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                                          Textes et fictions sur le thème de la chasteté masculine, gay.  

                                     

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    Le jeu en question à des règles bien étranges, il se joue avec une boule sur une patinoire. Mais comment dire c'est sun peut étrange comme concepte, faut voir, très populaire par contre ...

Prévu le 01 07 2024

 



BRICOLAGE
  

Do it "yourcherlfe" , comme ils disent les américains ...












IL ETAIT UNE
FOIS
Pour une fois c'est pas une fiction, c'est du vécu raconté
avec passion, émotion, rythme ... 
Et en plus il y a des images ... 



Les pages sont reliées ( à la main )
par groupe de 5


Toute la famille Brosso
Djé  -  Antoine  -  Philippe  -  David

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Bonne lecture et surtout n'hésitez pas à me retrouver sur

TWEETER

@CharlyChast







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Une chambre pour deux

Une chambre pour deux



J'étais épuisé, j'entrais dans la chambre. Elle n'était pas très grande, il y avait deux lits d'une place chacun. Sinon elle semblait confortable. On entrait par un petit couloir ou il y avait la porte qui ouvrait sur la salle de bain. Je jetais ma valise sur le premier lit avant de me jeter moi-même dessus.


J'étais épuisé, le voyage avait été long et fatigant. Je me souviens m'être un peu assoupis. Je me réveillais un peu plus tard, et je décidais de prendre une douche avant de descendre au restaurant.


Je jetais mes vêtements, tous mes vêtements, dans ma valise que je rangeais juste à côté du lit puis me dirigeais vers la salle de bain. Là je me faisais couler un bain et m'y abandonnais. Je n'avais gardé que ma cage, ma petite cage à bite. De toutes façons, je n'avais pas la clé, je ne risquais donc pas de la retirer. Je ne l'emmenais plus avec moi quand je faisais des déplacements professionnels.


Au début bien sûr, je l'avais toujours à porté de main mais, ça faisait maintenant plus d'un an que je la portais et je me sentais suffisamment à mon aise pour ne plus en ressentir le besoin.


J'avais mis un peu de musique, et rien ne me dérangeait.


Plus tard, avant que l'eau ne devienne trop froide je sortais de la baignoire et me séchait longuement. Je ressortais de la salle de bain et me rendais dans la salle principale. Là j'ai poussé un cri.


Il y avait un homme entièrement nu sur un des lits, il avait l'air totalement détendu, allongé sur le dos, les jambes écartées. Recouvert d'une jolie fourrure brune épaisse il ouvrait les yeux, me regardais.


J'étais nu moi aussi et je le regardais avec surprise.


En une fraction de seconde il se relevait et me faisait face.


Mais t'es qui toi ? Me demandait-il.

Mais d'ou tu viens toi ?

Tu es dans ma chambre !

Ah, non c'est ma chambre.

J'étais là en premier.

J'étais dans la douche. Ça fait plus d'une heure que je suis là.

Tu t'étais planqué dans ma chambre avant que j'arrive !

Tu es rentré sans faire de bruit dans ma chambre. Mais on est ou là ?

Et c'est quoi ce truc que tu as sur ta queue ?


Là il regardait ma bite avec surprise, il dodelinait de la tête, cherchant à comprendre ce qu'il voyait.


Je prenais le téléphone et appelait l'accueil.


Il y a un homme dans ma chambre.

Non ce n'est pas moi.

Si bien sûr j'y suis mais ce n'est pas de moi que je parle.

Oui bon, si vous préférez il y a donc deux hommes dans ma chambre !

En me comptant dedans bien sûr.


Je m'énervais, surtout qu'à l'accueil. Je vous laisse deviner comment la réception de l’hôtel prenait ma réclamation et je terminais donc par j'arrive.


Pendant ce temps l'envahisseur qui empiétait mon territoire continuait à me regarder, il regardait ma cage à bite principalement. Ça l'intriguait cette affaire.


Je vais aller régler ce problème à l'accueil, et tu vas voir, tu vas te faire virer.

Ah on se tutoie maintenant! Tu t'imagines peut être que je vais en rester là, c'est toi qui va dégager.


Je sortais dans le couloir, il me suivait, puis on réagissait qu'on était entièrement nu et on revenait dans la chambre. Sous l'effet de la colère on faisait encore un peu n'importe quoi, j'attrapais une serviette me la passais autour de la ceinture et repartais. Il en faisait de même.


Et c'est donc dans une tenue un peu légère, peu singulière j'en conviens mais nous étions l'un comme l'autre bien décidé.


Oh ils nous ont vu venir à l'accueil, je ne vous dis pas !


On râlait, on réclamait, mais voilà.


Nous n'avons pas d'autre chambre, l'hôtel est plein. Il n'y a plus la moindre place de libre. Vous savez avec la conférence et la grande fête annuelle de la ville. Vous ne trouverez plus une seule chambre nul part.


On nous concédait une petite réduction sur le prix ou un remboursement pour celui qui choisirait de partir. Il a fallu céder, aucun d'entre nous ne voulait dormir dans la rue. En plus on se faisait remarquer avec juste une serviette autour du ventre …


On est remonté à notre chambre.


Une tenue décontractée suffit pour le restaurant ! Nous faisait remarque un garçon d'étage. Mais là c'est peut être un peu trop !


En réponse on l'a foudroyé du regard !


Eddy se présentait, j'en faisais de même. Puis il partait prendre une douche à son tour.


Il faudra que tu m'expliques ce que c'est que ce truc autour de ta bite, et en plus il est tout petit !


C'est vrai que lui avait une grosse queue, elle pendait lourdement et se distinguait nettement derrière sa serviette.


Je restais comme j'étais, je passais sur la terrasse, il n'y avait aucun vis à vis avec les autres chambres. J'étais tranquille et là je laissais mes pensées vagabonder.


C'est à sa queue que je pensais. Eddy était rudement bien foutu, et bien monté en plus. C'était un rêve.


Et c'est un rêve qui m'apparaissait devant les yeux quand il ressortait de la douche. Il était là entièrement nu.


Je te préviens tout de suite, je suis naturiste et il est hors de question que je m'habille dans MA chambre.

Fais comme tu veux.


Il était tellement beau que je n'avais pas envie de me formaliser. J'en ferais de même, c'est tout. Mais là c'était l'heure de manger et il fallait donc s'habiller.


On s'habillait, chacun surveillait l'autre, histoire sans doute d'être plus présentable que l'autre. C'est donc dans une tenue impeccable qu'on se retrouvait au restaurant. Là non plus, on n'a pas tout compris et on s'est retrouvé à la même table.


Plus de table libre, plus de chambre non plus. J'aurais mieux fait de ne pas venir.

Moi j'ai pas le choix, c'est ma boite qui m’envoie ! Répondais-je.

Remarque moi c'est pareil rajoutait-il.


On était calmé à ce moment et sous l'effet de l'appétit, on parvenait même à sympathiser. Après le repas on s'installait au bar dans un coin isolé ou nous avons fait plus ample connaissance.


Alors c'est quoi ce truc que tu portes sur la queue ?


Décidément ça devenait une obsession.


C'est pour rester sage !

Et ça marche ?

Ça dépend !

Et ça dépend de quoi ?

De la taille de la bite de l'autre mec !


Oui je sais, j'ai dit ça sans même rougir, mais on avait bien arrosé le repas et là on était au digestif.


Si elle est trop grosse, tu restes sage parce que tu as peur ?

J'ai jamais trouvé de mecs qui en avaient une trop grosse !

Là ça me rassure, en forme je dépasse les vingt centimètre et je suis bien large en plus.


Je réalisais la tournure que prenait la discussion.


Je crois qu'on est un peu trop fatigué et qu'on devrait remonter dans la chambre.

J'ai pas envie de dormir. Répondait-il.

Qui te parle de dormir ?


On terminait nos verres cul-sec, il payait et je le suivais dans l'ascenseur.


Même pas peur ! Lui déclarais-je.

Tu devrais ! Me répondait-il.


Arrivé dans la chambre, il ne me laissait pas le temps de réagir. Il m'empoignait, m'embrassait et me repoussait sur le lit avant de se laisser tomber sur moi.


Quand je dis sans réagir, en fait, je refermais les bras sur lui, le saisissais à mon tour. C'était subite, non prévu, inattendu mais c'était chaud, nos baisers étaient intenses et passionnés.


On roulait l'un sur l'autre j'étais au dessus, je me retrouvais au dessous puis on tournait encore. Un instant, profitant de ma position je lui ouvrais la chemise et lui caressais le torse. Lui, allongé sur le dos me regardais faire et ma chemise disparaissait rapidement.


Nous étions torse nues. La peau de nos deux torses caressait le peau de l'autre, elle était brûlante. Je glissais ma main dans son pantalon avant de le lui ouvrir. Il bandait déjà, remarquez ce n'était pas une surprise. Depuis un moment on faisait tout ce qu'il fallait pour obtenir une réaction de ce genre.


C'est seulement à ce moment que je sentais ma queue étranglée dans sa cage. Elle aussi tentait de se redresser, ses efforts pathétiques étaient autant inutiles que désagréables pour moi. Je la sentait écrasée, confinée sans aucune chance de se relever. Ce n'était pas douloureux mais là c'était intensément désagréable. C'était terriblement frustrant au moment ou la queue de Eddy ressortait de son pantalon.


Là je me penchais sur lui et la prenait dans ma bouche. Il relevais la tête, me souriait et se laissait faire. Pour m'aider il soulevait son bassin au moment ou je tentais de faire glisser son pantalon.


Sa bite apparaissait sous mes yeux, elle était magnifique, elle m'avait paru de belle taille au tout début, elle ne m'avait pas trompée. Elle était bien de belle taille, et bien large en plus.


Je continuais à m'amuser avec cette merveille. Je la prenais dans la bouche, je la caressais avec une grande douceur. Puis avec un peu plus de vigueur, je suivais ses gémissements de plaisir ou alors c'étaient le contraire. Il avait croisé ses mains derrière la tête.


Quand je me relevais il était entièrement nus sur le lit, son pantalon avait glissé sur le sol, il était nu et superbe. J'allais me pencher sur lui de nouveau mais il me retenait d'une main. Avec l'autre il ouvrait mon pantalon. Glissait sa main et me tripotait les couilles. Je voyais son sourire se dessiner sur ses lèvres.


Ça ne te fait pas mal ? Me demandait-il.


Je faisais non de la tête. Il appréciait mes couilles comme elles étaient et me répondait avec un large sourire. Il continuait à s'amuser avec mes couilles. Ce n'est pas vraiment agréable mais ça fait partie du jeu quand on accepte ou qu'on choisit de porter un tel dispositif.


Il tirait doucement mon pantalon vers le bas. C'était pour me faire comprendre qu'il voulait que je le retire, enfin c'est ce que j'en ai conclu. Je me relevais, je l'enjambais, un pied de chaque côté de son bassin et je baissais mon pantalon. Je sautais sur le sol pour terminer la manœuvre plus facilement, les jambes écartées j'avais du mal à faire tomber mon pantalon, et lui faisait face entièrement nu.


De nouveau il m'attrapait les couilles et s'amusait vigoureusement avec.


Suce ! Me disait-il.


Je m'exécutais, il continuait à me tripoter les couilles, ma bite poussait de toutes ses forces contre la cage, c'était inutile et pathétique. Elle était en titane et ne risquait pas de lâcher.


Tu bandes là ?


Je faisais oui de la tête.


Enfin j'essaye, finissais-je par confirmer.

Et ça ne marche pas ?

Tu es un marrant toi !


Je continuais à lui sucer la queue, il caressait mes cheveux et m'encourageait.


Tu fais ça bien, vas y continue.


Ce moment devait durer longtemps. Il aimait tellement, j'avais peur qu'il ne jouisse. C'est dans mon cul que je voulais me prendre cette queue magnifique. Mais en attendant je m'amusais avec et je m'amusais bien.


Relève toi, à quatre patte sur le lit ! M'ordonnait-il.


Je ne l'ai pas fait répéter, il avait du gel, il m'enduisait le cul, il s'en couvrait la queue, je le regardais faire, j'avais comme un pincement dans mon estomac. Il avait tout de même une grosse queue et le '' Même pas peur '' n'était peut être que de la frime, en fait je tremblais mais je le voulais.


Il prenait position, je sentais le bout de sa queue qui appuyait sur mon cul, c'était froid, il poussait. Je ne résistais pas et rapidement je le sentais se dilater, il poussait doucement, encore un peu et mon cul se dilatait un peu plus.puis j'ai poussé un cri, un petit cri.


Mon anus venait de se dilater beaucoup plus d'un coup. Il continuait à pousser et je sentais anus s'ouvrir, je sentais sa queue qui s'enfonçait. C'était intense. Je devais faire un grimace monstrueuse mais je ne résistais pas et sa queue continuait à s'enfoncer.


Les plus de vingt centimètre y sont passé, son ventre s'est écrasé sur mes fesse, presque en douceur, mais sa bite dans mon cul, là, ce n'était pas de la douceur. Là c'était violent, je manquais d'air.


Il se penchait sur moi, me demandait … '' Ça va ? ''. Mais sans attendre la réponse se retirait doucement, là je manquais encore plus d'air. Je criais presque silencieusement, seuls des petits râles sortaient de ma bouche. Il se retirait lentement mais totalement avant de revenir, sans prévenir. Toujours avec une certaine lenteur.


Il avait largement lubrifié et ça glissait bien. Je ne m'étais jamais senti aussi étroit et c'était intensément bon. Déjà j'avais l'impression de jouir, je sentais un plaisir naître au milieu de ma queue. Pourtant elle n'avait pas bougé, et ne semblait pas concernée.


Il revenait un peu plus vite, puis il ressortait, là encore un peu plus vite.


Les mouvements devenaient plus amples et plus rapides, il me limait le cul, je ne savais plus vraiment si c'était un plaisir pur ou autre chose mais ce n'était pas de la douleur. C'était spécial, c'était bon, c'était de plus en plus bon. Je râlais de plus en plus fort.


Les coups qu'il finissait par donner devenaient progressivement bien plus rapide et bien plus fermes. Son ventre finissait par claquer sur mes fesses et moi je criais. Puis il recommençais.


Tout mon corps tremblait, je pouvais à peine tenir la position, et je n'étais pas debout heureusement.


Ses coups devenaient brusquement très rapide, ça glissait toujours très bien, il râlait, il finissait par jouir et le dernier coup de bassin qu'il me balançait était très violent.


Il se retirait.


Tu m'excuse ?

Pourquoi ?

Si j'ai été trop violent …

Non ça va, on pourra recommencer si tu veux.

Maintenant ?

Non pas maintenant, non pas maintenant, non pas maintenant !


On passait sous la douche, là il n'était plus que douceur, tendresse, câlin. J'avais les jambes comme des ressorts et je tenais à peine debout.


Je me suis couché, il s'est couché contre moi, il m'a donner un dernier baiser, très tendre …


Au fait ton séminaire, il dure combien de temps ? Me demandait-il.

Cinq jours .

Pareil.


Là on s'est endormi, finalement on n'a défait qu'un seul lit. Et je ne regrette pas mon séminaire de cette année là. J'y repense encore avec une certaine nostalgie, un très bon souvenir quoi !



Fin


N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast



Javais fait mon trou

 Javais fait mon trou



Il faisait un temps magnifique, on était en été, pas depuis bien longtemps, c'est vrai et un peu en avance en plus.


J'avais le parasol au dessus de ma tête, une grande serviette de plage sous moi, une casquette, un E-Book devant le nez et des écouteurs dans les oreille. Mon petit espace était très légèrement en creux et entouré d'un petit muret de pierre, ce qui préservait un peu mon intimité.


Bref j'avais fait mon trou !


La plage descendait en pente douce vers la mer, et remontait en pente un peu moins douce vers la dune.


Il était passé sur la dune un peu plus tôt. J'étais absorbé par ma lecture et je ne sais pas s'il m'avait remarqué. Maintenant il repassait dans l'autre sens, et il regardait régulièrement dans ma direction. Là je me disais qu'il m'avait probablement remarqué.


Je n'ose toujours pas m’exhiber avec devant tout le monde, mais comme je vous le disais l'été nous était arrivé un peu en avance et la plage était calme, presque déserte. Il y avait un petit groupe d'homme qui prenait le soleil, ils étaient encore tout blanc et n'auraient pas la trace du maillot eux non plus.


Je le voyais passer, sa tête dépassait au dessus du petit muret de pierre. Il avait un bob sur la tête, il était torse nue et avait une peau d'un joli brun clair.


Je continuais ma lecture.


Un moment plus tard, il repassait mais là il s'était rapproché, il m'a surpris et j'ai un peu sursauté. Il est passé juste à raz du mon territoire. Là c'est sûr, il avait remarqué ma cage à bite.


Je ne t'ai pas fait peur ? S'exclamait-il.

Non, juste surpris.


On échangeait un sourire. Il continuait à marcher mais là il me regardait fixement. Il ne faisait que quelques pas et se retournait.


Je me caressais les couilles en tirant un peu dessus, comme pour ajuster mon dispositif. Puis il reprenait sur un ton hésitant.


Et ce truc là, c'est pourquoi ?

C'est pour rester sage, lui répondais-je.

Ça te fait de super grosse couilles !

Ça te fait une super grosse bite !


Il commençait à bander et là ça commençait à se voir. Il me rendait un sourire faussement embarrassé et s'asseyait.


Viens me rejoindre, il y a de la place.


Il s'installait à côté de moi, il retirait son pantalon de plage, il était en toile très fine, en dessous il avait un maillot de bain. Heureusement sinon il n'aurait jamais pu dissimuler davantage son érection, même à moitié, c'est qu'il en avait une grosse. Mais on pouvait déjà le deviner !


Il se mettait à poil, tout comme moi, allongeait sa serviette à côté de la mienne, je suivais tous ses mouvements. Sa grosse queue semblait de déplier et prenait bientôt beaucoup de place. Elle était bien ferme, bien longue, bien large. Il avait lui aussi une paire de brosse couilles, pas aussi grosse que les mienne, mais ça c'est normal, c'est l'effet cockring.


Il regardait sa bite puis la mienne.


Oui c'est sûr c'est plus discret. Déclarait-il.

Tu es sûr, pourtant il me semble que de loin, tu m'avais bien remarqué.

Oui, enfin non. C'est pas plus discret, enfin ce que je veux dire c'est que toi, tu ne peux pas bander.

Là je bande !

Heu, moi je bande là. Ça se voit bien.

Non je veux dire, moi aussi je bande mais moi, ça ne se voit pas !

Oui, moi ça se voit.

Moi aussi, regarde de plus près, ma queue est sous pression.


Il tendait sa mains et doucement me caressait les couilles, il appuyait ensuite un doigt dans une des fentes d'aération, les modèles qui peuvent se porter en permanence ont plusieurs trous d'aération, on peut y glisser le petit doigt, c'est pour l'hygiène.


Il explorait mon dispositif, il me tripotait les couilles et ne cachait pas son plaisir, le plaisir de la découverte.


C'est une bite maintenant bien dure, bien ferme qui se redressait contre son ventre. Je décidais à mon tour d'explorer. Je prenais sa queue dans la main, je pouvais constater que ce n'était pas une impression, elle était sous pression, bien épaisse, dans les six centimètres sur plus de vingt.


Ça faisait presque peur mais ça faisait encore plus envie de jouer avec. Je me laissais aller, allonger sur le dos, lui à ma droite me tripotait les couilles et moi avec ma main droite je le masturbais tranquillement.


Ça ne te manque pas ? Me demandait-il.

Une bite comme ça ? Lui répondais-je en refermant ma main sur queue.

Ça ne te manque pas ?

Tu sais la mienne est de taille plus modeste.

Tu es passif ? Me demandait-il.

Mais comment as-tu deviné ?


Il pouffait de rire. Puis il continuait …


Remarque ça m'arrange !


Il continuait à me tripoter les couilles, il me les écrasait, juste un peu, juste pour rire. Je ne dirai pas que je trouvais ça drôle mais je laissais faire, il ne me faisait pas mal donc je laissais faire.


Ma queue était sous pression, comme jamais. Ma cage semblait s'être miniaturiser, elle était plus petite, ça, c'était sûr. Je m'y sentais à l'étroit. Ma main remontait sur son ventre puis sur son torse. Je finissais par me retourner vers lui, il était beau avec cette bite énorme qui se relevait contre son ventre.


Je me penchais sur lui, ma joue sur son ventre, là il me caressait tendrement l'autre joue. Je sortais ma langue et lui léchait le bout de son gland.


Il me répondait par un gémissement approbateur.


Tout en lui caressant la queue, je prenais son gland dans ma bouche et je le caressais avec ma langue. Je la faisais tourner et tourner encore tout autour, j'insistais sur le petit trou qu'il y avait tout au bout de sa bite et je caressais longuement le dessus de son gland avec la langue.


Je prenais bien mon temps, je laissais monter le plaisir. Il commençait à soulever son dos, il se tortillait doucement, juste un peu, juste pour faire glisser sa queue plus loin dans ma bouche.


Quand il se soulevait, sa queue glissait un peu plus profond, je laissais faire et j'avançais la tête quand il retombait. Sa queue glissait et je lui caressais les couilles, il avait de très belles couilles. Moins grosse que les miennes mais il n'avait pas de cockring lui.


Ma queue poussait presque douloureusement contre les barreaux de la cage, et si ce n'était pas vraiment douloureux, c'était loin d'être confortable.


Sa bite avait fini par arriver à ma gorge, j'avais du mal à respirer, j'avais relevé la tête et c'est moi qui décidait d'en avaler plus ou pas, lui se limitait à m'encourager en me caressant les cheveux.


Il était bien monté mais il était doux, très doux. Sa queue me plaisait de plus en plus, je continuais à lui tripoter les couilles et il continuait à gémir pour me faire bien comprendre que c'était bon.


Il y avait un peu de passage sur la plage, mais le parasol et le petit muret de pierre nous cachaient, de loin, personne ne pouvait nous voir. Mais ce n'était pas le cas de près, et depuis la dune on était parfaitement visible.


Je ne savais pas si quelqu'un était passé, si on était repéré. En fait j'avais envie de me faire remarquer mais j'en avais peur également.


Je n'avais jamais osé me balader a poil sur une plage avec mon dispositif de chasteté mais il y avait un bitosaure juste à côté de moi, un mec monté comme un âne avec une queue superbe. Je devais me dire que personne ne ferait attention à moi avec ce phénomène à mes côtés.


Je faisais une pose, je ne vous dis pas mais une grosse queue comme ça, c'est du boulot de la sucer. Surtout que, tant qu'à faire, il vaut mieux le faire bien ...


Un petit moment plus tard, je recommençais. De nouveau j'avalais sa queue, de nouveau je l'entendais gémir, de nouveau il me caressais la joue. Je recevais des coups de bite dans la gorge, je gérais ça et les premiers signes du plaisir qui montaient en lui se manifestaient.


Quelques gouttes suintaient, le goût son plaisir finissait par exploser dans ma bouche. Il éjaculait sans me prévenir, plusieurs giclées de son sperme coulaient sur ma langue, coulaient dans ma gorge et je me régalais.


Il ne m'avait pas prévenu mais ce n'était pas grave, c'est une surprise, une bonne surprise. Je n'ai pas eu la moindre réaction de rejet, au contraire je me suis régalé, j'ai pris et gardé dans ma bouche chaque gouttes, j'en ai bien avalé quelques unes mais très peu.


Ensuite je me suis penché sur son visage, il avait le sourire béat de celui qui vient de jouir et qui est content. Il ouvrait ses lèvres au contact des miennes, je sentais sa langue et je partageais son sperme, je partageais le goût de sa sève. Il ne l'avait jamais goûté mais il a aimé.


Ensuite nous avons fait un câlin. Ma queue continuait à protester pendant le reste de l'après midi. Lui ça allait, il était calmé. Le seul plaisir auquel j'avais eu droit, était celui de l'avoir senti vibrer, de l'avoir senti jouir. C'est peu, et c'est un peu le quotidien de celui qui porte un tel dispositif. Enfin quand je dis le quotidien, ce n'est même pas le cas, ce n'est même pas quotidien.


Brusquement, il s'est levé, il m'a attrapé la main et m'a tiré debout. Il m'a alors pris dans ses bras. Il rigolait, je rigolais aussi remarquez et je me retrouvais à poil au milieu de la plage avec une jolie petite cage à bite bien visible. C'était une première.


Il décidait d'aller marcher dans l'eau et m'entraînait avec lui. Je voulais résister mais il ne me lâchait pas, finalement je le suivais de bon cœur. J'admirais sa très grosse queue qui se balançait lourdement entre ses cuisses. J'étais moi-même très excité mais rien ne se voyait.


J'avais l'impression que ma queue était plus grosse, enfin je veux dire, plus lourde. Mes couilles, je veux bien mais ma bite … Elle ne pouvait pas gonfler, elle ne pouvait pas se remplir de sang et devenir plus lourde, elle n'en avait pas la place. Ce n'était qu'une impression.


Au début j'étais un peu gêné, puis je me suis laissé aller. On a marché un moment, les pieds dans l'eau, on a couru et on a rencontré, approché des passants, c'était amusant, les regards se dirigeaient immédiatement vers mon entre jambe, puis glissaient en direction de celle de mon camarade.


On a passé le reste de la journée sur la plage puis au moment de remonter il m'a proposé de prendre un verre dans un bar pas très loin sur la route.


Il me l'a dit devant une boisson bien fraîche, il avait envie de faire un peu plus connaissance. J'avais moi aussi envie de faire plus ample connaissance. En fait depuis le moment ou nous nous étions rhabillé, je ne pensais qu'à sa bite, et à ce moment précis, je ne pensais plus qu'à sa bite !



Fin de l'épisode



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Il vient d'Amérique Ep02

 

Il vient d'Amérique Ep02


Le reste de la soirée se terminait bien. J'étais comblé, Dick aussi mais Cole avait par moment du mal à se montrer totalement détendu. Il avait été témoin de nos ébats mais n'avais pas vraiment été autorisé à participé. Je lui avais bien un peu tripoté les couilles, on s'était bien un peu câliné mais c'est tout, pour lui c'est tout.


Mais ton pote Cole, il reste toujours …

En fait, on a décide une abstinence totale pendant le voyage en France. Pour lui, bien sûr. Pas de bite dans le cul, ni dans la bouche. Pas de câlin, pas de … Rien quoi.

Tout le voyage en France ?

C'est à dire huit semaines. Mais ça c'est pour lui, pas pour moi !


C'était un jeu qui devait être aussi stimulant que frustrant. C'est toujours un peu la frustration qu'on recherche quand on porte une dispositif de ce genre.


Et toi, reprenait Dick, pourquoi tu n'as pas acheté un dispositif du commerce ?

Bein, c'est un problème de taille. La longueur de ma bite est tout a fait dans les norme mais la largeur … C'est pas le cas, je suis trapu de la bite.


Cette réponse le faisait rire.


On continuait à discuter, et là on parlait de taille, de centimètres, pourtant il était américain.


Il prenait un carnet dessinait rapidement uns cage à bite puis indiquait les tailles que je lui donnais.


Là, la largeur de la cage est bien de quarante millimètres ?

Bein oui, c'est de ça que je parlais.

Bien, on devrait pouvoir réduire à trente huit.


Dick connaissait bien le problème de conception d'une cage de chasteté. Oui rigolez, rigolez mais je sais de quoi je parle et je vous garantis que c'est quelque chose de sérieux.


Il se laissait tomber en arrière en regardant les chiffres.


Donc là ce sont les dimensions idéales d'une cage de chasteté pour toi.

Sans doute, mais ça va je n'ai pas envie d'en fabriquer une autre pour le moment.

En titane, ce serait bien !

Comment tu y vas toi ! En PVC c'est déjà du boulot. La mienne est en PVC.

C'est bien ça ne rouille pas. Mais le titane non plus !


Là c'est moi qui rigolait.


La mienne est en titane ! Intervenait Cole.

Et elle est indestructible ! Rajoutait Dick.

Et il ne peut pas la retirer ? Demandais-je.

Sans la clé, il n'y a aucune chance.

C'est lui qui décide ! Concluait Cole.


Ce soir là, quand je suis rentré chez moi, j'avais un peu mal au cul. Enfin pas vraiment, mais j'avais l'impression de sentir encore sa queue. Ce n'était pas désagréable.


On avait prévu de se retrouver à la plage. Pas la petite plage en bas de leur maison, non, il y avait des plages naturistes, naturistes gay même. Ils avaient déjà repéré les lieux, et y étaient déjà allé.


J'étais du coin et donc je connaissais. On s'y retrouvait en début d'après midi. On a passé un très bel après midi, pour la première fois je me sentais détendu alors que je montrait ma cage. C'était la première fois que je faisais ça, jamais avant je n'aurais osé. Cole m'encourageait, lui était bien habitué à cette situation. Il portait son dispositif en permanence, c'est vrai qu'il était très discret, sous un maillot de bain on ne devinait rien. Mais là sur la plage, ce jour là, il ne portait rien, rien sinon un chapeau et sa cage à bite.


J'étais aussi habillé que lui. Ceux qui me reconnaissaient venaient me saluer. Ils étaient surpris, c'est vrai que ces derniers temps, ces dernières années je veux dire, je venais moins souvent.


On est venu tous les jours, ensuite on s'arrêtait prendre un grand rafraîchissement dans un bar sur la route du retour.


Ensuite …


On se retrouvait tous les trois chez eux, on prenait une douche puis tout naturellement Dick me baisait sous les yeux de Cole qui avait de plus en plus de mal à rester calme. Le pauvre était en manque.


Je suis bien placé pour savoir que ce n'est pas forcément facile, mais le plus dur est de voir un couple baiser tous les jours alors qu'on en est privé. J'avais connu de très longue période de chasteté mais moi, je n'avais pas à supporter ça. Lui si !


Vers la fin de la première semaine. Il me disait.


J'ai une petite surprise pour toi.


Il m'avait demandé deux jours plus tôt de lui apporté les clés de mon dispositif. Je lui en avait emporté une sur les deux.


Il me la tendait et me demandait de retirer mon dispositif.


Je l'ai fait répéter, je ne comprenais pas ou il voulait en venir. Notre relation reposait sur le fait que j'étais totalement passif. Et j'aimais tellement me faire défoncer le cul. Il me faisait jouir.


Mais je m'exécutais, je retirais le dispositif. Il me faisait alors passer sous la douche. C'était une nouvelle sensation que je découvrais ou que je croyais découvrir. Là pour la première fois depuis bien longtemps mon corps était nu, entièrement nu.


Je me caressais le corps avec le savon, il me guidait, je faisais ce qu'il me demandait.


Tu ne bandes pas ?

Ça fait longtemps et il me faudra plusieurs jours, enfin un ou deux pour que je retrouve ce réflexe.

Tu n'en auras peut être pas le temps !


Il me tendait une serviette au moment ou je sortais de la douche. Cole était toujours là, il se montrait discret mais il regardait la scène, il n'en loupait pas une miette.


Un moment il me tripotait la bite et les couilles. Il m'a fait bandé, mais pas bien longtemps.


Si tu me laisse quelques jours. Lui disais-je. Tout redeviendra normal

Tu en as déjà fait l'expérience ?

Oui la dernière fois, j'avais porté le truc pendant plus d'un an, il ne m'avait fallu que deux jours.


Il remuait la tête de haut en bas d'un signe d'approbation. Puis il me tendait une petite boîte.


Je l'ouvrais.


Il y avait un dispositif de chasteté en métal, le même modèle que celui de Cole.


Il est à ta taille tu sais, on avait fait les mesures tu te souviens. Il a été fait pour toi.


Je me disais que décidément, les américains sont très fort. Ça faisait une semaine, et déjà il avait un dispositif sur mesure. Je pensais qu'il fallait bien plus de temps pour en faire fabriquer un.


J'ai bien faille avoir une érection au moment ou j'ai voulu le passer. Mais comme je le disais, il m'aurait fallu plusieurs jours, au moins vingt quatre heures pour retrouver mes réflexes.


Mes couilles passaient par l'anneau sans aucune difficulté. Le contact du métal n'était pas désagréable, même pas froid comme on aurait pu le craindre, en plus le métal était terriblement lisse. Son touché était bien plus doux que le plastique.


Ensuite la cage. Ma bite y trouvait tout naturellement sa place. Elle était plus étroite mais ce n'était pas désagréable. Je découvrais le dispositif. Il me laissait tout le temps qu'il me fallait, il s'amusait de mes réactions.


Alors tu en dis quoi ?

C'est pas mal, j'aime bien.


Le dispositif était en place, il était refermé. Je jouait avec, je le découvrais. Je remarquer que pour la douche, je pouvais plus facilement décalotter et me laver que sur l'autre. Heureusement car avec ce nouveau modèle je ne pouvais pas ressortir ma queue comme je faisais avec l'autre.


Là je ne vous cacherai pas que j'ai ressenti un petit pincement au niveau de mon cœur. Une petite crainte peut être.


Je finissais par bander dans la cage. Ça, ce réflexe je ne l'avais pas perdu. Sans je ne bandais plus, il me fallait plusieurs jours, mais avec je bandais plusieurs fois par jours.


C'était des érections contrôlées, retenues.


Là, cette érection me semblait un peu plus retenue que d'habitude, la taille plus petite de la cage se ressentait bien. Mais ça restait le grand confort.


Il me tendait la clé. Je verrouillais.


Il me tendait la main …


Je vais garder la clé jusqu'à notre départ me déclarait-il. Ensuite je te la rendrai.


Je lui rendais la clé. Je me sentais bien dans ce nouveau dispositif. Mais vous savez, il ne faut pas grand chose pour passer du grand confort à l'insupportable. Pour le moment c'était très confortable.


Ils restaient encore trois semaines.


On s'est vu tous les jours, et tous les jours, nous nous retrouvions chez eux. Là face à la mer je me faisais défoncer le cul par Dick pendant que son pote Cole nous surveillait.


Le pauvre semblait en manque de plus en plus. Il avait exactement le même modèle que moi. C'était le même fabriquant. Et Dick n'avait mis que cinq jours pour la faire fabriquer et se la faire faire livrer.


Ah je vous jure, ils sont fort les américains, ils sont fort.


Les jours passaient vite, nous approchions de la fin de leurs vacances. Je m'habituais à ce dispositif. Au bout d'un moi il était devenu une prolongation de moi. Je ne pouvais pas le retirer, mais je le supportais bien, je n'en avais pas envie non plus.


Puis il y a eu ce week-end. Je ne les avais pas vu le samedi soir aussi le dimanche matin je passais chez eux. Il y avait bien du monde mais ce n'était pas eux. C'étaient les nouveaux locataires, mes américains étaient partis la veille.


Les enfoirés …


Dans la journée Dick me téléphonait. Il s'excusait de ce départ précipité.


Je te fais parvenir la clé, c'est promis ! Me disait-il.


L'enfoiré …


Je n'ai pas eu de nouvelles depuis. Heureusement pour moi le dispositif est confortable. Mais il est inviolable.


Je vous jure les américains … Ils sont fort …


Un jour bien plus tard j'examinais le dispositif comme je pouvais, avec une loupe, et je vous jure ils sont vraiment fort les américains.


Sur le sommet de la cage je parvenais à déchiffrer une petite inscription. Vous savez avec une de ces loupes qui a des petites lampes. Je parvenais à déchiffrer ' made in Switzerland ' ...


Je vous jure, ils sont forts les américains. Je sais pas ou ça se trouve moi la Switzerland aux USA. J'ai cherché sur la carte et j'ai pas trouvé.


Ils arrivent à fabriquer ces petits trucs dans un endroit paumé qu'on n'arrive pas à trouver sur la carte et à se faire livrer partout sur la planète en cinq jours … Ils sont forts les américains, je vous jure !



Fin




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Il vient d'Amérique Ep01

 

Il vient d'Amérique Ep01


Il m'avait remarqué dans les toilette d'un bar. Il était plus grand que moi, et avait l'œil agile. Enfin moi je ne l'avais pas remarqué mais lui m'avait repéré, il avait vu ma cage.


De retour au bar je l'ai revu il discutait avec un ami, ils se retournaient vers moi et me proposaient un verre en me faisant signe de les rejoindre.


C'étaient des américains, au début j'ai cru que c'étaient des anglais car je ne comprenais pas ce qu'ils disaient. Mais en fait je ne comprends ni les uns ni les autres.


On a discuter comme ça pendant un long moment sans se comprendre. On a picolé aussi, ils venaient de l'Est des états unis ou bien peut être de l'Ouest, ou alors c'était entre les deux …


Vous voyez ou on en était. Au niveau linguistique ça cafouillait pas mal.


Ils étaient plutôt bien foutus, bien sexy comme on pouvait en rêver. C'étaient des américains et je ne m'étais jamais fait des américains.


Ils déliraient et la situation devenait très amusante. On est sorti, on est allé se promener sur la plage, j'habite une ville balnéaire. Dick sortait son téléphone, j'ai d'abord pensé qu'il voulait prendre une photo, puis prononçait une phrase. Dick c'est celui que j'avais rencontré en premier.


Il me posait alors son téléphone sur l'oreille et j'entendais distinctement …


– C'est quelle taille ?

– Qué ! Répondais-je ?

– La cage de ta bite ? C'est quelle taille ? Me répondait le téléphone.


C'est pas vrai, pensais-je. Ce sont vraiment des américains, ils ont un traducteur vocal !


Ça devenait brusquement bien plus facile pour discuter à partir de ce moment. Je me suis repassé dans ma tête les derniers moment depuis que j'avais rencontré ces deux loustics. Je me souvenais rapidement le moment ou … C'était dans les toilettes. Ensuite on avait discuté difficilement alors qu' le guignol avait tout ce qu'il fallait pour … Enfin !


Ils avaient loué une maison juste au dessus le la petite plage, il y en avait une grande et plusieurs petites, on s'y retrouvait pour prendre un dernier verre. Depuis leur jardin ils voyaient la mer et par dessus le petit mur du fond de leur jardin on voyait la petite plage.


C'est bien installé que la terrasse qu'on continuait à discuter. Dick se mettait à poil, il faisait ça tout naturellement, son pote Cole n'y prêtait même pas attention.


Il était bien foutu, il avait un corps mince et musclé, et surtout il avait une grosse bite. Je ne pouvais pas en détacher le regard.


SUCE ! Me disait la voix synthétique du téléphone à l'oreille.


Je me retournais, c'était Cole qui m'envoyait ce conseil par notre traducteur officiel … Je ne le faisais pas répéter et quelques secondes plus tard j'étais à genoux, la queue de Dick prenait lentement un peu de volume dans ma bouche avant de prendre toute la place. Il en avait une belle, une comme j'aime, un peu grosse mais ça, c'est pas grave.


Cole regardait la scène, paisiblement installé sa chaise de plage, il regardait en sirotant une boisson bien fraîche. Quand je tournais les yeux vers lui, il me souriait. Je me disais, '' après ce sera son tour, il doit y penser '' .


Je prenais la queue de Dick en entier au début, puis elle prenait plus de place et je ne n'en prenais plus qu'une partie, pour finir, je me concentrais sur son gland.


Il avait un gland magnifique, bien large, bien épais, lisse et brillant, comme je les aimes. Je pensais déjà au moment ou j'allais me le prendre dans le cul. Je me disais qu'on devait la sentir celle là. Elle était large, pas seulement longue mais bien large.


Je faisais comme je pouvais, je m'appliquais sur son gland, je passais ma langue en appuyant fort, très fort, avec la langue on ne peut pas faire mal et ses gémissements de plaisir me le prouvaient.


Cole ne manifestait aucun impatience, il restait calme, il ne baissait même pas son pantalon pour se branler. Il nous regardait, c'est tout.


Au bout d'un moment Dick me faisait signe de me lever. J'en profitais pour me réajuster la mâchoire.


Tu aimes ça on dirait, en tout cas tu suce super bien ! Me disait-il …


Enfin c'est son téléphone qui me disait ça mais on va faire comme si on parlait normalement, ce sera plus simple.


Tu as aimé ? Puis me retournant vers Cole. Tu en veux toi aussi ?


Il pouffait de rire.


Met toi à poil ! Me demandait-il. On verra après.


Je retirais mes vêtements, chaussures légères, c'était rapide. Un polo pour le haut, toujours très rapide. En quelques instants il ne restait plus que le pantalon , mais comme je faisait du free-balling actif, là encore c'était rapide.


Je me retrouvais alors entièrement nu devant ces deux gaillards que je ne connaissais pas quelques heures plus tôt. Elle est pas belle la vie.


Dick se retournait alors vers son camarade qui était le seul encore habillé. Il n'était pas nécessaire de en dire plus, il comprenait que c'était à son tour de nous suivre. Il me copiait l'animal, il me copiait en rigolant et retirait tous ses vêtements.


Il me tournait le dos au moment ou il baissait son pantalon, et tout comme moi il faisait du free-balling. Puis il se retournait avec un petit sourire coquin, il portait lui aussi une cage à bite. J'éclatais de rire.


Il la porte en permanence ! Me déclarait Dick.

C'est lui qui a la clé, c'est lui qui décide quand je peux le retirer … Et il ne veux pas ! Rajoutait Cole.

Mais tu es très bien comme ça. Lui répondait Dick.


Cole s'approchait de moi, et me tripotait les couilles, je le laissais faire avant de lui rendre la politesse. Tout comme moi, il avait une belle paire de couilles, bien épaisse, bien fermes, et une toute petite cage au dessus.


Mon dispositif était un dispositif fait maison, à cause de la taille. J'ai en effet une bite bien large, je suis trapu de la bite comme j'aime le dire … Enfin j'étais. Maintenant j'en suis moins sûr. Avec le temps tout peut changer.


Bref, il me tripotait les couilles lui aussi.

C'est un modèle artisanal ? Me demandait-il.

Oui c'est moi qui l'ai fait. Je ne trouvais pas de modèle assez large.


Ils étaient amusés par ma réponse.


Tu as une grosse bite et tu veux la mettre en cage ! Cole lui en a une toute petite, donc pour lui c'est normal. Me faisait remarquer Dick.


Tranquillement il me caressait le cul, j'étais penché sur Cole et on se faisait des câlin. Sans prévenir Dick me glissait un doigt dans le cul. J'ai un peu sursauté mais Cole me caressait le dos et m'embrassait.


Dick glissait un deuxième doigt, et les agitait avec vigueur. Je me redressais et gémissais de plaisir.


C'est bon ? Me demandait Cole

Ooooh ! Que oui .


En fait Dick me lubrifiait généreusement le cul. Cole surveillait et s'en amusait. Puis au moment ou Dick le décidait, ils me prenaient par les bras et m'entraînaient vers un coussin, un de ces trucs ou on s'allonge pour bronzer.


Je me laissais faire et me retrouvais allongé sur le dos, les cuisses en l'air. Cole se plaçait au dessus de moi, me retenait les chevilles. Ses couilles retombaient sur mes yeux et sur mon nez. Il trouvait ça amusant.


Dick me saisissait les chevilles à son tour, il appuyait et me repliait presque. Il plaçait sa queue dans l'axe de mon cul et poussait.


Il avait bien lubrifié, il poussait fort, je ne résistais pas et je sentais mon anus se dilater. Cole se décalait et m'embrassait. Dick continuait à pousser et je sentais mon anus s'ouvrir totalement, la queue de Dick s'enfoncer en moi.


C'était bon, je gémissait fort à ce moment, j'ouvrais les yeux et je voyais le visage de Cole, il me souriait. Le ventre de Dick s'écrasait sur mes fesses, je sentais sa queue bien à fond dans mes entrailles, il ressortait et revenait bien à fond d'un mouvement rapide et violent.


J'encaissais et je râlais, ce n'était que du plaisir. Je fermais les yeux et me donnais à mon plaisir, enfin celui qu'on me donnait. Je caressais les couilles de Cole et jouais avec sa cage. Il bandais, enfin il essayais, il ne devais pas être tout à fait à son aise. Il devais se sentir à l'étroit.


Moi, ça allait, avec la grosse bite de Dick dans le cul qui me ramonait les entrailles, ça allait. Ma queue ne se faisait pas remarquer ou au moins on ne faisait pas attention à elle, surtout moi.


Cole me rendait la politesse et en même temps qu'il me tripotait les couilles je lui malaxais les siennes. Il m'embrassait et me caressait le corps. Je respirais fort, je tremblais de plaisir.


Dick se lâchait, ses coups de bassin contre mon cul devenaient forts, puissants, insistants et sans retenue. Il se reculait lentement puis revenait à la charge bien à fond, faisant claquer son ventre contre mes fesses. Je poussais un cris étouffé à chaque coup que je recevais.


Cole semblait toujours parfaitement calme, il caressait aussi le corps de Dick mais semblait garder quelques distances vis à vis de lui. Il s'intéressait à moi, surtout à moi. Je continuais à lui tripoter les couilles et par les trous d'aération je sentais que sa bite devait être bien dure, bien ferme. Je savais par expérience que ce n'était pas là une situation très confortable mais surtout frustrante.


Il m'avait vu sucer son ami et avait regardé. Il participait de loin à nos ébats. Il n'avait pas reçu tous les câlins que Dick et moi avion partagé, il avait regardé. Et même arrivé à ce moment, j'étais le seul à le caresser, à le toucher.


Dick ne se consacrait qu'à moi. Il me donnait du plaisir mais m'utilisait aussi et surtout comme un objet de plaisir, un objet qui lui donnait du plaisir.


Je le regardais, je voyais tous ses effort, du plaisir il devait en prendre. Je le voyais, ses efforts se voyaient sur son front. Je sentais ses muscles qui se crispaient, il me tirait vers lui quand avançait son bassin vers moi. C'était violent, de plus en plus rapide et les coups résonnaient avec régularité. Nous gémissions tous les deux puis brusquement il poussait un cri plus fort, un coup plus fort suivait dans mon cul. Quelques instants plus tard il me burinait le cul de toutes ses forces, il jutais et semblait vouloir que ça se sache.


Cole se retirait, il s'asseyait un peu en retrait et nous regardait.


A cet instant j'ai joui, j'ai joui comme une bête, j'ai joui comme jamais. Même si je dis ça à chaque fois, je vous jure que c'est vrai … a chaque fois !


Dick me retenait contre lui. Il finissait par se retirer, sa queue ramollissait, c'est normal, et ressortait naturellement de mon cul. Je me sentais plus léger.


Je regardais vers Cole, il avait toujours ce sourire, ce sourire figé qui semblait vouloir cacher quelque chose, sa frustration peut être.


Dick se relevait, me saisissait les couilles et me les secouait vigoureusement. Il m'avait fait jouir, là il me faisait éjaculer, éjaculer et jouir aussi, de nouveau.


A suivre



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