plaisir et quelques gestes violents lui échappaient. Johnny se prenait alors la queue de Brice bien à fond dans la gorge. Mais la encore il gérait parfaitement la situation. 


Il connaissait les réactions de son amant, et il avait senti venir la réaction finale. Brice gémissait puis poussait un cris de plaisir au moment ou il jutait dans la bouche de Johnny, il retenait fermement contre lui le visage de Johnny et éjaculait de nouveau, puis encore plusieurs fois avant de ne plus bouger. Johnny avalait et gardait la queue de Brice dans la bouche, il la tétait comme un biberon. Brice tremblait de plaisir et le laissait faire. 


Brice était resté là debout devant Johnny à genoux sur le lit. Quand Johnny relevait la tête il avait un visage un peu niais mais ravis. Brice l'embrassait alors avec passion avant de se laisser tomber sur le lit juste à côté de son compagnon. Peu à peu il débandait. 


Johnny s'allongeait sur Brice, le câlinait et l'embrassait partout ou il pouvait. Il le retournait sur le ventre, Brice ne résistait pas et, totalement passif, il se retrouvait amorphe, il écartait les jambes et Johnny de nouveau recommençait à lui masser la prostate. Johnny bandait bien ferme, et savait ce qu'il voulait. Brice encore plongé dans le plaisir le laissait faire. Johnny s'allongeait sur le corps de son amant. Il sentait ses muscles détendus, et c'est sans plus de préliminaires qu'il glissait sa queue dans le cul de Brice. 


Il savait que ça devait passer sans problème. Il se prenait position, les jambes bien écartées, la queue en place et poussait. Ça résistait il forçait. Brice venait de jouir et ne s'ouvrait pas tout de suite. Johnny poussait un peu plus fort et brusquement le cul de Brice s'ouvrait et libérait le passage. Sous l'effet de la pression Johnny s'enfonçait jusque à la garde et son ventre venait s'écraser contre les fesses de Brice. Il gueulait Brice, cette intrusion rapide, trop rapide était douloureuse mais Johnny ne voulait pas lâcher, il se retirait rapidement avant de revenir avec encore  plus de violence.


Brice tournait la tête.


– Vas y doucement, tu me fais mal !


Johnny ne l'écoutait pas et continuait à buriner le cul de son camarade. Il savait qu'il pouvait encaisser et si maintenant il gueulait de douleur quelques instants plus tard il hurlerait de plaisir. C'était pas une première, ni pour l'un, ni pour l'autre. 


Ses mouvements devenaient rapides en plus d'être violents. Brice gémissait, et sanglotait même. Il était pris de mouvements vifs, il tentait de se dégager. Johnny le retenait, il restait très attentif aux réactions de son camarade, il connaissait toutes ses réactions et connaissait les limites. Là il avait décidé de pousser jusqu'à la limite. Dans ses bras Brice s'agitait et tentait vraiment de se dégager. 


Johnny ne bougeait plus, Brice se calmait. Johnny se retirait lentement presque en entier. Brice retombait sur le lit et ne bougeait plus. Sans prévenir Johnny revenait avec une grande violence et son ventre claquait fort quand il écrasait les fesse de Brice. Brice hurlait, Johnny le bâillonnait avec la mains, se retirait et revenait en force de nouveau.


Il continuaient pendant un petit moment. Brice gémissait, pleurait mais ne tentait plus de se dégager, il encaissait, à chaque fois il gémissait mais il laissait faire. 


Johnny sentait le plaisir monter, il sentait qu'il ne contrôlait plus rien et se laissait aller. Les derniers coups de bassin était particulièrement violents. Brice s'agitait de nouveau et paniquait, c'était peut être trop, la limite était atteinte. Johnny retombait sur le dos de son ami se cramponnait, ne bougeait plus, il jouissait, il jutait mais ne bougeait plus.


Plus personne ne bougeait, Johnny respirait fort, Brice gémissait fort. 


– Ça va ? Demandait bêtement Johnny.

– Tu est fou là. Tu m'as dévissé la rondelle là ! C'était violent ! Parvenait à réponde Brice entre deux gémissements.

– Pas trop j'espère … 

– Tu parles ! Tu t'en fou ! Tu ne pensais qu'à ton plaisir !


Brice faisait la gueule, Johnny se retirait et se laissait tomber sur le dos. Il regardait Brice qui lui aussi le regardait d'un œil noir.


– Tu es  un enfoiré … Lui disait Brice.

– T'as pas aimé.

– J'ai pas dit ça, mais c'était violent. Tu m'as fait mal.

– Tu sais, là je m'en fout. J'ai pris mon pied, un peu comme toi tout à l'heure quand tu m'as défoncé la bouche.

– Tu es un enfoiré … Je me vengerai !



N'hésitez surtout pas à me laisser une commentaire et à me retrouver sur Twitter …  @CharlyChast 


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