Lionel Ep05 Des filles gonflées

 

Lionel Ep05

Des filles gonflées


Aussitôt une main me caressait les couilles et le cul, ce qui me rappelait que j'avais encore mal au cul. Mais quand elle tentait de me glisser un doigt dans le cul, là je vous jure ça m'a vraiment fait mal.


J'ai râlé, j'ai gémi mais elle ne s'en ai pas inquiété et a continué. Elle lubrifiait bien la petite, elle connaissait les techniques. Elle ne glissait qu'un doigt, juste un et avec elle me massait l'anus avec une incroyable douceur.


D'abord douloureux, ce contact devenait agréable. Elle me faisait un bien incroyable. Là je ne râlais plus, je gémissais de plaisir.


C'était un plaisir que je découvrais, un nouveau plaisir. Avec le cul on peut éprouver beaucoup de plaisir, on me l'avait dit mais je le vérifiais pourtant quelque temps plus tôt. J'avais eu très mal.


Un deuxième doigt suivait, bien lubrifié également, ça passait tout seul et sans douleur en plus, j'y croyais pas. Je regardais vers mon pote, l'autre fille s'occupait de lui. Elle faisait au mieux pour prendre l'énorme queue de Lio dans sa bouche, elle la léchait, la caressait, la tripotait, la masturbait. Bref elle s'amusait avec. Lionel était aux anges/


C'est vrai que sa femme était absente depuis presque une semaine.


Il était allongé sur le dos et laissait faire, il avait un large sourire, ça ne faisait aucun doute, il prenait son pied.


Pour moi c'était un incroyable plaisir que je découvrait, il était d'abord uniquement sur mon cul, maintenant il débordait. Je le sentais dans tout mon ventre, c'était incroyablement bon. Je respirais très fort, je gémissais de plus en plus fort également.


Juste à côté mon pote Lionel lui aussi gémissait. La fille s'était allongée sur lui, il était sur le dos et c'était des câlins qu'ils échangeaient, des caresses et aussi des baisers.


Puis la fille s'est empalée sur lui. Là j'ouvrais de grand yeux, mais elle ne s'empalait pas par le cul. Ça restait impressionnant de voir cet énorme queue disparaître entre ses cuisses et réapparaître. C'était magique. Sa queue était bien large et la vulve de la petite s'ouvrait avec une étonnante facilité, elle me regardait et me souriait.


Tu te l'ai déjà prise dans le cul ? Me demandait-elle.


Je faisais non de la tête. Je faisait plus attention à ma copine. Elle aussi s'était glissé contre moi, elle s'était longuement caressé le corps avec le mien. Elle s'était masturbée la chatte sur ma cuisse. Je ne comprenais plus rien. Je n'avais plus du tout mal au cul. Un moment la fille disparaissait je ne sais pas ou. Mais quand elle réapparaissait ...


J'ai envie d'essayer ça maintenant. Déclarait-elle.


Elle avait un gode, il devait être dans son sac à main. Elle se l'était bien accroché et au bon endroit, elle le lubrifiait. J'aurais du avoir peur, surtout après l'expérience avec Lio mais c'est elle qui avait fait passé la douleur et sans comprendre, je la laissais s'approcher de moi.


A quatre patte, je lui offrais mon cul mais là, je commençais à réagir, je commençais à comprendre ce qui se passait mais j'étais comme tétanisé. Là j'avais la trouille.


Elle posait le bout de son gode sur l'ouverture de mon cul, le gode n'avait rien de géant, il n'y avait aucun rapport avec la queue Lio mais je vous dis pas, mon cœur battait très vite.


Doucement mais avec une certaine force, elle appuyait. Je tremblais de peur et ne cherchais pas à résister, je devinais que ce serait pire au moment ou mon cul s'ouvrirait.


Ça n'a pas duré bien longtemps, mon cul s'est dilaté, elle poussait moins fort, elle ne voulait pas me faire mal. C'était supportable, elle me caressait le torse avec ses mains, ses deux bras. Une main descendait vers mes couilles, elle me mordillait le cou, je tremblais, je frissonnais mais je n'avais pas mal.


Elle continuait à pousser son gode dans mon cul, je le sentais qui glissait sans trop de résistance, je ne comprenais plus rien, je ne savais pas ou elle en était. J'avais des sensations contradictoires, je sentais le gode bien profond dans mon cul, je le sentais juste à l'ouverture.


En fait je ne comprenais pas mais ça allait, c'était intense mais pas vraiment douloureux.


Je regardais mon camarade, la fille sur ses genoux se levait, se laissait retomber puis recommençait. Il la retenait lui caressait le ventre, les seins, puis il glissait ses mains entre ses cuisses, elle écartait les cuisses autant qu'elle pouvait et je voyais la queue de mon pote qui glissait aisément entre.


Elle gémissait fort maintenant, j'y avais touché à la queue de mon pote et je savais que c'était du gros calibre, du très gros calibre. Mais c'est vrai que les filles on des aptitudes naturelles que les hommes n'ont pas. Enfin à condition de passer par l'ouvertures homologuées ( si j'ose dire !).


La douleur dans mon cul était toujours très faible, très supportable, limite agréable. Je sentais le gode glisser et brusquement je me sentais poussé en avant.


Le petite m'avait rentré son gode bien à fond, elle me poussait alors en avant, son ventre s'écrasait sur mes fesses.


Là j'ai manqué d'air. C'est un plaisir étrange que j'ai ressenti alors, un plaisir qui rayonnait jusqu'à ma bite, elle s'était faite oublier celle là, mais là elle se rappelait à ma mémoire du fond de sa cage. J'avais l'impression de bander mais aussi de ne pas bander.


Je touchais ma cage et je me rendais compte que ma queue était comme dure mais sans pour autant prendre toute la place dans la cage quand je bandais.


En fait je bandais mais si on peut bander mou, là je bandais petit. C'était étrange et là, j'ai éprouvé un plaisir intense, j'éjaculais. Juste un jet violent mais puissant puis je jutais, un flot, faible mais continu glissait hors de ma queue.


Tout mon corps s'est mis à trembler, c'était bon, c'était un orgasme incroyable qui durait dans le temps. Ma compagne du moment s'est rendu compte de ce qui m'arrivait, je me laissais tomber en râlant de plaisir peut être, mais pas que...


Je demandais, je lui demandait de s'arrêter. Elle se penchait sur moi, me donnais un dernier baiser sur la nuque et se retirait. J'étais à bout de souffle, je jouissais toujours et la douleur que j'avais encore au niveau du cul un peu plus tôt s'était transformé en un incroyable plaisir.


Toutefois une certaine douleur, légère mais réelle, revenait.


Puis elle disparaissait dans la salle de bain.


Mon pote Lionel me regardait, il avait l'air ravi. Dans ses bras la fille se tordaient de plaisir, elle lui faisait face, elle était assise sur lui, elle le saisissait, elle le repoussait, elle criait de plaisir, elle gémissait. La pauvre elle était retournée. Enfin quand je dis la pauvre, je ne suis pas sûr qu'elle était à plaindre.


La mienne revenait. Elle avait un autre gode dans la main. Je ne comprenais pas tout ce qui se passait. Elle me fixait le premier gode dans le cul avec des lanières affin d'être bien sûr qu'il reste en place.


Sur le dos maintenant ! Me disait-elle.


Je ne comprenais plus rien, je m'exécutais.


Maintenant on inverse les rôles.


Elle me fixais le nouveau gode autour de la ceinture, elle n'utilisait pas les lanières, ces dispositifs peuvent se fixer directement sur les cage de chasteté et en quelques instants je me retrouvais avec une jolie queue, à la bonne place et qui se redressait fièrement.


Je me masturbais, mais je ne ressentais pas la moindre de mes caresses. C'était très bizarre. Ça réveillait certains souvenirs, quelques années plus tôt, avant que je ne passe à l'âge adulte. À cette époque ou je pouvais encore je masturber quand je voulais, même si je ne le faisais pas souvent.


Vous savez, l'éducation puritaine, c'est quelque chose …


Puis je l'ai vue me chevaucher, elle me faisait face et me regardait dans les yeux. Elle se glissait sur cette bite, elle faisait glisse cette fausse bite en elle. Je ne sentais absolument rien sinon ses cuisses sur les miennes mais elle ne cachait pas son plaisir.


Cette bite en plastique glissait rapidement sur toute sa longueur. Elle se penchait alors sur moi et me caressait avec des seins, je lui caressais le dos avec mes mains, je lui caressais les fesses mais ne tentais aucune entrée du coté non conventionnel, même pas le petit doigt. Au mieux elle me le demanderait.


Ensuite je la voyais s'agiter, elle s'enfonçait sur le gode, se relevait pendant quelques minutes. Vous savez avec ce genre de truc on ne risque pas de débander ni éjaculer trop tôt. La fille sais qu'elle pourra faire durer tout le temps qu'elle le souhaite.


J'ouvrais grand mes yeux, je regardais ça, je n'y croyais pas, je sentais son corps chaud et doux, je la sentais trembler de plaisir, elle aimait, ça ne faisait aucun doute. Elle m'embrassait, je lui rendais ses baiser. C'est elle, encore elle, qui contrôlait tout. Moi je n'étais plus qu'une poupée, un jouet pour son plaisir.


Retourne moi, passe par dessus.


Et elle se laissait tomber sur sa droite et m'entraînait avec elle. Je suivais le mouvement et je me retrouvais allongé sur son corps, les jambes entre ses jambes. J'en revenais pas, là c'est moi qui prenais le contrôle mais je ne ressentais toujours rien. Cette bite en plastique ne marchait pas. Enfin elle ne marchait pas pour moi, juste pour elle.


Quand je regardais vers le bas je la voyais entrer, sortir, j'accélérais le mouvement, elle criait … '' Plus fort !''. Je me donnais plus fort. Elle criait '' Oui, oui plus vite !''. J'accélérais.


Mon cœur battait vite, j'ai bien cru que j'allais avoir un malaise, mais je suis jeune et ce n'était qu'une impression. J'ai tenu le coup, je la sentais vibrer, trembler et au moment exacte ou elle a crié de plaisir, au moment ou elle a joui, j'ai joui moi aussi de nouveau.


Et de nouveau j'ai éjaculé.


Elle me cramponnait et me tirait vers elle, je me suis laissé retomber sur elle de tout mon poids !


Je ne suis pas trop lourd ? Lui demandais.

Non, tu es parfait. Me répondait-elle.


Je jetais un œil en direction de mon pote Lionel. Avec sa copine ils en étaient au même niveau que nous. Ils en étaient eux aussi au niveau du dernier gros câlin.


Nous étions quatre amants, comblés, heureux. Même moi j'avais joui.


Ma cage s'était totalement faite oubliée, elle se réveillait à ma conscience, ma queue se réveillait, doucement, même elle était heureuse. Elle avait juté deux fois. Deux fois oui, c'était un grand soir … Il a fallu retirer le gode que j'avais encore dans le cul, là je l'ai senti ressortir. Puis c'était un plaisir intense,je me sentais bien, vidé mais bien.


On est resté passer la nuit sur place, on a discuté, il a bien sûr fallu que je parle de ma cage, que j'explique.


Le lendemain on se saluait on échangeait nos téléphone, Corine c'était celle qui s'était amusée avec moi, Virginie celle avec laquelle Lionel s'était amusé.


Lionel prenait lui aussi les numéros de téléphone des fille mais lui ne les conservait pas, il était marié !



A suivre



N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast

INDEX

                                  Textes et fictions sur le thème de la chasteté masculine, gay.  

                                     

PAGE D'ACCUEIL








NOUVEAUTÉS

Sept derniers textes publiés


Presque frères Ep20
Presque frères Ep21
Presque frères Ep22
Presque frères Ep23
Presque frères Ep24
Guni fait des courses Ep01


Guni fait des courses Ep02




TEXTE A VENIR

Lionel Ep05 Des filles gonflées
   

    Revenons voir ou en était notre ami Lionel ... Comment vat-il s'en sortir avec les filles le pauvre ... 

Prévu pour le 30 05 2024



BRICOLAGE
  

Do it "yourcherlfe" , comme ils disent les américains ...












IL ETAIT UNE
FOIS
Pour une fois c'est pas une fiction, c'est du vécu raconté
avec passion, émotion, rythme ... 
Et en plus il y a des images ... 



Les pages sont reliées ( à la main )
par groupe de 5


Toute la famille Brosso
Djé  -  Antoine  -  Philippe  -  David

-------------------------------






Bonne lecture et surtout n'hésitez pas à me retrouver sur

TWEETER

@CharlyChast







-------------------

Guni fait des courses 02

 

Guni fait des courses 02



Guni présentait particulièrement bien, il avait une jolie tunique qui s'arrêtait juste en dessous de la ceinture, mais vraiment juste en dessous. On voyait tout ce qui dépassait … Et tout dépassait ! C'est pas les quelques centimètres de tunique qui descendait en dessous de son ceinturon qui allait cacher l'énorme matraque qui se balançait entre ses cuisses.


Il portait aussi des sandales avec des lacets très longs qui se croisaient jusqu'à ses genoux. Il avait fier allure. Tooni s'était bien habillé pour l'occasion, ils sortait faire du lèche vitrine avec son fils, il avait une tenue identique, sauf que sous la tunique on pouvait apercevoir un dispositif de chasteté tellement chic, en ivoire de Dentosaure ! Non mais vous vous rendez compte ! .'' ivoire de Dentozaure '' ! J'arrive pas à m'y faire, c'est tellement rare et cher et chic et … Bon je m'arrête là !


Les deux hommes descendaient du taxi au milieu de la plus grande avenue de la ville. C'est là qu'on trouve les meilleurs commerces. Ils étaient très beaux et très bien habillé. Sur ce point personne ne faisait attention à eux. Il y avait les employés qui entretenaient les rues. Eux étaient totalement nus, le plus grand nombre d'entre eux portaient un dispositif de chasteté. Leur chef ne portait qu'un harnais qui attestait de sa fonction.


Tooni et Guni entraient dans ce grand magasin, deux employés du magasin se précipitaient pour les recevoir, comme tous les hommes de cette société ils étaient musclés, ils portaient un dispositif de chasteté, un des deux ne portait pas encore de tatouage mais on pouvait deviner à la taille de son dispositif que celui là le garderait de toutes évidences. L'autre affichait un petit onze plus sur l'épaule, c'est son cran dans la société il est en rapport avec la taille de sa bite. Je vous rappelle que Guni avait un vingt trois … Pour travailler dans ce magasin il fallait porter un dispositif, à moins bien sûr d'afficher au moins un dix huit sur l'épaule.


C'était le cas du vendeur en chef qui arrivait, il affichait un vingt, et ne portait rien d'autre sur lui en dehors d'un médaillon ou était marqué ' 1 er Vendeur ' …


Bonjour messieurs, que puis-je faire pour vous ?


Tooni prenait alors la direction des opération pendant que son fils Guni lorgnait sur le petit jeune qui n'avait pas encore de tatouage. Pour mettre leurs clients à l'aise on débarrassait Guni et Tooni de leurs tuniques. C'est une ruse commerciale, vous l'avez deviné. Si le client n'a plus rien sur le dos il sera plus facilement tenté d'essayer un vêtement, une tunique, un harnais, une cape et sera donc plus tenté d'acheter.


C'étaient donc trois hommes qui regardaient ces rayonnages très bien achalandés. Tooni se faisait montrer les capes, le vendeur s'exécutait en argumentant sur la qualité du produit. Guni et le jeune vendeur sans tatouage avaient disparu. Qu'importe on n'avait pas besoin d'eux. Le vendeur ordonnait à son assistant de les suivre.


Tooni choisissait une cape pour lui, il en choisissait aussi une pour son fils, pour lui il la prenait plus adaptée à un voyage. Il passait ensuite au rayon tunique. Il en choisissait une pour Guni très épaisse pour les régions froide, suivait un manteau et un pantalon, très épais, c'était pour une région froide. Ici ils n'en avait pas besoin.


Quelques cris, quelques gémissements se faisaient entendre dans un recoin du magasin. Personne n'y prêtait la moindre attention.


Quelques instants plus tôt, Guni entièrement nu s'y était glissé, il tenait le jeune vendeur par la main. Il était nu aussi en dehors de son dispositif de chasteté. Puis Guni avait refermé ses bras sur le petit jeune. Petit jeune, oui, il n'avait pas encore son tatouage comme je vous le disais mais on savait déjà que le chiffre ne serait pas élevé. Petit oui également, à côté de Guni il était tout petit même. Dans les bras de Guni il ne parvenait même pas à lui embrasser les tétons. Mais ça ne dérangeait pas Guni.


Ce petit bonhomme était bien proportionné et avait une musculature ferme, mais élégante et discrète également. Guni le caressait, glissait ses mains sur tout son corp. Il aimait bien les hommes avec de gros muscles le brave Guni, mais il aimait bien ce qu'il touchait, ce corps tout petit lui plaisait. Il glissait ses mains sur les fesses du petit jeune, puis entre ses fesses et finalement le soulevait avec force. Le visage du vendeur se retrouvait au niveau du visage de Guni. Il pouvait alors lui passer les bras autour du cou. Guni bandait comme un taureau, le jeune repliait ses jambes autour du corps de Guni qui bandait ferme. Sa queue se relevait entre les fesses du jeune vendeur.


Les deux hommes s'embrassaient.


Je te fais pas peur ? Demandait Guni au petit jeune.

Ho non Monsieur Guni. Non je n'ai pas peur de vous …


Il y avait une sorte de table, Guni posait les fesses du petit sur cette table, le repoussait en arrière, son cul était alors juste à la bonne hauteur. Guni se penchait alors sur le corps nu du vendeur. Il le caressait et l'embrassait. C'était une montagne de muscles qui faisait alors preuve d'une grande, d'un immense douceur.


Le jeune gémissait de plaisir, dans sa cage de chasteté il y avait de la pression. Elle était minuscule, enfin à côté de la bite à Guni elle semblait vraiment minuscule. Mais il faut bien dire aussi qu'à coté de Guni, c'est tout le bonhomme qui semblait minuscule. Il était gros comme un moustique le jeune vendeur.


Ça fait longtemps que tu portes un dispositif. Demandait Guni. Tu n'as même pas de tatouage.

C'est pour pouvoir travailler ici, je suis apprenti. Répondait le jeune apprenti vendeur.


Les mains de Guni caressaient avec un peu plus de force le corps du jeune apprenti. Il était jeune mais il savait s'y prendre. Ses caresses, également, réjouissait Guni. Ses lèvres étaient douces et ses baisers aussi.


Nous n'avons pas beaucoup de temps ! Faisait remarquer Guni.


Le message était clair. Guni se lubrifiait la queue, et comme le jeune était juste à la bonne hauteur, prenait position. Son énorme queue bien placée.


Guni appuyait sa queue contre le cul du vendeur. Ça résistait, le jeune homme gémissait. Guni poussait plus fort, ça résistait, je jeune faisait une grimace épouvantable. Guni forçait, il s'agaçait le bougre, il n'avait pas l'habitude qu'on lui résiste.


Quand ça a lâché, le jeune vendeur à poussé un cri qui s'est entendu dans tous le magasin. La queue de Guni s'est alors enfoncée bien profond dans le cul du jeune homme qui se crispait.


Ça glissait, ça glissait bien même mais le jeune homme semblait paniquer, il gémissait, et pas seulement il poussait de vrai cris. Douleur, plaisir, Guni faisait toujours le même effet et ne s'en inquiétait plus depuis longtemps. Il devait avoir onze ans la première fois qu'il avait fait couiner un de ses camarade du même âge.


Le jeune vendeur n'en était plus à sa première fois mais Guni n'était pas non plus dans les tailles habituelles. Il en avait une vraiment grosse. Je ne sais même pas si c'est possible de se prendre la bite de Guni en initiation, pour la première fois je veux dire. Ça doit faire mal. Même ceux qui ont un certain entraînement ont quelquefois du mal.


Une chose est sûre, le jeune vendeur le sentais passer, il s'en souviendrait.


Il couinait, je préfère le mot couiner ça fait plus mignon, il couinait donc le vendeur. Guni avait toujours un air un peu furieux, il fronçait les sourcils mais c'était la concentration. Le cul du vendeur était étroit, Guni avait l'habitude, avec lui presque tout les culs étaient étroits. Il savait se concentrer sur son travail, il y mettait du cœur. Les coups qu'il portait étaient violents, parfaitement contrôlés mais violents, par moment rapides, par moment plus lents.


Il se retirait sur presque toute la longueur de sa queue puis l'enfonçait ensuite dans un mouvement lent mais décidé, contrôlé mais ferme. Il terminait par un violent coup de bassin. La queue de Guni était large et bien dure, elle dilatait le cul du jeune vendeur avec force, c'était sans pitié, quand la queue de Guni forçait le passage, le passage s'ouvrait et le jeune vendeur gueulait. Pardon couinait …


A quelque mètre de la Tooni faisait son choix, chaque vêtement retenu se retrouvait dans les bras de l'autre vendeur qui avait maintenant les bras chargés. Il y avait des tuniques, des tuniques chaude, des pantalons chaud, des botes, des casquettes bien chaudes. Tous ces vêtements chauds étaient en fourrure, de gloutre, vous ne connaissez pas ? C'est très doux, très fin et très chaud. On les pêche dans l'ouest du pays, sur les côtes de la Mer Sans Limites.


Mais dites moi. Demandait Tooni. La gloutre c'est bien un rongeur un peu comme le bastor.

Pas du tout. Lui répondait le Premier Vendeur. C'est un poisson à fourrure. Mais nous avons aussi du bastor, c'est très bien aussi !


En fait les initiés savent que la gloutre est un rat géant mais les commerçants préfèrent éviter de donner ce détail, le bastor tout le monde connaît. Le vendeur insistait sur les détails qui rapportent …


Comme vous pouvez le remarquer Monsieur Tooni, sur ce costume spécial grand froid : Fourrure de gloutre à l'intérieur et sur le col, fourrure de bastor à l'extérieur, c'est bien plus résistant et … Pour refermer le tout … Des boutons en ivoire de dentozaure …

Et il n'est pas donné ce vêtement.

Mais rien n'est trop beau pour le confort et le bien être de ses enfants.


Là il avait fait mouche le vendeur, cette veste somptueuse allait rejoindre les vêtements déjà choisis dans les bras de l'assistant qui les suivait maintenant comme il pouvait, il arrivait à peine à voir ou il allait le pauvre.


Des cris, des gémissements se faisaient entendre très fort maintenant.


Mais d’où viennent ces gémissements ? Demandait bêtement Tooni. Qui avait oublié que Guni était là quelques instants plus tôt.

Je ne sais pas. Répondait le premier vendeur.


Mais le vendeur voyait la pile de vêtements pour ce Monsieur Tooni qui était de très loin le meilleur client de la journée et préférait continuer.


Des cris se faisaient entendre.


Dans son coin, le jeune vendeur face à Guni le retenait par le cou. Il était replié en deux je jeune vendeur. Les bras de Guni passaient sous ses genoux et il le retenait fermement avec les mains sur ses fesses. Dans un mouvement régulier Guni le soulevait et le laissait retomber sur sa queue. À chaque mouvement le jeune vendeur s'empalait de tout son poids sur la queue de Guni. Il gémissait le pauvre et Guni respirait fort.


C'était difficile de dire lequel appréciait le plus, en fait ils semblaient tous les deux à leur place. Le jeune vendeur se faisait éclater le cul. Guni lui éclatait le cul. Ils étaient d'accord finalement.


C'est à ce moment que le rideau s'ouvrait. N'allez pas vous imaginer que Guni s'arrêtait, il tournait la tête et voyant son père Tooni il lui faisait un large sourire satisfait.


Tu pourrais me dire ce que tu fais là ? Demandait Tooni.

Bein je fais un essayage !

Et tu essayes quoi ?

Le vendeur ! Il est bien celui là ! On reviendra dans ce magasin dis moi père ?


Tooni a éclaté de rire.


Ne sois pas trop long fils, tu as vu tout ce que j'ai acheté, il faudrait faire un autre essayage. Tu n'es vraiment pas sérieux tout de même.


Tooni refermait le rideau. Les gémissements se transformaient en cris puis en hurlement. Guni avait reposé son partenaire sur la table et sans pour autant sortir sa queue de son cul l'avait fait roulé sur même. Le pauvre garçon se retrouvait sur le ventre, les bras en croix, les jambes pendantes, il était petit et ses pieds touchaient à peine le sol.


Il avait toujours la queue de Guni dans le cul et Guni continuait à lui labourer les fesses avec force, mais maintenant il se lâchait, il voulait en finir, il voulait jouir pour passer à autre chose. Il y allait de toutes ses forces. Le jeune vendeur hurlait maintenant et demandait grâce, il en demandait encore plus, enfin il ne savait pas trop ce qu'il voulait.


Puis Guni jouissait, c'est lui qui hurlait le plus fort à ce moment il éjaculait avec force dans le cul de sa victime. Oui on peut presque dire victime maintenant. Guni se retirait, il respirait très fort, il s'essuyait et allait rejoindre son père qui essayait les tuniques et différents achats qu'il avait fait pour lui.


Guni procédait à un autre essayage, plus convenable maintenant. Même si dans ce monde il en fallait plus que cela pour être inconvenant. Finalement Guni confirmait et gardait presque tout ce que son père Tooni avait choisi pour lui. Il en a eu pour une fortune, je ne vous dis pas.


Ils se faisaient livrer tout ça à la maison et repartaient. Distraits qu'il était le Guni, il oubliait de remettre la tunique qu'il avait en arrivant et c'est entièrement nu qu'il se retrouvait dans la rue, sa tunique se retrouvait livrée à la maison avec les autres vêtements.


Les deux hommes passaient devant une armurerie.


Tu n'a besoin de rien ici ? Demandait Tooni.

Allons père, nous avons déjà une armurerie à la caserne et je crois savoir qu'on me prépare une surprise …


Ils se sont ensuite arrêté dans un salon pour goûter cette merveille exotique qu'on appelle chocolat, Guni en reprenait. Mais vous savez, avec les enfants c'est toujours pareil, ils adorent. Tooni s'attendrissait de voir son bébé redemander un autre chocolat. Même si son bébé faisait une tête de plus que lui …


Fin de l'épisode



N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter …  @CharlyChast

Guni fait des courses 01

 

Guni fait des courses 01



Les deux hommes se regardaient dans les yeux, bien campé sur leurs jambes, ils étaient repliés sur eux même, prêts à bondir. Les bras bien écartés, un petit bouclier sur le bras gauche une épée dans la main droite. Ils se balançaient de droite à gauche tel des mantes religieuses. Puis un signe, nul n'a vu quel était ce signe ni qui l'avait lancé.


Les deux hommes bondissaient l'un sur l'autre, les boucliers se frappaient l'un contre l'autre et le bruit était terrible, ils hurlaient, les épées se frappaient avec un bruit métallique violent.


Un des deux hommes prenait l'avantage, l'épée de l'autre s'envolait et retombait à quelque mètre de là. Le vainqueur pointait alors son épée sur gorge de son adversaire. Celui-ci laissait tomber son petit bouclier. On le voyait avaler sa salive.

Bravo Guni, ton attaque était particulièrement efficace. Tu ne lui as laissé aucune chance.


C'était Guss qui avait parlé. L'épée retrouvait son fourreau et les deux combattants se saluaient. Le perdant allait récupérer son arme. Deux autres combattants prenaient leur place.


Cette scène se passait au milieu de la place d'armes de la caserne que Guss dirigeait. Une fois de plus c'était son fils Guni qui avait gagné le duel. Oui je sais ça manque un peu de sang, de cris, de tripes à l'air mais bon … C'était un entraînement …


Ils étaient beaux, vraiment beau un vingt trois, Radjick, contre un vingt trois, Guni. Le combat était loyal, ils avait la même taille, étaient tous les deux d'un cran très élevé et avaient les même armes. Radjick faisait partie de garde rapprochée de Guss. Ils étaient nus, couverts de sueur et de poussière. Mais ils étaient aussi couverts de muscles, ils avaient une bonne tête et Guni ne cachait pas sa fierté d'avoir encore gagné un combat.


Alors tu ne veux toujours pas entrer dans les armes mon fils ? Tu sais que tu y ferais une très belle carrière.

Je suis trop jeune pour ça père.

Enfin trop jeune ! Tu as déjà passé les vingt ans. Il serait temps que tu te décides à choisir un métier, un vrai.

Mais enfin chéri, le petit peut faire ce qu'il veut. Il peut être médecin, ambassadeur, préfet, ça serait bien préfet et en plus tu serais sous ses ordres.


Tout le monde éclatait de rire à ce dernier commentaire de Tooni, ou alors c'était la tête que faisait Guss en entendant son époux qui venait de débarquer sans se faire annoncer.


J'arrive père Tooni.

J'emmène le petit faire quelques courses, il veut partir en voyage, il faut lui préparer un bagage. Mais avant on va peut être lui faire prendre un bain. Et en plus Guni tu ne peux pas sortir comme ça, tu n'as rien sur le dos.

Mais si, je suis couvert de poussière.


C'est vrai que dans ce monde les crans élevés, surtout les crans élevé, ne s'habillaient toujours que très légèrement. Gus comme beaucoup des militaires présents portait un harnais et un ceinturon très large pour tenir sa dague. Enfin il n'avait pas que cela sur lui, il portait aussi des sandales.


Tous les militaires présents étaient autant habillés que leur chef, sauf son fils Guni, lui n'avait que les sandales sur lui. Ça pouvait suffire pour sortir remarquez, mais ça ne faisait pas sérieux. Ils avaient tous de très grosses queue qui se balançaient lourdement à chacun de leurs mouvements.


Tooni comme a son habitude ne sortait que très habillé, c'est qu'il prenait soin de son apparence le beau Tooni. Il n'avait pas autant de muscles que son fils mais il n'était pas ridicule pour autant. Il portait en plus des sandales une jolie tunique très bien coupée, c'était du haut de gamme et ça se voyait, qui s'arrêtait juste en dessous de la ceinture, pas trop en dessous, il ne voulait pas dissimuler son dispositif de chasteté en ivoire de Dentosaure …


Il avait peut être un quatorze-plus tatoué sur l'épaule mais il avait un dispositif de chasteté en ivoire de Dentosaure. C'était pas rien, très rare, très cher, ça compensait pour ce qui est du prestige social. En plus il ne se privait pas de dissimuler son tatouage, et sur ce point ceux qui osent sont puissants. Personne ne lui aurait fait la remarque.


Il prenait le petit, qui le dépassait d'une tête, par le bras et l'entraînait vers la sortie. Au passage Guni attrapait son harnais et son ceinturon et suivait son père.


Ceux qui prennent l'histoire à ce niveau ont peut être remarqué que le gamin a deux pères, c'est normal, il n'y a que des hommes dans ce monde.


Tooni était venu en taxi, un petit véhicule à deux roues tiré par un taxi, d’où le nom du véhicule … C'était en fait un simple pousse-pousse.


Ils prenaient la route vers la maison, c'était pas loin mais en taxi c'est plus confortable, et en plus quand on en a les moyens on aurait tort de s'en priver. Le duo ne passait pas inaperçu, Guni est encore plus connu que Tooni dans cette ville. Il n'est pas seulement beau comme un dieu mais en plus c'est le meilleur parti de la ville, et en plus il a une bite énorme.


Guni sautait du taxi dès son arrivée, Tooni payait, trois pièces de cuivre-d'or, ça n'en coûte que deux mais Toony est comme ça. Il n'a pas oublié l'époque ou il connaissait des fins de mois difficiles.


Guni fonçait vers la salle de bain en appelant un serviteur. Il en avait un qui était son préféré du moment. Un garçon magnifique, blond, une musculature douce, oh il était musclé mais musclé avec élégance, avec finesse. Il n'avait pas la force de ses maître mais il avait un visage très fin également. C'était Wash, il arrivait tout de suite et retrouvait son jeune maître dans la salle de bain.


Wash portait un dispositif de chasteté alternatif. Ça veut dire qu'il n'était pas définitif, il n'était pas encore marié et il avait le temps de voir venir. En attendant il portait son dispositif en permanence. Il se déshabillait totalement, Guni arrivait et s'asseyait sur un banc, Wash lui délaçait les sandales puis l'invitait à passer sous la fontaine. C'était un dispositif très pratique qui faisait couler de l'eau sur la tête en forme de pluie. L'eau était tiède et de l'avis de tous, c'était très agréable. C'était aussi une installation très chic et très cher.


Voudras-tu que je te prépare un bain Maître Guni ?

Non je vais me contenter de ces quelques ablutions.

Wash caressait le corps de son maître avec du savon liquide qui provenait directement de chez l’apothicaire. Comme vous pouvez le voir, on ne se refuse rien dans cette maison …


L'eau coulait en pluie sur le corps de Guni, et le liquide lavant retirait, faisait glisser la poussière et toutes les impuretés sur la peau de Guni. C'était comme des vagues qui entraînaient le sable. Cette eau qui tombait en pluie laissait derrière elle une peau lisse, avec un grain très fin.


Wash transformait cet exercice en moment de plaisir et Guni savait apprécier. Il bandait, c'était impressionnant mais Wash connaissait déjà. Ce n'était pas la première fois et il aimait ça. Les mains de Wash parcouraient rapidement tout le corps de Guni dans une caresse qui n'avait qu'un seul but, donner du plaisir … Et accessoirement le débarrasser de toute la poussière qu'il avait sur lui.


Guni commençait à briller, c'étaient les reflets de l'eau. Wash se mettait à genoux et lui suçait la queue. Aussitôt Guni prenait la tête de Wash avec force entre ses deux mains et le tirait vers lui. Sa queue rentrait à fond, bien à fond dans sa gorge. Il avait l'habitude Wash, il encaissait facilement, c'était spectaculaire mais il avait l'habitude.


Les mains de Wash avaient caressé le corps de Guni partout, jusqu'au plus petit repli de peau et là maintenant c'était la queue de Guni qui pénétrait jusqu'à son plus petit repli de sa gorge.


Guni le lâchait.


Retourne toi maintenant. Ordonnait Guni !


Wash n'hésitait pas une seconde. Il proposait ses fesses pour le plaisir de Guni. Celui-ci se lubrifiait la queue généreusement et aussi lui lubrifiait le cul. Puis il prenait position et commençait à pousser sa grosse bite dans le cul de Wash.


Ne traîne pas trop. Faisait remarquer Tooni qui entrait dans la salle bain.

Je ne serai pas long, mais tu sais comment je suis après chaque combat.


Il se mettait alors à limer activement le cul de Wash, sans plus se préoccuper du reste. Il écrasait son ventre sur les fesses de Wash qui ne criait pas, il ne gueulait pas non plus, mais, par contre, il faisait une grimace à faire peur.


Tooni regardait avec un sourire satisfait, il était content de voir que son fils était aussi virile. Son ventre claquait contre les fesses de Wash qui finissait par râler puis en venait à gueuler de plaisir. Guni était excité comme après chaque combat et accélérait de plus en plus. Là ce n'était peut être pas que de plaisir que Wash gueulait.


Vas y doucement tu vas le casser. Faisait remarquer Tooni.


Guni faisait une pause, il était en sueur. Il se lubrifiait la queue de nouveau et reprenait. Ses muscles bandaient, pas seulement sa queue. Il lubrifiait encore, une nouvelle pause, puis il s'enfonçait sans prévenir bien à fond. Wash s'y attendait, ce n'était pas la première fois qu'il se faisait défoncer la rondelle et il connaissait le bestiau. Il adorait ça en plus. Il gueulait mais il aimait.


Guni saisissait le corps de Wash, il le redressait et le tirait vers lui. Wash se retrouvait cambré dans une position particulièrement inconfortable, enfin pour lui. Guni aimait cette position, la position refermait le cul de Wash et la queue de Guni n'en était que plus serrée et il aimait ça. Enfin Guni toujours. Il continuait à limer sa victime, ça résistait, mais Guni limait et limait encore. Wash gueulait de plaisir, ou alors c'était bien imité !


Les coup de butoir devenaient plus rapide, on n'aurait pas cru ça possible. Plus violent comme si c'était imaginable. Quand Guni lâchait Wash, celui-ci retombait en avant, il continuait à gémir mais la pression dans son cul baissait et ça devenait plus confortable pour lui. Pour Wash donc.


Guni respirait fort et c'est lui qui hurlait au moment ou il a joui, il a éjaculé dans le cul de son partenaire en donnant à chaque giclée un violent coup de bassin.


Puis il ne bougeait plus, il se retirait et comme il avait transpiré il décidait de se laver. Wash se retrouvait à quatre patte, Guni ne s'occupait plus lui. Tooni était ressorti de la salle de bain.


Il était content de voir son fils aussi virile le beau Tooni. Il était émerveillé devant la beauté de son fils qui ressemblait tellement à son autre père, Guss. Guni était le fils de Guss, le fils naturel, génétique je veux dire … Ça ne se produisait jamais et il était rare de voir un fils ressembler autant à un de ses pères. Et Tooni bénissait tous les dieux ( oui tous, on ne sait jamais ) de lui avoir fait ce cadeau. Être le père, le second père du fils de l'homme qu'il aimait le plus au monde.


Guni sortait enfin de la douche, il laissait Wash récupérer comme il pouvait sans plus se préoccuper de lui. Et revenait voir Son père Tooni.


Je ne vais pas sortir comme ça.

Tu es nu. Lui répondait Tooni. Tu n'as même pas de sandales.

Je vais prendre une tunique. Décidait Guni.


Peu après les deux hommes, très habillés pour une fois, appelaient un taxi …


A suivre



N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter …  @CharlyChast 


Presque frères 24

 

Presque frères 24



Et en quoi c'est sensé m'aider ? Me demandait-il.

En fait c'était juste pour te faire taire ! Lui répondais-je !

Tu es un enfoiré cousin Paco !


Tommy et moi rigolions de bon cœur. Willy continuait à faire la gueule, mais pas pendant bien longtemps, rapidement il se mettait à rigoler lui aussi.


Et puis maintenant tu es encore un peu moins puceau ! Rajoutait Tommy

On y va par étape. Concluais-je. Il n'en reste plus qu'une …

Oui mais là j'ai peur, ça doit faire mal.


Il est futé mon cousin, il avait compris.


Mais là je te jure que ça va vraiment te soulager.


Tommy confirmait.


Mais il va falloir attendre un peu que je retrouve ma forme !


Le reste de la journée on l'a passée sur la plage, tous à poil, enfin pour Willy et moi, presque.


Tommy était détendu il avait bien commencé la journée. On avait un peu flirté. On commençait à se faire repérer sur la plage. Les fille n'avaient d'yeux que pour Willy et moi. Bon elle regardaient aussi Tommy, c'est vrai qu'il était très beau mais d'un peu plus loin.


Pour Willy et moi, d'un peu trop près. Oh elle n'évitaient pas le moindre contact physique et je ne devinais pas la douceur de leurs peau, je la sentais, elles me caressaient quand elle s'approchaient. Pas avec leurs mains, non. Mais avec leur seins, avec leur corps, avec leurs bras, et aussi avec leur mains.


Bref Willy trouvait que là, c'était d'un peu trop près. Et il découvrait que les cages en résine peuvent être très dures au contact. Ça moi je le savais déjà, mais je n'avais rien à lui envier, ma cage en titane était très dure également.


Par moment, taquines qu'elles étaient, une d'entre elles me tripotait les couille. En fait elles s'en amusaient toutes et nous faisait la plaisanterie chacune leur tour. Je ne vous dis pas mais Willy à couiné la première fois qu'une fille le lui a fait. Oh elles étaient mignonnes et s'amusaient gentiment.


Il valait mieux prendre ça avec le sourire. Surtout que si nous réagissions, les réactions restaient tellement discrètes, elles ne savaient pas si ces taquineries faisaient leur effet aussi elles étaient tentées de recommencer.


Mais en échange on avait le droit de leur caresser la poitrine.


Tommy lui était gardé à distance, il n'avait pas droit à ces jeux érotiques. Ne nous méprenons pas, ce n'était pas si innocent que ça. C'était bien un jeu érotique.


Tommy lui en était tenu écarté.


Ce soir là, on invitait plusieurs filles à souper à la maison. Willy me regardait avec un regard affolé.


Mais vous voulez que je devienne fou les cousins ?


Je devinais qu'il y avait de la pression dans sa cage. Et un peu de folie dans sa tête.


Mais enfin, la bite à Tommy ne t'a donc pas camé ce matin ?


Il m'a regardé avec un regard de fou, il n'a rien dit.


Aussitôt à la maison, les filles se mettaient à l'aise, c'est à dire entièrement nues. Willy et moi faisions pareil. Plusieurs filles poussaient même l'audace de demander à Tommy de se ' couvrir '.


Oh juste un peu, ce sera plus simple ! Rajoutait une d'entre elles.


Tommy s'est retrouvé en maillot de bain, au début il faisait un peu la gueule puis à fini par s'y faire. Il aurait bien aimé autre chose, s'enfiler une petite par exemple. Mais c'était sans espoir. Willy aussi était très tendu, moi, j'étais étonnamment détendu, ma queue protestait bien peu mais pas tant que ça.


On a bien mangé, de la salade, des viandes grillée et tout ce qui se mange dans ce genre de soirée. Les filles ont adoré, on a dansé, on a écoute de la musique, on a chanté … Et on est resté sage …


Plus tard, bien plus tard en fin de soirée mon cousin venait vers moi.


Cousin Paco, il faut que je te parle …

Mais je t'écoute mon petit bonhomme.

Il y a Barbara qui veut dormir avec moi !

Et bien tu en as de la chance ! Rajoutait Tommy qui passait par là.

Mais c'est pas ça mais avec ce truc là. Il montrait du doigt sa cage. Je vais devenir fou, je vous dis pas dans quel état je suis, c'est de la torture, je vais devenir fou moi.

Mais c'est pas à moi qu'il faut le dire, c'est à elle.


C'est ce qu'il a fait. Avant de partir elle a un peu traîné avec lui, je les ai vus, elle était câline, tendre, douce. Elle écrasait son corps nu contre le sien , il était presque nu et je devinais son trouble. Elle l'embrassait avec un passion qui ne me laissait pas indifférent.


Il était énervé le petit Willy, je dis le petit, c'est affectueux. Il était vraiment énervé. Il avait refusé l'invitation de la fille et elles étaient reparties.


Eh, les cousins, il faut faire quelque chose pour moi. N'importe quoi !

OK , cousin, Tommy va t'enculer, je suis sûr qu'il ne demande que ça.

La mon cousin me regardait avec l'air bête et vous ne le croirez peut être pas mais, il ne disait plus rien. Mais le pauvre il n'en pouvait plus, je me demandais comment il tiendrait six semaines le pauvre. Mai il faisait oui de la tête.


Il n'a pas fallu bien longtemps à Tommy pour se retrouver en pleine forme avec une très belle érection. Résigné, comme s'il allait à l’abattoir, il prenait position. Les genoux au sol, appuyé sur le fauteuil, il attendait.


Allez y doucement les mecs. Là j'ai la trouille, je suis sûr que c'est une mauvaise idée, je suis sûr que c'est une mauvaise idée, répétait-il.

Tu y vas doucement Tommy, ne vas pas le dégoûter surtout. Demandais-je à mon pote Tommy ;

Oui il a raison, ne vas pas me dégoûter rajoutais Willy.


On commençait doucement, d'abord je lui caressait les fesses, Tommy lui caressait les couilles puis nos caresses devenaient plus insistantes. Je glissais mon doigt entre ses fesses, doucement au départ, je ne tentais aucune intrusion. Tommy lui massais doucement puis vigoureusement les couilles. Elles pendaient lourdement et Tommy s'en amusait.


Lui il bandait ferme à ce moment.


On échangeait les rôles, Tommy était rapidement plus intrusif avec Willy, moi je comprenais pourquoi il s'amusait quelques instant plus tôt, en effet c'était amusant.


Tommy lubrifiait le cul de Willy, il ne traînait pas mais prenait tout de même son temps. Il passait la paume de sa mains sur ses couilles puis quand il remontait la main glissait son pouce dans le cul de Willy. Willy gémissait mais ça semblait n'être que du plaisir.


Je prenais un peu de recul et je regardais ce qui se passait.


Tommy y allait avec une grande douceur, c'est son majeur qui se glissait ensuite à la place du pouce, je devinais qu'il l'agitait, et Willy gémissait de plaisir d'autant plus.


C'est l'index qui suivait, et Willy braillait de plaisir quand Tommy les agitait tous les deux. Un long moment Tommy donnait du plaisir à Willy. C'était un plaisir nouveau pour lui, mais il aimait. A entendre les cris qu'il poussait, il aimait, ça ne faisait aucun doute, il en voulait encore plus, il réclamait.


Puis Tommy déclarait …


Bon on va entrer dans le vif du sujet !


Il avait pris un air désinvolte pour ne pas paraître trop sérieux ou pour détendre l’atmosphère. Là Willy ne disait plus rien.


Je savais qu'il pouvait être violent mon pote et j'avais presque mal au cul pour mon cousin.


Doucement Tommy prenait position, puis doucement poussait. Willy râlait, Tommy poussait un peu plus, Willy râlait encore plus mais un peu plus fort. Tommy poussait encore un peu plus fort et Willy criait. Tommy poussait encore un peu, Willy hurlait, la queue de Tommy entrait. Tommy devinait que la ça faisait mal à notre cousin et ne bougeait plus.


Willy râlait fort, il ne criait plus, il avait ressenti une grande douleur au moment ou Tommy l'avait pénétré. La douleur semblait s'estomper … Enfin peut être pas remarquez … Il respirait for, très fors et sa respiration était bruyante autant qu'irrégulière.


Je devinais ce qu'il devait ressentir, je me souvenais ma première fois, puis je me souvenais la dernière fois. Quel plaisir, quel extraordinaire plaisir, une sensation qui vous envahit, vous fait trembler, vous …


Willy n'en était pas encore là !


Avec une grande patience Tommy attendait sans bouger. Puis Willy faisait oui de la tête et murmurait '' OK, ça va ! ''.


Très lentement Tommy poussait et s'enfonçait lentement. Le pire c'est le moment ou ça rentre, là, ça allait mieux. Attention je n'ai pas vraiment dit que c'était mieux mais ce n'était pas pire, c'est déjà ça.


Lentement la queue de Tommy glissait, par moment le pauvre ne pouvait plus respirer mais il ne demandait pas qu'on arrête, aussi Tommy continuait. Son ventre s'écrasait sur les fesses du petit ( je dis ça affectueusement ). Puis il poussait un coup, bien rapide bien ferme.


Là, Willy hurlait de nouveau. Mais comme il nous l'a raconté plus tard, s'il y avait de la douleur, il y avait aussi du plaisir. C'était une sensation mitigée. Je me souvenais moi aussi avoir connu ce genre de plaisir, ce moment ou on découvre qu'il y a aussi du plaisir dans la sodomie.


Il m'avait simplement fallu plus de temps que lui.


Après une longue pause sans bouger, Tommy se retirait. De nouveau Willy se contractait, de nouveau il râlait mais moins fort peut être. C'était mon impression. Suivait encore un gémissement, encore un cri, puis Tommy ressortait sa queue. Il se penchait alors sur Willy.


Ça va bonhomme !

Ça va, c'est bon, super.


Sans attendre plus Tommy glissait alors de nouveau sa queue dans le cul de Willy. Il s'y prenait d'un mouvement plus rapide et plus décidé. Sa queue glissait rapidement et Willy hurlait. Puis Tommy se retirait, revenait, se retirait et …


Willy râlait fort, mais il y avait aussi du plaisir. Il ne tentait pas de se dégager, il encaissait. C'était étonnant pour une première fois.


Tommy est un garçon charmant et attentionné vous savez, il décidait d'écourter la séance, sans doute pour épargner le cul de notre jeune cousin, surtout qu'il savait que le mien n'attendait que ça.


Tommy se retirait. Willy éjaculait avec force. Son éjaculation était à la fois riche en quantité et puissante, bruyante. Il criait beaucoup, c'était des cris de plaisir, il ne se retenait pas et il tremblait.


On l'a laissé là à récupérer, il s'est endormi sur place, il avait juste trouvé la force de s'allonger sur le canapé.


Ça l'avait calmé, c'était le but et ça avait marché. Tommy est monté avec moi pour m'enculer tranquillement. Il n'avait pas joui et il était très forme, j'en ai pris plein le cul.


Willy s'en ai remis et une semaine plus tard, il avait traîné plus longtemps que nous et était rentré dans la nuit. Nous le retrouvions au petit matin sur le canapé, allongé avec dans les bras un charmant jeune homme de son âge. Très mignon en plus …


On préparait le petit déjeuner quand Willy venait nous rejoindre.


Tu sais Willy, je suis toujours là moi, a ta disposition …

Oui mais lui, il en a une plus petite que la tienne !


Lui répondait Willy du tac au tac .



A suivre



N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast

Presque frères 23

 

Presque frères 23



Bon il a fallu reprendre toutes les explications à zéro, sauf que le contrat était signé et parti pour le service Key-Holder de la PK. Au mieux on pouvait faire annuler le contrat mais il fallait au moins une semaine. Ça on a préféré ne pas lui dire


Et Willy s'est mis à brailler …


Mais pourquoi vous m'avez laissé faire ?

Il me fatigue me disait Tommy. Je renonce ! Je te laisse te débrouiller avec lui.

Et ça va être de ma faute maintenant.


Comme je vous le disais plus tôt, Willy ne se prend pas la tête. Et moins d'une demie heure plus tard on le voyait s'enfiler deux hamburger frite et les caca-cola qui vont avec. Ça ne lui avait pas coupé l’appétit !


Remarquez les cousin, je vais en profite pour faire une expérience dans ma vie … Comme ce sera la seule fois que je porterait ce genre de truc … Mais ça fait pas mal au moins, parce que là … Tout le monde m'en parle … En plus je pourrai en parler … etc ... Et puis c'est quoi ça six jours dans une vie …

Willy !

Oui mon cousin Paco …

On n'a pas dit six jours mais SIX SEMAINES !

Ah oui, merde ! …


Il semblait réfléchir un moment, le regard dans le vide puis reprenait.


Je prendrais bien une glace maintenant ! Comme celle qu'il y a dans la vitrine là bas. En fait il ne regardait pas dans le vide ...


Je vous jure, depuis ce jour ou je l'ai revu, mon cousin est resté un mystère pour moi …


On a discuté longuement toute la soirée. Si, si je dis bien ' on ' par moment Tommy et moi arrivions à glisser une phrase, bein oui, c'était surtout le cousin qui parlait …


Puis à un moment je me réveillait, le son de sa voix me berçait et je ne l'entendais plus. J'ai senti Tommy bouger à côté de moi, lui aussi était réveillé par le silence. Willy s'était endormi.


Je vous jure il est mignon quand il dort et en plus ça repose. On s'est glissé dans le lit, le grand, et rapidement on s'endormait également.


Au réveil il y avait un bug dans le lit. Le bug c'était Willy, il s'était glissé entre nous. C'est vrai qu'il est vraiment mignon quand il dort. Tommy et moi glissions du lit le plus doucement possible, Willy est vraiment trop mignon quand il dort, on ne voulait pas le réveiller puis on glissait silencieusement dans la salle de bain. On allait passer sous la douche quand il arrivait comme une furie.


Salut les cousin ... vous avez bien dormi, moi dormi comme un loir … Il fait vraiment beau on se croirait en été mais c'est peut être parce qu'on est en été. Tu avais raison cousin, ton truc ça fait pas mal et c'est même confortable, c'est bizarre mais … et puis à la plage tu es sûr qu'on vas se faire remarquer … Ne me dites pas qu'on va pas se faire remarquer avec ce truc sur la bite …


On ressortait de la salle de bain, il continuait à parler.


On passait sur la terrasse et on préparait le petit déjeuner, jusque là, nous on n'avait pas prononcé un mot et …


Vous étiez passé ou, je vous voyais plus ? Alors c'est ou la plage ou on va aller ? C'est pas trop loin au moins ? Enfin c'est pas grave, on est jeune et c'est pas un petit moment de vélo qui … C'est comment, il y a des dunes, des rocher et puis … Il y a des gonzesses ?

Et tu ferais quoi avec une gonzesse ?

Oui c'est vrai que là, je ne pourrais pas faire grand chose mais de toutes façons, ça ne changerais pas grand chose. Je suis pas déluré moi comme vous moi, je suis puceau.


On le regardait, il nous regardait sans rien dire .


Mais vous le répétez pas hein ?


Là Tommy et moi on ne savait plus quoi dire …


Tu veux dire que … Avant hier, cousin Willy, tu n'avais jamais …

Tout à fait cousin Paco, jamais touché un mec et encore maintenant jamais touché une fille. Enfin j'ai bien un peu flirté, normal … et puis c'est de mon âge … Mais vous êtes bien plus vieux … Et moi je suis encore pur.


Je n'avais pas attendu qu'il ait fini de parler pour servir le café, il aurait été froid.


Un peu moins pur depuis hier tout de même. Rajoutais-je.

Oui mais je …

Et puis attend un peu de t'être pris la queue de Tommy dans le cul avant de dire que tu n'est plus puceau …


Je lui avait cloué le bec. Là Willy ne répondait plus rien et on pris notre petit déjeuner en silence. Mais le silence n'a pas duré bien longtemps. Puis le temps de tout ranger et on était parti.


Il faisait beau, pas encore trop chaud on avançait vite, quelques kilomètre en vélo ne nous faisait pas peur. On l'emmenait dans un coin très ouvert, pas de rocher, une plage plate, sans la moindre dune et surtout une plage naturiste. Il y avait des hommes qui portaient un dispositif PK mais pas beaucoup, par contre les femmes, les gonzesses comme il dit, étaient toutes à poil.


On avait tout ce qu'il fallait, un parasol, tapis de plage, quelques jeux de baballes, des revues, ces trucs qu'on lance et qui planent … mais surtout aucun d'entre nous n'avais de sous vêtements. Remarquez sur la plage on n'avait pas non plus de vêtements.


Willy semblait totalement à son aise. Là je pouvais le voir bouger, courir, sauter, il était vraiment beau et il semblait s'habituer à sa cage de chasteté. C'est vrai qu'il ne la portait que depuis la veille.


C'est délire ton truc, je peux me laisser aller sans risquer de le faire remarquer. Là par exemple on peut pas voir que je bande …

Bein non.

Et Tommy, il fait comment Tommy pour rester calme.

Il se contrôle !

Là ça m'épate. Il m'épate lui. Bon toi c'est comme moi, tu ne peux pas te contrôler, un peu comme moi, c'est courageux de renoncer à ta virilité juste pour être présentable … Je t'admire tu sais … Moi si j'ai accepté c'était juste pour vous faire plaisir et par curiosité un peu aussi. J'en ai pas besoin.


Il me faisait tout un discours puis allait faire du charme à un petit groupe de filles qui nous regardaient. On les avait remarquées, avec Tommy on surveillait l'affaire de loin. Elles s'amusaient, elles riaient et ne semblaient pas farouche, c'est vrai qu'elles avait tout de suite vu qu'il était inoffensif avec sa cage à bite.


Quelques instants plus tard on jouait à tous les six avec cette soucoupe qu'on lance et qui plane. Les filles s'amusaient de nous, s'amusaient avec nous, elles lançaient des regards ver mon ami Tommy.


Il était aussi beau que nous autres mais lui il avait une belle longue queue qui se balançait à chacun de ses mouvement. Elle pendait lourdement et c'est ça qui me provoquait une érection, c'est mon pote Tommy qui me faisait réagir. J'avais envie de lui.


Mon cousin lui était plus attiré par les poitrines fermes de nos trois nouvelles amies. Et sa cage à bite débordait, bon, c'est vrai je me moque là, la mienne aussi débordait.


Les filles nous ont rejoint, on a parlé, mais pas de cage. On s'est laissé aller mais sans câlin. On s'est détendu mais on est resté sérieux. Willy n'en pouvait plus. Il m'a dit un moment …


Je crois que je vais craquer !


Mais l'avantage avec ce dispositif c'est que justement on ne laisse rien voire, on a aucune difficulté à dissimuler la moindre réaction physique. Willy le savait et par moment j'avais même l'impression qu'il s'exhibait. Il montrait son corps dans l'effort, il bandait ses muscles. Je devinais qu'il devait bien avoir envie de bander autre chose mais là, il y avait obstruction.


On est remonté de la plage en même temps en se promettant de se retrouver le lendemain. Nous avons alors traîné un long moment. On s'est promené en ville et avons terminé par un restau.


Le soir à la maison, Willy était énervé. Dès qu'il est entré il a retiré ses vêtements. Il était magnifique. Ça ne lui pas pris beaucoup de temps pour retrouvé à poil, il ne portait qu'un pantalon en toile légère et une chemise, légère aussi.


On faisait comme lui. Il se tripotait les couilles, il était tendu.


Vous faites quoi dans ce cas ? Nous demandait-il.

Suce lui la queue ! Lui conseillais-je en indiquant Tommy avec la tête.

Tu es sûr cousin Paco.


Je faisais oui avec la tête, Tommy était plié de rire.


Et ça va faire quoi ? Continuait Willy.

Suce le ! Répétais-je.


Il hésitait comme s'il supposait un piège puis prenait position entre les jambes de Tommy qui s'installait bien confortablement.


Tu te branles tous les jours ? Demandais-je à Willy.

Pourquoi, pas toi ? Me répondait-il. Oui bon forcément pas toi, t'as pas le choix …


Puis il s'exécutait, il prenait délicatement la queue de Tommy dans la bouche. Ma queue protestait et hurlait silencieusement dans sa cage. Willy avait l'air un peu embarrassé, il n'avait pas l'habitude, sans doute encore une première fois.


Mais rapidement il se concentrait sur sa technique et Tommy me faisait signe qu'il faisait ça très bien. Il posait sa main sur la tête du cousin et le guidait, appuyait doucement puis un peu plus fort.


Il lui laissait juste la liberté de relever la tête pour respirer, Willy n'avait pas vraiment l'air convaincu mais il mettait du cœur à son ouvrage. Je me tripotais les couilles, c'est tout ce que je pouvais faire pour me faire plaisir.


Je faisais quelques commentaires pour l'encourager. Il était finalement docile mon jeune cousin, il faisait tout ce qu'on lui disait. Mais je savais bien qu'il finirait par comprendre que je m'étais un peu moqué de lui. En fait ça ne lui apporterait aucun plaisir, aucun orgasme en tout cas.


Mais il insistait, il ne lâchait. Tommy l'encourageait à sons tour. Je lui avais fait connaître le même plaisir, et pas plus tard que la veille. Je me disais que ce serait une marche en plus, après ça il serait encore un peu moins puceau qu'à son arrivée, il serait content finalement.


Il apprenait vite mon jeune cousin, rapidement il avalait la queue de Tommy sur toute sa longueur, mais il ne la gardait pas bien longtemps dans la gorge, il ne tenait pas la position.


C'est vrai que Tommy avait une grosse bite, et je sais qu'il fallait de l'entraînement pour y parvenir.


Mais à part ce détail, Willy était parfait. Tommy me le confirmait. Je voyais qu'il allait jouir.


Quand il éjacule, tu avales ! Ordonnais-je.


Quelques instants plus tard Tommy éjaculait, pour Willy c'était la surprise, c'est toujours une surprise la première fois. Mais il était docile et avait beaucoup de bonne volonté, il avalait.


Puis il me regardait de travers !



A suivre



N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast

INDEX

                                    .        Textes et fictions sur le thème de la chasteté masculine, gay.                                 ...