INDEX

                                       .       Textes et fictions sur le thème de la chasteté masculine, gay.  

                                     

PAGE D'ACCUEIL










NOUVEAUTÉS

Sept derniers textes publiés




Comme prévu Ep01

Pas du tout comme prévu

------

Comme prévu Ep02

Bien mieux que prévu

------

Presque frères Ep26

Un berger

------

Comme prévu Ep03

Tout va bien quand même

------

Comme prévu Ep04

Un petit boulot

------

Comme prévu Ep05

Ah les filles

------

Comme prévu Ep06

La cage de Ralf




 

═════════════


  

Prévu le    05 2025
    



═════════════

BRICOLAGE
  

Do it "yourcherlfe" , comme ils disent les américains ...













═════════════

IL ETAIT UNE
FOIS
Pour une fois c'est pas une fiction, c'est du vécu raconté
avec passion, émotion, rythme ... 
Et en plus il y a des images ... 



Les pages sont reliées ( à la main )
par groupe de 5
═════════════



Toute la famille Brosso
Djé  -  Antoine  -  Philippe  -  David

-------------------------------






Bonne lecture et surtout n'hésitez pas à me retrouver sur

TWEETER

@CharlyChast







-------------------

Comme prévu Ep06 La cage de Ralf

 

Comme prévu Ep06

La cage de Ralf



Le calme revenait, on restait là allongé, les corps frôlaient les corps. Je caressais distraitement la poitrine de ma copine Serena. Je sentais la présence d'une autre main, je n 'y prêtait pas attention et je continuais.


Au bout d'un moment je relevais la tête pour voir ce qu'il se passait, c'était Jess. Il caressait distraitement la poitrine de ma copine. Elle tournait la tête vers moi, me souriait, et me donnait un baiser sur les lèvres. Elle savait parfaitement que cette main n'était pas la mienne mais ne semblait pas s'en préoccuper, elle me regardait et me souriait.


C'est à peu près à ce moment que je sentais une main glisser sur mes partie intimes. Serena s'était tourné vers Jess et ils s'embrassaient, elle semblait m'avoir oublié. Je laissais faire. Il ne me fallait que quelques secondes avant que je ne réagisse et que je ne bande de nouveau.


Je sentais ma queue devenir brusquement plus lourde et je la sentais se soulever et s'allonger sur mon ventre. La main me la caressait avec plus d'insistance.


Je soupirais fort, quand je finissais par lever la tête je pouvais la responsable, c'était Dyana. Je lui souriais et la laissais faire. Elle prenait ma queue dans la bouche et s'appliquait à me faire une petite gâterie. Elle s'en sortait bien elle aussi. Rapidement de gémissais de plaisir en lui caressant les cheveux.


Je n'appuyais pas trop fort, je ne voulais pas l'étouffer et si elle réagissait, je retirais ma main. Serena, juste à coté de moi s'activait tant qu'elle pouvait sur mon pote Jess.


Le dernier couple s'était reformé à son tour, nous étions tous les trois jeunes, là je parle des trois garçons, les filles aussi remarquez mais un peu moins.


Elles étaient très belles, magnifique et mon érection se confirmait, c'était la seconde de la soirée mais comme je vous disais, j'étais jeune, très jeune et très viril aussi.


Dyana, se glissait sur moi , elle aussi avait un corps très léger. C'est avec un peu d'inquiétude que je regardai vers Serena. C'est vrais que c'était ma copine officielle , enfin pour moi c'était officiel, en plus c'était la première. La première qui m'avait donné son corps. Celle qui m'avait fait découvrir ce plaisir et m'avait définitivement fait passer l'envie de mettre un jour un dispositif de chasteté.


Pourtant c'était la coutume. Tous les jeunes hommes se devaient de mettre un tel dispositif, c'était une question d'honneur, de dignité, presque une loi.


Mais là je n'en avais plus envie, mais plus envie du tout .


Dyana s'empalait sur moi. J'ai un peu couiné sous l'effet de la surprise elle c'était sous l'effet de la pénétration. J'en ai une grosse, j'ai pensé qu'elle avait les yeux plus gros que le ventre mais finalement elle à bien encaissé, et pas seulement.


Elle en a redemandé, elle en voulait encore, elle se relevais, je la sentais qui glissait autour de ma bite , puis elle se laissait re tomber avec force. C'était intense. Heureusement je venais de jouir, sinon je n'aurait pas tenu bien longtemps à ce rythme. C'est une grosse gourmande.


Elle repliait et écartait les jambes et se penchait sur moi. J'étais à la meilleure place. Je voyais son sourire au dessus de mon visage, ses seins me caressaient et me chatouillaient la poitrine. J'avais un sourire béat, j'étais heureux, je refermais mes bras autour de son corps. Je la caressais de tout mes bras, de mes mains. Je la tirais vers moi.


Elle se penchait et sa poitrine s'écrasait sur la mienne.


J'avais l'impression que j'allais exploser, quelques semaines plus tôt je n'avais jamais touché une fille. J'avais bien sûr flirté mais c'est tout. Et là je me faisais une seconde créature magnifique, pas une fille mais une femme . Une femme magnifique. La deuxième de la soirée. La deuxième en très peu de temps. Je me disais que je devait être un petit veinard, mais c'est vrai que j'étais très beau gosse … Et en plus j'avais une grosse quéquette.


Ces dames n'espéraient que cela, elles ne cherchaient rien d'autre. J'étais amoureux mais j'étais le seul. C'est vrai que j'étais jeune, on tombe quelquefois très vite amoureux à cet âge. J'étais amoureux mais ce n'était qu'un détail, je savais que ça ne durerais pas et c'était sans importance.


Dyana glissait sur moi, c'est avec tout son corps qu'elle ma caressait doucement.


Ma queue glissait en elle, ressortait presque totalement puis s'enfonçait et disparaissait complètement. J'étais aux anges. Je sentais le plaisir monter de plus en plus mais l'orgasme ne semblait pas vouloir venir.


Oh elle ne s'en plaignait pas, au contraire, tout comme moi elle appréciait chaque mouvement. Je finissais par intervenir et relevait le bassin quand elle m'enfonçait en elle. Les mouvements devenaient plus saccadés, plus rapides, plus violents.


Je regardait autour de moi et je voyais Serena qui s'abandonnait dans les bras de son partenaire. À peine plus loin, il y avait le troisième couple qui devait en être au même point que nous.


Ce n'étaient plus que râles de plaisir, que gémissements qui raisonnait dans la pièce. Les respirations étaient fortes, je sentais le cœur de ma partenaire qui battait contre mon cœur. Ils battaient vite, très vite.


C'est un cri de plaisir qui transperçait l'espace. Un cri d'orgasme qui venait du troisième couple. Je les regardais rapidement, et je voyais Ralf crier lui aussi, il jouissait et rejoignait sa partenaire Katia. Il était assis et elle était assise sur lui, il était en elle et ils ne faisaient plus qu'un. Quelques mouvements saccadés qui ressemblaient à une convulsion puis ils semblaient s'écrouler sous leur seul plaisir.


Ma compagne et moi continuions à nous agiter de plus en plus vite, jusqu'au moment ou le plaisir m'envahissait. Je jutais, je jouissais , je criais, j'ai même hurlé à ce moment et là nous étions deux.


Je me redressais et retenais ma partenaire contre moi. Je regardais en direction de Serena, avec son partenaire arrivaient au même niveau que nous.


Quelques instants plus tard nous avions tous hurlé , crié de plaisir et tous nous laissions aller , comme redevenus soudainement tout mous . Pas seulement des bites, mais tout le corps, tous les corps.


Je retombais sur le dos, les bras en croix.


On se laissait aller, on somnolait et le calme revenait.


Je me relevais un peu plus tard pour boire un petit verre. Jess et Ralf me suivaient. On laissait les filles là, elles nous faisaient une dernière caresse distraite quand nous passions à coté d'elles. On les a laissé discuter entre filles et nous sommes allée déguster un bière.


Tu en as une grosse ! Me disait Jess en regardant ma bite. C'est lui qui avait la plus petite.


Mais elles restait d'une taille convenable, dix sept centimètres, c'est déjà bien, non ?


Déjà quand j'étais tout petit ! Lui répondais-je en prenant un air timide.

Il a raison, tu es notre référence ! Rajoutait Ralf. Tu as la plus grosse que j'ai jamais vu. Rajoutait-il.


Je lui répondais par un sourire timide.


Et c'est quand que tu mets le dispositif de chasteté ? Me demandait Jess.

Alors ça il n'en est pas question . Répondais-je. Et toi tu en porte un peut être ?

Moi je n'ai aucune chance de faire des études à la PK Université.

Mais moi je m'en moque de la PK Université. Je ne veux pas mettre ce dispositif.

Ralf nous écoutait il prenait bien son temps de déguster sa bière et rigolait en nous regardant.


On se retournait vers lui. Puis il reprenait !


Vous avez vu, j'ai trouvé une solution. Moi non plus je ne veux pas porter ce truc, c'est diabolique.


On acquiesçait.


Et on les trouve ou les dispositifs comme le tient ? Demandait Jess.

On peut les avoir par correspondance, sur internet . Tu te fais livrer en quarante huit heure, mais il vaut mieux s(y prendre au moins une semaine à l'avance … Ou deux.

Donc si on commande maintenant , on le recevra dans deux jours ?

Enfin un peu plus, on est vendredi soir et samedi et dimanche c'est fermé.

C'est pour cela qu'il faut s'y prendre une semaine à l'avance ! Rajoutait Jess en rigolant.


On rigolait à voir le sérieux de la livraison.


C'est des conneries ? Demandais-je.

Non vraiment pas, me répondait ralf, c'est très sérieux. Simplement, la livraison n'est pas toujours rapide .

D'accord et ils ont des grosse tailles.

Alors là oui, je peux te garantir qu'il auront la tienne …


Cette nouvelle m'intéressait au plus haut niveau.


Tu vois tu pourras aller à la PK Scool ! Rajoutait Jess.

Ah non, là ça ne marche pas, avec la PK on n'a aucune chance de leur faire croire que ce faux dispositif est de chez eux. Il y ressemble mais il ne leur faut pas une nanoseconde pour repérer la supercherie. Rajoutait Ralf !

M'en fou moi de la PK Scool, ça ne m'intéresse pas !

Et c 'est quoi qui t'intéresse ? Me demandait Ralf.

Bosser , gagner du fric et m'amuser comme ce soir le plus longtemps possible, ensuite me marier, faire des gosses d'une manière normale et m'amuser toute ma vie !

Moi pareil ! Rajoutais Ralf.


Un peu plus tard, Ralf allait chercher son dispositif pour qu'on puisse l'examiner.


C'était étonnant, c'était bien imité. Au premier coup d’œil et même un peu plus on ne voyait pas la différence. Il n'y avait pas de serrure, on tournait une petite molette et le dispositif était fermé ou ouvert, c'était tout simple.


Cette idée me plaisait. Je pourrais passer inaperçu. J'imaginais que mes parents seraient dupes, eux. C'étaient pas des spécialistes et le dispositif était vraiment bien imité.


Je décidais d'en commandé un dès le lendemain, bon on serait toujours en week-end mais, c'est pas grave je l'aurais en une semaine.


On s'enfilait une deuxième bière puis on retournait tranquillement rejoindre les filles.


J'en avais essayé deux , il en restait encore une. Et on en étit tous au même point. C'est pas nous qui avons fait les choix. Les filles devaient avoir le même projet que nous, elles voulaient elles aussi nous essayer tout les trois, chacun notre tour.


C'est vrai qu'elle étaient chaude. Et à la fin de la nuit, je n'étais plus du tout amoureux de Serena, elle me plaisait toujours autant mais là je savais que c'était juste du sexe et pas de l'amour !


A suivre


N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast



Comme prévu Ep05 Ah les filles , ah les filles

 

Comme prévu Ep05

Ah les filles , ah les filles



Je ne suis rentré que le lendemain et je me suis fait engueuler.


Alors maintenant tu découches !


C'est ma mère qui a le plus gueulé. Mon père ne cachait pas qu'il était très mécontent, mais il semblait se dire …


''  Bah ! Laissons le faire, d'ici peu il sera sous clé et il restera tranquille … ''

Ma mère était donc scandalisée mais mon père préférait me laisser tranquillement découvrir la vie pendant le peu de temps qu'il me restait de liberté. Je les ai entendu parler, ma mère et lui. Je l'ai entendu, il a pris ma défense. Finalement tout s'est bien terminé.


Je reprenais mon boulot et comme des vacances arrivaient on me proposait de travailler à plein temps, la nuit. Vous imaginez bien que j'ai dit oui. J'avais passé les seize ans, j'avais l'âge pour qu'on me mette une cage à bite, je pouvais travailler la nuit. Au moins au niveau de la légalité, c'était clair !


Il y avait un avantage, mes parents ne regardaient plus à quelle heure je rentrais la nuit, ils ne me disaient plus rien non plus si je ne rentrais pas. Quelquefois je dormais sur place.


Enfin, en général, ces nuits là je ne dormais pas beaucoup. On traînait entre nous, toutes les boites de nuits, nous étaient ouvertes. On était sur une île mais je vous jure que pour ce qui est des boites de nuits on était bien fourni. Il y avait la route depuis le continent, puis on était une zone touristique, il y avait toujours des gens de passage.Le bar restaurant ou je travaillais marchait bien, toute l'année. Un autre allait ouvrir, c'est dire et les deux boites de nuit étaient toujours pleine le weed-end . Même en hiver, pendant la saison, c'était tous les jours.


Vous deviez imaginer que je vivais dans coin perdu. C'était par perdu mais c'était tranquille. On pouvait sortir toute la nuit sans risquer de se faire agresser, on ne fermait pas la porte de la maison quand on sortait. J'aimais de plus en plus mon village.


Ce week-end avait très bien commencé, le vendredi soir se terminait en boite. Il y avait mon pote Tony, il travaillait avec moi et ne portait pas non plus le fameux dispositif.


Il y avait Dyana, c'était pas son vrai nom mais c'est pas bien grave. Je n'ai jamais su comment elle s'appelait, elle venait du continent, elle n'habitait pas bien loin, un pont à passer et elle arrivait. Elle sortait le week-end, on s'est vite habitué à la voir tous les vendredis soir. Avec ses copines elles formaient un petit groupe, elle rigolaient toujours entre elles et c'est cette semaine qu'elle nous invitaient à les rejoindre à leur table.


J'étais avec deux camarades du restau, on a un peu picolé, on a rigolé, on s'est fait dragué. Tout se passait bien avec beaucoup de légèreté, jusqu'au moment ou Katia glissait sa main sur la cuisse de Jess.


Et nous avons là un jeune homme qui ne cède pas à la mode ! S'exclamait alors Katia.


Dyana plongeait sa main à son tour et confirmait. Mais plus discrètement c'est Serena qui s'approchait de moi. Elle glissait sa main sous ma chemise.


Et moi j'ai aussi une jolie surprise. Rajoutait-elle.

Mais on a de la chance ce soir ! S'exclamait Dyana.

Et il est comment ? Demandait Katia à Serena. Puis rajoutait . Mais là tu es sur son nombril ma chérie, c'est pas là qu'il faut tâter.


Je pouffais de rire, je n'avais pas vraiment envie de les repousser et donc je retournais mon visage vers Serena et l'embrassait. Une main glissait entre mes cuisses et me faisait sursauter .


Mais c'est que là c'est du sérieux ! S'exclamait Katia. Ne me dis pas que c'est le jeune homme dont tu nous avait parlé.

Et bien si ! Répondait Serena sur un ton très satisfait en passant un bras sur mon épaule.


Elles se sont bien sûr un peu calmées, mais continuaient leurs commentaires. De toutes façons, il y avait beaucoup de bruit et personne ne pouvait entendre ce qui se disait à notre table. Personne n'a rien vu d'ailleurs, sauf peut être Ralf,


Ralf c'était le serveur de cette boite, je le connaissais depuis pas très longtemps , il était sympa. Très élégant, il avait remarqué qu'il y avait surtout des femmes le vendredi. Il portait une tenue très élégante, une chemise blanche, et un pantalon bien ajusté mais on devinait que lui, portait une dispositif de chasteté.


Il s'approchait pour nous servie et les mains de mes camarades féminines ne se privaient pas de lui caresser les fesses.


Allons mesdemoiselles , allons, vous savez qu'il n'y a rien à espérer ! Leur faisait-il remarquer.

On sait lui répondait Dyana, on te retrouve à la fermeture ?

Avec plaisir ! Lui répondait-il.


Je regardais la scène sans trop comprendre. Il n'y avait rien à attendre, je me demandais ce qu'espérait Katia. C'est vrai qu'il avait un très beau corps, une belle silhouette, fine, élégante et musclée. Mais c'est un peu juste. Enfin je veux dire qu'on ne peut pas faire grand chose, là ça se voyait qu'il portait une cage à bite Le petit Ralf. Et ça se voyait sous son pantalon très ajusté.


On passait rapidement à autre chose, souvent je regardait dans la salle, et je remarquais que tous les serveurs de cette boite devaient porter une cage à bite. Je me disais que finalement j'avais de la chance. Moi j'étais pas obligé mais dans cette boite c'était pas la même chose. Sans doute à cause des nombreux clients et clientes venant du continent. Je ne comprenais pas vraiment les règles, comment tout ça fonctionnait.


Moi je ne portais pas de cage de chasteté, on ne m'y incitait même, pas et ça ma plaisait ça car justement je ne voulais pas la mettre. Heureusement la loi était formelle, on ne pouvait pas me contraindre par force, on pouvait par contre m'y encourager, m'y inciter. Il y avait en fait plusieurs moyens de contrainte.


Pour moi c'était non, et ça le resterait, enfin c'était ce que j'avais décidé. Le plus dur serait de convaincre mes parents pour qu'ils me lâchent la grappe, qu'ils me laissent tranquille. Pour le moment c'était bon, la cage était trop chère mais il faudrait bien un jour y venir.


En attendant que ce jour n'arrive, je pensais à autre chose. On a dansé, on a un peu picolé, on a beaucoup rigolé. Tony a disparu vers la fin de la soirée, lui et une superbe blonde ont disparus ensemble. On ne s'est pas inquiété pour lui.


Nous attentions tranquillement sur le parking jusqu'au moment ou Ralf arrivait avec une allure triomphale. Il avait changé de pantalon, on prenait deux voitures et on faisait route vers la résidence secondaire d'une des dames qui était avec nous.


Je ne lâchais pas Serena, c'était ma copine.


Tu es fidèle mon trésor ? Me demandait-elle.

Mais bien sûr m'amour ! Lui répondais-je instantanément.

Et tu n'as jamais eut envie de … une autre femme .

Beuh non, ça va, pour l'instant ça va. Mais pourquoi tu me demande ça ?


C'est vrai que là je ne savais plus trop quoi dire, elle m'embarrassait aussi à me demander des trucs pareil .


Il ne fallait pas bien longtemps pour se retrouver sur le continent. Un pont à traverser et on arrivait.


Ces sont les filles qui ont commencé. Serena était à côté de moi, elle passait sa main sous ma chemise et caressait doucement ma peau. Ses doigts étaient doux, et me faisaient réagir. Depuis un moment je bandais, ça avait commencé avant que nous ne sortions de la boite. Ça se voyait, Serena l'avait remarqué, Sa main s'attardait sur mon sexe, elle appuyait sur mon pénis et commençait à s'en amuser.


Dyana et Katia nous faisaient un strip-tease. Mes deux camarades regardaient avec beaucoup d'attention. Les deux femmes étaient un peu délurées, ça ne m'étonnait pas vraiment. Elles rigolaient fort et nous dévoraient des yeux. Katia s'est tout d'abord dirigée vers Ralf. Je me suis dit '' ça devient intéressant ''


entièrement nue, Katia s'approchait de Ralf, il se relevait et la prenait dans ses bras. Je m'amusais, je savais que Ralf ne pourrait pas faire grand chose avec sa cage à pénis et je jubilais, je bandais et je jubilais.


Katia lui ouvrait la chemise, il la caressait doucement du bout de ses doigts avant de la prendre dans ses bras. Son torse écrasait les seins de la dame, ils s’enlaçaient avec force et à l'instant ou il se relâchaient au moment ou ils se séparaient, les doigts agiles de Katia ouvraient le pantalon de Ralf et son pantalon tombait rapidement sur ses pieds.


Le farceur n'avait pas mis de sous vêtements et se montrait dans toute sa splendeur dans son dispositif de chasteté. Katia lançait un regard dans ma direction et prenait la position, comme pour lui faire une gâterie.


Avec beaucoup de douceur et une certaine agilité, elle passait la main sur le dispositif de mon camarade, je le voyais frémir, il me regardait et me souriait avec un sourire coquin.


Et là j'ai pas compris ce qui se passait, j'ai vu son dispositif tomber sur le sol, je n'avais pas vu Katia lui ouvrir , je n'avais pas vu la clé et je pouvais alors deviner qu'il n'y avait pas de serrure.


C'était un dispositif fictif, il ne se verrouillait pas.


J'ai éclaté de rire et c'est à ce moment que Serena s'est penchée sur moi, m'a ouvert le pantalon et sans attendre a pris mon gland dans sa bouche.


Je regardait en face de moi et je voyais Katia faire la même chose à mon pote Ralf. Il lui caressait les cheveux et doucement il appuyait sur sa tête. Elle prenait sa queue avec douceur, avec envie, elle aimait ça.


Ralf avait une petite bite, enfin comparé à moi, il en avait une petite. Mais c'est vrai que c'était souvent le cas . C'était même toujours le cas.


Serena aimait particulièrement ma bite, je lui caressait moi aussi les cheveux. Ma main glissait sur son dos, elle était nue elle aussi. Je tournais la tête vers ma gauche et je retrouvais Jess, il était avec Dyana. Elle aussi était nue, lui juste torse nue, mais son pantalon ne devait pas tarder à tomber à son tour.


Nous étions six, trois jeunes hommes et trois très belles femmes un peu plus âgées. Mais magnifique. Chacune cajolait son chacun.


Serena me couvrait de baisers, sa langue passait et repassait sur mon gland, c'était intense. Je croisait les regards de mes partenaires masculins, c'était la première fois que je me retrouvais avec eux dans une telle situation. Ce n'était pas désagréable, bien au contraire, mon excitation était à son comble et mon érection ne retombait pas.


Nous étions tous les trois très en forme et les filles étaient très chaudes. Leur peau était brûlante et douce.


Chacune glissait contre chacun de nous, Serena se glissait sur moi, me glissait en elle. Je la caressais, je la couvrais de baisers. Ma langue glissait sur son corps, sur ses seins, sur son cou, sur ses épaules et elle s'écrasait sur moi. Je sentais mon gland s'écraser en elle, je sentais les caresses de son corps, de tout son corps.


Autour de moi il n'y avait plus que des gémissements de plaisir, des caresses de douceur. Des déhanchements musculaires, des convulsions. Et le plaisir montait.


Nous nous agitions, chacun ne s'occupait plus que de sa partenaire. Chacune ne se préoccupait plus que de son partenaire. C'étaient des cris de plaisir qui raisonnaient dans la salle maintenant.


Chacun à joui à son tour, chacun à crié, les filles comme les hommes. Puis le calme est revenu.


A suivre


N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast


Comme prévu Ep04 Un petit boulot

 

Comme prévu Ep04

Un petit boulot



C'est donc finalement avec un large sourire qui allait d'une oreille à l'autre que je rentrais chez moi. C'était l'heure de passer à table, mes parents étaient là et me recevaient avec le sourire.


Je me souviens , je me suis dit , ''  Là Ça craint ! ''.


mon père avait un large sourire, pas aussi satisfait que le mien et il faut bien se dire que moi j'étais aux anges ! Je ne pensais qu'à la voisine Serena, elle était magnifique, elle avait uns silhouette de rêve et je ne réagissait pas vraiment comme il fallait. Enfin je veux dire comme d'habitude.


J'ai un peu paniqué, je me suis demandé si mes parent n'allait pas remarquer quelque chose, mais ils étaient eux aussi aux anges mais pour des raisons qui me paraissaient plus obscures. Je ne comprenais pas, il y avait quelque chose que je ne comprenais pas !


Mon père me cachait quelque chose, ça ne faisait aucun doute. Je me sentais bien, et je gardais mon sourire.


Il faudra travailler ! Me disait simplement mon père.


Je le regardais, je tournais mes yeux vers ma mère, elle aussi avait l'air contente, satisfaite.je ne réagissais pas, en fait je ne comprenais pas vraiment ce qu'il voulait dire, de quoi il parlait ni ou il voulait en venir.


Tu sais trésor, ce ne sera que pour la saison …

C'est bien ! Répondais-je.

Tu es d'accord alors ? Me demandait ma mère toute contente de ma réaction ou plutôt mon absence de réaction.

On t'a trouvé un petit boulot, oh c'est pas trop dur, ne t'inquiète pas.

On t'a trouvé un boulot de serveur dans un restaurant bar. Terminait ma mère.


Je les regardais l'un puis l'autre, je commençais tout doucement à comprendre, mais il y avait encore des lacunes dans ce qu'ils me racontaient. Je les écoutais et j'assemblais les morceaux.


C'est un endroit très convenable. Me disais ma mère.

Il faudra que tu te comportes bien. Surtout que tu ne portes pas de dispositif PK ( Purity Keeper , c'est la société qui fabrique les dispositifs de chasteté, je dis ça au cas ou il y en aurait qui ne connaissent pas )

C'est pas la peine de le dire à tout le monde, continuait-il.

Surtout que tu seras le seul . Concluait ma mère.


Ensuite ma mère nous invitait, mon père et moi, à passer à table.


Je remettais les idées en place. Un petit boulot, serveur dans un restaurant-bar, job d'été ou job étudiant … ça devait être quelque chose comme ça. Après tout c'était pas une mauvaise idée ça. Ça me ferait un peu d'argent de poche, je trouvais l'idée excellente, et mon sourire s'élargissait encore un peu plus. Je pensais … permis de conduire, une petite moto, des fringues, et je pourrais même inviter Serena au restau.


Finalement j'étais content de ce programme. Mes parents étaient soulagé que j'accepte sans faire de difficultés de travailler et de participer à payer mes études.


Mon père s'était procuré un catalogue de la PK, on y trouvait tous les nouveau modèles aux couleur de la nouvelle mode. Je regardais ça, j'y croyais pas, il y avait tout un tas de modèle du plus simple au plus fantaisiste. Tous reposaient sur le même principe mais certains avaient une sorte de bouclier ,amovible ou pas, avec un décoration, et de toutes les couleurs.


Je remarquais que c'était le catalogue des dispositifs faits sur mesure. C'était pas les moins chères. Et c'est très naïvement que je ne faisais aucun rapprochement entre ce catalogue et le fait que mes parents m'avaient trouvé du boulot.


Mais quand je dis aucun rapprochement, vraiment aucun. Une vrai nouille, en fait je pensais toujours à Serena. Cette fille , je l'avais dans la tête. C'était ma première petite amie, enfin je ne sais pas si je peux présenter les choses comme ça, c'est vrai quoi elle avait l'âge d'être ma grand mère … Enfin ma mère … enfin ma grande sœur. Elle avait tout de même le double de mon âge, plus de trente ans et elle était mariée, enfin presque, elle avait été mariée pour être exact.


J'ai pas très bien dormi cette nuit là, j'ai rêvé à Serena, je me réveillais puis je me rendormais et je rêvais encore à Serena, puis je me réveillais … Et comme ça toute la nuit.


Plusieurs jours plus tard, mes parents m'emmenaient au bar restau qu'ils m'avaient trouvé. C'était un endroit sympathique placé dans un quartier discret. Mais une fois la porte franchie, c'était un vrai palace enfin je veux dire que c'était très classe, lumineux et luxueux. Une grande salle de bar et une salle à manger de très belle taille.


L'ambiance était feutrée, une moquette épaisse réchauffait l’atmosphère. C'était un endroit ou on pouvait se sentir bien.


On me présentait à l'équipe du bar. L'équipe du restaurant n'était pas encore arrivée, puis mes parents me laissaient, on me faisait alors visiter les lieux.


Je commençais le jour même. J'ai fait quelques service à table et rapidement j'y prenais goût.


C'était sympa, surtout que les clients étaient surtout des clientes …


J'ai vite été surpris de voir qu'il y avait très peu d'hommes dans la salle de bar. Les femmes se retrouvaient par groupe d'habituées. Il y avait un petit groupe à la table du fond, cinq jeunes femmes qui rigolaient bien entre elles.


Quand je m'approchais pour les servir, elles ne disaient plus rien mais je sentais leurs regards qui parcouraient mon corps.


Je ne sais pas d’où cela pouvait provenir, mais depuis que je fréquentais Serena je ne voyais plus les femmes de la même manière, même les vieilles . Enfin les plus vieilles, plus vieille que moi quoi, enfin un peu plus vieilles mais pas trop non plus. L'autre voisine en face de chez moi par exemple ne me faisait aucun effet, peut être parce qu'elle était un peu plus âgée , enfin beaucoup plus. Oui bon elle en avait soixante cinq. Mais elle était très bien et faisait des gâteaux absolument merveilleux.


Mais ce groupe de cinq femmes était amusant. Les regards s'échangeaient entre elles et moi, ils devenaient plus insistants, plus réguliers. J'étais le petit nouveau du bar et elles m'avaient remarqué !


J'étais rapidement dans mon élément, je me sentais tout à fait à mon aise. Et rapidement on se mettait d'accord le patron et moi pour la saison d'été.


Après la saison. Me disait mon père. Tu pourras te payer le dispositif de chasteté de tes rêves et tu pourras valider ton inscription à la PK Scool.


Oui bon, c'était pas mon projet ça, la PK Scool. Il ne l'avait pas encore compris. Mais comment lui dire, comment le dire à mes parents, je me disais que ma mère comprendrait mieux que mon père mais je n'en étais même pas sûr.


Bon en attendant je gagnais du fric, je recevais aussi de l'argent de poche, c'était le pourboire, et j'étais tellement mignon qu'on m'en donnait plein. Il ne m'a pas fallu bien longtemps avant que j'ai suffisamment d'argent pour me payer le dispositif mais ça, je ne l'ai dit à personne. Le soir après le boulot je me payais des petites sorties avec mes camarades de boulot.


C'est lors d'une de ces soirées que j'ai appris que je n'étais pas le seul à travailler dans ce bar et à ne pas porter de cage de chasteté.


On en parlait tranquillement, à une table d'une boite de nuit et mes deux camarades avec qui je travaillais tous les jours m'avouaient en rigolant qu'ils ne portaient pas le dispositif de chasteté. J'en revenais pas. La soirée se prolongeait et la nuit était bien avancée quand nous décidions de rentrer.


J'approchais de chez moi et je passais devant la maison de la voisine. J'hésitais quelques instant et je décidais finalement d'y rentrer. Elle ne ferme jamais la porte de derrière, c'est par là que je passais. Je faisais très attention à ne pas faire de bruit, comme un voleur. Je ne voulais rien voler mais je ne voulais pas non plus … En fait je ne sais pas ce que je ne voulais pas. Je me pressais en silence avec un petit gargouillis dans l'estomac. J'allais faire une surprise à Serena.


J'entre ouvrais la porte de sa chambre, il y avait un lumière très diffuse et très légère, ce n'était pas l'obscurité totale. Elle était là allongée sur le dos, sa tête douillettement posée sur son oreiller et les bras en croix. Elle dormais profondément. Il ne m'a fallu que quelques secondes pour retirer mes vêtements, tous mes vêtements. Ma grosse queue se redressait immédiatement avec vigueur.


Je m'approchais doucement de Serena me penchais vers elle et déposais avec douceur mes lèvres sur les siennes.


Je la sentais frémir, elle répondait à cette invitation, je sentais sa langue glisser sur mes lèvres et ma queue durcir encore plus.


Elle ne semblait pas se réveiller mais elle refermais ses bras sur moi. Elle était comme somnambule. Elle gémissait à peine. J'avais l'impression qu'elle me murmurait quelque chose mais elle gardait les yeux fermés.


Je me laissais aller, je la serrais encore plus fort dans mes bras, au risque de la réveiller. Là je ne m'en inquiétais plus. Je sentais ses bras se refermer autour de moi avec force.


Je l'embrassais, puis je la couvrais de baisers. Elle me rendait chacun de mes baisers, elle m'embrassais sur les lèvres, sur les joues, sur les épaules, le torse et son visage descendait lentement le long de mon corps et arrivait enfin sur mon sexe.


Ça ne faisait plus aucun doute, elle ne dormais plus.


Elle me prenait la queue dans la bouche et je sentais sa langue qui tournait tout autour avec douceur. Le plaisir montait tout de suite, pas jusqu'à l'explosion, pas encore, il était encore tôt, pour nous il était même très tôt.


Je lui caressais les cheveux, j'appuyais sur sa tête, mais j'appuyais tout doucement, je ne voulais pas l'étouffer. Elle répondait avec plaisir à chacune de mes stimulations, à chacune de mes caresses.


Quand son visage se relevait et que mes lèvres de nouveau retrouvaient les siennes, je sentais son corps chaud contre le mien, ses seins s'écraser contre mon torse.


Elle m'enjambait, plaçait ses jambes de chaque côté de mon bassin et lentement, avec une grande douceur s'empalait sur moi. Là c'est moi qui gémissais.


Elle me glissait en elle, se penchait sur moi et m'embrassait. C'est encore elle qui imprimait le premier mouvement, elle se relevait puis se laissait retomber, de tous son poids. Elle était légère, je la sentais à peine.


Je continuais en imprimant à mon tour le mouvement, je relevais mon bassin, soulevais alors Serena qui se cambrait et gémissait. Elle se laissait retomber quand je me relevais et inversement. Les mouvements devenaient de plus en plus rapides. Il devenaient même violents par moment, elle aimait et moi je ne vous dis pas, j'adorais.


Son corps menu, délicat, doux, tendre pour moi tout seul, était à ma disposition rien que pour moi. quand je le voulais, comme je le voulais.


Je ne sais pas si c'est l'alcool que j'avais bu, j'avais un peu picolé. Je ne sais pas pourquoi elle m'a laissé faire mais elle ne m'a pas repoussé, elle a seulement râlé très fort au moment ou ma bite glissait entre ses fesses et disparaissait en elle. Je sentais son corps se contracter, ses reins se relever. Je me sentais bien là ou j'étais, c'était simplement génial même si je ne comprenais pas comment elle pouvait se prendre ma gosse queue dans le cul.


Mais c'est vrai que là, je n'avais pas vraiment de référence pour faire une comparaison, Serena était ma première copine.



A suivre



N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast

Comme prévu Ep03 Tout va bien quand même

 

Comme prévu Ep03

Tout va bien quand même



Rapidement mes parents décidaient de ne plus parler de cette histoire.


Tu éviteras de parler de cette histoire autour de toi. Me disait mon père ! Pense à ta réputation ! Puis il reprenait … Notre réputation.


Bon c'était pas ma faute, on ne me faisait pas plus de reproche que cela et on passait à autre chose et je reprenais ma vie comme si tout allait bien !


D'ailleurs, tout allait bien en fait. Surtout pour moi, comme je vous disais, je n'étais pas enthousiaste pour mettre le dispositif de chasteté déjà au départ et là, je vous jure qu'après avoir fait plus ample connaissance avec la voisine je ne voulais plus, là c'était maintenant formel. Je ne disais rien, pour le moment personne ne m'en parlait mais je savais comment j'allais réagir au moment ou on m'en parlerait ! Et là je saurais quoi dire !


NON ! C'EST HORS DE QUESTION !


Oui bon, je savais que ça ferait un drame aussi je préférais ne plus en parler en attendant !


Je devrais renoncer à faire mes études à la PK School, mais je me disais que de toutes façons je n'avais pas envie des carrières qu'elle nous promettait. Non mais franchement, vous savez il y a plein d'emplois ou on ne vous demande rien. Et il y a même encore plus d'emplois ou on n'a pas besoin, absolument pas besoin de porter cette espèce de cochonnerie, pour vendre des appartements.


Ne me dites pas que c'est pas un boulot, j'ai un oncle qui en vent et il gagne vraiment très bien sa vie. On ne parle jamais de lui dans la famille d'ailleurs, je me demande si … Il faudra que je lui pose la question. Pour savoir … C'est vrai ça, maintenant que j'y pense je me dis qu'il a beaucoup de succès avec les femmes dans son boulot …


Les jours passaient, oh pas beaucoup, trois, quatre , pas plus et un jour je rentrais chez moi et je voyais ma voisine la sublime Serena, très en beauté, je la regardais longuement en approchant de la maison. Elle était belle, et je me demandais bien pourquoi je l'avais considérée comme une vieille. Elle était en fait très jeune, un peu moins que moi mais c'est vrais que moi j'étais un gamin à cette époque.


Elle tournait son visage vers moi, et me souriait.


Était-ce un très léger souffle de vent, à peine perceptible qui lui soulevait sa jolie mèche blonds et montrait son front, blanc, ses beaux cheveux blonds que je savait tellement doux. Était-ce un léger souffle de vent qui écartais cette branche qui lui faisait de l'ombre et laissait rayonner son visage en pleine lumière.


Son sourire éclatait alors de lumière et moi je me sentais tout bizarre.


Elle s'approchait de moi.


Salut beau blond ! Me lançait-elle. Tes parents sont absents, je te paye un chocolat .


Le lui rendais un large sourire en me précipitant vers sa porte d'entrée.


Elle me suivait et refermait sa porte juste derrière elle, je me retournais et me trouvais alors mes lèvres contre les siennes. Nous échangions un long baiser, et sentais la chaleur de ses seins sous sa chemise, ses seins se relevaient, ses tétons rebiquaient .


C'est vrai que là, on a un peu oublié le chocolat.


Elle commençait par m'embrasser, je vous jure que je ne la repoussais pas. Bien au contraire je refermais mes bras autour d'elle et lui rendais son baiser. Ses lèvres me semblaient encore plus douces que quelques jours plus tôt. Je ne sais pas à quel moment sa chemise est tombée et elle s'est retrouvée entièrement nue dans mes bras.


Je sentais sa chaleur, sa douceur. Je sentais ses seins qui glissaient contre ma poitrine, ses tétons devenaient plus durs, plus fermes. En plus, maintenant je savais ce que je risquais et je n'avais pas peur, oh non, même pas peur !


Mes mains glissaient contre son corps, avec douceur, il faut toujours y aller avec douceur. Ça je l'avais déjà compris. Sa poitrine était ferme, ses seins étaient d'une extrême douceur, je m'attardais quelques instant à ce niveau, puis mes mains continuaient un peu plus bas.


Mes mains arrivaient au niveau de ses hanches et je la tirait vers moi. Ses mains glissaient sous ma chemise, ses seins s'écrasaient sur mon torse. J'avais déjà l'impression de me mélanger un peu avec elle.


Ma chemise tombait et ses mains aussitôt glissaient dans mon pantalon, sur mes fesses. Je me rapprochais d'elle, son corps contre mon corps . Je sentais ma queue qui gonflait dans mon pantalon, elle devait le sentir elle aussi. Ses lèvres, sa bouche et sa langue devenaient plus intrusives.


Je relevais la tête en arrière et je la laissais faire elle m'embrassait sur ma gorge, me caressait avec sa langue et ses lèvres. C'était bon, je me sentais brusquement très important, j'avais une femme magnifique dans mes bras et ses mains m'ouvrait mon pantalon.


Quelques instants plus tard, il glissait sur mes pied.


Serena glissait à genoux contre moi et sans attendre plus, elle me prenait ma queue dans sa bouche. Je vous jure, j'adore ça, surtout qu'elle fait ça bien. Je caressais sa tête, ses cheveux. Ils étaient tellement doux, c'était un voile qui glissait sur moi !


Je dégageais mes pieds de mon pantalon, c'est alors entièrement nu que je me présentais devant elle.


Elle se relevait lentement, sa main me caressait encore en prenant tout son temps, elle s'attardait un instant sur mes couilles puis m'entraînait ver sa chambre pour la suite des opérations. ( oh comment que je d is ça moi ) !


Elle me tirait avec force et surpris, je m’écroulai sur le lit. Elle me suivait et s'écroulait sur moi. Son corps était chaud, et terriblement léger, c'est vrai qu'elle est menue et que moi je suis costaud.


Je me retournais sur elle, elle se retournait sur moi et nos corps se caressaient, pas seulement les mains, mais tout le corps.


Mon visage plongeait entre ses cuisses et ma langue découvrait ce qu'il me restait à découvrir, ce que je n'avais pas vu la première fois.


C'était la seconde fois mais c'était déjà une habitude que j'étais prêt à prendre, à suivre. J'étais prêt à remettre ça tous les jours, plusieurs fois par jours.


On se retournait et on se retournait encore pour finalement se retrouver visage contre visage, lèvres contre lèvres et sexe contre sexe.


Elle écartait les jambes, je glissais entre, sa vulve s'ouvrait et je glissais à l'intérieur. C'était doux, humide et un peu étroit mais pas trop et je glissais lentement bien à fond. Je voyais ses yeux se retourner, son visage grimacer. Elle était étroite enfin juste comme il faut. Je glissais, j'entrais et je ressortais puis je recommençais .


Rapidement je la sentais convulser, ses reins se redressaient, se cambraient. Ses jambes se refermaient avec force autour de mes reins, elle me retenait, me tirait vers elle. Je convulsais à mon tour et finissait par perdre le contrôle, je ne me rendais pas contre qu'elle avait déjà perdu le contrôle. Ses réactions n'étaient plus que des convulsion, des contractions, elle respirait fort, et son cœur battait très vite, plus vite encore que le mien !


Je m'enfonçais bien à fond, la retournais contre moi sur mon ventre, elle me chevauchait alors, se redressait et s'agitait.


C'est elle qui alors s'enfonçait sur moi, elle s'empalait avec un plaisir qu'elle ne cherchait pas à dissimuler. Ses jambes repliées contre mes hanches, elle se relevait et se laissait tomber avec de plus en plus de force. J'aurais eu peur de lui faire mal, mais de toutes évidences, elle pouvait encaisser, elle savait encaisser et elle en redemandait.


Je ne faisais presque plus rien, sinon lui caresser les seins du bout des doigts avec une grande délicatesse.


Ses seins se balançaient sous mon nez, je devais avoir un sourire un peu niai, c'est sûr. Mais je ne m'en préoccupais pas vraiment .


Je sentais le massage que son intimité pratiquait sur mon pénis, c'était tellement bon.


Le plaisir montait, je sentais le plaisir qui montait de plus en plus jusqu'à déborder et là, c'est moi qui convulsais.


Pendant un moment aucun d'entre nous ne contrôlait plus rien. Je me redressais et refermais mes bras autour de son corps. Elle s'écrasait contre moi jusqu'à en prendre l'empreinte, ou alors c'était moi .


J'ai joui, j'ai éjaculé, et j'ai senti vibrations contre moi. Un cri, un cri violent à vous exploser les oreilles mais je ne sais plus si ce cri venait de moi ou d'elle.


Nous avons tremblé, en apnée. Nous avions du mal à reprendre notre souffle puis les corps se sont détendus. Tous mes muscles se sont détendu, je suis retombé sur le dos, heureux. Elle est retombé sur moi, je sentais à peine son poids tant elle était menue. Nos respirations se faisaient de concert, et nos cœurs retrouvaient lentement un battement plus calme.


Nos deux corps se retrouvaient empilés, l'un sur l'autre, tout mou, presque inertes mais heureux !


Je te demande officiellement, n'accepte jamais de mettre ces dispositifs démoniaques. Me disait-elle doucement.

Ça ne risque pas, tu sais que la loi interdit la contrainte , donc ça ne risque pas !

Ce serait vraiment dommage ! Concluait-elle .


On restait là, presque sans bouger, elle me caressait doucement la queue qui par moment se relevait mais qui restait de grosse taille, qui restait une grosse molle, bien grosse mais pas trop molle.


On prenait le temps de partager un long , un très long câlin avant de passer sous la douche, on en est ressorti épuisé, heureux et détendu.


On s'est rhabillé, ce n'était pas vraiment nécessaire mais on à pensé que ce serait plus simple, plus présentable que je sorte tout habillé. Je sais pas ce que vous en pensez mais ça me semblait raisonnable. Je me suis donc rhabillé, sans me pressé mais je l'ai fait.


Ensuite on a discuter.


Tu es sûr que que tu ne mettra jamais une cage à bite, moi je veux pas ? Me demandait-elle.

Oh oui , j'en suis sûr, il n'en pas question. Déjà que, je n'étais pas vraiment enthousiaste. Et bien maintenant encore moins.

Mais c'est une obligation … Enfin plus ou moins …

Plus ou moins, et c'est toute la déférence. Pour postuler à certains postes oui, c'est une obligation mais pour certains postes seulement.

Ça ne t'inquiète pas ?

Non, et puis de toutes façons je n'ai pas envie de postuler à la PKScool.

C'est vrai que pour cette école, c' est une obligation ! Mais les diplômes qu'on y reçoit sont convoités par de très nombreuses entreprises.

Oui je sais, mais c'est pas une raison. Moi je ne veux pas porter ce dispositif , j'ai déjà fait un essayage l'autre jour et c'est pas pour moi !


A suivre



N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast

INDEX

    . Textes et fictions sur le thème de la chasteté masculine, gay.                                         PAGE D'ACCUEIL   Mis e  à j...