JASON 01 : La mère de Ludo

 JASON 01 : La mère de Ludo




Jason était un garçon absolument adorable. Il venait d'avoir dix huit ans et il était également vraiment très beau. Blond, yeux bleus, il mesurait son bon mètre quatre vint tout mouillé et ne pesait pas plus de soixante quinze kilos sans les chaussures ( ou alors c'est le contraire ).


Il faisait partie des meilleurs élèves de son école, et se préparait donc à entrer en classe pré-universitaire dans la PK université puisque l'entrée à l'université ne peut pas se faire avant dix neuf ans. Il n'était pas de ceux qui aiment se faire remarquer et s'il l'était, c'était précisément pour n'avoir jamais été sanctionné d'aucune manière, c'était par sa discrétion et par sa gentillesse … 


Il était membre de l'équipe de natation et je ne vous dis pas comment il était sexy douillettement musclé de partout avec un corps totalement glabre légèrement ambré. Il portait également à merveille le maillot de bain officiel de l'équipe qui ne dissimulait pas les formes pourtant discrètes de son dispositif de chasteté PK Sécure. Vous savez le truc en titane … ? Non ? Ça ne vous dit rien ! Bon j'explique mais je vous fais la version courte.


C'est un dispositif de chasteté réputé très confortable en titane, indestructible, qu'on peut décorer avec de petit bouclier qui se fixent sur la cage. Le port en est obligatoire à l'université PK et en cette dernière année d'études secondaires plus des deux tiers des étudiants en portent un.


Jason l'avait mis le jours des ses seize ans, avant c'est interdit la législation considère qu'il faut laisser les jeunes se développer normalement. Il le supportait très bien et ne l'avait jamais retiré depuis.


Jason n'était pas de ces élèves délurés, il ne faut pas le dire mais il y en a qui suçait la bite de ceux qui  ne portaient pas, ou se faisait défoncer le cul par eux. Il avait déjà à plusieurs reprise repoussé les avances du jeune Philippe Brosso. Vous savez le fils du big boss, le fabriquant de ces dispositifs de chasteté justement … Qui en plus n'en portait pas. Nombre de personnes s'inquiétaient de savoir que le jeune Philippe Brosso serait un jour l'homme le plus riche et le plus puissant de la planète … Enfin, ça c'est une autre histoire et elle n'est pas toujours glorieuse. 


Sur la sexualité Jason était un peu, comment dire, innocent. Oh il connaissait les élans romantiques, il avait lu. Il connaissait aussi le fonctionnement théorique, il avait étudié la biologie … Mais pour ce qui est du vécu, du ressenti, du contact, du délire dans lequel on se laisse aller quand deux corps jeunes et beau se touchent, se caressent, s'embrassent. Quand la bouche de l'un ne cherche qu'à goûter la peau de l'autre dans les endroits les plus intimes et les plus sensibles. Quand les membres se mélangent et que plus aucun des deux participants ( s'il n'y en a pas plus ) ne sait plus à qui est la main qui dépasse là, si c'est la sienne ou celle de l'autre. Quand une bite s'écrase mollement avec dureté dans le fond de sa gorge ou bien dilate au passage un anus bien étroit pour s'y loger tout en provoquant un plaisir quelquefois douloureux mais tellement bon … 


Pardon ! Je suis confus là, je m'emballe, je m'emballe … Bon je me calme ! … 


Donc pour ce qui est de Jason, sa dernière masturbation remontait à deux ans en arrière, comme le temps  passe, et pour se soulager il utilisait, mais pas plus d'une fois par semaine, le petit dispositif électrique qu'on lui avait offert à la boutique PK. C'est une petit gadget rigolo, ça à la forme d'un stylo de grosse taille, environ un centimètre et demie de diamètre, on se l'enfonce dans le cul et on appuie sur le bouton. Une très légère décharge électrique est alors lâchée sur la prostate, on ne ressent rien mais dans les secondes qui suivent on jute, je ne vous dis pas mais c'est amusant à voir et ça fait tout drôle, surtout la première fois. On jute, souvent généreusement, sans rien ressentir. 


Moi j'aime pas ! Je préfère ressentir quelque chose. Un bon gode, c'est mieux, toujours disponible, jamais en  panne et là au moins si on jute on sait pourquoi. Ou mieux encore une grosse bite avec le mec au bout, avec son corps, ses bras qui vous retiennent, sa force, sa tendresse et ce moment de folie quand il appuie pour vous l'enfoncer dans le cul, bien à fond une bite de grosse taille. Quand il force encore plus si jamais ça résiste, quand il vous fait taire en plaçant sa main sur votre bouche si vous gueulez trop fort de plaisir ou de douleur … Quand …  


Oh pardon, je me laisse allez encore. Bon je me calme … 


Oui, heu, donc, Jason n'avais jamais essayé ça. Il était pur ! Ça me fait tout drôle de dire un truc pareil, j'ai presque l'impression que c'est un gros mot ! ( note de l'auteur ).


Régulièrement il se rendait à la piscine ou au lac artificiel, c'est une installation sportive de malade, des salles de sport à n'en  plus finir, un stade géant à faire baver d'envie les organisateurs des Jeux Olympique, enfin ça aussi c'est une autre histoire. Donc quand il se mettait nu pour faire du sport. Oui il faut savoir que dans les endroits ou seul le maillot de bain est obligatoire, les porteurs permanents du dispositif PK peuvent se dispenser d'en porter un. Le dispositif seul suffit pour qu'ils soient décents. Et Jason comme beaucoup de jeunes dans sa situation aimait bien se retrouver entièrement nu. 


Et il était beau Jason, il était vraiment beau, les filles ne le lâchaient pas des yeux, les mecs aussi remarquez. Mais les filles, on se disait qu'il y en aurait bien une qui allait suffoquer un jour ou l'autre. Jason, les regardait, toujours avec le sourire, il se déplaçait avec élégance mais quand il plongeait et qu'il nageait, c'était une force de la nature qui se lâchait. C'était un champion.


Jason était puceau ! Oui d'accord, vous vous en doutiez, puceau de la bite c'est évident, puceau du cul encore plus mais je veux dire par là qu'il n'avait jamais flirté avec une fille. Même pas flirté !


Et un mec ? C'est une bonne question ça mais à  mon avis c'est surtout une question idiote, il n'y avait certainement jamais pensé. 


En fait Jason était naturellement docile, il acceptait bien sa situation et attendait simplement son tour, le jour ou son mariage viendrait et là, il retirerait le dispositif, ferait un câlin à sa femme et ils s'endormiraient …


Oui je sais, ça fait peur, surtout à dix huit ans. Mais bon il était heureux comme ça et malgré le manque qu'il aurait du ressentir il ne regardait pas les garçon, c'était pas pour lui ça. 


Deux ans plus tôt, il avait feuilleté le catalogue PK, ses parents l'avaient laissé choisir le dispositif de son choix. Il avait rapidement écarté les modèle en plastique pour préférer un modèle en métal. Le modèle céramique ( en fait c'est du composite ) était très à son goût mais le modèle titane pouvait être décoré avec un bouclier qui lui donnait un peu l'aspect du modèle céramique … 


Le jour de ses seize ans on le lui avait offert et il avait passé la journée autour de sa piscine sans rien d'autre sur lui. Son jeune frère était en admiration et déjà en demandait un … Mais bon il avait encore pas loin de cinq ans à patienter celui-là. ( Quelle famille ! )


On approchait de la fin de l'année, tous les élèves avaient plus ou moins le sourire, en général plus que moins. Un bon nombre d'entre eux qui portaient le dispositif aurait le droit de le retirer pendant quelques semaines, pour Jason ce n'était pas au programme. Il aurait pu le demander mais non, il n'en avait rien fait. Au milieu de tous ces visages souriants il y avait le visage du jeune Philippe Brosso, il faisait la gueule ! Des bruits couraient, on parlait d'un  mariage décidé rapidement, juste après la fin des cours. Certains disaient qu'il avait engrossé une fille, d'autres rigolaient en entendant ça et répondaient : '' Philippe avec une fille non mais c'est une blague ! ''.


Jason ne s'inquiétait pas des commérages. Un de ses amis, Ludovic,  l'avait invité à passer ses vacances chez lui, son père était un cadre de la PK , tout comme le père de Jason mais à un poste bien plus élevé, et il avait une grande maison à la campagne avec piscine dans un endroit charmant et calme. Jason et son ami Ludovic attendait donc devant leur collège, la cérémonie était terminée, tout le monde se congratulait, dans un coin Philippe Brosso semblait s'engueuler avec son père. Mr Brosso Antoine s'était déplacé pour l'occasion, mon dieu ! Celui là, même avec un rendez-vous,  il est aussi difficile à rencontrer que la reine d'Angleterre sans rendez-vous !


Une superbe voiture de sport rouge d'une marque italienne que je ne nommerai pas ( pour ne pas faire de pub ) s'arrêtait de l'autre côté de la route, et une jeune femme sublime en sortait. Jason ne voyait plus qu'elle, elle était presque aussi grande qui lui, blonde avec des cheveux longs qui flottaient au vent, une robe de ville de très grande marque qui ne pouvait aller qu'à un mannequin professionnel, mais cette jeune femme en avait justement les mensurations, elle était tout simplement sublime.


Jason donnait un coup de coude à son ami.


– Tu as vu cette jeune femme là, qui sort de le Ferrari !

– Ahhh ! C'est ma maman !


Jason était tétanisé.


– C'est ta mère, mais quelle âge à-t-elle ?

– Tu sais que c'est très indiscret comme question ça !

– Tu déconnes, c'est pas ta mère ! Et puis d'abord comment une femme aussi belle pourrait mettre au monde un gars comme toi, tu es beaucoup trop laid pour être son fils. 


C'était une taquinerie entre copain et Ludovic rigolait.


– Tu sais Jason, tu n'es pas non plus mon genre … Elle est belle ma maman !

– Mais enfin elle est tellement jeune !

– Trente neuf ans bientôt ! 

– J'y crois pas, je ne lui en donnais pas trente !

– Ça va lui faire plaisir ça !


Ludovic appelait sa mère et les deux garçons se  précipitaient vers elle, il faisait les présentations et montaient tous dans la voiture. 


– Ludo ton père voudrait te voir pendant plusieurs jours, je lui ai dit que tu le retrouverais pour la fin de la semaine.

– Mais maman j'ai un ami et je …

– Je saurais m'occuper de ton ami et le mettre à l'aise, ne t'inquiète pas, ça ne durera que quatre ou cinq jours tout au plus. Ça ne t'inquiète pas Jason si je m'occupe de toi pendant que mon fils passera quelques jours avec son père ?

– Non madame, je suis ravi de faire votre connaissance et je vous remercie de me recevoir chez vous. 


A partir de ce moment Jason s'est cramponné, plus de deux cent cinquante kilomètre heures … D'accord c'était une voie rapide mais tout de même, la dame roulait très vite, elle conduisait très bien mais elle roulait très vite. On laissait Ludovic à l'aéroport, il rejoignait le jet en ronchonnant. 


Jason se retrouvait seul avec Nadine. Ils faisaient connaissance. Elle avait des jambes à n'en plus finir, un corps mince et élancé, un sourire à tomber. Jason était sous le charme et brusquement une étrange sensation lui parvenait de sa cage de chasteté. Elle semblait diminuer en taille. Il bandait.


Oh ça lui arrivait de temps en temps, mais il avait l'habitude de gérer, n'étant pas attiré par les garçons et entouré de garçons c'était assez simple. Mais là c'était un tout autre sentiment qui naissait en lui.


La poitrine de la conductrice faisait naître des désirs encore inconnus dans son esprit. Il se concentrait pour ne rien laisser paraître.


Il avait toujours imaginé que dans le vie, il se marierais, que le soir de ses noces, il ferait un câlin à sa femme après avoir enlevé son dispositif de chasteté et qu'ils s'endormiraient rapidement, comme d'habitude.


Là il se demandait si une nuit de noce, ça se passe toujours aussi simplement, si finalement ce ne serait pas un peu plus compliqué que prévu.


Il imaginait Nadine, entièrement nue. 


Il la voyait allongée à côté d'une piscine, une chapeau léger sur la tête et rien, absolument rien d'autre sur elle. Les lignes de son corps d'une élégance infinies la dessinaient depuis son menton jusqu'à ses cheville. 


Il s'imaginait lui aussi, il lui apportait une grand verre de thé glacé sur un plateau, il en avait prévu deux. Elle le voyait s'approcher et lui souriait. Il était au mieux de sa forme et ne portait que son dispositif de chasteté. C'était tout à fait convenable sur le bord d'une piscine. Il lui tendait son verre, elle le remerciait, ils trinquaient. La main de Nadine caressait la sienne. 


La pression dans sa cage de chasteté était terrible, presque douloureuse. 


Ils buvaient lentement ce nectar. C'est elle qui prenait la parole en premier.


– Tu sais Jason, je suis vraiment très heureuse que mon fils nous ait présenté.

– Moi aussi Nadine, je suis très heureux de vous connaître.


Elle approchait sa main de la poitrine de Jason et le caressait doucement.


Jason était obligé de remuer dans la voiture, tant la pression devenait violente. 


Puis c'est Jason qui posait délicatement le bout de ses doigts sur la poitrine de Nadine. Ses seins étaient fermes, sa peau était douce et le téton devenait soudainement dure et se relevait.


C'est ensuite avec le dos de sa main que Jason caressait tout le corps de Nadine qui se tortillait de plaisir. Elle passait elle aussi sa main sur le corps de Jason, son épaule, elle descendait le long de son torse, puis arrivée sur le bas de son ventre elle lui caressait sa cage. 


A l'intérieur sa bite se révoltait, Jason ne se souvenait plus avoir ressenti pareil sensation, peut être au tout début mais ça faisait déjà deux ans.


Sa mains descendait encore un peu et elle luis tâtais les couilles, au début elles pendaient lourdement, puis sous la stimulation, elle se ratatinaient et formaient une grosse boule bien dure. Jason respirait fort, Nadine frissonnaient. 


C'est avec  une grande douceur que Jason se penchait et s'allongeait sur Nadine. Il faisait très attention à ne surtout pas l'écraser, elle semblait tellement fragile, tellement menue entre les bras musclés d'un sportif champion de natation.


Jason semblait presque suffoquer tant il était excité. C'était de la douleur qu'il éprouvait maintenant dans sa cage à bite, un peu comme les premiers jours, ou les premières semaines. Maintenant il s'en souvenait ça pouvait devenir très désagréable.


Nadine passait ses jambes par dessus celles de Jason, et l'embrassait avec passion. Jason sentait sa langue sur ses lèvres puis sur sa propre langue. Jason était bouleversé, transporté. Son cœur battait fort. Sans même s'en rendre compte il gémissait et tremblait.


– C'est moi qui te fait cet effet ? 

Lui demandait Nadine …


– Excuse moi, je vais rouler moins vite.


Jason se réveillait de son rêve les yeux ouverts, il regardait hagard autour de lui. C'était bien Nadine qui lui faisait cet effet mais c'était pas la vitesse.




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