Madame 09 Monsieur Armand

 Madame 09

Monsieur Armand



La fête battait son plein. C'est dans une tenue incolore que Madame se promenait entre ses invités ( oui je sais, c'est nouveau ça incolore, c'était  une fibre translucide qui prenait des reflets en fonction de l'origine la lumière ) c'était donc plutôt une tenue arc-en-ciel …


C'était bizarre mais très joli. 


Madame présentait son nouveau sextoy à tout le monde … J'ai dis sextoy, d'une certaine manière oui on peut dire ça. Teddy savait très bien comment ça se passait, elle s'en servait jusqu'à ce le jouet lasse, puis elle le rangeait dans un endroit confortable certes mais il était rangé et plus personne n'avait le droit de jouer avec.


Teddy pensait à tout ça quand il rejoignait le groupe. Il se souvenait de la première fois qu'il était venu dans cette maison, c'était à l'occasion d'une petite sauterie du même genre. Madame aime bien l'expression ' petite sauterie '. Cette fois-ci par contre tous les cadres de la société le saluait. Il pouvait constater que le fait de ne plus être en couple avec la patronne ne lui était pas défavorable. Après tout il habitait toujours sur place et avec Madame, personne ne savait ce qu'on devait ou pouvait comprendre.


Madame présentait son nouvel amant à tout le monde. Il s'appelait Armand, elle le présentait comme ' Monsieur Armand ' et elle semblait beaucoup y tenir à ce Monsieur Armand.


Les ragots allaient bon train. On entendait dire que Teddy allait être viré. D'autres avaient appris de sources sûres que Teddy aurait une promotion dans les mois qui venaient. Monsieur Armand aurait droit au poste actuel de Teddy. Pour lui, ce serait une bonne chose, il y avait un haut responsable qui devait partir en retraite … En fait personne n'en savait rien. 


Teddy surprenait plusieurs de ces discussions, et leurs auteurs devenaient tout rouge de honte et d'embarras en s’apercevant de sa présence.


Un directeur d'on ne sait quel service dans les entreprises de Madame venait même féliciter Teddy pour sa futur promotion. Comme personne n'était au courant de cette affaire, il repartait l'air un peu con.


Teddy pouvait aller ou il voulait et il avait toujours l'oreille de Madame, elle menait le jeux, de toutes façons elle avait toujours mené le jeux. On pouvait lui parler si elle n'avait pas envie d'écouter, son interlocuteur ne s'en rendait même pas compte. Elle n'était pas de celles qui se laisse manipuler.


A plusieurs reprise Teddy se retrouvait à ses côté, et discutaient tout aussi librement que dans le passé. Sur ce point, rien n'avait changé, il n'était plus dans son lit, c'est tout ! ( ou elle dans le sien )


– Dis moi Sacha ! Finissait par demander Teddy. J'entends des rumeurs qui me semblent inquiétantes.

– Mais de quoi parles-tu. Lui demandait sa patronne.


Teddy lui parlait alors des rumeurs. Elle éclatait de rire.


– C'est vraiment extraordinaire, je n'avais entendu parler de rien. Mais si tu t'inquiètes, tu as tord ! Je te rassure mon beau Teddy, ce ne sont que des ragots. Maintenant tu connais les conditions du contrat et c'est toi qui peut y mettre fin quand tu le décideras.


En disant cela elle avait une voix posée, elle n'était même pas agacée, elle expliquait les règles, tout simplement. Teddy comprenait que tout était terminé, ses amours il pouvait les oublier, elles ne reviendraient jamais. Ça le confortait dans cette décision qu'il avait prise, travailler encore quelque temps puis aller voir ailleurs.


Tout le monde connaissait Monsieur Armand à la fin de la petite sauterie, c'était le but mais quelques questions subsistaient. Il vient d'où ? Il fait quoi dans la vie ? Il va entrer dans l'entreprise ?


Bref on n'en savait pas beaucoup plus, il était grand, bien bâti et il semblait aussi bien monté à en juger par cette bosse qui  l'accompagnait partout et qu'il ne tentait pas de dissimuler. Il était bel homme, avait les cheveux frisés et un sourire ravageur.


Quelques jours plus tard Madame demandait à Teddy de passer la voir, elle voulait étudier différents problèmes professionnels. C'était la patronne et Teddy faisait ce qu'on lui disait. Jonaz venait l'accueillir, c'est lui qui avait téléphoné à Teddy. Il le regardait avec un petit sourire narquois et lui disait juste …


– Madame est sur la terrasse, je t'apporte un rafraîchissement, va t'installer et … Bon courage …


Teddy ne comprenait pas tout de suite la dernière partie de la phrase mais s'exécutait. Il n'a compris qu'au moment ou il a vu Madame, elle était allongée sur un épais matelas gonflable, entièrement nue, elle ne portait que ses lunettes de soleil. Quand elle remarquait la présence de Teddy …


– Et bien mon beau Teddy, tu ne viens pas me saluer. Viens ici que je t'embrasse.


Teddy allait embrasser sa patronne et ancienne maîtresse, il y allait comme s'il allait à l’abattoir. Ce corps magnifique qu'il avait si souvent tenu dans ses bras ne le laissait pas indifférents. Sa queue protestait comme rarement. En quelques secondes c'était à la limite du supportable. Rien ne se voyait mais lui il le sentait bien maintenant son dispositif de chasteté.


– Tu pourrais me passer cette crème de bronzage ? Demandait Madame.


Teddy se penchait sur Madame, lui donnait  un baiser sur la joue, elle retournait la tête juste au bon moment et les lèvres de Teddy se posaient sur les lèvres de Madame. Elle lui rendait alors un grand sourire.


Teddy ne savait plus quoi penser. Allait-elle le libérer pour pouvoir profiter de lui ? Il n'avait rien contre cette idée mais quelque chose lui disait que ça ne se ferait pas.


Pour commencer il passait sur le corps de Madame cette crème si douce, qui rendait sa peau si douce et légèrement ambrée. Il la voyait gémir de plaisir quand sa main passait sur certaines parties de son corps, ses seins pas exemple ou l'intérieure des ses cuisses. Il faisait ça bien, il se laissait aller, il faisait comme il faisait quelques mois plus tôt. 


Les choses avaient bien changées, il portait un dispositif de chasteté qui a ce moment le torturait. Il avait aussi le droit, des droits sur ce corps, il pouvait lui faire l'amour. Plus maintenant !


– Tu as emmené ton ordinateur ? Nous allons pouvoir nous mettre au travail. Lui demandait ensuite Madame.


Teddy s'installait alors à une table, sortait l'ordinateur et suivait une séance de travail. Madame demandait tout un tas de choses qu'elle voulait savoir. Elle était précise et rigoureuse. Teddy avait du mal à suivre. Il avait du mal à se concentrer le pauvre. Le corps de madame lui rappelait tant de souvenirs, et s'il avait éprouvé une certaine lassitude, c'était oublié aujourd'hui. Il espérait encore qu'elle décide de s'amuser avec lui.


D'une certaine manière, c'était ce qu'elle faisait. Jonaz passait régulièrement, il s'assurait que tout se passait bien. Que personne ne désirait quelques chose, une boisson bien fraîche par exemple. Jonaz avait l'habitude avec Madame.


Malgré le manque de concentration de Teddy le travail avançait. 


Teddy sursautait au moment ou il recevait une tape bien virile sur l'épaule. C'était Monsieur Armand …


– Je vois que ça travaille dur ici !


Il allait embrasser Madame, il se penchait sur elle, s'allongeait sur elle et l'embrassait. Jonaz passait et déposait une boisson fraîche pour Monsieur Armand et repartait en glissant à l'oreille de Teddy. '' Bon ça se complique, je ne reste pas … Courage ! ''.


Quand Teddy regardait de nouveau vers Madame, c'était le torse nu de Monsieur qu'il voyait, il était bien musclé comme il s'en doutait. Il était très bel homme finalement avec une très belle fourrure en poils naturels. La queue de Teddy s'était légèrement calmée mais là elle se réveillait et protestait de nouveau.


Armand se relevait et retirait son pantalon, il se retrouvait totalement nu. Il se penchait alors vers Madame, la prenait dans ses bras, il la couvrait de baisers. La Teddy ne savait plus quoi faire. 


Les bras d'Armand, ses mains se promenaient sur le corps de madame. Teddy suivait le mouvement et se souvenait des sensations qu'il éprouvait quand il était à sa place, il se souvenait de cette douceur infinie il se souvenait aussi qu'à cette époque il n'avait pas la queue écrasée dans une cage en titane bien trop petite.


En tout cas à cet instant, elle était bien trop petite.


Armant avait comme on pouvait s'y attendre une très grosse queue. Teddy savait ce qu'aimait Madame, et en plus il avait remarqué la forme de la bosse depuis un moment. Il n'était pas surpris. Armand bandait ferme quelques instants plus tard. 


Ils étaient beau à regarder et Teddy ne pouvait pas détacher son regard de la scène. Le corps de Monsieur et celui de Madame puissamment enlacés. Les bras d'Armand qui caressait Madame, le visage de Madame qui embrassait le torse, le ventre et filament qui prenait la bite de Monsieur dans la bouche.


Teddy savait que Madame suçait très bien.


Les corps se retournaient et se retournaient encore. Madame se retrouvait assise sur le visage de son nouvel amant, avec sa langue il savait lui aussi lui faire plaisir.  Et Madame de nouveau prenait sa queue dans la bouche, elle savait s'y prendre, Teddy s'en souvenait très bien. Sa queue aussi s'en rappelait et protestait, cette cage était décidément devenue bien trop petite. 


Puis C'est madame qui prenait position, elle s'empalait sur la grosse matraque d'Armand en lui tournant le dos. Elle s'allongeait sur lui et face à eux deux Teddy pouvait contempler la grosse bite d'Armand entrer et ressortir de la vulve de son ancienne maîtresse. 


Ils faisaient durer, elle gueulait de plaisir. Teddy se retenait de se tortiller de douleur. Sa Queue était maintenant en feu. Les mains d'Armand se promenaient sur le corps de Madame, elles insistaient sur les seins mais aussi l'entre jambe et Madame lui répondait par des cris de plaisir. 


Il a joui à ce moment, ils gueulaient tous les deux,leurs mouvements devenaient totalement incontrôlables. Puis ils finissaient par se calmer … 


Armand se relevait à moitié, madame continuait à se tortiller sur sa queue, un liquide blanc suintait, Madame terminait le verre qui était juste à côté d'elle. 


– Dis Teddy, tu pourrais me rapprocher mon verre sur la table ? Demandait Armand.


Un peu sonné Teddy s'exécutait, c'était le verre que Jonaz avait déposé un peu plus tôt .


Armant ne débandait pas, et restait en position, sa queue douillettement installée dans le sexe de Madame. Elle ne bougeait plus et ils se laissaient retomber sur le dos. Armand continuait à caresser le corps de Madame, il la masturbait alors qu'il était toujours en elle. Elle semblait apprécier et lui caressait le bras. Puis peu à peu il recommençait à la limer. De nouveau il ressortait puis revenait et de nouveau Madame recommençait à gémir et à gueuler de plaisir …


Jonaz arrivait et imperturbable.


– Je suis venu m'assurer que Madame et Monsieur n'ont besoin de rien …

– Rapporte nous une boisson fraîche on en aura besoin tout à l'heure. Répondait Armand.


Lui aussi restait imperturbable, et continuait à combler Madame de plaisir, elle avait l'air comblée en tout cas. Jonaz se retournait vers Teddy.


– Et Monsieur Teddy, il n'a besoin Monsieur Teddy.

– C'é queu oui, euh mé non ! Bafouillait Teddy.


Jonaz sans l'écouter lui posait un petit verre juste devant lui …


– Cul sec bonhomme, ça ira mieux après !


Teddy s’exécutait il avalait la double dose de whisky cul sec, comme on lui avait dit … Et en effet, ça allait mieux après.


Armand retournait Madame, il s'allongeait sur elle. Ils se retournaient et c'est Madame qui se retrouvait sur lui quelques instants plus tard. De nouveau elle gueulait, il hurlait.


Ils jouissaient de nouveau puis ne bougeaient plus.


Teddy se disait alors que Madame avait peut être trouvé quelqu'un qui pourrait la suivre … Un peu plus tard les deux amants se relevait se rafraîchissaient prenaient une douche et faisaient un plongeon dans la  piscine.


Teddy regardait ça de loin, là il était dépassé le pauvre. C'était surtout la queue, l'énorme queue d'Armand qu'il regardait. Son cœur battait vite il respirait fort et sa queue le torturait. Mais rien ne se voyait.


– Mais lâche un peu ton ordinateur et viens nous rejoindre. Lui lançait alors Armand.


Teddy était sonné mais il s’exécutait. Quelques instants plus tard il plongeait dans la piscine. Ça lui faisait le plus grand bien. Sa queue continuait à le torturer mais on ne pouvait rien, on ne pouvait toujours rien deviner .  



A suivre



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