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Pour une fois c'est pas une fiction, c'est du vécu raconté
avec passion, émotion, rythme ... 
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Ma petite entreprise Ep 07 De retour à l'atelier

 

Ma petite entreprise Ep 07

De retour à l'atelier



En quelques jours nous recevions plusieurs candidats.


Le premier qui se présentait n'avait aucune références, aucune formation, aucun diplôme mais il avait marqué sur son CV … '' Très habile de mes mains … ''.


Là nous cherchions des ouvriers pour effectuer les moulage. On se sentait parfaitement capable de le former, nous avions appris sur le tas, on formerait nos employés. Pour la comptabilité ou l'organisation de la vente par correspondance, il faudrait demander des références mais pour faire les moulages, ce ne serait pas nécessaire.


Je lui présentais les dispositifs. Il regardait ça avec des yeux grands ouverts et quelques secondes plus tard je remarquais une réaction, une bosse qui apparaissait sous sa braguettes.


Ça semble te faire de l'effet ? Lui faisais-je remarquer.

Surtout que je n'ai pas de sous vêtements.

Tu ne portes pas de sous vêtements ?

Non, j'aime vivre dangereusement, j'aime prendre le risque de me faire remarquer.

Si tu veux travailler ici …

Et toi, tu ne portes tout de même pas ce genre de dispositifs ?

Bein si, tu veux voir ?


En disant cela j'ouvrais mon pantalon. Moi non plus je ne portais pas de sous vêtements. Nous étions dans mon bureau et il n'y avait encore que mon associé. Il était occupé, personne ne nous dérangerais, et même s'il entrait à ce moment ce ne serait pas bien grave.


Le gars, c'était Tonny mon chef de production actuel. Il me regardait, et n'en revenait pas. Il ouvrait lui aussi son pantalon. Je voyais en sortir une grosse et belle bite, elle se redressait avec force.


Tu renonces à t'en servir et je t'embauche ! Luis disais-je.


J'avais parlé sans réfléchir, ça m'arrive souvent, mais il l'a pris au premier degré et me répondait au tac au tac.


Une petite dernière fois !


Je faisais oui de la tête. Là je n'avais pas trop suivi ce qui se passait, il ne lui fallait que quelques secondes avant de se retrouver entièrement à poil devant moi. Il avait un corps magnifique et une belle queue qui se manifestait. Voyant cela, et surtout sans réfléchir, je retirais mes vêtements.


Je me retrouvais entièrement à poil face à lui.


Et tu espères faire quoi ? Me lançait-il.


En réponse je lui tournais le dos et me penchais sur mon bureau.


Là ça a fait comme un tilt dans sa tête. Il me cramponnais fermement me tirait vers lui en avançant son bassin contre mes fesses. Il poussait, il tentait avec force de m'enculer. Tout s'était passé tellement vite que je n'avais pas eu le temps de réagir.


Il me faisait très mal, ça ne rentrait pas. J'attrapais un tube de gel et le lui donnait.


Ça marchera mieux, tu as raison !


Il me lubrifiait le cul généreusement et tout aussi généreusement se lubrifiait la queue. Elle était grosse et il en mettait beaucoup. Je n'étais pas vraiment rassuré pour la suite, mais mon excitation était telle que je ne bronchais pas, je voulais voir la suite.


La suite est arrivée rapidement, il ne m'a pas laissé le temps d'avoir encore plus peur. Il revenait à la charge et bien lubrifié comme elle était, sa queue glissait rapidement en un mouvement rapide jusque au fond de mes entrailles.


Son ventre s'écrasait sur mes fesses, il me dilatait l'anus avec force. Là je l'ai senti passer. J'ai crié de douleur, c'est qu'il me faisait mal. C'est qu'il avait une grosse queue, bien longue, bien large. Il se retirait et revenait et tout de suite se laissait aller.


Il faisait claquer son ventre contre mes fesses avec un plaisir non dissimulé. Il me tirait vers lui, et me frappait avec son bassin.


Je gémissais de douleur, de plaisir, je ne sais plus. Je suppose que si je le laissais faire c'est que je devais aussi y trouver mon plaisir ou au moins une certaine satisfaction. Je me cramponnais à mon bureau, il me secouait dans tous les sens.


Il faisait brusquement une pause, appuyait son bassin de toutes ses forces contre mes fesses et me prenait dans ses bras. Je me redressais comme je pouvais. Sa bite était confortablement logée dans mon cul, jusqu'au milieu de mon ventre. Quand je dis confortablement je veux dire pour lui.


Pour moi c'était tout autre chose, pas vraiment le grand confort. Mon cul était dilaté et la position debout totalement inconfortable mais il y avait une force qui me retenait de le repousser et me forçait à en demander encore plus.


Je ne me dégageais pas, je me cramponnais, je me cramponnais même à son bras, je ne voulais pas qu'il me lâche.


Il reprenait ses attaques, se retirait en fléchissant les jambes, puis se relevait en redressant ses jambes. Il continuait ainsi avec force. Quand il se relevait sa queue rentrait en force et comme j'étais légèrement plus petit que lui, il me soulevait et je ne parvenait à résister qu'en me mettant sur la pointe des pieds. Et je gémissais, je râlais, j'en redemandais.


Il me basculait sur mon bureau, les jambes pendantes. Paradoxalement la position était plus confortable. Pour moi je veux dire, pour lui je pense qu'il s'en sortait très bien.


Il commençait aussitôt à me limer le cul avec conviction. Il s'enfonçait en moi puis donnait un violent coup de bassin, se retirait et recommençait. Il faisait une pause par moment et reprenait plus vite, puis plus vite encore puis … c'était la folie. Il me passait à la machine à laver .


Mon associer entrait sans frapper, marquait une pause en me voyant me faire défoncer le cul avec autant de conviction.


Tout se passe bien ici ? Sans vouloir être indiscret, vous en êtes ou là ?


Tonny me balançait un violent coup de bassin dans le cul et tenait la position. Il ne bougeait plus, il ne disait plus rien. Je parvenais à articuler …


Tu vois pas que je suis en plein recrutement !


Puis Tonny reprenait avec une grande vigueur il se retirait et revenait bien à fond. M'arrachant un cris qui ne ressemblait pas juste à un cri de plaisir. Mon associé ne repartait pas. Il regardait, il en aurait bien voulu lui aussi. Il devait jauger le membre de l'autre gars, estimer sa taille et devait en conclure qu'on avait …


il est de plus en plus professionnel mon associé !


Tonny râlait, moi je crois que je pleurais. Tonny continuait prenait son plaisir et avec quelques coups encore plus violent me faisait savoir qu'il jouissait dans mon cul.


Le calme revenait rapidement. Je me redressais, avec Tonny nous passion dans la salle à côté, il y avait un lavabo, on s'essuyait, on se séchait, je m'en remettais comme je pouvais.


  • Il faudra calmer les ardeurs, si on est comme ça au bureau ça ne va pas bosser dure ! Nous faisait remarquer mon associe.


Je l'avais complètement oublié celui-là, il tenait dans la main un dispositif grande taille.


C'est ce qui était prévu ! Faisais-je remarquer.


La queue de Tonny reprenait une dimension plus raisonnable. Il avait le sourire, il prenait le dispositif dans la main de mon associé. Tranquillement, en prenant bien son temps, il passait ses couilles dans l'anneau. Il l'ajustait en tirant sur la peau puis glissait sa queue dans le cage. C'était juste, avec ça il ne pourrait pas bander du tout. La cage ne lui laissait pratiquement aucune marge mais ça lui allait bien. Je lui tendais alors la clé, il la refermait.


  • Voilà une bonne chose de faite. Déclarais-je.


On se rhabillait. On discutait du contrat. Il aurait une période de trois mois d'essais renouvelables. Période pendant laquelle il garderait son dispositif. Il pourrait décider à tout moment d'interrompre son contrat , on lui donnera alors la clé. Par la suite un préavis sera demandé … etc …


je vous passe les détails.


C'était notre première recrue. Dans la semaine on a embauché un comptable. C'est mon associé qui s'est occupé des formalité.


Tu as de la chance toi ! C'est pas juste ! Venait-il me dire juste après.

Qu'est-ce qui t'arrive ?

Tu as recruté un mec avec une grosse queue, moi j'ai eu le droit à la petite bite.

Quoi, notre nouveau comptable aurait une petite bite !

Taille ' deux ' ! rajoutait-il en ressortant.


On l'a gardé quand même.


À la fin de la semaine nous avions recruté trois ouvrier, le premier comme je vous l'ai raconté avait une grosse queue, le second un peu plus petite mais de belle taille et le troisième, normale.


Nous avions aussi un comptable qui lui avait une petite bite et un communiquant avec une grosse queue lui aussi. Chacun avait pris ses marques, une campagne de publicité était en route. C'est qu'il ne rigolait pas le gars. Le comptable faisait des bilans, c'est son boulot il paraît, ne m'en demandez pas plus …


Et le reste de l'équipe produirait les moules en silicone, et commençait la production.


Dans un premier temps on honorait toutes les commandes passées puis l'entreprise démarrait vraiment.


Il faut savoir que la marge bénéficiaire était considérable, l'argent rentrait rapidement. Nos employés étaient ravis de recevoir des primes, et nous, mon associé et moi nous en mettions plein les poches.


Mais déjà la fin approchait.


Moins d'un an plus tard, nous avions alors six ouvriers et nous étions contactés par une entreprise inconnue … ' Le Château ' ( ça vous dit peut être quelque chose ) … l'entreprise voulait nous racheter !


On a négocié hard, une petite fortune, de quoi prendre sa retraite, et une retraite dorée en plus, on a obtenu des garanties pour notre équipe puis on a signé.


J'ai pris ma retraite au soleil, sur une île déserte ou on trouve un hôtel grand standing et toutes les installations pour passer le temps. Oui bon, quand je dis déserte c'est une façon de parler !


Il y a aussi un aéroport international …


L'entreprise se porte très bien, mes capitaux grandissent ( ils ont été très bien placés ), je vois régulièrement mon associé. Et on porte toujours notre dispositif, vous savez on fini par s'y habituer et par ne plus vouloir le retirer …


Jamais !



Fin



N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast


En couples Ep02

 

En couples Ep02



On se retrouvait à la même table, le restaurant de cet hôtel est très bon.


C'était pas la première fois ? Me demandait-il.

Non ! Et toi pareil je suppose ?

Bobonne est au courant ?

Non bien sûr que non ! Lui répondais-je en rigolant. Et ta Bobonne à toi?

Non mais tu rêves, je ne vais pas lui raconter ça !

Et toi aussi tu te fait ?

Ça j'aime pas trop mais toi par contre tu as l'air d'aimer.


On discutait, discrètement. C'est vrai ça, on était dans un espace publique, on parlait donc de couilles, de bite, de cul et de sodomie … Mais à demi mots … Il nous semblait inutile de nous faire remarquer.


On a traîné un peu au bar après le repas puis on est monté nous coucher, mais chacun dans son lit. Le lendemain on programmait une randonnée. On se levait tôt, vers la fin de la matinée.


Petit déjeuner, douche … enfin on se préparait. Un peu avant midi, on passait au restaurant, nous avions décidé de partir dans la matinée mais comme on avait loupé l'horaire …


On est passé à table !


Il ne faut pas se laisser abattre, on était en vacances. Suivait une grande promenade. Moi je ne fais pas de différence entre une randonnée et une promenade. Le soir on rentrait à l'hôtel.


Arrivé à l'hôtel je commençais déjà à bander. Je pensais à la douche et je me doutais que je n'y serais pas seul.


Je te paye un verre dans ma chambre ? Me demandait Jason.

Ça marche ! Lui répondais-je en le suivant.


Là on entrait dans sa chambre, je le voyais s'arrêter, comme tétanisé. Il regardait l'air bête devant lui, d’où j'étais je ne voyais pas ce qu'il regardait.


Bééééh Mamour ! Murmurait-il sur le ton interrogatif de celui qui ne comprend pas. J'avançais et à mon tour je m'exclamais.

Bééééh Bibiche ! Vous remarquerez que je n'ai pas dit Bobonne.


La situation était insolite mais je me suis retenu de dire Bobonne. Sara la femme de Jason et Sonia ma femme étaient allongées sur lit, entièrement nue, et ce n'est pas dans la tonsure qu'elle se cherchaient des poux !


Sans être franchement choqués, surtout avec l'intimité que nous avions partagé Jason et moi ne pouvions pas cacher notre surprise. Heureusement on est large d'esprit. Et surtout que Jason et moi, et bien, on bandait et nous n'avions aucune chance de le dissimuler.


Les femmes peuvent montrer beaucoup d'aplomb dans ce genre de situation, surtout les nôtres.


Oh mais ce n'est pas du tout ce que vous pensez ! S'exclamait Sonia.

Vous étiez juste en train de faire un câlin ? Répondait Jason.

C'est exactement ce que vous pensez alors ! Répondait Sara.

Oui mais il faut prévenir dans ce cas là. Rajoutais-je.


Vous remarquerez que, là je ne savais plus ce que je disais. Surtout que là je bandais encore plus.

Sara se levait et s'approchait de son mari. Elle se déhanchait avec grâce, s'approchait de son mari qui restait complètement tétanisé, toujours avec l'air bête. Elle se collait à lui, lui donnait un baiser.


Elle était magnifique, une silhouette de rêve, des seins qui tenaient bien, une chute de rein à tomber à la renverse. Remarquez j'avais rien à lui envier, j'avais la même à la maison, si j'ose dire.


Puis dans un mouvement rapide, elle s'accroupissait, saisissait et tirait son pantalon qui tombait sur ses chevilles. Il bandait ferme, sa queue un instant tirée vers le bas se relevait avec force et se balançait de haut en bas pendant quelques instant. Il n'a pas réagit tout de suite et moi je ricanais bêtement …


Il me lançait un regard assassin !


Je n'avais pas fait attention, occupé que j'étais, à me rincer l’œil sur le corps magnifique de Sara, mais je ne voyais plus Sonia ma femme. Elle était passée dans mon dos. Je sentais deux mains qui me saisissaient à la ceinture et avant que j'ai eu le temps de réagir je me retrouvais moi aussi avec mon pantalon sur les chevilles. Ma queue se redressait avec vigueur. Jason regardait la scène et ricanait, lui aussi bêtement. Je lui lançais à mon tour un regard tueur.


Les deux filles reprenaient leurs place sur le lit, comme si tout était normal. On avait l'air un peu cons, je dois le reconnaître mais nos femmes semblaient être d'humeur joyeuse.


Sonia me regardait et sans aucune gêne me lançait.


Trésor, pendant qu'on se détend tranquillement, tu pourrais sucer ton copain pour nous faire plaisir.


Sara rigolait et s'exclamait.


Mais ça c'est une idée, pourquoi auraient-ils le droit de se rincer l’œil et pas nous ?


Oui bon, là on a un peu buggé, je ne vous le cacherai pas. Puis un peu comme un automate je me mettais à genoux et lentement sans trop comprendre ce que je faisais. Si je vous jure, avec la présence de nos femmes ça changeait tout. Au départ c'est bien ce que je voulais faire mais la présence des dames ne me mettais pas vraiment dans l'ambiance.


Je procédais tout de même.


Je glissait sa queue dans ma bouche, j'enveloppais son gland avec ma langue et le caressais. Il ne lui fallait que quelques secondes pour gémir de plaisir. J'entendais les deux filles qui rigolaient puis, je n'entendais plus rien.


J'étais occupé, absorbé par ce que je faisais. J'y prenais du plaisir. Les pensées se bousculaient dans ma tête. Et si elles étaient choquées, et si elles se rendaient compte que j'aimais faire ça, et si, et si …


Il m'encourageait à continuer en me caressant le sommet de la tête, et doucement par moment il avançait son bassin. J'en prenais plein la bouche, plein la gorge mais j'aimais.


Au bout de quelques instants je tournais le regard vers nos femmes, Sara nous regardait et ma femmes l'embrassait sur tout le corps. Elle caressait Sara avec ses lèvres et sa langue.


Elle relevait la tête et nous lançait.


Échangez les position, et retirez tous vos vêtements.


Je me relevais et mécaniquement je retirais tous mes vêtement, Jason en faisait de même, c'est lui qui se mettait à genoux devant moi et me montrait comment il savait me faire plaisir.


Je me suis contracté, c'était tellement bon. Immédiatement je lui caressais les cheveux. Les filles aussi changeaient de position, le visage de Sara disparaissait entre les cuisses de Sonia. Et je regardais sans trop comprendre ma femme se faire lécher par une autre femme.


Ça m’excitait à un niveau incroyable, et il y avait aussi la langue de mon pote qui glissait et caressait mon gland, ma queue.


Les femmes s'amusaient pendant encore un moment. Puis c'est Sonia qui prenait la parole.


J'aimerais bien vous voir vous enculer . Charly tu pourrais commencer.


Je voyais tout de suite la panique dans les yeux de Jason mais il me faisait ' oui ' avec la tête et les yeux. Lentement il se retournait, il se penchait sur le dossier d'un fauteuil, une des filles me lançait un tube de gel. Mécaniquement je me lubrifiais la queue et son cul. Là je ne pensais à rien en fait je crois.


Mon cœur battait très fort, ma respiration était intense. Il avait pris position, je me plaçais juste derrière lui. Ma queue en position, je poussais lentement. Son cul résistait. Je forçais, je l'entendais gémir. Je voyais son visage se crisper quand il tournait la tête vers les filles.


Elle ne bougeaient plus et nous regardaient. Elles semblaient apprécier. Pour ce qui est de Jason, c'était moins sûr.


J'ai brusquement senti son anus s'ouvrir. Il a poussé un cri. Je continuais à pousser, son anus s'ouvrait totalement et je glissai à l'intérieur.


Doucement ! Me disait-il avec une voix crispée.


Un instant je ne bougeais plus, il se détendait puis je m'enfonçais un peu plus. De nouveau il a râler. Je continuais à m'enfoncer, d'une certaine manière je me vengeais de la veille. Puis mon ventre s'écrasait contre ses fesses. Le filles applaudissaient, je ne bougeais plu et Jason ne respirait plus.


Ça va ? Me demandait-il.

Ça va ! Sauf quand je respire !


Sa réponse me faisais rire et bouger, de fait.


Bouge pas, ne bouge pas. S'exclamait-il !


Je le sentais se contracter, puis il poussait une longue plainte. Comme il ne me demandait pas d'arrêter, et bien je continuais ! J'attendais quelques instants puis je me retirais, il respirait fort. Encore une petite pose et je revenais.


Puis après quelques secondes de pose, je commençais des mouvements d'aller retour. Il se contractait mais moi là je m'en moquais. Je lui rendais la politesse de la veille. Mes mouvements étaient lents et amples. Je me retirais presque complètement puis je revenais, toujours lentement, bien à fond.


Peu à peu mes mouvements devenaient plus rapide, plus fermes. Il gémissait mais ces cris ressemblaient plus à du plaisir, plus à un plaisir qui devenait intense et violent.


Nous avions totalement oublié les filles .


Mes mouvements devenaient rapides. Jason les accompagnait en gémissant puis en râlant avant finalement de crier.


Tu crois qu'il jouit ou qu'il souffre ? Disait une voix.


Je sursautais, c'était Sara. Avec ma femme elles ne disaient plus rien, mais regardaient le spectacle avec de grands yeux, elle étaient fascinées par ce spectacle porno gay en live que nous leurs offrions.


C'est vrai que je les avais oubliées. Mais ça ne me calmais pas, j'y prenais goût, et comme ni Jason ni sa femme, pas plus que la mienne n'y trouvaient à redire je continuais à me lâcher.


Les coups que je lui donnais dans le cul devenaient plus fort, puis encore plus.


Mon ventre claquait contre ses fesses, et un râle provenait du fond de sa gorge à chaque fois. Les filles ne bougeaient plus, moi je bougeais encore plus vite et Jason semblait s'effondrer mais je sentais qu'il y avait du plaisir.


Remarquez, à ce moment précis je m'en moquais un peu. Je me penchais sur lui et caressais son corps. Il ne bandait plus et je tripotais sa grosse queue toute molle. C'est là qu'il a juté, un flot de sperme coulait, pas d'éjaculation, ça ressemblait à une fuite.


C'est la dernière stimulation qui me manquait. C'est là que j'ai juté, c'est là que j'ai crié. Les derniers coups de bite que je lui portait étaient particulièrement violent et c'est ensemble que nous avons crié au moment ou j'ai joui.


Nous respirions fort,très fort, je le lâchait, il retombait sur ses genoux. Je me sentais bien !


Vous imaginez bien qu'après cette petite histoire, nous nous sommes tous revus régulièrement. On habitait à trois heure de route de distance et tous les week-end un des deux couples prenait la route tôt le vendredi soir pour repartir très tôt le lundi matin. On alternait, c'était chacun son tour …


Et les vacances, on les passe toujours ensemble maintenant !



Fin



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Ma petite entreprise Ep 06 Maintenant c'est dans le cul

 

Ma petite entreprise Ep 06

Maintenant c'est dans le cul



Nous étions épuisés, on travaillait sous une certaine tension depuis plusieurs jours, on dormait mal, on bossait de plus en plus. Remarquez, là on préférait. C'était toujours mieux que de se tourner les pouces. L'argent rentrait et ça c'était une bonne nouvelle.


On s'était fait repérer par le plus gros concurrent du dispositif de chasteté de la planète. C'était un marché de niche mais il y avait aussi tout le marché du sexe. Les jouets sexuels, les vidéos porno, les spectacle cabaret nus toujours, avec des spectacles en live.


Mais là on faisait la fête, demain si on était sur les rotules on verrait. Il nous restait largement moins de trois cent dispositifs à vendre, il restait deux jours, à ce rythme on n'aurait pas assez de marchandise.


Le groupe de danseur mettait l'ambiance, il entraînait les clients qui était tranquillement devant leurs assiette dans une farandole un peu dégénérée. Tout le monde bandait dans la salle.


C'est à ce moment que j'ai réagit, il n'y avait pas beaucoup de femmes. Sans le vouloir nous avions choisi le restau pour hommes ou hommes seuls. Tout le monde était à poil, rapidement tout le monde bandait. Nous on ne pouvait pas et il n'y en avait pas beaucoup dans notre situation.


Les danseurs nous avaient assis au milieu de la salle, bien à la vue de tout le monde. Ils passaient devant nous les uns après les autres, on les suçait. Oh juste quelques secondes, quelques dizaine de secondes. J'ai vu passer des bites de toutes les tailles. J'y prenais du plaisir, ma queue se révoltait dans sa cage.


C'était une situation frustrante, vraiment frustrante il ne me restait plus que cette solution, sucer toutes les bites qu'on nous présentait. Par moment c'était des clients des autres tables du restaurant qui se présentait devant nous.


Un des danseur venait m'invitait à me relever, il me prenait dans ses bras, m'entraînait dans la danse et je me retrouvais appuyé contre une table, les jambes bien écartées.


Plusieurs danseurs me caressaient le corps, lentement avec douceur, ou plus fermement. Leurs mains glissaient sur mon corps. Elles s'attardaient sur mes fesses, on me recouvrait le cul d'un truc froid. C'était du gel lubrifiant.


Ma queue s'est révolté, elle était contente, c'était le seul moyen que j'avais encore pour prendre du plaisir, même si ça me faisait un peu peur.


Je regardais autour de moi, et je voyais mon camarade Dave dans la même situation, il y avait aussi d'autres hommes. Je remarquais que ce n'était pas les danseur, c'étaient les clients du restau. Il y en avait autant qu'il y avait de danseurs.


C'est en faisant cette constatation que je sentais une forte pression contre mon cul. Un des danseurs glissait en moi. Il y allait un peu fort, il me faisait un peu mal mais j'en avais tellement envie que je laissais faire et rapidement c'était un grand plaisir qui rayonnait en moi.


La frustration ne passait pas, ma bite qui continuait à protester, je bandais toujours aussi fort dans ma cage. Là c'était désagréable et comme pour me soulager j'en demandait toujours plus. Le mec m'en donnait. Il se retirait avec vigueur et revenait à la charge, de toutes ses forces il faisait claquer son ventre contre mes fesses, il semblait infatigable. Il faisait une pause.


Puis il revenait un peu plus tard avec une nouvelle puissance, je tournais la tête, ce n'était pas le même. Un client du restau l'avait remplacer. Mon camarade Dave était dans la même situation. Il se faisait défoncer le cul, lui aussi, par un client du restau, ou un mec qui passait par là. C'était pareil pour la vingtaine de mecs qui se faisaient enculer.


Les danseurs reprenaient leur spectacle de strip-tease mais dans l'autre sens, là ils se rhabillaient, passaient entre les tables, se laissaient caresser puis allaient voir un peu plus loin dans la foire ce qui se passait.


Le mec qui me défonçait le cul ne se calmait pas il continuait à me limer le cul sans complexe, on ne se connaissait pas mais ce n'était pas bien grave. Il avait une grosse queue et c'est tout ce qui comptait.


Il me serrait fort contre lui, me relevait. Sa queue entrait bien à fond dans mon cul et là, il continuait à pousser. Il me soulevait et j'étais obligé de me lever sur la pointe des pieds. Je finissais pas gémir, je laissais échapper des cris discrets au début puis plus fort, et encore plus fort.


Ça devait l'encourager il continuait à me limer le cul avec force. Puis c'est lui que j'ai entendu gémir dans le creux de mon oreille, il jouissait dans mon cul. Moi aussi je prenais un grand plaisir mais ma queue continuait à protester. Il se retirait, se faisait applaudir avant de me laisser.


Une autre main glissait sur mes fesses et directement plusieurs doigts se glissait dans mon cul. Je regardais à qui j'avais à faire. C'était une grosse queue qui se redressait fièrement juste à côté de ma cuisse. J'avalais ma salive en me disant … '' Ça va aller, ça va aller !'' .


Le gars me lubrifiait le cul, il l'était déjà mais avec une queue pareil on ne l'est jamais assez, il prenait position et s'enfonçait en moi. Là j'ai poussé un long gémissement de plaisir. C'était limite remarquez, mais c'était bon, vraiment bon.


Il me dilatait plus que les précédents, il me dilatait vraiment et c'est loin dans mon ventre qu'il s'enfonçait. J'avais presque l'impression qu'il allait ressortir par ma gorge même si je savais que ce n'était qu'une impression. Je manquais d'air.


Il ressortait puis revenait, lentement au début mais il accélérait. C'était intense mais comme il glissait bien en moi, c'était bon. Vraiment bon. J'ai crié de plaisir.


Je me souviens des visages que faisaient les clients du restaurant, certains me regardaient dans les yeux et je devinais ce qu'ils me réserveraient si c'était possible. Un autre avait une queue anormalement grosse, je savais que celle là je ne me la prendrais pas dans le cul.


Les coups devenaient plus forts, plus rapide, je tremblais de plaisir à moins que ce ne soit de … je tremblais. Non ce n'était pas de la douleur, c'était de la panique, c'était je ne sais pas trop quoi. C'était intense vraiment intense.


En face de moi, le mec qui se faisait également défoncer le cul retrouvait un visage plus détendu, son partenaire se détachait de lui. Un autre s'approchait. Mais là, l'enculé faisait un signe de refus. Façon … '' Non sans façon, je n'en reprendrai pas plus !'' .


Je comprenais les règles, c'est celui qui se faisait enculer qui décidait. Personne n'était en manque de sexe, surtout qu'une partouze s'organisait un peu plus loin. Et ce n'était pas la seule à ce moment dans la foire.


Les coups que je recevaient devenaient violent, le criais de plaisir, j'avais l'impression de juter, d'éjaculer. Je jouissais par mon cul. J'ai entendu mon partenaire crier de plaisir lui aussi. Il jutait dans mon cul avant de se retirer. Il me donnait un baiser sur le de mon dos.


Un autre homme voulait prendre sa place mais je déclinais sa proposition. J'étais sexuellement rassasié. Ma queue bandait toujours, elle restait dure dans sa cage. Je ne comprenais plus trop ce qui se passait. Mais c'était agréable. J'étais resté sec, je n'avais pas juté d'une goutte.


Je retrouvais mon camarade Dave à ma table. On nous avait servi une bouteille de champagne.


C'est en chantant qu'on revenait à notre stand. Nous nous sommes effondré dans nos sac de couchage.


La matinée était bien avancée quand on se réveillait. Les gens passaient et ne semblaient pas s'inquiéter de voir que nous étions fermé. On installait tout rapidement et chacun allait prendre son petit déjeuner. Puis la vente repartait.


C'était le quatrième jour et nous avons vendu les deux tiers de ce qui nous restait. C'était un triomphe. On était largement entré dans nos frais. Quelques clients se présentaient entièrement nus et repartaient avec le dispositif sur eux. Certains étaient seuls, d'autre étaient accompagné d'une femme ou d'un homme.


Un couple d'homme s'est présenté, ils en voulaient un chacun. Ils étaient nus mais quand ils sont repartis il l'étaient un peu moins, à peine moins. Mais il n'étaient plus vraiment nus.


Ma queue continuait à me travailler depuis la veille, elle avait pris toute son volume, enfin tout le volume qu'elle pouvait prendre, de bulles de peau, c'était amusant, ressortaient par les trous d'aération. Elle était volumineuse mais elle n'était pas ferme, c'était étrange mais c'était confortable.


Les clients qui passaient regardaient ma cage, c'était visible. Je me sentais détendu dans mon corps, serein. Je sentais encore les queues que je m'étais pris dans le cul la veille.


La journée s'est passé tranquillement, le soir nous retournions au restaurant, là on ne se privait plus. Il ne nous restait qu'une petite centaine de cage.


On a fait la fête mais aucun d'entre nous ne s'est fait enculer, on avait eu notre dose la veille. On est resté plus sage, on seulement bu une bouteille de champagne, on a dansé, on s'est fait peloter, on s'est fait tripoté …


le lendemain nous avions tout vendu à la fin de la matinée. On gardait un exemplaire de chaque pour la présentation et surtout pour pouvoir prendre des commandes.


Et si je commande maintenant, me demandait un client, je recevrait ma cage dans combien de temps ?

Dès que nous rentrons, nous reprenons la production, il faut compter une petite semaine.


Il se préparait à me faire un chèque.


Non, non, vous ne payez rien. Ce ne serait pas honnête de vous vendre quelque chose qui n'existe pas encore. Vous ne payerez qu'à la livraison, et sans frais bien sûr.


C'était là réputation de notre entreprise que nous jouions. Nous avions décidé que dès là cage disponible nous contacterions le client pour obtenir la confirmation de sa commande.


J'ai vu beaucoup de réaction, ça rassurait les clients sur notre sérieux. Nous avons pris plus de quatre cent commendes.


Nous aurions pu prévoir beaucoup plus de cage. Mais comment savoir ?


La prochaine fois on prévoirais plus de stock.


On rangeait tout, il n'était pas nécessaire de traîner, l'ambiance retombait et on voyait passer des gens tout habillés, depuis plusieurs jours c'était nouveau. Nous étions toujours à poil et la dernière chose que nous avons fait c'est nous rhabiller.


On faisait le tour de nos voisins pour les saluer, puis on prenait la route. Notre coffre était vide ou presque. Il ne nous restait que des cage de très grande tailles ou de très petites. Tout le reste était vendu.


Deux jours après notre retour on reprenait le travail, fabriquer de nouveaux moules, renouveler le stock, puis on cherchait un technicien pour notre vente par correspondance et notre communication.


Plusieurs jeunes se sont présenté, nous avions choisi une publication gay, pour éviter de mauvaises surprises, tous les candidats savaient de quoi il s'agissait.


Ça nous avait semblé plus honnête .



A suivre



N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast

En couples Ep01

 

En couples Ep01



Les dames étaient absentes elles devaient arriver un peu plus tard. Sonia et moi avions rencontré Jason et Sara l'année précédente. Nous étions venus faire un séjour de remise en forme. L'année précédente on avait sympathisé, nos femmes étaient devenues inséparables.


Jason était très bel homme, la peau foncée, presque noire. Il était large d'épaules et nous nous entraînions ensemble. Depuis le matin ou nous nous étions retrouvés, on ne s'était pas lâché d'une seconde.


Et ta femme arrive quand alors ? Me demandait Jason.

Bobonne devrait arriver d'ici un ou deux jours.

Et tu l'appelles Bobonne ?

Oui enfin, c'est pour rigoler.

Moi si jamais j'ose, elle me bouffe, me mâche longuement avant de me recracher !

C'est tout de même pas un ogre, elle est toute menue.

Mais elle ne manque pas d'énergie.


Bon je vous laisse imaginer mais il faut dire qu'on profitait de ces un ou deux jours de célibat, entre hommes. En effet la femme de Jason devait arriver à peut près en même temps que la mienne.


On se retrouvait dans sa chambre d'hôtel, ma chambre était juste à côté, il jetais ses vêtements sur le lit avant de prendre une douche.


Bon moi je commence par une douche, si tu veux suivre …


je le voyais entièrement à poil, c'était la première fois, il avait un dos très fort, des fesses fermes et des cuisses bien musclées. Ce n'était pas vraiment une découverte, je l'avais déjà vu à la piscine. Et finalement je décidais de le suivre. Ça semblait tellement naturel.


Je me mettais à poil et le retrouvais dans la salle de bain. Je le voyais de dos, la douche était XXL, comme dans toutes les chambres. Tout allait bien, il ne me laissait pas indifférent mais tout allait bien. Il faut dire que je n'ai pas vraiment l'habitude de partager la douche avec un homme. Au service militaire oui, mais c'est déjà vieux. Dans les vestiaires du sport aussi remarquez. Mais là on est tout un groupe et … bon c'est pas pareil.


Ce jour là nous n'étions que deux, il était incroyablement beau, je me souviens de ces images, l'eau qui coulait délicatement sur ses épaules et son dos. La couleur de sa peau, magnifique. La chute de ses reins et ses fesses musclées et fermes appuyées sur deux jambes de sportif.


Il se retournait, me regardait et me souriait. Là je le voyais de face, son torse était comme le reste du bonhomme, une très belle tablette de chocolat qui en plus en avait la couleur.


Je le parcourait du regard et rapidement je remarquais qu'il bandait.


Heu je te dérange … je … bafouillais-je.

Mais non, c'est une réaction tout à fait normale, il y a largement de la place pour deux.


Un peu timidement j'entrais sous la douche. Par réflexe au début je lui tournais le dos. Ma queue pendouillait mollement puis prenait un peu de volume et pendouillait toujours mais lourdement. Avant de se redresser.


Je sentais son bras qui me caressait, il voulait attraper le savon.


Toi aussi, sous la douche, tu … Me disait-il en remarquant que moi aussi je bandais.


Étonnamment ça me détendait, oh je bandais toujours, ça ne me calmais pas sur ce point, mais c'était seulement la gêne qui disparaissait. C'était bon, on s'était vu nu, de face et en érection. Mais ça allait. Il me plaisait, j'avais peur que mon érection ne le lui dise, ne le lui clame même. Mais son érection simplifiait la situation.

On se savonnait, on tournait sur nous même pour se placer sous le jet puis, alors que je lui tournais le dos il posait ses mains sur mes épaules et me les massait.


Je vais te frictionner le dos. Me disait-il.


Et sans attendre ma réponse il me massait les épaules avec force. Ses mains glissaient sur le haut de mon dos, le haut de mon dos puis un peu plus bas, il descendait jusqu'à mes reins. C'était agréable, inattendu mais très agréable. Ma queue se relevait à la verticales, et se plaquait contre mon ventre. J'étais un peu gêné mais je constatais qu'il était comme moi.


Ensuite il se retournait et me présentait ses épaules. Je lui rendais la politesse. Lui aussi trouvait ça très agréable. Mon regard descendait le long de son corps et j'admirais ses fesses. Je me laissais aller à le caresser, les épaules, le dos, les reins, les hanches, les fesses …


Et là je me calmais.


Il se retournait, il avait un large sourire et rigolait presque. Je me retournais pour prendre le shampoing, il en a profité pour me caresser les fesses et un doigt glissait dans mon cul.


Je ne m'y attendais pas, je sursautais et poussais un léger gloussement.


Je ne m'attendais pas à autant de résistance ! Me dit-il.

De … ?

Tu as toi aussi déjà eu des relations avec des hommes.

Oui mais j'étais jeune.

Moi aussi.

C'était avant de rencontrer …

Bobonne ?

Oui .


Il passait alors une main sur mes reins et me tirait vers lui. Je n'osais pas résister ou alors c'est que j'en avais pas du tout envie. Je refermais mes bras autour de lui. Il m'embrassait.


Tout ça s'était passé rapidement, je n'avais pas vraiment eu le temps de réagir. Une seule chose était sûre, j'aimais. Pardon, je veux dire nous aimions !


L'ambiance avait changé, on se caressait mais là ce n'était plus que pour le plaisir. Les mains de l'un se glissaient sur le ventre de l'autre et là nous nous lavions la queue l'un l'autre. Ce n'était plus du tout deux camarades qui prenaient une douche ensemble.


Il tombait à genoux devant moi, me caressait le haut des cuisses et les fesses puis rapidement prenait ma queue dans sa bouche. Ça me rappelait des soirées avec des camarades quelques années plus tôt quand j'étais en interna dans une école religieuse. C'était dans cette école ' Sainte Marie Madeleine de la tentation des monts saints '. Enfin je suppose qu'avec un nom pareil, vous imaginez le genre d'établissement.


J'avais un petit copain qui suçait divinement bien. Jason était lui aussi de ce genre. Je sentais sa langue qui glissait sur mon gland. Ses lèvres se refermaient sur ma que. Je ne sentais pas ses dents. C'était tout en douceur.


Il avançait son visage contre mon bassin.


Ses lèvres se refermaient à la base de ma queue. Bobonne n'aimait pas me faire ça. Elle avait bien essayé une fois ou deux mais ce n'était pas concluant,on sentait bien qu'elle se forçait.


Lui me suçait avec tellement de naturel. C'était quelque chose de normal de sa part et de tellement bon en plus. Je ne me rendais même pas compte au début mais j'appuyais sur sa tête, je le tirais vers moi et j'avançais mon bassin par à-coup. Il encaissait, il me faisait envie, il me faisait un bien fou, mais j'avais moi aussi envie de lui, de sa queue, de son corps.


Il relevait son visage, je le prenait par le bras et le relevais, je l'embrassais puis c'est moi qui m’agenouillais devant lui. Je prenais bien mon temps de découvrir ses couilles, sa queue, elle était belle et bien grosse.


Ses deux couilles pendouillaient lourdement, la chaleur de l'eau faisait son effet. Je lui léchais les couilles, il frissonnait. Enfin je prenais sa bite dans ma bouche, il tremblait. Puis je faisais appel à tous mes souvenirs de l'interna.


Sa queue entrait lentement dans ma bouche. Je glissais une main sur ses cuisses, une autre sur ses fesses. Je glissais un doigts entre ses fesses en m'attardant doucement sur le petit trou de son cul. Il ne tentait pas de se dégager et me caressait les cheveux et appuyait tout doucement sur ma tête.


Je me concentrais sur son plaisir, ses gémissements me guidaient, puis il m'a brusquement retenu. Il s'est retirer, il me regardait en me souriant.


Relève-toi ! Me demandait-il.


Je m'exécutais.


Tourne-toi !


Je me retournais vers le mur et m'appuyais.


Il me caressait les fesses d'une manière plus intrusive qu'au début. Chaque fois qu'un de ses doigts passait sur mon cul, il glissait dedans. Puis c'était deux doigts qui glissaient dans mon cul.


Pour finir ses deux doigts rentraient complètement et ils s'agitaient avec force. Là je me suis tendu. Tous mes muscles se sont tendu, c'était bon, je n'ai pas essayé de me dégager. C'était un plaisir, il me massait la prostate et un immense plaisir me faisait trembler.


Il retirait ses doigts et continuait à me lubrifier le cul, doucement, l'air de rien, il prenait position. Je sentais une pression contre mon cul. Je sentais son corps contre le mien, son ventre contre mon dos. Puis il poussait.


Sa grosse queue appuyait contre mon anus, celui-ci résistait un peu puis finissait par se détendre. Mon cul s'ouvrait et sa queue glissait en moi.


Il y avait un peu de douleur mais il y allait avec beaucoup de douceur. Il y avait un peu de plaisir puis brusquement il y avait un immense plaisir qui envahissait tout mon corps.


Je sentais sa queue glisser lentement et envahir mes entrailles. Mais c'est le plaisir qui se manifestait. Je me souvenais de la première fois, quelques années plus tôt, ça avait été très douloureux. Je me souvenais que par la suite c'était le pied.


Là c'était un tout petit peu de douleur et un immense plaisir. Son ventre s'écrasait sur mes fesses. Je ne savait plus ou j'étais mais j'étais bien. Il poussait et je réagissais, je gémissais de plaisir.


Il se retirait avant de revenir bien à fond avec force. C'est là que j'ai commencé à jouir. Il ressortait aussitôt et revenait puis prolongeait ce mouvement avec plus de force et de régularité. Il me limait le cul avec force.


Quand il poussait, il poussait fort et me remplissait le cul, quand il se retirait, la aussi, il se retirait complètement et je me sentais vidé. Puis il poussait de nouveau.


Je ressentais son souffle contre ma joue, il me regardait et restait très attentif à chacune de mes réactions. Je respirais fort, je respirait vite, je gémissait fort.


Je jouissais.


Il devenait alors plus violent, plus rapide. J'en redemandais, il m'en donnait.


Les coups devenaient violents, encore plus jouissif. Le plaisir était monté tout doucement mais à ce moment il rayonnait dans tout mon corps et je tremblais. Je ne tenais debout que parce qu'il me retenait.


Ses cris répondaient aux miens et c'est là qu'il à joui. Moi je jouissais toujours, il me bourrait le cul avec force au moment ou il éjaculait moi je ne jutais pas, pas une goutte. Mais au moment ou il se retirait, un flot de sperme coulait de ma queue. Je jouissais toujours mais ce n'était pas avec ma queue mais seulement avec mon cul.


Je savais déjà que je pouvais jouir de cette manière, ça faisait longtemps, mais le souvenir me revenait.


Nous avons repris notre douche, chacun prenait soin de l'autre, on s'est séché puis on s'est habillé on était presque en retard pour le premier service au restaurant.



A suivre



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