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                                         Textes et fictions sur le thème de la chasteté masculine, gay.  

                                     

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J'avais fait mon trou Ep01


TEXTE A VENIR

Une chambre pour deux
   

    En voyage d'affaire on arrive tranquillement dans sa chambre d'hôtel, on sort de la douche, a poil bien sûr, en sifflotant et en s'essuyant le dos ... Vous voyez le genre et, dans la chambre il y a un mec qui dort tranquilement sur un des deux lits. C'était pas prévu ça ! 

Prévu le 27 06 2024

 



BRICOLAGE
  

Do it "yourcherlfe" , comme ils disent les américains ...












IL ETAIT UNE
FOIS
Pour une fois c'est pas une fiction, c'est du vécu raconté
avec passion, émotion, rythme ... 
Et en plus il y a des images ... 



Les pages sont reliées ( à la main )
par groupe de 5


Toute la famille Brosso
Djé  -  Antoine  -  Philippe  -  David

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Bonne lecture et surtout n'hésitez pas à me retrouver sur

TWEETER

@CharlyChast







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Javais fait mon trou

 Javais fait mon trou



Il faisait un temps magnifique, on était en été, pas depuis bien longtemps, c'est vrai et un peu en avance en plus.


J'avais le parasol au dessus de ma tête, une grande serviette de plage sous moi, une casquette, un E-Book devant le nez et des écouteurs dans les oreille. Mon petit espace était très légèrement en creux et entouré d'un petit muret de pierre, ce qui préservait un peu mon intimité.


Bref j'avais fait mon trou !


La plage descendait en pente douce vers la mer, et remontait en pente un peu moins douce vers la dune.


Il était passé sur la dune un peu plus tôt. J'étais absorbé par ma lecture et je ne sais pas s'il m'avait remarqué. Maintenant il repassait dans l'autre sens, et il regardait régulièrement dans ma direction. Là je me disais qu'il m'avait probablement remarqué.


Je n'ose toujours pas m’exhiber avec devant tout le monde, mais comme je vous le disais l'été nous était arrivé un peu en avance et la plage était calme, presque déserte. Il y avait un petit groupe d'homme qui prenait le soleil, ils étaient encore tout blanc et n'auraient pas la trace du maillot eux non plus.


Je le voyais passer, sa tête dépassait au dessus du petit muret de pierre. Il avait un bob sur la tête, il était torse nue et avait une peau d'un joli brun clair.


Je continuais ma lecture.


Un moment plus tard, il repassait mais là il s'était rapproché, il m'a surpris et j'ai un peu sursauté. Il est passé juste à raz du mon territoire. Là c'est sûr, il avait remarqué ma cage à bite.


Je ne t'ai pas fait peur ? S'exclamait-il.

Non, juste surpris.


On échangeait un sourire. Il continuait à marcher mais là il me regardait fixement. Il ne faisait que quelques pas et se retournait.


Je me caressais les couilles en tirant un peu dessus, comme pour ajuster mon dispositif. Puis il reprenait sur un ton hésitant.


Et ce truc là, c'est pourquoi ?

C'est pour rester sage, lui répondais-je.

Ça te fait de super grosse couilles !

Ça te fait une super grosse bite !


Il commençait à bander et là ça commençait à se voir. Il me rendait un sourire faussement embarrassé et s'asseyait.


Viens me rejoindre, il y a de la place.


Il s'installait à côté de moi, il retirait son pantalon de plage, il était en toile très fine, en dessous il avait un maillot de bain. Heureusement sinon il n'aurait jamais pu dissimuler davantage son érection, même à moitié, c'est qu'il en avait une grosse. Mais on pouvait déjà le deviner !


Il se mettait à poil, tout comme moi, allongeait sa serviette à côté de la mienne, je suivais tous ses mouvements. Sa grosse queue semblait de déplier et prenait bientôt beaucoup de place. Elle était bien ferme, bien longue, bien large. Il avait lui aussi une paire de brosse couilles, pas aussi grosse que les mienne, mais ça c'est normal, c'est l'effet cockring.


Il regardait sa bite puis la mienne.


Oui c'est sûr c'est plus discret. Déclarait-il.

Tu es sûr, pourtant il me semble que de loin, tu m'avais bien remarqué.

Oui, enfin non. C'est pas plus discret, enfin ce que je veux dire c'est que toi, tu ne peux pas bander.

Là je bande !

Heu, moi je bande là. Ça se voit bien.

Non je veux dire, moi aussi je bande mais moi, ça ne se voit pas !

Oui, moi ça se voit.

Moi aussi, regarde de plus près, ma queue est sous pression.


Il tendait sa mains et doucement me caressait les couilles, il appuyait ensuite un doigt dans une des fentes d'aération, les modèles qui peuvent se porter en permanence ont plusieurs trous d'aération, on peut y glisser le petit doigt, c'est pour l'hygiène.


Il explorait mon dispositif, il me tripotait les couilles et ne cachait pas son plaisir, le plaisir de la découverte.


C'est une bite maintenant bien dure, bien ferme qui se redressait contre son ventre. Je décidais à mon tour d'explorer. Je prenais sa queue dans la main, je pouvais constater que ce n'était pas une impression, elle était sous pression, bien épaisse, dans les six centimètres sur plus de vingt.


Ça faisait presque peur mais ça faisait encore plus envie de jouer avec. Je me laissais aller, allonger sur le dos, lui à ma droite me tripotait les couilles et moi avec ma main droite je le masturbais tranquillement.


Ça ne te manque pas ? Me demandait-il.

Une bite comme ça ? Lui répondais-je en refermant ma main sur queue.

Ça ne te manque pas ?

Tu sais la mienne est de taille plus modeste.

Tu es passif ? Me demandait-il.

Mais comment as-tu deviné ?


Il pouffait de rire. Puis il continuait …


Remarque ça m'arrange !


Il continuait à me tripoter les couilles, il me les écrasait, juste un peu, juste pour rire. Je ne dirai pas que je trouvais ça drôle mais je laissais faire, il ne me faisait pas mal donc je laissais faire.


Ma queue était sous pression, comme jamais. Ma cage semblait s'être miniaturiser, elle était plus petite, ça, c'était sûr. Je m'y sentais à l'étroit. Ma main remontait sur son ventre puis sur son torse. Je finissais par me retourner vers lui, il était beau avec cette bite énorme qui se relevait contre son ventre.


Je me penchais sur lui, ma joue sur son ventre, là il me caressait tendrement l'autre joue. Je sortais ma langue et lui léchait le bout de son gland.


Il me répondait par un gémissement approbateur.


Tout en lui caressant la queue, je prenais son gland dans ma bouche et je le caressais avec ma langue. Je la faisais tourner et tourner encore tout autour, j'insistais sur le petit trou qu'il y avait tout au bout de sa bite et je caressais longuement le dessus de son gland avec la langue.


Je prenais bien mon temps, je laissais monter le plaisir. Il commençait à soulever son dos, il se tortillait doucement, juste un peu, juste pour faire glisser sa queue plus loin dans ma bouche.


Quand il se soulevait, sa queue glissait un peu plus profond, je laissais faire et j'avançais la tête quand il retombait. Sa queue glissait et je lui caressais les couilles, il avait de très belles couilles. Moins grosse que les miennes mais il n'avait pas de cockring lui.


Ma queue poussait presque douloureusement contre les barreaux de la cage, et si ce n'était pas vraiment douloureux, c'était loin d'être confortable.


Sa bite avait fini par arriver à ma gorge, j'avais du mal à respirer, j'avais relevé la tête et c'est moi qui décidait d'en avaler plus ou pas, lui se limitait à m'encourager en me caressant les cheveux.


Il était bien monté mais il était doux, très doux. Sa queue me plaisait de plus en plus, je continuais à lui tripoter les couilles et il continuait à gémir pour me faire bien comprendre que c'était bon.


Il y avait un peu de passage sur la plage, mais le parasol et le petit muret de pierre nous cachaient, de loin, personne ne pouvait nous voir. Mais ce n'était pas le cas de près, et depuis la dune on était parfaitement visible.


Je ne savais pas si quelqu'un était passé, si on était repéré. En fait j'avais envie de me faire remarquer mais j'en avais peur également.


Je n'avais jamais osé me balader a poil sur une plage avec mon dispositif de chasteté mais il y avait un bitosaure juste à côté de moi, un mec monté comme un âne avec une queue superbe. Je devais me dire que personne ne ferait attention à moi avec ce phénomène à mes côtés.


Je faisais une pose, je ne vous dis pas mais une grosse queue comme ça, c'est du boulot de la sucer. Surtout que, tant qu'à faire, il vaut mieux le faire bien ...


Un petit moment plus tard, je recommençais. De nouveau j'avalais sa queue, de nouveau je l'entendais gémir, de nouveau il me caressais la joue. Je recevais des coups de bite dans la gorge, je gérais ça et les premiers signes du plaisir qui montaient en lui se manifestaient.


Quelques gouttes suintaient, le goût son plaisir finissait par exploser dans ma bouche. Il éjaculait sans me prévenir, plusieurs giclées de son sperme coulaient sur ma langue, coulaient dans ma gorge et je me régalais.


Il ne m'avait pas prévenu mais ce n'était pas grave, c'est une surprise, une bonne surprise. Je n'ai pas eu la moindre réaction de rejet, au contraire je me suis régalé, j'ai pris et gardé dans ma bouche chaque gouttes, j'en ai bien avalé quelques unes mais très peu.


Ensuite je me suis penché sur son visage, il avait le sourire béat de celui qui vient de jouir et qui est content. Il ouvrait ses lèvres au contact des miennes, je sentais sa langue et je partageais son sperme, je partageais le goût de sa sève. Il ne l'avait jamais goûté mais il a aimé.


Ensuite nous avons fait un câlin. Ma queue continuait à protester pendant le reste de l'après midi. Lui ça allait, il était calmé. Le seul plaisir auquel j'avais eu droit, était celui de l'avoir senti vibrer, de l'avoir senti jouir. C'est peu, et c'est un peu le quotidien de celui qui porte un tel dispositif. Enfin quand je dis le quotidien, ce n'est même pas le cas, ce n'est même pas quotidien.


Brusquement, il s'est levé, il m'a attrapé la main et m'a tiré debout. Il m'a alors pris dans ses bras. Il rigolait, je rigolais aussi remarquez et je me retrouvais à poil au milieu de la plage avec une jolie petite cage à bite bien visible. C'était une première.


Il décidait d'aller marcher dans l'eau et m'entraînait avec lui. Je voulais résister mais il ne me lâchait pas, finalement je le suivais de bon cœur. J'admirais sa très grosse queue qui se balançait lourdement entre ses cuisses. J'étais moi-même très excité mais rien ne se voyait.


J'avais l'impression que ma queue était plus grosse, enfin je veux dire, plus lourde. Mes couilles, je veux bien mais ma bite … Elle ne pouvait pas gonfler, elle ne pouvait pas se remplir de sang et devenir plus lourde, elle n'en avait pas la place. Ce n'était qu'une impression.


Au début j'étais un peu gêné, puis je me suis laissé aller. On a marché un moment, les pieds dans l'eau, on a couru et on a rencontré, approché des passants, c'était amusant, les regards se dirigeaient immédiatement vers mon entre jambe, puis glissaient en direction de celle de mon camarade.


On a passé le reste de la journée sur la plage puis au moment de remonter il m'a proposé de prendre un verre dans un bar pas très loin sur la route.


Il me l'a dit devant une boisson bien fraîche, il avait envie de faire un peu plus connaissance. J'avais moi aussi envie de faire plus ample connaissance. En fait depuis le moment ou nous nous étions rhabillé, je ne pensais qu'à sa bite, et à ce moment précis, je ne pensais plus qu'à sa bite !



Fin de l'épisode



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Il vient d'Amérique Ep02

 

Il vient d'Amérique Ep02


Le reste de la soirée se terminait bien. J'étais comblé, Dick aussi mais Cole avait par moment du mal à se montrer totalement détendu. Il avait été témoin de nos ébats mais n'avais pas vraiment été autorisé à participé. Je lui avais bien un peu tripoté les couilles, on s'était bien un peu câliné mais c'est tout, pour lui c'est tout.


Mais ton pote Cole, il reste toujours …

En fait, on a décide une abstinence totale pendant le voyage en France. Pour lui, bien sûr. Pas de bite dans le cul, ni dans la bouche. Pas de câlin, pas de … Rien quoi.

Tout le voyage en France ?

C'est à dire huit semaines. Mais ça c'est pour lui, pas pour moi !


C'était un jeu qui devait être aussi stimulant que frustrant. C'est toujours un peu la frustration qu'on recherche quand on porte une dispositif de ce genre.


Et toi, reprenait Dick, pourquoi tu n'as pas acheté un dispositif du commerce ?

Bein, c'est un problème de taille. La longueur de ma bite est tout a fait dans les norme mais la largeur … C'est pas le cas, je suis trapu de la bite.


Cette réponse le faisait rire.


On continuait à discuter, et là on parlait de taille, de centimètres, pourtant il était américain.


Il prenait un carnet dessinait rapidement uns cage à bite puis indiquait les tailles que je lui donnais.


Là, la largeur de la cage est bien de quarante millimètres ?

Bein oui, c'est de ça que je parlais.

Bien, on devrait pouvoir réduire à trente huit.


Dick connaissait bien le problème de conception d'une cage de chasteté. Oui rigolez, rigolez mais je sais de quoi je parle et je vous garantis que c'est quelque chose de sérieux.


Il se laissait tomber en arrière en regardant les chiffres.


Donc là ce sont les dimensions idéales d'une cage de chasteté pour toi.

Sans doute, mais ça va je n'ai pas envie d'en fabriquer une autre pour le moment.

En titane, ce serait bien !

Comment tu y vas toi ! En PVC c'est déjà du boulot. La mienne est en PVC.

C'est bien ça ne rouille pas. Mais le titane non plus !


Là c'est moi qui rigolait.


La mienne est en titane ! Intervenait Cole.

Et elle est indestructible ! Rajoutait Dick.

Et il ne peut pas la retirer ? Demandais-je.

Sans la clé, il n'y a aucune chance.

C'est lui qui décide ! Concluait Cole.


Ce soir là, quand je suis rentré chez moi, j'avais un peu mal au cul. Enfin pas vraiment, mais j'avais l'impression de sentir encore sa queue. Ce n'était pas désagréable.


On avait prévu de se retrouver à la plage. Pas la petite plage en bas de leur maison, non, il y avait des plages naturistes, naturistes gay même. Ils avaient déjà repéré les lieux, et y étaient déjà allé.


J'étais du coin et donc je connaissais. On s'y retrouvait en début d'après midi. On a passé un très bel après midi, pour la première fois je me sentais détendu alors que je montrait ma cage. C'était la première fois que je faisais ça, jamais avant je n'aurais osé. Cole m'encourageait, lui était bien habitué à cette situation. Il portait son dispositif en permanence, c'est vrai qu'il était très discret, sous un maillot de bain on ne devinait rien. Mais là sur la plage, ce jour là, il ne portait rien, rien sinon un chapeau et sa cage à bite.


J'étais aussi habillé que lui. Ceux qui me reconnaissaient venaient me saluer. Ils étaient surpris, c'est vrai que ces derniers temps, ces dernières années je veux dire, je venais moins souvent.


On est venu tous les jours, ensuite on s'arrêtait prendre un grand rafraîchissement dans un bar sur la route du retour.


Ensuite …


On se retrouvait tous les trois chez eux, on prenait une douche puis tout naturellement Dick me baisait sous les yeux de Cole qui avait de plus en plus de mal à rester calme. Le pauvre était en manque.


Je suis bien placé pour savoir que ce n'est pas forcément facile, mais le plus dur est de voir un couple baiser tous les jours alors qu'on en est privé. J'avais connu de très longue période de chasteté mais moi, je n'avais pas à supporter ça. Lui si !


Vers la fin de la première semaine. Il me disait.


J'ai une petite surprise pour toi.


Il m'avait demandé deux jours plus tôt de lui apporté les clés de mon dispositif. Je lui en avait emporté une sur les deux.


Il me la tendait et me demandait de retirer mon dispositif.


Je l'ai fait répéter, je ne comprenais pas ou il voulait en venir. Notre relation reposait sur le fait que j'étais totalement passif. Et j'aimais tellement me faire défoncer le cul. Il me faisait jouir.


Mais je m'exécutais, je retirais le dispositif. Il me faisait alors passer sous la douche. C'était une nouvelle sensation que je découvrais ou que je croyais découvrir. Là pour la première fois depuis bien longtemps mon corps était nu, entièrement nu.


Je me caressais le corps avec le savon, il me guidait, je faisais ce qu'il me demandait.


Tu ne bandes pas ?

Ça fait longtemps et il me faudra plusieurs jours, enfin un ou deux pour que je retrouve ce réflexe.

Tu n'en auras peut être pas le temps !


Il me tendait une serviette au moment ou je sortais de la douche. Cole était toujours là, il se montrait discret mais il regardait la scène, il n'en loupait pas une miette.


Un moment il me tripotait la bite et les couilles. Il m'a fait bandé, mais pas bien longtemps.


Si tu me laisse quelques jours. Lui disais-je. Tout redeviendra normal

Tu en as déjà fait l'expérience ?

Oui la dernière fois, j'avais porté le truc pendant plus d'un an, il ne m'avait fallu que deux jours.


Il remuait la tête de haut en bas d'un signe d'approbation. Puis il me tendait une petite boîte.


Je l'ouvrais.


Il y avait un dispositif de chasteté en métal, le même modèle que celui de Cole.


Il est à ta taille tu sais, on avait fait les mesures tu te souviens. Il a été fait pour toi.


Je me disais que décidément, les américains sont très fort. Ça faisait une semaine, et déjà il avait un dispositif sur mesure. Je pensais qu'il fallait bien plus de temps pour en faire fabriquer un.


J'ai bien faille avoir une érection au moment ou j'ai voulu le passer. Mais comme je le disais, il m'aurait fallu plusieurs jours, au moins vingt quatre heures pour retrouver mes réflexes.


Mes couilles passaient par l'anneau sans aucune difficulté. Le contact du métal n'était pas désagréable, même pas froid comme on aurait pu le craindre, en plus le métal était terriblement lisse. Son touché était bien plus doux que le plastique.


Ensuite la cage. Ma bite y trouvait tout naturellement sa place. Elle était plus étroite mais ce n'était pas désagréable. Je découvrais le dispositif. Il me laissait tout le temps qu'il me fallait, il s'amusait de mes réactions.


Alors tu en dis quoi ?

C'est pas mal, j'aime bien.


Le dispositif était en place, il était refermé. Je jouait avec, je le découvrais. Je remarquer que pour la douche, je pouvais plus facilement décalotter et me laver que sur l'autre. Heureusement car avec ce nouveau modèle je ne pouvais pas ressortir ma queue comme je faisais avec l'autre.


Là je ne vous cacherai pas que j'ai ressenti un petit pincement au niveau de mon cœur. Une petite crainte peut être.


Je finissais par bander dans la cage. Ça, ce réflexe je ne l'avais pas perdu. Sans je ne bandais plus, il me fallait plusieurs jours, mais avec je bandais plusieurs fois par jours.


C'était des érections contrôlées, retenues.


Là, cette érection me semblait un peu plus retenue que d'habitude, la taille plus petite de la cage se ressentait bien. Mais ça restait le grand confort.


Il me tendait la clé. Je verrouillais.


Il me tendait la main …


Je vais garder la clé jusqu'à notre départ me déclarait-il. Ensuite je te la rendrai.


Je lui rendais la clé. Je me sentais bien dans ce nouveau dispositif. Mais vous savez, il ne faut pas grand chose pour passer du grand confort à l'insupportable. Pour le moment c'était très confortable.


Ils restaient encore trois semaines.


On s'est vu tous les jours, et tous les jours, nous nous retrouvions chez eux. Là face à la mer je me faisais défoncer le cul par Dick pendant que son pote Cole nous surveillait.


Le pauvre semblait en manque de plus en plus. Il avait exactement le même modèle que moi. C'était le même fabriquant. Et Dick n'avait mis que cinq jours pour la faire fabriquer et se la faire faire livrer.


Ah je vous jure, ils sont fort les américains, ils sont fort.


Les jours passaient vite, nous approchions de la fin de leurs vacances. Je m'habituais à ce dispositif. Au bout d'un moi il était devenu une prolongation de moi. Je ne pouvais pas le retirer, mais je le supportais bien, je n'en avais pas envie non plus.


Puis il y a eu ce week-end. Je ne les avais pas vu le samedi soir aussi le dimanche matin je passais chez eux. Il y avait bien du monde mais ce n'était pas eux. C'étaient les nouveaux locataires, mes américains étaient partis la veille.


Les enfoirés …


Dans la journée Dick me téléphonait. Il s'excusait de ce départ précipité.


Je te fais parvenir la clé, c'est promis ! Me disait-il.


L'enfoiré …


Je n'ai pas eu de nouvelles depuis. Heureusement pour moi le dispositif est confortable. Mais il est inviolable.


Je vous jure les américains … Ils sont fort …


Un jour bien plus tard j'examinais le dispositif comme je pouvais, avec une loupe, et je vous jure ils sont vraiment fort les américains.


Sur le sommet de la cage je parvenais à déchiffrer une petite inscription. Vous savez avec une de ces loupes qui a des petites lampes. Je parvenais à déchiffrer ' made in Switzerland ' ...


Je vous jure, ils sont forts les américains. Je sais pas ou ça se trouve moi la Switzerland aux USA. J'ai cherché sur la carte et j'ai pas trouvé.


Ils arrivent à fabriquer ces petits trucs dans un endroit paumé qu'on n'arrive pas à trouver sur la carte et à se faire livrer partout sur la planète en cinq jours … Ils sont forts les américains, je vous jure !



Fin




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Il vient d'Amérique Ep01

 

Il vient d'Amérique Ep01


Il m'avait remarqué dans les toilette d'un bar. Il était plus grand que moi, et avait l'œil agile. Enfin moi je ne l'avais pas remarqué mais lui m'avait repéré, il avait vu ma cage.


De retour au bar je l'ai revu il discutait avec un ami, ils se retournaient vers moi et me proposaient un verre en me faisant signe de les rejoindre.


C'étaient des américains, au début j'ai cru que c'étaient des anglais car je ne comprenais pas ce qu'ils disaient. Mais en fait je ne comprends ni les uns ni les autres.


On a discuter comme ça pendant un long moment sans se comprendre. On a picolé aussi, ils venaient de l'Est des états unis ou bien peut être de l'Ouest, ou alors c'était entre les deux …


Vous voyez ou on en était. Au niveau linguistique ça cafouillait pas mal.


Ils étaient plutôt bien foutus, bien sexy comme on pouvait en rêver. C'étaient des américains et je ne m'étais jamais fait des américains.


Ils déliraient et la situation devenait très amusante. On est sorti, on est allé se promener sur la plage, j'habite une ville balnéaire. Dick sortait son téléphone, j'ai d'abord pensé qu'il voulait prendre une photo, puis prononçait une phrase. Dick c'est celui que j'avais rencontré en premier.


Il me posait alors son téléphone sur l'oreille et j'entendais distinctement …


– C'est quelle taille ?

– Qué ! Répondais-je ?

– La cage de ta bite ? C'est quelle taille ? Me répondait le téléphone.


C'est pas vrai, pensais-je. Ce sont vraiment des américains, ils ont un traducteur vocal !


Ça devenait brusquement bien plus facile pour discuter à partir de ce moment. Je me suis repassé dans ma tête les derniers moment depuis que j'avais rencontré ces deux loustics. Je me souvenais rapidement le moment ou … C'était dans les toilettes. Ensuite on avait discuté difficilement alors qu' le guignol avait tout ce qu'il fallait pour … Enfin !


Ils avaient loué une maison juste au dessus le la petite plage, il y en avait une grande et plusieurs petites, on s'y retrouvait pour prendre un dernier verre. Depuis leur jardin ils voyaient la mer et par dessus le petit mur du fond de leur jardin on voyait la petite plage.


C'est bien installé que la terrasse qu'on continuait à discuter. Dick se mettait à poil, il faisait ça tout naturellement, son pote Cole n'y prêtait même pas attention.


Il était bien foutu, il avait un corps mince et musclé, et surtout il avait une grosse bite. Je ne pouvais pas en détacher le regard.


SUCE ! Me disait la voix synthétique du téléphone à l'oreille.


Je me retournais, c'était Cole qui m'envoyait ce conseil par notre traducteur officiel … Je ne le faisais pas répéter et quelques secondes plus tard j'étais à genoux, la queue de Dick prenait lentement un peu de volume dans ma bouche avant de prendre toute la place. Il en avait une belle, une comme j'aime, un peu grosse mais ça, c'est pas grave.


Cole regardait la scène, paisiblement installé sa chaise de plage, il regardait en sirotant une boisson bien fraîche. Quand je tournais les yeux vers lui, il me souriait. Je me disais, '' après ce sera son tour, il doit y penser '' .


Je prenais la queue de Dick en entier au début, puis elle prenait plus de place et je ne n'en prenais plus qu'une partie, pour finir, je me concentrais sur son gland.


Il avait un gland magnifique, bien large, bien épais, lisse et brillant, comme je les aimes. Je pensais déjà au moment ou j'allais me le prendre dans le cul. Je me disais qu'on devait la sentir celle là. Elle était large, pas seulement longue mais bien large.


Je faisais comme je pouvais, je m'appliquais sur son gland, je passais ma langue en appuyant fort, très fort, avec la langue on ne peut pas faire mal et ses gémissements de plaisir me le prouvaient.


Cole ne manifestait aucun impatience, il restait calme, il ne baissait même pas son pantalon pour se branler. Il nous regardait, c'est tout.


Au bout d'un moment Dick me faisait signe de me lever. J'en profitais pour me réajuster la mâchoire.


Tu aimes ça on dirait, en tout cas tu suce super bien ! Me disait-il …


Enfin c'est son téléphone qui me disait ça mais on va faire comme si on parlait normalement, ce sera plus simple.


Tu as aimé ? Puis me retournant vers Cole. Tu en veux toi aussi ?


Il pouffait de rire.


Met toi à poil ! Me demandait-il. On verra après.


Je retirais mes vêtements, chaussures légères, c'était rapide. Un polo pour le haut, toujours très rapide. En quelques instants il ne restait plus que le pantalon , mais comme je faisait du free-balling actif, là encore c'était rapide.


Je me retrouvais alors entièrement nu devant ces deux gaillards que je ne connaissais pas quelques heures plus tôt. Elle est pas belle la vie.


Dick se retournait alors vers son camarade qui était le seul encore habillé. Il n'était pas nécessaire de en dire plus, il comprenait que c'était à son tour de nous suivre. Il me copiait l'animal, il me copiait en rigolant et retirait tous ses vêtements.


Il me tournait le dos au moment ou il baissait son pantalon, et tout comme moi il faisait du free-balling. Puis il se retournait avec un petit sourire coquin, il portait lui aussi une cage à bite. J'éclatais de rire.


Il la porte en permanence ! Me déclarait Dick.

C'est lui qui a la clé, c'est lui qui décide quand je peux le retirer … Et il ne veux pas ! Rajoutait Cole.

Mais tu es très bien comme ça. Lui répondait Dick.


Cole s'approchait de moi, et me tripotait les couilles, je le laissais faire avant de lui rendre la politesse. Tout comme moi, il avait une belle paire de couilles, bien épaisse, bien fermes, et une toute petite cage au dessus.


Mon dispositif était un dispositif fait maison, à cause de la taille. J'ai en effet une bite bien large, je suis trapu de la bite comme j'aime le dire … Enfin j'étais. Maintenant j'en suis moins sûr. Avec le temps tout peut changer.


Bref, il me tripotait les couilles lui aussi.

C'est un modèle artisanal ? Me demandait-il.

Oui c'est moi qui l'ai fait. Je ne trouvais pas de modèle assez large.


Ils étaient amusés par ma réponse.


Tu as une grosse bite et tu veux la mettre en cage ! Cole lui en a une toute petite, donc pour lui c'est normal. Me faisait remarquer Dick.


Tranquillement il me caressait le cul, j'étais penché sur Cole et on se faisait des câlin. Sans prévenir Dick me glissait un doigt dans le cul. J'ai un peu sursauté mais Cole me caressait le dos et m'embrassait.


Dick glissait un deuxième doigt, et les agitait avec vigueur. Je me redressais et gémissais de plaisir.


C'est bon ? Me demandait Cole

Ooooh ! Que oui .


En fait Dick me lubrifiait généreusement le cul. Cole surveillait et s'en amusait. Puis au moment ou Dick le décidait, ils me prenaient par les bras et m'entraînaient vers un coussin, un de ces trucs ou on s'allonge pour bronzer.


Je me laissais faire et me retrouvais allongé sur le dos, les cuisses en l'air. Cole se plaçait au dessus de moi, me retenait les chevilles. Ses couilles retombaient sur mes yeux et sur mon nez. Il trouvait ça amusant.


Dick me saisissait les chevilles à son tour, il appuyait et me repliait presque. Il plaçait sa queue dans l'axe de mon cul et poussait.


Il avait bien lubrifié, il poussait fort, je ne résistais pas et je sentais mon anus se dilater. Cole se décalait et m'embrassait. Dick continuait à pousser et je sentais mon anus s'ouvrir totalement, la queue de Dick s'enfoncer en moi.


C'était bon, je gémissait fort à ce moment, j'ouvrais les yeux et je voyais le visage de Cole, il me souriait. Le ventre de Dick s'écrasait sur mes fesses, je sentais sa queue bien à fond dans mes entrailles, il ressortait et revenait bien à fond d'un mouvement rapide et violent.


J'encaissais et je râlais, ce n'était que du plaisir. Je fermais les yeux et me donnais à mon plaisir, enfin celui qu'on me donnait. Je caressais les couilles de Cole et jouais avec sa cage. Il bandais, enfin il essayais, il ne devais pas être tout à fait à son aise. Il devais se sentir à l'étroit.


Moi, ça allait, avec la grosse bite de Dick dans le cul qui me ramonait les entrailles, ça allait. Ma queue ne se faisait pas remarquer ou au moins on ne faisait pas attention à elle, surtout moi.


Cole me rendait la politesse et en même temps qu'il me tripotait les couilles je lui malaxais les siennes. Il m'embrassait et me caressait le corps. Je respirais fort, je tremblais de plaisir.


Dick se lâchait, ses coups de bassin contre mon cul devenaient forts, puissants, insistants et sans retenue. Il se reculait lentement puis revenait à la charge bien à fond, faisant claquer son ventre contre mes fesses. Je poussais un cris étouffé à chaque coup que je recevais.


Cole semblait toujours parfaitement calme, il caressait aussi le corps de Dick mais semblait garder quelques distances vis à vis de lui. Il s'intéressait à moi, surtout à moi. Je continuais à lui tripoter les couilles et par les trous d'aération je sentais que sa bite devait être bien dure, bien ferme. Je savais par expérience que ce n'était pas là une situation très confortable mais surtout frustrante.


Il m'avait vu sucer son ami et avait regardé. Il participait de loin à nos ébats. Il n'avait pas reçu tous les câlins que Dick et moi avion partagé, il avait regardé. Et même arrivé à ce moment, j'étais le seul à le caresser, à le toucher.


Dick ne se consacrait qu'à moi. Il me donnait du plaisir mais m'utilisait aussi et surtout comme un objet de plaisir, un objet qui lui donnait du plaisir.


Je le regardais, je voyais tous ses effort, du plaisir il devait en prendre. Je le voyais, ses efforts se voyaient sur son front. Je sentais ses muscles qui se crispaient, il me tirait vers lui quand avançait son bassin vers moi. C'était violent, de plus en plus rapide et les coups résonnaient avec régularité. Nous gémissions tous les deux puis brusquement il poussait un cri plus fort, un coup plus fort suivait dans mon cul. Quelques instants plus tard il me burinait le cul de toutes ses forces, il jutais et semblait vouloir que ça se sache.


Cole se retirait, il s'asseyait un peu en retrait et nous regardait.


A cet instant j'ai joui, j'ai joui comme une bête, j'ai joui comme jamais. Même si je dis ça à chaque fois, je vous jure que c'est vrai … a chaque fois !


Dick me retenait contre lui. Il finissait par se retirer, sa queue ramollissait, c'est normal, et ressortait naturellement de mon cul. Je me sentais plus léger.


Je regardais vers Cole, il avait toujours ce sourire, ce sourire figé qui semblait vouloir cacher quelque chose, sa frustration peut être.


Dick se relevait, me saisissait les couilles et me les secouait vigoureusement. Il m'avait fait jouir, là il me faisait éjaculer, éjaculer et jouir aussi, de nouveau.


A suivre



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Lionel Ep08 Et le lendemain

 

Lionel Ep08

Et le lendemain




Vous imaginez bien que dès le lendemain, au boulot, je racontais tout ça à Lionel. Il s'en amusait !


Mais voilà que le petit puritain est en train de se dévergonder.

Ouai c'est cool ! Répondais-je.

Il était plus gros que moi ? Me demandait Lio.

Personne n'est plus gros que toi ! Lui répondais-je.


Il me répondait avec un sourire satisfait. C'est vrai qu'il en avait une grosse, bien grosse même, et depuis la veille je me demandais si je serais capable de me la prendre dans le cul.


Et en le voyant là, j'en avais envie.


Le désir montait en moi, je le sentais, c'était presque un besoin. Un besoin terrifiant mais un besoin plus qu'un simple désir. Il en avait une encore plus grosse que Sam, et déjà, si ça avait passé je l'avais senti. Avec Lionel, ce ne serait que plus intense. Ce serait trop, beaucoup trop large.


Mais voilà, je ne pensais plus qu'à la queue de Lio pendant le reste de la journée. Et je voulais savoir si j'en étais capable. Lio était beau, très beau son corps était magnifique, musclé et fort, fort et doux, doux et viril, viril et …


Mais ça ne devait pas être doux que de se le prendre dans le cul !


Je n'avais plus du tout mal au cul, j'apprenais vite. Je m'adaptais vite. J'avais un cul fait pour donner du plaisir à un homme. C'est vrai qu'on m'avait privé du plaisir de ma bite mais personne ne m'avait dit que je pourrais me venger sur mon cul. A tort peut être !


Lio m'avait fait découvrir un nouveau plaisir et j'avais envie d'en profiter. Dans la journée nous étions entre collègues, sur notre lieu de travail, en extérieur, je me demandait comment trouver un coin tranquille ou je pourrais m'amuser avec la bite à Lio. Il n'y en avait pas !


A la fin de la journée, tout le groupe décidait d'aller manger dans un restaurant rapide, un Fast Bocal il me semble ! Vous connaissez ?


C'est pas si mal, on peut manger des hamburger, des frites, des truc bien lourds, pour le régime c'est loupé, mais c'est rapide et même pas mauvais ( comme aurait dit un célèbre chroniqueur gastronomique ).


Comme on faisait presque tous partie de la même équipe, on se retrouvait ensuite sur le terrain de sport. Je faisais comme d'habitude et parvenais à me cacher, enfin à cacher à tous que je portais une cage à bite. Seul Lionel le savait.


Ensuite on est tous descendu sur le terrain en hurlant, histoire de paraître plus méchants que nous l'étions. On a bien transpiré, on s'est bien défoulé et on est finalement remonté pour prendre une douche. Je passais rapidement sous la douche, dans une cabine. Quand j'en ressortais, j'étais le premier, j'étais le premier rhabillé également. J'ai surpris tout le monde, d'habitude je suis le dernier mais bon, personne n'a vraiment tiqué.


La moitié de mes camarades étaient à poil, Lionel faisait le con, tout le monde avait fini par remarquer qu'il était super bien monté et voulait comparer avec lui. C'est vrai qu'il n'est pas timide mon Lionel, il n'est pas seulement bien monté.


Un instant je pensais à sa femme, elle en avait de la chance. J'espère qu'elle s'en rendait bien compte. Non mais c'est vrai quoi, une grosse bite ça compte, c'est important, et ça fait envie et …


Oui enfin il parait que ça ne compte que pour les mecs. Les filles s'en moquent un peu !


Oui mais moi je suis un mec !


Je ne m'en moque pas moi et comme je ne peux plus trop m'amuser avec la mienne, j'aime de plus en plus m'amuser avec celle des autres.


Une fois de plus je pouvais regarder mes camarades se changer, prendre leur douche. J'aime bien ça moi, en plus comme il ne font pas attention à moi … Heureusement remarquez sinon ça fait déjà un moment qu'ils m'auraient viré des vestiaires. Je ne traînais pas trop quand même.


Je rentrais chez moi, Lio me saluait de la main et je disparaissais. A la maison, je soupais rapidement et passais devant la télé. Il était encore tôt quand on sonnait à la porte.


C'était Lionel, il était passé me voir, comme ça, sans raison. Il avait emmené avec lui un ami. Un gars que je ne connaissais pas. Il nous présentait, Régis, un très vieux pote de la maternelle. Ils se connaissaient depuis toujours.


Alors c'est toi le puritain ? Me demandait Régis.

Mais qui t'a parlé de moi ? Répondais-je sur un ton idiot.

Allez tout le monde à poil ! Lançait Lio. Tu vas voir Régis est bien monté aussi, pas autant que moi mais bien monté.

Ça je ne m'y attendais pas. En fait Lionel m'avait emmené un pote à lui, juste pour s'amuser avec moi. C'est vrai que sa femme n'était toujours pas revenue.


Aussi il semblaient se venger sur moi, enfin, sur mon cul.


Mais c'est vrai aussi que je commençais à y prendre goût.


Sans attendre d'avantage, Régis retirait ses vêtements, j'allais chercher quelques bière, je le regardais faire. Il avait un corps doux, presque pas de poils et des formes douces.


Quand je revenais avec les bière, quelques instants plus tard seulement, je retrouvais mes deux loustics entièrement à poil, et tranquillement installés sur le canapé.


Alors tu me montres ? Me demandait Régis.


Lionel rigolait.


Depuis que je lui ai parlé de toi, il ne pense plus qu'à une chose.

Me défoncer le cul ?

Exactement ! Répondait Régis . Mais avant je veux voir ta cage à bite.


Il commençait à bander, Lio était plus lent, pour lui ça ne se voyait pas encore. Lio était plus gros mais lentement je voyais sa bite prendre du volume. Régis bandait rapidement, il était bien monté lui aussi mais pas autant. Un peu plus modeste de Sam même.


Je me plaçais devant eux, au milieu de mon salon, j'avalais une gorgée de bière et je leur donnais ce qu'ils voulaient. Je retirais mes vêtements en prenant bien mon temps.


Régis commentait. '' Pas mal ! '' au moment ou je me retrouvais torse nue.


J'ai jamais vu une cage à bite ! Faisait remarquer Régis.

C'est pas mal tu va voir.

Et il la garde toujours ?

Toujours et pour toujours !

La vache ! S'exclamait alors Régis.


Mon pantalon tombait, je n'avais pas de sous vêtements. Régis me regardait avec un regard qui n'avait plus rien de normal. Je le voyais ouvrir la bouche avec cette expression incrédule.


J'y crois pas ! Parvenait-il à déclarer.


Je m'approchais de lui et sans aucune hésitation il allongeait la main et me tripotait les couilles. Il rigolait en même temps, Lionel bandait bien fermement à ce moment.


Et en plus tu vas voir, il suce bien. Bon avec moi, il a du mal mais déjà il s'en sort bien.


A ce commentaire Richard se laissait tomber en arrière sur le canapé et écartait bien les cuisses.


Je te laisse faire, tu me montres maintenant.


J'avalais une nouvelle gorgée de bière et me penchais sur Richard. Il avait comme je le disais une belle bite, bien droite, grosse mais pas difforme. Je parvenais à me la prendre dans la bouche puis dans la gorge. Il me caressait les cheveus.


Tu avais raison Lionel, il fait ça bien, vraiment bien même.


Puis il gémissait de plaisir en me caressant les cheveux pour m'encourager.


C'était une nouvelle bite à découvrir, elle me plaisait, avec ma langue je la découvrais avec un grand plaisir. Je glissais ma langue en dessous, au dessus. Je m'attardais longuement sur son gland. Il avait un gland plus gros que le reste de sa queue, un peu comme un couronne. Je sentais la douceur de ce gland, je sentais sa fragilité, il réagissait rapidement. Le moindre contacte, la moindre caresse le faisait trembler ou sursauter. Par moment Richard appuyait sur ma tête. Je n'avais alors plus que le choix que de me prendre sa queue bien à fond dans ma gorge, c'était un régal !


Et si on passait aux choses sérieuses ? Demandait Richard.


Il se relevait me faisait signe de me retourner, je me retournais contre un fauteuil et me penchais en avant. Je voyais son sourire satisfait.


Mais c'est que tu l'as bien dressé ! Faisait-il remarquer à Richard.

En fait il est juste en début de dressage. Répondait Lio.


Lio me relevais, s'installait sur le fauteuil. J'ai compris le message. Je me penchais sur lui et commençait à m'amuser avec sa queue. C'est vrai que c'était du lourd. J'avais presque oublié à quel point elle était grosse. Je me souvenais du mal que j'avais à me la prendre dans la bouche.


Mon cul frissonnait, c'était Richard qui me caressait les fesses. Là c'est moi qui frissonnait, il me glissait un doigt dans le cul puis il passait aux choses sérieuses.


Une pression forte sur mon cul. Je ne voulais pas m'inquiéter, je ne réagissais pas. Puis brusquement la pression devenait intense et mon cul s'ouvrait. Il m'a fait mal, juste sur le coup, ensuite je sentais mon anus se refermer tout autour de sa queue. Elle glissait lentement en moi, entrait lentement.


J'ai voulu hurler, il me poussait en avant et je suis tombé sur la très grosse bite de Lio. Elle est entrée, elle aussi mais pas du même côté. Je me retrouvais à sucer Lio, d'une manière pas très confortable. C'est à lui que je pensais, il fallait faire un effort pour que ce soit confortable et agréable … Pour lui.


Je sentais mon cul qui était prêt à exploser ou à se déchirer. Étonnement ce n'était pas vraiment douloureux, c'était une sensation étrange. Je voyais dans ma tête ce que je ressentais dans mon corps. J'aurais du paniquer, mais étrangement je me sentais bien.


Richard écrasait son ventre sur mes fesses. J'aurais crié de plaisir mais là j'étais comme bâillonné. Seuls des sons bizarres pouvaient sortir de ma gorge. Je continuais à sucer comme je le pouvais. Une grosse queue me pénétrait les entrailles jusqu'au nombril, ou plus loin encore. Là j'étais dépassé.


Je ne savais même plus ce que je ressentais, un me limait le cul avec détermination, l'autre s'étonnait de me voir lui prendre le gland dans ma bouche. Ils appréciaient, c'était évident, ils ne pensait plus à moi, ils me regardaient que comme un objet de plaisir.


C'est un moment ou l'homme ne s'inquiète plus vraiment de la femme, enfin quand je dis femme … c'était un moment ou les deux ne me voyaient plus que comme un objet de plaisir.


Je ne vous dirais pas que je trouvait cette situation désagréable mais la question était toujours le même. Lionel avait une très grosse queue et je ne savais toujours pas si je pourrais me la prendre dans le cul. C'était trop tôt.


Je sentais bien qu'il me faudrait encore un peu d'entraînement. C'est pas facile tous les jours.



Fin de l'épisode




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Lionel Ep07 Fin de soirée avec Sam

 

Lionel Ep07

Fin de soirée avec Sam


J'en pouvais plus, je manquais d'air, mon cœur montrait des faiblesses et j'avais du mal à ne pas baver.


Je ne sais pas s'il s'en sont rendu compte mais eux étaient aux anges. Corine s'écroulait, sa tête sur le ventre de Sam. Il lui caressait doucement la poitrine, elle le laissait faire j'avais l'impression d'être revenu un peu en arrière, un peu comme en début de soirée.


Ce n'est pas tout à fait à ça que je m'attendais quand Corine m'avait appelé. Dans sa cage, ma queue continuait à protester, c'était très désagréable, et je n'avais aucun moyen de la calmer. La cage était trop petite, il y a des jours comme ça ou la cage est trop petite.


C'est vrai que ce soir là, je n'avais pas évité les sensations fortes.


On discutait.


C'est pas dur à supporter ? Me demandait Sam.

On s'y fait ! Mais c'est vrai que … il y a des jours.

Ou des soirs ! Rajoutait Corine avec un regard coquin.


Sam rigolait à entendre ce commentaire. Un petit moment de silence suivait puis, Corine se relevait, fouillait dans son sac et en sortait un gros gode, enfin moins gros que la bite de Sam, mais bien costaud tout de même.


Mon sang s'est brusquement gelé dans mes veines, là je me suis dit : '' Là c'est pour moi, je vais prendre cher !''.


J'avais un peu la trouilles de ce truc, je devinais qu'elle allait me l'enfoncer dans le cul au moment ou elle se penchait sur moi. Ses seins retombaient devant mon nez et je ne voyais plus rien d'autre. Puis, j'ai eu comme un moment d’absence.


Quand elle se relevait et que je pouvais enfin retrouver mes esprits, je me rendais compte qu'elle m'avait juste fixé cette prothèse sur mon dispositif de chasteté. C'était un modèle classique, de très bonne qualité mais classique, et il y avait donc la possibilité de fixer ce genre de jouets dessus.


Elle avait l'air toute contente de son coup.


Tu pensais à quoi ? Me demandait-elle.


Puis elle se laissait tomber sur le lit.


Allez viens me faire un câlin ! M'ordonnait-elle.


Je me relevais, je me caressais les couilles. La présence de ce grosse bite en plastique me semblait tout bizarre et par réflexe je me masturbais.


Fait attention, il y en a qui arrivent à jouir en faisant comme ça. Me déclarait-elle.


Sam regardait le spectacle de loin et pouffait de rire à ce commentaire.


Je la regardais de haut, mes yeux caressaient son corps lentement du plus haut au plus bas, enfin en m'arrêtant sur son sexe. Puis je me penchais et commençait à l'embrasser doucement, sur ses seins, sur ses épaules, sur son sexe. Oui bon j'y allais un peu en désordre mais vous savez, je ne suis pas habitué à ce genre de situation.


Mon corps glissait sur le sien, elle me retenait, glissait ses bras dans mon dos, me caressait, elle me caressait les fesses aussi. On s'embrassait, j'écrasais ses seins contre ma poitrine, elle n'y trouvais rien à redire alors je continuais. Puis au bout d'un moment …


Pénètre moi !


J'hésitais quelques instants, ne sachant pas trop quoi faire. Puis je m’exécutais. Heureusement elle était là pour me guider. J'en profitais pour faire une petite excursion découverte de son anatomie. J'avais déjà jeté un coup d'œil, dans le passé mais je ne loupais jamais une occasion pour m'instruire. C'est que pour moi, tout ça c'était nouveau.


Je la pénétrais, j'y allais tout doucement mais elle en voulait plus, tout de suite. Elle se cramponnais à moi et me tirais de toutes ses forces. Ma bite est entrée, enfin quand je dis ma bite … Oui Ok, vous aviez compris. Et elle poussait un cri de plaisir.


Sam poussait un '' You-hou ! '' d'encouragement. Je me retournais vers lui, il bandait et se masturbait tranquillement en nous regardant. Je continuais, je me retirais lentement avant de revenir, puis je commençait les mouvements aller-retour.


Corine s'accrochait à moi et je sentais une main mais sur ma fesse. Ce n'était pas une des siennes. Une seconde main glissait sur mon dos puis la voix bien masculine de Sam se faisait entendre.


On reste calme, et on se laisse faire.


J'ai pas compris tout de suite ou il voulait en venir mais quand il a glissé un doigt dans mon cul, là je me suis dit qu'il voulait me rendre la politesse. D'abord mon cul s'est refermé puis je me suis un peu forcé et je me suis détendu.


Avec sa main il me caressait le dos. Avec son corps, elle me caressait le mien. Je ne savais plus vraiment ou j'étais ni ce que je faisais. J'étais super excité mais au niveau sexuel je ne sentais rien. Ses lèvres, ses seins, ses rein, son corps ou encore la main de Sam, les lèvres de Sam, là il m'embrassait sur l'épaule.



Puis c'est son corps que je sentais s'allonger sur moi. Il y allait avec beaucoup de douceur, je sentais son poids, mais il ne m'écrasait pas. Heureusement car il y avait Corine tout en dessous.


Sam m'embrassait sur les épaules, entre les omoplates. Puis c'est sa bite que je sentais glisser entre mes fesses.


Là j'ai compris ou il voulait en venir et j'ai flippé.


Détend toi mon bonhomme, et laisse le faire. Il sait ce qu'il fait. Me disait calmement Corine.

Oui mais, oui mais ! Tentais-je de répondre mais elle me faisait taire en m'embrassant.


C'est à ce moment que Sam à poussé bien fort sa queue dans mon cul.


Il ne m'avait pas prévenu, je l'avais redouté au moment ou il avait posé sa main sur mon cul et là il me faisait mal mais j'avais mes yeux perdus dans les yeux de Corine et je ne bronchais pas. Sam s'enfonçait lentement, s'enfonçait bien à fond, son ventre venait s'écraser sur mes fesses. Et je parvenais à ne pas hurler. C'était le regard de Corine qui m'aidait à tout encaisser, je voulais me montrer viril.


Sam reculait et m'entraînait avec lui, il ressortait en même temps et si je limais Corine, Sam me limait le cul également. Il me guidait, il prenait la direction des opérations. Il me poussait en avant puis me pénétrait avec force, il se retirait et me tirait en arrière, de nouveau il me pénétrait et me poussait en avant. Corine réagissait rapidement, elle gémissait de plaisir et je ne sais pas si c'était uniquement du à la présence de Sam.


Il était beau Sam, il était fort Sam, il avait un sourire ravageur Sam et il avait une bite d'enfer qui me massait et me déchirait les entrailles.


Au début il m'avait fait mal mais peu à peu, la douleur disparaissait totalement et c'est un plaisir très particulier qui prenait sa place. Un plaisir intense, là j'avais envie de crier, de hurler mais ce n'était plus que de plaisir.


J'étais pris de convulsions, hô, pas beaucoup, juste des mouvement que je ne contrôlais plus par moment, Corine aussi et Sam répondait à mes mouvements par des câlins.


Il me serrait encore plus fort dans ses bras. Il s'était relevé, il avançait et reculait son bassin et pénétrait plus profond mon cul puis moins profond. Je sentais un plaisir que j'avais presque oublie mais je n'avais jamais connu sous cette forme.


Corine … le plaisir qui montait en moi était tel que je l'avais presque oubliée celle là. Pourtant elle n'était pas bien loin de moi je l'avais sous les yeux. Mon corps allongé sur le sien.


Elle tremblait, moi aussi ou alors je tremblais pour deux. Puis sans prévenir, elle se dégageait et se laissait tomber à côté de nous. Elle était essoufflée.


Sam à continué à me limer le cul, c'était devenu un plaisir intense, un plaisir que je n'aurais jamais imaginé. J'étais sur les genoux, il me poussait en avant et je me retrouvais à quatre patte, il était penché sur moi. Il s'appuyait sur moi. Sa queue me pénétrait, il me limait le cul avec force. Il me serrait fort dans ses bras.


Les coups qu'il portait semblaient devenir plus violents, c'était peut être moi qui fatiguais. Corine nous regardait, elle avait un large sourire sur les lèvres.


Il a l'air d'aimer ! Disait-elle.

Je le savais, mais là je dois dire qu'il m'épate ! Déclarait Sam.


Puis il continuait de plus belle à me limer le cul.


Un peu plus tard je l'ai senti s'énerver. Il ressortait puis revenait bien à fond dans un mouvement violent, il poussait alors de toutes ses forces. Là je gémissais, il me faisait mal mais j'en redemandais.


Je tremblais, je voulais avant tout qu'il arrête mais je n'osais pas le lui demander. Il continuait.


J'étais pris d'un sanglot et je pleurais vraiment en gémissant, c'était l'émotion, c'était tellement bon. Il finissait par éjaculer dans mon cul. Les derniers coups étaient particulièrement violents. Ensuite il s'est retiré, au moment ou son gland sortait de mon mon cul je jutais avec une force qui m'étonnait.


De longues giclées de sperme passaient les barreaux de la cage, heureusement Corine n'était plus là. J'ai joui, j'ai joui comme jamais. A cet instant je n'avais plus du tout mal au cul. Mais je tremblais de tout mon corps d'un plaisir qui ne voulait pas prendre fin.


Je m'écroulais sur le tapis, je restais sur le ventre. Sam me donnait un dernier baiser sur le dos avant de se relever. Moi je ne bougeais pas, j'étais comme mort. J'en voulais encore ! Oui je sais je viens de dire le contraire mais il ne faut pas faire attention. Je voulais que ça s'arrête mais je voulais aussi que ça continue … Voilà !


Mes sensations étaient mitigées, elles oscillaient entre un plaisir qui durait dans le temps et une douleur qui revenait après avoir totalement disparu. Je respirait fort.


Alors là tu m'épates ! Me déclarait Corine.

Moi aussi ! Répondait la voix de Sam depuis la salle de bain.

Et moi donc ! Rajoutais-je.


Corine s'approchait de moi, et en me caressant le dos me demandait.


Ça va toi ? Tu sais j'aurais jamais cru que tu encaisses la queue de Sam comme tu l'a fait ce soir.

L'é mien onté ! Parvenais-je à articuler.

Oui en effet ! Et tu serais prêt à remettre ça ?

Onc ,pas maintenant !

Pas maintenant mais dans quelques temps ?

Lu tard, oui mé lu tard .

Tu as raison, plus tard !


On a discuté un moment, je commençais à récupérer et m'allongeais sur le dos. Sam s'amusait avec mes couilles, juste pour le fun, comme ça sans essayer de me faire bander, ce soir là je n'avais plus du tout envie de bander. La tension, dans ma cage, retombait totalement !


A suivre



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