Les règles du jeu Ep02 Le gros lot

 

Les règles du jeu Ep02

Le gros lot



J'avais pas bien compris les règles …


Ils étaient tous beaux, mais vraiment beaux ! Leurs visages n'exprimaient pas la moindre crainte, au contraire leur air farouche était un défi qui semblait nous dire … ' Même pas peur ! '.


Oui enfin, un peu tout de même.


Les plus anciens de mon équipe s'approchaient de nos adversaire, chacun en choisissait un puis, avec une certaine fougue, l'attrapait, le tirait vers lui, l'enlaçait et ce qui au début ressemblait à un conflit se terminait par un gros câlin viril.


Tous ceux qui le pouvaient bandaient frénétiquement, c'était mon cas. Je repérais rapidement un petit jeune à peine plus grand que moi avec une gueule d'ange. Il était beau, blond et ses cheveux faisaient de jolies bouclette. Il avait un corps parfait et une magnifique cage à bite qu'il devait sans doute porter depuis des mois.


Je prenais l'air décidé et farouche ( enfin je faisais ce que je pouvais ) et je m'approchais de lui. Il me regardait, me souriais. Je le prenais alors dans mes bras. J'avais enfin compris les règles mais malgré tout j'étais surpris de sa réaction. Il m'embrassait avec passion.


Son corps était doux, il avait retiré tous les poils autour de son sexe, et son corps était glabre. Je sentais la douceur incroyable de sa peau. Ça tranchait avec cette heure de violence que nous avions vécu sur la piste de glace un peu plus tôt.


Peu avant nous nous tapions dessus, nous marchions dessus, nous écrasions les uns les autres, nous poussions violemment contre la vitre blindé, ou nous laissions tomber mollement l'un sur l'autre.


Là on se laissait bien tomber l'un sur l'autre mais là, ce n'était pas mollement, c'était avec douceur. C'était pour bien sentir, partager la douceur de notre peau. Je bandais et rapidement j'appuyais sur sa tête, il comprenait ce que je voulais et s'agenouillait pour me sucer la queue.


En fait je faisait comme mes camarades ( de mon équipe ) et lui faisait comme ses camarades ( de son équipe ). Ils étaient plus habitués à ces fins de match. Dans mon équipe nous étions cinq nouveau dont je faisait parti.


Je regardais mes camarades, les autres nouveaux n'en revenaient pas, ils appréciaient, ça c'est sûr mais semblaient dépassés. Un d'entre eux me regardait il avait un large sourire. Il s'était déjà lâché et tirait la tête de son partenaire vers lui en lui balançant des coups de bassin. Sa queue glissait dans la gorge du perdant avec facilité.


Je décidais d'en faire autant ! Je balançait sans prévenir un violent coup de bite dans la gorge du petit blond avec lequel je m'amusais. Il encaissait. Surpris pourtant mais il encaissait, je recommençais alors plusieurs fois de suite. Il encaissait, il avait perdu, il n'avait plus le choix.


Je me laissais aller pendant un long moment puis je me penchais sur lui et l'embrassais. Je passais alors à une petite séance de douceur, il y avait des coussins, et nous roulions l'un sur l'autre, enlacés, passionné, il embrassait bien et sa peau était tellement douce.


J'avais passé deux semaines avec la cage à bite sur la queue et j'étais pris d'une violente envie de me défouler, de me venger. Je sentais ma queue se redresser, je sentais sa force, j'avais comme l'impression qu'elle pourrait bien exploser. Mais bon, pas de panique, ça n'explose pas comme ça.


Je me repliais sur lui et tout en lui caressant le corps je le couvrais de baisers, je descendais le long de son torse, lentement, je découvrais sa peau, son corps. J'arrivais à son sexe.


Je découvrais ses tensions, il y avait une pression incroyable dans sa cage, il avait de grosses et belles couilles, comme moi juste avant. Elles s'étaient resserrées pour ne faire plus qu'une grosse boule bien ferme. Je la prenais dans mes mains et m'amusait à appuyer dessus, il gémissait. Il avait retiré tous les poils à cet endroit comme je vous le disais et ses couilles étaient aussi fermes que douces.


Je les léchais un moment,il semblait apprécier. Puis je m'allongeais contre lui, ma bite au niveau de sa bouche, ses couilles au niveau de ma bouche. Il me suçait rapidement sans se poser de question pendant que je jouais avec ses couilles et sa cage.


Je sentais la pression intense qu'il y avait dans cette cage qui semblait vraiment trop petite. Il la portait tout le temps lui aussi, il ne devais pas la retirer très souvent. Moi j'étais un petit veinard. J'étais le vainqueur, lui le perdant !


Tout naturellement mes doigts glissaient vers son cul, pas vers ses fesses, j'allais directement au but. Son cul !


Des tubes de gel lubrifiants commençaient à circuler, je ne sais pas d’où ils venaient mais j'en ai attrapé un et en déposait une bonne dose sur son anus. Sans attendre plus longtemps je glissais un doigt puis rapidement deux dans son cul.


Je le sentais se contracter et gémir, il avait encore ma queue dans la bouche et je sentais sa langue qui glissait contre mon gland. Oh que c'était bon. J'agitais mes doigts dans son cul, je lui massais la prostate et il gémissait encore plus et sa langue glissait sur mon gland plus fort. Mais vous savez que même avec force, la langue ne risque pas de blesser, elle caresse, elle stimule, elle fait du bien.


Il continuait, à plusieurs reprise j'ai voulu me retirer pour jouir sur une autre partie de son corps. Il me retenait, il n'avait pas besoin de trop forcer pour y parvenir, je le laissais faire, je me laissais aller et brusquement j'ai joui.


Directement dans sa bouche, sans prévenir, avec force c'était un immense plaisir qui me submergeait, plus de deux semaines sans ce plaisir, c'était vraiment le pied. Plus de deux semaines, moi qui suis un branleur. En temps normal je me branle au moins une fois par jour. Là deux semaines s'étaient passées, et je ne me souviens pas avoir joui aussi fort.


Il continuait à me sucer, la sensation devenait trop forte et là je me retirais. Je regardais autour de nous, certains continuaient à sucer, d'autre se faisaient enculer, d'autres encore se câlinait et déjà plusieurs se reposaient, faisaient une pause.


Je continuais à lui masser la prostate, j'agitais vigoureusement mes doigts dans son cul. Puis de nouveau je bandais. Il me masturbait un petit peu, un tout petit peu, juste pour s'assurer que tout allait bien, que j'étais reparti. Je me redressais, prenais position, cette fois-ci c'était plus sérieux.


Il y avait plein d'homme avec un dispositif de chasteté autour de nous, tous était disponibles, je pouvais choisir mais celui-ci me plaisait et c'est lui que je voulais enculer.


Après on verrait ...


Je me lubrifiais généreusement le queue, pour son cul, c'était déjà fait. Je positionnait ma queue et je poussais. C'est entré il a gueulé. C'est entré sans difficulté, c'est vrai qu'on était bien chaud tous les deux et je poussais peut être un peu fort. Mais là encore il encaissait.


Enfin on n'allait pas se plaindre pour si peu, on est des mecs quoi !


Oui bon j'ai peut être dit une connerie là !


Enfin bref, donc … IL a gueulé mais il a encaissé. Puis ma queue bien positionné, douillettement bien logée j'ai continué à pousser, il râlait mais comme il me laissait faire et ne tentait pas de se dégagé j'ai continué.


Je me suis brusquement retiré puis je suis revenu avec force. Et voyant que tout se passait bien, j'ai commencé à limer. Doucement au début, enfin les ou trois premier coups de bite dans le cul, ensuite je me suis lâché.


Je le burinais avec de plus en plus de force, je venait de jouir et il m'a fallu un moment avant de remettre ça. Je le limais, j'insistais, il râlait plus ou moins fort, il gémissait. Il frémissait de plaisir, en redemandait et tant que je le pouvais je lui en donnais.


Puis je perdais tout contrôle, de nouveau le plaisir montait en moi, les coups que je lui donnais devenaient intense et je finissais par juter dans son cul.


Je me laissais tomer alors sur lui. Sa peau était douce, il respirait fort, il était là allongé sur le ventre et moi aussi allongé sur le ventre, enfin mon ventre sur son dos. Moi aussi je respirais fort, nos deux corps se caressaient.


Autour, il y avait un peu plus de calme mais par moment une certaine frénésie se réveillait. Je me relevais. J'allais me laver puis je revenais, j'étais de nouveau en forme.


Un grand brun avec une cage plus grosse que les autres passait devant moi. Je lui attrapais les couilles, le tirais vers moi, il suivait sans résister et me laissais faire. Je tâtais le matos, il devait avoir une grosse bite, sa cage était plus grosse que les autres.


J'étais assis, les jambes allongées devant moi et je bandais, il m'enjambais, lentement me lubrifiait la queue puis s'asseyait sur ma queue. Je la sentais glisser en lui, il n'y avait aucune résistance, son corps glissait sur le mien.


Il se relevait, se dégageait et me faisait signe de m'asseoir sur le sol, je m'asseyais en tailleur, il reprenait là ou il s'était arrêté. Il s'asseyait sur ma queue , je caressais son corps. Il s'empalait sur ma bite puis refermait les jambes dans mon dos et là, c' n'était plus que câlins, baisers et re-câlins.


On se balançait lentement il me guidait autant qu'il me suivait, pendant je ne sais combien de temps on est resté là, le calme commençait à venir dans la salle, les couples se défaisaient. Nous étions les derniers, je voyais le plaisir que je lui donnais, il devait être intense. Il me fallait encore plus de temps pour parvenir à éjaculer de nouveau.


Lui avait joui bien avant moi. Ça ne devait pas être la première fois dans la soirée. Le plaisir anal est toujours plus intense quand il est répété plusieurs fois de suite.


J'ai joui, pour une troisième fois, je sais je devrais pouvoir faire mieux. A la prochaine victoire, je vous promets de me surpasser.


On est tous repartis vers nos quartiers. Nous avions des vestiaires et des douches séparées bien sûr. Au début c'était sans doute pour éviter tout risque de bagarre, mais comme vous pouvez le constater, ce n'était pas vraiment le risque avec ce sport un peu trop fleur bleue.


Enfin fleur bleu sauf sur la glace, là il n'y avait pas de cadeaux, il faut bien dire que le prix en valait la peine. On prenait tous une douche, mais cette fois l'ambiance était calme, sereine, détendue.


On s'était détendu, le corps, la tête et pour finir le cul, tout y était passé.


On se regroupait, le coach nous réunissait autour de lui. Il avait remis sa cage à bite. Il nous appelait l'un après l'autre. Chacun venait à l'appel de son nom récupérait sa cage. Nous avions tous la queue et les couilles pendantes.


Je réagissais à ce moment que c'était la première fois que je voyais la bite de presque tous mes camarades, c'était amusant. Je n'avais vu, entièrement nus que les quatre autres nouveaux.


Je n'avais aucune difficultés à enfiler mon dispositif, j'étais bien détendu, bien au repos. On donnait la clé au coach et on s'habillait.


Je me sentais étrangement bien, finalement les règles de ce jeux me plaisaient bien. Bon d'accord on ne baiserait pas si souvent que ça mais à chaque fois ce serait le pied.


J'avais seulement oublié un tout petit détail de rien du tout. Nous avions gagné, et ça c'était le gros lot mais si c'était l'autre équipe qui avait gagné, le gros lot, c'était nous !


Surtout que, je ne le savais pas encore à l'époque, mais l'équipe que nous venions de vaincre était une des plus mauvaise de toute la ligue et nous n'avions gagné qu'à un point près …


Ça ne s'est jamais reproduit jusqu'à la fin de saison. Nous avons perdu tous les match …



A suivre



N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast


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