Jeune adulte 12 Et nos parents alors

 Jeune adulte 12

Et nos parents alors



Le retour s'était bien passé. On était parti un peu avant la fin de la soirée. Thomas nous avait ramené en voiture, il nous avait laissé et était reparti … Cette nuit là, il travaillait.


Il fait un boulot sympa ton pote ! Me disait mon petit frère.

Tu penses ? Lui répondais-je. Mais en fait je ne sais pas trop ce qu'il fait .

Moi j'en ai une petite idée ! Dis moi Nathan ça te dérange si j'invite Gaëtan à venir dormir ici, de temps en temps ?

Non, bien sûr que non …


Il était tard, finalement il était tard. Pour ce qui est de rentrer de boite on peut dire qu'il était tôt, tout ça c'est une question de point de vue. Pour moi il était tard et je n'ai pas traîné, il ne m'a pas fallu très longtemps pour m'endormir.


Il y avait cette peau douce et chaude juste à côté de moi quand je me suis réveillé. Je me retournais et me collait à Thomas. ( Vous pensiez à qui à l'instant ? ). Je glissais un bras par dessus lui, j'aimais de plus en plus sa présence, sa peau, sa douceur et aussi sa virilité.


Ma main glissait sur ce corps doux et lisser jusqu'à sa cage de chasteté. Et c'est là que je réagissais, à force de porter un dispositif de chasteté, j'en voyais partout. Il n'en avait pas, je caressais sa queue et tout se remettait en place dans ma tête.


Sa queue gonflait et devenait dure, le la serrais dans ma main. Ensuite je lui tripotait les couilles. Il n'avait pas le moindre poil sur son corps, à part sur la tête bien sûr. La barbe et les cheveux …


Tu n'auras donc pas pitié de moi ? Me demandait-il. J'ai travaillé toute la nuit.


Je lui donnais un baiser dans le cou et retirais ma main de son sexe. Je ne le lâchais pas pour autant, je le gardais dans mes bras et me blottissais contre lui. Il me caressais la main et recommençait à ronronner. C'est ainsi que je voyais les choses.


Je me rendormais et quelques instants plus tard c'est lui qui me réveillait. Il me repoussait et s'allongeait sur moi, il bandait, je sentais sa queue qui s'écrasait sur mon ventre, je sentais la mienne qui protestait de toutes ses forces. Elle semblait y croire même si le titane est indestructible.


Thomas me retenait les mains écartées contre le lit et c'est avec tout son corps qu'il me caressait. J'étais aux anges. Je rêvais d'un réveil de ce genre tous les matins. Il m'embrassait avec passion.


Tu fais des heures supplémentaires ? Lui demandais-je .

Mais là il va falloir me payer en nature.

Vas y prend moi, comme tu le voudras. Je suis à toi.


Je gardais cette vision très romantique, avec mon éducation c'était un peu normal.


Son corps glissait contre le mien. Puis c'étaient ses lèvres qui parcouraient mon corps, il s'attardait sur mes tétons puis sur mon ventre. Il finissait par me gober les couilles, je respirais fort. J'en voulais plus, à ce moment je voulais tout. J'étais prêt à le partager, uniquement pour le boulot, mais quand il serait avec moi je le voulais totalement.


J'écartais les jambes, il retenais toujours mes bras, nos visages étaient l'un contre l'autre, je refermais mes jambes autour de lui et le serrait très fort. Quand il me lâchait les poignets je refermais mes bras autour de lui.


Je le sentais se préparer pour passer à la suite. Il se lubrifiait la queue, puis en me regardant dans les yeux, il s'enfonçait en moi. Intérieurement j'ai hurlé, j'ai crié, j'ai appelé au secours, je me suis perdu dans ses yeux et dans ce plaisir douloureux qu'il me donnait.


Il relevait son corps et plaçait ses genoux presque sous mes fesses, il me relevait en même temps, j'étais offert à ses plaisirs, il le savait et il en profitait. Il est comme ça mon doudou, il aime bien se faire plaisir.


A cet instant il glissait sa queue en entier, bien en entier dans mon cul. Son ventre s'est écrasé contre les fesses et sa queue je ne sais ou, mais c'était au milieu de mon ventre.


De nouveau j'ai hurlé, il a pensé que j'allais faire trop de bruit et ma fait taire en posant ses lèvres sur les miennes. J'ai hurlé intérieurement, de nouveau. Sans faire le moindre bruis. Puis j'ai gémi, il y avait bien un peu de douleur, un peu beaucoup même mais il y avait un plaisir. Un plaisir sur tout le reste de mon corps, la douleur c'était uniquement au niveau de mon cul.


Il se retirait, puis il revenait en moi. Ensuite il me limait, toujours en me serrant très fort contre lui. Je refermais mes jambes, je le gardais contre moi, je le gardais en moi. C'était mon mec, et je le voulais pour moi tout seul. Je n'accepterais pas que quelqu'un d'autre que moi puisse le tenir ainsi dans ses bras.


Quand il ne serait pas là, pas avec moi peut être. Mais pour le boulot, uniquement pour le boulot. Enfin son boulot …


Il ne se retenait plus, il s'enfonçait en moi, puis ressortait avec force, de plus en plus vite. J'étais replié sur moi-même, les genoux au niveau de mes épaules et j'en prenais plein le cul.


Là j'ai pas tout compris mais la douleur avait disparue. C'était un étrange plaisir qui naissait en moi, me retournait les entrailles et me laissait un arrière goût de reviens-y. Je le tirais vers mois quand s'enfonçait en moi.


J'en voulais encore, encore plus. Il savait bien lire les réactions des gens et il le comprenait. Il m'en donnait encore. Puis il faisait une pause. Il me faisait un gros câlin. Je sentais sa queue en moi, elle prenait toute la place.


Il me saisissait en passant ses mains dans mon dos, me tirait vers lui en se relevant, j'ai pas tout suivi mais je me retrouvait empalé sur sa bite, il était assis en tailleur et moi j'avais les pieds dans son dos. C'était le pied, là sa queue s'enfonçait bien à fond.


Il s'amusait alors à se balancer, se soulevait et se laissait retomber et moi j'étais assis sur lui, sur sa queue, je me cramponnait à son cou, à chaque fois qu'il retombait, je retombais sur sa queue, j'avais l'impression d'être sur un pal, j'avais l'impression que le pal allait me traverser, mais jusque là, je me répétais, '' là ça va, là ça va, là ça va encore …'' .


C'était … c'était vraiment le pied. Je l'embrassais, nos étreintes devenaient aussi folles que les coups que je prenais dans le cul. Je tremblais, tout mon corps tremblait.


Thomas tremblait lui aussi, il s'est relevé un peu plus et me soulevait en même temps. La j'ai hurlé, j'ai vraiment hurlé. Là c'était trop, là je craquais, là c'était Thomas qui jouissait dans mon cul. J'ai cru que j'allais mourir.


Yohan ouvrait la porte violemment.


Qu'est-ce qui se passe ici ? … Ah c'est ça.


Yohan marquait une pause et nous regardait avant de refermer la porte. Il était nu, il n'avait pas pris le temps de passer un vêtement,et puis de toutes façons il portait lui aussi une cage chasteté. Ne l'oublions pas, Thomas était le seul dans la maison à ne pas porter ce genre de truc. Sa bite c'est son principal outil de travail.


On était resté, un peu comme saisi par cette intrusion, Thomas se retirait et là je jutais abondamment. On passait sous la douche. Les jours de Week-end étaient absolument merveilleux, Thomas finissait par trouver sa place, il avait une chambre mais préférait dormir dans la mienne. Je ne m'en plaignais pas.


Ce matin là, on ne s'habillait pas, Thomas et moi arrivions dans la cuisine à poil. Yohan était à poil lui aussi, et il bandait, enfin il essayait. Avec sa cage à bite il n'y avait aucune chance qu'il y arrive. Il nous regardait de travers. C'était au moment le plus chaud qu'il nous avait surpris.


On prenait le petit déjeuner, Thomas se contentait de boire un chocolat chaud, pas un café, il n'avait pas terminé sa nuit. Puis il retournait se coucher jusqu'au milieu de l'après midi.


Il a des horaire décalés ! Tu ne penses pas que ça va compliquer ta relation ? Me demandait mon frère.

Et toi ! Pourquoi tu est entré dans la chambre ?

Non mais, tu es sourd ? Tu n'as pas entendu les cris que tu poussais !

Ah oui, c'est vrai qu'on s'est un peu laissé allé.

Ça à l'air d'être quelque chose ton copain.

Oui avec lui je ne m'ennuie pas.

C'est un professionnel !

Non mais ! Ça veut dire quoi ça !

Tu penses que tu vas le supporter ?

Bien sûr !

Il a passé la nuit dans les bras d'un homme, d'un autre homme.

Je sais mais je te garantis que quand il me tient dans ses bras c'est … C'est tellement.


Yohan ne disait plus rien, il avait l'air pensif.


QUOI ? M'exclamais-je.

Rien .

Parle, je sais à quoi tu penses.

Et à quoi je pense ?

Tu penses à Thomas .

Non, je pense à nos parents !


Là moi, je ne m'y attendais pas. Mais il avait raison, nos parents ignoraient que Thomas existait. Je ne m'était pas posé de questions. Depuis que j'avais rencontré Thomas je marchais sur un petit nuage. Bon d'accord le nuage avait quelques épines et j'avais du mal à m'asseoir, mais qui n'a pas ses petits soucis ? …


Thomas était un rêve, il était beau, sexy, viril et je l'avais dans la peau. Bon d'accord son boulot était bizarre, enfin peu orthodoxe mais comme je le disais … '' Qui n'a pas ses petits soucis ? '' et on prend le boulot qu'on trouve, ou encore le boulot qui nous convient.


Oui bon là j'abuse un peu. Mais c'est vrai quoi, c'est pas parce que la morale nous dit ceci ou cela, nous interdit un peut tout ce qui peut être agréable. Et puis la morale est-ce que moi je lui dit ce qu'il faut faire à la morale, alors qu'elle me foute la paix !


Une chose était inévitable … Nos parents viendraient nous rendre visite, un jour ça finirait pas arriver. En prenant conscience de ça, je prenais une douche froide.


Avec Yohan on en parlait, Thomas dormait du sommeil du juste, c'est certainement pas ce mot que nos parents auraient employé. Mais il dormais et mon cœur s'attendrissait rien que de penser à lui, il se serrait à l'idée de le perdre.


On sonnait à la porte ! Je regardais l'heure à l'horloge murale, il était tôt.


Yohan allait voir et au travers su judas il voyait nos parent. N'oublions pas qu'il était à poil. A partir de là tout allait très vite. Il revenait dans la cuisine et me criait à voix basse …


Ces papa et maman !


Aussitôt la panique me prenait, j'étais à poil également, on se retrouvait chacun dans notre chambre pour passer un pantalon et un T-shirt. Thomas n'était pas là.


Complètement paniqué je recroisait Yohan dans le couloir.


Thomas à disparu !

C'est la tuile, tu as regardé dans sa chambre ?

Non !


Je fonçais dans la chambre de Thomas, Yohan fonçait dans ma chambre. Il n'avait aucune raison d'aller dans ma chambre mais il ne devait pas le savoir, il en ressortait aussitôt.


Thomas n'est pas dans ta chambre !

Je sais il est dans la sienne !

Et qu'est ce qu'il fait dans sa chambre ?

Je sais pas moi, il dort !

Mais c'est pas le moment de dormir !


Oui je sais, ça manque un peu de logique tout ça mais … On paniquait !


On fonçait dans la chambre de Thomas.


Ah non les gars, vous me laissez dormir ! Je me suis couché il y a moins de deux heures !


Yohan était reparti dans ma chambre.


Mes parents sont là, à la porte.

Ok j'en prend note. A plus …


Toujours aussi paniqué on repartait vers la porte d'entré, on se bousculait sans le vouloir, au moment ou il sortait de ma chambre.


Tu faisais quoi dans ma chambre ?

Rien je regardais si Thomas n'y avait rien laissé.


On se retrouvait finalement à ouvrir la porte.


Bonjour mes chéris. S'exclamait notre mère.

En tout cas, vous êtes rapides à ouvrir ! Rajoutait notre père.


Le pire c'est que ce n'était même pas ironique, l'horloge murale indiquait toujours la même heure à la minute près. On avait fait tout ça en moins d'une minute. C'est fou comme le temps passe lentement quand on panique …



A suivre




N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast

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