Bâtiment en Chantier (01) Les Stagiaires

 Bâtiment en Chantier (01) Les Stagiaires



J'étais fier de rejoindre une telle équipe. J'étais fier mais j'étais intimidé. Je ne vous dit pas mais je me sentais tout petit devant ces gaillards. Sous la tenue de travail entre-ouverte on pouvait voir les muscles, les manches relevées dévoilaient des bras musclés et recouverts de poils. Le plus souvent ils avaient de la barbe. Une barbe courte et épaisse. 


Vous imaginez une jeune petite vierge … Le soir de son mariage … Un peu intimidée … Surtout si elle vient de se marier le matin même avec toute une équipe de rugbymen. Vous y êtes là ? Bein … c'est moi la petite vierge ! C'est un peu comme ça que je me sentais.


À part que je ne m'étais pas marié, que je n'étais plus vierge et que aucun d'entre eux n'allaient me sauter dessus … Hélas !


Ils me recevaient chaleureusement, j'étais le nouveau stagiaire. Je n'étais pas tout seul comme stagiaire, il y en avait plusieurs autres. J'étais venu avec Jojo ( il faut prononcer Djo-Djo , il y tient ) et il était reçu comme moi. On allait passer quelques mois pratiquement coupés du monde. Enfin en semaine en tous cas. 


Mais tout était prévu pour qu'on soit à notre aise. Ils avaient organisé un foyer avec une salle vidéo, une salle de billard, un bar et différents trucs dans le genre. Le chantier était énorme, on avait l'impression de construire une ville en plein désert, et on était isolé. Il y avait des douches, je ne vous dis pas les installations, mais comme on devait pouvoir se détendre le soir après le boulot tout, les douches et les baignoires étaient au top. Le réfectoire aussi … On bouffait bien ! L'ambiance était bonne, le travail n'était pas facile mais il y avait ce qu'il faut pour qu'on récupère.  


Au bout de seulement trois jours, DjoDjo, pardon je voulais dire , Jojo et moi nous sentions chez nous. Le premier week-end arrivait, avec DjoDjo nous nous rendions aux douches, dans les vestiaires on se mettait en tenue … Pour être plus précis, dans les vestiaires on retirait nos tenus et on se retrouvait tout nu. Ça décrit mieux la situation. On prenait une douche avant de se glisser dans un bain bouillonnant. Vous savez le truc ou il y a des bulles !


Je me laissais aller, on se sentait bien, les derniers jours, enfin les premiers jours avaient été durs mais les gars étaient sympas, au niveau boulot ça se passait super bien. On ne nous gueulait pas dessus, on nous expliquait le boulot, j'étais novice, stagiaire et mon pote Jojo également. On en parlait, on partageait nos impressions. Labrute arrivait, on l'avait surnommé comme  ça car c'était une force de la nature, mais il était d'une gentillesse. Comme aurait dit un poète pas très connu … '' Il était de ces hommes que la nature a ébauché en bête sauvage '', et on rajoutera par contre, mais que son joyeux caractère avait terminé en gros nounours … 


On l'entendait, il passait sous la douche, puis il arrivait dans notre salle, il était à poil, il tenait sa serviette dans la main. On le regardait, on était tétanisé, pétrifié. Il portait un dispositif de chasteté. Je ne vous cacherai pas qu'on ne s'attendait pas à ça, surtout de sa part. Remarquez de la part des autres non plus, ça ne risquait pas !


– Alors ça s'est bien passé cette intégration les jeunes ? Disait-il en se glissant dans le bain à bulles.


Tout lui semblait normal, Avec Jojo on ne savait plus quoi dire, plus quoi faire. Mais pour Labrute tout était normal, il n'en parlait même pas. Quelques minutes plus tard c'était Zizou qui arrivait, puis Tatare. En les voyant entrer dans la salle, Jojo et moi étions de plus en plus troublés. Ils portaient tous les deux un dispositif identique. Et tout semblait normal, enfin pour eux car pour Jojo et pour moi ça nous faisait un peu bizarre.


Deux autres gars arrivaient, ils prenaient leur douche puis venait discuter avec nous, eux ne nous rejoignaient pas dans l'eau, il y avait de la place pourtant, ils discutaient avec nous, ils étaient à poil et … Eux aussi portaient un dispositif de chasteté, le même modèle.


Je craquais et je commençais à bander ferme. Avec les remous de l'eau c'était totalement invisible, il ne fallait surtout pas que je me lève, c'est tout. 


D'autres sont passés, certains s'attardaient, certains se mettait à l'eau avec nous. On s'est retrouvé à huit à un moment et à chaque fois ça me faisait tout drôle. Ils avaient tous un dispositif de chasteté. 


Pour vous décrire un peu la situation, le chantier était gigantesque, c'était presque une ville qu'on construisait. Les équipes de construction étaient regroupées par îlots, on appelait ça comme ça. Un ensemble de conteneurs très bien aménagés, faciles à démonter et à déplacer, constituaient les logements et les installations. Chaque îlot pouvait loger plusieurs centaines de personnes, ils étaient éloignés de quelques kilomètres les uns des autres … On était dans l'îlot trois .


Deux gars arrivaient, ils nous lançaient un grand salut avant de passer sous la douche et de nous rejoindre. Un seul portait un dispositif de chasteté. Il se présentaient et on apprenait que celui qui ne portait pas le dispositif était tout comme nous, stagiaire en formation.


– Vous êtes nouveaux alors ? Nous demandait Eddy, le gars qui ne portaient pas le dispositif.

– On est stagiaire nous aussi . Lui répondait Jojo.

– Tu as deviné comment ? Lui demandais-je.


Il regardait nos camarades qui portaient un dispositif en rigolant. Avant de nous répondre …


– Tous nos compagnons ici portent un dispositif de chasteté, j'ai remarqué à vos regards que cela vous troublait, vous n'osiez pas les regarder et pourtant vous avez du mal à vous retenir …

– Tu nous expliques un peu tout ça . Lui demandais-je. 

– C'est une règle, il n'y a que des hommes ici, le port du dispositif de chasteté garantit que toutes les règles de la convenance et de la morale seront respectées. La PK Compagnie ça vous dit quelques choses ?  Seuls les stagiaires ne sont pas tenus d'en porter un.


La PK Compagnie est, pour ceux qui ne connaissent pas, une entreprise tentaculaire, qui possède des filiales dans tous les domaines. C'est elle qui fabrique ces dispositifs de chasteté pour homme. C'est elle aussi qui a inventé ces fameuses règles de morales … 


Jojo et moi étions sonnés. Mais il nous rassurait, nous n'aurions pas à mettre de tel dispositif, c'était pas pour les stagiaires ça. Je ne vous cache pas que ça me rassurait, sinon, je pense que je me serais sauvé en vitesse.


Plus tard on se rendait au foyer, on discutait en buvant une bière. Les gars étaient tous très correctes, on se touchait mais d'une manière tout à fait naturelle, un main sur l'épaule, au bar les bras se frôlaient, se touchaient, c'était tout ce qu'il y a de plus naturel, personne ne se tripotait je veux dire. 


On passait au billard, la soirée avançait et les bières se suivaient.


Attention il faut savoir que l'alcool était interdit, et les bières étaient sans alcool … Garanti certifié …


la discussion devenait plus bruyante. Le nombre de personnes présentes diminuaient. Certains partaient faire un tour en ville, ou allaient se coucher. Le lendemain on ne travaillait pas, nous on traînait. Il devenait plus difficile de viser les baballes au billard …


Attention le règlement est formel, l'alcool est interdit mais personne ne respecte le règlement … Garanti certifié … J'ai vérifié … Hips !


Bon ça je ne m'y attendait pas. Je ne m'y attendait pas non plus quand j'ai senti une main qui se posait sur ma braguette. Je baissais les yeux, il y avait bien une main, ce n'était pas une impression. Du regard je remontais, l'avant bras, le bras, l'épaule … Je chauffe, il était juste derrière moi. C'était Tatare !


– Heu, dis Tatare, du es sûr de ce que tu fais là.

– C'est à toi de me dire, si tu veux que j'arrête …

– Et ça va nous mener ou cette affaire.


J'essayais de ne pas montrer tout de suite que, en fait, je n'attendais que ça. Je me retournais vers lui, il m'embrassait, je lui rendais son baiser. On se prenait dans les bras et restions là à nous peloter, il me tripotait les couilles au travers de mon pantalon, je lui tripotait aussi les couilles mais la présence de ce dispositif, de cette cage à bite m'excitait comme jamais. Je bandais, il s'en rendait compte. 


On nous poussait sans ménagement. 


– Mais allez faire ça ailleurs les mecs, on joue au billard nous !

– Bon alors Tatare, tu joues ou tu joues pas ?

– Vas y joue à ma place. Répondait Tatare en lui tendant sa queue …


Euh ! … Là je parlais de la queue de billard. Vous pensiez à quoi bande de petits obsédés ? ( Note de l'Auteur )


Finalement on nous poussait de nouveau et on allait continuer ailleurs, pas bien loin, deux mètres plus loin pour être exacte. Tatare m'avait ouvert la braguette, et maintenant je bandais la bite à l'air. Il me poussait sur le fauteuil, j'y tombais de tout mon poids. Il tombait sur moi et sans attendre me suçait goulûment la queue. 


La c'était pas de la queue de billard que je parlais ! J'avais encore ma queue de billard dans la main et lui avait ma queue dans la bouche. Il me suçait avec une certaine efficacité je dois reconnaître. J'appuyais sur sa tête et j'écrasais son visage sur mon ventre. Ma queue s'écrasait au fond de sa gorge. Il faisait des bruits bizarres mais n'essayait pas de se dégager, au contraire, il avait passé ses mains sur mes fesses et me tirait vers lui. Je lui balançais alors un violent coup de bassin, ce n'était pas volontaire, c'était un réflexe qui m'avait échappé. Il encaissait.


Ses mains se promenaient sous ma chemise, il me caressait avec une grande douceur. Je m'installais sur le fauteuil qui était juste derrière moi. Tatare retirait sa chemise et se retrouvait torse nue, il reprenait. Je faisais comme lui, je retirais également ma chemise.


Autour du billard, mes camarades avaient terminé de jouer. Jojo et Zizou étaient enlacés, il s'embrassaient et se caressaient, il étaient déjà torse nue. Un peu plus loin Eddy était torse nue, et avait son pantalon sur les chevilles. Labrute était à genoux devant lui et le suçait avec fougue. Il avait une belle queue Eddy mais elle rentrait sans difficultés dans la bouche de Labrute. Eddy gémissait de plaisir. Il retenait la tête de son partenaire, la guidait. Il lui balançait également de violents coups de bassin à un rythme régulier. Labrute encaissait. 


Mon pantalon était tombé sur mes genoux, je me dégageais et me retrouvais entièrement nu. Tatare en faisait de même, il me tripotait les couille et la bite au moment ou il repoussait son pantalon.  Je lui tripotait énergiquement les couilles. Il se retournait et se penchait en avant, il s'appuyait sur le billard. De toutes façons plus personne ne jouait.


Tout le monde était à poil ! Tous le monde se tripotait. Tout le monde s'embrassait et ceux qui portaient un dispositif de chasteté suçaient ceux qui n'en avaient pas. On se regardait Eddy, Jojo et moi. La situation était plutôt sympathique. C'était imprévu mais je ne me plaignais pas.


Tatare était maintenant devant moi, il était penché en avant, il me donnait un tube de gel. Je ne comprends pas toujours ce qu'on attend de moi mais là je vous jure que j'ai compris tout de suite, je me lubrifiait la bite et la lui enfonçais rapidement bien à fond dans le cul. 


Pan ! Dans l'cul ! Je dois dire que c'est une bonne manière de terminer la semaine. Il a couiné mais il n'a pas vraiment protesté . '' Ahhh , vas y doucement , t'es un enfoiré … !'', c'est à peut près tout. Il s'est bien un peu redressé, j'en ai profité pour le prendre dans mes bras, le serrer bien fort contre moi. Je posais mon menton sur son épaule, il tournait la tête et on s'embrassait. Toujours avec force et vigueur je me retirais, je revenais et commençais sans attendre à lui limer le cul. Il continuait à râler.


Zizou et Labrute avaient suivi notre exemple, ils étaient maintenant eux aussi appuyé contre le billard. Mon pote Jojo enfilait joyeusement Zizou, j'avais presque l'impression qu'il sifflotait mon Jojo, il avait l'air content. Qui ne le serait pas ? Mais j'avais l'impression qu'il se pensait en balade et en même temps qu'il balançait des très violents coups de bassin dans le cul de son partenaire il chantonnait … Il est marrant mon Jojo !


Eddy lui semblait faire la gueule, il était concentré Eddy, il fronçait les sourcils et ne se laissait pas distraire. Pour lui par contre, c'était du sérieux. Ça rigolait pas. Les coups qu'il donnait était d'une grande violence et j'entendais son ventre claquer sur les fesses de Labrute. Lui il respirait fort, lui, en bavait, enfin je pense qu'il devait bien aimer.


Je continuais, je me calmais par moment et reprenais mon souffle, c'était aussi pour faire durer le plaisir. J'appuyais alors de toutes mes forces contre les fesses de Tatare. Il se contractait Tatare, il gémissait fort par moment, il couinait aussi par moment. Enfin il faisait tout un tas de bruits rigolos. Et par moment il hurlait, c'était du plaisir mais pas que. 


Je sentais son corps réagir, je sentais des convulsions interne, ça me massait la queue et c'était simplement génial. Je sentais que le plaisir montait, mon plaisir bien sûr.


Je regardais mes camarades ils devaient en être à peut près au même niveau que moi. Zizou avait le visage posé sur la table de billard, il tremblait. Labrute se cramponnait au rebord du billard, il s'accrochait le pauvre. Lui qui à l'air tellement costaud, tellement viril, ça me faisait tout drôle de le voir dans cette situation, surtout qu'il avait l'air d'aimer.


Eddy était toujours concentré mais ses mouvements étaient moins rapides mais toujours aussi violents. Jojo gardait cet air ravi et détendu, il avait l'air ailleurs, il était à son ouvrage ne vous méprenez pas, je connais ses coups de bassin, leur violence, je sais à quel point il est capable de vous retourner les intestins mais, comme dans ce cas là il est dans mon dos, je n'avais jamais vu qu'il était capable de le faire avec autant de désinvolture. 


Il m'étonnera toujours mon pote Jojo !


Je m'étais calmé moi aussi, je ne bougeais presque plus et je tenais Tatare bien serré dans mes bras. Il sanglotait le pauvre Tatare, il me faisait pitié, je retirais alors tout doucement ma queue de son cul. Je la retirais totalement, je bandais toujours aussi fort et me lubrifiais de nouveau. C'est sans prévenir que je l'enculais de nouveau, un coup bien violent, bien rapide. Il ne s'y attendait pas il a hurlé !


Les gémissements des uns comme des autres finissait par devenir plus bruyants. Quelques cris de plaisir se faisaient entendre, on ne savait plus qui criait et qui ne criait pas. Moi je sais que j'ai crié quand j'ai joui dans le cul de Tatare. On a été à peut près synchronisés sur ce coup. Et c'est ensemble qu'on s'est retrouvé en sueur, essoufflé. Trois d'entre nous était écroulés sur le billard. Les trois autres gardaient un sourire béat. Tout le monde était content.


On est repassé rapidement sous la douche. Puis on est allé nous coucher, j'ai très bien dormi moi !


Une année de stage, ça commençait fort. Ça a continué pareil pendant les douze mois qui ont suivi. Non, n'allez pas vous imaginer qu'on s'envoyait en l'air à chaque instant, dans tous les coins et recoins du chantier, ça ne serait pas professionnel. Mais le soir, on s'accordait un petit moment de détente, un petit moment de plaisir. 


J'ai obtenu mon diplôme de formation et on me proposait alors un chantier, une année encore, c'était dans un endroit isolé, on avait bien sûr nos week-end de libres mais on serait obligé de rester sur place, il y avait une prime spéciale à cause de  cette obligation. 


Vous imaginez bien que j'ai signé sans aucune hésitation, il n'y aurait personne de l'équipe que je connaissais mais je n'étais pas inquiet. J'arrivais au centre logistique pour partir vers cette nouvelle mission à la fin de mes vacances. C'est de là qu'on partait, je passais à l'équipement … 


Ça m'a fait tout bizarre je vous jure, j'avais juste oublié un détail … Je ne serais plus stagiaire sur ce nouveau chantier !




A SUIVRE …



 

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