Madame 10 Armand VS Teddy

 Madame 10

Armand VS Teddy



Teddy était rentré à la maison.


– Madame est joueuse ! Déclarait Jonaz qui venait d'arriver. Il rigolait.

– J'aurais voulu t'y voir moi.

– Mais c'est qu'elle m'a fait le coup plus d'une fois. Tu ne te souviens pas ? 

– Oui, c'est vrai mais à l'époque je ne savais pas que avais aussi été son amant et je ne savais rien du dispositif de chasteté.

– C'est vrai que MONSIEUR A, lui est au courant .

– Tu l'appelles MONSIEUR A maintenant ?

– C'est juste pour rigoler. Il ne faut pas l'appeler comme ça !


Un peu plus tard c'est Rufus qui arrivait, il se préparait à repartir, c'est lui qui assurait le service pour le reste de la soirée.


– Je n'y crois pas, je vous jure que je n'y crois pas. Déclarait Rufus.

– Raconte ! Lui répondait Jonaz.

– Vous ne me croirez pas, de toutes façons vous ne me croirez pas … 


Teddy et Jonaz se regardaient sans comprendre.


– Bon, et bien, vous savez Madame et Monsieur …

– Oui ! Lui répondaient Teddy et Jonaz en cœur.

– Vous ne devinerez pas ce qu'ils sont en train de faire !

– Mais raconte ! Rajoutait Teddy.

– Ils sont en train de s'envoyer en l'air …

– Ah ce n'est que ça. Concluait Teddy. Tout à l'heure, dans l'après midi j'y étais et ils se sont envoyé en l'air …

– Ensuite quant Teddy est parti, ils se sont envoyé en l'air … Rajoutais Jonaz.

– Et maintenant ils sont encore en train de s'envoyer en l'air. Reprenait Rufus.


Un grand silence tombait mais ne durait pas.


– Bein mince alors, Monsieur Armand serait encore pire que Madame … Concluait Jonaz.


– Ça c'était improbable … S'étonnait Teddy.


Ils avaient le sujet de leur discussion pour la soirée, ils préparaient le repas et informaient ceux qui n'était pas au courant, comme Rémi par exemple qui ne voulait pas y croire. 


– Pire que Madame ! J'y crois pas ! S'exclamait Rémi.


Les  jours passaient ainsi paisiblement. Le personnel de maison n'arrivait pas à le croire. En fin d'après midi, Monsieur Armand et Madame rentrait de leur journée, au fait on ne savait toujours pas ce que Armand faisait de ses journées, et rapidement se retrouvaient dans les bras l'un de l'autre, en d'autre mots, ils s'envoyaient en l'air. 


Les cris de plaisir de Madame ne dérangeaient plus personne mais là, ça durait. Ça durait même longtemps. Ensuite suivait une pause, puis ça recommençait. Jonaz confirmait que ce n'était pas du chiqué. Il assurait le service auprès de Madame et était quotidiennement témoin des ébats de sa patronne. 


Teddy s'est toujours demandé comment il faisait pour supporter ça alors qu'il était sous clé … Mais ça c'est une autre histoire …


Ensuite Madame et Monsieur soupaient ou sortaient et soupaient en ville. Dès leur retour c'étaient encore des cris de plaisir, des ' Encore ', des ' Oui c'est bon, vas y ' puis le silence revenait.


Un peu après minuit ou vers trois heures du matin de nouveau des murmures de plaisir réveillaient toute la maison … Si vous avez lu les premiers épisodes vous savez que Madame a un sacré tempérament … 


Le plus souvent un peu avant le petit déjeuner ils remettaient ça. 


Et encore un petit coup vite fait pour la route juste après …


Si l'occasion se présentait dans la journée les deux malades ne loupaient pas l'opportunité de se faire plaisir.


Teddy et tous ses camarades écoutaient Jonaz leur raconter tout ça, Rufus confirmait. Il était lui aussi témoin de ces débordements sexuels, pour ne pas dire ces délires. Madame avait trouvé son Maître, celui qu'elle ne parviendrait pas à fatiguer. Leurs ébats duraient bien plus longtemps que dans le passé. En général il remettaient ça à chaque fois, c'est pour ça, ils faisaient durer le plaisir et remettaient ça aussitôt.


C'est pendant une longue journée d'hiver que se produisait ce petit événement. Teddy voulait voir Madame, vous vous doutez bien que Teddy avait gardé ses entrées dans la maison, personne ne lui demandait rien il entrait et sortait comme s'il était chez lui.


Il traversait les salles, il n'avait vu personne et cherchait Madame. C'est Monsieur Armand qu'il trouvait. 


– Ah tu es là Armand, tu n'as pas vu Sara ?

– Ça fait deux jours qu'elle est partie, et elle ne revient pas avant encore deux jours.

– Mince j'avais un dossier à lui remettre.

– C'est urgent ?

– Non je vais le lui laisser sur son bureau, elle le trouvera en entrant.


Teddy passait dans son bureau puis revenait.


– Dis moi Teddy, je me demandais, toi et le reste du personnel, vous faites comment ?

– Heu, comment, quoi ? Répondait Teddy.


Armant s'approchait seulement de Teddy, il était un peu  plus costaud que lui, il refermait ses bras sur Teddy, le serrait contre lui et lui glissait juste à l'oreille.


– Suce moi la queue !


C'était direct mais au moins c'était clair.


Teddy était en manque depuis maintenant plusieurs mois, son plaisir maintenant c'était des câlins avec ses colocataires et les jeux avec des godes. Il n'avait pas envie de raconter ça à Armand mais sans résister et sans le faire répéter, Teddy s'accroupissait, ouvrait le pantalon d'Armand, en sortait sa queue qui lui semblait énorme et la prenait dans sa bouche.


En quelques secondes la queue d'Armand prenait du volume. Teddy se retrouvait avec la bouche bien pleine pour le plus grand plaisir d'Armand. Et il appréciait Armand, il n'hésitait pas à attraper et à retenir la tête de Teddy. Il commençait à lui balancer des coups de bite dans la bouche, de plus en plus violent et de plus. Teddy était rapidement dépassé, il ne s'y attendait pas, il avait bien le réflexe de se dégager mais il n'était pas en position de force.


Armant appuyait sur sa tête et l'obligeait à avaler sa queue sur toute sa longueur. Le nez de Teddy s'écrasait sur le ventre d'Armand alors que la queue d'Armand s'écrasait dans la gorge de Teddy qui manquait d'air.


Le moins qu'on puisse dire c'est que Armand, c'était pas un tendre. C'était un gros morceau à avaler et le moins qu'on puisse dire c'est que Teddy avait du mal. Mais c'est vrai qu'il y prenait goût. Il y mettait du cœur, il s'appliquait.


Armand s'en amusait, après un petit moment ou Teddy l'avait senti passé et avait manqué d'air. Armand le relâchait et le laissait faire, Teddy lui insistait, il ne lâchait rien, il relevait son visage et massait la bite de son partenaire. Il le masturbait.


Puis Armand reprenait.


– Retourne toi et offre moi ton cul, je vais t'enculer !


Le ton était autoritaire mais ce n'est pas ce qui faisait peur à Teddy. Le pauvre garçon sentait son sang se glacer dans ses veines, il avait craint ce moment, il l'avait espéré aussi. La il avait la trouille.


Il s'exécutait tout de même. Il retirait ses vêtements et prenait position. 


Armand commençait par lui caresser les fesses puis il s'attardait un moment sur ses couilles. Il les lui tripotait généreusement, il lui entrait un doigt puis deux dans le cul. Teddy connaissait ce plaisir maintenant et ne cachait pas son plaisir. 


Armand se sentait encourager à continuer, il glissait alors deux autres doigts de l'autre main et s'amusait à les agiter avec énergie. Teddy gémissait et tremblait, ce n'était pas de la douleur mais seulement un plaisir qui montait lentement en lui. 


Sa prostate était déjà en alerte, c'était bon, c'était terriblement bon. Teddy respirait fort, son cœur tambourinait dans son torse. Il se sentait bien, il se sentait à la fois bien et mal. C'était la folie dans sa tête. Il pensait à Madame, il pensait à la queue de Armand, et déjà il savait qu'il allait la sentir passer. Il se souvenait, quelques jours auparavant, quand il s'était retrouvé avec Madame et Armand sur le bord de la terrasse. Si dans son corps déjà ça bougeait bien, dans sa tête c'était la folie. 


Armand devait juger que le cul de Teddy était suffisamment lubrifié, il s'appuyait sur son dos de tout son poids. Il continuait en l'embrassant dans le cou puis le mordillait doucement sur l'épaule. Teddy rigolait et frissonnait.


Puis Teddy hurlait, Armand poussait fort contre son cul avec sa queue, il bandait ferme et pris par surprise Teddy ne résistait pas. La queue d'Armand s'enfonçait lentement, elle passait toutes les résistance et pénétrait plus profond puis plus profond encore.


Le visage de Teddy était tout rouge, il tremblait, il gémissait et ce n'était peut être pas que du plaisir. Armand avait réussi à se glisser totalement dans le cul son partenaire, il relevait le torse.


– Tu as un cul de reine mon bonhomme. J'adore !


Teddy ne parvenait même pas à articuler une réponse, et c'est sans attendre que Armand lui balançais un violent coup de bassin, il poussait ensuite sa queue bien à font et maintenait la pression.


Teddy poussait un long cri, comme une plainte, Armand s'en amusait et peu après se retirait avant de revenir. Il commençait à lui limer le cul avec force. Il n'y rajoutait pas de violence, sa seule présence était déjà une violence mais il y allait avec force. Ça devait rentrer et ça rentrait.


La cervelle de Teddy était en feu, il était assailli par une grande douleur mais également par un immense plaisir. Il voulait tout arrêter, le pourrait-il, Armand se retirerait-il ? Mais il voulait aussi que ça continue, il en voulait plus. 


Au niveau de son anus, c'était douloureux mais dans son ventre c'est un plaisir, presque une jouissance qui naissait et le submergeait. Sa tête allait exploser mais c'est tout son corps qui était en délire. Il ne pouvait plus rien faire, et peut être même il ne voulait plus rien faire.


Armand accélérait le mouvement de va et vient, quand il se retirait Teddy hurlait, quand il revenait Teddy hurlait, entre les deux Teddy continuait à hurler. Puis Teddy hurlais moins, enfin je veux dire moins fort. Ses cris se faisaient remplacer par des gémissements des râles et des plaintes.


Armant saisissait Teddy sous les bras, il le relevait et sa queue empalait maintenant le pauvre Teddy qui n'en demandait pas tant. Armand se redressait et Teddy se trouvait presque soulevé par la queue d'Armand. De nouveau Teddy hurlait et suffoquait.


Armand le laissait retomber le visage sur le coussin, puis concluait, il jouissait, il se lâchait et lui défonçait le cul avec force et on peut dire une certaine violence.


Il se retirait quelques instants plus tard, il jouissait généreusement sur le dos de son partenaire qui ne bougeait plus, le pauvre Teddy était sonné, il avait mal partout, il ne disait  plus rien c'est tout juste s'il arrivait encore à respirer. 


Armant lui donnait alors une forte claque sur la fesse, Teddy ne réagissait même pas. Il jutait, il jutait généreusement mais ne s'en rendait même pas compte.


Il restait là, sans bouger, replié sur lui, le visage contre un coussin et le cul à l'air comme offert au prochain qui voudrait passer par là. Armand passait sous la douche, quand il revenait Teddy n'avait pas bougé. Armand ne faisait pas attention, il s'en moquait. 


Teddy commençait à comprendre pourquoi ça marchait si bien entre Armand et Madame. Sexuellement il était aussi insatiable qu'elle et en plus il avait ce qu'il fallait pour la satisfaire, celle qui était toujours en manque.


Au bout d'un moment Teddy allongeait les jambes et se retrouvait dans une position un peu plus descente, il était à poil, allongé sur le ventre. Dans sa tête il rappelait les différentes étapes qui l'avait conduit là ou il était depuis qu'il avait rencontré Madame.


Et finalement comme conclusion il se disait qu'il avait du louper quelques épisodes …



A suivre 



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