PETIT MAIS COSTAUD ép 5

 PETIT MAIS COSTAUD ép 5




On est resté là tranquille, sur la terrasse ou sur le gazon, tard dans la soirée. On avait fait un feu, et on discutait tranquillement en dégustant une bière. Ali, Bob et Eric se tripotaient régulièrement en me regardant. Par moment ils se caressaient l'un l'autre. Ma queue restait calme on m'avait soulagé.


Même la grosse bite à Ali ne réveillait plus la mienne qui restait calme, bien confinée dans sa cage. Elle restait bien gonflée, on aurait pu croire que je bandais, elle prenait toute la place. En fait c'était juste une grosse molle, il n'y avait pas de pression, c'était très agréable. Ma queue se rappelait en permanence à ma mémoire mais d'une manière discrète, douce. 


Bob et Eric s'étaient rapprochés. Allongés sur  un grand matelas pour jardin,  Eric avait posé sa tête sur le ventre de son copain, il se caressai la queue. Bobo lui caressait le torse. Ils avaient l'air bien mignons ces deux là. 


Dans son coin Ali se tripotait la queue, il ne cherchait pas à jouir, il s'occupait … Tout en participant à la discussion il se caressait la queue, il bandait, il bandait un peu mou mais il ne cherchait pas à faire mieux. Il ne voulait pas jouir mais comme il me lançait régulièrement des regards rapides pour voir comment je réagissais, j'en concluais qu'il voulait m'allumer.


Mais je restais calme, j'avais joui au niveau de mon cul et je me sentais bien. Les deux autres lascars m'avaient bien stimulé la prostate autant que la rondelle, je me sentais bien et ma queue ne diminuait pas en taille dans sa cage.


C'est peut être ce qui trompait Ali, il devait en conclure que j'étais très excité alors qu'en fait je me sentais parfaitement bien, juste totalement bien. Vous savez quand on s'est bien fait défoncé le cul, on garde encore bien longtemps après l'acte une étrange sensation dans son cul. Comme un souvenir physique, un plaisir qui continue un long moment. Ali m'avait démonté le cul la veille, pendant une bonne partie de la nuit il m'avait limé l'anus et je vous garantis que ce genre de limage c'est pas destiné à des petites natures. Aussi depuis le matin j'avais dans mon cul le souvenir présent de cette pénétration violente, terrifiante mais tellement jouissive. 


Je la sentais encore quand les deux autres lascar m'avait enculé l'un après l'autre un peu plus tôt en début de soirée. Et là les deux souvenir se mélangeaient. Quand je contractais mon cul le plaisir revenait. Quand je détendais mon cul le plaisir revenait. Quand je ne pensais à rien le plaisir revenait. Quand je pensais à quelque chose c'est à ce plaisir que je pensais. 


Je regardais les clins d’œil que me faisait Ali, mon regard descendait ensuite vers son énorme bite. Elle ne me faisait pas peur, elle ne me faisait pas envie non plus. Je savait que quand il le déciderait il viendrait vers moi ou m'appellerait, il me lubrifierait et se lubrifierait aussi et sans me demander mon avis il m'enculerait.


Ça ne faisait pas bien longtemps qu'on s'était rencontré mais je commençais à le connaître. Je savais qu'à ce moment ce serait terrifiant, infernal, horrible, douloureux bien sûr mais absolument génial et que j'en redemanderais.


Je commençais vraiment à l'avoir dans la peau le petit Ali et c'était un plaisir, même si le plaisir était douloureux, c'était un plaisir de l'avoir dans le cul !


J'ai alors décidé que ce serait s'il le voulait, quand il le voudrait, comme il le voudrait. Il pourrait même me prêter comme il l'avait fait ce soir en plaisantant …


La nuit était tombée, Eric était dans les bras de Bob, ils s'embrassaient. Ali bandait bien maintenant, j'avais l'impression qu'il bandait bien ferme et je ressentais cette panique au  niveau de mon cœur, je savais que le moment prévu approchait, je ne savais pas quand.


Ali se relevait d'un mouvement rapide, mon cœur à cessé de battre, et s'est dirigé ver la cuisine. Là c'était l'estomac qui se retournait dans mon ventre. Il revenait quelques instants plus tard avec une bouteille de très bon vin dans chaque main.


Il bandait bien ferme en effet et sa queue se balançait de droite à gauche devant lui, elle était bien relevée, il repartait cherché les verres, je ne le lâchais pas du regard, il était beau et cette queue effrayante commençait vraiment à me faire peur. Je refermais bien mon cul et le serrais fort et c'est le souvenir de la veille ou du début de soirée qui se réveillait. J'avais un nœud dans l'estomac, la sensation était tellement présente que j'avais peur ne sachant si ce serait l'horreur ou l'extase. Ne faudrait-il pas laisser mon cul récupérer un peu ?


Quand Ali revenait avec les verres, sa queue était à l'horizontale et se balançait de droite à gauche. Elle restait toujours aussi terrifiante, toujours aussi fascinante. 


On n'en voit pas tous les jours des bites comme celle-là ! C'est pas vous qui allez dire me contraire … 


On continuait à discuter et à boire. Il savait choisir son pinard le petit Ali. On savait le déguster, on était quatre, il y avait deux bouteilles aussi il ne nous fallait pas longtemps pour les vider 


Bob et Eric étaient enlacés et se faisaient un gros câlin, un câlin de plus en plus intense. Ali les regardait et ça lui faisait de l'effet, il bandait ferme. Moi aussi je bandais, mais personne n'y faisait attention, c'est vrai que dans mon cas il fallait regarder de très prêt pour le voir … 


Brusquement Ali se levait et venait vers moi, sa queue se relevait, elle était presque à la verticale, plaquée contre son ventre . Il me regardait avec un petit sourire et me lançait.


Ali : Retourne-toi sur le ventre et serre bien tes cuisses.


Je m'exécutais. Dans ma tête c'était le vide complet mais dans mon ventre, là juste au niveau de l'estomac c'était un peu la pagaille et dans mon thorax juste au niveau de mon cœur c'était la panique. Je refermais mes cuisses, il s'allongeait sur moi, ses genoux à l'extérieur de mes mes cuisses et rapidement, sans me laisser le temps de comprendre il me lubrifiait le cul, se lubrifiait la bite  et prenait position.


A ce moment dans ma tête je paniquais, ça me le fait à chaque fois. Je paniquais mais je ne faisais rien, surtout pas pour l'arrêter ! J'avais la trouille mais je ne voulais surtout pas qu'il arrête, même s'il devait me faire  hurler de douleur je voulais qu'il continue, qu'il aille jusqu'au bout. Et puis ça ne fait pas si mal que ça tous comptes faits. 


Je sentais cette pression de fou contre mon anus, il poussait. J'avais encore un moment de panique et perdais le contrôle de la situation. Mon cul avait été bien travaillé ces derniers temps et lâchait rapidement. Ma cervelle était en feu, je sentais encore une fois mon cul se dilater mais là c'était le petit Ali qui me dilatait la rondelle.


Il s'enfonçait en un seul mouvement, lent mais décidé. Sa queue me pénétrait, centimètre après centimètre, j'ai cru que j’allais déchirer mais c'était bon, terrifiant mais bon. C'était l'extase, mais une extase à la limite de l'enfer, de l'horreur. 


Ses cuisses se refermaient contre les mienne, mes fesses étaient bien refermées mais mon cul, lui n'était plus fermé, c'était violent, intense. J'ai cru m'évanouir, j'ai voulu hurler mais je ne pouvais faire le moindre bruit. J'avais le souffle court.


Quand on se fait enculer régulièrement, je veux dire par là, souvent … La sensation devient de plus en plus intense, d'ailleurs même entre deux fois la sensation ne s'arrête pas vraiment, c'était mon cas ce jour là. Sa queue qui m'envahissait provoquait un plaisir incroyable et mon cul bien préparé depuis quelques temps ne me faisait pas mal du tout ... 


Quelquefois la douleur est tellement proche du plaisir.


Son ventre s'écrasait contre mes fesses. C'est là que j'ai compris ou il en était, avant c'était juste un plaisir de dilatation anale et d'invasion dans mon ventre.


Ali se laissait retomber sur moi et pesait de tout son poids, je respirais fort. Je regardais vers nos deux invités, Bob et Eric s'étaient assis en tailleur et nous regardaient. Ils semblaient absorbés, passionné.  Je pouvais voir qu'ils bandaient.


Ali se retirait, je sentais de nouveau chaque millimètre glisser dans mon anus. Là je gémissais de plaisir, Ali rajoutait du gel et continuait le mouvement de va et vient un peu plus vite. J'ai gémi plus fort, je râlais, ce n'était pas de la douleur mais je savait que la douleur pouvait se manifester à tout instant. 


Ali prenait son temps, je ne sais pas combien de temps il a mis avant de  jouir dans mon cul, j'avais l'impression qu'il n'en finirait pas. J'ai dégusté comme jamais avant. Et quand il s'est retiré j'étais sonné, je ne pouvait plus contracter mon cul qui restait grand ouvert, dilaté … En fait c'était une impression, il était bien dilaté mon cul mais il se refermait quand même. C'est vrai qu'à ce moment il n'aurait pas fallu pousser bien fort pour qu'il se rouvre à nouveau …


Ali m'embrassait dans le dos puis se retirait. Je ne bougeais pas, je n'en avais pas la force. J'étais allongé, effondré sur le coussin gonflable. Je n'avais pas juté, j'avais joui oui , d'une certaine manière j'avais joui. Et tout cas j'avais pris un plaisir mais, dans ma tête, c'était encore la panique . J'étais retourné. Au moment ou je me relevais, bien plus tard, Ali me tendais un verre de vin. Je le buvais d'un trait sans réfléchir.


Bob et son copain Eric se suçaient l'un l'autre et Ali les regardait faire. C'était l'été et la nuit était chaude, j'étais sur un confortable matelas gonflable, je me suis endormi.


Je me réveillais le lendemain matin, j'étais seul sur la terrasse, on avait déposé une couverture sur moi pour me protéger de la fraîcheur de la fin de nuit, c'était gentil. Je me levais, il faisait déjà jour, le soleil se lève tôt en cette saison. Bob et Eric étaient toujours là, ils avaient dormi sur le canapé, on peut le déplier en lit et il a un très bon matelas. Ali était dans la chambre. Il dormais, je n'osais pas le réveiller, je me contentais de le regarder, de l'admirer longuement. 


Il était sur le dos et sa queue s'étalait entre ses cuisses, il était beau, je me remémorais la soirée de la veille. Cette très belle queue ne s'étalait pas hier soir, elle se relevait, elle était dure, énorme, menaçante, effrayante. Elle avait l'air moins dangereuse là mais je savais qu'il ne fallait pas fier à cette allure molle et sans consistance, il ne lui faudrait que quelques minutes après avoir ouvert les yeux pour relancer la machine, et peut être même que le monstre pourrait se réveiller avant le bonhomme. J'avais envie de le sucer, de lui tripoter la bite et les couilles mais je savais que là il y avait un risque et mon cul m'implorait de ne pas prendre de risques. Je laissais Ali dormir et sans réveiller personne je me préparais un café.


Je m'installais au salon sur la terrasse, et profitait du calme de ce début de journée. 


C'est bien plus tard que Bob se réveillait, il était suivi par son copain Eric. 


Le premier qui arrivait m’attrapait les couilles et me les serrait bien fort pendant quelques instants. Il me faisait mal mais je le laissais faire. Le second en faisait autant. Ils sont taquins quand même !


Ali arrivait un peu plus tard, il avait un grand sourire, il venait vers moi et tout en me tripotant ma cage me donnait un baiser. On prenait alors tous ensemble un petit déjeuner consistant. 


On discutait puis finalement on décidait de passer la journée à la plage. On se préparait et je suivais les habitudes de mes camarade. Un bermuda large avec plein de poche, un chapeau sur la tête, un T-shirt accroché à ma ceinture et des sandales. Une grosse gourde suspendue à l'épaule et une serviette de bain terminaient l'équipement complet. Je laissait tomber tout le reste inutile, je me sentais bien, mon cul ne cessait de me rappeler la soirée de la veille, je n'avais besoin de rien. Mes camarades faisaient comme moi.


C'est en début d'après midi qu'on arrivait à la plage.


Je ne faisais pas de manières pour me mettre à poil, je ne cherchais pas à dissimuler ma cage, elle était blanche et je ne vous dis pas mais on pouvait la remarquer de loin. Je recevais les félicitations de mes camarades qui me donnaient chacun leur tour un coup sur les couilles avec le dos de la main. Je râlais mais il n'y faisait pas attention. 


Le reste de la journée on faisait ce qu'on peut faire sur une plage c'est à dire en grande partie … Rien !


Bob et Eric devait partir le soir, on décidait de se faire un petit resto en fin d'après midi, on les laisserait partir ensuite … Je me sentais bien, toujours cette sensation dans mon cul qui me faisait oublier la dureté de la cage. Je n'avais pas envie de sexe, j'étais sexuellement repu. 


Ali décidait de me laisser récupérer pendant quelques jours, au niveau de mon cul je veux dire. Il se contentait de me laisser le sucer, le tripoter, le masturber et je peux vous assurer que je savais lui donner du plaisir, beaucoup de plaisir. J'aime bien m'amuser avec sa grosse queue !


Ali s'est installé dans le coin, et quand je dis dans le coin … Pas loin je vous le garantis. Au début il habitait chez son frère mais il s'est rapproché, il s'est installé chez moi. 


A la plage je ne prenais plus la peine de me cacher, au contraire même je prenais un véritable plaisir à me montrer. On était repéré, on était le couple ' grosse bite et petite cage '.


Ne vous imaginez pas qu'entre nous c'est une relation Maître-Esclave, même pas Dominant-Dominé. C'est une grande histoire Actif-Passif … Dans le sexe c'est Ali qui contrôle et qui commande. Dans le reste de la vie, ce serait plutôt moi qui dirige. 


Il a le droit de me prêter mais le plus souvent il préfère me garder pour lui. J'aime bien quand il me prête mais j'aime aussi quand il me garde pour lui. Surtout qu'avec lui, il y a de quoi faire !


Finalement c'est une situation assez équilibrée, dans la vie au quotidien on forme un couple simple, aucun ne dirige vraiment l'autre et on partage les responsabilités et les décision mais au niveau sexuel comme il a une grosse bite et moi une petite cage, c'est lui qui commande et moi qui encaisse. 


Et je vous garantis que pour ce qui est d'encaisser … J'encaisse !




N'hésitez surtout pas à me laisser une commentaire et à me retrouver sur Twitter …  @CharlyChast 


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