Vacances à poil 08

 

Vacances à poil 08



Nous retrouvions au bar, il était minuit passé mais le bar ne fermait pas avant trois heures du matin. Il était en retrait de la zone réservée aux locations, pour ne pas déranger ceux qui voudraient dormir tranquillement sans pour autant oublier ceux qui voudraient faire la fête.


Tout le monde était à poil, Alain semblait détendu. On le serait à moins il venait de s'enfiler sa copine. La mienne l'était aussi, je lui avais servi de sex-toy et elle m'avait utilisé jusqu'à satisfaction de son plaisir.


Bon moi je faisais bonne figure. J'avais senti ma copine vibrer de plaisir dans mes bras mais pour moi, rien. J'avais toujours ma queue en cage et elle protestait toujours. Ma cage s'était remplie jusqu'à déborder. Ça durait depuis un moment maintenant et c'était vraiment inconfortable. Pas vraiment douloureux, c'est déjà ça !


On commandait quelques cocktails et on discutait.


Alain me questionnait sur ma cage, il rigolait quand je lui racontait mon histoire. Les filles aussi rigolaient. Mes copains avaient disparu depuis le début de la soirée, eux aussi étaient dans la même situation que moi. Nous porterions cette cage jusqu'à la fin de nos vacances. Nous serions contrains à rester sage alors qu'il y avait des filles un peu partout et toutes à poil, et toutes affolantes, et toutes …


Ma cage se faisait sentir, j'étais le seul à la remarquer, les autres autour de moi ne remarquaient dans quel état de frustration je me retrouvais. Un peu plus tard les deux filles nous laissaient.


Ça fait longtemps que tu es avec … heu … Demandais-je à Alain.


Je ne me souvenais plus du nom de sa copine, en fait je ne le connaissais pas. Et je n'étais pas le seul.


Avec … heu … Me répondait-il. Non on s'est rencontré ce soir, je ne sais même comment elle s'appelle. Et toi ?

Moi non plus je ne connais pas son nom, je suis là avec des amis et c'est une des filles qui nous tournent autour, elles ne nous ont rien demandé et voilà.

Si tes copains portent aussi une cage, c'est normal, les filles adorent ça. Mais tu peux la retirer !

Bein non, on ne nous donnera pas la clé avant notre départ.

Excuse, je n'avais pas imprimé ce détail. Mais c'est vrai que c'est stimulant.

Pour moi c'est frustrant.

Et tu fais comment pour te faire plaisir ? Il avait un petit regard vicieux en me demandant ça.


Je ne lui répondais que par un sourire vicieux, ou entendu.


Si tu veux, je t'invite à terminer la soirée chez moi. Je suis dans un coin tranquille. On pourra boire quelques verres avant de …


Je n'osais relever le ' avant de ' il n'avait pas l'air de s'intéresser aux mecs et en plus il venait de se vider les couilles. Il était en effet un peu en retrait, face à la mer. C'était un endroit d'exception.


Et tu as fait comment pour avoir un mobil-home à cet endroit ? Lui demandais-je.

J'ai des actions dans le camping ! Me répondait-il simplement.


On s'installait face à la mer, il faisait nuit noire et c'est à peine si on distinguait les mouvements de l'eau. Le ciel était illuminé d'étoiles. Il ouvrait deux bouteilles, m'en déposait une à côté de moi.


Il me semble bien avoir entendu parler de vous, de toi et de tes copains. Mais je ne sais pas pourquoi je pensais que vous n'étiez pas resté.

On avait réservé et payé d'avance !

C'est vrai que dans ces cas là, ils ne remboursent pas.

Et voilà !

Vous avez préféré la cage à bite ! C'est amusant !

C'est pas le mot que j'aurais choisi, moi j'aurais dit … Frustrant !

Oui, la frustration est livrée avec.


On discutait tranquillement en buvant quelques gorgées de bières, il se caressait la queue. Une très faible veilleuse nous permettait de nous voir. Je le regardais, ma queue protestait, mais bon c'est ce qu'elle faisait depuis un moment déjà, ça ne changeait pas grand chose.


Sa queue était impressionnante, je ne l'avais vue qu'à moitié molle, là dans une cette obscurité qui me laissait pourtant tout deviner, elle se dévoilait énorme.


Et ça doit te manquer tout de même ?


J'avalais ma salive, et parvenait à lui répondre une sorte de ' Groui '. Il rigolait et commençait à se masturber. Je le regardais, mon regard passait de sa queue à son visage, il souriait, il avait l'air détendu et moi je me sentais encore plus frustré à chaque seconde.


Comme pour me provoquer, il se tournait vers moi et c'est donc bien en face qu'il me donnait ce spectacle. Là je vous jure je bavais.


Tu sais, tu peux intervenir si tu veux !


J'ai bien compris le message. Je me penchais vers lui et sans autre cérémonial, je prenais sa queue dans ma bouche. Il retirait sa main et me laissait faire. J'appuyais ma tête et je sentais sa queue glisser sur ma langue et s'enfoncer lentement jusque dans ma gorge.


Je ne forçais pas, elle était grosse et je préférais m'épargner au début, je choisissais d'y aller doucement. Je relevais la tête, la penchais de nouveau et sa queue caressait ma langue, il gémissait de plaisir. Je devinais à quel point ça devait être agréable, dans ma tête, je m'imaginais cette sensation, ce plaisir.


Ma queue était toujours écrasée par les barreaux de la cage et la sensation était très différente. Il avait droit à une grande douceur, j'avais droit à la dureté. Je ne parvenais même pas à ajuster ma queue en tirant sur la peau, la pression était trop forte.


J'appuyais ma tête, sa queue arrivait presque à ma gorge et sans me prévenir il me balançait un coup de bassin, sa queue entrait et s'écrasait au fond de ma gorge. Je n'ai pas eu le temps de réagir, c'était violent, mais j'ai encaissé. Il me laissait agir sans me brusquer.


C'est pas la première fois que tu suce toi ?

Honk, honk … Répondais-je en agitant la tête de droite à gauche sans arrêter pour autant de le sucer.


Je devinais son sourire à sa voix, il était satisfait.


Et si je faisait comme ta copine, si ne prenais mon plaisir sans se préoccuper du tien.


La je ne tentais même pas de répondre, mais un instant j'ai eu peur qu'il ne le fasse. Mais j'ai continué à lui donner du plaisir, au risque de me retrouver encore plus frustré.


Là je me suis donné à fond, j'espérais en lui donnant du plaisir qu'il m'en donne après. Ma queue protestait mais mon cul aussi. Là j'avais une queue magnifique sous la main. Pardon je voulais dire dans la bouche. Et j'espérais bien me la prendre dans le cul. Ça ne dépendait pas de moi.


Je découvrais peu à peu ce nouveau plaisir basé sur la frustration. C'était la deuxième leçon de la soirée. Mon cœur battait très fort, et il y avait cette queue superbe que je ne voulais plus lâcher. Je me régalais, je la caressais avec ma langue, j'insistais fermement sur son gland, il était à la fois doux et chaud, et je provoquais des réaction.


Il gémissait de plaisir, là il ne se retenais plus. Il appuyait sur ma tête. Son gland rentrait en force, je résistais, elle ressortait. Il appuyais alors un peu plus fort, et tout recommençait.


Je le suçais mais c'était aussi lui qui me baisait la bouche. C'est pas forcément désagréable de perdre en partie le contrôle de la situation, et là il faut bien reconnaître que je ne contrôlais plus rien.


Par moment il me retenait, il se retenait en fait !


Puis il décidait de passer à autre chose.


Relève toi ! Me disait-il en se relevant.


Il me prenait dans ses bras et me caressait.


Moi aussi, j'aime bien les mec, tout comme les filles. Pourquoi choisir quand on peu avoir les deux !


Il me caressait les couilles puis les fesses, il glissait un doigt dans mon cul. Comme ça sans prévenir, à sec ou presque. Puis quelques instants plus tard il revenait à la charge mais là il avait lubrifié, il me glissait un doigt dans le cul et commençait à l'agiter, il y rajoutais un autre doigt et là le plaisir devenait réel, bien réel. Je gémissais de plaisir et j'en redemandais encore.


Il me retournait contre le garde fou, je m'appuyais et d'instinct écartais les jambes. Il continuait à me lubrifier le cul. J'avais compris ou il voulait en venir et je n'avais pas l'intention de le repousser. Même s'il avait une grosse queue, surtout qu'il avait une grosse queue !


L'avantage dans ce genre d'endroit, c'est qu'on n'a pas besoin de retirer ses vêtements. Il se glissait dans mon dos, son corps était chaud, et doux, il sentait le soleil. J'en oubliais sa queue, mais un instant seulement.


Un instant plus tard, je sentais une pression, une masse lourde et ferme appuyait contre mon cul. Je me détendais ne résistais pas et la pression augmentais, le corps de Alain était tout contre moi, il me tenait dans ses bras et m'embrassait dans le cou. Il se relevait aussi, et poussait sa queue contre mon anus.


La pression devenait plus forte et mon cul ne résistait pas bien longtemps, il s'ouvrait et sa queue s'enfonçait lentement en moi. C'était un plaisir terrible, un plaisir qui m'envahissait jusqu'au fond de mes entrailles. Un plaisir presque douloureux mais avant tout, un plaisir.


C'était un plaisir intense, j'étais presque pris de convulsions. Le plaisir m’envahissait, tout mon corps tremblait de plaisir. Je sentais ma queue bien dure, bien ferme mais elle ne semblait pas plus grosse qu'il ne le fallait j'avais l'impression que j'allais éjaculer, j'avais l'impression que je jouissais.


Pourtant je restais parfaitement sec. C'était comme un plaisir qui ne parvenait pas à se manifester mais en même temps le plaisir devenait tellement intense que j'allais exploser. Sa queue me dilatait le cul, il me limait, doucement puis avec force. Il me serrait fermement contre lui, il me caressait et en même m'enfonçait sa queue, il poussait.


J'ai vraiment perdu le contrôle de la situation. Je me suis mis à trembler, je faisais de drôles de bruits avec ma bouche, je ne pouvais plus parler. Le plaisir rayonnait dans tout mon corps, dans mes jambes, dans mes bras, je ne sais pas comment j'arrivais à tenir debout .


Alain le labourait le cul, il ne me limait plus, là il me labourait avec sa grosse queue, et ça durait.


J'ai déjà éjaculé un peu plus tôt ! Me disait-il. La deuxième fois ça prend toujours plus de temms.

Aoui, non, grond wuaaaaaaa ! Parvenais-je à lui répondre.


C'est alors en rigolant qui me donnait avec un violence non retenue les derniers coups de bassin avant d'éjaculer dans mon cul. Il me lâchait alors et je tombais sur le sol.


Tu vas t'en remettre ! Me disait-il.


Je restais assis là ou j'étais. Je me sentais bien.


J'ai dormi sur place, je me sentais intransportable, le lendemain je me sentais bien, je rentrais à mon mobil-home ou je retrouvais mes amis. Ils semblaient faire la gueule, la frustration sans doute.


Moi je commençais une belle journée, et la frustration, là je n'y pensais plus.



A suivre




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Les règles du jeu Ep08 Thonny Mc Jump

 

Les règles du jeu Ep08

Thonny Mc Jump



J'ai passé une très belle nuit, la plus belle nuit de ma vie. Je l'avais passée dans les bras de Thonny Mc Jump.


C'était un jeune sportif très prometteur à cette époque, il était terriblement beau gosse et toutes les filles lui couraient après. Surtout que en plus il pratiquait un sport qui exultait les formes du corps. Il faisait de la natation.


Moi je portais plusieurs couches de vêtements de protection, lui ne portait pratiquement aucun vêtement. Enfin un petit, un tout petit bien ajusté. Son maillot était étudier pour ne pas être trop érotique, on ne voyait pas la forme de sa queue ou ses deux couilles, genre la bite dans un sens, les couilles dans l'autre.


Le petit tissus retenait l'ensemble en un seul paquet bien solide, bien confiné on ne pouvais voir qu'une boule formée de tout cela, une belle boule bien définie. Mais si on ne pouvait presque rien distinguer, on savait que tout était en place.


Il me l'avait bien prouvé la veille au soir. Il me le prouvait de nouveau ce matin, sous la douche. On pouvait voir que non seulement il avait bien une bite, mais en plus elle était de très belle taille, longue, large et ses proportions étaient parfaites.


Elle se balançait sous la douche, j'étais là à le regarder, nu moi aussi. Ma cage à bite le fascinait, il la regardait et par moment il me frôlait, me caressait et s'amusait à me tripoter les couilles.


Sous la douche il se retenait, il bandait mou, c'était le mieux qu'il pouvait faire le matin. Puis on a pris notre petit déjeuner, ensuite c'était un bonheur de le voir s'habiller. Il pratiquait le free-balling et son pantalon sans être du genre moule boules restait un peu moulant tout de même.


Au dessus il y avait la tablette de chocolat blanc, magnifique, tout ça bien planté sur deux jambes musclées et fines à la fois. Deux bras bien épais pour nager la brasse et tout était là !


Pardon, j'avais oublié la tête, des cheveux courts, clairs couleur champ de blé, deux yeux bleus qui lui donnait cette impression de soleil sur le front et un sourire éblouissant.


Il était beau comme un dieu !


Et en plus Thonny Mc Jump, c'était mon idole ! Je me demande si je ne me répète pas un peu là. Il faut me dire si c'est le cas.


Il était en passe de devenir professionnel. Bein oui pour ceux qui suivent l'actualité sportive, c'était il y a déjà quelques années ! Je dis ça pour replacer l'histoire à la bonne époque.


Il avait donc un emploi du temps chronométré. Je savais ou le trouver à peu près à n'importe quelle heure. Le lendemain je passais le voir à la piscine. Il était beau mon Thommy, je restais là, un long moment à le regarder, il semblait glisser sur l'eau, on avait presque l'impression qu'il ne touchait pas l'eau.


Je le voyais déjà marcher sur l'eau et courir un deux cent mètres à la surface de la piscine.


Bon il faut vraiment que je me calme moi. Je vous ai déjà dit que Thonny Mc Jump était mon idole, et en plus un petit peu mon amant … ( on me fait signe que oui, je l'ai déjà dit ).


j'avais envie de le suivre mais moi quand je nage, je ressemble plus à une éclaboussure qui passe. Je n'ai rien de cette grâce aquatique qui émanait de chacun de ses muscles. On les voyait bien ses muscles, il s'agitaient sous sa peau, c'était un plaisir.


Ma queue se faisait remarquer, j'étais le seul à m'en rendre compte, c'est ça qui est pratique quand on porte une cage à bite. Même si on fait du free-balling, rien ne se voit. Je ne vous dirai pas que c'est confortable mais c'est efficace.


La piscine n'était pas ouverte au public pendant les entraînements mais je n'étais pas le public, j'étais paillasson ! J'avais moi aussi le droit de venir m’entraîner à la nage, on me demandais seulement de ne pas déranger les pros. Thonny m'a vu, mais il était très occupé, il me faisait un signe de la main pour me saluer. Je l'aurais bien pris dans mes bras mais pas devant tout le monde.


Et puis il y avait ce petit maillot de bain, c'était pas un truc ultra mini, non, c'était un truc normal … Petit !


Et il y avait cette trop belle boule qui se montrait sous l'étoffe très fine du maillot. Ils en avait tous une pareil. Là je me demandais s'il n'y avait pas un trucage. Ils ne pouvaient pas tous être monté comme mon Thonny.


Il était sexy mon Thonny, vous savez … Bon ok, je ne dis rien.


Je voulais un maillot de bain pareil, je me demandais comment la cage apparaîtrait sous le maillot.


Bref, en un mot, je me rinçais l’œil.


Je ne pouvais pas rester très longtemps, je devais moi aussi aller me faire marcher dessus. Pardon je voulais dire … je devais moi aussi aller à l'entraînement. Comme j'étais sur place j'achetais deux maillots de bain aux couleurs de l'équipe de mon Thonny.


Et j'allais le cœur léger me faire marcher dessus à la patinoire … C'est pas pour rien qu'on m'avait surnommé ' Paillasson ' !


Le soir c'est Thonny qui passait me voir. Il m'avait emmené des fleurs, c'est pas mignon. Remarquez il pouvait faire n'importe quoi, je trouvais ça mignon.


– Je ne te dérange pas au moins, j'osais pas passer, je ne savais pas si …


Je l’agrippais par le col, le tirais à l'intérieur de l'appartement et lui sautais dessus. Remarquez, là c'est sûr, il a compris qu'il ne dérangeait pas. Il me saisissait à mon tour, et la porte de l'appartement n'avait pas encore claquée que nos vêtements volaient dans tous les sens dans l'appartement.


Ta séance d'entraînement s'est bien passé ? Me demandait-il.

Très bien !

Tu t'es bien fait piétiné ?

Toute l'équipe s'est essuyée les pieds sur moi.


Il rigolait à ma réponse et déjà il m'embrassait dans le cou, sur les épaules … Il était plus rapide que moi sur le coup. Il me serrait fort contre lui, et je sentais sa queue qui durcissait contre ma cuisse.


Nous étions déjà torse nue, d'un geste décidé je lui ouvrais son pantalon et en même temps que je m'accroupissais je lui faisais tomber son pantalon sur les chevilles. Sa queue se redressait, il était surpris de la vigueur de ma réaction mais me laissait faire. Sa queue se retrouvais dans ma bouche, là encore il faisait du free-balling. C'était là une habitude que je commençais à apprécier.


Cette queue me rendais fou, elle était magnifique et je me demandais toujours comment elle tenait dans son maillot. A cet instant je vous garantis qu'elle n'y tiendrait pas, elle avait déjà du mal à tenir dans ma bouche.


Il dégageait ses pieds de son pantalon, il était totalement nu entre mes bras. J'en profitais pour caresser sa peau, elle était tellement douce. C'est vrai qu'il avait du tremper dans l'eau pendant une grosse partie de la journée.


Il me caressait doucement les épaules et toujours très doucement il appuyait sur ma tête. C'était un signe qui m'encourageait à aller encore plus loin, sa queue allait plus profond dans ma gorge, j'arrivais à ma limite. Il faut bien se dire que sa bite était longue et large.


Il appuyait encore un peu, juste un peu, je pouvais ne pas en tenir compte mais je voulais lui faire plaisir. Je bloquais ma respiration et appuyais mon visage encore un peu plus. Je forçais, j'avalais ma salive, sa queue suivait, elle rentrait encore un peu plus, toujours un peu plus et mon nez s'écrasait sur son ventre. Mes lèvres se refermaient à la base de sa queue.


Je ne pensais pas que je pourrais faire ça.


Sa queue entrait dans ma gorge et là c'était pas une impression. Il gémissait de plaisir. Je tentais de tenir le plus longtemps possible mais là je ne respirais plus, ça ne pouvais donc pas durer. Je me retirais, retrouvais mon souffle, et le regardais.


Il me regardais et me faisais un grand sourire, je toussais.


Alors là bravo ! On ne me l'avais jamais fait !


Je prenais cet encouragement comme un défi et avec une grande conviction je replongeais. Sa queue était longue, elle glissait sur ma langue, il poussait un long gémissement, puis c'est moi qui donnais le coup de grâce. J'appuyais mon visage avec conviction. Mon nez s'écrasait de nouveau sur son ventre, puis je me retirais.


Il me saisissait alors la tête, me la maintenait et me donnait quelques coups de bassin, quelques coups de bite dans la gorge. Sa queue s'enfonçait avec force, je laissais faire puis, n'en pouvant plus je me dégageai. Il ne tentais pas de me retenir plus.


Je toussais, c'était violent, c'était un peu trop pour moi. Je regardais cette énorme bite et je me demandais jusqu’où elle entrait. Elle était trop longue, normalement elle ne pouvait pas rentrer entièrement, elle débordait forcément. En fait elle débordait dans ma gorge. Le plus dur était de ne pas vomir. Pour cela, je réglais ma respiration sur ses mouvements.


Il recommençait à me limer la bouche, puis la gorge. Son gland était doux et c'est donc avec douceur et force qu'il me remplissait la gorge. Encore une fois je m'étonnais de ce que je parvenais à faire. Il gémissait et m'encourageait.


Oui vas-y, c'est bon ! Tu es un as !


Puis il me laissait faire, il ne me retenais plus, je continuais à le sucer. Quand je retirais mon visage, je le caressais avec la main, je le masturbais, je le sentais trembler sous mes caresses.


Puis j'avalais de nouveau sa bite. J'allais de plus en plus vite. Quand je relevais les yeux je ne voyais plus son visage, il penchait sa tête en arrière et respirait très fort.


Il me caressait les cheveux, doucement sans appuyer sur ma tête. Puis brusquement.


Bouge plus ! Oui caresse moi mais ne bouge plus ta tête.


Je n'ai pas compris ou il voulait en venir mais j'ai fait comme il disait. Je n'ai pas bougé mais j'ai continué à le masturber.


Quelques secondes plus tard, il m'éjaculais à la figure. J'ai fermé les yeux. Il m'a arrosé les cheveux, et m'a recouvert le visage de sa semence. J'en avais dans les yeux, sur les lèvre, sur mon nez. Enfin bref j'en étais couvert.


J'ouvrais un œil, il me regardait et il rigolait. Je lui souriais, il se penchait sur moi et m'embrassait. Ce baiser réveillait ma queue qui s'était un peu faite oublier. Il avait le goût de son sperme, c'était bon.


Je l'avais calmé, je l'avais comblé je suppose. Il ne bougeait plus, il m'embrassait et quand il ne m'embrassait pas il me souriait. Je me perdais dans ses yeux.


Puis brusquement il se relevait.


Dis donc ! Ça c'est un accueil ! Allez on passe sous la douche.


En fait c'est à ce moment que j'ai remarqué que j'avais toujours mon pantalon. Ma queue se réveillait et manifestait très fort.




A suivre




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Vacances à poil 07

 

Vacances à poil 07



Son corps était brûlant et je vous jure que ce n'étais pas les coups de soleil. Son corps était infiniment doux, ses seins se relevaient, je sentais ses tétons durcir, ils piquaient ma poitrine.


Ma cage s'était encore réduite, enfin c'était l'impression qu'elle donnait, je sais bien que sa taille ne change pas. Mais ce n'est pas le cas de ma bite qui est dedans.


La petite ( je l'appelle comme ça parce que c'est affectueux ) me tirait vers elle, je retombais, m'appuyais sur un bras pour ne pas l'écraser, et profitais de ses baisers.


Elle me demandait de l'embrasser un peu partout. Je commençais par le cou, tout doucement. Puis je fermais les yeux et me laissais aller. Elle était nue, entièrement nue, moi je sentais ma cage à bite, cet horrible objet que je regrettais d'avoir mis. Il fallait faire attention à ne pas lui écraser ma cage sur la cuisse, ne pas lui faire mal.


Elle écartait les jambes et ma cage trouvait naturellement une petite place dans le grand vide qu'il y a entre ses cuisses. C'est à ce moment, à ce moment vraiment que j'ai vraiment ressenti la différence entre un homme et une femme.


Je vous rassure, je sais comment tout ça c'est fait mais je n'avais jamais ressenti à ce point la différence. Ses seins étaient brûlant, doux et brûlants, et cet espace vide entre ses cuisses terriblement confortables. C'est pas comme avec les mecs. Il y a un truc qui dépasse.


C'est bien aussi remarquez !


Je la couvrais de baisers, elle me caressait le dos, les fesses, elle glissait sa main contre mon ventre, puis plus bas, puis encore plus bas. Je devinais un sourire sur son visage quand sa main découvrait ma cage à bite. Là moi j'avais pas envie de rigoler, je sentais une pression très inconfortable qui montait dans ma cage. Ça devenait violent. Puis on se laissait aller, enlacés on roulait l'un sur l'autre.


Des gémissements se faisaient entendre juste derrière le buisson, c'était sans doute le couple que j'avais vu un peu plus tôt. C'était une voix féminine, sans doutes la fille que j'avais aperçue.


On n'entendait pas le garçon.


Je crois que juste à côté … Disait ma copine sans terminer sa phrase.


Puis elle exerçait sur moi une pression pour le guider vers ses seins, je les lui caressais avec le bout de ma langue, un peu avec les lèvres et ma moustache naissante la chatouillait.


Plus bas ! Me dit-elle.


Je prenais alors une voix très grave.


Comme ça, ça ira ? Lui demandais-je.

Tu es bête ! Me répondait-elle en éclatant de rire …


Puis je continuais à l'embrasser sur son ventre, j'arrivais à son nombril. Je m'étais replié, mes genoux joint entre ses genoux. J'arrivais à sa vulve, là j'y mettais toute ma douceur. Ma langue glissait sur, ce devait être son clitoris, et là je l'ai entendu gémir. Un peu comme la fille à côté.


Je continuais plus intensément, plus profond, ma langue glissait entre ses lèvres et là ma moustache le stimulait. Elle repliait ses jambes et je me retrouvais ma tête coincées entre, le nez dans son sexe.


Elle se tortillait, elle ne m'oubliait pas, ça ne risquait pas mais ne pensait plus qu'à son plaisir. Elle se tortillait et mon nez n'était plus qu'un petit gode uniquement destiné à la stimuler, uniquement destiné à son plaisir.


Elles gémissaient de plaisir. La fille à côté ne cachait pas le plaisir qu'elle ressentait, ma copine également et leurs cris se répondaient et nous encourageaient, l'autre garçon et moi.


Je le savais, lui n'avait pas de cage, mais je devinais que comme je n'entendais pas sa voix, il devait lui aussi donner du plaisir à sa compagne avec sa langue. Mais lui …


Des cris plus précis nous racontaient ce qui se passait.


Oui ta langue !

Oui vas y, doucement ta barbe me gratte !

Ooooooh oui, là ton nez, oui, oui.


J'avais mon nez sur son clitoris et je m'imaginais la position, je le voyais faire la même chose que moi. Et les cris de plaisir de ma compagne m'encourageait.


C'est enfin une voix masculine qui se faisait entendre.


Ça va à côté ?


Ça nous était bien destiné. Je ne pouvais pas répondre, mais ma copine oui.


Il est très habile de la langue et il sait ou mettre son nez.

Le mien aussi ! Lui répondait l'autre fille. Maintenant on va essayer avec sa bite. Rajoutait-elle en rigolant.


Nous entendions alors la voix du garçon qui commentait le corps de sa compagne et ce qu'il allait lui faire.


Écarte bien les cuisses !

Je vais me glisser entre.

Je vais te pénétrer, ne bouge pas !


Ma copine s'énervait à les entendre, il avait une voix chaude et douce, pourtant bien masculine, bien virile. Elle refermait ses cuisses avec forces et là je n'entendais plus rien, elle refermait ses cuisses sur mes oreilles. En même temps elle gigotais. Elle appuyait sur ma tête, elle se masturbait avec ma bouche. Je ne savais plus trop quoi faire, j'étais dépassé. Je ne contrôlais plus rien mais elle me retenait, elle me tenait même la tête avec force et me guidait.


Par moment je je me débattais, juste pour pouvoir respirer. Elle ne se préoccupait plus que de son plaisir.


Tu ne pourras pas te faire plaisir mais c'est pas une raison pour ne pas me faire plaisir ! Me déclarait-elle.

Et pourquoi il ne pourra pas se faire plaisir ? Demandait l'autre voix féminine, de l'autre côté du buisson.


Cette question était suivie d'un long gémissement qui commençait par un long ' Oh ' et terminait par un très long ' Uiiiiii ! C'était évident, elle prenait du plaisir. Une voix masculine l'accompagnait, il râlait, on sentait un certain effort physique de la part des deux participants. Puis on entendait les mouvements, on entendait le garçon frapper le ventre de sa copine avec son propre ventre, on entendait les cris de plaisir.


Et ça limait, et ça limait, et ça se faisait entendre. Les deux criaient maintenant. Moi je ne savais plus ou j'étais. Ma copine s'était retournée et m'avait entraîné avec elle.


J'avais toujours le visage écrasé sur sa vulve, elle se masturbait avec mon visage tout entier. Et elle criait de plaisir .


Puis brusquement plus rien, je la sentais frémir, trembler puis s'écrouler sur le ventre. Elle desserrait les cuisses et je me trouvais enfin libéré, je pouvait enfin respirer.


De l'autre côté du buisson les cris de plaisir continuaient, la voix masculine s'était rajoutée à la voix féminine du début, c'étaient des râles de plaisir, des gémissement de plus en plus forts. Ça en devenait agaçant. Moi je n'avais même pas pu me masturber et à voir comment évoluait la situation ça ne risquait pas.


J'ai entendu le mec crier de plaisir, il jouissait et aussitôt il était suivi de sa compagne, elle jouissait, il l'avait fait jouir. Et il gueulait encore, il reprenait son souffle et je l'entendais ricaner.


Moi aussi j'avais fait jouir ma partenaire et j'en faisais pas toute une histoire ! C'est vrai quoi, ils m’agaçaient ces deux là. J'avais accepté de faire un câlin et ça finissait en cauchemar. Moi aussi, je peux en faire autant, me disais-je. Qu'on me retire de truc à la con et je leur montre à ces deux là.


J'avais complètement oublié ma partenaire, c'est elle qui me rattrapait, elle se collait contre moi et m'embrassait. Il y en avait au moins une qui était contente, c'est déjà ça.


Tu sais, tu es un amour ! Me disais la fille qui reprenait son souffle. On recommencera !

Quand ? Lui demandais-je.

Quand je le déciderai.

Chapeau mec ! Me lançait le gars que je ne connaissais pas derrière le buisson. De mon côté aussi, ça s'est bien passé


On restait là un moment sans bouger. Ma partenaire me faisais des papouilles. Elle s'amusait avec mon corps, elle me caressait, me tripotais les couilles sans aucun scrupules. Je vous rappelle que moi je n'avais pas pris mon plaisir mais une grosse dose de frustration.


J'étais pas vraiment content, enfin, elle l'était pour deux et ça devait suffire. Au bout d'un moment elle se levait.


– Allez, on y va, on ne pas passer la nuit ici ! Déclarait-elle.


Les deux autres se levaient en même temps.


Je vous paye un verre au bar ! Déclarait le gars.


Je voyais leurs silhouettes apparaître. Il avait un corps mince, il était grand. La fille avait une grosse poitrine. Elle s'approchait de moi et me glissait sa main sur le ventre depuis la gorge jusqu'à ma cage. Enfin presque, elle s'arrêtait juste avant et ne la remarquait même pas.


C'est un bon coup ? Demandait-elle à ma copine.

Un super bon coup, il fait des merveilles avec sa langue.

Avec sa langue c'est bien mais avec sa queue ?


Elle glissait alors une main directement sur ma cage. Elle éclatait de rire tout en me tripotant les couilles.


Ah oui, forcément ! Eh Alain, regarde un peu par là. Il y a une surprise.

Quoi, c'est une fille ? Répondait-il.


Puis il glissait aussi sa main. Il éclatait de rire également.


Ils s'amusaient à me tripoter les couilles.

Et pourquoi tu portes un truc comme ? Me demandait Alain. Tu n'arrives pas à être sage ?


Ça ne se voyait pas dans le noir mais là, je faisais la gueule. Je retrouvais un sourire de composition au moment ou nous arrivions dans un endroit un peu plus éclairé.


Je voyais Alain se pencher pour mieux voir ma cage.


C'est bien ce truc, moi j'aime bien !

Tu en veux une aussi ? Lui demandait sa copine.

Ah non pas pour moi, moi ! Moi je suis un mâle, un mec, un vrai et en plus je sais me tenir.


J'allais réagir à ' un mec, un vrai ' au moment ou j'ai vu sa bite. Elle était énorme, il avait encore une grosse molle. Il pouvait, il avait le droit de s'amuser avec, elle était molle. Mais c'est vrai qu'elle était très grosse.


Ça m'a fait tout drôle. Instantanément je l'imaginait glissant dans mon cul. Avec tout ça, cette frustration, tous ces câlins qui n'aboutissent à rien, et cette énorme queue qui pendouillait lourdement juste à côté de moi … J'étais en manque et de nouveau ma cage redevenait toute petite, bien trop petite.



A suivre



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Les règles du jeu Ep07 Un sportif

 

Les règles du jeu Ep07

Un sportif



Aller je vous le dis tout de suite, le gars, c'était Thonny Mc Jump.


Vous vous rendez compte, le vrai Thonny Mc Jump ! Le seul, le vrai avec moi, et en plus c'est lui qui m'avait abordé !


Je l'ai reconnu quand il était assis sur mon canapé, au moment ou je lui apportait une bière. J'arrivais pas à y croire, c'est qu'il était canon le gars, super canon même. Bein oui, il faisait du sport et il était déjà connu. Il n'avait pas encore eu ses médaille au JO. J'avais un faible pour lui.


Il avait un corps parfait, et ne le cachait pas en général, contrairement à moi qui avait une vraie tenue à plusieurs épaisseurs pour me protéger des coups. Lui il concourait nu, enfin presque.


Il gardait un maillot de bain qui le confinait bien, un truc qui serrait bien et qui malgré la faible épaisseur du tissus ne laissait apparaître qu'un bosse, juste une bosse, on ne voyait pas les différentes partie de son anatomie. Oh, on savait que tout était là et dans une tenue un peu plus large on devinait tout.


Là il avait un pantalon moulant, et là on devinait tout. Enfin, on voyait tout. Une grosse queue qui partait sur le côté et les deux couilles qui partaient, elles, de l'autre. Je me demandait s'il bandait ou pas !


Il me regardait dans les yeux, il me souriait, me prenait la bière des mains et trinquait. Il trinquait avec moi ! Vous vous rendez compte ?


Bon il faut que je me calme, mais c'est vrai ça, Tonny Mc Jump c'est mon idole.


Il n'avait pas de sous vêtement, on pouvait voir trop de détails de sa bite. Et en plus elle grossissait. J'en était sûr, il bandait, maintenant il bandait.


Dis moi Paillasson, je peut te poser une question ?

Mais c'est fait il me semble !

Non ! C'est pas ça ! Répondait-il en rigolant, d'un air gêné !


Puis il reprenait.


Ce truc là, la cage à bite. C'est pas des conneries.

Bein non ! Répondais-je.


Suivait un moment de silence, j'avalais quelques gorgées de bière, il me regardait d'un air incrédule.


Là, ce n'était pas une impression, il ne bandait pas jusque là, mais à partir de ce moment je le voyais nettement. Sa queue prenait du volume. C'était impressionnant.


Tu sais Paillasson, tu es mon idole depuis ton premier match. Quand je t'ai vu, j'ai craqué sur toi. Maintenant que je sais que tu portes une cage à bite, c'est pire.


Non mais vous avez vu ça, j'étais son idole. Il avait bien dit que j'étais son idole. Une énorme matraque se dessinait dans son pantalon et moi je bavais devant lui avec ma bouteille à la main. Je ne pouvais pas détourner mon regard de sa braguette, si je bougeais les yeux c'était pour suivre sa queue qui s'étalait maintenant sur sa cuisse à la manière d'un gros saucisson.


Je peux voir ? Reprenait timidement Thonny.


Je n'avais pas envie de refuser quoi que ce soit à mon idole. J'ouvrais donc mon pantalon et le faisait tomber sur mes chevilles.


Là j'ai vu ses yeux s'allumer, il regardait mon dispositif. Il aimait c'était évident. Je le regardais moi aussi et c'est vrai qu'il ne m'avait jamais semblé aussi beau. C'était le regard que lui portait Thonny qui avait cet effet. Ce qui plaisait à Thonny me paraissait forcément plus beau !


C'était mon idole je vous dis !


C'est trop génial ! S'exclamait-il.

Tu aimes ?

J'adore ?

Tu en veux un pareil ?

Ah ça non, moi j'ai une grosse bite et j'aime bien m'en servir !


Je regardais sa matraque qui apparaissait plaquée contre sa cuisse sous son pantalon.


On peut voir ? Demandais-je timidement.


Il se relevait et avec un sourire amusé, ouvrait son pantalon. J'avais bien vu, il n'avait pas de sous vêtement et c'est en effet une queue énorme qui se redressait.


Alors tu aimes ? Me demandait-il.

J'adore .


On se regardait, on se jaugeait, puis il reprenait la parole.


Tu fais voir comment tu suces.


Il faut bien se dire que ce soir là, je n'avais pas sucé. Pour une fois mon équipe avait gagné et je n'avais pas sucé, je ne m'étais pas fait enculé non plus.


Je m'étais bien vidé les couilles mais un coup de bite dans le cul aurait été le bienvenu !


Je ne me faisais pas prier, je m'accroupissais devant lui et m'exécutait. C'était un plaisir de sentir cette magnifique queue entrer dans ma bouche. Je l'ai senti frémir, trembler. J'y mettais tout mon art, le but, le seul but était son plaisir, et je vous jure que je sais en donner du plaisir. J'étais bien décidé à lui donner tout ce qu'il me demanderait le sublime Tonny Mc Jump !


Vous imaginez je suçais la queue de Tonny Mc Jump !


Bon Ok, promis je vais essayer de me calmer !


J'avais un mal fou à avaler sa queue en entier, c'est qu'elle était grosse et longue. Elle avait de belles proportions, un gland d'une douceur incroyable. Il glissait contre mon palais, je me régalais, je profitais de cette douceur, il pouvait profiter de la douceur des caresses de ma langue.


Il appuyait un peu sur ma tête et j'avalais sa queue un peu plus, elle glissait dans ma gorge, elle écartais la glotte puis s'enfonçait un peu plus, je ne tentais pas de résister. Je voulais seulement lui faire plaisir et ses frissons me disaient que j'étais sur la bonne voix. Me disait qu'il allait jouir.


J'arrêtais tout.


Je me relevais, nous nous retrouvions tous les deux entièrement nus. Chacun ressentais la chaleur du corps de l'autre. J'avançais d'un pas, juste un petit pas, le tout petit pas qui me séparait de lui. Il me prenait dans ses bras, c'était l'extase, son corps était tellement doux. Il était fort aussi, c'était un futur champion de natation.


Je vous ai dit que Tonny Mc Jump est mon idole ?


Je le tenais dans mes bras, je caressais son dos avec les mains, et vous savez, il embrasse bien, très bien même. Je le regardais dans le fond des yeux. Puis les caresses devenait plus intenses, nos bouches se déplaçaient sur le corps de l'autre.


Je sentais ma cage qui s'écrasait contre sa cuisse, dedans il y avait ma queue qui pleurait de colère et tentait de sortir, tentait de faire exploser le dispositif. Mes couilles aussi s'écrasaient contre sa cuisse. Là j'aimais bien, c'était une grosse boule bien ferme et bien sensible.


Quelques heures plus tôt j'avais joui plusieurs fois de suite et là je sentais un mec canon qui finirait par jouir dans mes bras. Moi je savais que je n'y aurais pas droit mais là je m'en moquais, j'allais sentir ce garçon jouir dans mes bras.


C'était juste une question de temps !


Je n'étais pas pressé, je profitais de la situation. Je profitais de lui, je ne voulais pas le lâcher et je le retenais avec force, il me retenait également et chacun de nos corps brûlait la peau de l'autre. C'était une brûlure qui ne laissait pas de trace, pas de cloque. Juste une peau douce et chaude.


Je l'entraînais dans ma chambre, le jetais sur mon lit puis me jetais sur lui. Mes mains exploraient chaque partie de son corps. Il avait le sexe épilé, comme tout le monde. Mais lui n'avait pas de poil sur son corps, à par la tête, il n'y en avait pas un. Moi j'en ai gardé quelques uns, pas beaucoup mais un peu quand même.


Nos corps glissaient l'un sur l'autre, au début j'étais sur le dessus, mais il me retournait d'un geste rapide et c'est lui qui dominait alors la situation. Il me couvrait de baisers tout en me mordillant doucement.


Ma queue protestait comme jamais, la frustration était à son sommet, je ne pouvais même pas bander. D'habitude quand je me fait baiser, mon partenaire est moins attentionné avec moi. Il me baise, il pense à son plaisir, il le prend et il me laisse.


Remarquez je fais pareil quand c'est moi qui ai la bite à l'air, enfin libre je veux dire. Mais là le garçon était trop bien, trop beau, trop … C'est à son plaisir que je pensais, c'était bien la première fois. Surtout que je ne le connaissais que depuis très peu de temps. Mais j'avais craqué.


Vous savez Thonny Mc Jump, c'est mon idole.


Alors là, le prendre dans mes bras, le serrer contre moi. Je le retournais sur le dos.Je le chevauchais, il était sur le dos, je me lubrifiais généreusement le cul, je lui lubrifiais la queue et je m'empalais en un mouvement rapide et décidé.


Il n'en revenait pas, on ne lui aurais donc jamais fait ça. Pourtant moi je vous jure que je suis prêt à lui faire tout ce qu'il voudra. Je me soulevais, me laissais retomber, je me cambrais. Déjà un plaisir intense m'envahissait. Je regardais son visage incrédule, il me regardait, ne faisait absolument rien. Il me souriait !


Je m'agitais, un peu plus et il a fini par réagir, il semblait bien s'amuser de la situation. Il soulevait alors son bassin avec force. Là je me suis contracté, je me suis soulevé. Puis il a tiré sur mes pieds et là, je me suis empalé sur sa queue.


A partir de ce moment je ne contrôlais plus rien. Je me balançais d'avant en arrière, le plaisir montait. Sa queue était de très belle taille et je vous jure que là ou elle était, je la sentais bien. C'était merveilleux, c'était Thonny Mc Jump.


Vous vous rendez compte ?


Il repliais les jambes et les croisait, il relevais son torse et me prenait dans ses bras puis en position du tailleur il se balançait en m'entraînant avec lui. Je sentais sa queue qui me massait les entrailles, je râlais de plaisir.


Je repliais mes jambes dans son dos et me laissais entraîner. Je ne touchais plus le sol, là je volais, le plaisir m'envahissait. Tout mon corps vibrait de plaisir, il gémissait, je gémissais aussi mais plus fort je pense.


Par moment il devenait plus violent, et me faisait littéralement sauter sur ses genoux, enfin sur sa queue.


Je finissait par crier de plaisir, je le voyais concentré. Moi j'étais parti, je ne contrôlais plus rien.


C'est au bout d'un long moment, je tremblais, qu'il a crié. Il jouissait en moi. Il jouissait longuement, c'est vrai qu'il a des ressources. Je me contractais, je jouissais aussi mais mon plaisir était forcément différent. Mon plaisir était intense, j'ai joui mais je n'ai pas éjaculé, mes couilles étaient vides.


On a fini par s'endormir, chacun dans les bras de l'autre. Abandonné à notre plaisir. Moi dans les bras de Thonny Mc Jump.


Je vous ai dit que Thonny Mc Jump, c'est mon idole !



A suivre



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Vacances à poil 06

 

Vacances à poil 06



Venait le temps du bilan.


Dès le lendemain on se retrouvait tous les quatre sur la terrasse du bar.


Je me suis renseigné, commençait Greg, il faut plusieurs semaines pour récupérer les clés.

Ils ne les ont pas ici ? Demandait Robert !

Et si on est déjà repartis ? Et si les vacances sont finies ? Et si on veut retirer le truc ? Et si … Et si … paniquait déjà François.

C'est pas la peine de paniquer, continuait Greg, on ne peut rien faire.

Oui mais, oui mais, oui mais … continuait François.

Il ne nous reste plus qu'à nous détendre et à passer un bon séjour. Il faudra faire une demande pour avoir les clés, sur chaque cadenas il y a un petit numéro de série. Il suffit de le donner, avec notre adresse, le reste se fera tout seul.


Vous imaginez bien qu'on a pas traîné, sitôt dit sitôt fait. Je notais tous les numéros de série, le nom du porteur et son adresse. Je demandais les documents à remplir et je m'occupais de toutes les formalité.


Mes camarades étaient déjà repartis pour la plage. Finalement on s'habituait. On s'occupait normalement, au moins là on passait inaperçus. Le bar était calme dans l'après midi, Je restais à discuter avec Josh, il connaissait mon problème, lui aussi était verrouillé.


Tu n'as pas de problème pour supporter ton dispositif , Lui demandais-je.

En fait non ! Le dispositif n'est pas douloureux, et ne gêne pas trop non plus.

Oui mais pour …

Et bien si tu ne peux pas te branler et jouir, tu ne peux pas te branler ni jouir. C'est tout !

Je reste dubitatif. Lui répondais-je.

Tu verras avec un peu de temps, tu t'y feras. On m'a dit que certains au bout d'un certain temps ne veulent même plus le retirer.


Il me montrait un couple qui arrivait vers nous. Ils devaient avoir la trentaine, pas plus. Le monsieur avait un corps parfait, mince et musclé, il avait une très bonne tête et un large sourire, un chapeau pour le soleil et des lunettes pour le soleil aussi. Il portait un dispositif de chasteté d'un modèle un peu plus élaboré que le notre.


Sa femme une très belle femme, elle aussi portait un chapeau et des lunette de soleil le suivait, elle regardait distraitement l'affiche des boissons proposées.


Salut Josh, ça se passe bien.

Salut Damian. Lui répondait Josh en lui faisant la bise.


Josh nous présentait. Il faisait aussi la bise à Sophia, c'était un rayon de soleil cette fille, je remarquais ses cheveux blonds quand elle réajustait son chapeau.


Alors tu portes toujours ton dispositif.

Tu as vu ça, j'en ai changé. C'est un modèle céramique que mon bébé m'a offert pour fêter l'anniversaire de notre rencontre.


Il s'était assis sur ces sièges très hauts qu'il y avait au bar, elle se collait à lui, il passait une mains sur sa taille, la caressait, remontait sa main jusqu'à son sein. Elle glissait doucement la sienne sur sa cage et lui tripotait doucement les couilles.


Pas de risque d'une réaction déplacée ! Me disait-elle en me regardant droit dans les yeux avec un rayon de coquinerie qui éclairait son sourire.

C'est elle qui a la clé ! Rajoutait-il.

Vous vous êtes bien rencontrés ici !

Oui ça fera cinq ans le mois prochain. Répondait Damian.

Il portait déjà son dispositif. C'est ce qui m'a séduit chez lui. Un homme qui accepte de mettre ainsi entre parenthèse sa virilité est forcément quelqu'un de précieux.

A la fin de la saison je lui avais déjà donné mes clés.

Nous nous sommes revus, puis nous ne voulions plus nous séparer. On a fini par se marier presque deux ans plus tard.

Et c'est là, le soir de nos noces que je l'ai libéré.


Je les regardais avec de grands yeux, c'est vrai qu'ils étaient agréables à regarder l'un comme l'autre. Mais ce qui me faisait réagir c'était …


Presque cinq ans ! M'exclamais-je.


Ils éclataient de rire, elle se retournait vers lui et ils s'embrassaient avec passion. Je sentais ma queue protester. Ça ne faisait pourtant pas bien longtemps qu'elle était enfermée et normalement ça n'aurait pas du me gêner et lui cinq ans …


Mais vous savez quand on vous dit qu'avec le temps ça devrait devenir plus difficile à supporter, on m'a aussi dit le contraire. Le manque peut se manifester après plusieurs jours mais il peut aussi se manifester après seulement quelques secondes. C'était mon cas.


La dame s'appuyait sur la cuisse de son mari, sa main glissait entre sa cuisse et son sexe. Je bandais comme un malade, là il n'y avait pas de doute sans ma cage, je n'aurais pas été présentable. Mais là, j'étais le seul à me rendre compte de quelque chose. Je baissais les yeux et tout était normal, ma queue était bien sûr un peu gonflée dans sa cage, elle tentait de déborder, mais c'était pas vraiment nouveau tout ça. Et c'était pas pire que d'habitude.


Et elle te le retire souvent ?

Ça dépend ! Me répondait-il.

Très souvent ! Me répondait-elle.


Il y avait comme une différence de point de vue.


On a prévu de ne pas l'ouvrir de toute la saison. Rajoutait-elle.


Le gars gardait son sourire, il ne répondait pas, il continuait à caresser la hanche de sa femme et je pouvais voir sa cage se redresser. Sa queue aussi protestait, mais toujours, comme il convient, avec discrétion.


Et tu arrives à te priver de sa queue ? Demandais-je à la dame.

Mais bien sûr, il a une langue. Et le jour ou je vais lui offrir à nouveau mes charmes, je peut te garantir qu'il fera tout pour me faire plaisir.


Il regardait sa femme avec une tendresse extraordinaire, il passait sa langue sur ses lèvres mais là je ne savais pas si ce signe m'était destiné ou uniquement destiné à sa femme.


Un peu plus tard ils se sont relevé pour repartir vers la piscine. Je les regardais, les deux corps étaient incroyablement beaux mais c'était celui du monsieur que je regardait et ma queue continuait à se faire remarquer.


Josh devinait ce que je ressentais et il se marrait le con.


C'est malin ! Lui faisais-je remarquer.

Bein quoi ? Ta cage se relève toute seule, tu transpires, tu trembles, je t'imaginais seulement à baver devant la fille … ou le mec.

Non mais tu as vu ça, il est beau comme un dieu.

Oui mais nous ne pouvons rien en espérer, ni toi, ni moi ! Me répondait-il en montrant sa cage avec la main !


Plus tard je retrouvais mes amis à la plage. N'allez pas vous imaginer que ça me détendait. Je les voyais courir s'amuser avec une balle. Les corps élancés bougeaient avec souplesse. Les paquets constitués par la cage se balançaient. Leurs couilles glissaient sur la peau des cuisses et on devinait les caresses.


L’absence de leurs queue semblaient étranges, oh elle n'étaient pas bien loin les queue mais on ne les voyaient pas ou presque pas. Les petites cages qui les confinaient laissaient apparaître de grosse couilles, plus grosses que la normale, qui enveloppaient et faisaient disparaître les petites bites.


Je bandais, je bandais encore plus. Rien ne me calmait, la chaleur du soleil me caressait le corps, une fille que nous avions rencontrée, se glissait tout contre moi. Je frissonnais à ce contact. Sa peau était douce et brûlante. Elle passait sa main sur mon torse, sans pudeur sa main descendait jusqu'à ma cage et continuait sur mes couilles.


Tout mon corps s'est contracté alors. Ma queue n'en pouvait plus de tenter de se redresser, elle ne manifestait plus, enfin si peu de chose se voyaient jusque là, maintenant plus rien ne se voyait. Elle savait ce que je ressentais. Elle savait que le manque me torturait, elle s'en amusait.


Allongé sur le sable, une main sur le sexe, même si ce n'est pas son propre sexe … Ce n'est pas scandaleux si on ne remarque rien, s'il n'y a pas d'érection c'est tout à fait normal. Dans ce genre d'environnement la femme a toujours le beau rôle.


L'homme seul peut très facilement tomber dans la vulgarité et la provocation.


Je vous jure qu'au bout de quelques jours, ça me manquait de ne plus pouvoir tomber dans la vulgarité et la provocation.


Je laissais faire la petite, elle voulait m'utiliser comme un oreiller, je la laissais faire et j'en profitais pour poser une main sur sa poitrine. Je lui caressait son sein tout doucement, elle semblait apprécier et par moment me tâtait les couilles. En fait j'appréciais et je la laissais faire.


Quand on est remonté de la plage j'étais dans un état, je ne vous dis pas. Je vous jure que si la cage n'était pas aussi solide, elle aurait explosée. Je tremblais de désir, ce n'était plus seulement un désir, c'était devenu un besoin. Un besoin impérieux !


Je cherchais même mes vêtements … C'est dire, je ne savais plus ou j'étais.


On se retrouvais au restaurant, trois des filles nous avaient rejoint. Elle s'amusaient les petites, elles aimaient bien le contact physique. Quand elles se retournaient, elles n'évitaient pas de nous caresser avec leurs seins qui passaient par là, par hasard, juste à porté de peau. Ou alors c'était une main qui glissait sur notre cuisse, entre les cuisses, sur une grosse paire de couille qui n'avait rien demandé à personne.


A la fin du repas on se retrouvait tous dans un état de tension sexuelle intense mais le soirée ne faisait que commencer. Le soleil se couche très tard en été, on traînait sur la plage, on regardait le soleil disparaître derrière l'horizon, peut être espérait-on voir le rayon vert.


On flirtait, on se trouvait un coin tranquille, ou seulement isolé, on se prenait dans les bras, on s'embrassait, on se caressait, on se pelotait. Une fille, toujours la même, aimait particulièrement me tripoter les couilles. Je la laissais faire, elle me laissait lui caresser les seins. Mais moi, je n'avais pas le droit de glisser mes mains entre ses cuisses.


Je voyais du coin de l’œil mes camarades faire comme moi, flirter, se glisser contre le corps d'une jolie fille. Il y en avait plein. Quelquefois entre des rochers, on voyait l'ombre d'une silhouette féminine, parfois on voyait une silhouette masculine.


De profil c'est quelquefois facile à différencier.


Il était beau, son ventre était plat, ses fesses étaient rondes. Ce n'était pas seulement une silhouette, il me faisait bander. Je savais que ce n'étaient pas seulement les caresse de la fille qui me tenait dans ses bras car brusquement je bandais plus fort, enfin j'essayais. Il me regardait, me souriait son sexe se relevait avec vigueur, mais quand le corps de cette fille qui l'accompagnait se collait contre lui, ce n'était plus qu'une étreinte. Il n'y avait plus aucun moyen de savoir s'il portait, comme moi, une cage à bite ou pas.



A suivre



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Les règles du jeu Ep06 Le secret révélé

 

Les règles du jeu Ep06

Le secret révélé



Tout le monde à pris cette information comme une catastrophe? On avait toujours pensé que nos petites traditions devaient rester entre nous. Et là, le public savait tout.


Depuis des siècles le système fonctionnait comme ça ! Enfin quand je dis des siècles, disons … Deux générations, pas plus. En fait, c'était une idée assez moderne.


Les différentes fédérations organisaient une grande réunion, une partie était semi publique, l'autre était réservés aux représentants de chaque équipe. Je me rendais compte à la partie publique, pour savoir ce qui serait décidé. Attention quand je dis publique, seuls les joueurs et membres d'une équipe était autorisée à entrer.


Les journalistes installaient un siège autour du salon des congrès ou s'organisait cette grande réunion. On débattait, on parlait fort, on se disputait, et finalement on votait .


J'étais nouveau dans le milieu, je n'arrivais pas à tout comprendre.


On votait l'expulsion du traître, celui qui avait fuité. Il y avait des cris, des hurlement mais rien n'arrêtait les débats. On votait la levé du secret, cette décision était suivie d'un grand silence.


Tout le monde saurait que … Moi par exemple je me fait enculer au moins une fois après chaque match et tout le monde le saurait, jusque là personne n'était au courant. Maintenant tout le monde saurait que les perdant se faisait défoncer le cul …


J'espérais seulement que personne n'allait nous trouver des surnoms désobligeants. Paillasson, c'était bien suffisant pour moi !


Il y avait déjà dans ce jeux un peu de mépris pour les perdants de la part des spectateurs. Un mépris qui s'amusait de les voir se faire marcher dessus. Quand les spectateurs on appris que les perdants se faisait défoncer le cul, ils ont adoré l'idée.


Personne n'y aurait cru mais, en fait ça les faisait rigoler de voir ces mecs virils, prendre des coups, se faire marcher dessus, et savoir que ensuite ils se faisaient enculer … Bon d'accord ils ne le voyaient pas mais certains le demandait, une transmission télé par exemple.


Je me souviens de tous ces admirateurs qui venaient me soutenir dans les matchs qui suivaient. Certains me gueulaient .


' Paillasson je t'encule quand tu veux ! '


C'était mignon, si si, c'est vrai le ton n'était pas méchant, un peu moqueur peut être mais c'était mignon. Il n'y avait pas de mauvaise intention, c'était juste une invitation et quelquefois le mec qui me gueulait ça était très attirant.


Cette dernière partie de la saison s'était bien passée. Nous l'avions gagné. On était les premiers surpris. Il faut bien se dire qu'on n'avait pas l'habitude. L'autre équipe avait sans doute eu des problème, c'est vrai qu'ils avaient changé d'entraîneur mais bon moi j'étais content. C'est pas que j'aime pas me faire défoncer le cul mais changer de position de temps, en temps c'est bien aussi.


On ressortait excité comme des fous, certains avaient pris quelques stimulants … Oui je sais c'est pas loyal mais comme ça faisait des mois qu'on était enfermé dans des cages minuscules, presque microscopique ( bon là je sais j'exagère ) enfin des de petites cages. Et on perd souvent le réflexe d'érection.


Oh je vous rassure ça ne dure pas dans le temps, en quelques jours tout redevient normal mais là, justement, ces quelques jours on ne les avaient pas. On n'avait que la soirée. Donc quelques uns prenaient un stimulant. Enfin une bonne partie de l'équipe en avait pris.


Bon d'accord on en avait tous pris !


C'était la première fois que je prenais un truc comme ça et je ne vous dis pas mais ça marchait terrible. On sortait tous des douches comme des furieux. Les autre n'avait qu'à s'inquiéter pour leur cul !


De toutes façons, quand ils gagnent, ils font pareil !


On s'en prends toujours plein le cul, là ce serait leur tour. C'est vrai que ça ne nous arrivait pas souvent de gagner. Notre équipe était nulle !


J'agrippais le premier mec que je rencontrais sur mon chemin.


Suce ? Lui ordonnais-je.


Puis je le reconnaissais, il m'avait enculé la dernière fois, et il est bien monté, là il faisait pitié avec sa cage à bite. Ça m'excitait de plus en plus cette affaire.


Le gars n'hésitait pas il connaissait les règles, il s'accroupissait devant moi puis me suçais la queue. Je bandais ferme, j'en revenais pas. Mon cœur battait fort. Je ne perdais pas de temps, j'appuyais sur sa tête pour qu'il prenne bien ma queue en entier tout de suite.


Vous savez on a le droit d'abuser, ça fait partie des règles et quand on perd, les autres ne s'en privent pas.


J'appuyais avec force sur sa tête, ma queue entrait et se faisait chatouiller par sa glotte. C'était bon, terriblement bon. C'était sans doute le manque qui me fait dire ça. Ça faisait des mois que je n'avais pas joui, et j'avais bien l'intention d'en profiter.


Je lui limais la bouche sans me retenir, je le voyais il fermait les yeux, il faisait une grimace, il pleurait. Mais là ne vous détrompez pas, il ne faut pas se laisser piéger par un peu trop de sensiblerie. Il m'avait marché dessus trois fois pendant ce match.


Puis brusquement je me retirais de sa bouche.


Debout, retourne toi, penche toi en avant !


Il obtempérait, il connaissait les règles, il avait peut être pris un stimulant lui aussi. Je refermais mes bras autour de lui, lui tripotait un peu les couilles, il y avait de la pression dans sa cage. Ses couilles étaient bien fermes et formaient une grosse boule. Pendant quelques instants je la malaxais avec fermeté, il finissait par repousser ma main en gémissant.


C'est à ce moment que j'ai poussé mon bassin en avant. Ma bite est rentrée sans difficulté. Ça c'est un truc, quand on sait qu'on va se faire défoncer on se prépare, on se lubrifie et plus même. Comme ça, ça passe tout seul sans faire trop mal.


Je l'ai senti se crisper. Je l'ai entendu gémir, un long gémissement qui ne pouvait être que du plaisir. J'ai alors donné un violent coup de bassin, mon ventre à claqué contre ses fesses et il a poussé un cri de plaisir, ou alors c'était peut être le gars à côté qui gémissait de plaisir. Lui il se prenait une grosse queue, une très grosse queue, bien plus grosse que la mienne. Il devait apprécier ! Un court moment j'ai pensé à moi, je me suis vu à sa place.


Décidément j'aime vraiment bien me faire défoncer le cul ! Mais bon, je chassait cette idée de ma pensée. Je me ferais défoncer une autre fois.


Je me ressaisissais et je le limais sans retenue. Mes mouvements devenaient réguliers, fluides, rapide. J'accélérais ou je ralentissais, je changeais de rythme, il encaissait.


Vous devez vous imaginer que si nous avions gagné alors que étions parmi les plus mauvaises équipes, c'est que l'autre équipe n'était pas des meilleur non plus. Ils avaient tous l'habitude de se faire défoncer le cul après la partie. Le gars que je limait avec délectation avait donc l'habitude.


Le plaisir montait, brusquement le plaisir montait vite, je ne contrôlais plus rien et j'ai joui, j'ai éjaculé et j'ai joui comme jamais.


Ce plaisir devenu rare était intense, particulièrement violant. J'ai crié de plaisir, et j'étais pas le seul. Je me retirait, j'ai vu qu'un de mes camarades attrapait le gars et l'enculait à son tour. La fête continuait.


J'avalais une petite bière, puis j'y retournais.


Je trouvais rapidement un petit gars, lui aussi je le reconnaissais, il m'avait déjà enculé. Il était là à genoux en train de sucer un de mes camarades. J'ai rien demandé à personne, je ne débandais toujours pas, je me suis rapproché et je lui ai défoncé le cul.


J'y suis allé directe, il a réagi, il a voulu m'écarter avec sa main, je lui ai saisi sa main et j'ai poussé de toutes mes forces ma queue dans son cul. Il n'a pas râlé, pas gueulé, il n'a rien dit … C'est vrai qu'il avait déjà la queue de mon pote dans la bouche …


Alors je l'ai limé avec force, il aimait, je savais qu'il aimait aussi je limais.


Je suis passé dans la gorge d'une autre garçon, puis dans son cul puis un autre. Je ne sais pas ce que c'était le truc, le stimulant qu'on nous avait donné mais il était efficace. On bandait sans difficulté toute la soirée, pendant plus de deux heures, on s'amusait, on marquait des points, on pétait des culs.


Puis la fatigue se faisait sentir, un à un on commençait à débander, j'avais éjaculé plus de cinq fois. Je me sentais vidé, je me sentais bien, épuisé mais bien.


L'ambiance retombait doucement. On passait sous la douche, chacun la sienne. C'était bien des douches communes mais on ne mélangeait pas les équipe. Ça on venait de le faire, on se rhabillait, mais il n'y avait plus d'ambiance, tout le monde était calme. On retrouvait nos cages.


On retrouvait nos habitudes, on passait tous devant le coach, il avait déjà refermé sa cage, il s'assurait qu'on serait bien verrouillé. Il faisait preuve de zèle le coach.


Puis on restait encore un moment à discuter de la victoire, du match.


Vous savez les gars, j'aimerais bien pouvoir tirer mon coup plus souvent moi !


Il était comme nous, il portait un dispositif et tout comme nous, il ne pouvait le retirer qu'en cas de victoire.


Tu n'as qu'à mieux nous entraîner coach ! Répondait un d'entre nous, les autres rigolaient.

Vous seriez moins nul aussi, que voulez vous que je fasse avec vous ?


Suivait une séance ou il nous faisait la morale.


En l'écoutant d'une oreille, on se rhabillait. Nos gestes semblaient plus lents, la fatigue sans doutes ou le stimulant. C'était une douce torpeur qui nous prenait, on se sentait bien.


On sortait.


Eh ! Paillasson ! Me criait un gars que je ne connaissait pas.


Je me retournais, il me semblait l'avoir vu plus tôt au premier rang. Je lui souriais, je pensais qu'il voulait un autographe.


Tu veux que je te raccompagne ? Me proposait-il.

Je le regardais de la tête aux pieds, il était grand, large, musclé et surtout présentait une belle forme arrondie entre ses cuisse, une belle bosse qui semblait prometteuse ?


J'ai brusquement senti ma queue protester, elle tentait de se relever, elle en voulait encore. Rien ne pouvait se voir, la cage dissimulait tout.


Je faisais oui de la tête.


Une demie heure plus tard on était chez moi.


Tu m'invites à un dernier verre … ? Me demandait-il.

Une petite bière ? Lui proposais-je.



A suivre



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