PETIT MAIS COSTAUD ép 4

 PETIT MAIS COSTAUD ép 4




Arrivé à la plage je gardais mon maillot de bain !


Ali faisait la moue, lui il était à poil, magnifique, menu, tout menu, avec ce corps mince et musclé et cette énorme bite qui pendait lourdement devant lui à chacun de ses mouvements.


– Tu veux vraiment pas retirer ton maillot ? Me demandait encore Ali.


Pour seule réponse je le prenais dans mes bras, je le serrais fort. Il me rendait mon étreinte, il me caressait le dos et sa main descendait jusqu'à mes fesses, elle se glissait sous mon maillot la paume contre sa peau. La mienne faisait la même chose, sauf pour le maillot vu qu'il en avait pas … 


Je sentais ma bite qui se réveillait, sous mon maillot de bain. Elle m'avait laissé tranquille depuis la veille, depuis qu'il m'avait enculé la veille … Et je l'avais senti passer, je ne vous dis pas … Pfff … 


On s'embrassait avec passion. Sa queue se relevait entre mes jambes, elle se relevait avec force et s'arrêtait juste sous mes couilles, elle s'arrêtait contre mes couilles. Cette réaction me plaisait aussi je continuais à la provoquer pendant quelques minutes.


Quand je me séparait de lui sa queue, bien en forme, se relevait avec force et venait frapper son ventre. Il me regardait, la tête légèrement penchée, un étrange rictus sur les lèvres …


– Alors là tu es content de toi ? Il me disait ça en faisant la moue.


Je regardais autour de nous, il n'y avait pas énormément de monde mais tout le monde nous regardait ! Je ne cachais pas ma satisfaction et mon fou-rire.


– Allez a poil !

– Nan !

– A poil !


Je refusais formellement, il me prenait dans ses bras et devenait particulièrement sensuel, câlin, tendre. Il me mordillait les tétons et m'arrachait quelques gémissements. Je ne vous cacherais pas que là ça devenait chaud pour une plage. Non mais il abusait un peu le p'tit gars. On entendait quelques sifflements, on avait des fans. 


– Alors, tu cèdes, on nous regarde et on a du succès. La il insistait .


Je faisais non de la tête. C'est alors que d'un seul mouvement, je n'ai pas eu le temps de réagir je vous jure. En un mouvement rapide il me baissait mon maillot de bain sur les chevilles, j'avais les pieds un peu coincés, il me faisait tomber et le maillot avait disparu. J'ai même pas eu le temps de voir ou il l'avait mis.


On nous applaudissait. 


Je me relevais rapidement avec un air faussement vexé, j'étais un peu embarrassé tout de même, mais pendant quelques secondes j'avais oublié ma cage à bite. Ma queue manifestait toujours et des petites bourrelets de peau ressortaient des trous d'aération, c'est qu'il y avait de la pression. Mais je l'avais oublié quand même. 


Bon, j'étais à découvert, il y avait quelques dizaines d'yeux qui nous fixaient … Je prenais un air embarrassé, terriblement embarrassé, exagérément embarrassé et tournais sur moi-même pour bien me montrer à tout le monde. Là c'était plus la peine de me cacher d'avantage. 


J'entendais quelques exclamations '' Ohhhhhh ! '',  puis on m'applaudissait. Je regardais mieux sans doutes que quelques instants plus tôt, il y avait finalement plus de monde que je ne le croyais !


– Je t'avais dit que je ne voulais pas voir de maillot de bain !

– C'est malin !


Il rigolait, moi je faisait la gueule. J'étais pas vraiment en colère mais je ne voulais pas le montrer. Pour me féliciter, ou juste pour se faire plaisir peut être, il me prenait dans ses bras, il bandait. Je bandais aussi mais moi j'étais plus discret. On s'installait, parasol, petit tas de sable pour le dos … etc … J'aime bien mon confort !


Finalement je n'aurais jamais osé. Il avait bien fait de me pousser un peu. Je me sentais bien et ne faisais plus attention aux regards et répondais aux sourires par des sourires.


Plusieurs mecs autour de nous venaient discuter. 


– Salut ! ( avec un petit sourire ) On voit qu'entre vous les rôles sont parfaitement bien définis. Bob s'informait. 

– Tu es perspicace ! Lui répondait Ali.

– C'est trop délire le truc qu'il porte. Tu as fait comment pour le convaincre.

– Je l'ai travaillé au corps pendant des mois !

– Ça ne fait que quelques jours qu'on se connaît. 


Je préférais rectifier les faits.


Je m'allongeais sur le dos, ma cage à bite était bien visible, bien exposée, un peu comme exhibée. J'avais encore l'impression de m'exhiber mais ça m’excitait comme jamais.  Je sentais ma queue qui poussait pour sortir pendant tout l'après midi. 


– On peut toucher ? Demandait Bob.

– Vas y, je t'en prie ! Lui répondait Ali.


Sans aucune hésitation Bob s'asseyait à côté de moi et me tripotait les couilles. 


– Je croyais que c'est à Ali que tu avais posé la question ? Lui faisais-je remarquer

– C'est bien à ton copain que j'ais posé la question !

– Bon, et bien si ça ne dérange personne qu'on ne me demande pas mon avis !


Bob me tripotait les couilles avec force.


– Vas y doucement, c'est fragile ! Lui disais-je en râlant un peu.


Là, en réponse il me serrait les couilles avec beaucoup de force et me faisait mal. Je voulais me dégager en repoussant sa main.


– Mais tu vas me laisser faire toi ! Dis donc il y a de la pression la dedans, on dirait que tu aimes. 

– Tu ne me l'abîme pas s'il te plaît ! Lui demandait Ali.

– Il aime quand on lui écrase un peu les couilles ?

– Je sais pas j'ai jamais essayé. Il n'y a qu'un moyen pour le savoir.


Je tentais toujours de lui repousser la main, il ne me lâchait pas tout de suite et continuait à m'écraser les couilles. 


… L'enfoiré … !


Et il bandait en plus l'animal. Il finissait par me lâcher quand son copain venait nous rejoindre. Lui c'était Eric. 


Sans rien demander à personne, lui, Eric me tripotait la cage et les couilles mais il y allait doucement lui. Je bandais comme un fou dans ma cage. Finalement tout le monde bandait, tout le monde avait une grosse belle queue qui se relevait … Sauf moi … 


– Alors c'est quoi les règles entre vous ? Demandait Eric.

– Bein … J'avais tenté de répondre mais Ali me coupait la parole.

– Oh c'est simple, c'est moi qui ai la plus grosse, c'est moi qui l'encule …

– Alors là c'est pas simple, c'est simpliste. Lui disais-je.

– Tu n'aimes pas quand je t'encule ?

– Mais c'est bon …

– Je vous jure, il ne demande que ça ! Et en plus Ali était content de lui en disant cela.

– Et en plus toi, c'est du lourd, moi je me prendrais pas ta queue dans le cul. Faisait remarquer Eric.

– Petite nature … Lui répondait son copain

– Tu te prendrais sa queue entre les fesses, bien à fond ? Non mais tu as vu comment il est monté. Petite nature, il dit ! Eric n'était pas convaincu.

– Tu as peut être raison, il en a une grosse. Finissait par reconnaître Bob.

– Et donc, Ali, ton copain Charly il aime bien se faire défoncer le cul ? Insistait Eric.

– Il aime bien …Lui répondait Ali en se caressant la queue.

– Tu nous le prête ? Demandait Bob.

– Il a dit quoi là ? J'avais sursauté en entendant ça.

– Mais arrête de nous interrompre tout le temps toi ! Me disais Ali pour me taquiner 


J'avais des yeux tout ronds, mais ils parlaient de moi et on aurait dit que je n'étais pas là.


Je me retournais sur le ventre. Là je ne comprenais plus ce qui se passait. Finalement on est rentré à quatre ce jour là. Et vous ne devinerez jamais mais Ali m'a prêté au deux autres … Il est taquin Ali quand il veut !


C'est une situation que je trouve et que j'ai toujours trouvé parfaitement inacceptable, intolérable. C'était … Mais c'est vrai qu'ils étaient plutôt mignons et ils avaient une belle queue … Chacun … Ça me faisait deux belles bite là !


J'ai pas voulu faire des histoires, j'ai rien dit et je me suis laissé prêter. 


C'est Eric qui me prenait par la main et m'entraînait sous la douche. Ça me faisait tout drôle, il avait une toute petite bite ! En fait non mais je ne vous dis pas comment on s'habitue vite au gros calibres et il faut bien dire que comparé à Ali, il avait une petite bite. 


Je n'avais pas de difficultés à me la prendre dans la bouche sur toute sa longueur. J'étais pas obligé de me déboîter la mâchoire pour pouvoir l'avaler, elle était belle, mais c'est vrai que je m'était déjà habitué à plus gros. 


Je le suçais goulûment, il me retenait la tête. Je sentais bien à ses soupirs, à ses réactions qu'il n'en revenait pas. Il appuyait doucement sur ma tête et automatiquement, j'appuyais mon visage contre son ventre et sa queue s'écrasait sur ma glotte.


S'il venait à me balancer un coup de bassin, j'en profitais pour le tirer vers moi en passant mes mains derrières ses cuisses. C'était tellement pratique une petite bite, tellement plus facile à sucer … Même si elle faisait tout de même ses dix huit centimètres … Enfin quoi, depuis quelques jours j'avais plus gros à ma disposition … 


A un moment, sans prévenir il gueulait … '' C'est bon ! Je libère la bouche ! ''.


J'ai ouvert des yeux tout ronds. '' Mais qu'est ce qu'il raconte ? Mais qu'est ce qu'il me fait là ? ''…  


– Bon, tu te retournes, tu te penches en avant et tu écartes les jambes … Me disait Eric sur un ton ferme.


Ça y est j'avais compris, je suis futé tout de même. Il voulait m'enculer et prévenait que …


J'en étais à ce moment de mes réflexions quand Bob m'enfonçait sa queue dans la bouche … Je ne l'avais pas venu venir celui-là …


Surpris mais pas pris au dépourvu, j'ouvrais bien la bouche, bien en grand et dans la seconde suivait son ventre s'écrasait sur mon visage …


– Tu avais raison ! Wouah ! Il assure … Confirmait Bob.


Il faisait comme son copain me limait la bouche, me baisait par la bouche, et il en profitait. Il était à peu près monté comme son copain et comme je vous disais, c'est pas une petite bite de rien, de dix huit centimètres qui allait me faire peur. Ali il en fait bien cinq ou six de plus … 


Bon là oui d'accord … Là j'ai du mal par moment mais bon … C'est la vie !


Finalement je ne lui reprocherais pas de m'avoir prêter à Ali. C'était une bonne idée, je ne l'aurais pas eu mais il fallait bien reconnaître que c'était une bonne idée. 


Eric devenait violent et se lâchait sur mon cul. Je sentais le plaisir monter en moi de plus en plus fort, comme les coups de butoir qu'il me balançait dans les fesses. C'est à ce moment que j'ai commencer à prendre mon pied. Il a juté, il a joui, il a gueulé de plaisir puis il m'a serré très fort contre lui pendant que son pote continuait à me limer la bouche. 


Bob à hurlé à ce moment.


– Je vais libérer la bouche ! … ( et voyant Ali ) … Ah tu étais là ?


Là je tremblais de plaisir. Ma queue ne protestait pas vraiment, mais elle se faisait remarquer un peu quand même. Elle prenait toute la place, mais c'était agréable, il n'y avait pas de pression désagréable … C'était juste une grosse molle qui n'avait pas la place de bouger mais qui n'en avait pas non plus envie.


Bob passait dans mon dos et se lâchait tout de suite avec force et violence sur mon cul. Il voulait en finir, l'heure du repas avançait et les saucisses étaient cuites … J'vous jure, on est en train de baiser, on est en plein délire et il y en a toujours un qui arrive … '' Quand est-ce qu'on mange ? '' ! 


C'est quelque chose, j'avais faim mais je vous jure que là, avec les coups de bite que je me prenais, et bien je ne pensais pas à bouffer, et c'est pas parce que  j'avais déjà quelque chose dans la bouche. 


Je regardais Ali, je lui faisait signe que j'avais soif, il me donnait sa canette de soda, Bob m'accordait quelques instants pour me laisser boire et me faisait gueuler à la seconde ou je reposait la canette. Il me burinait alors le cul avec la même violence que quelques instants plus tôt.


Je jutais, je n'éjaculais pas mais je jutais. Je jouissais aussi mais ça, ça faisait un moment que ça durait et je tremblais de tout mon corps. Je m'attendais à recevoir la bite d'Ali dans la figure. Il était là à quelques mètre de moi, il était à poil et il bandait mais il n'avait pas l'air presser de me défoncer le cul ou la bouche.


Bob finissait en beauté, il gueulait de plaisir au moment ou il jouissait dans mon cul, me prenait dans ses bras, me relevait et me faisait un grand câlin. C'est après seulement qu'il s'est retiré de mon cul …


–  Bon, c'est bien beau tout ça ! On va manger ! Demandait Bob !


Bonjour le romantisme ! Il ne pense qu'à bouffer celui-là.


Ils me laissaient tous les trois sur place. Je me retrouvais tout seul au milieu de la salle bain. J'en profitais pour me rafraîchir le cul. Je vous jure je les avais senti passer même avec leurs petites bites … Mais bon … 


J'arrivais sur la terrasse. Ils étaient tous les trois installé à table et avaient déjà commencé à manger …


– Bon ça va les lâcheurs, le mot romantisme ça vous dit quelque chose ? Je râlais en disant ça.

– C'est pas un gros mot ça ? Me demandait Ali.


Je lui lançais un regard tueur… Il n'insistait pas … Quelques instants plus tard on me servait. Oui on me servait, comme quoi quand ils veulent ces trois là …




N'hésitez surtout pas à me laisser une commentaire et à me retrouver sur Twitter …  @CharlyChast 


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