Prêter c'est pas donner

 Prêter c'est pas donner 



– Bon je vous le prête ! Avait dit Maxim juste avant de repartir.


Maxim c'est mon doudou, il a une jolie barbe, une belle fourrure douce et une grosse bite … Ça compte la grosse bite pour un homme et son homme, c'est moi. Mais le '' Bon je vous le prête '', je lavais trouvé un  peu raide. Je lui lançais une regard tueur, il l'a bien compris et m'a donné un baiser sur la joue. 


– Bon tu m'excuses mais il faut que je parte, j'ai pas le temps de te présenter à tous mes copains mais d'ici peu, tu les connaîtras très intimement.


Il était dans mon dos, avait posé ses deux mains sur mes épaules et me poussait doucement en avant. 


Je me disais bien '' Il abuse tout de même !'' mais ses copains étaient plutôt mignons, ça me semblait être un très bon début tout ça, je laissais faire. On était dans une maison que  je ne connaissait pas, il faisait chaud, la fenêtre était ouverte, le temps était magnifique. 


Un homme à la peau très mate, venait vers moi, et me prenait par la main comme on m'avait fait le jours de mon entrée à la maternelle. Mais là je n'allais pas à l'école. Il m'entraînait vers la terrasse, je suivais sans rien dire. Au moment ou nous arrivions sur la terrasse j'étais reçu par  un cris de joie '' AAAAAAAAAH !''. '' Et on l'a pour combien de temps ? '' demandait un garçon au fond.


– Maxim nous le prête pour toute la nuit, il reviendra le chercher demain dans la matinée.


Allons bon, il s'y mettait lui aussi !


– Et tu l'as vu dans les détails ?

– Non, j'attendais que tout le monde soit là pour le déballer !


C'est bien de moi qu'ils parlaient ? Je commençais à me poser des questions. C'est vrai que je m'en posais moins quand je remarquais que le mec sous le parasol avait une bite magnifique. Il ne bandait qu'à moitié mais c'était déjà impressionnant. Je me rappelais une réflexion de la par de mon doudou quelques jours plus tôt. '' Tu verras mes copains quand ils entrent on les sent passer ! ''. J'étais un peu ému, et là je n'avais plus du tout envie de râler, même juste pour la forme. 


Quelques minutes plus tard étaient tous à poil, et tous étaient bien montés. Il y avait cinq très beau mecs qui s'approchaient de moi, ils étaient tous bien bâtis. Le seul qui était encore habillé c'était le très beau black qui était venu me prendre par la main.


– Bon allez on va le déballer ! Disait l'un.

– Tu y vas doucement toi, il ne faut pas le casser comme tu as fait avec la télé l'autre jours !

– Mais c'était pas ma faute !


Je sentais une main qui se promenait sur ma chemise, une autre sur ma cuisse, l'autre cuisse, mes fesses, sur mes couilles … Enfin il y avait des mains partout. Un à un les boutons de ma chemise sautaient et pour finir c'était ma chemise qui sautait.


Les caresses sur mon torses devenaient plus insistantes, plus nombreuses. Un me pinçait le téton et m'arrachait un cris.


– Mais fait attention, rajoutais une vois, ne l’abîme pas. Si on le rend a moitié cassé, Maxim va nous engueuler.

– Oui, oui, ne m'abîmez pas je suis fragile. 


Ils étaient un peu rigolards mais arrivaient à leurs fin, et moi je me retrouvais à poil. Toute l'attention se repostait vers mes couilles et ma bite. Ma bite n'était pas accessible, j'avais un de ces dispositifs de chasteté. On en trouve partout sur internet maintenant …


– Oh mais c'est quoi ça ?

– Ahhhh , j'adore. En plus ça c'est une surprise.

– Moi je savais, j'avais pas vu mais on m'avait dit...



Le premier que j'avais rencontré m'attrapait par derrière, il passait son bras par dessus mon épaule et me tirait vers lui en passant son bras autour de mon cou.


– Ne bouge pas, laisse moi faire .


Je sentais sa queue qui glissait entre mes cuisses, quand il avançait son bassin elle me soulevait les couilles. Je ne l'avais pas vu mais j'en concluais qu'elle devait être grosse.


Puis un me tirait dans un sens, un autre dans l'autre sens. Je me retrouvais plié en deux, le corps penché, on me retenait je ne pouvais pas tomber. On me rentrait une queue dans la bouche, là j'ai pas essayé de comprendre, j'ai sucé !


Je sentais aussi des doigts qui glissaient entre mes fesses, on me lubrifiait généreusement le cul. Puis il y avait une pression forte. Un d'entre eux tentait de forcer le passage, je ne savais pas lequel c'était mais je supposais qu'ils le feraient tous. 


La pression était forte, ça résistait, j'ai pas vraiment essayé de résister. Il est entré en force, je ne vous raconte pas mais heureusement que  j'ai de la pratique, il avait décidé de passer et il a passé. J'ai senti mon anus se dilater avec violence, c'était bon. Ensuite c'est comme une énorme matraque qui glissait entre mes fesses et pénétrait dans mes entrailles. C'était super.


La matraque était grosse, juste comme je les aime, elle me dilatait l'anus, c'était le pied. Rapidement son ventre s'écrasait sur mon nez, j'en avait presque oublié l'autre qui me rentrait sa queue dans la bouche moi. C'est dire ! Pendant que le ventre du second s'écrasait sur mes fesses.


Je me retrouvais un peu comme un poulet qui aurait été embroché, une grosse barre qui me rentrait dans le cul, une autre ressortait par ma bouche. Quand l'une entrait, l'autre ressortait. On aurait pu croire par moment qu'elles étaient reliées. Heureusement c'était pas le cas.


Je sentais des mains partout qui me retenaient, elles me caressaient, me tripotaient les couilles, je ne savais plus à qui elles étaient. Il y avait six mec il devait donc y avoir une douzaine de mains mais c'était pas facile pour bien les compter.


Un me pinçait les tétons, l'autre les fesses, un dernier ma caressait les reins ou me donnait une claque sur le dos. Les dans mon cul comme dans ma bouche on me limait, je n'avais rien à faire, sinon veiller à ne pas mordre, surtout ne même pas montrer que j'avais des dents.


Pour sucer, vous savez, c'est tout un art, il faut faire disparaître ses dents, bien les cacher derrière ses lèvres mais quand c'est pas vous qui êtes au commande, quand c'est le mec qui vous lime, vous subissez et là il faut de la concentration pour faire ça bien. Et c'est du boulot !


Je sentais naître un plaisir au milieu de mon ventre, puis ce plaisir devient plus intense et finalement il prend toute la place dans mon ventre, il déborde et je commençais à trembler, je ne contrôlais plus mes gestes. Comme je vous disais, on me tenait, on me retenait, on me maintenait et je ne risquait pas de tomber. C'était déjà un soucis en moins.


Puis il y avait cette grosse bite qui glissait  contre ma langue et s'enfonçait dans ma gorge, ça, je m'en serais bien passé mais c'est pas moi qui décidais. En plus avec ce gros truc dans la bouche  je ne pouvais même pas râler, ou même dire quelque chose. Il fallait seulement que je me concentre pour être agréable à celui qui me défonçait la bouche.


Les coups de bassin qu'on me faisait subir se faisaient entendre, chaque fois que le mec derrière moi s'écrasait sur mes fesses, ça faisait un  bruit terrible qui montrait qu'il ne se retenait pas et je sentais mes entrailles se retourner, il finissait pas juter, je m'en suis rendu compte à son cri de plaisir. Il a hurlé l'animal.


Le premier qui occupait ma bouche n'attendait que ça pour prendre sa place. On me laissait un moment de répit pour me remboîter la mâchoire. Pas loin de cinq secondes. Et c'était reparti, un autre mes m'écrasait son gland juste sous le nez, d'un air de dire … '' Mais tu en mets du temps à ouvrir la bouche !''. J'ouvrais la bouche et il la remplissait aussitôt. 


Dans mon dos, ça tapait fort, ça claquait fort. J'en prenais plein le cul. J'avais envie de crier, j'ai hurlé, j'ai gueulé mais comme j'avais la bouche pleine personne ne s'en ai rendu compte. De toutes façon je pense que tout le monde s'en moquait. Ils ne pensaient qu'à leur plaisir, les sauvages.


Des mains se promenaient toujours sur tout mon corps, elles me caressaient, me pinçaient et m'écrasaient les couilles. Il y en a qui s'amusent d'un rien, je vous jure.


Je me tordais dans tous les sens, c'est qu'il me faisait mal le con. Sur mes fesses les coups pleuvaient et on me giclait dans la bouche. Le gars poussait un râle de soulagement se retirait, un autre le remplaçait aussitôt.


Il ne fallait pas bien longtemps pour que l'autre maboul ne me jute dans le cul. Il terminait par un violent, très violent coup de bassin contre mes fesses. Il était remplacé.


Pendant plus d'une heure on m'a fait subir ce traitement. Je sais ça peut paraître violent mais c'est que j'en redemandais. J'ai joui, j'ai joui pendant je ne sais plus combien de temps, au niveau de mon ventre, de mon torse et de mon cul. Pendant une heure, j'avais l'impression de juter, pendant une heure j'avais l'impression que j'allais éjaculer pendant une heure je restais parfaitement sec mais pendant une heure je tremblais de plaisir sous l'effet des caresses et des coups de butoir contre mon cul et dans ma gorge.


C'est vrai que dans la gorge, c'est là que c'est le moins agréable mais … j'aime bien faire plaisir moi, je suis comme ça.


Mais dans le cul, là c'était le pied. Une énorme matraque qui se fraie un passage en force, qui rentre, ressort avec violence, qui s'écrase bien à fond contre on ne sait quoi et qui continue pendant des heures … Des heures peut être pas mais plus d'une heure tout de même … J'avais envie de crier '' encore, oui défonce moi le cul '' … 


Mais bon comme je vous le disais, j'avais la bouche pleine !


Il me sont tous passé sur le corps, j'avais l’impression qu'ils étaient plus nombreux … Finalement ils n'étaient que six.


Il tombaient tous les uns après les autres. Il n'y avait presque plus de mains qui me caressaient, une mains traînait encore sur mes couilles quand on me libérait la bouche. Il en restait encore un qui me défonçait le cul et qui manifestait son plaisir au moment ou il jouissait. Il se retirait, et le dernier le remplaçait.


J'étais sonné, je me retrouvais à quatre pattes au milieu de la pièce principale le dernier des six, c'était pas le moins bien membré se glissait en moi. Il avait une grosse queue mais là, elle rentrait toute seule, presque sans forcer. C'était divin. C'est à ce moment que j'ai joui, avec ma queue je veux dire. Avant j'avais joui pendant une heure mais c'était comme un orgasme suspendu, un orgasme qui arrive, un orgasme qui n'en finissait pas d'arriver. Là c'était la conclusion, c'était comme un couronnement. Comme au feu d'artifice, c'était le bouquet final.


J'ai hurlé de plaisir. Le gars s'est lâché, il m'a fait jouir pendant tout le temps qu'il m'a limé. Quand il m'a lâché je suis tombé à plat ventre, il est tombé sur moi. 


Ceux qui avaient récupéré rigolaient en regardant la scène.


– Il est bien le doudou à Maxim !

– Oui il est bien …


Je me retournais sur le dos, ma cage retombait sous son poids, ma queue prenait encore toute la place mais elle était toute molle dans sa prison. Ce n'était plus qu'une grosse molle et sans le dispositif elle se serait allongé contre ma cuisse.


– Il est même très bien, on le garde ?


Là je réagissais et en levant la main.


– Il m'a prêté, il ne m'a pas donné. Prêter c'est pas donner !



Fin




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