Vacances à poil 01

 

Vacances à poil 01



Nous étions quatre, on se connaissait depuis des années, à peine vingt ans pour le plus jeune, déjà vingt ans pour le plus vieux. Nous avions donc le même âge. On avait surtout envie de rigoler et de nous détendre pendant ce mois de vacances.


On devait le passer au bord de la mer et nous voulions trouvé un coin tranquille, sur la côte Ouest du pays il y a des milliards de kilomètres de plages, certaines sont même très isolées. On étudiait toutes les options. Des milliards remarquez peut être pas …


Camping sauvage sous les arbres ! Proposais-je .

Avec des sangliers qui viendront nous réveiller en pleine nuit. Me répondait Robert.

Sans compter les moustiques rajoutait Greg.

Et les serpents, il y a aussi les serpents. Continuait François sur un ton de panique.


Ça commençait mal cette histoire, on se disait ensuite qu'il faudrait garer la voiture. Si on la laisse dans la forêt on la retrouverait, peut être, à la fourrière. Et toujours la présence de cet animal qui est le plus dangereux de la planète, le moustique … Greg est paraît-il allergique. On finissait par conclure qu'il serait préférable de se trouver un camping, un vrai, pas un camping sauvage …


C'est quand même le moustique qui tue le plus de monde tous les ans sur la planète. Insistait Greg.

Bon ça va ! Lui répondais-je. Enfin ceux qu'on a ici ne sont pas si dangereux que ça … Quand ils te piquent, ils ne te traversent pas le bras.

Moque-toi, moque-toi Charly, mais les sanglier eux ils sont vraiment dangereux. Rajoutait Robert.


C'était rapidement décidé, on irait dans un camping !

Enfin il était surtout impossible de faire autrement. Nous avions dans nos rangs de grands aventuriers qui n'avaient pas peur, pour se nourrir, de partir à la chasse au rayon surgelé du supermarché le plus proche. Il arrivait même aux plus téméraires de se faire livrer … C'est dire !


On se renseignait donc comme tout le monde sur l'Internet … Rapidement on trouvait le '' Camping le rêve ''. Dans un cadre sauvage au milieu d'une forêt parfaitement ordonnée, entre la mer et les dunes … etc, etc … Ça n'avait pas l'air mal on a réservé !


A quatre, la dépense restait raisonnable. On avait juste oublié un tout petit détail de rien du tout mais qui … quand même …


C'était un camping naturiste !


Ça, on s'en ai rendu compte sur place. Le mec à l'accueil n'avait rien sur lui, la fille avec lui non plus remarquez et les autres clients ou employés … Pareil ! Bien sûr on pouvait garder nos vêtements dans un placard ou … N'importe ou en fait mais pas sur nous.


C'était interdit du matin au soir et la nuit aussi si on sortait dans l'enceinte du camping. Si on décidait de sortir du camping on avait le droit de s'habiller, il ne sont pas sectaires et acceptent l'idée qu'en dehors de cet espace préservé les gens s'habillent et pas seulement en hiver.


En attendant on avait un peu l'air con. On s'est d'abord un peu enfermé dans le cabanon puis on a mis le reste de l'après midi à se déshabiller … Oui normalement il ne faut que quelques secondes mais là on n'avait rien de normal. Enfin pas nous mais la situation, le cadre, oui bon, vous voyez ce que je veux dire.


Vous savez ce qui se passe souvent quand on a vingt ans et qu'on se retrouve à poil en plein air et qu'on n'y est pas habitué ?


Non ?


Vraiment pas ?


Je vous laisse réfléchir encore un peu, ensuite je vous donne la solution !


Et bien on bande !


C'est rapidement incontrôlable, le vent sur notre peau, cette caresse douce comment faire plus doux que l'air qui nous entoure, la chaleur fraîche de ce mouvement d'air et la chaleur du soleil … Bein oui je bandais, à mort. Mes camarades étaient dans le même état.


On s'est glissé vers la plage en nous cachant comme on pouvait. Je vous jure quand j'y repense on n'avait pas l'air futé. L'un portait sa serviette sur l'épaule et la laissait retomber devant son sexe, l'autre la portait comme un pagne mais une forme allongée se montrait sous la serviette.


Arrivés à la plage on se trouvait un coin tranquille, enfin un coin ou on serait le plus discret possible, mais on s'est fait remarqué tout de même. Enfin quatre jeunes homes très beaux, et très bien montés … Si, si je vous jure je fais mes vingt et un centimètres et je suis le plus petit. Vous voyez je ne vous raconte pas de conneries. Et presque six centimètres de diamètre …


On jetais les serviettes sur le sable et on s'allongeait dessus, sur le ventre et pendant un long moment on ne bougeait plus. On discutait entre nous, on rigolait beaucoup. C'était pour tromper le trouble que nous éprouvions. C'était la première fois en fait qu'on se retrouvait à poil comme ça. J'avais bien déjà vu les fesses de mes camarades mais pas plus. Même au sport, quand on prenait la douche il y avait des cabines … Pas que bien sûr, mais nous on prenait les cabines.


Et là on se retrouvait à poil, en plein air, avec des badauds un peu partout, des hommes de tous les âges, des femmes aussi, il y avait des jeunes, des vieux, un peu de tout. Pas beaucoup de monde, on était en tout début de saison. Certains allaient se baigner, d'autres marchaient sur le sable, parlaient entre eux, jouaient avec un ballon ou avec diverses jeux de plage … Et tous étaient à poil !


Ça n'aidait pas à se calmer tout ça !


Le premier qui s'est retourné sur le dos exposait alors une très belle queue bien longue, bien large, bien grasse qui s'allongeait sur son ventre. Les trois autres le regardaient.


Je vous jure, ça n'aidait pas à se calmer tout ça !


Finalement on s'est tous retourné. On est resté là sans trop bouger, on tentait de se calmer. Il nous a fallu un long, très long moment pour retrouver nos esprit et débander.


C'est à ce moment qu'on a décidé d'aller nous baigner. L'un après l'autre on s'est levé doucement, sans se précipiter, on n'était pas sûr, notre érection … Enfin je veux dire, c'est pas qu'on n'était pas sûr de notre érection, je ne veux pas dire ça, au contraire même, je pense qu'on en était un peu trop sûr. Non ça marchait bien, très bien même, trop bien pour être précis.


D'habitude ça ne me dérange pas vraiment de bander, mais là devant tout le monde … C'était, comment dire … Terriblement excitant !


On s'est retrouvé dans l'eau à temps. Quelques instants plus tard, l'eau nous arrivait à la ceinture et juste en dessous nous avions chacun une grosse et belle érection. Là personne ne nous voyait on se lâchait.


On plongeait, on nageait, on s'arrosait, il y en avait un qui passait entre les jambes, sous l'eau. On ne faisait plus attention à rien quand on est sorti de l'eau. On en ressortait l'un après l'autre, l'un bandait ferme et montrait une belle grosse bite bien droite. Un autre faisait moins le fier, sa queue se recourbait vers le bas mais là encore elle était bien large. Le suivant avait une grosse molle, sa queue était bien dure, bien ferme mais pendait lourdement. Et moi qui suivait en dernier gardait une grosse érection, je faisais le fier.


Tout le monde nous regardait !


Un peu plus tard on remontait de la plage. On bandait toujours à moitié, on ne s'en inquiétait plus vraiment. On se laissait aller. C'est peut être pour ça que tout le monde nous regardait.


On avait loué un petit mobile-home, il y avait quatre chambres mais elles étaient toute petite. On s'effondrait sur le canapé et on se lâchait, de nouveau on bandait comme au début sur la plage.

Ici au moins on est en sécurité. S'exclamait Greg. Moustiquaire, désinsectiseur électrique et insecticide à volonté.

Ensuite il ne disait plus rien. Il prenait sa queue à deux mains et ne pensait plus qu'à se faire un petit plaisir. On le regardait faire, on bandait comme des fous.


– Au point ou on en est ! Répondait François.

– Et si on se … ? Rajoutait Robert.


Je bandais comme jamais, et je me caressais la queue. Je ne sais pas ce qui nous a pris à cet instant mais, une violente envie de baiser peut être. On était jeunes et on était à poil et on n'était pas habitué à cette situation. Je ne l'avais jamais dit à personne mais j'avais toujours trouvé mes camarades très sexy, et là à ce moment précis j'avais juste envie qu'ils me défonce le cul. En fait j'avais jamais essayé mais je savais que c'est de ça que j'avais envie.


Il me fallait quelques seconde pour sortir de mes pensées et ils étaient là, tous les trois à se branler. J'en faisais de même. Rapidement ils s'excitaient l'un l'autre, Greg attrapait la queue de Robert et le masturbait pendant quelques secondes, ensuite il me faisait la même chose. Je le laissais faire.


– Allez suce le ! Lui lançait François.


Enfin c'est à Greg qu'il parlait je pense mais c'est moi qui me suis exécuté. Sans aucune hésitation, comme si j'avais fait ça toute ma vie, je m’accroupissais devant Greg et prenait sa queue dans ma bouche. J'étais guidé par mon instinct, sans jamais l'avoir dit à qui que ce soit, j'avais rêvé ce moment depuis très longtemps déjà.


Plus personne ne rigolait, ils me regardaient faire. Greg appuyait sur le dos de ma tête. Sa queue rentrait facilement, j'en étais le premier surpris mais j'aimais ça. Je bandais mais j'en oubliais de me masturber.


Sa queue glissait lentement entre mes lèvres, je faisais attention à mes dents et il avançait son bassin quand il appuyait sur ma tête. Je sentais des mains qui glissaient sur mon corps, c'étaient les deux autres qui venaient nous rejoindre. Je sentais leurs mains qui glissaient sur tout mon corps, sur mes épaules en premier puis elles descendait sur mon dos, mon torse, mes fesses, mon ventre, une arrivait à ma bite et me masturbait.


– Il a une p'tit bite en plus.


C'est Robert qui se permettait ce commentaire, c'est vrai que c'est lui qui a la plus grosse mais enfin quoi, c'est pas une raison. Je fais tout de même mes vingt bons centimètres, et sur une bonne largeur en plus.


Je tournais le visage et c'est une autre queue qui se retrouvait devant mon nez. J'avais la tête en feu et c'est sans hésiter que je la prenais elle aussi dans la bouche. Elle n'était pas du tout comme la précédente. Vous savez les queue se ressemblent quelquefois mais une fois dans la bouche il n'y a pas d'erreur possible, je les reconnaîtrai toute ma vie ces deux là.


Il y allait plus fort lui. C'était François, il appuyait de toutes ses forces et sa queue allait directement s'écraser au fond de ma gorge, j'avais une soudaine envie de vomir que je contrôlais. Ensuite je suçais, il appuyait sur ma tête et je suçais. S'il appuyait trop longtemps je me dégageais et me retrouvais face à une queue de nouveau. J'ai d'abord pensé que c'était de nouveau Greg mais, dès que je l'ai prise dans la bouche, j'ai vu la différence. Ce n'était pas Greg, je découvrais la queue de Robert.


Plus personne ne s'occupait de ma queue, et tous défilaient devant moi. Chacun enfilait sa queue dans ma bouche, me limait bien puis donnait la place à son camarade. Avant de comprendre ce qui se passait j'étais transformé en vide couille du groupe.


Ils me caressaient le visage, les cheveux. Ils appuyaient sur ma tête. Ils s'amusait, j'étais devenu un jouet, leur jouet.


Un d'entre eux me glissait la queue dans ma bouche, un autre appuyait sur ma nuque, ça les amusait. Mes copains sont du genre à s'amuser d'un rien, c'est vrai. Je me masturbais, il fallait bien puisque plus personne ne s'occupait de moi.


Ils se masturbaient devant mon visage, et à tour de rôle m'enfonçaient leurs queues dans la bouche. Ils ne me demandaient plus rien, ils ne faisaient plus vraiment attention à ce que pouvais en penser de cette histoire. Et moi j'étais comme fou, je me lâchais sur leurs bites. J'aimais de plus en plus.


J'ai juté en premier, j'ai vraiment pris mon pied, j'ai éjaculé sur une serviette je pense mais sur le coup je m'en moquais, je prenais mon pied et c'est tout ce qui comptait.


Ensuite c'est Robert qui éjaculais dans ma bouche, il me tirait la tête vers lui. Il me retenait avec force, j'avais eu un rapide réflexe de me retirer mais je ne pouvais plus qu'encaisser. Son sperme coulait sur ma langue, je le sentais dans ma gorge et il y avait une petit fuite à la commissure de mes lèvres.


Je fermais les yeux et je me régalais. C'était le pied, je n'aurais jamais cru que je prendrais autant de plaisir à me faire baiser la bouche. Je me disais que dans le cul ça devait être encore mieux. Puis je recevais une nouvelle giclée de sperme sur la figure. Comme je fermais les yeux, je n'ai rien vu venir mais je l'ai senti. Là par contre je n'ai pas vu qui en était responsable mais il était généreux.


Une dernière petite giclée dans la bouche. Le sperme coulait aussi sur mes yeux que je fermais for maintenant, qui coulait aussi sur mon nez et sur mes cheveux et Greg remplaçait Robert dans ma bouche.


La je ne savais plus ou j'étais. Les caresses changeait, le contact peut changer rapidement quand on à joui. Deux d'entre eux avaient joui et moi aussi j'avais joui mais ce n'était pas le cas de Greg qui me limait la bouche avec énergie, avec beaucoup d'énergie au moment ou j'avais surtout envie que tout se calme. Il me limait et l'excitation agissant il ne tardait pas à lâcher la sauce dans ma bouche. Deux grosses giclées qui me remplissaient la bouche puis une moins généreuse que je recevais sur le front, là, juste entre les yeux, puis quelques autres suivaient, sur les cheveux, la joue, le nez …


La fièvre retombait rapidement, ils se mettaient tous les trois à rigoler en me voyant.


Je vous jure ça n'avait rien de prémédité, mais j'ai aimé. Certes j'y avais pensé, j'y avais souvent pensé depuis quelques années mais … C'est vrai que j'ai vraiment aimé. Si j'avais su que ça se terminerait comme ça, je vous jure que j'aurais proposé un tel séjour depuis longtemps. Oh oui, j'avais vraiment beaucoup aimé !



A Suivre




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