Javais fait
mon trou
Il
faisait un temps magnifique, on était en été, pas depuis bien
longtemps, c'est vrai et un peu en avance en plus.
J'avais
le parasol au dessus de ma tête, une grande serviette de plage sous
moi, une casquette, un E-Book devant le nez et des écouteurs dans
les oreille. Mon petit espace était très légèrement en creux et
entouré d'un petit muret de pierre, ce qui préservait un peu mon
intimité.
Bref
j'avais fait mon trou !
La
plage descendait en pente douce vers la mer, et remontait en pente un
peu moins douce vers la dune.
Il
était passé sur la dune un peu plus tôt. J'étais absorbé par ma
lecture et je ne sais pas s'il m'avait remarqué. Maintenant il
repassait dans l'autre sens, et il regardait régulièrement dans ma
direction. Là je me disais qu'il m'avait probablement remarqué.
Je
n'ose toujours pas m’exhiber avec devant tout le monde, mais comme
je vous le disais l'été nous était arrivé un peu en avance et la
plage était calme, presque déserte. Il y avait un petit groupe
d'homme qui prenait le soleil, ils étaient encore tout blanc et
n'auraient pas la trace du maillot eux non plus.
Je
le voyais passer, sa tête dépassait au dessus du petit muret de
pierre. Il avait un bob sur la tête, il était torse nue et avait
une peau d'un joli brun clair.
Je
continuais ma lecture.
Un
moment plus tard, il repassait mais là il s'était rapproché, il
m'a surpris et j'ai un peu sursauté. Il est passé juste à raz du
mon territoire. Là c'est sûr, il avait remarqué ma cage à bite.
– Je
ne t'ai pas fait peur ? S'exclamait-il.
– Non,
juste surpris.
On
échangeait un sourire. Il continuait à marcher mais là il me
regardait fixement. Il ne faisait que quelques pas et se retournait.
Je
me caressais les couilles en tirant un peu dessus, comme pour
ajuster mon dispositif. Puis il reprenait sur un ton hésitant.
– Et
ce truc là, c'est pourquoi ?
– C'est
pour rester sage, lui répondais-je.
– Ça
te fait de super grosse couilles !
– Ça
te fait une super grosse bite !
Il
commençait à bander et là ça commençait à se voir. Il me
rendait un sourire faussement embarrassé et s'asseyait.
– Viens
me rejoindre, il y a de la place.
Il
s'installait à côté de moi, il retirait son pantalon de plage, il
était en toile très fine, en dessous il avait un maillot de bain.
Heureusement sinon il n'aurait jamais pu dissimuler davantage son
érection, même à moitié, c'est qu'il en avait une grosse. Mais on
pouvait déjà le deviner !
Il
se mettait à poil, tout comme moi, allongeait sa serviette à côté
de la mienne, je suivais tous ses mouvements. Sa grosse queue
semblait de déplier et prenait bientôt beaucoup de place. Elle
était bien ferme, bien longue, bien large. Il avait lui aussi une
paire de brosse couilles, pas aussi grosse que les mienne, mais ça
c'est normal, c'est l'effet cockring.
Il
regardait sa bite puis la mienne.
– Oui
c'est sûr c'est plus discret. Déclarait-il.
– Tu
es sûr, pourtant il me semble que de loin, tu m'avais bien remarqué.
– Oui,
enfin non. C'est pas plus discret, enfin ce que je veux dire c'est
que toi, tu ne peux pas bander.
– Là
je bande !
– Heu,
moi je bande là. Ça se voit bien.
– Non
je veux dire, moi aussi je bande mais moi, ça ne se voit pas !
– Oui,
moi ça se voit.
– Moi
aussi, regarde de plus près, ma queue est sous pression.
Il
tendait sa mains et doucement me caressait les couilles, il appuyait
ensuite un doigt dans une des fentes d'aération, les modèles qui
peuvent se porter en permanence ont plusieurs trous d'aération, on
peut y glisser le petit doigt, c'est pour l'hygiène.
Il
explorait mon dispositif, il me tripotait les couilles et ne cachait
pas son plaisir, le plaisir de la découverte.
C'est
une bite maintenant bien dure, bien ferme qui se redressait contre
son ventre. Je décidais à mon tour d'explorer. Je prenais sa queue
dans la main, je pouvais constater que ce n'était pas une
impression, elle était sous pression, bien épaisse, dans les six
centimètres sur plus de vingt.
Ça
faisait presque peur mais ça faisait encore plus envie de jouer
avec. Je me laissais aller, allonger sur le dos, lui à ma droite me
tripotait les couilles et moi avec ma main droite je le masturbais
tranquillement.
– Ça
ne te manque pas ? Me demandait-il.
– Une
bite comme ça ? Lui répondais-je en refermant ma main sur
queue.
– Ça
ne te manque pas ?
– Tu
sais la mienne est de taille plus modeste.
– Tu
es passif ? Me demandait-il.
– Mais
comment as-tu deviné ?
Il
pouffait de rire. Puis il continuait …
– Remarque
ça m'arrange !
Il
continuait à me tripoter les couilles, il me les écrasait, juste un
peu, juste pour rire. Je ne dirai pas que je trouvais ça drôle mais
je laissais faire, il ne me faisait pas mal donc je laissais faire.
Ma
queue était sous pression, comme jamais. Ma cage semblait s'être
miniaturiser, elle était plus petite, ça, c'était sûr. Je m'y
sentais à l'étroit. Ma main remontait sur son ventre puis sur son
torse. Je finissais par me retourner vers lui, il était beau avec
cette bite énorme qui se relevait contre son ventre.
Je
me penchais sur lui, ma joue sur son ventre, là il me caressait
tendrement l'autre joue. Je sortais ma langue et lui léchait le bout
de son gland.
Il
me répondait par un gémissement approbateur.
Tout
en lui caressant la queue, je prenais son gland dans ma bouche et je
le caressais avec ma langue. Je la faisais tourner et tourner encore
tout autour, j'insistais sur le petit trou qu'il y avait tout au bout
de sa bite et je caressais longuement le dessus de son gland avec la
langue.
Je
prenais bien mon temps, je laissais monter le plaisir. Il commençait
à soulever son dos, il se tortillait doucement, juste un peu, juste
pour faire glisser sa queue plus loin dans ma bouche.
Quand
il se soulevait, sa queue glissait un peu plus profond, je laissais
faire et j'avançais la tête quand il retombait. Sa queue glissait
et je lui caressais les couilles, il avait de très belles couilles.
Moins grosse que les miennes mais il n'avait pas de cockring lui.
Ma
queue poussait presque douloureusement contre les barreaux de la
cage, et si ce n'était pas vraiment douloureux, c'était loin d'être
confortable.
Sa
bite avait fini par arriver à ma gorge, j'avais du mal à respirer,
j'avais relevé la tête et c'est moi qui décidait d'en avaler plus
ou pas, lui se limitait à m'encourager en me caressant les cheveux.
Il
était bien monté mais il était doux, très doux. Sa queue me
plaisait de plus en plus, je continuais à lui tripoter les couilles
et il continuait à gémir pour me faire bien comprendre que c'était
bon.
Il
y avait un peu de passage sur la plage, mais le parasol et le petit
muret de pierre nous cachaient, de loin, personne ne pouvait nous
voir. Mais ce n'était pas le cas de près, et depuis la dune on
était parfaitement visible.
Je
ne savais pas si quelqu'un était passé, si on était repéré. En
fait j'avais envie de me faire remarquer mais j'en avais peur
également.
Je
n'avais jamais osé me balader a poil sur une plage avec mon
dispositif de chasteté mais il y avait un bitosaure juste à côté
de moi, un mec monté comme un âne avec une queue superbe. Je devais
me dire que personne ne ferait attention à moi avec ce phénomène à
mes côtés.
Je
faisais une pose, je ne vous dis pas mais une grosse queue comme ça,
c'est du boulot de la sucer. Surtout que, tant qu'à faire, il vaut
mieux le faire bien ...
Un
petit moment plus tard, je recommençais. De nouveau j'avalais sa
queue, de nouveau je l'entendais gémir, de nouveau il me caressais
la joue. Je recevais des coups de bite dans la gorge, je gérais ça
et les premiers signes du plaisir qui montaient en lui se
manifestaient.
Quelques
gouttes suintaient, le goût son plaisir finissait par exploser dans
ma bouche. Il éjaculait sans me prévenir, plusieurs giclées de son
sperme coulaient sur ma langue, coulaient dans ma gorge et je me
régalais.
Il
ne m'avait pas prévenu mais ce n'était pas grave, c'est une
surprise, une bonne surprise. Je n'ai pas eu la moindre réaction de
rejet, au contraire je me suis régalé, j'ai pris et gardé dans ma
bouche chaque gouttes, j'en ai bien avalé quelques unes mais très
peu.
Ensuite
je me suis penché sur son visage, il avait le sourire béat de celui
qui vient de jouir et qui est content. Il ouvrait ses lèvres au
contact des miennes, je sentais sa langue et je partageais son
sperme, je partageais le goût de sa sève. Il ne l'avait jamais
goûté mais il a aimé.
Ensuite
nous avons fait un câlin. Ma queue continuait à protester pendant
le reste de l'après midi. Lui ça allait, il était calmé. Le seul
plaisir auquel j'avais eu droit, était celui de l'avoir senti
vibrer, de l'avoir senti jouir. C'est peu, et c'est un peu le
quotidien de celui qui porte un tel dispositif. Enfin quand je dis le
quotidien, ce n'est même pas le cas, ce n'est même pas quotidien.
Brusquement,
il s'est levé, il m'a attrapé la main et m'a tiré debout. Il m'a
alors pris dans ses bras. Il rigolait, je rigolais aussi remarquez et
je me retrouvais à poil au milieu de la plage avec une jolie petite
cage à bite bien visible. C'était une première.
Il
décidait d'aller marcher dans l'eau et m'entraînait avec lui. Je
voulais résister mais il ne me lâchait pas, finalement je le
suivais de bon cœur. J'admirais sa très grosse queue qui se
balançait lourdement entre ses cuisses. J'étais moi-même très
excité mais rien ne se voyait.
J'avais
l'impression que ma queue était plus grosse, enfin je veux dire,
plus lourde. Mes couilles, je veux bien mais ma bite … Elle ne
pouvait pas gonfler, elle ne pouvait pas se remplir de sang et
devenir plus lourde, elle n'en avait pas la place. Ce n'était qu'une
impression.
Au
début j'étais un peu gêné, puis je me suis laissé aller. On a
marché un moment, les pieds dans l'eau, on a couru et on a
rencontré, approché des passants, c'était amusant, les regards se
dirigeaient immédiatement vers mon entre jambe, puis glissaient en
direction de celle de mon camarade.
On
a passé le reste de la journée sur la plage puis au moment de
remonter il m'a proposé de prendre un verre dans un bar pas très
loin sur la route.
Il
me l'a dit devant une boisson bien fraîche, il avait envie de faire
un peu plus connaissance. J'avais moi aussi envie de faire plus ample
connaissance. En fait depuis le moment ou nous nous étions rhabillé,
je ne pensais qu'à sa bite, et à ce moment précis, je ne pensais
plus qu'à sa bite !
Fin
de l'épisode
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