Presque frères 09

 Presque frères 09



Mes parents étaient entrés dans la nuit, ils ne nous ont même pas déranger. Même s'il nous avaient surpris à dormir ensemble il n'y aurait vu aucun mal, ils auraient seulement pensé que nous dormions ensemble, comme deux frères … 


On était devenu des amants. On évitait de le dire à tout le mon, en fait on préférait le dire à personne. Surtout que aucun de nous deux n'était homosexuel, c'est pas parce qu'on avait passé l'été à se faire des câlins, à se sucer la queue et à s'enculer qu'on était gay. Il ne faut pas porter de jugements aussi rapide avec si peu d'éléments pour conclure … C'est vrai quoi !


Il faut bien se dire que les filles sont en général assez farouches. Il parait que c'était plus simple avant l'arrivée de la mode des dispositifs de chasteté. Mais maintenant c'est pas facile. On peut flirter, s'embrasser, se faire des câlins mais quand il s'agit de sortir la quéquette, la fille n'est plus du tout d'accord. 


Par contre si le garçon porte un dispositif de chasteté tout est différent. 


Remarquez c'est bien moins intéressant pour le garçon tout ça. En fait on ne s'était jamais rendu compte de la situation. Tant que tu es assez jeune, et que la limite c'est le flirt c'est pas bien gênant mais quand tu deviens plus âgé, que ta demande, tes désirs se focalisent … alors c'est la douche froide … Tommy en avait fait l'expérience l'été précédent sur notre petite îlot. Emmanuelle lui laissait carte blanche et moi j'avais juste le droit de regarder …


Heureusement il reste la masturbation. Vous ne vous imaginez pas que je vais mettre un dispositif de chasteté juste pour pouvoir prendre une fille dans mes bras ? Surtout que, dans un cas pareil, on fait quoi après ? Ça ne peut pas aller bien loin.


Non je préfère prendre dans mes bras mon pote Tommy, lui faire un câlin, le laisser me sucer et finalement l'enculer. Surtout que je ne vous dis pas mais le garçon, au bout de quelques semaines il est chaud, très chaud. 


Ce premier week-end de retrouvaille après un mois était un pur moment de détente et de plaisir. 


Au réveil, on s'est embrassé, on s'est fait un câlin. Pendant de longues minutes on s'est caressé, ses mains se promenaient sur tout mon corps, depuis mon cou jusqu'à mes cuisses. Elles s'attardaient particulièrement sur mes tétons puis sur ma bite qui était bien raide et continuaient sur mes couilles. Ensuite c'étaient ses lèvres qui s'arrêtaient sur mes tétons, les dents se manifestaient avec délicatesses et déjà je commençais à respirer fort. 


Sa peau était douce, je la connaissais bien, je l'avais souvent caressée dans un passé récent et j'aimais de plus en plus. J'aimais de plus en plus ses baisers et ses caresses. Il m'avait complètement réveillé je décidais donc d'intervenir. Je me décidais à le caresser sur tout le corps.


Pour commencer je lui tripotais les couilles, je sentais la pression qu'il y avait dans sa cage. L'érection matinal se manifestait, pour moi aussi mais à ce moment ma queue était douillettement installée dans sa bouche. Sa langue tournait autour de mon gland et le caressait avec une incroyable douceur. 


Ses couilles formaient toujours une grosse boule à cause de la pression de sa queue dans le cage. Je sentais bien que sa cage se tenait bien, elle ne se balançait pas comme c'est le cas quand il est au repos. Là il n'était pas au repos, là, il bandait, enfin sa queue essayait et elle ne lui avait pas demandé ce qu'il en pensait. Il subissait !


Je m'amusais un petit moment avec sa cage, je la remuais, je tentais d'y glisser sans succès un doigt par les ouvertures. Il me laissait faire et continuait, imperturbable à me sucer la queue. Il faisait ça tellement bien maintenant.


Son corps glissait contre le mien, sa peau contre la mienne et la chaleur de son corps me faisait bander encore plus ferme.


Il me lubrifiait généreusement sans rien me demander et toujours sans rien me demander il plaçait ses pieds de chaque côté de mon bassin puis en me regardant bien droit dans les yeux, il s'empalait sur ma queue. 


C'est lui qui contrôlait tout, je le laissais faire, il se détendait et ma queue s'enfonçait doucement puis c'est tout son poids qui s'appuyait sur mon bassin.


– Ne bouge pas ! Me disait-il sur un ton crispé.


Je ne bougeais pas, il s'appuyait plusieurs fois et se relevait. Il respirait fort, moi j'étais en apnée … Puis sans prévenir à un moment ou il s'appuyait je décidais de tirer ses pieds contre mon torse. Là il perdait le contrôle, il a poussé un cri et c'est de tout son poids qu'il s'est alors empalé.


Je l'ai senti se crisper. Il se tordait dans tous les sens mais rien n'y faisait ma queue était rentrée à fond, sur toute sa longueur, plus de vingt centimètres. Il les sentait passer les vingt centimètres, il grimaçait en gémissant.


– Tu es un enfoiré ! Arrivait-il à me lancer dans un gémissement qui aurait pu faire pitié.


Mais moi, à ce moment c'est à mon plaisir que je pensais. Il se tortillais pour essayer de résister à ma queue qui le clouait sur place et c'est à ce moment que j'ai commencé à soulever mon bassin et à me laisser retomber, il gémissait à chaque fois qu'il retombait sur moi. Je me redressais et refermais mes jambes en tailleur. Ensuite je me balançais sur mes fesses et lui suivait, il n'avait pas d'autre choix, il passait ses bras autour de mon cou et se cramponnait.


Il gémissait de plus en plus fort, je sentais cette grosse boule que formaient ses couilles pousser contre mon ventre. Elle était dure et je m'en amusait. Ma queue massait ses entrailles, il sanglotait. C'était nouveau comme réaction, mais il ne tentais pas de se dégager. 


Il respirait fort dans mon oreille, il gémissait de plus en plus fort. 


C'est lui qui se balançait sur ma queue maintenant. Il bougeait les fesses d'avant en arrière et ma queue massait sa prostate à chacun de ses mouvement. Je me souvenais du plaisir qu'on arrivait à se donner juste avec un doigt, j'imaginais ce qu'il pouvait ressentir avec ma queue longue et large. 


Il faisait une grimace à faire peur et sa respiration devenait irrégulière. C'est à ce moment que j'ai senti son anus se contracter. C'était le pied, il à juté aussi, juste un petit peu en gémissant comme si on le torturait. En fait il jouissait.


Quelques secondes plus tard je me lâchais dans son cul, je lui ai balancé quelques coups de bassin qui l'ont fait sauté, il se cramponnait à mon cou quand il retombait et criait de plaisir. On jouissait ensemble, parfaitement synchronisé. C'était le pied je vous jure. 


Un instant je me demandais pourquoi il me faudrait attendre une semaine pour pouvoir remettre ça. Si on habitait ensemble je pourrais remettre ça tous les jours. C'est à ce moment que j'ai pensé que je pourrais moi aussi m'inscrire dans sa fac. Puis je revenais à la réalité, si je faisais ça je ne pourrais plus l'enculer,je serais obligé de porter moi aussi une cage à bite.


Il y a des jours ou j'ai vraiment des idées idiotes moi !


Je me laissais retomber sur le dos les bras en croix, il restait planté sur ma queue qui était encore bien dure. Il avait les jambes allongées contre mon torse et restait donc un peu coincé. Il reprenait son souffle, j'en faisais de même. Je finissais par débander. Il se dégageait en tombant à côté de moi, il rigolait, ça allait mieux.


On passait sous la douche.


– Tu es un enfoiré !

– Moi j'ai bien aimé !


On s'est lavé l'un l'autre, on s'est rendu présentable et on est descendu pour le petit déjeuner. Mes parents n'étaient même pas surpris, comme je vous le disais on se connaissait depuis la prime enfance et on avait souvent dormi l'un chez l'autre. Ma mère rajoutait un bol, c'était tout.


On est allé faire un tour, un peu de sport, une balade sans trop se fatiguer, on faisait du sport tous les jours, Tommy surtout,aussi on préférait se reposer le week-end. Le midi c'est moi qui ai dîné chez lui.


On a parlé, il me racontait comment c'était la PK Université, ( PK c'est pour Purity Keeper, c'est comme ça que s'appelle la société qui fabrique les cages à bite ) il parait que ça aide à rester pur ...Vous avez pu constater que c'était très efficace … 


J'étais le premier surpris mais ça lui plaisait.


– Tu sais Paco, je suis le premier surpris de voir que ça me plaît !


Finalement j'étais le second surpris. 


– Il y a un prix à payer mais je te jure que ça en vaut la peine. Rajoutait-il.

– Même au bout d'un moi et demi ?

– En fait, tu sais, c'est pas si dure que ça ! Et puis ça te donne une certaine force, surtout dans le domaine du sport, mais pas que …


Il me ventait les qualités de cette nouvelle vie. C'est vrai aussi que l'école était particulièrement bien équipée. On voyait que le propriétaire avait les moyens. Les moyens étaient pratiquement illimités.


A la fin du premier trimestre, soit deux mois plus tard, il y avait des vacances organisées, il me disait que les élèves pouvaient invités des amis à eux. Ils auraient l'obligation de porter un dispositif de chasteté pour cette période.


– Tu sais Paco, c'est une manière de faire un essai sans s'engager …


Là je commençais à me demander s'il ne voulait pas m'embarquer avec lui. Ce qu'il me disait était très bien, il y avait bien sûr les installation sportives, deux piscine de cinquante mètre tout de même. Une médiathèque de tout premier plan, un bibliothèque qui faisait aussi conservatoire de de livres anciens. Le musée de la ville aussi, bein oui, ça aussi c'était une annexe de l'école également. 


C'était bien, c'était vraiment bien, on ne peut pas dire le contraire mais il y avait un prix à payer. Je ne parle pas de ce que ça coûtait, je parle de l'autre prix, la cage de chasteté.


Mais selon lui, ce n'était pas du tout un problème. 


Tous les week-end qui suivaient on se retrouvait, je voyais son corps changer, ses muscles se développaient. Oh il ne donnait aucune substance chimique dopante à leurs élèves dans cette école, ils faisaient simplement du sport tous les jours, l'entraînement était complet et régulier, c'est tout.


Il ne se transformait pas non plus de monsieur fil de fer en monsieur univers, le progrès et léger mais réel. Je le remarquais quand je le tenais dans mes bras mais surtout quand on faisait une course, au bout de quelques mois seulement il me laissait sur place.


La fin du premier trimestre arrivait, nous allions avoir des vacances, sans me le dire Tommy m'avait inscrit pour les vacances …


– Mais tu n'es pas un peu fou dans ta tête toi ?


Il rigolait à ma réplique.


– C'est juste pour deux semaines Paco. Moi ça fait trois mois et demie tu peux bien essayer deux semaines quand même.

– Et ça se passe ou ?

– Deux semaines de vie au grand air dans un oasis artificiel. Deux semaines de détente, à poil. Les vêtements sont interdits, juste les cage de chasteté. Il n'y aura que des garçons, c'est également interdit aux filles. 


Je restais sans voix. Il ne doutait de rien. Bon il m'expliquait que de toutes façons il restait encore deux places, donc si  je refusais ça ne poserais pas de problème, je n'avais pris la place à personne.


Finalement j'ai dit oui !



A suivre




N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast


Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

INDEX

                             Textes et fictions sur le thème de la chasteté masculine, gay.                                         PAGE D&#...