Soirée mondaine 02

 Soirée mondaine 02

Que la fête commence



Nous devions arriver vers la fin de l'après midi. Les organisateurs voulaient absolument que nous soyons là tous les cinq, en plus ça laissait le temps pour nous expliquer ce que nous aurions à faire une dernière fois.


Ce n'était en fait pas très difficile, nous devions déambuler dans les salles de l'exposition. Le musée devenait célèbre avec ses expositions, très … Comment dire … très … Enfin je sais pas comment dire, l'artiste qui exposait ne savait pas non plus remarquez, il laissait les journalistes des problèmes artistiques s'occuper de ça. Oui on peut dire problèmes artistiques, dans son cas c'en était un … problème. 


Alors on parlait d'avantgardismitude. Les mots manquaient pour décrire ce qui ne ressemblait à pas grand chose. Et puis ce musée ' Du l'art ou du cochon '. Certaines mauvaises langues disaient même ' du lard et du cochon '. Mais tout ce beau monde était trop snob pour y prêter attention.


Notre mission était donc de déambuler lentement parmi les invités, nous pouvions porter un flûte de champagne à la main à condition de ne pas trop boire, on nous avait conseillé de nous dandiner du cul. Nous devions nous glisser entre les convives si jamais ils venaient à s’agglutiner, de bien nous coller à eux, si un bouchon se formait à une porte l'idée était alors de nous incruster et de boucher encore plus le passage. On obligeait ainsi les invités à nous toucher.


Si un des invités voulait abuser de nous, on était aussi là pour faire plaisir. Il ouvrait alors sa braguette et nous devions le sucer ou se prendre sa queue dans le cul … D’où le teste effectué lors du recrutement.


Moi remarquez j'aime bien rendre service, et j'aime bien aussi me prendre une grosse bite dans le cul, en plus comme je le disais, ça se passait dans un musée face à une foule d'invités à une inauguration, ça ne pouvait donc en aucun cas être assimilé à de la prostitution. C'était du lard, pardon je voulais dire de l'art.


L'exposition était du genre … qui ferait rougir un acteur porno … Mais c'était du lard … Donc tout allait bien !


La salle se remplissait, on nous avait habillé … On avait cette cagoule noire qui recouvrait le haut du visage, à partir du nez ainsi que les cheveux mais en plus, on avait un nœud papillon. L'artiste était passé un peu avant et avait trouvé que nous serions bien plus beaux avec un nœud papillon. Enfin, c'est lui qui décide.


L'organisateur nous lâchait.


– Quand vous rencontrerez l'autre équipe vous n'hésitez pas à vous amuser.


Un par un on entrait dans l'exposition, nous devions nous répartir dans les différentes salles. J'arrivais dans la seconde salle, on me remarquait, tous les regards se tournaient vers moi, les hommes, bien sûr mais les femmes aussi.


Une femme en robe du soir toute en longueur s'approchait de moi. Elle ouvrait sa robe sur toute la hauteur, une fermeture à glissière ouvrait sa robe en deux, le geste était élégant et rapide. Elle me donnait une flûte de champagne, me demandait d'avancer ma jambe et se masturbait en se frottant la vulve contre ma jambes. 


Un groupe de spectateur se formait, elle n'essayait pas de me tripoter, elle ne me touchait pas les couilles pas plus qu'elle ne caressait ma cage. Sa jambe par moment me caressait les couilles mais c'est tout ce que dont j'avais droit.


Son corps glissait contre le mien, ses seins me caressaient la poitrine, elle m'autorisait à glisser une main sur ses reins. Je suivais le mouvement et la retenait contre moi mais sans déplacer ma main. C'est elle qui me disait ce que je pouvais faire dans le creu de mon oreille.


Ça commençait bien cette histoire, en moins de dis minutes j'étais déjà à la pression maximum dans ma cage, ça se voyait, elle se redressait. La femme se lâchait et me léchait le visage, elle ne l'embrassait pas, non. Elle me le léchait en sortant une langue qui n'en finissait pas. Elle me léchait l'oreille, la joue, un œil … 


Et en même temps elle se glissait contre ma cuisse avec force, un peu comme un chien qui se masturbe contre la jambe de son maître. Elle râlait de plaisir, mais vous pouvez me croire elle simulait !


Cette comédie durait quelques minutes puis, elle se calmais. C'est l'artiste en personne qui venait lui refermer sa robe, c'était sa femme et je devinais que c'était prémédité, ça faisait partie du spectacle, pardon, je voulais dire de l'exposition.


Il me fallait beaucoup de concentration pour reprendre. Je ne vous cacherai pas que je manquais d'air. Elle m'avait bien échauffé le cervelle la petite. Il ne devait pas s'ennuyer l'artiste. Madame ajustait sa robe et repartait pour discuter avec les invités. Elle m'avait oublié.


Je continuais ma déambulation sans trop savoir ou j'allais. 


J'arrivais dans la salle suivante, un attroupement s'était formé. Je suivais ma consigne et je me mêlais au groupe, j'avais déposé mon verre, je me glissais entre les personnes, il y avait des hommes mais aussi des femmes.


Une main touchait sans le vouloir ma cage de chasteté, un visage féminin se retournait vers moi, le femme me souriait et me tripotait les couilles. Elle avait l'air de trouver ça marrant. Il y en a qui s'amusent d'un rien. Je continuais ma progression c'était un de mes camarades qui attirait toute l'attention. Il était penché contre le mur et un mec entièrement nu qui portait lui aussi une cagoule et un nœud papillon blanc, le notre était noir, était en train de le lui limer le cul avec conviction. 


L'attroupement s'était formé autour d'eux, à une petite distance. Au premier rang un homme très bien habillé avait sorti sa queue et se masturbait. Quand il m'a vu il m'a attrapé par le cou et m'attirait vers lui. ' Suce moi ' me disait-il seulement. Je me mettais à genoux et m'exécutais. Ça aussi ça faisait partie de nos consignes.


Tout autour les gens on applaudi.


J'y mettais du cœur. Je passais et repassais ma langue autour de son gland, ma langue glissait sur sa queue. Sa queue glissait dans ma bouche, s'enfonçait jusqu'à ma gorge et ressortait. Il avançait son bassin vers moi et le reculait, il me tenait fermement la tête entre les mains et il s'amusait avec moi. Il tirait ma tête vers lui et avançait son bassin. Il s'y prenait lentement, je ne résistais pas et lentement je le suivais.


Je ne sais pas combien de temps ça a duré. Il n'avait pas envie de jouir, il voulait juste prendre un peu de plaisir, le plaisir de sentir sa queue se faire caresser par une langue disponible. 


Un de ses amis arrivait, lui posait une main sur l'épaule .


– Tu nous suis on à repéré quelque chose d’intéressant dans la salle suivante. Tu pourras toujours terminer plus tard.


Il me regardait avec le sourire, il ne pouvait pas voir mon visage ni mes yeux. Je savais qu'il ne pouvait pas me reconnaître, mais c'est vrai que pour reconnaître il faut déjà connaître.


Je me relevais un serviteur arrivait et me proposait une flûte de champagne. C'était mérité, je l'avalais cul sec. Mon camarade qui était en train de se faire enculer avait disparu, le petit attroupement se dispersait. Le gars entièrement nu qui l'enculait, c'était lui le second groupe.


L'ambiance retombait dans cette salle, je passais à la suivante.


Il y avait un des gars de l'autre équipe, celle qui  ne porte pas de cage à bite, qui dansait avec  des mouvements très lents. Il avait attrapé un des garçon de mon groupe. Les deux corps nus se touchaient, s'attiraient, se repoussaient. Ils dansaient et n'hésitaient pas à se caresser quand il se touchaient. 


Quelques instants plus tard, je n'avais pas le temps d'avancer bien profond dans la salle, un des invités m'attirait vers, il avait sorti sa bite par sa braguette. Je comprenais ce qu'il voulait, je me suis mis à genoux et je le suçais. Il avait une bite de taille sympathique mais pas énorme et c'est sans aucune difficultés que je la prenais entièrement dans ma bouche. 


Elle entrait facilement et venait directement s'écraser dans ma gorge. Il appuyait avec force et s'amusait avec moi. Il écrasait mon nez contre son ventre, me donnait quelques coups de bassin et me relâchais. Je continuais.


Au bout d'un moment il jutais dans ma bouche, comme on me l'avais dit j'avalais. Je sentais son sperme couler dans ma gorge, j'évitais de faire une  grimace, je ne devais rien montrer, lui il pouvait. C'est lui qui décidait.


Le suivant faisait pareil, il me jutais dans la bouche mais lui voulait que ça se voit, il ressortait sa queue qu'il plaçait juste devant ma bouche et continuait à me balancer les dernière giclées sur le visage. Tout le monde applaudissait. Son sperme coulait de ma bouche, il m'avait juste dit ' Ouvre la bouche !' . j'ouvrais la bouche et je levais les yeux vers lui. Il avait l'air d'apprécier. 


Il finissait par s'essuyer et me donnait le mouchoir en papier pour que je puisse m'essuyer à mon tout. Il repartait. Comme personne ne prenait la place, je me relevais et continuais mes déambulations. Je suivais les consignes, un groupe se faisait, je me glissais au milieu. Les mains me caressaient, me tripotaient, les visages se retournaient vers moi et je voyais les sourires.


Il y avait autant de femmes que d'hommes, les femmes semblaient très amusées par mon dispositif de chasteté, plus d'une s'amusaient à me tripoter les couilles sans aucune gêne apparente. Il faisait chaud et mes couilles pendaient, ma queue, ben ma queue il vaut mieux ne pas en parler, elle était bien confinée dans une cage, une sorte de tube très aéré mais pas très gros. Par moment elle protestait, elle forçait tentait de prendre plus de place et la peau débordait par les aérations. 


Je suis resté au même endroit sans bouger pendant un long moment. Une invitée trouvait sans doute amusant de me caresses la peau de la bite qui ressortait par les trous des aérations. Elle me tripotait aussi les couilles me les tenait bien fermement et quand elle décidait d'avancer dans la visite je n'avais plus que le choix de suivre. Elle me cramponnait les couilles avec force et me tirait derrière elle. 


Quand elle m'a lâché, je restais là encore quelques instants pour bien m'assurer qu'elle n'avait plus envie de jouer avec moi, puis je continuais à déambuler.


Mes camarades avaient droit au même traitement.


Je remarquais que quelques invités et invitées s'amusaient à sucer ceux qui ne portaient pas de cage à bite, la deuxième équipe avait un peu plus de chance que nous. Mais eux, devait avoir un gros membre viril. J'étais dans la moyenne et je n'aurais pas été recruté pour ce poste.


Parfois une main glissait sur mon corps, m'attrapait les couilles et me tirais, je suivais, bien sûr c'étaient les consignes mais de toutes façons dans ce cas je n'avais pas le choix. 


Il y avait dix corps nus, repérables avec leur cagoule, cinq portaient un dispositif de chasteté. Et les dix déambulaient parmi la foule des invités, souvent en costume de soirée.


La fin de l'exposition arrivait dans une salle ou il y avait cinq sortes de petits meubles pas très haut placés en cercle. L'organisateur demandait aux porteurs de cage à bite de prendre position chacun devant devant de ces meubles et de se pencher en s'appuyer dessus, le cul bien offert.


Les invités pouvaient circuler autour de nous, il ne se privaient pas de nous caresser le cul, de nous tripoter les couilles. Bref ils s'amusaient un peu avec nous.


Au bout d'un moment c'était la seconde équipe qui prenait place, un d'entre eux pour un d'entre nous … ils nous lubrifiaient bien le cul, ils bandaient ferme, au quand l'organisateur donnait le signal, ils nous enculaient, directe, sans préliminaires. 


Le mien me cramponnait fermement par les hanches, et me tirait vers lui alors qu'il poussait sa queue bien à fond dans mon cul. J'ai crié, je m'y attendais mais j'ai crié. Je me suis retenu de me dégager, c'était à la fois terriblement bon et un peu douloureux. Mais c'était surtout bon.


Les coups tombaient, nous étions tous les cinq dans la même situation. On gémissait, c'était plus facile pour certains que pour d'autres. Nous avions été sélectionnés pour notre capacité à encaisser une gros gode, l'autre équipe l'avait   été pour la taille de leur queue. Ils étaient tous très bien montés. 


C'était donc une grosse et longue queue qui glissait dans mon cul, comme pour mes camarades. Au bout de seulement quelques minutes je sentais un plaisir monter puis m'envahir. Il partait de mon cul, envahissait tout mon ventre, rayonnait sur mes membre et là je tremblais, j'avais du mal à tenir debout.


L'action était ponctuée par des applaudissements. Le public appréciait, les invités avaient le sourire, il s'approchaient. Un ou peut être une d'entre eux me glissait une main sur les couilles pendant que je recevais des coups de bite bien violents dans le cul.


Un des invités ouvrait sa braguette juste devant mon nez et me tendait sa bite, je la prenais dans ma bouche et la suçais. 


Ça se terminait par une sorte de partouze mondaine, une partouze spectacle dans laquelle les spectateurs pouvaient participer, il pouvaient juste toucher, ils pouvaient faire comme ils l'entendaient. 


Je finissais par jouir, par éjaculer, tout le monde l'a vu et de nouveau des applaudissement montrait l'approbation et la satisfaction des spectateurs. Pour moi ça devenait terrible, le mec qui me défonçait le cul n'était pas au même point que moi et continuait à me défoncer le cul dans les règles.


Il s'enfonçait avec force, donnait un violent coup de bassin et se retirait.  Il y allait de plus en plus vite, je me cramponnais à mon appuis, sans je serais tombé. Puis des cris de joie se faisaient entendre un des enculeur venait de jouir, il s'était retiré et éjaculait généreusement sur le dos de sa victime qui devait se sentir mieux.


Dans les minutes qui suivaient les quatre autres éjaculaient à leur tour. Il ne le cachait pas, bien au contraire. Ils étaient applaudis bruyamment.


La fête prenait fin, tous les invités congratulaient l'artiste pour son installation mobile et interactive. 


Nous, on disparaissait dans les vestiaires. Sous la douche on faisait connaissance avec l'autre équipe, on échangeait nos 06. Oui ce qui est bien avec cet organisateur c'est que si sur scène on est peut être un morceau de viande, en dehors on est considérés, il y a des douche et des vestiaires très bien.


Ensuite suivait le débriefing puis on était payé, on repartait tranquillement, certains repartaient en groupe, d'autre pas. On se saluait, on se reverrait peut être à une autre inauguration … 



Fin




N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast


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