Une chambre
pour deux
J'étais
épuisé, j'entrais dans la chambre. Elle n'était pas très grande,
il y avait deux lits d'une place chacun. Sinon elle semblait
confortable. On entrait par un petit couloir ou il y avait la porte
qui ouvrait sur la salle de bain. Je jetais ma valise sur le premier
lit avant de me jeter moi-même dessus.
J'étais
épuisé, le voyage avait été long et fatigant. Je me souviens
m'être un peu assoupis. Je me réveillais un peu plus tard, et je
décidais de prendre une douche avant de descendre au restaurant.
Je
jetais mes vêtements, tous mes vêtements, dans ma valise que je
rangeais juste à côté du lit puis me dirigeais vers la salle de
bain. Là je me faisais couler un bain et m'y abandonnais. Je n'avais
gardé que ma cage, ma petite cage à bite. De toutes façons, je
n'avais pas la clé, je ne risquais donc pas de la retirer. Je ne
l'emmenais plus avec moi quand je faisais des déplacements
professionnels.
Au
début bien sûr, je l'avais toujours à porté de main mais, ça
faisait maintenant plus d'un an que je la portais et je me sentais
suffisamment à mon aise pour ne plus en ressentir le besoin.
J'avais
mis un peu de musique, et rien ne me dérangeait.
Plus
tard, avant que l'eau ne devienne trop froide je sortais de la
baignoire et me séchait longuement. Je ressortais de la salle de
bain et me rendais dans la salle principale. Là j'ai poussé un cri.
Il
y avait un homme entièrement nu sur un des lits, il avait l'air
totalement détendu, allongé sur le dos, les jambes écartées.
Recouvert d'une jolie fourrure brune épaisse il ouvrait les yeux, me
regardais.
J'étais
nu moi aussi et je le regardais avec surprise.
En
une fraction de seconde il se relevait et me faisait face.
– Mais
t'es qui toi ? Me demandait-il.
– Mais
d'ou tu viens toi ?
– Tu
es dans ma chambre !
– Ah,
non c'est ma chambre.
– J'étais
là en premier.
– J'étais
dans la douche. Ça fait plus d'une heure que je suis là.
– Tu
t'étais planqué dans ma chambre avant que j'arrive !
– Tu
es rentré sans faire de bruit dans ma chambre. Mais on est ou là ?
– Et
c'est quoi ce truc que tu as sur ta queue ?
Là
il regardait ma bite avec surprise, il dodelinait de la tête,
cherchant à comprendre ce qu'il voyait.
Je
prenais le téléphone et appelait l'accueil.
– Il
y a un homme dans ma chambre.
– Non
ce n'est pas moi.
– Si
bien sûr j'y suis mais ce n'est pas de moi que je parle.
– Oui
bon, si vous préférez il y a donc deux hommes dans ma chambre !
– En
me comptant dedans bien sûr.
Je
m'énervais, surtout qu'à l'accueil. Je vous laisse deviner comment
la réception de l’hôtel prenait ma réclamation et je terminais
donc par j'arrive.
Pendant
ce temps l'envahisseur qui empiétait mon territoire continuait à me
regarder, il regardait ma cage à bite principalement. Ça
l'intriguait cette affaire.
– Je
vais aller régler ce problème à l'accueil, et tu vas voir, tu vas
te faire virer.
– Ah
on se tutoie maintenant! Tu t'imagines peut être que je vais en
rester là, c'est toi qui va dégager.
Je
sortais dans le couloir, il me suivait, puis on réagissait qu'on
était entièrement nu et on revenait dans la chambre. Sous l'effet
de la colère on faisait encore un peu n'importe quoi, j'attrapais
une serviette me la passais autour de la ceinture et repartais. Il en
faisait de même.
Et
c'est donc dans une tenue un peu légère, peu singulière j'en
conviens mais nous étions l'un comme l'autre bien décidé.
Oh
ils nous ont vu venir à l'accueil, je ne vous dis pas !
On
râlait, on réclamait, mais voilà.
– Nous
n'avons pas d'autre chambre, l'hôtel est plein. Il n'y a plus la
moindre place de libre. Vous savez avec la conférence et la grande
fête annuelle de la ville. Vous ne trouverez plus une seule chambre
nul part.
On
nous concédait une petite réduction sur le prix ou un remboursement
pour celui qui choisirait de partir. Il a fallu céder, aucun d'entre
nous ne voulait dormir dans la rue. En plus on se faisait remarquer
avec juste une serviette autour du ventre …
On
est remonté à notre chambre.
– Une
tenue décontractée suffit pour le restaurant ! Nous faisait
remarque un garçon d'étage. Mais là c'est peut être un peu trop !
En
réponse on l'a foudroyé du regard !
Eddy
se présentait, j'en faisais de même. Puis il partait prendre une
douche à son tour.
– Il
faudra que tu m'expliques ce que c'est que ce truc autour de ta bite,
et en plus il est tout petit !
C'est
vrai que lui avait une grosse queue, elle pendait lourdement et se
distinguait nettement derrière sa serviette.
Je
restais comme j'étais, je passais sur la terrasse, il n'y avait
aucun vis à vis avec les autres chambres. J'étais tranquille et là
je laissais mes pensées vagabonder.
C'est
à sa queue que je pensais. Eddy était rudement bien foutu, et bien
monté en plus. C'était un rêve.
Et
c'est un rêve qui m'apparaissait devant les yeux quand il ressortait
de la douche. Il était là entièrement nu.
– Je
te préviens tout de suite, je suis naturiste et il est hors de
question que je m'habille dans MA chambre.
– Fais
comme tu veux.
Il
était tellement beau que je n'avais pas envie de me formaliser.
J'en ferais de même, c'est tout. Mais là c'était l'heure de manger
et il fallait donc s'habiller.
On
s'habillait, chacun surveillait l'autre, histoire sans doute d'être
plus présentable que l'autre. C'est donc dans une tenue impeccable
qu'on se retrouvait au restaurant. Là non plus, on n'a pas tout
compris et on s'est retrouvé à la même table.
– Plus
de table libre, plus de chambre non plus. J'aurais mieux fait de ne
pas venir.
– Moi
j'ai pas le choix, c'est ma boite qui m’envoie ! Répondais-je.
– Remarque
moi c'est pareil rajoutait-il.
On
était calmé à ce moment et sous l'effet de l'appétit, on
parvenait même à sympathiser. Après le repas on s'installait au
bar dans un coin isolé ou nous avons fait plus ample connaissance.
– Alors
c'est quoi ce truc que tu portes sur la queue ?
Décidément
ça devenait une obsession.
– C'est
pour rester sage !
– Et
ça marche ?
– Ça
dépend !
– Et
ça dépend de quoi ?
– De
la taille de la bite de l'autre mec !
Oui
je sais, j'ai dit ça sans même rougir, mais on avait bien arrosé
le repas et là on était au digestif.
– Si
elle est trop grosse, tu restes sage parce que tu as peur ?
– J'ai
jamais trouvé de mecs qui en avaient une trop grosse !
– Là
ça me rassure, en forme je dépasse les vingt centimètre et je suis
bien large en plus.
Je
réalisais la tournure que prenait la discussion.
– Je
crois qu'on est un peu trop fatigué et qu'on devrait remonter dans
la chambre.
– J'ai
pas envie de dormir. Répondait-il.
– Qui
te parle de dormir ?
On
terminait nos verres cul-sec, il payait et je le suivais dans
l'ascenseur.
– Même
pas peur ! Lui déclarais-je.
– Tu
devrais ! Me répondait-il.
Arrivé
dans la chambre, il ne me laissait pas le temps de réagir. Il
m'empoignait, m'embrassait et me repoussait sur le lit avant de se
laisser tomber sur moi.
Quand
je dis sans réagir, en fait, je refermais les bras sur lui, le
saisissais à mon tour. C'était subite, non prévu, inattendu mais
c'était chaud, nos baisers étaient intenses et passionnés.
On
roulait l'un sur l'autre j'étais au dessus, je me retrouvais au
dessous puis on tournait encore. Un instant, profitant de ma position
je lui ouvrais la chemise et lui caressais le torse. Lui, allongé
sur le dos me regardais faire et ma chemise disparaissait rapidement.
Nous
étions torse nues. La peau de nos deux torses caressait le peau de
l'autre, elle était brûlante. Je glissais ma main dans son pantalon
avant de le lui ouvrir. Il bandait déjà, remarquez ce n'était pas
une surprise. Depuis un moment on faisait tout ce qu'il fallait pour
obtenir une réaction de ce genre.
C'est
seulement à ce moment que je sentais ma queue étranglée dans sa
cage. Elle aussi tentait de se redresser, ses efforts pathétiques
étaient autant inutiles que désagréables pour moi. Je la sentait
écrasée, confinée sans aucune chance de se relever. Ce n'était
pas douloureux mais là c'était intensément désagréable. C'était
terriblement frustrant au moment ou la queue de Eddy ressortait de
son pantalon.
Là
je me penchais sur lui et la prenait dans ma bouche. Il relevais la
tête, me souriait et se laissait faire. Pour m'aider il soulevait
son bassin au moment ou je tentais de faire glisser son pantalon.
Sa
bite apparaissait sous mes yeux, elle était magnifique, elle m'avait
paru de belle taille au tout début, elle ne m'avait pas trompée.
Elle était bien de belle taille, et bien large en plus.
Je
continuais à m'amuser avec cette merveille. Je la prenais dans la
bouche, je la caressais avec une grande douceur. Puis avec un peu
plus de vigueur, je suivais ses gémissements de plaisir ou alors
c'étaient le contraire. Il avait croisé ses mains derrière la
tête.
Quand
je me relevais il était entièrement nus sur le lit, son pantalon
avait glissé sur le sol, il était nu et superbe. J'allais me
pencher sur lui de nouveau mais il me retenait d'une main. Avec
l'autre il ouvrait mon pantalon. Glissait sa main et me tripotait les
couilles. Je voyais son sourire se dessiner sur ses lèvres.
– Ça
ne te fait pas mal ? Me demandait-il.
Je
faisais non de la tête. Il appréciait mes couilles comme elles
étaient et me répondait avec un large sourire. Il continuait à
s'amuser avec mes couilles. Ce n'est pas vraiment agréable mais ça
fait partie du jeu quand on accepte ou qu'on choisit de porter un tel
dispositif.
Il
tirait doucement mon pantalon vers le bas. C'était pour me faire
comprendre qu'il voulait que je le retire, enfin c'est ce que j'en ai
conclu. Je me relevais, je l'enjambais, un pied de chaque côté de
son bassin et je baissais mon pantalon. Je sautais sur le sol pour
terminer la manœuvre plus facilement, les jambes écartées j'avais
du mal à faire tomber mon pantalon, et lui faisait face entièrement
nu.
De
nouveau il m'attrapait les couilles et s'amusait vigoureusement avec.
– Suce !
Me disait-il.
Je
m'exécutais, il continuait à me tripoter les couilles, ma bite
poussait de toutes ses forces contre la cage, c'était inutile et
pathétique. Elle était en titane et ne risquait pas de lâcher.
– Tu
bandes là ?
Je
faisais oui de la tête.
– Enfin
j'essaye, finissais-je par confirmer.
– Et
ça ne marche pas ?
– Tu
es un marrant toi !
Je
continuais à lui sucer la queue, il caressait mes cheveux et
m'encourageait.
– Tu
fais ça bien, vas y continue.
Ce
moment devait durer longtemps. Il aimait tellement, j'avais peur
qu'il ne jouisse. C'est dans mon cul que je voulais me prendre cette
queue magnifique. Mais en attendant je m'amusais avec et je m'amusais
bien.
– Relève
toi, à quatre patte sur le lit ! M'ordonnait-il.
Je
ne l'ai pas fait répéter, il avait du gel, il m'enduisait le cul,
il s'en couvrait la queue, je le regardais faire, j'avais comme un
pincement dans mon estomac. Il avait tout de même une grosse queue
et le '' Même pas peur '' n'était peut être que de la frime, en
fait je tremblais mais je le voulais.
Il
prenait position, je sentais le bout de sa queue qui appuyait sur mon
cul, c'était froid, il poussait. Je ne résistais pas et rapidement
je le sentais se dilater, il poussait doucement, encore un peu et mon
cul se dilatait un peu plus.puis j'ai poussé un cri, un petit cri.
Mon
anus venait de se dilater beaucoup plus d'un coup. Il continuait à
pousser et je sentais anus s'ouvrir, je sentais sa queue qui
s'enfonçait. C'était intense. Je devais faire un grimace
monstrueuse mais je ne résistais pas et sa queue continuait à
s'enfoncer.
Les
plus de vingt centimètre y sont passé, son ventre s'est écrasé
sur mes fesse, presque en douceur, mais sa bite dans mon cul, là, ce
n'était pas de la douceur. Là c'était violent, je manquais d'air.
Il
se penchait sur moi, me demandait … '' Ça va ? ''. Mais sans
attendre la réponse se retirait doucement, là je manquais encore
plus d'air. Je criais presque silencieusement, seuls des petits râles
sortaient de ma bouche. Il se retirait lentement mais totalement
avant de revenir, sans prévenir. Toujours avec une certaine lenteur.
Il
avait largement lubrifié et ça glissait bien. Je ne m'étais jamais
senti aussi étroit et c'était intensément bon. Déjà j'avais
l'impression de jouir, je sentais un plaisir naître au milieu de ma
queue. Pourtant elle n'avait pas bougé, et ne semblait pas
concernée.
Il
revenait un peu plus vite, puis il ressortait, là encore un peu plus
vite.
Les
mouvements devenaient plus amples et plus rapides, il me limait le
cul, je ne savais plus vraiment si c'était un plaisir pur ou autre
chose mais ce n'était pas de la douleur. C'était spécial, c'était
bon, c'était de plus en plus bon. Je râlais de plus en plus fort.
Les
coups qu'il finissait par donner devenaient progressivement bien plus
rapide et bien plus fermes. Son ventre finissait par claquer sur mes
fesses et moi je criais. Puis il recommençais.
Tout
mon corps tremblait, je pouvais à peine tenir la position, et je
n'étais pas debout heureusement.
Ses
coups devenaient brusquement très rapide, ça glissait toujours très
bien, il râlait, il finissait par jouir et le dernier coup de bassin
qu'il me balançait était très violent.
Il
se retirait.
– Tu
m'excuse ?
– Pourquoi ?
– Si
j'ai été trop violent …
– Non
ça va, on pourra recommencer si tu veux.
– Maintenant ?
– Non
pas maintenant, non pas maintenant, non pas maintenant !
On
passait sous la douche, là il n'était plus que douceur, tendresse,
câlin. J'avais les jambes comme des ressorts et je tenais à peine
debout.
Je
me suis couché, il s'est couché contre moi, il m'a donner un
dernier baiser, très tendre …
– Au
fait ton séminaire, il dure combien de temps ? Me demandait-il.
– Cinq
jours .
– Pareil.
Là
on s'est endormi, finalement on n'a défait qu'un seul lit. Et je ne
regrette pas mon séminaire de cette année là. J'y repense encore
avec une certaine nostalgie, un très bon souvenir quoi !
Fin
N'hésitez
surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur
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