PETIT MAIS COSTAUD ép 3

 PETIT MAIS COSTAUD ép 3




J'avais à peine fermé la porte que je lui sautais dessus et l'embrassais. Il avait pris son plaisir lui, pas moi ! Enfin quand je dis que je lui sautais dessus, en fait , vu qu'il est plus petit que moi, d'un tout petit gabarit et que je ne voulais pas l'abîmer. Je me contentais de l'attraper dans mes bras, de le serrer contre moi, ça l'amusait. On en profitait pour se faire un câlin …


– Je prendrais bien une douche moi pour me débarrasser du sable … Me disait Ali.

– Pareil ! On y va ?


On se retrouvait tous les deux à poil sous la douche. Enfin à poil, comme je dis, je ne suis jamais à poil, jamais complètement à poil. Je lui frottais le dos, et pas que … Ce qui n'était au départ qu'une douche de dessalage se transformait rapidement en une vraie douche un peu coquine. Je le savonnais, vigoureusement, le le prenais dans mes bras. Ma queue qui s'était un peu fait oublier se réveillait avec force et je retrouvais l'inconfort que j'avais éprouvé pendant une bonne partie de l'après midi à la plage.


Mais l'inconfort, c'est aussi ce qu'on recherche quand on porte un tel dispositif. Enfin pas l'inconfort permanent, pas l'inconfort douloureux mais juste un  inconfort occasionnel. Un inconfort qui me rappelle que je ne peux pas bander, que je ne peux pas me branler, que je ne peux pas me faire sucer et que … Je ne pourrais pas l'enculer. J'en avais envie mais j'avais choisi la frustration et il semblait vouloir me garder comme ça. C'est ce que j'avais compris en tous cas deux jours plus tôt quand il m'avait demandé de garder ma cage de chasteté.


C'étaient là mes pensées, mes mains parcouraient son corps, ses épaules, son dos, une main passait sur son ventre et descendait vers sa queue qui se relevait avec fierté. Je la lui lavait avec douceur et ma queue dans sa cage se révoltait. 


Il se blottissait tout contre moi, penchait la tête en arrière, je penchais mon visage sur le sien et l'embrassais. Ma frustration était de nouveau au plus haut et ma cage de chasteté se refermait sur ma queue comme pour l'étrangler.


Il était dans mes bras me tournant le dos. Il décidait de se retourner, j'en faisais de même, il me frottait le dos et je sentais son corps se coller au mien, sa queue bien en forme se glissait entre mes cuisses et dépassait sous ma cage. J'avais presque des palpitation, je n'attendais plus qu'une chose. Ce que j'avais attendu pendant toute la journée. J'attendais qu'il me demande de me pencher en avant de me baisser pour qu'il puisse m'enculer. 


A nouveau une certaine trouille me remontait dans mon estomac. D'habitude j'ai pas peur de la trouille quand je vais me faire enculer mais là … C'est vrai que j'étais resté très calme sur ce point depuis que je portais le dispositif. Mais c'est vrai aussi qu'il avait une très grosse bite. Je ne vous l'avais pas dit ? … Mais si je suis sûr de vous l'avoir dit, regardez donc les épisodes précédents, il me semble bien avoir parlé de ça.


Je savais que ça allait faire mal, je sentais déjà la pression de ce gland massif, je sentais mon anus se dilater jusqu'à la limite de la déchirure, je me sentais envahi par une masse jusqu'au fond de mes entrailles. Je tremblais.


Il faisait preuve d'une grande douceur, me savonnait partout et en particulier entre les fesses, je frissonnais de désir. Deux doigts se glissaient dans mon cul rapidement, il les agitait contre ma prostate. Mon souffle s'arrêtait, mon cœur allait exploser. Je tremblais mais je le laissais faire, j'étais tétanisé.


Il me donnait un baiser dans le dos, je frissonnais puis il me shampooinait, là je dois dire que je ne comprenais plus trop de qui se passait, je me retournais, je regardais, lui souriais, il me souriait et … Je le shampooinais à mon tour. C'est lui qui avait commencé après tout !


On sortait de la douche en rigolant.


Ali : Tu as des serviettes ?


J'en sortais une du placard, une seconde pour moi, on se séchait en silence, je le regardais faire, il avait un sourire amusé et une grosse bite qui se redressait contre son ventre. 


Je ne comprenais plus rien. 


Je me sentais bien, un peu vidé, mais frustré ! Je m'attendais vraiment à quelque chose d'autre. Il joue avec mes nerfs l'animal !


Il me regardait toujours avec ce petit sourire qui me faisait craquer, comment lui en vouloir s'il jouait avec mes nerfs ? Ma queue protestait toujours avec force ! On revenait dans le salon, j'ouvrais la baie vitrée. J'ai un jardin privatif et je peux me balader à poil dans mon jardin. 


Le soleil inondait la pièce et je pouvait le voir, plus beau que jamais au milieu de mon salon noyé dans une lumière chaude, sa queue à l'horizontal me faisait fondre de désir. Je ne bougeais plus, je l'admirais, il me souriait.


– Un petit rafraîchissement ? Lui demandais-je.

– Avec plaisir !



Je préparais deux grands verres d'eau avec un peu de sirop de fruit. Il s'était installé sur le fauteuil, les jambes allongées, écartées. Sa queue reprenait doucement une taille normale, enfin normale pour lui. Je m'asseyais sur le tapis devant lui. On discutait.


Il m'avait subjugué, je n'osait même pas lui demander ce à quoi je pensais depuis des heures. M'enculer ! 


On s'est préparé à manger, j'allumais le barbecue, on faisait griller la viande et chauffer les légumes. C'était comme un jeu pour lui, il passait à côté de moi, il me donnait une caresse. Son corps se frottait contre le mien.  Rapidement j'entrais dans le jeu, si c'est moi qui passais à côté de lui j'en faisais de même. Ma main lui caressait le dos, l'épaule, le torse. On restait dans la retenu, on laissait monter le désir. Avec moi, il était déjà bien monté le désir mais … bon … 


Sa queue grossissait, se transformait en une grosse molle qui pendait lourdement. Mais on était et on restait dans la retenue. Je n'y touchais pas, juste un baiser, juste une caresse.


Puis le repas terminé, nos caresses devenaient plus insistantes, moins retenues, plus directes. Sa queue se redressait à l'horizontal, la mienne protestait et par les ouvertures d'aération la peau formait comme des bulles tans la pression était grande dans ma cage … 


On se retrouvait face à face et là ce n'était plus une simple caresse ou un contacte rapide. Chacun refermait ses bras sur l'autre puis le retenais, le serrais fort contre lui. Sa queue se relevait et se retrouvait doucement écrasée entre nos deux ventre au moment ou je le prenais dans mes bras et le soulevais pour pouvoir l'embrasser. Il avait passé ses bras autour de mon cou et s'y suspendait.


C'était un tout petit gabarit je vous dis, mais son corps était doux, ferme parce que musclé, sa peau était comme de la soie, il n'était pas bien lourd, il passait ses jambes dans mon dos.


Ma queue a hurlé de colère, dans cette position si je n'avais pas eu ma cage de chasteté j'aurais pu le pénétrer, ma queue le savait et même si je suis passif il y a des jours ou un peu d'activité ne me dérangerais pas vraiment.


Je m'asseyais puis m'allongeais sur le canapé, il ne me lâchait pas et se retrouvait allongé sur moi. Il en profitait pour me couvrir de baiser pendant que moi, je le couvrais de caresses. 


Quand, enfin il arrivait juste au dessous de mon nombril il me soulevait les jambes, et le cul par la même occasion. Il prenait position entre mes cuisses, mon sang se glaçait dans mes veines. Il posait mes chevilles sur ses épaules. La trouille me prenait à la gorge, j'allais enfin avoir ce que je voulais mais je n'étais plus vraiment sûr de ce que je voulais justement au moment ou je sentais sa bite appuyer sur mon cul. 


C'était pas comme si elle appuyait juste sur l'ouverture de mon petit cul, elle était large et j'avais comme l'impression que son gland appuyait sur toute la largeur de mes fesses. En fait je paniquais.

Il poussait, il m'avait longuement lubrifié mais ça ne rentrait pas tout de suite. Ma tête était en feu. Il poussait plus fort, je lâchait, mon cul se dilatait, j'ai cru mourir. J'ai hurlé '' Doucement … '', il s'est retenu. Il ne bougeait plus, je soufflais fort, il m'avait fait mal le con. 


J'étais là le cul toujours dilaté et sa queue juste un tout petit peu dedans, juste un petit peu mais c'était déjà bien assez pour que je la sente bien. Au bout d'un moment je retrouvais mon calme, ma respiration redevenait normale. Je le regardais bien dans les yeux, il se penchait vers moi et m'embrassait.


Il enfonçait encore un peu plus sa queue, je me crispais, j'essayais de me décontracter. Je contractais mes cuisses, elles échappaient à mon contrôle. Mon cul finissait par accepter l'intrusion et se détendais réellement. J'ai dégusté, je vous jure que là, j'ai dégusté.


Il s'est glissé sur toute sa longueur  jusqu'au fond de mon cul, j'avais l'impression que mon ventre allait exploser. Mon cul s'habituait déjà à ce traitement, c'est étonnant comment on s'habitue, c'est étonnant comment le plaisir peut venir plus vite, plus fort, plus intense. C'est à partir de ce moment que j'ai commencé à jouir.


Il s'est retiré, enfoncé de nouveau, retiré de nouveau et encore enfoncé. Bien à fond, il appuyait son ventre contre mes fesses. Il me regardait dans les yeux et me faisait un grand sourire. Je lui rendais ce qui devait être une grimace monstrueuse. Il accélérait le mouvement.


Ça faisait quoi ? Quatre jours qu'on se connaissait et déjà sa queue était comme chez elle dans mon cul, elle glissait sur toute sa longueur et quand elle arrivait bien au font son ventre frappait contre mes fesses. Mais là j'avais la force de gueuler et je gueulais. 


C'est un tout petit de bonhomme de rien du tout que je tenais dans mes bras. Il était vraiment menu comme un gamin mais c'était un homme, c'était un homme plein de surprise. Je suffoquais, je tremblais, je refermais mes jambes dans son dos et le tirais vers moi. 


Il s'allongeait de tout son poids sur moi, je le sentais à peine. Je refermais les jambes un peu plus haut dans son dos et pour ça, je relevais mon cul. Il en profitait pour me défoncer avec encore un peu plus de vigueur. Je gémissais de plaisir. Je jouissais depuis un moment, le plaisir ne retombais pas et je ne savais pas si à ce moment j'avais envie de pisser ou d'éjaculer. Tout ce que je sais c'est que c'était le pied !


Quand il jouissait dans mon cul, je l'ai senti, il a eu quelques mouvements de bassin plus violents. Là encore j'ai dégusté. J'ai pas senti son éjaculation, non, ça c'est pas possible. C'est sa queue que j'ai senti en moi et son ventre qui m'écrasait les fesses. 


Il s'est ensuite laissé retomber sur mon, il respirait fort. J'en pouvais plus !


– Ouah ! C'était quelque chose ! Me disait-il

– Moi : Tu l'as dit !


Il se retirait. C'était un plaisir, un grand plaisir au moment ou il ressortait totalement. Mais je continuais à le sentir en moi, là encore c'était un plaisir, un plaisir qui se prolongeait et durait.


On s'est endormi, tous les deux amorphes, on a échangé un dernier regard et on s'est endormi.


Le lendemain c'est dans les bras de l'autre que chacun s'est réveillé. On avait bougé pendant notre sommeil, on s'était endormi l'un à côté de l'autre, on se touchait même pas mais au réveil on était enlacé !


Mon cul me rappelait notre soirée, c'était agréable. Je me sentais bien.


On prenait notre petit déjeuner, on se détendait longuement dans mon jardin puis finalement on se préparait pour partir à la plage …


– Alors tu me fais plaisir, je veux pas voir de maillot de bain ! Il insistait sur ce point.

– Non mais tu rêves, je vais me faire remarquer moi !

– Mais non, avec moi à tes côtés personne ne fera attention à toi !


Il me donnait un baiser charmeur sur la bouche.




N'hésitez surtout pas à me laisser une commentaire et à me retrouver sur Twitter …  @CharlyChast 


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