Les règles du jeu Ep04 Paillasson

 

Les règles du jeu Ep04

Paillasson



Quelques jours plus tard à la fin d'une séance d'entraînement, mon camarade, celui qui m'avait dit que je devenais une star, me montrait la revue du club, elle parlait de moi.


Il y avait aussi une photo, plutôt flatteuse, ou on me voyait le visage plaqué contre la vitre, le casque relevé ( il faut bien le fixer, maintenant je le sais ), derrière moi deux mecs énormes qui semblaient n'avoir rien d'autre à faire que de m'écraser en poussant de toutes leurs forces.


Je dois reconnaître que le souvenir de cet instant était un peu confus.


Je me sentais un peu humilié mais toute l'équipe me félicitait, j'étais la star de la semaine. Je restais dubitatif mais toute l'équipe m'acclamait.


Le match suivant arrivait et de nouveau on perdait, bien sûr mais on parlait aussi de moi encore une fois. La revue disait que tous les membres de l'équipe adverse s'était essuyé les pieds sur moi et la moitié de ma propre équipe, en cela, je battais un record. On me surnommait ' le paillasson '.


J'étais le premier à me faire appeler comme ça depuis trois saisons.


Ou alors, je me trompe peut être, c'était au match suivant, je ne sais plus …


Enfin, j'étais la star du moment.


C'est à ce moment que le photographe m'a contacté. Il est venu me voir, il voulait faire un reportage photo. J'ai dit oui, c'était payé alors j'ai pas hésité. Le coach est venu me voir.


C'est très bien de vouloir se faire un peu d'argent de poche supplémentaire, surtout que la gloire des perdants dure rarement très longtemps. Mais surtout n'oublie pas que ça, ça doit rester notre secret.


Il me tripotait joyeusement les couilles en terminant sa phrase. Puis il repartait.


Donc pas de photos de nu ! Rajoutait-il.


Oh je n'avais pas oublié ce petit détail ! Ce petit détail occupait mes pensées en permanence. Il n'y avait guère que pendant les matchs que je n'y pensais plus. C'est vrai qu'à ce moment je ne pensais à rien, surtout pendant que je me faisais piétiner.


Mais torse nue, j'étais très mignon.


Le photographe me donnait rendez-vous dans le parc, c'est là qu'on s'entraînait. Le lieu n'était pas ouvert au public donc nous y serions tranquilles. Le photographe était accompagné de son assistant, Toby, il était là pour s'occuper de l'éclairage, il était jeune mais bien plus vieux que moi.


Bon on commence par les photos classiques, la tenue, en position. On terminera par quelques photos nues ! Déclarait Toby.

Heu ! Non pas de nus, ça c'est pas possible.

T'inquiète pas bonhomme, on ne montrera pas ta cage.

Ah parce que ?

Bein oui, ce secret, tu sais c'est un secret de polichinelle.


Je le regardais, je ne devais pas avoir l'air très futé, il rigolait. Puis quelques instants plus tard, il reprenait.

– Je suis un ancien joueur ! Me déclarait-il.

– Un ancien ?

– Oui je tenais ton poste, et j'ai pu voir que rien n'a changé. On m'a piétiné plus d'une fois tu sais !

– Et vous aviez gagné souvent ? Demandais-je.

– Euh ! Non je ne me souviens pas de la moindre victoire mais quel pied !

– Ah ouai !


Nous étions tranquilles, le photographe n'était pas encore arrivé. Toby s'approchait de moi, il avait une tenue de sport, il tirait son pantalon en avant et me montrait sa cage.


Tu la porte toujours ?

Je ne l'ai jamais enlevé !

Je ne …

Tu sais il y en a qui la gardent tout le temps, ou presque ! Moi c'est tout le temps.

Et ta femme, elle en pense quoi !

En fait, j'ai pas vraiment de femme. Et si tu veux savoir, IL est d'accord avec cette situation.

Bon les filles, c'est fini les papouilles, on est là pour bosser ! C'était le photographe qui arrivait.


On discutait un moment puis on commençait à travailler. Les premières photos étaient en tenue de ville, là ça surprendrait tout le monde de me voir si mince. Ceux qui ne me voyaient que sur la glace ne me connaissaient qu'avec une carrure de Sumo, sans les vêtements de protection je faisais très élégant.


Ensuite on prenait les photos pendant l’habillage, pendant que je mettais mon costume de protection, là ça changeait tout puis on terminait avec le déshabillage …


là je me montrais tout de suite plus réservé.


Juste le torse, ça pouvait aller ça, je me laissais photographier torse nue. Puis jambes nues et torse nue. Ils savaient argumenter et je me laissais convaincre.


Puis finalement à poil.


Je tenais bien fermement la boule devant moi, devant ma cage qui restait totalement invisible. Un instant j'ai bien eu peur que le photographe n'en demande trop mais il l'à ressenti et il ne voulait pas faire d'histoires. Et tout s'est bien passé. On voyait mes fesses sur plusieurs photos mais ça c'est pas grave.


Sur aucune photo on ne pouvait deviner que je portais un tel dispositif. Le secret était sauf.


Tu sais Charly, moi aussi j'ai été joueur, ton truc c'est un secret de polichinelle. J'en ai porté un moi aussi. Mais moi, contrairement à notre ami Toby, moi je ne le garde plus.


Il tirait sur son pantalon et me laissait apercevoir une bite qui semblait de très belle taille. Je vous jure, ' Genre gros truc qui fait envie ! '.


Et juste après ça il m'invitait à prendre un verre chez lui. Histoire de discuter un peu.


Oui je sais, là vous vous dites que, enfin il avait une idée derrière la tête, et bien non, moi je n'y ai pas pensé une seconde. Enfin quoi, pour vous me prenez pour qui ( note destinée aux lecteurs ).


Toby nous suivait, c'est même lui qui conduisait. Et je me rendais compte dès notre arrivé qu'ils vivaient ensemble.


Je me mets en tenue décontractée. Annonçait Toby.

Il se met toujours à poil quand on est à la maison. Je vais faire pareil. Déclarait le photographe.


Quelques instants plus tard j'étais le seul encore habillé. Je finissais par faire comme tout le monde. Toby préparait un apéritif, on le retrouvait dans le salon.


Oui je sais, là vous vous dites que, enfin il avait une idée derrière la tête, et bien non, moi je n'y ai pas pensé une seconde. Enfin bon, j'avais tort, c'est vous qui aviez raison … Mais rapidement en le voyant bander, c'est moi qui avait une idée derrière la tête.


Je ne savais plus quoi regarder. Toby était vraiment très sexy avec ce dispositif sur lui. Il me disait qu'il le portait toujours depuis plusieurs années. Le photographe, Germain, nous regardait avec un sourire amusé.


Vous vivez ensemble ? Demandais-je à Toby.

J'aimerais te voir sucer Germain. Me répondait-il.


Je me retournais vers Germain, il me regardait puis son regard se dirigeait vers sa bite qui se relevait fièrement. Il me regardait de nouveau dans les yeux et me souriait.


J'avais compris le message, je me relevais me mettais à genoux entre ses cuisses et doucement, je le masturbais. Je lui caressais la queue, il avalait une gorgée de bière. Puis je lui prenais la queue dans la bouche, j'appuyais la tête et sa bite rentrait lentement jusqu'au fond de ma gorge.


Personne ne disait rien mais quand je relevais la tête je voyais Germain me sourire, il appréciait ça c'est sûr. À ma gauche il y avait Toby, lui aussi me souriais mais il me semblait apercevoir une certaine angoisse, lui il devait plutôt se sentir frustré.


Il me semblait évident qu'il n'avait pas le droit de toucher. Il devait forcément y trouver un certains plaisir, j'aurais bien voulu le lui demander mais là, j'étais occupé. Germain me le rappelait en me caressait les cheveux. J'y retournais et de nouveau j'avalais sa queue sur toute sa longueur.


Je le caressais vigoureusement aussi, quand je relevais la tête je le masturbais. Il gémissait de plaisir et m'encourageais à continuer.


Au bout d'un long moment il me faisait signe de me relever et de me retourner. Je m'exécutais, je me penchais en avant et sans rien dire, sans rien demander il me lubrifiait le cul et y glissait sa queue avec force.


Je me doutais bien depuis un moment que ça allait se terminer comme ça mais j'ai tout de même été surpris. C'est qu'il m'a fait mal le con. J'ai tenu le coup, ça devait être l'entraînement qui me conditionnait à encaisser.


Dans ce sport, on se fait défoncer le cul quand on perd, et nous, on perd tout le temps. Ça fait bien un peu mal mais quand la bite glisse d'avant en arrière ça devient super, ça devient génial, ça devient divin. En un mot c'est le pied.


Il s'enfonçait rapidement et c'est surtout au début, il me faisait un peu mal. Toby fixait mon visage, je le voyais baver d'envie, il aurait aimé être à ma place. Je le voyais. Et la bite de Germain glissait, s'enfonçait, puis ressortait. Par moment elle ressortait totalement, ça résistait un peu plus pour la suite, il fallait qu'il force un peu plus et il forçait bien plus, il forçait plus qu'il ne fallait, il était de ceux qui n'aimait pas que ça lui résiste.


Quand ça résistait, il forçait !


J'entendais son ventre claquer contre mes fesses, je sentais une masse m'envahir les entrailles, là ça faisait flipper. Après le match, c'est différent, c'est plus violent mais on est chaud. Là j'étais froid, personne ne m'avait marché dessus, je n'avais pas servi de paillasson, j'étais seulement un vide couille, Toby m'enviait et moi je ne savais plus vraiment ce que je faisais là.


Les coups qu'il portait étaient violent, ce n'était pas un tendre et il était bien monté, il se lâchait, lubrifiait de temps en temps et continuait de plus en plus fort, de plus en plus rapide. Je finissais par gémir puis par crier, je faisais une terrible grimace. J'avais vraiment du mal à encaisser mais déjà à l'époque j'étais accro.


Germain me retenait pas les hanches me tirait vers lui quand il avançait violemment son bassin et me repoussait quand il se retirait. Sa queue ressortait maintenant à chaque mouvement et revenait bien à fond avec force aussitôt.


Je me cramponnais à ce que j'avais trouvé, le dossier fauteuil. Et j'encaissais. Je ne savais plus faire autre chose. Il me saisissait me relevait contre lui sans pour autant se retirer. Il m'enlaçait, il me caressait et m'embrassait.


J'étais debout lui aussi, la position n'était pas confortable pour moi mais c'est vrai que c'est lui comptait, pas moi. Et il continuait à pousser, comme il était un peu plus grand que moi, il lui suffisait de se redresser sur ses jambes. Je me mettais sur la pointe des pieds et s'il ne m'avait fermement retenu, je serais tombé.


Puis ses coups devenaient subitement très violents, encore plus violent je n'aurais pas imaginé ça possible et il jutais en moi. Brusquement il redevenait plus doux, plus câlin.


Toby me regardait, il avait l'air de manquer d'air, sa cage se redressait légèrement.



A suivre



N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast

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