Ulysse 07

 Ulysse 07




Je remarquais la plaque qui était apposé à l'entrée, vous savez ce genre de plaque qu'on appose comme pour indiquer une étude notariale, ou une profession libérale … Celle là était en pierre de taille ! C'était pas de la camelote en plastic. On pouvait y lire …


' Autrefois connue sous le simple nom de … Le Château … Ce bâtiment fut le siège social de la société PK Compagnie. Entièrement restauré il est désormais un centre culturel spécialisé dans l'histoire de cette société . '


Je n'étais jamais venu jusque là. Le portail s'ouvrait automatiquement. Je suivais leur voiture. En premier on traversait un bois, oh pas sur une longue distance, mais sur quelques centaines me mètre les arbres étaient très serrés et on était plongé dans l'ombre.


Le bois s'ouvrait ensuite sur un long chemin qui conduisait jusqu'à la maison, un magnifique manoir au milieu d'un parc gigantesque. On garait les voitures devant le château. Ulysse était appelé au téléphone. Il m'avait dit qu'il travaillait à la 'Villa des Palmes' en fait, il en était le directeur, enfin le conservateur.


Cinq minutes plus tard Georges et Johan plongeaient dans la piscine. Ils étaient à poil, ils étaient vraiment bien foutus, musclés, un physique d'athlète et surtout … Ils ne portaient pas de dispositif de chasteté il faut croire que contrairement à ce que dit la légende ... les employés de cette entreprise ne portaient pas obligatoirement ce dispositif ? 


Je me retrouvais donc le seul avec un tel dispositif à plonger à mon tour dans la piscine.


Ils remarquaient tout de suite le truc, et ne cachaient pas leur amusement. 


– Alors c'est nous qui travaillons pour la PK et c'est toi qui porte le truc ! Me lançait Georges. 

– Ne dit pas ça trop vite Georges, lui répondait Johan. Notre tour va venir !

– Comment ça votre tour va venir ? Vous pourriez m'expliquer ?

– C'est simple, commençait Johan, tous les employés de la PK enfin à partir d'un certain grade dans l'entreprise, doivent porter le dispositif. 

– Nous, on est en formation, en préparation … Continuait Georges.

– En fin de formation. Précisait Johan. On doit signer notre contrat le week-end prochain. On sera équipé à ce moment ! En ce moment on est en ' permission ' en quelques sortes ...

– On va signé pour cinq ans. Tu veux venir à la cérémonie ?

– Je peux participer ? Mais je ne suis pas membre et …

– Tu es un ami du conservateur et tu portes le dispositif obligatoire, ça devrait suffire … concluait Georges.


On continuait à nager, ils étaient plus détendus maintenant qu'ils était nus. Ils riaient de bon cœur, enfin, on riait de bon cœur. On nageait, on plongeait, on se taquinait et rapidement on ressemblait à une bande d'adolescents. 


Rapidement on se rapprochait, on se rapprochait physiquement pour être précis. Ils bandaient et je sentais leurs coudes qui touchaient les miens. Puis je sentais leurs mains sur mon dos, sur mes épaules, sur mes fesses.


Ulysse ne réapparaissait pas, une bonne heure s'était passée. J'allais sortir de la piscine, il y avait Johan au dessus de moi, il se penchait vers moi, je pouvais admirer son corps, il était magnifique, il avait une très belle érection et un très beau membre. Il me faisait penser à Ulysse. 


Et Ulysse ne réapparaissait toujours pas.


Johan me tirait énergiquement de l'eau et me recevait dans ses bras qu'il refermait avec force et douceur. Je l'embrassais. Ça s'est fait tout seul, je n'avais rien prémédité et ce sont des lèvres tendres que les miennes rencontraient. Georges arrivait dans mon dos et lui aussi refermait ses bras sur moi. 


Ces deux corps doux et chauds étaient agréables au toucher, leurs corps étaient tellement doux. Je ne cacherais pas je j'y avais pensé au début mais c'étaient des copains à Ulysse et comme pour ce qui est d'Ulysse il n'y avait aucune chance, comme c'était sans espoir, j'avais rapidement pensé à autre chose. Mais maintenant … Je sentais ma queue se contracter dans sa cage. 


Mes mains se promenaient sur ces deux corps superbes. Les baisers aussi se promenaient sur tout mon corps. Je me retrouvais à genoux à sucer la première queue qui passait à ma portée et je me disais qu'avec un peu de chance, pour Ulysse, ce serait le bon jour.


Ils avaient l'air d'aimer ça les deux loustics. Pendant que l'un me massait les épaules l'autre m'enfonçait sa queue dans la gorge avec beaucoup de douceur. Ce qui ne l'empêchait pas de me l'enfoncer bien à fond dans la gorge. Il me guidait avec ses deux mains sur mon visage et il avançait et reculait son bassin en appuyant sur ma tête. 


Son camarade prenait sa place, c'est la queue de Georges que je m'enfilais jusqu'au fond de la gorge. Il était bien monté lui aussi et je me régalais. Je passais ma langue autour de son gland. Je passais mes mains sur leurs fesses et je leur caressait les couilles. Je passais de l'un à l'autre. Ils me laissaient faire. 


Ils appuyaient sur ma tête chacun leur tour, il appuyaient de plus en plus fort. Ils y allaient progressivement et j'appréciais vraiment leurs queues, je m'attendais à m'en prendre une dans le cul puis l'autre si tout se passait bien. 


Ma queue protestait comme jamais dans sa cage, ça faisait plusieurs année mais il semblerait qu'on ne s'habitue jamais complètement. C'était un de ces moment ou justement on ne s'habitue pas, ou on s'habitue plus. Je pensais à Ulysse pendant qu'une bite s'enfonçait dans ma gorge. Je ne savais plus laquelle c'était, à qui elle était mais j'aimais. 


J'imaginais Ulysse arriver juste derrière moi, me relever et me lubrifier le cul, se lubrifier la bite et me l'enfoncer dans le cul. Ça devait être génial, la queue d'Ulysse, bien à fond dans mon cul. Je l'imaginais glisser doucement au début, ça résistait mais il forçait, je gémissais et je sentais ses bras m'enlacer. 


Ce n'était pas Ulysse qui m'enculait, ce n'est pas Ulysse qui me tenait dans ses bras. À ce moment précis, je ne savait plus qui c'était Johan ou George, je ne savais plus. J'étais appuyé sur une table de bar, il y en avait plusieurs autour de la piscine, j'ouvrais les yeux et je découvrais le sourire de George, c'était donc Johan. 


Ses mouvements devenaient plus rapides, un peu plus violents, le plaisir montait, je gémissais. Il me serrait plus fort et lui aussi poussait un gémissement très fort au moment ou il jouissait en moi. Il me donnait alors un baiser d'une incroyable douceur dans le cou, tout en haut du cou dans mon dos, il me mordillait sans me faire mal et se retirait. 


Sans attendre Georges se glissait dans mon dos et me pénétrait à son tour, il y allait  avec un peu plus de vigueur, mais Johan m'avait bien détendu et ça passait tout seul. Je gémissais de plaisir et là, je vous garantis que je ne pensais plus à Ulysse, je n'y pensais plus du tout. 


J'étais bien, on me limait le cul avec une grande douceur, on me caressait, de nouveau je fermais les yeux. De nouveau je me laissais aller à mon plaisir. Il montait de nouveau, il montait. Il montait plus vite maintenant, une deuxième bite dans le cul et le plaisir montait vraiment haut et vraiment vite. J'avais le souffle coupé et je tremblais. Je jouissais, pendant de longues minutes je jouissais et je criais de plaisir au moment ou il jouissait en moi à son tour. 


On se retrouvait allongé sur des transat, j'étais complètement retourné. Je me sentais terriblement bien. Je sentais toujours le massage que c'est deux queues m'avait prodigué, le plaisir ne disparaît pas, il durait. Un peu plus tard on replongeait dans la piscine, j'avais récupéré et je me sentais vraiment bien. 


Ulysse n'était toujours pas réapparu.


Plus de deux heures avaient passées, on discutait. Ils m'expliquaient en quoi consistait la fondation ''  La Maison des Palmes '', c'était un musée, en ce moment il était fermé. Mais c'était aussi un centre culturel, on pouvait aussi loger des stagiaires, on y organisait des stages de formation. Des groupes d'étudiants venaient aussi passer des vacances studieuses. 


Ils me faisaient visiter, on restait à poil. On était totalement détendu. Je les suivais, il me faisaient faire le tour de la propriété. Une entrée monumentale avec son escalier en fer à cheval. Les salles d'exposition, il y en avait un grand nombre. Dans cette maison il y avait toujours plusieurs expositions en cours.


On me montrait la bibliothèque, sur papier elle était magnifique, il y avait de nombreux livres rares. Pour la partie numérique, la liste semblait quasiment sans limite. 


Le bâtiment était dans un état de conservation parfait. Il était tellement bien entretenu, qu'il semblait neuf, construit plus de deux cent ans plus tôt mais neuf. C'était une merveille.


Le temps le permettait, on faisait un tour dans le parc.


– Mais on peut vraiment se balader à poil ici ? Demandais-je .

– Partout et sans limite dans la mesure ou on porte un dispositif de chasteté. Me répondait Johan.


Ma queue protestait de nouveau, c'était très désagréable presque douloureux. Mes deux camarades avaient tous les deux une très belle queue qui se balançait lourdement à chacun de le leurs mouvements en pleine liberté.


Ces deux très belles queues seraient bientôt sous clé, condamné à un certain confinement, tout comme la mienne. Je pensais à Ulysse, il avait disparu dès notre arrivée. Je le revoyais quelques années plus tôt, il était toujours tellement attirant dans mon souvenir, tellement sexy. 


Je m'attendait à le voir apparaître, j'espérais qu'il serait nu, qu'il nous rejoindrait dans la piscine, j'espérais pourvoir le toucher, le recevoir dans ma bouche, j'avais tellement envie depuis tellement longtemps de lui sucer la queue et de me la prendre le cul. C'était ma dernière chance. C'était la dernière fois que ce serait possible. 


Quelque chose me disait que ce que j'avais rêvé depuis près de quinze ans allait enfin arriver. Mon cœur battait très fort, ma queue protestait de plus en plus fort. Ça faisait bien longtemps qu'elle n'avait pas protesté aussi fort.


Quand vous portez un dispositif comme celui là, les jours se suivent, ça, ça ne change pas, mais ne se ressemblent pas … Remarquez ça aussi, ça ne change pas. Il y a des jours ou on se réveille avec une érection contrariée, féroce et décidée. Il y a des jours ou le dispositif gêne, fait presque mal, sous les couilles, il faut le réajuster en tirant sur la peau. Il y a des jours ou ça ne dure pas, c'est surtout le matin que ça se produit, mais il y a des jours ou ça continue pendant longtemps après s'être levé et ou ça recommence dans la journée.


Mais il y a aussi des jours ou on se sent bien, terriblement bien. La pression contre le sexe est alors comme une caresse, une étreinte agréable, ça peut même être terriblement agréable. Je ne sais pas pourquoi cette sensation peut autant varier d'un jour à l'autre.


Ce matin je me sentais bien, détendu, mon sexe douillettement enveloppé dans une sorte de coquille, c'est l'impression que ça me faisait. Une coquille autour des mes couilles, alors que là il n'y a rien, une caresse autour de ma queue, alors que là c'est la cage, et que ce n'est pas une caresse.


J'entendais la voix d'Ulysse.


– Excuse moi Charly, mais j'ai des responsabilités ici, c'était la maison mère. Ils t'ont fait visiter ?

– L'endroit est magnifique.


Je le regardais approcher, j'étais à poil.


– Tu portes toujours ce dispositif ? 

– On l'a invité pour la cérémonie de la notre engagement. Disait Georges.

– S'il porte un dispositif, ça ne pose aucun problème. Il y aura du monde, mais c'est une très bonne idée. Bon je crois que moi je vais prendre un bain. 


Il se déshabillait rapidement, 


Je le regardais faire, je l'avais souvent vu nu dans le passé. De nouveau ma queue protestait, '' Décidément, me disais-je, aujourd'hui elle ne me laisera pas en paix ! ''. C'est les retrouvailles avec Ulysse. Je le voyais maintenant torse nue, ma queue me torturait.


Ses deux camarades étaient bien chauds, je sentais arriver le moment tant attendu, ce moment ou je pourrais enfin goûter au plaisir de me prendre la queue d'Ulysse dans le cul. Je ne pourrais pas lui rendre la politesse mais je pourrais le laisser  faire. 


Je sais depuis longtemps qu'il est bien outillé, qu'il sait très bien se servir de sa queue et si je gardait un air tranquille ce n'était qu'en apparence. Déjà je tremblait de désir. 


Le pantalon tombait, il portait  lui aussi un dispositif de chasteté !


Mais  pourquoi j'avais pensé qu'il n'en aurait pas, à cause de ses deux camarades ? Ils m'avaient dit pourtant qu'Ulysse était le conservateur de la maison. J'aurais du comprendre dès le départ que lui portait un dispositif de chasteté, Tous les responsables, tous les cadres de la société en portent un et lui c'était le directeur de ce centre historique de la société.


Je me sentais rempli d'une frustration, je m'étais fait défoncé le cul deux fois peu avant mais brusquement j'étais de nouveau en manque. Seulement c'était la queue d'Ulysse que je voulais sentir dans mon cul, et cette queue là semblait m'être interdite à jamais !




N'hésitez surtout pas à me laisser une commentaire et à me retrouver sur Twitter …  @CharlyChast 


Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

INDEX

                       Textes et fictions sur le thème de la chasteté masculine, gay.                                         PAGE D'ACC...