L'HÔTEL DU DESERT EP 13 : La Dame en panne

 L'HÔTEL DU DESERT

EP 13 : La Dame en panne



Seul Johnny se levait tôt le lendemain matin. Il laissait dormir Brice et Tessa et se rendait à son boulot.


Devant le garage il y avait une femme très belle, un peu plus âgée que lui, elle devait avoir plus de trente ans, elle était accompagnée d'un homme plus âgé qu'elle, au dessus de la quarantaine. Entre eux une voiture sportive anglaise de grand prix, de grand luxe. 


– C'est vous le mécanicien ? Voyez-vous j'ai une superbe voiture très luxueuse et qui roule très vite … En temps normal … Mais voyez-vous c'est ballot, elle est en panne . Disait elle sur un ton très maniéré.


L'homme qui l'accompagnait levait les yeux au ciel en entendant sa patronne parler comme ça. Les portes du garages s'ouvraient et la dame se dirigeait vers l'accueil en dandinant du cul. L'homme, c'était le chauffeur, il s'approchait de Johnny …


– Ne faites pas attention , elle est très gentil mais un peu snob dès qu'elle se sent mal à l'aise et une voiture comme la sienne en panne, ça la met très mal à l'aise.


Ils suivaient la dame tous les deux, elle était là à l'accueil avec la secrétaire, elle faisait de grandes gestes. '' Voyez vous très chère, ce qui m'arrive là est très contrariant, avoir une aussi belle voiture et se retrouver bloquée ainsi dans un endroit aussi paumé ''. la secrétaire ne savait pas quoi réponde, elle était la première arrivée et ouvrait le garage, à part elle il n'y avait que Johnny.


– Tu pourrais regarder la voiture de madame  ? S'il te plaît Johnny.


Johnny avait déjà le nez sous le capot quand ses collègues et le patron arrivaient quelques minutes plus tard. 


– Mon ami, je suis ravie de vous voir mais un de vos ingénieurs en automobiles est déjà sur mon véhicule, on m'a dit que votre garage est tout à fait excellent.


Là c'était la dame qui tombait sur le dos du patron du garage. Terrifié par sa manière de parler, il devinait qu'il était tombé sur une cas particulier, le genre de client qui peut très vite devenir encombrant il préférait envoyer la dame vers Johnny en se disant … '' S'il arrive à gérer la cliente et la voiture je l'embauche à l'année celui-là !''.


La dame retombait alors sur le dos de Johnny, il en avait vu d'autres Johnny et se contentait de répondre à chaque commentaire de la cliente … '' Oui madame ! '' … '' Bien sûr madame !'' … '' Tout à fait madame !'' …


Mais quand moins d'une heure plus tard la voiture se décidait à redémarrer elle s'exclamait … '' Vous êtes merveilleux mon ami, je n'ai jamais douté de vos qualités ! '' . Et c'est avec enthousiasme qu'elle repartait vers l'accueil pour raconter tout le bien qu'elle pensait de ce merveilleux mécanicien et pour payer la note …


Son chauffeur préférait l'attendre à côté de la voiture. 


– Elle est toujours comme ça ? Demandait Johnny au chauffeur .

– Toujours !

– Ça doit être fatiguant ?

– C'est épuisant ! … Mais elle est très gentille ! 


Elle revenait, pas une seconde elle n'avait arrêté de parler, elle félicitait de nouveau Johnny pour l'avoir si rapidement sortie d'une situation '' Contrariante … '' et lui glissait un petit pourboire dans la poche avant de repartir en lançant un grand '' Ba Baille … '' .


Tout le monde se regardait dans le garage, un calme retombait d'un coup. Pendant plus d'une heure, sans qu'à aucun moment elle n'ait crié ou parlé fort, on n'avait entendu qu'elle , on n'avait vu qu'elle dans tout le garage … Ça faisait un grand vide d'un coup et c'était pas désagréable.


Le patron du garage arrivait, il posait sa mains sur l'épaule de Johnny en lui disant … '' Bravo mon gars, là tu as assuré, je te prends à l'année si tu veux !''.


Quand il rentrait le soir il passait au bar-restaurant ou travaille Brice, et lui racontait cette première cliente … 


– Au fait, elle t'a donné combien de pourboire ? Lui demandait Brice .

– Je ne sais pas. Répondait Johnny en plongeant sa main dans sa poche.


Il Sortait de sa poche quelques billets repliés ensemble, c'étaient de grosses coupures et il devait y avoir plus d'un demi mois de salaire, ainsi qu'un petit papier avec dessus, un numéro de téléphone …


Tessa avait vu la scène et n'en revenait pas.


– On n'a pas de tels pourboires nous ici !


Johnny était tout de même un peut gêné d'avoir reçu autant d'argent pour une heure de travail et décidait d'appeler. Une demie  heure plus tard il en était à '' Bien sûr ! … C'est évident madame !… Je suis tout à fait d'accord avec vous madame !… '' . Tessa rigolait tant qu'elle pouvait, Brice était très amusé également. 


Encore une demie heure plus tard Johnny en était à … '' Mais c'est que je suis tout à fait d'accord avec vous madame ! '' … '' Ça c'est sûr madame ! '' … '' Je n'en doute pas madame ! '' … Tessa passait à côté de Johnny en servant les clients et continuait son chemin pliée de rire … Brice et Tessa se retrouvaient face à Johnny juste pour savoir comment il allait s'en sortir. Au bout d'une heure il finissait par raccroché, il avait l'air complètement perdu le pauvre.


– Mais pourquoi tu lui a donné notre adresse ?  Demandait Tessa.

– Je ne lui ai pas donné notre adresse !

– Mais si tu lui a donné notre adresse . Rajoutait Brice en faisant oui de la tête.


Moins de dix minutes plus tard une magnifique voiture de sport anglaise s'arrêtait devant le restaurant. La fameuse dame en sortait, son chauffeur lui avait ouvert la porte. Elle entrait et tout de suite prenait toute la place disponible. 


– Moi je serai dans la cuisine, je vous laisse gérer ça . Déclarait le patron de Brice en la voyant arriver.


Le chauffeur allait garer la voiture sur le parking du motel et revenait. La dame s'était installée à une table avait invité Johnny, ils se retrouvaient donc à trois pour souper. 


– Elle est canon la dame . Faisait remarquer Tessa à Brice.


Ils ont bien mangé, ce qui était bien que c'est cette dame ne parlait pas la bouche pleine, il y avait donc des moment de pose, c'était reposant. Il était assez tard quand Johnny est parti, la dame sortait en même temps que lui. Le restaurant fermait un peu plus tard et Brice se faisait un plaisir de rentrer se coucher. Il arrivait dans la chambre d'hôtel et trouvait Johnny assis sur un fauteuil, il était à poil, et sur le lit le chauffeur de la dame, à poil également et sa patronne entièrement nue en train de lui sucer la queue.


Johnny venait vers Brice …


– Je ne sais pas ce qui s'est passé, je les ai retrouvé sur le parking, ils m'ont suivi, je leur ai offert un verre puis … à un moment … ça a du dégénéré … je sais pas … je sais plus …


Brice pouffait de rire et discrètement disparaissait dans la salle de bain, il avait surtout envie de prendre une douche. Il en ressortait quelques minutes plus tard. La dame était maintenant allongée sur le lit les deux hommes, le chauffeur et Johnny étaient effondrés sur un fauteuil. La dame attrapait Brice par la main.


– Viens par là toi !


Surpris Brice n'avait pas le temps de réagir et tombait sur la dame. Immédiatement elle refermait ses bras autour de lui. Le chauffeur soupirait. Et là c'était la furie qui se lâchait, elle embrassait Brice partout, le caressait avec vigueur partout sur le corps également. Elle alternait des moment de douceur, de grande douceur puis des moments plus vifs. Elle lui massait alors les couille avec force mais sans lui faire mal, elle le masturbait et lui gobait les couilles avant de lui sucer la queue. Puis son visage revenait vers le visage de Brice qui en quelques secondes était dépassé par la situation. 


Pourtant comme vous le savez … Brice en a vu d'autre !


Elle le mordillait doucement et un peu moins doucement, elle lui laissait quelques trace qui ne disparaîtraient que plusieurs jours plus tard. Brice gueulait, c'était pas de douleur, c'était de surprise, c'était de plaisir, c'était un peu quand même à la limite de la douleur. Il ne bandait que plus ferme. 


Elle avalait sa queue bien à fond mais elle savait ce qu'elle faisait, là, elle ne le mordait pas, là il ne sentait pas les dent, là, il avait l'impression qu'elle n'avait pas de dents.


Faut pas faire n'importe quoi non plus !


Brusquement ses mouvements devenaient doux, plus lents. Elle avait la queue de Brice dans la bouche, elle le suçait avec douceur, l'avalait sur toute sa longueur. 


Brice gémissait puis gueulait de plaisir. Là c'était du plaisir pur. C'était tendresse. Il sentait sa queue s'écraser au fond de la gorge de cette dame qu'il ne connaissait pas quelques heures plus tôt et dont il ne connaissait rien. Elle lui gobait les couilles et lui faisait quelques belles frayeurs, mais là encore et je dirais même, là surtout elle savait ce qu'elle faisait. Avec sa langue elle lui caressait les couilles, refermait la bouche, faisait disparaître ses dents derrière ses lèvres et tirait un peu. Il tremblait, il gueulait. C'était du plaisir, mais à deux ou trois reprise il s'est un peu angoissé. 


Sans prévenir, au moment ou elle libérait les couilles de Brice, elle semblait perdre tout contrôle. De nouveau, elle couvrait le visage de Brice de baisers, lui mordillait les tétons, il gueulait. Il se défendait et ces ébats se transformaient en véritable combat. Enfin vu de loin, ça ressemblait vraiment à un combat. 


Brice était plaqué sur le dos, elle se glissait contre lui et s'empalait sans prévenir. Brice était dépassé, il était ravi, quand il ne paniquait pas il était ravi. Elle se frottait contre lui et sa queue entrait et sortait avec vigueur, vitesse de la vulve de la dame qui relevait la tête et gueulait de plaisir. Le plaisir qu'elle se donnait, le plaisir qu'elle prenait. Elle avait oublié Brice, ne se préoccupait pas vraiment de lui, il prenait aussi du plaisir mais c'était pas son problème à elle !


A l'autre bout de la chambre le chauffeur et Johnny discutaient.


– Elle a un sacré tempérament ta patronne dis donc James !

– Bein oui je sais !

– Elle est toujours comme ça ?

– En fait non, ça ne lui prend qu'une fois par mois … Il parait que c'est la Lune, enfin c'est ce qu'on dit !

– Et ça dure longtemps ?

– Quelques jours, on prend alors la voiture on va faire un tour, deux jours, trois jours maximum on revient à la maison. 


Sur le lit, c'était un jeu de trampoline. Madame à cheval sur le ventre de Brice, s'agitait elle se soulevait, se laissait retomber. Brice gémissait, il semblait presque appeler au secours.


– Là c'est ton tour Johnny. Disait James ( le chauffeur )

– Non, je veux pas ! Gémissait Johnny.

– Pas le choix bonhomme, moi là je peux plus, il faut que je récupère.

– Je trouve que Brice s'en sort bien moi !

– Oui mais là, ton frère ne va pas tarder à morfler, il faut que tu ailles à son secours. Continuait James.


Quelques instants passait, les deux hommes regardaient la scène.


– Un truc, ça marche toujours. Tu y vas discrètement, sans te faire remarquer et hop tu passes par derrière. Ça la calme à chaque fois.


Johnny regardait James d'un air incrédule, en même temps il se masturbait pour être bien sûr de son érection puis se lançait. Il prenait position, James avait un large sourire, le sourire de celui qui va faire une connerie. Le voyant Johnny avait un doute puis se lançait malgré tout. 


Discrètement il prenait place, la dame s'effondrait, se repliait complètement sur le corps de Brice qui manquait d'air et devait être à la limite de la suffocation. Johnny se lubrifiait puis sans prévenir enfonçait sa queue bien à fond dans le cul de la dame. 


Elle relevait la tête et hurlait de plaisir, elle se laissait faire.


– OOOOHHHHH OOOOUUUUIII ! Vas y défonce moi le cul !


Johnny était surpris , il ne s'attendait pas à cette réaction, James rigolait il connaissait la réaction lui, Brice se réveillait. Le cri le faisait réagir. Les deux garçons se mettaient alors à buriner la dame de concert. L'un par devant et l'autre par derrière. 


Elle gueulait, elle en demandait encore et encore pendant un moment puis les mouvements des deux garçons se calmaient, s'arrêtaient ils jouissaient. La dame se laissait alors retomber amorphe sur le corps de Brice,elle aussi avait joui. Johnny s'écroulait sur le corps de la dame. Plus personne ne bougeait. James se servait un verre, il avait un petit sourire satisfait et murmurait pour lui seul … '' Voilà une bonne chose de faite ! '' .


Finalement c'était une sorte de combat, et comme c'est le cas le plus souvent, ça se terminait par un matche nul. Enfin matche nul, ils avaient tout de même du se mettre à trois contre une.


Le lendemain, au boulot, Brice a eu des échos. Tessa avait entendu les cris, elle ne loge qu'à quelques porte de la chambre de Brice et Johnny .




N'hésitez surtout pas à me laisser une commentaire et à me retrouver sur Twitter …  @CharlyChast 


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