Je le connaissais 01

 Je le connaissais 01



C'était une belle journée d'automne. Je descendais tranquille sur cette plage, le temps était doux, il faisait beau, et sans le vent un peu frais on se serait baigné.


Il remontait, il me regardait avec un air farouche, son visage me disait quelque chose, il se disait la même chose sur moi. Il me regardait fixement puis me saluait.


On se connaît me demandait-il.


Je lui rendais son salut et de la tête je lui répondait que non. C'était pas un non formel, et je réfléchissais en même temps …


Puis ça m'est revenu, c'était quelques années plus tôt. On s'était rencontré sur cette plage, il y a une zone naturiste et une plage naturiste ça veut dire, un coin de drague pour homme, enfin pendant la belle saison. Étonnamment, ce coin de drague gay ferme dès les premiers froids. Mais on n'en était pas encore là.


Les souvenirs me revenaient, il était plus petit que moi, une tête de moins. Il était mince et légèrement musclé. Si je me souvenais bien il avait une petite bite, pas minuscule mais pas grosse non plus. Elle devait être aussi longue que la mienne mais en plus fine.


Ça vous surprend si je me souvenais de ces détails … Mais vous regardez quoi chez les mecs vous ?


Franchement il y en a je vous jure !


Oui donc, bref, j'en étais ou ? … Ah oui, donc il avait une petite bite mais pas minuscule. Il était bien foutu, un corps taille crevette mais agréable à caresser. Il avait l'air d'aimer l'idée d'un cockring, il portait une sorte d'anneau de douche autour du sexe. C'était pas tout à fait au point mais ça marchait bien tout de même.


Bein oui j'ai de la mémoire quoi !


Je me souvenais bien maintenant, on avait fait connaissance, je ne sais plus lequel avait abordé l'autre par contre. Je l'avais emmené chez moi et je l'avais enculé ! Il était passif et moi j'étais encore auto-reverse … Je me souvenais bien à ce moment. Lui aussi il se souvenait de moi. Il faut dire que je suis trapu de la bite, au niveau longueur je suis tout à fait dans la norme mais au niveau largeur. Bein oui quoi, comme je le dis souvent : '' Je suis trapu de la bite ! ''.


D'ailleurs je me souvenait, je l'avais fait couiner. Mais il avait aimé !


On a discuté un moment, et je lui demandais.


Tu garde toujours cet espèce d'anneau que tu avais l'autre jour ? Oui je sais , l'autre jour, c'était quelques années plus tôt mais bon …

Tu t'en souviens. Il me faisait un sourire un peu gêné.

Bein oui j'ai trouvé ça marrant, et puis ça me fait bien délirer ce genre de truc qu'on met autour de sa queue.

Enfin c'était à la base de mon sexe. Précisait-il.

Pareil.

Non c'est pas pareil, il y a des trucs qui entourent la queue qui est alors enfermée dedans. Ça aussi ça me fait bien délirer mais …

Des trucs comme ça ?


Je baissais mon pantalon en disant cela et lui dévoilait mon petit secret. Mon dispositif de chasteté maison. Il ouvrait des yeux tout ronds en voyant cela. Il portait un pantalon moyennement moulant et je voyais une réaction immédiate, il bandait.


Au moins je savais qu'il n'en portait pas lui.


Et si on allait parler de ça ailleurs ? Lui proposais-je.


Il acquiesçait. On prenait alors la direction du parking. Il m'a suivi jusque chez moi. Je le faisais entrer lui proposais un verre.


J'aimerais bien voir ton truc ! Me répondait-il alors.


Ça va là j'ai compris qu'il n'avait pas soif. Il s'installait sur le fauteuil et je baissais mon pantalon. Sur ma lancée je me retrouvait à poil quelques instants plus tard.


Il avait les yeux fixé sur ma bite, enfin ma cage à bite. Ça semblait le fasciner.


Tu peux faire comme moi.


Il me regardait et c'est toujours en gardant le regard fixé sur ma queue en cage qu'il retirait ses vêtements. Il bandait en effet, je lui proposais une bière, il me faisait oui de la tête se rasseyait. On buvait tranquillement, je m'installais bien en face de lui et je prenais soin d'écarter les jambes. Il portait toujours un anneau à la base de son sexe. C'était pas un truc prévu pour, c'était un anneau de rideau détourné de son usage initial.


Tu le portes souvent ? Me demandait-il.

Toujours. Et toi ton anneau c'est quoi ?

Un anneau, pour les rideaux, mais il est trop grand.


Je regardais l'anneau, il devait faire cinquante millimètres, j'ai l’œil, et en effet il était un peu trop grand. Je m'était penché vers lui et il en avait profité pour me tâter les couilles. Je le laissais faire, j'approchais le fauteuil et quand je me rasseyais je restais très accessible et j'écartais toujours les jambes.


Ce truc lui plaisait, il bandait ferme et là son anneau paraissait presque à la bonne taille. Je le laissais me tripoter les couilles. Ça l'excitait. Moi aussi ça m'excitait à mort. Je bandais dans ma cage, ma queue occupait maintenant toute la place et tentait même de sortir. Des bourrelet de peau ressortaient et formaient es sorte de bulles, ce n'était pas douloureux mais c'était frustrant.


Ça fait mal ? Me demandait-il.


Je lui faisais non de la tête. En même temps qu'il me tripotait les couilles il se tripotait la bite, il bandait, et finalement il avait une belle queue, tout à fait satisfaisante. Je me souvenais d'une bite plus petite, mais les souvenirs, vous savez …


Sans prévenir je me penchait sur lui et le suçais, il se laissait faire et me caressait le corps, surtout les couilles. Mon dispositif l'impressionnait, le fascinait il l'explorait avec les doigts. Sa queue entrait sans difficultés dans ma bouche et ressortait avec une grande facilité.


Il gémissait de plaisir, il me caressait la tête, appuyait plus ou moins fort. Ça ne me dérangeait pas, sa queue n'était pas si grosse que cela, j'ai vu pire, et elle entrait à fond dans ma gorge sans difficultés.


Je finissais par lui caresser les cuisses, l'intérieure des cuisses et je le masturbais quand je relevais la tête. Il ne me cachait pas qu'il appréciait.


Tu as la clé de ton truc.


Je relevais la tête et faisais non de la tête.


Je ne la garde pas ici, c'est pour éviter la tentation.

Et si tu veux t'amuser avec ta queue tu va la chercher.

Il me faut plusieurs heures, je l'ai planquée dans la nature, vingt minutes de voitures et près de trois quarts d'heure de marche …


Je recommençais à le sucer, de nouveau je prenais sa queue jusqu'au fond de ma gorge, je lui gobais aussi les couilles et le faisait tressaillir. Il me caressait les fesses et c'est tout naturellement qu'il me glissait un doigt dans le cul. J'ai pas râlé, je l'ai laissé faire. Rapidement il glissait deux doigts.


J'ai décidé de lui rendre la politesse, moi aussi je lui caressait le cul, je glissait direct deux doigts, j'avais pris soin de bien lui lubrifier le cul et les doigts juste entrées je les agitais vigoureusement.


Je l'ai senti se contracter, il a appuyé sur ma tête, sa queue entrait dans ma gorge me défonçait la glotte sans douleur, pendant que moi je lui éclatait la prostate, sans douleur également.


Il gémissait doucement au début puis plus fort. Quelques instants plus tard il tremblait sous mes caresses et ne contrôlait plus les mouvements de son bassin. Là j'en prenais plein la gueule. Il me donnait des coup de bassin, sa queue me chatouillait le fond de la gorge.


Il me rendait la politesse, il ne s'intéressait plus à ma cage. Je bandais toujours aussi ferme dans ma cage, c'était un peu désagréable mais ça faisait aussi partie du plaisir, c'était la frustration.


Ma peau prenait du plaisir, les caresses étaient agréable. Ses doigts qui me frappaient la prostate me donnaient un grand plaisir et je sentais le plaisir monter en moi, je tremblais sous ses coups.


Je me lâchait également sur sa prostate. Brusquement il se retirait.


Je vais t'enculer ! Me disait-il.


Je prenais position à quatre patte au milieu de mon salon. Il prenait position puis enfonçait sa queue directe, j'ai un peu couiné. C'était vraiment très agréable, finalement même une petite queue de taille normale peut donner beaucoup de plaisir. Il m'en donnait.


Je n'essayait même pas de me masturber, je me donnait à son plaisir, à son seul plaisir. Il me limait avec vigueur, force et vitesse. Son bassin s'écrasait contre mes fesses et claquait fort avec régularité. Je me sentais bien, c'était bon, j'en redemandais.


Il prenait la direction des opération, il n'avait rien du dominant mais moi j'avais tout du passif, alors il prenait les opérations en main. Il me retournait sur le dos, m'écartait les cuisses, me relevait les jambes et avec force il m'enculait.


C'est ma position préférée, il s'allongeait alors sur moi, m'embrassait tout en continuant à me limer le cul. Je bandais toujours mais je sentais le plaisir monter dans ma queue. Il gémissait fort, je le voyais il faisait une grimace, il ouvrait la bouche et gémissait fort, il criait enfin au moment ou il jutais en moi.


J'ai pris du plaisir mais c'était un plaisir frustrant, un plaisir bridé. Je n'ai pas vraiment joui, je n'ai pas juté et encore moins éjaculé. Le plaisir à monté jusqu'à attendre le niveau de l'éjaculation puis s'est arrêté là. Ce n'était pas assez, j'étais essoufflé mais j'en voulais encore, je savais que je n'en aurais pas plus.


On est passé sous la douche, on s'est savonné l'un l'autre, il ne bandait pas mais moi je ne parvenais pas à me calmer, ma queue protestait presque douloureusement dans sa cage. Ça l'amusait.


On est sorti de la douche, on s'est sécher puis on s'est retrouvé dans le salon, assis sur le tapis on dégustait une autre bière. Il avait totalement débandé.


Il est trop grand ton anneau.

Je sais mais … Il m'en faudra un plus petit.

Quarante cinq millimètres ?

Ça serait bon je pense, cinq millimètres de moins, ça devrait suffire.

Retire le je voudrais voir quelques chose. Lui disais-je en me levant.


Il retirait son cockring, je lui en tendait un autre. Je n'ai pas fabriqué que mes dispositifs de chasteté, j'ai fait aussi des cockring de plusieurs tailles. Je lui en tendais un de quarante cinq millimètres.


Oué, super … Tu me le donnes ? Disait-il en le passant.


Il était parfait, il ne fallait pas grand chose finalement pour lui faire plaisir. De nouveau il bandait, j'en profitais pour faire quelques mesures, ça l'amusait, il me laissait faire.


Un peu plus tard, il me laissait, il me promettait de revenir me voir maintenant qu'il savait ou j'habitais.


Je le regardais partir, j'avais ses mensurations et je me disais je ne sais pas pourquoi mais je sentais qu'il allait apprécier de se retrouver en cage, bien sûr je ne le contraindrais pas, quelque chose me disais que je n'aurais pas besoin de le faire ni même d'insister bien longtemps …



A suivre



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