Djé au Tchastikistan (02)

 Djé au Tchastikistan (02)




Bob avait bien sûr laissé son ami Djé terminer son '' massage '' tranquillement. Il n'en revenait pas le petit Bob. C'était quoi ce pays, il n'avait jamais vu ça dans un déplacement officiel. 


Récapitulons. Le Tchastikistan est un pays qui a rejoint il y a déjà quelques année la communauté internationale, en faisant cela il s'est rapproché de la PK Compagnie qui y a une ambassade depuis maintenant quelques années. C'était à l'époque de Mr Le Conte. Le port du dispositif de chasteté est une obligation dès l'âge de quinze ans. 


C'est pas des branleurs !


Les habitants qui n'acceptent pas cette obligation peuvent aller vivre à l'étranger, c'est sévère mais c'est comme ça. Enfin c'est pas si sévère que cela tout de même ils continuent à percevoir une rente totalement exonérée d’impôts, la rente est minorée mais ça aide à vivre. Il y a près de quinze pour cent des habitants qui sont étrangers mais ils ne peuvent rester que quelques années. Le pays est très riche et leur verse un salaire très satisfaisant. Mais là Bob se demandait si la loi de la chasteté s'appliquait aussi à ces travailleurs déplacés ou bien ...


Il se disait que dans le cas contraire c'était bon à savoir, comme ça la prochaine fois qu'il reviendrait il ne serait peut être pas obligé de porter une cage comme c'était le cas pour ce voyage officiel. 


Enfin … Il préférait attendre un moment avant de téléphoner à Djé qui était donc en train de s'envoyer en l'air dans la suite d'à côté et patientait en révisant les chiffres qui concernaient le pays …


Djé avait renvoyé son masseur, Bob arrivait dans sa chambre.


– Mais c'est quoi ce bordel. Demandait Bob. On nous présente ce pays comme un exemple de la probité, de la chasteté … et … et je ne sais plus quoi … Mais je n'y crois plus .

– Allons bon, qu'est ce qui t'arrive ? Ton masseur n'était pas à la hauteur ?

– Bien sûr tu es au courant ? Continuait Bob en regardant Djé. Ne me dit pas que tu était au courant.

– Écoute Bob, il y a six millions de nationaux, autant d'hommes que de femmes. Si on retire les enfants ça fait toujours un bon nombre d'hommes frustrés. Et il n'y a qu'un million de travailleurs déplacés, que des hommes, tu n'avais pas lu le dossier qu'on nous a donné avant le départ.

Justement Bob avait le dossier dans la main, il venait de le réviser. Surpris il l'ouvrait, revérifiait les chiffres …


– Mince ! J'avais pas fait le rapport ! S'exclamait Bob. C'est pas aussi moral que ça voudrait nous le faire croire tout ça !

– Parce que tu crois encore que cette règle de moralité de la PK est une règle de stricte moralité. Tu as donc déjà oublié comment cette règle s'est imposée et comment nous vivons …

– Vu sous cet angle . Et nous on fait quoi au milieu de cette affaire ?

– Nous on fait des affaires justement.

– C'est donc pas très morale tout ça !

– La morale est simple : Tant que tu portes un dispositif PK tu es une référence de la morale … Le reste c'est de la farce.


Bob avait l'air un peu dégoûté.


– C'était pas la peine que je porte ce truc ridicule alors ?

– Et notre réputation, tu en fait quoi ?


Bob était dégoûté, il repartait dans sa suite. Ils ne devaient rester dans ce pays que quelques jours, Bob se disait que c'était bien assez long. Il potassait son dossier.


Le lendemain l'emploi du temps était chargé, Bob devait rencontrer le ministre de la culture, le ministre des télécommunication, le ministre de l'éducation. En fait Bob venait de se rendre compte qu'il s'était fait avoir, c'est lui qui avait le plus de boulot, Djé se contentait de faire de la représentation, il ferait des visites avec le roi, il n'avait qu'à être présent et à faire de beaux sourires. 


– Il y en a qui ont de la change ! Se plaignait Bob auprès de Djé.

– Normal, c'est le privilège du patron. Maintenant que je suis le boss, ce sont les autres qui bossent pour moi !


Bob lui lançait un regard assassin !


Il était épuisé le pauvre Bob quand il rentrait à l'hôtel le soir, il était sur les rotules. Il avait bien mangé, le restaurant était son ordinaire pendant les déplacement et il ne se plaignait plus des trois étoiles, à force de vivre avec Luc il avait du se faire à ce luxe, Luc n'a pas changé sur ce point.


Bob décrochait le téléphone et demandait le service massage …


– Bien sûr Monsieur Bob ( allez savoir pourquoi ils était tous célèbres sous leurs noms dans cette famille sauf Bob qui était célèbre sous son prénom ), vous désirez le service massage standard ou le service massage enrichi ?

– Ah il y en a plusieurs ?

– Mais bien sûr, notre hôtel offre à nos clients les services les plus adaptés à leurs besoin ou leurs désirs …

– Heu !!! Enrichi … Rajoutait Bob avec une toute petite voix.

– Il sera dans votre chambre dans quelques instants Monsieur Bob !


Bob ne comprenait pas tout de suite quel était exactement le service qu'il venait de commander mais. Il allait se déshabiller pour passer sous la douche. On sonnait à la porte, Bob allait ouvrir il découvrait deux homme beaux comme des dieux, musclés mais le corps fin et élégants. Un des deux portait une pile de serviette avec des produits de massage posés dessus.


– Monsieur bob, on nous envoie pour votre massage, vous pouvez choisir entre …

– C'est très bien ça, c'est très bien ça. Entrez s'il vous plaît.


Les deux hommes se regardaient un peu surpris mais, bon, c'est le client qui choisi, là il ne semblait pas vouloir choisir. Ça ne devait en aucun être un problème. Il aurait les deux !


– J'allais prendre une douche !

– Vous vous détendrez mieux dans un bain … Si vous permettez …


Bob ne réagissait plus vraiment, un des deux hommes l'aidait à retirer sa chemise, puis son gilet de corps. Il faut dire qu'il fait froid dans la région. Le second avait disparu mais Bob ne s'en rendait pas compte tout de suite. C'est quand il arrivait dans la salle de bain entièrement nu, qu'il le retrouvait. La baignoire était déjà  pleine, il ne portait plus sur lui que son dispositif de chasteté qui se montrait un peu petit à ce moment. Celui qui l'avait aidé à se déshabiller l'aidait maintenant à prendre place dans la baignoire, s'installait et commençait à lui masser les épaules et le haut des bras. 


Le second masseur venait prendre place juste à côté de la baignoire et lui massait un bras, puis l'autre …


En fait les deux masseurs ne massait pas vraiment Bob il le lavaient. Avec une extrême douceur il lui passait ce baume qui rend la peau si douce et qui est si agréable quand c'est quelqu'un d'autre qui vous l'applique. Bob se détendait totalement, il se laissait faire. On lui lavait ainsi les jambes, les pieds, le torse ainsi que les parties les plus intimes avec une telle douceur que ça devenait presque insupportables dans son dispositif de chasteté, tant il bandait.


– Voulez-vous vous allonger sur le ventre monsieur Bob ? Lui demandait un des masseurs pendant que l'autre lui proposait un thé bien frais. 


Bob s'installait, la tête dépassant largement en dehors de la baignoire. Et les caresses reprenaient sur ses épaules, sur tout son dos, depuis les épaules jusqu'aux fesses. Ils insistaient sur les fesses justement et à plusieurs reprises un doigt se glissait non pas seulement entre les fesses mais dans son cul. C'était rapide, à la fois doux et un peu excitant. 


Bob n'était pas vraiment habitué à cette position de passif et sa queue protestait plus que de raison. Son bain devait se continuer encore un long moment. On le shampooinait, on lui appliquait un masque sur le visage. Ils faisaient ça bien, c'était un hôtel de grande classe. 


Bob se disait que si la prochaine fois qu'il reviendrait il n'était pas obligé de porter ce dispositif diabolique il faudrait qu'ils viennent Luc et lui. Il savait que Luc apprécierait beaucoup ce genre de situation. 


Bob avait les yeux fermés depuis un long moment et n'avait pas remarqué que ses deux masseurs s'étaient déshabillé eux aussi. Il s'en rendait compte quand on l'invitait à sortir de son bain. Il était tellement décontracté et fatigué qu'il fallait le soutenir. 


C'est là qu'il a ouvert les yeux, il sentait les deux corps musclés de ses masseurs qui bandaient librement et il sentait aussi sa propre queue qui protestait de plus en plus fort. Bob n'était pas habitué à porter ce truc, et il aurait fait n'importe quoi pour pouvoir le retirer ce soir là. Il avait une violente envie de péter le cul d'un des deux hommes qui étaient là. 


Une foie debout, un des deux masseurs le douchait avec force et l'aspergeait d'eau froide. Il était saisi Bob mais il était revigoré et il se sentait bien. On l'installait enfin sur la table de massage.


Une chose est sûre, ils savaient prendre leur temps. Bob se laissait aller, on l'avait sécher, il était tout propre, sa peau était toute douce, il se sentait bien, sauf peut être au niveau de sa queue. Là c'était l'horreur, il bandait depuis un long moment maintenant et il n'y avait aucun espoir.


Les mains expertes des deux masseurs commençaient leur travail, doucement au début, c'étaient plus des caresses puis le travail commençait. Ils était chacun d'un côté de Bob et travaillaient de concert. Il était aux anges, et sans ce dispositif ça aurait été le grand bonheur. 


Comme une crêpe, on le retournait sur le dos puis de nouveau sur le ventre. Le massage devenait un peu plus coquin … Un des deux hommes insistait sur les fesses de Bob.


Bob voyait passer juste à côté de lui un des masseurs, l'attrapait par les couilles et le tirait doucement vers lui. L'homme ne résistait pas, il ne résistait pas non plus quand Bob lui caressait la queue et tentait de la lui sucer. Au contraire même, il s'approchait, la table de massage était juste à la bonne hauteur, et laissait faire Bob. Il lui caressait les cheveux.


Pendant ce temps le second masseur prenait position et caressait les fesses de Bob avec toujours plus d'insistance. Une main sur chaque fesse, il les malaxait avec une certaine force. Un pouce entrait dans le cul, il était rapidement suivi par le second pouce. 


Bob gémissait et la queue de son partenaire entrait un peu plus profond dans sa gorge. Le second masseur lubrifiait sérieusement le cul de Bob qui avait maintenant les jambes bien écartées. Il s'y glissait et prenait position. Bob le sentait arriver et au moment ou il se penchait sur Bob il lui enfonçait avec douceur mais avec force la queue dans le cul. Elle était de belle taille, mais Bob n'était pas un débutant, même s'il était en général dans l'autre position. Il encaissait en gémissant de plaisir. 


Il sentais le corps chaud et doux de son partenaire. Il appréciait la pression, le poids, la masse de son masseur qui l'écrasait avec tellement de tendresse et lui défonçait le cul avec tellement de virilité. 


Face à lui c'était la queue de son autre masseur qui lui pénétrait dans la gorge et en ressortait. Il lui caressait le gland avec plaisir et le faisait gémir de plaisir. Par un mouvement de bassin lui échappait et sans le vouloir c'est avec une certaine violence que son gland s'écrasait au fond de la gorge de Bob. 


'' Il n'y a pas à dire c'est un boulot qui mérite d'être fait en équipe '', se disait Bob. Les mouvements qu'il recevait dans le cul étaient réguliers, lents, doux et fermes. Et le plaisir montait dans tout son corps. Il tremblait maintenant. Il ne gémissait pas, une grosse queue le bâillonnait, mais il poussait des gémissements bizarres, qui amusait les deux masseurs. 


Il sentait un plaisir dans son urètre, comme s'il éjaculait mais ce plaisir durait dans le temps. Il devait juter … El n'était pas sûr mais c'était vraiment agréable et ça durait, à chaque mouvement de la queue de son masseur dans son cul, c'était bon. Il jutais, il était sûr de juter mais ne pouvait pas vraiment le vérifier dans la position ou il était.


Dans son cul, plus rien ne bougeait. Le masseur se retirait. Bob était essoufflé, il respirait fort, il se sentait bien. Le second masseur se retirait lui aussi et changeait de position, il prenait la place de son camarade. Pour commencer il couvrait le dos de Bob de caresses et de baisers. Puis, sans prévenir il lui enfonçait la bite dans le cul sans prévenir. Bob était détendu et poussait un cris de plaisir. 


Le masseur lui limait le cul avec force et Bob ne gémissait plus il poussait de vrais cris de plaisir. Le masseur continuait avec de plus en plus de force. Son camarade était parti se laver la queue et revenait. Il la proposait alors à Bob, la lui présentait juste devant le visage. 


Bob relevait la tête et lui demandait …


– Branle-toi maintenant, pour ma mâchoire c'est bon … Branle-toi sur ma figure. 


Bob gémissait fort maintenant. Il tremblait et avait des mouvements incontrôlés. Il tentait de se dégager, il ne voulait pourtant pas s'en aller mais c'était un réflexe, il avait des mouvement incontrôlés. Là il jouissait, il ne savait pas s'il jutait ou s'il avait juté mais il jouissait.


Il recevait à ce moment une grosse giclée de sperme sur la figure, il était aux anges. Une autre suivait puis une troisième giclée ne tardait plus. Bob avait le visage couver de sperme. Dans son dos, l'autre masseur lui soulevait les épaules et lui relevait le torse. En même temps il semblait s'énerver sur le cul de Bob. Les deux râlaient de plaisir.


Le premier masseur se penchait sur le visage de Bob, et l'embrassait, en même temps il le lavait de son sperme puis l'embrassait sur les lèvres et lui donnait des baisers aromatisé au sperme. Il recommençait jusqu'à ce que le visage de Bob soit propre …


Bob recevait dans son cul des coups violents, ils jutaient tous les deux, le passeur qui lui limait le cul éjaculait aussi et le faisait savoir.


Bob avait juté, ça il en était sûr, il avait joui aussi depuis de nombreuses minutes. Il se sentait bien, vraiment bien. Plus personne ne bougeait.


Après un long moment, les deux masseurs invitait Bob à revenir dans la salle de bain pour une douche rapide. Bob ne résistait pas et les laissait faire, c'était très agréable. On le glissait ensuite dans son lit, il avait un large sourire.


Les deux masseurs se retiraient après avoir salué Bob et ne laissaient aucune trace de leur passage. Bob allait s'endormir, il n'avait plus que cela à faire quand on frappait à la porte, aussitôt la porte s'ouvrait. C'était Djé.


– Alors on dirait que apprécie la coutume locale.

– Salut Djé, ça va toi ? … Bob était un peu sonné … Mais pourquoi tu dis ça ?

– Programme massage à deux ? Je viens de les croiser dans le couloir !

– Mais tu sais Djé, finalement on s'y fait à ce pays, il sait recevoir. Il faudra que j'y revienne un jour avec Luc … Je suis sûr qu'il saura apprécier !




N'hésitez surtout pas à me laisser une commentaire et à me retrouver sur Twitter …  @CharlyChast


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