VITE FAIT 10

 VITE FAIT 10


J'ai eu l'idée d'une nouvelle série de textes courts, différents de ce je fais d'habitude. N'hésitez pas à me dire ce que vous en pensez … 


Il y avait deux autres mecs qui étaient arrivés, je ne les avais pas remarqué mais eux m'avaient remarqué  et m'applaudissaient en me voyant me relever. Ils n'avaient pas vu mon dispositif de chasteté jusque là. Ils exprimaient autant de la surprise que de l'approbation.


'' J'adore '' disait l'un. '' C'est vraiment génial '' rajoutait l'autre. Ils avaient un large sourire. On me présentait Bruno pendant qu'il retirait ses vêtements. Son copain Logan s'approchait de moi, me tripotait les couilles, me les soupesait sans cacher son plaisir.


Je me retournais vers Bruno qui à ma surprise portait lui aussi un dispositif de chasteté.


Voilà que je ne suis plus seul ! Disais-je


Bruno venait vers moi, il me caressait le torse, et rapidement me tripotait les couilles, mais avec douceur, lui au moins il y allait avec douceur. Il me prenait dans ses bras et m'embrassait. 


Je me collais à lui, lèvres contre lèvres, torse contre torse, cage à bite contre cage à bite. C'est lui qui avait commencé mais j'avais suivi au quart de tour. Maintenant chacun caressait le dos de l'autre et le tirait fort contre lui. Il avait la peau douce, par un  poil, ça faisait contraste avec mes allures de nounours. Mais ma fourrure est très douce …


Autour de nous le groupe était en cercle, les derniers arrivés étaient désormais à poil eux aussi. C'est Logan, mais je n'en suis pas sûr qui me tendait un gode ceinture, un gode de très belle taille, qui aurait pu faire peur mais pas à moi, et un jeux de sangles pour bien se le fixer. Je me l'enfilais, Bruno m'aidait.


Brusquement je me sentais plus … Masculin ! … 


Non c'est pas ça, je me sentais plus … Viril !! Voilà c'est ça, je me sentais plus viril, mon allure changeait, mon comportement aussi. C'est avec les manières d'un maître que je prenais Bruno dans mes bras maintenant. J'avais une queue, enfin une queue que je pouvais utiliser … 

Je le prenais avec force en passant un bras sur ses reins, je le tirais vers moi et l'embrassait en le mordillant sur les épaules et sur son torse. Il répondait par des caresses et des gémissements.


Je le retournais, ma queue remontait entre ses cuisses, je la faisait glisser d'avant en arrière. Il se penchait en avant, le reste du groupe poussait des cris d'encouragement et d'approbation. Je lubrifiais le gode, il se penchait en avant avec un petit sourire du coin de l’œil.


Lentement mais avec conviction je lui glissait le gode dans le cul. En un mouvement, j'étais à la limite, plus fort il n'aurait pas pu le supporter. Mais j'étais juste en dessous de la limite. Il faisait une grimace à faire peur, il hurlait sans émettre le moindre bruit, tremblais, je le caressais et je sentais son torse frémir et trembler.


Une fois bien à fond, je le serrais dans mes bras et appuyait bien fort sur le gode, il hurlait, mais là ce n'était pas silencieux. Sans marquer de pose mais avec une certaine lenteur je me retirais avant d'y retourner avec toujours autant de conviction.


Je prenait alors un rythme régulier, et lui limait le cul comme il convient, comme j'aime bien qu'on me le  fasse. Avec conviction, juste entre une certaine douceur et une certaine violence. Je le sentais se détendre, j'accélérais alors le mouvement.


Le reste du groupe continuait à nous encourager, lui à encaisser,  moi à lui en donner. Mes mouvements étaient devenus rapides et fermes. Je lui tripotais les couilles et c'est amusé que je pensais à mes propres couilles qui étaient comme les siennes bien enfermées, bien confinées, tout comme nos deux bites.


C'est à ce moment que ma queue se réveillait, elle durcissait et je sentais ma cage se resserrer autour d'elle. Ce n'était pas vraiment désagréable mais il y avait un manque, un vide dans cette relation. Un vide frustrant, aucune sensation pour moi. Un plaisir anal que je savais intense pour lui.


Et ce contacte de la peau, la douceur de sa peau vierge de tout poil, je le caressait et je tremblais sous la frustration, lui il tremblait de plaisir et gémissait  avant de crier de nouveau avant de hurler de plaisir au moment ou il s'est laissé tomber sur le sol en se dégageant de mes bras. 


Il jouissait, il jutais, il pleurait presque de plaisir. Mon corps demandait, réclamait, lui il avait reçu quelque chose, moi je devait me satisfaire de cette frustration.


N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter …  @CharlyChast 


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