Madame est partie 02 : Mon dieu

 Madame est partie 02

Mon dieu

– Moi je porte ce dispositif depuis l'âge de seize ans, fidèle à la règle de la PK compagnie. J'ai deux enfants que je vois très régulièrement, ils vivent avec leur mère, pas très loin d'ici …

– Vous ne m'apprenez rien James. La question est … Comment faites-vous pour tenir …

…

– Ça c'est une question que beaucoup de personnes se posent. Répondait James. Vous savez Monsieur quand il y a une chose qu'on ne peut pas faire, et bien quelque soit la manière d'aborder le problème … On ne peut pas, on ne fait pas.

– Les choses sont si simple que ça ?

– Si je puis me permettre. Nous avons aussi des trucs pour nous … Soulager …

Je ne comprenais pas ou il voulait en venir mais je tendais l'oreille.

– Que voulez-vous dire James.

– Des gadgets, des jouets sexuels, des …

Là je faisais des yeux tout ronds. James s'excusait, s'absentait et revenait avec une boite. Il la posait sur le sol devant moi et l'ouvrait.

J'éclatais de rire, il y avait des godes, des plugs ( là je ne savais pas encore à quoi ça servait ce genre de truc biscornus ). Au hasard j'en prenait un, puis un autre.

– Celui-là est minuscule. Celui-ci est de belle taille.

Le troisième que je prenais dans la main était à ma taille.

– J'ai la même m'exclamais-je, enfin la même taille.

– Voulez-vous que je vous serve un autre whisky Monsieur ?

– Uniquement si tu en bois un avec moi !

C'était la première fois que je disait tu à mon majordome, il ne s'en offusquait pas et versait deux verres, il m'en tendait un, on trinquait et on avalait ça d'un trait.

On continuait à explorer la boite.

– Et ça c'est quoi ?

– Ça monsieur c'est un plug.

– Bizarre comme objet.

En même temps je lui tendais un verre vide. Il me servait. Avec la main je lui montrait le second verre. Il le remplissait et on l'avalait.

Je n'attendais pas et là c'est moi qui servait les deux verres. En écoutant ses explications.

– Voilà vous l'insérez … euh …

– Dans le cul ?

– Oui voilà, vous vous l'insérez dans le cul, la forme anatomique le maintient en position et vous pouvez vaquer à vos occupations.

– Ne me dis pas que tu porte un truc comme ça.

– Ça m'arrive.

– Pendant ton service.

Il pouffait de rire, me tendait le plus petit.

– Tu veux essayer ?

Puis il se reprenait.

– Oh pardon Monsieur, je vous prie d'oublier ce que je viens de dire.

Je lui tendait un verre et lui répondait du tac au tac.

– Comme pour le whisky, je veux bien mais pas tout seul.

Il avait l'air un peu gêné, il prenait le verre que je lui tendais, l'avalait, râlait parce que le whisky c'est un peu fort, et visiblement ivre il marmonnait quelque quelque chose que je ne comprenait pas. En fait il me l'a expliqué plus tard. Il se disait seulement : '' De toutes façons, demain il va me dire de dégager alors !''.

Je tentais de verser un autre verre mais la bouteille était désespérément vide. James éclatait de rire.

– Tu me fais de la peine là, il y en a d'autre en stock. Bouge pas je reviens.

Il revenait quelques instants plus tard.

– Ça c'est du dix huit ans d'âge, c'est pour les grandes occasions, et comme tu me vires demain matin.

– Mais non, je ne vais pas te virer demain. Lui répondais en tendant mon verre.

On avalait chacun un verre de whisky mais il me semble que la dose était plus grande.

– Maintenant tu me montres comment ça marche ton plug …

– A poil répondait-il.

Et sans attendre il retirait tous ses vêtements. Je le regardais faire, il avait un corps parfait, musclé, bien proportionné. S'il n'avait pas porté un tel dispositif, il aurait été un tombeur auprès des filles.

Je me trouvais très bien foutu mais il n'avait rien à m'envier sauf peut être, au moment ou son pantalon tombait, la possibilité de se tripoter, de se branler, de s'amuser avec sa queue. Il avait un très joli dispositif de chasteté en Titane brillant comme un miroir. Bien sûr il n'avait pas de sous vêtement.

Il était à poil, on buvait un verre pour fêter ça.

Ensuite c'est moi qui me mettais à danser au milieu de mon salon, je m'effeuillais couche après couche. Ma cravate, ma chemise. Je me retrouvais moi aussi torse nue.

– Mais je te le disais, tu es bien foutu toi aussi. Me disait-il en préparant deux autres verres.

Ensuite en remuant mon corps, j'ouvrais mon pantalon et le faisait glisser jusque sur le pieds. Je le dégageait d'un mouvement rapide, retirais mes chaussettes.

– A poil, a poil, a poil ! Scandait James.

Je continuais à remuer mon corps et finalement retirait mon slip. Il poussait alors un cri de victoire et me tendait le verre. Face à face, tous les deux à poil, on s'enfilait le verre de whisky. Puis on poussait un râle de douleur, franchement le whisky, ça arrache.

Ensuite on sautait sur place. Là on était saoul ! On était saoul mais on était content.

– Je vois que monsieur fait son fier …

C'est là que j'ai remarqué que je bandais. J'ai tout de suite voulu comparer, mais il ne soutenait pas la comparaison. Malgré tout je le trouvais terriblement excitant avec cage. Il n'avait pas l'air malheureux, c'était la première fois que je le voyais nu et il était entièrement nu. Il avait un très beau corps et il était sexy.

A ce moment d'une certaine manière, je comprenais pourquoi les femmes aimaient les hommes sous cage de chasteté. À le voir, je bandais encore plus ferme, il y avait bien sûr l'alcool mais il y avait aussi le manque. Je n'avais eu aucune relation intime depuis plus de deux ans !

Il me prenait dans ses bras, m'embrassait et me caressait. Je lui rendais chacun de ses baisers, chacune de ses caresses. Il me caressait la bite, je lui caressais les couilles, ça me faisait tout drôle de sentir une bite en cage dans ma main, en plus il y avait aussi les couilles. A cet instant ça devenait une réalité, avant c'est juste une idée.

Il me caressait les fesses et glissait un doigt entre mes fesses, il insistait légèrement sur la petite ouverture, vous savez, le petit trou caché entre les fesses, au fond de cette énorme ride.

J'en faisais autant, non mais c'est vrai ça, il ne s'imaginait pas que j'allais me dégonfler. Mon cœur battait fort, très fort et ma queue se redressait avec force, elle était ferme, très ferme.

Mon doigt glissait et j'y trouvais quelque chose, je n'ai pas compris tout de suite. Il avait un plug dans le cul ! Je l'allongeais sur le tapis, et je m'amusais à tenter de le retirer. C'était à peine croyable, son anus se dilatait mais l'objet ne venait pas. Bien sûr j'avais un peu peur de lui faire mal et je ne tirais pas trop fort.

– C'est le gros modèle me disait-il. Tu veux essayer ?

– Une taille plus petite alors. Répondais-je en rigolant pour me donner de la contenance.

Il se relevait, je suivais ses consignes, je me mettais à genoux et m'appuyait sur le fauteuil. Il me lubrifiait généreusement le cul et y glissait un doigt. Je ne vous dis pas j'ai bien failli jouir. C'était bon, terriblement bon. Je n'aurais jamais imaginé à quel point c'était bon.

Il il m'a limé le cul pendant un moment, chaque seconde j'étais sur le point de jouir. Je gémissais de plaisir. Pourquoi avais-je attendu si longtemps avant de passer à autre chose comme il me l'avait dit. J'avais presque le vertige, je tremblais, je frissonnais, le plaisir me submergeait.

Il a ensuite pris un plug, pas le plus petit mais pas non plus le plus gros. Je l'ai senti, il glissait facilement, sa surface était particulièrement douce et il me donnait beaucoup de plaisir .

Mais il devenait plus large et James le poussait doucement, le retirait et le poussait de nouveau, à chaque fois plus loin. Ça devenait sérieux, le moment ou il a passé à été terrible, pas vraiment douloureux, je ne sais pas comment dire. C'était un peu douloureux, mais c'était toujours bon. Le plug n'était pas aussi large que ma queue, il s'installait, il prenait place et là je me disais … '' Oh mon dieu ! ''.

A suivre

N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast