6 A LA PLAGE 04

 6 A LA PLAGE 04



Ce matin nos trois lascars avaient envie de nous faire languir. Alain suivait et passait lui aussi sous la douche. Il me faisait un salut de la main, je ne lâchais pas des yeux lui non plus. Avec une démarche lourde, comme si le gros truc qui pendouillait entre leurs cuisses les gênait, il venait vers moi, me faisaient l'accolade et m'embrassaient !


Alain me tripotait les couilles en rigolant.


Alain : Alors tout le monde à bien dormi ?


Il m'allumait l'enfoiré, il m'allumait.


Moi : Et Clic il n'est pas réveillé ?

Alain : Oh que si, va donc voir dans la tente.


Je m'approchais et jetais un œil, David était allongé sur le dos et Clic le chevauchait. Je pouvais voir clairement la queue de David qui disparaissait entre les fesses de Clic. Celui-ci avait replié les jambes il se soulevait et je voyais la queue de David ressortir, il s'appuyait et cette grosse queue disparaissait de nouveau. Clic avait le visage relevé, la bouche grande ouverte mais aucun son n'en sortait à par peut être un tout petit gémissement. Ils ne m'ont même pas remarqué !


De nouveau ma queue manifestait avec force. Décidément la journée commençait mal, ou commençait bien, c'est selon la manière de voir. Au niveau de la frustration la journée se promettait riche, au niveau plaisir un peu moins.


François et Alain ne cachaient pas leur amusement, il faut dire que ma réaction était visible, l'expression de mon visage et mon dispositif qui se relevait avec force. 


Ils m'allumaient depuis la veille ces trois guignols. Toutes les attentions n'allaient que vers Clic mon ami Denis et moi passions au second plan. Mais les vacances ne faisaient que commencer et s'ils ne se gênaient pas de nous frustrer je me doutais bien qu'ils sauraient bientôt s'occuper de nous. 


En attendant Clic s'en prenait plein le cul, David s'amusait et profitait de Clic. Je les regardais et je voyais David soulever avec force et vigueur son bassin, empalé sur cette grosse queue Clic semblait rebondir. Avec ses bras il tentait de se cramponner à ce qu'il pourrait trouver mais ne trouvant rien il les balançait comme pour garder son équilibre. 


Au bout d'un long moment David cessait de se soulever et Clic retombait sur lui, profondément empalé sur sa queue. Les deux hommes reprenaient leur souffle. Un peu plus tard Clic se laissait tomber sur le côté, David se dégageait. Je le suivais des yeux, il débandait lentement et se dirigeait vers la douche. Me voyant il me saluait de la main en me faisant un large sourire satisfait.


Je l'admirait longuement, il se lavait. Sa queue se balançait lourdement, il la savonnait en la tripotant longuement. Elle gardait de ce fait une certaine taille , bien lourde, bien longue, bien large. Bien … Pffff … J'avais une forte envie de me la prendre dans la bouche, dans le cul. 


Je me retournais vers Clic, il était toujours sous la tante allongé sur le dos, les jambes écartées, Alain avait pris place sa queue déjà bien implantée dans le cul de Clic. Enfoncée à fond, ils se tenaient dans les bras et se faisaient un gros câlin juste avant qu'Alain ne commence des mouvements de va et vient rapides et violent. 


Clic gémissait longuement et tremblait mais se laissait faire.


Juste dans mon dos …


François : Je ne sais pas si c'est son truc qui le met dans cet état, mais il est chaud ce matin. On lui sera passé sur le corps tous les trois. 


Je ne savais pas quoi répondre, je ne savais même pas quoi bafouiller. Je bavais d'envie, les trois lascars s'amusaient à nous frustrer Denis et moi. Je l'avais presque oublié Denis, il était ou Denis tient ?


Rapidement je le retrouvais, il était en face de la tante et regardait Clic se faire défoncer le cul pour la troisième fois ce matin. Il avait l'air con, lui aussi il aurait bien aimé être à sa place.


François glissait doucement tout contre moi dans mon dos et passait avec douceur une main sur mon torse, il me caressait pendant quelques minutes tout en regardant avec moi son copain Alain enculer son autre copain Clic.


Clic était déchaîné, il en voulait et on lui en donnait. Ses trois copains lui étaient passé sur le corps ce matin et il n'était pas encore bien tard. Quelquefois, porter un dispositif de chasteté provoque cet effet. Je sentais le corps chaud de François, la douceur de sa peau, il me caressait le torse avec la main et sa queue se relevait entre mes cuisses. 


Ma queue se relevait et avec elle c'est mon dispositif de chasteté qui se relevait, ça ne prenait pas plus de volume mais je vous jure que moi, j'avais l'impression du contraire. 


François me donnait un baiser sur l'épaule, une claque sur la fesses …


François : Bon maintenant, petit déjeuner. C'est que ça m'a donné faim moi d'enculer Clic, il est déchaîné ce matin.


Clic était déchaîné en effet, il gémissait de plaisir. Alain était allongé sur son dos. Son dos, je parle de celui de Clic, Alain lui était allongé sur le ventre. Ils ne bougeaient plus. Ils respiraient fort tous les deux, surtout Clic je dois dire qu'il avait l'air totalement essoufflé. 


Alain se relevait, Clic ne bougeait pas tout de suite. Quand il se relevait les trois autres étaient déjà autour de la table et la brioche était bien entamée.


Avec Denis j'étais tout retourné. En temps normal je n'aurais pas été en manque. Je m'étais tout de même fait défoncé le cul la veille, et je ne suis pas ce genre de mec qui a besoin d'une queue deux fois par jour mais … Là j'en avais trois à ma disposition et j'avais pas le droit de toucher … Depuis la veille … C'est vrai mais … C'est trois bites qui se balançaient, ça faisait envie quoi !


On passait la journée à la plage. Pique-nique et occupations diverses, enfin tout ce qu'on peut faire a la plage sans pour autant se faire remarquer. Dans notre cas c'était loupé d'avance, on nous remarquait quoi qu'on fasse !


Je ne sais pas si c'était à cause de ces trois gaillards grands, beaux, musclés, de toutes les couleurs et qui avaient tous les trois une matraque molle qui pendait devant eux lourdement ou à cause des trois autres abrutis qui portaient un dispositif de chasteté … J'ai dit abrutis ? C'est vrai qu'un instant j'avais oublié que j'étais dans le lot.


Tout ça pour dire qu'on ne passait pas inaperçu. Rapidement des hommes venaient nous voir pour discuter et en savoir plus sur les trois qui avaient un truc bizarre entre les cuisses. Ils s'intéressaient aussi remarquez à nos trois étalons, pour eux aussi on voyait de loin qu'il y avait du matériel entre leurs cuisses. Au bout d'une semaines un groupe élargi s'était constitué autour de nous six. ( Quand je pense qu'au début, avec Denis on n'osait pas s’exhiber devant tout le monde ! )


Le soir de retour à la maison, on prenait en premier une douche de dessalage puis on préparait le repas. Un couple se formait, au moins un couple se formait. Les autres préparaient le repas. Le barbecue à chauffé pendant ce mois là.


Mon préféré c'était François ! Il avait une super grosse bite qui faisait envie. On commençait toujours par un long moment de tendresse, un câlin plein de douceur qui se terminait par un câlin plus viril. Là il fallait pouvoir encaisser, à chaque fois ça me faisait un peu peur puis, mais pas une fois je n'aurais pensé refuser, le refuser. 


Quand sa queue appuyait sur mon anus, je tremblais. Quand il poussait de plus en plus fort sa queue contre mon cul, j'avais envie de gueuler et quand je sentais mon anus se dilater, s'ouvrir, il y avait toujours ce moment magique de panique. Mon instinct me disait de m'enfuir, de me dégager et de m'enfuir mais mon corps lui me disait de me détendre et de laisser faire, de ne pas résister. Surtout ne pas résister !


Ensuite je me sentais envahi par une masse énorme qui me remplissait jusqu'au nombril et plus haut peut être même. Je tremblais, j'avais le souffle coupé et je paniquais. Je paniquais à chaque fois, je ne m'y suis jamais habitué pourtant à chaque fois c'était bon, tellement bon.


Son ventre s'écrasait contre mes fesses, à chaque fois ça se passait bien, à chaque fois c'était bon mais à chaque fois c'était un moment de peur panique qui m'envahissait en même temps que sa queue me remplissait les entrailles.


Pourtant j'en redemandais, j'aimais ça, j'aimais vraiment ça. Il pouvait faire de moi ce qu'il voulait, je lui faisais confiance. S'il voulait me retourner sur le dos, me relever les jambes, placer mes chevilles sur ses épaules, s'appuyer sur mes jambes, mes les replier contre mon torse de tout son poids et me défoncer jusqu'à la garde je le laissais faire.


C'est ce qu'il faisait. Au début le plus souvent il s'allongeait sur moi après m'avoir écarté les cuisses, ensuite il me retournait sur le dos. Je le regardais alors dans les yeux, je passais mes mains derrière son cou et je me cramponnais à lui. Il me limait alors le cul, doucement au début, un peu plus fort par la suite. Il n'était jamais trop violent, et c'était heureux il aurait pu tuer avec un truc pareil. Mais il contrôlait bien sa force et je vous jure qu'à ce moment, c'était l'extase.


Quelquefois ils étaient joueurs. François s'écroulait sur moi, me laissait allonger les jambes tout en se retirant de moi lentement. À ce moment je jutais et je jouissais de nouveau, je frissonnais alors comme s'il faisait froid. Il restait un moment là, sans bouger. Quand il se relevait un de ses copain le remplaçait. 


On me retournait alors à quatre patte, le cul bien offert et David qui se plaçait alors juste derrière moi me prenait dans ses bras en se penchant sur mon dos, puis, me relevait tout en enfonçant à son tour sa queue bien à fond dans mon cul. Ses mouvements étaient lents, décidés, il était inutile de résister. Ça devait passer et ça passait. Lentement sa queue entrait, là je paniquait moins. Après avoir pris la queue de François dans le cul on panique toujours moins si une autre queue se présente mais celui là aussi je le sentais passer. 


Son étreinte était forte quand son bassin s'écrasait sur mes fesses. Il avait lui aussi une belle grosse queue. Je vous l'avais dit, on était tombé sur un trio de champions. Il était un peu plus rapide, un peu plus violent que François et régulièrement quand il se retirait totalement c'était pour revenir bien à fond avec force et vigueur. Il attendait pour ça que je sois bien dilatée. Lui aussi il était équipé d'une arme lourde.


Denis était en face de moi, les braises commençaient à être bien chaudes. Clic lui aussi restait comme tétanisé en face moi appuyé contre Denis, il ne bougeait pas. Je pouvais remarquer qu'ils respiraient fort.


David se retirait de mon cul, je soufflait alors, je me sentais bien. J'avais la cervelle en feu mais je me sentais bien. David terminait en se masturbant et finissait par éjaculer sur mon dos. Alain le remplaçait aussitôt.


Là j'étais détendu, enfin j'étais dilaté je veux dire. Je le sentais passer lui aussi, surtout que là je commençais à fatiguer, mais il passait tout seul. Voyant cela il ne se privait pas d'y aller avec un peu plus de force et de vitesse, en quelques secondes son ventre s'écrasait sur mon cul et sa queue s'écrasait au fond de cul, je ne sais pas ou mais loin, bien profond au milieu de mon ventre. Je gémissais. Je tremblais, je manquais d'air mais j'encaissais. 


Il me limait alors avec générosité le cul, longuement, en prenant bien son temps. Ses mouvements étaient amples et par moment rapides. Par moment violents, là je râlais, je mon contractais, je me crispais. Il terminait par quelques mouvements rapides qui m'arrachaient des cris, ce n'était pas que du plaisir … 


C'était le pied !


Denis et Clic ne bougeaient plus, ils avaient vu la scène et se sentaient à l'étroit dans leur petit dispositif. Moi ça allait ma cage était largement trop grande tant ma queue s'était ratatiné de peur. Quand je voulais me relever je perdais l'équilibre, David me rattrapait avant que je ne tombe. Il m'aidait alors à m'installer, bien assis sur le cul ( bein oui ça sert aussi à ça un cul ) en attendant que je retrouve mes esprits.


François et David se chargeaient de faire cuire la viande tout en regardant le spectacle d'un œil amusé.


François : Franchement là tu m'épates ! Je ne pensais pas que tu pourrait encaisser ça. Nous trois à la suite l'un de l'autre …

David : Respect mec, on remet ça quand tu veux !

Alain : Prêt à te faire plaisir quand tu veux mec !

Denis : … Ghhh …

Clic : … Hehhhh …


Les deux derniers étaient tout retournés et pas très éloquents.


Et si je vous dis que c'était comme ça tous les soir pendant plus de trois semaines … Vous me croyez ?


Bein non quand même ! Là je n'aurais pas survécu ! Mais un soir de retour de la plage, ça s'est bien passé comme ça. Remarquez une mec peut récupérer rapidement … Non je ne parle pas pour moi … Il m'a fallu la soirée pour m'en remettre ( et un peu plus même ). Mais pour les trois lascars, il ne leur a pas fallu toute la soirée pour s'en remettre et un peu plus tard dans la soirée c'était le tour de Denis et de Clic d'y passer. 


Dans mon coin, bien installé sur un coussin bien doux et bien épais je regardais le spectacle, ils se sont pris tous les deux les trois bites dans le cul. Denis avait le visage tout rouge et je ne pensais pas qu'il encaisserait les trois queues. Mais il l'a fait !


Les meilleures chose ont une fin, et la fin du mois arrivait. Je ne vous cacherais pas que j'aurais bien aimé les garder à la maison, on était trois à porter un dispositif de chasteté, avec Clic, et ils étaient trois, montés comme des ânes, à ne pas en porter, donc … On faisait le poids !


Mais si je devais reprendre le travail, tout comme Denis. Eux aussi arrivaient à la fin de leurs vacances. On se promettait de se retrouver l'année suivante, de rester en contacte.


L'été n'était pas terminé aussi avec Denis on retournait régulièrement à la plage, pas tous les jours, on reprenait aussi notre travail mais souvent. On était repéré, à la plage et au final on ne prenait plus la moindre précaution pour nous dissimuler. On a depuis ce jour exhibé fièrement notre dispositif, on l'a assumé depuis. En plus, ça nous a fait faire plus de rencontre que par le passé !




N'hésitez surtout pas à me laisser une commentaire et à me retrouver sur Twitter …  @CharlyChast 


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