PETIT MAIS COSTAUD ép 1

 PETIT MAIS COSTAUD ép 1




Je l'avais remarqué de loin. Il était là, tranquille, dans un coin un peu en retrait ( enfin complètement en retrait en fait ) pour en arriver là j'avais quitté le chemin principal, j'avais même quitté les chemins secondaires. J'avançais sous les arbre, il faisait plus frais dans cette forêt que sur la plage. Le soleil y tapait fort.


Il était torse nue, superbe, il avait une douce musculature. Il n'était pas bien gros, un peu menu même, tout petit … Enfin plus petit que moi, il devait m'arriver à l'épaule et je ne fais que mon mètre soixante dix ( tout mouillé ) … Je le voyais de dos et en approchant, l'air de rien, du genre '' Tiens tu es là toi ! Je ne t'avais pas vu ! ''. J'avais commencé à bronzer, pour lui c'était pas nécessaire, la nature lui avait donné une peau très foncée, presque noire qui prenait bien la lumière et semblait plus douce que la soie. 


Je le voyais de dos, au début j'ai cru qu'il pissait … En fait il se branlait … Je ne pouvais pas détacher mon regard, il tournait la tête et me remarquait. Il ne m'avait de toutes évidences pas entendu approcher, j'étais encore assez loin mais j'ai vu dans ses yeux un instant de panique au moment ou il m'a vu. J'ai aussi eu le temps d’apercevoir sa queue. Juste d'apercevoir mais elle m'a semblé de très belle taille.


Vous savez quand on vous dit que les black ont tous une une grosse queue, c'est pas vrai.  Mais on préfère souvent retenir le meilleur, en plus de la couleur. Moi j'aime bien la couleur ! Je l'ai imaginé dans mes bras, je me suis imaginé dans ses bras, juste l'instant d'une seconde. Bon d'accord, là ça ne ferait pas trop couleur, juste noir et blanc mais c'est bien aussi le noir et blanc. 


En quelques seconde il arrêtais ce qu'il faisait, refermait son pantalon et disparaissait dans le sous bois. 


Ça avait juste été une vision de rêve, je revoyais son sourire, j'avais du l'apercevoir ou le deviner peut être, un instant, un très court instant juste avant cette expression de panique dans ses yeux.


Je reprenais ma promenade en pensant à lui !


Il n'y avait pas grand monde ce jour là sur la plage et le sous bois était plus frais. J'y restait un long moment. Un peu plus tard, j'avais une grosse envie de pisser. C'est pas grave en soit mais … Ah oui je ne vous ai pas dit, je savais que j'oubliais quelque chose, mais je porte un petit dispositif de chasteté maison  . Enfin quand je dis petit, il est à ma taille il n'est pas si petit que ça ! Mais, j'en ai pas trouvé à ma taille dans le commerce, pas au niveau de la longueur mais au niveau de la largeur ( bein oui, je suis trapu de la bite moi ). Enfin je passe les détailles.


Mon dispositif, je l'ai bien étudié, je n'ai aucune obligation de le retirer pour la douche et pour l'hygiène ( J'ai vérifié, je vous rassure et longuement expérimenté ) … Ça ne pause aucun problème … Tout ça pour vous dire que pour faire pipi, c'est prévu aussi !


C'est prévu, c'est prévu, oui, mais il faut bien viser, surtout que je ne suis pas circoncis. Avec deux doigts je tire sur le prépuce et dégage délicatement mon gland. C'est aussi comme ça que je procède pour la douche … Ensuite je m'assure que tout est bien aligné, sinon j'en met partout et ça fait désordre … Si je vise bien ça se passe sans problème, je commence à avoir l'habitude, je porte le truc depuis quelques jours, pardon je voulais dire semaines, heu, non enfin  quelques mois. 


J'étais bien concentré sur ce que je faisais aussi je ne remarquais pas tout de suite que devant moi, plus loin, entre deux arbres, juste à côté du buisson, le petit jeune que j'avais remarqué était réapparu. Il me regardait et là, ce n'était pas de la panique dans son regard mais de la surprise et de la curiosité. Il se caressait l'entre jambe.


Je le regardais et au point ou j'en étais, j'étais repéré, je lui souriais. Il me rendais mon sourire. Je terminais de pisser, refermais mon pantalon, il avait disparu.


Je reprenais ma promenade, mon regard était plus attentif à partir de ce moment. Je le recherchais des yeux. Je finissais par faire une pause, je m'asseyais sous un arbre. Je fermais les yeux et profitais de la douceur de cette hombre qui me protégeait des trop forts rayonnements solaire. Il faisait vraiment chaud.


Quand j'ai ouvert les yeux, il était là, à quelques mètre de moi. Il me regardait. Il était plus jeune que moi, et semblait intimidé. C'est à peine s'il osait un léger salut de la tête. Je le saluais en premier.


– Salut ! Ça va ? Il fait chaud hein ?


Il se décidait à s'approcher, il avait son T-shirt dans les mains et tentais de se donner de la contenance en le passant d'une main à l'autre. J'admirais son corps. Je me disais que sa peau devait être vraiment douce, il n'y avait pas un poil sur son corps. Mois qui suis du genre nounours, pas de commentaire désobligeant sur ce point, j'ai une fourrure très douce !


Il me souriait, ne sachant de toutes évidences pas quoi faire, je pense que je devais mieux cacher que lui le fait que j'étais moi aussi très intimidé, un peu retourné, il était tellement beau. C'était un petit gabarit comme je le disait tout à l'heure, mais il était vraiment sexy. Son pantalon était bien ajusté, et de près je pouvais voir une grosse bosse à son entre-jambe qui me confirmait que j'avais bien vu un peu plus tôt.


Je lui faisais signe de s'asseoir, il s'asseyait à côté de moi !


– Moi c'est Charly !

– Ali !

– Salut Ali, tu viens souvent ici !

– Non, en fait, ça ne fait pas longtemps que je suis dans le coin …


Suivait un moment de silence. Aucun d'entre nous ne savait trop quoi dire, on avait quoi ? Au moins quinze ans d'écart, plus même peut être … et il était tellement beau.


– J'aime bien les mecs poilu. Me disait-il. Moi j'ai pas un poil sur le corps pratiquement !

– Moi j'aime bien la couleur de ta peau !


J'osais, je lui caressait le torse avec le dos de la main. La glace était brisée, il ne me repoussait pas, se penchait vers moi et nous échangions un baisers plein de tendresse. Comme je m'en doutais sa peau était aussi douce que la soie. 


Il passait une main sur mon torse, me caressait ma fourrure. Je vous jure je suis du genre nounours, on m'a même traité de grizzly une fois, mais c'était affectueux. 


On était alors dans les bras l'un de l'autre, on se serrait fort, on se caressait nos corps glissaient l'un sur l'autre. Ma main glissait sur sa cuisse, remontait puis s'arrêtait sur son sexe. Il était super bien monté, je sentais sa queue durcir dans son pantalon et elle était de très belle taille. Oui je sais je vous disais tout à l'heure que c'était une légende ça, quand on vous dit les black on tout une grosse bite. Ils n'en ont pas tous une grosse mais il y en a quand même quelques une qui sont bien doté, c'était son cas !


Je suppose que le truc que je portais pouvait le mettre mal à l'aise, mais mes caresses lui donnait le courage de passer à l'action à son tour. Avec la main il me caressait les couilles, puis s'attardait sur la cage, il semblait explorer le truc. Je faisais sauter le premier bouton de son pantalon. Pour m'aider il se relevait, en quelques mouvements rapides j'ouvrais son pantalon et le faisais tomber sur ses genoux. J'avais été rapide, il était surpris mais ne tentait pas de m'arrêter. 


Sa queue se relevait avec force, elle était belle, bien grosse et belle. Elle semblait disproportionnée par rapport au reste du bonhomme mais c'est sans hésiter que je la prenais dans la bouche. J'ai dis sans hésiter, j'ai pas dit facilement.


Je le suçais avec plaisir en lui caressant les cuisses et les couilles. J'aime bien les grosses queue moi, c'est comme ça. Et là j'étais gâté !


Au début il ne faisait rien, je le devinais penché en avant, il devait me regarder faire. Quand je relevais la tête, je pouvais voir son sourire, il me regardait et souriait. Ensuite il prenait ma tête entre ses mains et me guidait avec douceur, avec retenue. Quelques mouvements du bassin, sa queue s'enfonçait jusqu'à ma gorge, puis avec la main il me tirait sans prévenir contre lui. Il y allait doucement, j'aurais facilement pu résister mais je n'avais pas envie.


– Tu es passif ? Me demandait-il


Je continuais à le sucer encore quelques instants et relevais la tête.


– Mais qu'est ce qui te fais dire ça ?


Un léger fou-rire, un large sourire, il me regardait l'air amusé …


– Ton truc, là. Que tu as sur ta queue c'est quoi ?


Je continuais à le sucer pendant un long moment, c'était juste pour le plaisir. Puis je me relevais, j'ouvrais mon pantalon le faisais tomber sur mes chevilles et lui montrais.


C'est lui qui se mettais à genoux pour pouvoir mieux voir de quoi il s'agissait. Il me tripotait les couilles, il faisait chaud et elles pendouillaient mollement, il portait tout autant d'attention à la cage.


– Alors , tu en pense quoi ?

– Tu es passif alors ?

– Bein oui, là j'ai pas trop le choix !

– Ça fait pas mal ?

– Non !

– Mais tu peux le retirer ?

– J'ai la clé chez moi !


Il continuait à me tripoter les couilles … un peu plus tard je reprenais.


– Tu en penses quoi ?

– J'adore !


Il se relevait et je pouvais constater qu'il bandait encore plus. Sa queue était énorme, bien dure, bien ferme bien relevée presque à la verticale contre son ventre. Ma queue, elle ne manifestait rien, ça ne veut pas dire qu'elle ne réagissait pas. Je la sentais protester dans sa cage, cette cage qui était devenue trop petite, minuscule. C'était frustrant de voir sa sienne se relever avec autant de force et de sentir la mienne complètement confinée. Là mes couilles ne pendouillaient plus, elles formaient une grosse boule bien ferme et c'était pas confortable.


Je le prenais dans les bras, le serrais fort contre moi. Sa queue s'écrasait entre son ventre et le mien, ma queue s'écrasait contre les parois de sa cage. Il n'était plus du tout intimidé, moi non plus remarquez, je me penchais de nouveau sur lui et reprenais là ou je m'étais arrêté. 


Maintenant il appuyait un peu plus fort sur ma tête, je ne résistais toujours pas. Il se penchait sur moi et me caressait les fesses, rapidement c'est un doigt qui glissait dans mon cul. Je poussais juste un petit gémissement de plaisir et le laissais faire.


Il me relevait, me donnait un baiser …


– Retourne toi !


Je penchais les yeux vers sa queue, elle était énorme et me faisait un peu peur. Je lui donnais un baiser sur l'épaule et je m'exécutais. J'avais comme un petit nœud dans l'estomac. Je savais depuis le début que ça devait se terminer comme ça, en tout cas si tout se passait bien, mais cette matraque me faisait peur. 


Il avait l'air doux, et câlin. À part sa matraque de géant qui ne pendait pas du tout devant lui mais se relevait, menaçante et effrayante, le reste du bonhomme était trop mignon, menu, et avait l'air tellement inoffensif. Je me disais que là j'allais m'en prendre plein le cul. J'en avais vraiment envie mais il me faisait peur aussi avec son gros machin.


Je me mettais à genoux, c'était plus pratique, il ne faut pas oublier qu'il était plus petit que moi d'une tête. Il se penchais sur moi et me recouvrait complètement, il me prenait dans ses bras et me caressait avec une extrême douceur. Il me couvrait de baisers, de caresses. Ses mains se promenaient partout sur mon corps, elles me caressaient le ventre puis descendaient vers mon dispositif de chaste. Celui là je le sentais de plus en plus serré autour de ma queue, mais ça ne venait peut être que de ma queue. Elle protestait comme jamais.


Il me caressait et me tripotait les couilles, c'était toujours une grosse boule bien ferme qui semblait l'intéresser tout particulièrement. Il insistait longuement avec une main et avec l'autre me lubrifiait le cul. J'écartais les cuisses, je respirait fort, je me détendait du mieux que je pouvais. J'avais toujours cette boule au fond de l'estomac. 


Il me mordillait doucement la base du cou, juste entre les omoplates, je frissonnais et c'est à ce moment que je sentais une pression de fou contre mon anus, il poussait et lentement sa queue se frayait un passage. Je sentais mon anus se dilater, j'avais l'impression qu'il allait déchirer. J'étais envahi, tout mon ventre était envahi et je sentais une masse s'enfoncer dans mes entrailles.


J'ai voulu crier, hurler mais quand j'ouvrais la bouche aucun son n'en sortait. Je n'avais plus de souffle, c'est à peine si je parvenais à gémir. C'est à peine si quelques petits cris se faisait entendre en sourdine. Je baissais la tête, comme résigné, je tremblais, je pleurais. En fait mes yeux pleurais, moi je n'avais pas envie de pleurer, je n'étais pas triste ou malheureux. C'était seulement l'extase. En fait c'était juste entre l'extase et l'enfer pour être exacte. 


Son ventre s'écrasait contre mes fesses, je tremblais, tous mes muscles se sont contracté à cet instant. J'ai ressenti un forte douleur au cul. Il ne bougeait plus. 


– La vache, c'est serré ! Me disait-il.

– C'est pas moi qui suis serré, c'est toi qui est trop large.


Je me retournais, je le voyais sourire en réponse à mon commentaire puis je le voyais concentré. Il se retirait lentement, doucement, en un seul mouvement. 


Seul son gland était encore dans mon cul, il lubrifiait encore un peu et s'enfonçait de nouveau. J'avais toujours la tête tournée vers lui, il était concentré et quand son ventre s'écrasait de nouveau contre mes fesses, il se penchait et m'embrassait avec passion.


Il se retirait, puis revenait et continuait ce mouvement de va et vient. Je tremblais, peu à peu la douleur passait même si ça restait à la limite.


Peu à peu c'est un plaisir intense qui m'envahissait. Au niveau de mon cul bien sûr mais pas seulement, le plaisir montait dans mon ventre, remontait jusqu'à mon cœur et finalement tout mon corps tremblait de plaisir. 


C'était un plaisir intense qui restait toujours à un cheveux de la douleur, de l’horreur. 


Il devait savoir qu'il pouvait blesser, et quand il jouissait dans mon cul il retenait tout mouvement brusque. Il enfonçait sa queue bien à fond mais c'est tout, il ne donnait pas de coup de bassin, de coup de bite. Je n'ai pas compris tout de suite qu'il avait joui.


Il s'est retiré, toujours avec un mouvement lent, et j'ai joui de nouveau au moment ou sa queue est totalement ressortie de moi. J'ai joui, j'ai éjaculé, j'ai gémi de plaisir … Là c'était top !


Il s'est laissé tombé sur mon dos et ce n'était plus que câlin, caresses et douceur.


Il fallait bien se relever, je me sentais bien, terriblement bien. On faisait un câlin. Je le félicitais pour la taille de sa queue, il me félicitait pour ma capacité à me la prendre dans le cul. Je le félicitais sur sa manière de s'en servir, il me félicitait sur mon endurance …


Il me tripotait toujours les couilles mais là, ma queue s'était calmée et mes couilles pendouillaient mollement de nouveau. J'ai adoré le tenir dans mes bras, il était tellement menu, tellement inoffensif maintenant. 


Il a bien fallu se séparer, se lâcher, se quitter. On a échangé nos téléphones et on s'est donné rendez-vous … 


Au moment ou il s'éloignait il me lançait : '' Ton truc, tu le gardes, finalement je suis fan ! ''. Je lui faisais oui de la tête.




N'hésitez surtout pas à me laisser une commentaire et à me retrouver sur Twitter …  @CharlyChast 


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