Vacances à poil 02
On passait sous la douche et on se retrouvait sur la terrasse pour prendre un petit apéritif et c'est quelques instants plus tard qu'arrivait le mec de l'accueil, il avait l'air de mauvaise humeur.
– Vous êtes calmés ! J'aimerais vous voir tout de suite dans mon bureau, à l'accueil.
On se regardait l'un l'autre, à ce moment on était parfaitement détendu. On ne bandait plus du tout … Enfin il n'aurait pas fallu grand chose pour qu'on remette ça mais à ce moment précis, on ne bandait plu.
– Tu veux pas prendre un petit apéro ? Demandait Greg .
– J'ai dit … Tout de suite … Rajoutais le mec sur un ton qui n'entendait être contrarié.
Là on commençait vraiment à s'inquiéter, surtout que le gars, il nous regardait de travers. Il n'avait pas l'air content, il repartait vers l'accueil. Il se retournait pour voir si nous suivions …
– J'AI DIT IMMÉDIATEMENT ! Nous lançait-il …
Là on a suivi, on était à poil et c'est vrai qu'on passait inaperçu. On était à poil, comme tout le monde. On ne bandait pas, à ce moment on ne bandait pas. Il arrivait à son bureau et nous faisait entrer …
Et là on s'est fait engueuler !
Et pas qu'un peu je ne vous dis pas. C'est qu'on s'était fait remarqué sur la plage, et vous le saviez peut être vous mais nous on ne savait pas mais … la tenue correcte est exigée … et quand la tenue correcte justement est de se mettre à poil ça veut dire qu'on ne bande pas comme des excités devant tout le monde …
– Je vous ai à l’œil ! Nous disait-il. JE VOUS AI Á L'OEIL !
Il marquait une pause, nous regardait tous, les uns après les autres dans le blanc des yeux … C'est à dire l'air méchant, puis il continuait-il.
– Aussitôt que j'ai appris comment vous vous comportiez sur la plage, je suis passé vous voir mais là, j'ai préféré ne pas vous déranger. Si vous ne pouvez pas vous contrôler j'ai une solution. C'est soit ça soit vous allez passer vos vacances ailleurs … Et vous ne serez pas remboursés !
Il posait sur son bureau quatre boites ou était marqué '' PK Sécure … Votre ami pour rester sage ! ''. ( je vois qu'il y en a qui connaissent ).
– Il semblerait que vous avez besoin d'une grande taille, là ça devrait aller.
On prenait chacun une boite, on se savait plus quoi dire. Et pendant qu'on lisait rapidement le mode d'emploi il continuait.
– Vous pourrez la garder, de toutes façons elle vous sera facturée … Maintenant dehors et si je vous prends à bander en public parce que vous n'avez pas mis ce dispositif de chasteté je vous vire à coup de bottes dans le cul !
Il gueulait à moitié. Là je vous jure, c'était une grosse colère. On n'est pas resté là, on est reparti. On est sorti du bureau très vite puis sur la route plus doucement dans un premier temps.
– Je crois qu'on devrait se presser ! Déclarait François.
– Pourquoi tu es pressé de le mettre ? Lui répondait Greg.
– Non mais ça m'excite l'idée de ce genre de truc, tu as vu le petit dessin là ? Et si on ne se dépêche pas je crois que je vais bander .
Bein oui, comme je vous disais plus tôt, on était jeunes, on était à poil et on était pas habitué à cette situation. On s'est regardé et on à continué en courant vers notre mobile-home. La terrasse était abrité, on s'y est installé et quelques instants plus tard, on s'enfilait … un apéritif …
On avait ouvert les boites et sorti les dispositif. Ils étaient conçus pour les grandes tailles, attention pas les géantes mais les grandes tout de même. On s'est dit que ça devrait marché sauf bien sur Greg.
– Moi je ne mets pas ce genre de truc sur moi.
– C'est un modèle sans verrouillage, on peut le retirer quand on veut. Rajoutait François.
Moi je ne disais rien, j'examinais longuement le dispositif, puis je prenais la parole.
– Remarquez … Si on ne le verrouille pas, on peut le retirer quand on veut, ça pourrait être marrant d'essayer ce truc. Disais-je.
– C'est ce que je me disais ! Complétait Robert.
Mais voilà. On bandait ! Il fallait faire quelque chose, on était là poil sur la terrasse de notre mobile-home, on était à l’abri des regards certes mais on bandait et on savait pas trop comment on allait enfiler ce truc. Il y avait urgence ! Il fallait faire quelque chose ! Et c'est ce qu'on a fait !
On s'est enfilé un apéritif !
Puis deux. Puis le troisième avait coulé tout seul et là on se sentait un peu plus guilleret. Avec beaucoup moins d’inhibition on a décidé de se branler.
– Sans faire de bruit ! Rajoutait Robert.
– Tu as raison on s'est déjà bien bien fait remarqué aujourd'hui, c'est pas la peine d'en rajouter. Complétait François.
J'étais un peu ivre et j'avais déjà commencé à me branler. Me voyant faire les autres ont fait de même en rigolant. C'est vrai qu'il rigolent facilement pour pas grand chose mes camarades.
François prenait l'initiative et s'accroupissait devant moi et s'amusait à me masturber. Il ne m'a pas sucer le con, mais il m'a masturbé comme il fallait. Il aurait pu quand même, je l'avais sucé lui aussi une heure plus tôt. En plus je sais qu'il avait bien aimé, il avait gémi de plaisir pendant que ma langue lui caressait le gland, il n'avait pas caché non plus son plaisir quand il éjaculait sur mon nez ou je ne sais ou.
J'étais assis sur un transat, brusquement, sans prévenir il se dépliait, c'était les autres qui le le basculait en position allongée, j'ai eu comme une surprise puis j'ai laissé faire. Ensuite ce n'était plus que caresses, câlins, massages doux et fermes un peu partout sur mon corps. Et quand je dis partout, c'était vraiment partout … François n'était plus le seul à me masser les couilles et à me tripoter la bite.
Je tremblais de plaisir, j'écartais les bras et les laissais faire. Si je pouvait toucher un morceau de peau, je la caressais. Si je parvenais à toucher la bite d'un de mes copains, je la caressais. Si j'arrivais à toucher les couilles d'un de mes copains, je n'hésitais pas à les tripoter. Ils étaient tous les trois agglutinés autour de moi et je ne savais pas qui je touchais, qui me touchait.
J'ai poussé un cri quand j'ai senti un doigt me pénétrer le cul.
Aussitôt ils me chuchotaient tous de me taire. Puis ils rigolaient.
Un d'entre eux crachait généreusement dans sa main puis la refermait avec force sur mon gland. Ensuite il me le caressait avec fermement et c'est bien resserrée sur mon gland que sa main glissait de haut en bas et tournait autour de ma bite.
La c'était terrible, il fallait que je serre bien les dents pour ne pas hurler. Ils s'en amusaient tous les trois. Par moment un doigt glissait dans mon cul et s'agitait rapidement. C'est à un de ces moment que j'ai éjaculé, j'ai joui et j'ai eu toutes les peine du monde pour retenir un cri qui là, aurait été un véritablement hurlement, rien de discret ça s'est sûr.
Ils s'en amusaient et pendant que je débandais ils continuaient à me tripoter les couilles. Ils ont continué pendant un moment même. Je finissais par me demander ce qu'ils faisaient, ce que je ressentais était assez étrange. Quand j'ai relevé la tête je constatais qu'ils avaient réussi à me glisser les couilles et la bite dans l'anneau. Il était en positon à la base de mon sexe, parfaitement positionné. Sans pour autant se calmer, ils profitaient que je ne bandais plus pour glisser ma queue dans la cage.
Là je ne sais pas pourquoi ma queue se ratatinait, leur facilitant ainsi le travail. Ils fixaient alors la cage sur l'anneau, l’emboîtait comme annoncé sur la notice livrée dans la boite puis positionnaient la mini pince, c'est comme ça que ça s'appelle. C'était un petit bidule qui maintenait la cage fermée, avec il était impossible qu'elle se décroche toute seule.
Ils me laissaient enfin passer une main, et je pouvais constater que tout était en place.
Quelques secondes plus tard François m'enfonçait sa queue dans la gorge. Il ne m'avait rien demandé, il ne m'avait pas prévenu non plus. Je ne sais pas vous, mais, moi je trouve qu'il abusait. Je l'avais déjà sucé une heure plus tôt mais il en voulait encore.
Là je sentais la cage qui agissait. Ma queue ne protestait pas, elle ne tentait pas de bander mais je sentais les barreaux de la cage. C'était une sensation agréable. Sa queue dans ma bouche était aussi une sensation agréable.
Je le suçais en fermant les yeux bien fort. Ma langue glissait sur cette très belle queue. Je la trouvais de plus en plus belle. C'est vrai qu'elle était plus grosse, un peu plus grosse que la mienne.
Il me limait avec détermination, sa queue entrait et ressortait aussitôt. Ils avaient remarqué que s'il la maintenant dans ma gorge je risquais de vomir. Il entrait sa queue bien à fond et la ressortait aussitôt. C'était un truc de fou.
Je me contentait d'ouvrir la bouche en grand, bien en grand et de synchroniser ma respiration. Je me laissais faire je le laissais faire, je ne cherchais plus à résister, là j'étais devenu tout mou. Je passais ma main sur ma cage à bite sans trop comprendre ce que je touchais. Et je recevais une grosse décharge de sperme dans la gorge. Là C'est François qui gémissait de plaisir.
Les autres le congratulaient. Et on lui tendait une cage. Il débandait rapidement, ensuite …
– Bon puisqu'il le faut ! Déclarait-il.
Il glissait ses couilles, une par une dans l'anneau. Il avait suffisamment débandé il glissait sa queue dans l'anneau. Il était en place à la base de son sexe. Là je commençais à comprendre ce que je touchais quand je passais ma main sur ma cage.
J'aurais bien voulu voir ce que ça donnait mais on m'avait retourné et j'étais maintenant les genoux à terre, assis les fesses sur mes talon et Greg me limait la bouche à son tour.
Du coin de l’œil je parvenait encore à voir François glisser sa queue dans la cage et l’enclencher sur l'anneau de maintient. C'était fait ! Tant qu'il porterait ce dispositif il ne risquerait pas de bander.
Greg se lâchait sur ma bouche, il me baisait avec force et juste à côté il y avait Robert qui se masturbait énergiquement.
Il va falloir aller manger ! Disait Robert.
Puis il continuait à s'astiquer le manche. Je devinais que lui se ferait plaisir tout seul.
Il s'agitait sous mon nez, Greg s'agitait dans ma bouche et finissait par lâcher la purée. C'était bon, je me régalais, j'avalais en continuant à le sucer pendant encore quelques instants puis c'est Robert qui me balançait une grosse giclée de sperme dans l’œil.
Mais c'est que ça pique, Greg se retirait et moi je râlais. Je passais immédiatement à la douche pour me rincer le visage. Je vous jure dans l’œil c'est pas du tout agréable.
Quand je revenais Greg et Robert avaient déjà passé leur sexe dans l'anneau et s'appliquait à glisser leur queue dans la cage. Ils rigolaient, un rien les amuse je vous dis, un rien les fait rire.
Bon, il faut aussi se dire que rien n'était définitif. Ils garderaient, on garderait ce dispositif en dehors pour ne pas se faire remarquer, enfin pour ne pas être indécent.
Parce que pour ce qui est de se faire remarquer je me demandais en nous voyant tous si on allait vraiment passer inaperçu … Bon, on allait bien voir !
Juste le temps de prendre un petit apéritif et on faisait route vers le restaurant.
A suivre
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
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