PHILIPPE EP 16 : LA VIE NOCTURNE …

PHILIPPE
EP 16 : LA VIE NOCTURNE …



Les jours qui suivaient nous prenions de la distance avec mon grand père, on n'était pas fâché mais comme on était en vacances on préférait se faire livrer nos petit déjeuners dans notre quartier. On prenait toujours le souper avec lui. 

Il ne nous reparlait plus du fantôme.

– Je voulais vous parler du … Vous savez … Ce que j'ai vu l'autre soir … Demandait Victor à mon grand père.
– Mon garçon, tu devrais oublier cette histoire, dis-toi que tout va bien, évite de retourner dans ce quartier de la maison. Il faudra que je demande à la sécurité de fermer définitivement cette partie de la maison !

Ça c'était la réponse à ne pas donner, sauf bien sûr s'il voulait exciter notre curiosité. '' Bien joué Papy ! ''.

– Moi aussi ça m'inquiète vous savez Monsieur Brosso ! Rajoutait Théo.
– Je peux vous garantir qu'il n'y a aucun danger. Des gens on vu des choses mais rien de malheureux n'est jamais arrivé depuis les deux siècles que cette maison existe !
– Mais c'est pas mon tonton Luc qui a dessiné cette maison Papy ?
– Mais tu n'as rien manger toi. Termine ton assiette tu parleras après !

Je ne disais plus rien, mais vous avez sans doute deviné que cette histoire ne me paraissait pas sérieuse du tout. Je le connais mon Papy, c'est un farceur quand il veut. Je me disais qu'il faudrait que j'en parle à mon tonton Luc justement, il saura m'en dire plus lui. Parce que je suis formel, c'est lui qui a dessiné cette maison ! Qui d'autre serait assez fou pour dessiner un truc pareil ?

Dans un immeuble normal un étage, ça fait environ trois mètres. Cette maison fait quarante mètres de haut donc ça ne nous fait que six étages, c'est qu'il aime bien les grandes hauteurs de plafond mon tonton … 

Et là je ne vous parle pas de la surface au sol …

– Au fait les jeunes, je voulais vous dire, je vais repartir demain …
– Ouééééééé ! Ça va être la teufe ! Répondais-je.
– Je m'attendais un peu à cette réaction ! J'ai donc prévu plusieurs personnes pour veiller sur vous.
– Beuheuheuheu ! C'est pô juste on est jamais tranquille ! 
– Philippe si tu continues je t'envoie dormir sans souper. ( là je vous rassure c'était pour rigoler )
– Mais Papy je viens de terminer ma gamelle, il ne me reste plus que le dessert … Tu ne vas pas … ?
– Ta gamelle … ! C'est de la porcelaine ta gamelle tu sais ?

Mes camarades nous regardaient en rigolant. 

– Et qui va-t-on avoir sur le dos pour nous garder ?
– Il apporte le dessert !

Alex arrivait à ce moment avec un plateau juste derrière moi. Il me posait mon dessert devant moi.

– Monsieur Philippe, j'ai été le seul volontaire pour une mission aussi périlleuse !
– Alex ! Woué c'est Alex ! Wouéééé c'est super, moi je l'aime bien Alex … Papy tu es un as !
– Vous avez l'air de bien connaître Philippe, Alex? Demandait Victor.
– Oui Victor, C'est moi qui le gardait quand il était tout petit ( en faisant le service ). Et Philippe je te préviens si jamais tu n'est pas sage je montre les photos à tes camarades …
– Fais pas ça, je t'en supplie, fais pas ça, je ferai tout ce que tu voudras.
– Mais j'espère bien ! … Vous avez encore besoin de moi Monsieur  Brosso.
– Ce sera parfait Alex, tu penses t'en sortir avec cette bande de voyous ?
– Je n'ai aucune inquiétude sur le sujet.

Il se retirait. On terminait le souper tranquillement puis on allait s'habiller pour sortir. L'ascenseur nous conduisait à notre terrasse.

– Dis moi Philippe, '' nous habiller pour sortir tu dis ? ''. Mais je te rappelle qu'on a rien emporté … Me demandait Victor.
– On s'habille avec quoi ? Tu es un gros malin toi ! Rajoutait Théo.
– J'ai entendu '' S'habiller pour sortir '' ?. Il vous faut quoi les jeunes ? Dites ce que vous voulez, je l'ai. Intervenait Alex.
– Tu es là toi maintenant ? Lui demandais-je.
– Oui il va falloir vous y faire les jeunes. Comme je te connais depuis toujours Philippe on m'a demandé de prendre soin de vous !
– Je ne sais pas ce qu'il nous faut moi, on a prévu une sortie en boite, un bar, la plage … Tentait d'expliquer Victor.
– Bien je vois ! Détendez-vous, vous pouvez commencer à vous déshabiller et à passer sous la douche je reviens tout de suite. 

On ne se prenait pas la tête et on se douchait sur la terrasse. Alex revenait quelques  instants plus tard avec les bras chargés, des pantalons et des chemises de toile légère, très confortables, chaussures très souples qu'on pouvait porter sans chaussette, la tenue idéale pour sortir ici.

On se séchait devant Alex, qui nous regardait avec le sourire.

– ( en attrapant son pantalon ), moi je ne met pas de sous vêtements, j'en ai pas besoin. Déclarait Victor.
– Tiens moi pareil ! Rajoutait Théo.
– Bein je vais faire comme vous alors !

On se retrouvait très vite tout à fait présentable. On s'admirait un petit moment dans le miroir, puis on fonçait vers le premier ascenseur. C'était amusant, plus on découvrait la maison, plus il y avait de destinations possibles qui s'affichaient. A chaque fois qu'on entrait dans une ascenseur la destination '' REPOS ET QUIETUDE '' apparaissait sur l'écran de contrôle comme seule destination puis s'effaçait au bout d'une seconde pour laisser le menu normal. Il était alors impossible de revenir à ce menu '' REPOS ET QUIETUDE '', mon grand père m'avait dit qu'il allait fermer cette aile de la maison mais … Ce devait être un bug.

Les nouvelles options nous proposaient de nous rendre directement sans changer de cabine d'ascenseur  jusque tout en bas de la falaise, sur la plage … le système vocal aussi s'activait. Nous n'avions qu'à dire '' Sur la plage '' et c'est là que nous arrivions.

Depuis plusieurs jours que nous étions arrivés, peu à peu on découvrait l'île. Je faisais découvrir les lieux à mes camarades. Il y avait la plage, en haut de la plages des installations qui pouvaient sembler légères, elles étaient surtout discrètes. C'est là qu'on pouvait se procurer des transats ou des parasol pour se détendre sur la plage, suivait ensuite une zone boisée enfin, très verdoyante et fleurie, des chemins qui la traversait, puis un boulevard piéton avec un tramway. Cette partie du village étaie très éclairé et haute en couleurs. On était arrivé au village, au pied des tours, plus de cent trente mètres d'appartements et sur les premiers étages, des casinos, des restaurants, boites de nuit, bar, dancing … Sur les derniers la même chose. Entre les deux des ascenseur ultra rapides publics assuraient les échanges et des ascenseurs privés assuraient l'accès aux appartements.

On prenait le tramway, en un peu plus d'une heure on faisait le tour du quartier, de l'autre côté du village ( c'est ainsi qu'on nommait le quartier des tours ), on se retrouvait sur un remblai qui donnait directement sur la mer, plus à l'ouest c'était un peu plus l'ambiance port de pêche ou de je ne sais quoi, c'est de là que partaient les navettes vers les autres îles de l'archipel. Pour le moment elles étaient surtout réservées aux employés et il y en avait, et il en fallait.

Je finissais par ouvrir ma ceinture d'un cran puis de deux au moment ou on sortait de la cinquième crêperie. Mes camarades commençaient à s'amuser de la manière de payer, une empreinte digitale ou palmaire et … Clic … C'était fait ! Il y avait un monde fou, l'ambiance était calme mais il y avait foule, pas de mouvement rapides, chacun marchait à son rythme. C'était à la fois bruyant et calme … 

Beaucoup moins calme toutefois dans les boites de nuit ! Dans la première ou nous nous glissions il n'y avait que des filles … ! On n'y restait pas !

Dans la suivante, des hommes et des femmes qui dansaient ensemble, là on se regardait on faisait la grimace puis on ressortait en rigolant. On trouvait enfin un endroit tout à fait comme il faut, les corps se frôlaient, se collaient les uns aux autres, les torses étaient nus et les bras étaient entreprenants. Il n'y avait que des hommes !

On se regardait, on se faisait un sourire puis on fonçait. Mes camarades avaient disparus quand j'arrivais au bar, j'avais soif, il faisait chaud, je me commandait un super cocktail multicolore sans alcool. Ça il ne voulaient pas m'en donner, vous imaginez bien que j'ai essayé mais mon crédit me le refusait, rien à faire, pas d'alcool, j'étais trop jeune. Mais il faisait chaud et les cocktails aux fruits sont tout simplement divins. Rapidement je commençais à discuter avec mon voisin de bar.

Vous avez du le remarquer je ne suis ni trop farouche ni trop associable et lui il était … Craquant ! J'aurais mieux fait de mettre un sous vêtement moi. Un petit conseil en passant, si vous sortez pour draguer comme ça dans une boite de nuit par exemple … Mettez des sous vêtements. Rapidement je me retrouvais  avec une belle grosse dure entre les jambes, qui se relevait et heureusement que ce genre d’endroit n'est pas très bien éclairé sinon … Je ne me serait presque pas fait remarqué ! Eh, éh, éh ! Non presque pas !

En tout cas Ethan l'a remarqué lui ! Ou alors j'ai surinterprété le message qu'il m'a envoyé au moment ou il s'est rapproché de moi et ou sa cuisse s'est écrasée contre mon entre jambe et que son entre jambe s'est écrasée contre ma cuisse. Vous savez il m'arrive d'être entreprenant mais là il m'avait doublé de vitesse. Deuxième cocktail, il m'embrassait et déjà j'avais la tête qui tournait et pourtant c'était des cocktails sans alcool. Il me dépassait d'une bonne tête, sa peau était mate, très foncée. Il devait être métissé.

Le verre terminé on se retrouvait tous les deux enlacés sur la piste de danse, par réflexe je me serrais contre lui. C'était bien un peu pour dissimuler le fait que je bandais mais pas que … C'était aussi par plaisir.

Mince, musclé, bien monté, ce que j'avais ressenti contre ma cuisse me laissait imaginer le meilleur et je peux vous garantir que j'ai de l'imagination depuis cette nuit dans la maison close. Je frissonnais à chacun de ses contacts. Sa peau était douce, d'un grain très fin. 

Son corps bougeait bien et déjà je regrettais les douze crêpes que j'avais avalé depuis qu'on était sorti, surtout que en plus on sortait de table. Je me sentais ballonné, un peu lourd. 

Je m'accrochais à lui, je me pendais à son cou. À la fin du slow je ne voulais plus le lâcher et je rêvais déjà de l'épouser. Oui je sais je suis un rapide mais c'est vrai ça … '' Pourquoi chercher plus loin quand on a trouvé tout ce qu'on pouvait espérer de mieux pour la vie … ? '' . En y repensant je me demande si ils étaient vraiment sans alcool les cocktails. 

Enfin bref, on a passé la soirée ensemble, on ne s'est plus lâché, on a couru sur la plage, on a pris le tramway plusieurs fois on a fait le tour de l'île plusieurs fois aussi. On s'est embrassé, on s'est baigné … Je répondais gai comme un pinçon quand mon téléphone sonnait, c'était Victor …

– J'ai rencontré un mec incroyable, il est beau, sexy, musclé, bronzé, et en plus il ne porte pas de PK ! Dis Philippe tu penses que ça poserait un problème si … Je l'embarquais avec moi ?
– Aucun problème ! Mon grand père m'a expliqué, la maison est très sécurisée et peut se protéger autant que nous protéger de tout intrus, y compris d'intrus que nous aurions nous même fait entrer …

Théo ne se posait pas autant de questions lui ne me prévenait pas . 

Avec Ethan nous remontions toute la plage, on était à poil, régulièrement on posait nos vêtements sur le sable, on plongeait, on se faisait un câlin puis on continuait à marcher vers la falaise. 

– Il paraît que la maison la haut c'est un truc de fou. Me faisait remarquer Ethan.
– Tu vas voir, c'est là bas qu'on va ! Lui demandais-je. 

A ce moment je remarquais une lumière, mais je n'aurais pas pu dire dans quelle partie de la maison elle était. Certainement pas un employé, les quartiers de mon grand père donnait à l'extrémité de la maison, c'était pas ça non plus … La maison n'était occupée que par nous en ce moment …

Il rigolait à ma réponse mais quand nous arrivions au portail il me regardait en rigolant.

– Bon maintenant il ne reste plus qu'à repartir dans l'autre sens !

D'une main j'ouvrais le portail, il sursautait : '' Tu es fou, moi je ne te suis pas dans cette histoire ! ''. J'ai insisté un long moment, je lui ai montré que le portail était en fait verrouillé sauf quand c'était moi qui tentait de l'ouvrir. Je lui demandais d'ouvrir le portail alors que je faisais semblant de m'éloigner, il résistait alors que moi je pouvais l'ouvrir sans efforts. Je lui expliquais que j'habitais bien ici et que c'est pour cela que la maison me laissait entrer, lui, seul, il ne pourrait pas entrer. Il finissait pas se laisser convaincre, on prenait l'ascenseur qui nous déposait sur ma terrasse, juste à côté de ma chambre.

Une dernière crainte …

– Tu es sûr que ?

Je l'entraînais vers le miroir de ma salle de bain …

– Miroir, mon beau miroir montre à notre ami Ethan que je suis le plus beau !

Le miroir affichait mon portrait : '' Le plus beau, le plus beau, tu as grossi mon pauvre aussi je ne sais pas si tu es encore le plus beau … Et toc '' !

– Bob est un enfoiré, il aurait pu me prévenir, quand je pense qu'il voulait installer un truc pareil dans ma chambre …
– Bon ça va on est bien chez toi mais, c'est qui Bob ?
– Un oncle, c'est lui qui a programmé cette machine qui se fout de ma gueule, il va m'entendre !

Ethan était rassuré, il me prenait dans ses bras et m'embrassait, je sentais son corps chauds et ferme, il faisait chaud, je l'entraînais sous la douche. Je pouvais enfin admirer sa queue en pleine lumière, il en avait une grosse, une belle bite bien large, bien longue, plus grosse que la mienne, il était circoncis et commençait à bander avant de se retrouver sous la douche. Moi j'étais tout frétillant, je bandais déjà bien avant de me déshabiller. 

Sous la douche fraîche brusquement il faisait chaud. Je sentais ses bras partout sur mon corps. Je sentais ses mains sur mes fesses, sur mes hanches. Je sentais ses doigts se glisser entre mes fesses, à la base de mon sexe, sur l'ouverture de mon petit cul. Je sentais ses lèvres se promener dans mon cou, sur mes épaules puis descendre le long de mon corps, il s'accroupissait devant moi et je sentais sa langue me caresser le gland. 

Avec science sa langue tournait autour de ma queue, ses lèvres se refermaient et enveloppaient mon gland puis je sentais ma bite s'enfoncer dans sa bouche, lentement, c'était chaud et humide, c'était doux également. Ses lèvres s'allongeaient comme pour déposer un baiser sur mon ventre, il gardait la position encore un moment puis se retirait. Je lui caressais les cheveux et lentement commençait à avancer puis à reculer mon bassin, il encaissait. Ma queue entrait et ressortait avec fluidité jusqu'au fond de sa gorge. Son visage s'écrasait sur mon ventre, il fermait les yeux, il semblait aimer presque autant que moi.

Il se relevait, on inversait les rôles. 

Je m'inspirait de ce qu'il venait de me faire. Je n'arrête pas de vous dire que je suis novice moi dans la débauche sexuelle, c'est vrai quoi, je suis encore en phase d'apprentissage. Mais je suis très doué. En tout cas c'est ce que je pouvais conclure à ses réactions bruyantes, il me caressait la tête, appuyait dessus. Je ne parvenais pas à avaler sa queue aussi facilement que lui mais j'y mettais de la bonne volonté, je vous jure, et finalement je m'en sortais bien. 

J'aime bien les grosses queues, bien épaisses sur toute leur longueur, bien larges et bien longues aussi. Là j'étais gâté, un peu trop peut être même, c'est ce soir là que j'ai commencé à comprendre l'importance de synchroniser sa respiration si on veut bien avaler à fond. Je parvenais à lui faire une gorge profonde, une première avec un bazar aussi gros, il avait en plus un gland un peu plus large que le reste de sa queue et quand je l'ai senti s'écraser mollement dans ma gorge j'ai cru que j'allais étouffer. C'est bien de faire du sport, comme ça on a du souffle et là vous pouvez me croire, il en fallait !

Il s'amusait avec moi pendant un long moment, j'aimais tellement cette queue que je ne la lâchais plus. Au bout d'un moment il a voulu se retirer, sans doute pour inverser les positions, mais je ne voulais plus le lâcher, je me cramponnais à ses cuisses, coupais ma respiration et tentais de garder mon visage serré contre son ventre le plus longtemps possible … Un peu comme si je faisais un caprice ! L'eau froide coulait sur nos corps, il faisait toujours aussi chaud sous cette douche froide.

– Mais lâche moi enfin, je voudrais t'enculer. Me disait Ethan.

Doucement, lentement je desserrais l'étreinte.

– Tu sais moi je suis exclusivement actif. Ça veut dire que …
– Vas y encule moi, mais vas y doucement tout de même, elle est grosse et j'ai un peu peur. Lui répondais-je.

On était d'accord, il me prenait dans ses bras, m'embrassait tendrement tout en me retournant sur moi même. Il se retrouvait dans mon dos, ses deux bras fermement refermés sur moi, mes deux mains fortement accrochées à ses bras. Je commençais un peu à paniquer, il devait être à peu près de la même taille que le mec qui m'avait tenu dans ses bras quelques mois plus tôt dans la maison close, c'est à dire qu'il était balaise. Je ne savais pas, je ne savais plus. Pour une première fois ça n'avais aucune chance de passer mais c'est vrai que depuis quelques semaines ce n'était plus la première fois.

Je le sentais prendre position, nous avions refermé l'eau, il m'avait abondamment lubrifié le cul autant qu'il s'était lubrifié la queue. Son gland appuyait sur mon anus, j'avais l'impression que mon cœur allait s'arrêter, j'avais le souffle coupé, pourtant il n'avait encore rien fait. Il me tirait vers lui, ses bras passés juste sous mes épaules se refermaient doucement mais avec force. Son visage se penchait contre mon épaule et je sentais la douceur de ses baisers. Je lui tendais mes lèvres, il m'embrassait et quand ma langue touchait la sienne, je sentais une pression infernale contre mon anus.

Je continuais à l'embrasser mécaniquement, en état second. La douleur contre mon cul aurait du me faire réagir mais j'y prenais en même temps un plaisir intense. J'avais le souffle coupé. Mon cœur ne battait plus, la seule chose que je ressentais c'était la dilatation de mon cul, suivait cette friction douce mais d'une force effrayante qui m'éclatait les intestins. Je sentais cette masse se glisser jusqu'au niveau de mon nombril puis de mon estomac puis enfin de mes poumons puis encore ma gorge. Mais je suppose que mes sensations devaient être légèrement amplifiées par l'idée que je m'en faisais.

La douleur était intense mais j'étais comme paralysé, je ne pouvait rien dire, je ne pouvais pas me débattre, je ne  pouvais plus bouger … Je jouissais, au niveau de ma queue, je jouissais comme jamais. Devant c'était divinement bon, c'était l'extase, derrière c'était l'horreur, l'enfer. Je jouissais, je jutais, enfin j'avais l'impression que je jutais, en fait pas une goûte ne coulait, je jouissais à sec. Je n'aurais jamais cru que c'était possible !

Quand Ethan se retirait j'ai cru que j'allais mourir. Il s'enfonçait de nouveau, il y allait doucement, je gémissait, je tremblais puis je chialais. J'étais pris de  convulsion mais je ne voulais pas qu'il s'arrête. À chaque mouvement j'avais l'impression que mon cul allait déchirer mais peu à peu ce qui était de la douleur devenait un plaisir dingue. Un plaisir qui fait peur au moment ou on le ressent, une peur qui nous dit de tout arrêter, un plaisir qui nous interdit d'intervenir et nous fait crier '' ENCORE '' … '' OUI VAS Y '' … '' DEFONCE MOI LE CUL '' …

Dans ma tête tout était à l'envers, il me ramonait encore un long moment, je n'ai rien ressenti de spécial au moment ou il a joui dans mon cul, pourtant il l'a fait, mais quand il s'est retiré c'est un flot de sperme qui coulait de ma queue sans que je ne ressente rien sinon un bien être, un grand vide au milieu de mon ventre. Il a voulu me lâcher, depuis le début nous étions debout l'un contre l'autre mais il m'a senti tomber aussi il m'a retenu. On est encore resté un moment sous la douche, il m'a lavé le cul avec une extrême douceur puis m'a presque porté jusqu'à mon lit, là il m'a lâché. Je suis tombé sur mon lit, je l'entendais rigoler quand il me soulevait les jambes pour m'installer . Il est mignon tout de même, on se connaît depuis quelques heures et déjà il prend soin de moi … C'est vrai qu'il vient de m'enculer, aussi … 

Il s'installait ensuite à côté de moi, me prenait dans ses bras, je profitais alors du confort de ses bras après avoir goûté à la violence de sa bite. Je m'endormais.



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