Presque frères 10

 Presque frères 10



J'arrivais pas à y croire, pendant toute la semaine je me demandais pourquoi j'avais accepté. On m'invitais dans la fac pour me préparer au séjour. Quand je dis préparé, je n'avais pas réagi tout de suite, c'était pour me mettre le dispositif de chasteté. Je le portais donc une semaine avant le départ. 


C'était pas prévu ça !

Tous les jours je me demandais pourquoi j'avais accepté. Il sait être convaincant Mon pote Tommy quand il veut. Je l'avais prévenu depuis le début que jamais je n'accepterais de mettre un truc pareil sur moi et j'étais là dans ma chambre, devant mon miroir, entièrement nu et je me posais des questions. 


La première était … Mais pourquoi j'ai dit oui ?


La seconde … Et ça va durer longtemps cette histoire ?


Et la troisième, car il y en avait une troisième … Mais qu'est ce qu'on mange ce soir ?


Comme vous pouvez le constater, ça ne me coupait l’appétit. On m'avait dit que ça ne faisait pas mal et en effet mais j'avais du mal à croire qu'on finissait par s'y habituer et par ne plus le sentir. 


J'avais une violente envie de me branler. Je ne savais pas combien de temps je pourrais tenir, je m'habillait pour descendre manger.


Quelques jours plus tard c'est toujours dubitatif que je me rendais à la gare pour rejoindre l'école de mon copain Tommy. L'école prendrait tout en charge à partir de ce moment. Dans le train je réfléchissais, j'avais du mal à savoir à quoi mais je réfléchissais.


J'arrivais enfin à l'école, c'est vrai que ça avait de la gueule. La façade était tout simplement gigantesque, elle faisait presque un kilomètre de large devant il y avait une route large en sens unique, un parc qui faisait lui aussi la longueur de la façade une autre route qui circulait dans l'autre sens et une autre façade identique à la première, c'était l'école pour les filles. 


Le quartier était pharaonique, hors normes. 


Je me présentais à la première entrée que je trouvais, c'était pas la bonne mais on me renseignait, j'arrivais dans une cour intérieur qui était à l'échelle du bâtiment il y avait plusieurs bus qui attendaient. On me dirigeait ver le deuxième bus et là on me saisissait dans le dos avec force … C'était mon pote Tommy, il avait l'air content de me voir. On s'installait, et l'heure du départ arrivait vite. L'ambiance était détendue et joyeuse.


Moins d'une heure plus tard on arrivait à l'aéroport. On montait dans l'avion et quelques heures plus tard on se posait. De nouveau on montait dans un bus et quelques heures plus tard encore, c'était encore tôt dans l'après midi on était arrivé. 


On était au milieu de nulle part. Il y avait un lac entouré d'une ceinture d'arbres et autres, comme des palmiers et des bananiers, des champs et des maisons en terre on avait l'impression d'être revenu deux mille ans en arrière. 


Mais c'était beau, c'était très beau. Il faisait chaud. On passait aux vestiaires. J'étais un peu gêné, je ne connaissais personne, il devait y avoir deux cent jeunes  hommes de mon âge ou un peu plus vieux, ils étaient tous aussi beaux les uns que les autres, ils avaient des corps magnifiques, et tout en discutant il se déshabillaient. Chacun mettait ses vêtements dans un placard qui ne s'ouvrait qu'avec l'empreinte digitale du déposant. 


Tommy arrivait vers moi.


– Alors tu en dis quoi.

– Bein,tout le monde est à poil !

– Et tout le monde va le rester pendant deux semaines … Rajoutait Tommy avec un grand sourire. 


Je suivais le mouvement et je me retrouvais nu à mon tour. Ma bite commençait à me taquiner, et je bandais, on ne le devinait pratiquement pas. Je n'étais pas le seul mais les signes qui trahissaient cette activité étaient très discrets. On pouvait deviner que le dispositif se relevait mais la queue, elle, restait bien en place. Sur ce point rien ne dépassait.


On était isolé du monde, le téléphone portable ne marchait pas. On dormirait dans des maison en argile crue, et les activités prévues étaient très variées. Elle allait depuis la construction d'une maison en argile crue et du ski nautique ou du parachutisme …


Après le premier repas, on commençait par une partie de foot, suivait une chasse au trésor dans la palmeraie, puis un peu de repos une baignade dans le lac. On se retrouvait sur les rotules à l'heure de passer à table.


Il m'a fallu plusieurs jours pour m'acclimater. Ils faisaient tous bien plus de sport que moi, et surtout c'était très bien étudier, aucune activité sportive n'était choisie par hasard. J'étais mignon mais on remarquais que je n'étais pas de leur école.


Au début le plus dur c'était la présence de tous ces corps nus et beaux, j'étais nu également et ma queue réagissait presque en permanence surtout que quand j'arrivais, ça faisait déjà une semaine que j'étais en cage. Mais eux tous, ça faisait combien de temps ? Ils ne devaient pas se sentir plus à leur aise que moi de ce côté. Ou alors, c'était vrai qu'avec l'habitude on fini par ne plus sentir la présence du dispositif. 


Nous étions quatre par chambre,  les chambres étaient grande avec plus de quatre mètre de plafond, les murs faisaient plus d'un mètre cinquante d'épaisseur, les ouvertures étaient étroites, c'était pour éviter la chaleur. Les soirées étaient calmes, on restait très tard autour du lac, on pouvait plonger quand on en avait envie, c'étaient des soirées longues et chaudes ou la torpeur annonçait déjà la nuit.


Un soir, c'était seulement quelques jours après notre arrivée, j'entrais dans la chambre, mes trois colocataires étaient allongés sur leurs lit. 


– Dis moi Paco, il faut qu'on parle ! Déclarait Tommy.


Il avait l'air sérieux là, il m'a fait à moitié peur. Il venait vers moi et me prenait dans ses bras. Je lui bafouillais alors à l'oreille …


– Tommy, on n'est pas seul !


Les autres approchaient à leur tour. Je sentais des mains partout sur moi. Je me demandais ce qui se passait mais c'était agréable, je laissais faire, et il faut dire que la présence de Tommy suffisait pour me détendre.


Il m'embrassait, je lui rendait son baiser puis je sentais d'autres baisers sur mon corps, mes épaules mon dos. Quelqu'un me tripotait les couilles, je ne savais lequel c'était mais rapidement c'était l'autre, il me faisait rire, il ne me faisait pas mal, au contraire.


On m'entraînait vers un lit sur lequel on me repoussait avec douceur, Tommy avait disparu mais Justin et Xavier, les autres occupants de la chambre, ne me lâchaient pas. Ils me caressaient et me couvraient de baisers.


Je ne comprenais plus du tout ce qui se passait mais je me laissais faire, c'était agréable sauf peut être au niveau de ma cage à bite. En effet sous les caresses et les câlins ma queue se révoltait. Elle poussait de toutes ses forces contres sa prison. En temps normal, elle était presque confortable mais là on n'était plus en temps normal. Là c'était désagréable.


Tommy réapparaissait, il bandait, une belle grosse queue se redressait. Là je ne comprenais plus. Il se penchait sur moi.


– Je peux ? Demandait-il.


Je ne sais plus trop ce que j'ai bafouillé mais il l'a pris pour un oui. Il s'est glissé entre mes jambes et s'est penché sur moi. Il me caressait, il me couvrait de baisers. Je refermais mes bras sur lui, je ne comprenais plus rien mais j'aimais le contacte de sa peau.


Un des garçon me lubrifiait le cul, là je m'inquiétais un peu mais bon c'était Tommy, et Tommy je le connaissais bien. Il positionnait sa queue juste en face de mon anus et sans prévenir il poussait.


J'ai râlé, j'ai poussé un cri, il glissait en moi. Il s'enfonçait, c'était violent, il y allait doucement mais c'était violent, enfin pour moi. Il arrivait au fond, et je sentais son ventre s'écraser contre mes fesses.


Je manquais d'air. Il ne bougeait plus. Il y avait toutefois quelque chose qui me paraissait bizarre, je ne comprenais pas comment il pouvait m'enculer alors que juste avant il portait un dispositif de chasteté. Je glissais une main sur mes fesses et là tout devenait clair. Il avait toujours sa cage de chasteté mais juste dessus  il avait fixé un gode qui semblait maintenu par une lanière. 


Tommy commençait à me limer le cul, ça faisait longtemps que je n'avais pas pris un bite dans le cul, et en plastique c'était la première fois. Ça passait tout seul, en fait elle était plus  petite que sa vraie bite. Mais pour moi qui n'était pas habitué à me prendre de grosses bite dans  cul, c'était mieux. Et rapidement j'appréciais.


Il entrait, sortait, doucement puis plus vite puis plus lentement. Il variait la vitesse, il variait la force. Il y avait six mains qui me caressaient et un bite qui me limait le cul. Un me donnais un baiser sur la bouche, un autre le remplaçait, c'était trois bouche qui m'embrassaient sur tout mon corps. Un me pinçais doucement les tétons. Un autre me mordillait doucement sur le côté. 


Je tremblais de plaisir, je vibrais de désir, si la sensation devenait trop forte je me contractais. Tommy variait les caresses et la vitesse à laquelle il me limait, par moment il s'enfonçait bien à fond et terminait par un violent coup de bassin. Là je poussais un cri. 


Les caresses redoublaient, les baisers aussi et Tommy continuait, il se contrôlait parfaitement, j'avais oublié que, en fait il ne pouvait pas faire autrement. Il y avait peu de chance qu'il ne vienne à jouir avec son gode. Le plaisir il me le donnait, je pourrait même dire, ils me le donnaient.


Je finissait par convulser, je me tordais de plaisir et mes camarades continuaient à me caresser, personne ne tentait de me calmer. La bite de Tommy entrait avec fluidité, maintenant elle entrait avec vitesse, il donnait un dernier coup de bassin quand il touchait le fond et ressortait, toujours avec cette même vitesse avant de revenir. 


Je râlais de plaisir, je râlais pensant que mes râles était une plainte, un appel. Pour seule réponse je recevais des coups de bite dans le cul. 


Tommy se retirait mais les coups de gode continuaient, il y en avait au moins un qui continuait à s'amuser et avait pris le contrôle du gode, c'était lui qui me l'enfonçait et le retirait. Tommy s'était penché sur moi et je ne savais pas qui c'était. 


Je finissais par éjaculer, je jouissais comme jamais, c'est vrai que ça faisait un moment et j'en profitais. Mais un orgasme c'est toujours court, c'est toujours trop court. 


Je convulsais une dernière fois, et le gode ressortait. Je restais là immobile, mes camarades préparaient le gode pour s'en servir, aucune queue dans la nature ne peut tenir aussi longtemps sans débander me disais-je. Et quelques instants plus tard, les gémissements venait de quelqu'un d'autre.


– C'est à ça que tu joues quand je ne suis pas là ? Demandais-je à Tommy.

– Tu sais, c'est juste pour se détendre, pour pouvoir tenir le coup !

– C'est pour ça que l'autre jour, j'avais bien l'impression que je rentrais plus facilement ?

– C'est vrai que j'ai un peu d'entraînement maintenant.


Je lui caressais la joue, le cou, et lui donnais des baisers. A ce moment j'étais détendu, je sentais que lui dans sa cage il était sous pression. Il le resterait, ça faisait partie du jeu. Il y en avait toujours plusieurs qui resteraient frustrés, en manque et le plaisir à venir n'en serait que plus fort.


– Tu sais Paco, il reste deux places libres pour cette année de prépa. J'ai fait une demande en ton nom. Si ça ne t'intéresse pas, tu ne fais rien, quelqu'un d'autre prendra la place. Sinon il faut que tu le dise avant la fin des vacances, il te reste encore dix jours.


J'étais sonné par cette proposition.


– Mais j'ai toujours dit que je ne mettrais jamais un dispositif de chasteté, tu le sais !

– Et pourtant tu en portes un en ce moment !


Il avait marqué  un point, mais c'était le point de l'absurde. Non je vous le confirme, je ne porterais jamais un dispositif de ce genre !


Pourtant j'en avais un … 


Les vacances avançaient, on s'amusait bien finalement, le port du dispositif de chasteté ne nous empêchait pas de bien nous amuser. Trois jours avant le retour …


J'ai postulé !



A suivre 




N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast


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