Vite fait 01

 Vite fait 01


J'ai eu l'idée d'une nouvelle série de textes courts, différents de ce je fais d'habitude. N'hésitez pas à me dire ce que vous en pensez … 


La rencontre s'était faite rapidement, sur un lieu de drague, je me promenais, je ne pensais pas trop faire une rencontre mais je n'avais rien contre cette idée. Il m'a croisé, on a échangé des regard, j'ai remarqué la jolie bosse qu'il avait entre les  jambes, il a vu la mienne …


On s'est arrêté, on s'est retourné l'un vers l'autre et en un geste rapide il baissait son pantalon, oh pas beaucoup, juste pour me montrer sa bite. Il était bien foutu, il en avait une belle. 


J'ai fait de même et ses yeux lui sont ressortis de la tête quand il a vu mon dispositif de chasteté. Il s'approchait de moi.


– Passif ? Me demandait-il.

– Actif ? Lui demandais-je pour réponse.


Rapidement il me caressait les couilles au travers de mon pantalon que j'avais relevé, il relevait lui aussi son pantalon et me faisait signe de le suivre.


On se retrouvait un peu plus loin, en retrait, bien caché par la végétation, il faisait tomber son pantalon et me faisant face … '' Suce !''.


Je n'ai pas cherché à réfléchir, je me suis immédiatement mis à genoux et j'ai pris sa queue dans ma bouche. Je l'ai senti devenir plus grosse et plus dure. À cet instant il ne bandait pas totalement mais ça n'a pas duré. Il pausait ses deux mains sur ma nuque et c'est une bite bien grosse, bien dure qu'il voulait me faire avaler. 


J'étais pris par surprise et  j'avais du mal, c'était pas un géant mais il en avait une belle tout de même. J'ouvrais la bouche aussi large que je pouvais, je me concentrait, je synchronisait ma respiration et au moment ou il tirait ma tête contre lui avec force, je le devançais et écrasait mon visage sur son ventre, sa queue dans ma gorge.


Je l'ai entendu gémir de plaisir, il a fallu que je me concentre pour que ça rentre, son gland s'écrasait dans ma gorge, j'avais eu les yeux plus gros que le ventre et je regrettais mon enthousiasme mais je n'avais plus le choix. Il ne voulait pas me lâcher tout de suite. Je le sentais, il se retirait, mais à peine, et revenait avec force. Il ne m'a lâché que quand j'ai vraiment réagis, je manquais d'air. Je tournais la tête, je toussais, je crachais, c'était pas agréable mais j'étais prêt à y retourner.


Il me demandais de me retourner et de me pencher en avant. C'est en toussant que  je m'exécutais. Il me baissait mon pantalon et je me retrouvais le cul offert. Sans me demander ce que j'en pensais, il me lubrifiait le cul, preniait position et poussait. Sa queue s'enfonçait en moi, sans préliminaire, sans préparation. J'ai vu des étoiles, j'ai voulu crier, il s'y attendait et m'a fait taire en plaçant sa main devant ma bouche. Je n'ai pas résisté, je l'ai senti passer. 


Dans les secondes qui suivait il me limait le cul avec force, il ne prenait pas la peine d'y aller doucement au début, il passait directement à la vitesse maximum. Dès son troisième mouvement son ventre claquait fort contre mes fesses. Je gémissait, il me faisait mal. Il ne voudrait pas s'arrêter. C'était pas la la peine de lui demander. Je ne voulais surtout pas qu'il s'arrête, au moins on était d'accord.


Ma queue protestait dans sa cage, j'aurais voulu me masturber, j'aurais voulu sortir ma queue et défoncer une cul moi aussi. Ma frustration était au plus haut. 


Il me faisait un peu moins mal au bout d'un moment, j'étais surpris moi-même d'avoir pu encaisser ça. Ses coups de bassin devenaient plus régulier, plus ample, c'était pas moins douloureux mais c'était tellement bon. J'avais la tête en feu, je ne savais plus ou j'étais. Ses aller et retour dans mon cul s'accéléraient mais les mouvements restaient toujours très amples, toujours très violents. 


Il râlait de plaisir, je gémissais, je ne pouvais pas gueuler il avait laissé sa main devant ma bouche. Il me laissait juste respirer, mais je manquais d'air, la tête me tournait. La douleur s'était transformée en un véritable plaisir, j'ai joui comme jamais. Il a joui lui aussi quelques instants plus tard, ses derniers coups de boutoir ont alors été particulièrement violents. Je me cramponnais à une grosse branche. 


Il ne bougeait plus, se retirait. Je me relevais, me retournais, il me tripotait les couilles visiblement amusé par ma cage. On faisait connaissance, il continuait à me tripoter les couilles. 


– Tu es un bon coup toi Charly ! Il faudra qu'on se revoit !


N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter …  @CharlyChast 


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