VITE FAIT 09

 VITE FAIT 09


J'ai eu l'idée d'une nouvelle série de textes courts, différents de ce je fais d'habitude. N'hésitez pas à me dire ce que vous en pensez … 


Cette soirée chez Splash, un copain d'un copain d'un … de Pétard … enfin  un truc comme ça. On arrivait, il était encore tôt, il faisait chaud et la piscine était tentante. Il avait un grand terrain très privatif et une piscine.


Pétard connaissait bien l'endroit et avant que j'ai le temps de réagir il était à poil dans la piscine. Splash arrivait avec les apéritifs et voyant cela m'invitait à en faire de même. Larsen, un musicien d'un petit groupe de rock arrivait avec son ami Aphone, ils l'appelaient comme ça car il chantait faux !


Au bout de quelques minutes j'étais le seul à être encore au sec avec mes vêtements. Je ne connaissais personne mais Pétard me faisait signe de le rejoindre. Je faisait alors comme tout le monde, je retirais mes vêtements et plongeais.


Ils n'avaient rien loupé de la scène les marioles, et quand  je revenais à la surface c'était sous leurs acclamations et leurs éclats de rire. Je sentais rapidement des mains me caresser partout. Plusieurs mains insistaient sur mes fesses et mes couilles.


Je me retournais et rendais chaque caresses. Ils bandaient tous, moi je ne pouvais pas. Mon dispositif de chasteté me limitait une peu … j'embrassais tout  les lèvres qui se présentaient à moi, et tous les morceaux de peau qui passaient à ma portée. 


Au premier plant, tout près, je reconnaissais le corps de Pétard pour l'avoir souvent pratiqué celui là. Les autres je les découvrais et j'aimais ce que je touchais.


On nageait, on plongeait, on se caressait, on se suçait, sauf moi qui me contentais de sucer. Moi, personne ne me suçais.On rigolait bien et on finissait par décider de passer au bar. On sortait les une après les autres de la piscine. 


Je n'avais pas le temps de me relever que je sentais quelqu'un me tomber sur le dos et dans le même mouvement m'enfonçait sa queue dans le cul. Je râlait pour le principe, en fait j'ai bien aimé... 


– J'ai demandé à Pétard, me glissait-il dans l'oreille, il m'a dit que je pouvais …


'' Bon si Pétard à donné son accord !'' … Me disais-je dans ma tête pendant qu'il se déchaînait dans mon cul. Il ressortais, revenait avec force et recommençait. Il me retenait contre lui avec force, je gémissais. Le reste du groupe nous regardait, certains se suçaient, se tenaient dans les bras et se caressaient. Tous bandais, et il y avait du beau monde. Je ne connaissais que Pétard mais les autres aussi me plaisaient.


Les coups sur mes fesses devenaient plus violents et surtout plus rapides. Les autres gars encourageait le mec qui me défonçait le cul, je ne savais même pas qui c'était, et il répondait à leurs encouragements en accélérant ses coups, en faisant des mouvements plus amples.


Il se retirait presque complètement et revenait bien à fond à une vitesse folle. Je tremblais et sentais le plaisir monter, en premier au niveau de mon cul ensuite au niveau de mon ventre puis j'étais pris de tremblements, de convulsions. 


Je voulais bouger, gigoter mais je ne pouvais pas bouger, il me tenait fermement contre lui et ne voulait pas me lâcher. S'il lui arrivait de sortir totalement de mon cul, il ne traînait pas et immédiatement il replaçait sa queue bien en face de mon cul, me mordillait l'épaule et sans me prévenir d'avantage, d'un coup de bassin très violent s'enfonçait de nouveau en faisant claquer mes fesses contre son ventre.


Ma queue restait sous pression, là c'était pas agréable. Surtout que je savais qu'il n'y avait rien de prévu pour me faire plaisir de ce côté. Là, tout ce qui était prévu pour moi, c'était ceinture … 


Ce n'était pas mon plaisir qui était à l'ordre du jour. Oui je sais je suis habitué. C'est moi qui l'ai voulu mais c'est pas une raison ! 


Et puis du plaisir j'en prends, j'adore me faire défoncer le cul. Un mec connu, un inconnu comme c'était le cas ici au début, c'est pas ça le plus important. Ce qui compte vraiment c'est la taille de sa bite. Le plaisir j'en prends quand je sens mon anus se dilater, mon ventre se remplir en commençant par le cul.  Le plaisir c'est aussi l'étreinte, me sentir immobilisé, obligé de subir, avec la panique dans mon ventre dans le doute, dans l'attende de voir si ce sera un violent ou un tendre. 


J'aime bien les deux. Il gueulait quand il jouissait en moi, il gueulait , moi, avec chacun de mes bras je me cramponnais à mon autre bras. C'était le pied.


Aphone se retirait de mon cul, se relevait …


– Bon il n'y a pas un verre pour moi ? Demandait-il avec force.


N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter …  @CharlyChast 


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