Le roy 11 La caravane administrative

 Le roy 11

La caravane administrative



La caravane administrative était absolument étonnante. Il y avait tout un tas de voitures tirées par de drôle de bestioles qui ressemblaient à des dromadaires mais ce n'était pas ça, ils n'avaient pas de bosse. Tout le monde sais que ces pauvres bêtes ne supportent pas la chaleur. Les bestioles qui tiraient nos charrettes avaient presque la même tête, avec un cou très long et portaient aussi une fourrure épaisses qui ressemblait à celle d'un mouton.


Ce genre de bestioles n'avaient pas l'air commode et vous crachaient facilement à la figure mais elles marchaient à un peu plus de cinq kilomètres heures sans jamais s'arrêter. Elles pouvaient avancer comme ça pendant une semaine sans manger et sans boire. Après il leur fallait du repos …


Mais on avançait tout de même de plus de cent vingt kilomètres en une journée et les sept cent kilomètres que nous devions parcourir seraient fait en moins d'une semaine.


On dormait dans les charrettes, on mangeait dans les charrettes et si on voulait se dégourdir les jambes, on sautait de la charrette et on suivait tranquillement le mouvement à pied. Ça n'allait pas bien vite mais comme ça ne s'arrêtait pas … Même la nuit on avançait.


Rapidement, dès le lendemain du départ, tout le monde prenait ses habitudes. C'était une petite ville qui se mettait en marche, il y avait l'équipes de la caravane, tous des petites mains qui portaient un dispositif de chasteté. Il y avait des passagers de marque, eux ne portaient pas ce genre de dispositif et ils croyaient que le cul des autres étaient à leur disposition. Il y avait les pilotes, pour eux, le cul du personnel était à leur disposition. Et il y avait le tout venant, nous et d'autres passagers ordinaires.


C'était monotone et un peu ennuyeux, on n'avait pas grand chose à faire. Souvent j'allais discuter un moment avec le pilote. Il y en avait plusieurs, ils se relayaient. Ils étaient installé dans les voitures de tête. On appelait voiture les véhicules qui servaient à transporter des passager. Les charrettes servaient à transporter le tout venant, passager y compris. On s'installaient comme on pouvait pour dormir, ça marchait pas trop mal. Les pilotes étaient bien installés, ils avait des hamacs pour dormir, pas besoin de repousser des caisses ou des paniers pour pouvoir s'allonger.


J'apprenais plein de choses. Il y avait les petites mains, c'était tout le petit personnel qui cuisinaient ou rangeaient ou servaient à boire, enfin toutes les petites corvées du quotidien. On les appelait ainsi mais on aurait plutôt du les appeler les petites bites. Ils portaient tous un dispositif de chasteté, un peu comme nous mais, eux, le porterait en permanence sauf en cas de démission.


Ils couraient le long de la caravane qui s'étalait sur plus de deux kilomètres, avec en son centre, jusqu'à vingt chariots en largeur. C'était une grande caravane. Les voitures étaient réservées aux voyageurs de marque, nous on était installés dans une charrette dans le quartier avant de la caravane.


Les petites bites, pardon je voulais dires les petites mains servaient à toutes les corvées, ils assuraient aussi la maintenance, les pannes, les roues cassées par exemple. Ils pouvaient aussi servir à faire plaisir aux passagers qui ne portaient pas de dispositif de chasteté, sur ce point, mes camarades n'étions pas concernés. Mais ça aussi on pouvait le faire.


Quand je voyais mes camarades rejoindre des passagers je me souvenais de cette douleur que j'avais ressenti quand mon recruteur m'avait enculé la veille de notre départ. Il n'avait pas suivi, il n'avait pas pris la caravane, il était reparti pour recruter plus de monde.


On nous avait confié au commandant de la caravane, il devait nous conduire a bon port, au Port des Grands Fonds précisément. Nous avions déjà du retard par rapport au programme prévu. Ce n'était pas bien grave mais il fallait être sérieux. Nous allions à la cour du Roi !


Je me souviens un jour, j'étais dans un des chariots de tête avec un pilote, il était en pause.


J'aimerais bien t'enculer Flèsh.

NON ! Ça c'est pas pour moi, j'aime pas me faire enculer et la cage à bite je ne la porte que pour le voyage.

OK !


Il n'insistait pas, il n'avait même pas l'air vexé de mon refus. On continuait à discuter jusqu'au moment ou il penchait la tête hors de la voiture.


Éh, toi là bas, tu peux venir j'ai deux mots à te dire !


Quelques instants plus tard une ' petite main ' grimpait dans la voiture. Entre temps le pilote avait commencé à se caresser la queue et bandait mou, mou peut être mais il bandait quand même.


Suce moi la queue ! Ordonnait-il au gars.


Il ne faut pas oublier qu'on était toujours nus. Sauf bien sûr ceux qui portaient un dispositif de chasteté. Ce qui avec les petites mains représentait la plus grosse partie des personnes dans la caravane. Et les autres se considéraient comme des maîtres qui disposaient d'un droit de cuissage sur le petit peuple. C'était totalement vrai pour ce qui est des petites mains.


Le gars ne protestait pas, il se penchait sur la queue du pilote qui rapidement devenait un peu plus grosse et surtout bien plus ferme. On devinait qu'il avait de l'expérience, il prenait la queue du pilote en entier sans difficulté, elle lui rentrait dans la gorge avec une étonnante facilité.


J'admirais le travail, il faisait ça bien. Son nez s'écrasait contre le ventre du pilote qui était aussi son chef, d'une certaine manière. Celui-ci appuyait sur la tête du serviteur, pour lui c'était tout à fait normal. Le serviteur ne se défendait pas, il encaissait sans broncher. Il ne bronchais pas non plus quand il recevait des coups de bassin, il encaissait. Lui aussi devait trouver ça tout à fait normal. Il encaissait et il semblait même y prendre un certain plaisir. Il n'avait pas besoin qu'on le l'encourage.


Il relevait la tête dès que son partenaire retirait sa main mais c'était pour mieux replonger et pour mieux avaler la queue du pilote jusqu'au fond de la gorge.


Le pilote se détendait complètement, il penchait la tête en arrière et gémissait de plaisir. Il caressait alors les cheveux de l'employé petite main. Il lui caressait les cheveux sans pour autant tenter d'appuyer sur sa tête. Là il le laissait faire.


Je voyais la queue du pilote entrer et ressortir rapidement et avec régularité de la bouche de l'employé. Par moment le pilote soulevait son bassin avec force mais son partenaire encaissait, c'était à peine croyable.


Ils étaient à un mètre de moi, je n'avais qu'à tendre le bras pour pouvoir les toucher mais ça aurait été une invitation, une proposition et j'aurais alors du y passer moi aussi, et vous savez que c'est pas pour moi ça.


Ma queue protestait de toutes ses forces, je sentais les barreaux de la cage se refermer sur moi. Je sentais ma grosse queue confinée dans une cage trop petite, beaucoup trop petite. J'avais maintenant une certaine expérience dans le port du dispositif de chasteté mais là, ça devenait dur. Ils me chauffaient la cervelle le pilote.


Retourne toi, je vais t'enculer ! Déclarait calmement le pilote.


Le ' petites mains ' ne faisait pas de manières, il se relevait, trouvait à quoi il pourrait s'accrocher et prenait position.


C'est à ça que ça sert d'être un chef ! Déclarait le pilote en se relevant.


Il caressait les fesses de son partenaire, lui glissait deux doigts dans cul, le gars tremblait d’appréhension sans doute. Lui lubrifiait le cul et sans prévenir se penchait sur le petit gars et lui enfonçait sa grosse bite dans le cul en un mouvement décidé.


Le p'tit bite gémissait de plaisir, il gémissait fort, il râlait. Et quelques instants plus tard il gueulait. Le pilote enfonçait et ressortait sa queue de son cul. Il ne se retenait pas, il y retournait et ne tenait pas compte des plaintes de la p'tit bite.


Ils adorent tous ça ! Déclarait-il. J'ai un droit de cuissage total sur toutes les petites bites du convoi.


En disant cela il accélérait le mouvement, il y allait avec force et faisait claquer son ventre contre les fesses de son partenaire. J'étais terrifié mais je bandais tout de même, en fait j'avais tellement envie de prendre sa place. J'avais tellement envie de pouvoir enculer moi aussi le subalterne qui passerait à ma porté. Ma queue continuait à protester, elle me faisait presque mal.


Tu seras dans quel cercle ? Me demandait le pilote tout en continuant à buriner le cul mec.

Le premier !

Alors ce droit de cuissage, tu l'aura aussi. Tu sais comment ça marche là bas ?


Je faisais non de la tête. Le pilote prenait dans ses bras son partenaire, le serrait très fort contre lui et poussait son bassin contre ses fesses. Et continuait à m'expliquer.


Il y a deux cercles, le premier est celui des jouisseurs, ce sont des serviteurs mais ils ne portent jamais aucun vêtement. Ils servent le roi, ils peuvent l'approcher au plus près.

On est directement en contact avec le Roy ?

Tout à fait bonhomme, tu seras courtisé, j'ai fait parti du premier cercle moi aussi il y a quelques années. Tu verras c'est cool.

Et on va me courtiser ? Vraiment ?


Je bandais toujours à le voir, il semblait se frotter contre les fesses de son vide couilles, mais il avait introduit son gros pénis bien à fond dans le cul du petit. Le gars était plus petit que lui.


Ensuite il y avait le second cercle …


là j'écoutais avec attention.


Ce sont tous des petites bites. Ils sont tous des serviteurs mais ils sont aussi au service du premier cercle.


Il terminait sa phrase en burinant avec force le cul du son partenaire. Il y allait le plus vite possible. Le pauvre gars gémissait et se tordait dans tous les sens, je devinais que ça ne devait pas être seulement par plaisir. Je me souvenais de cette fois juste avant de partir ou je m'en étais pris plein le cul et j'imaginais ce que devait ressentir le ' p'tit bite ' entre les mains de notre pilote, avec sa queue bien à fond et bien installée, bien plantée.


Il avait une grosse queue le pilote, elle était bien large et bien ferme. Ça devait faire mal mais j'étais en manque et j'avais presque envie de me porter volontaire pour me faire enculer. Seulement je savais que quelques jours plus tard je pourrait jouir autant que je voudrais, j'aurais droit de cuissage sur tout un tas de monde autour de moi.


Le pauvre gars se cramponnait en recevant les derniers coups de bite dans le cul. Le pilote se lâchait et finissait par jouir dans ses gémissements et dans les plaintes de son partenaire. Les derniers coups étaient violents. Je vous jure je les ai presque senti, je me rappelais la veille de notre départ.


Il congédiait le ' p'tit bite ' en le félicitant, il lui donnait une claque sur la fesse et s'essuyait la queue.


On disait quoi nous ? Reprenait le pilote en se retournant vers moi …


J'avais la tête en feu, j'avais mal au cul, j'avais la queue qui hurlait dans sa cage. En un mot, j'étais retourné. Les images se bousculaient, le droit de cuissage, l'idée d'être courtisé, être en contact avec le Roy tous les jours …


Je ne regrettais vraiment pas d'avoir signé moi !



A suivre




N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast

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