Vacances à poil 04

 

Vacances à poil 04



C'était la première fois ? Me demandait-il.

Oui !

Et tu ne savais pas que ta cage était verrouillée ?

Non !

Tu ne m'as pas l'air très dégourdi …

Tu crois ?


Pour seule réponse il rigolait. Ensuite il passait sous la douche et remettait son dispositif de chasteté.


Le matin, je bande. Me disait-il. Et si je ne l'ai pas sur moi, il me faut un temps pas possible pour le passer, alors je le mets avant d'aller me coucher. Mais si tu veux remettre ça, je peux le retirer …

Non, ça ira.


J'avais mal au cul quand je parlais, j'avais mal au cul quand je respirais, j'avais mal au cul quand je bougeais, remarquez j'avais aussi mal au cul quand je ne bougeait pas …


Bref j'avais mal au cul, et ne vous dis pas mais il m'a fallu quelques jours avant de pouvoir m'asseoir. En plus mes amis m'avaient fait une blague mais à ce moment précis je m'en moquais. J'avais mal au cul mais j'avais pris mon pied.


On a fini par s'endormir, j'étais dans ses bras. Ça aussi c'était une première pour moi mais, ça aussi j'ai aimé. J'ai adoré même.


Le lendemain matin, il m'invitait au petit déjeuner. On se retrouvait au bar ou il travaillait. C'était Josh qui était au bar, Tom me le présentait.


Regarde sa cage, lui aussi il a le système de verrouillage comme le tient. Me glissait-il à l'oreille.


Je vérifiais discrètement et en effet.


Il ne sait pas se tenir. Il est tout jeune, bientôt dix huit ans et il bande tout le temps. S'exclamait Tom.

Et tu trouves ça drôle ? Lui répondait Josh.


C'est à ce moment que Josh me faisait remarquer.


Ils t'ont fait la blague du verrou amovible ?

Le verrou amovible ?

Le petit dispositif qui verrouille ta cage. M'expliquait Tom.


Jusque là ma queue m'avait laissé tranquille, c'était sans doutes parce que j'avais mal au cul mais l'érection du matin me rattrapait. J'avais mal au cul, j'avais mal à la queue mais j'étais content de la nuit que j'avais passé.


On ne t'avait pas pas prévenu quand on t'a verrouiller ta cage ? Demandais-je à Josh.

Si mais j'avais pas vu les choses comme ça quand j'ai signé.


Tom éclatait de rire.


Et tu a signé pour combien de temps ,

Toute la saison .


Là c'est moi qui pouffait de rire.


Tu peut te moquer, toi c'est pas mieux, tu ne t'es rendu compte de rien … me répondait Josh.

Oui mais ils vont m'entendre.

Ça ne changera pas grand chose. Faisait remarquer Josh.


Là je ne comprenais pas ou il voulait en venir, je le regardais d'un regard interrogatif.


Oui c'est là qu'est la vraie farce. C'est indiqué dans le règlement, dans chaque boites contenant un dispositif de chasteté. La clé ne sera disponible qu'au moment du départ … M'expliquait Josh.

Et à condition d'en faire la demande à l'avance … Rajoutait Tom en rigolant.

Vous voulez dire que je suis enfermé dans la cage pour …

Au moins deux semaines. Rajoutait Josh.


Là je ne savais plus quoi dire. Je regardais le dispositif, en effet il ne fallait pas avoir la clé pour verrouiller mais uniquement pour l'ouvrir, et il était verrouillé, et il était verrouillé avec moi dedans. Là je me suis mis à bander comme un sauvage. Oui bon d'accord, ce n'était pas très spectaculaire j'en conviens. C'est à peine si Tom remarquait quelque chose, et il était juste à côté de moi. Mais je vous garantis que moi, je le ressentais. Les anneaux de la cage se resserraient autour de ma queue. La cage devenait plus petite, trop petite. Je voulais réajuster la peau mais c'est à peine si elle elle pouvait glisser.


Ce qui était bien, c'est qu'on ne voyait rien. Je bandais, ou pour être précis la pression montait mais il n'y avait rien de visible.


Ce qui me rassurait, c'est que je ne risquais pas de rester coincer dans ce dispositif, le verrou n'était pas, contrairement à la cage, en métal indestructible. Avec une petite scie à métaux on réglerait le problème en quelques secondes.


Tom prenait son service on arrivait à la fin de la matinée et je continuais à discuter avec Josh.


Tu peux faire comme moi. Tu te résignes, et tu en fais une expérience. Tu verras au bout de quelques jours, ça devient … Stimulant … Finissait par m'expliquer Josh.


Il portait le dispositif depuis une semaine.


Je terminais la matinée par une promenade sur la plage, c'est vrai que je commençais à me sentir bien comme ça, à poil. Il y avait bien ce truc sur ma bite mais, ça pouvait aller. Pour le reste j'aimais bien finalement. Je voyais mes trois camarades qui remontaient de la plage.


De nouveau ma queue s'est énervée. Je la sentais qui gonflait et qui de nouveau tentait de repousser les anneaux de la cage. Je ne les avait jamais vu aussi sexy, c'est vrai qu'on n'avait pas l'habitude de nous voir à poil, mais là c'était permanent. Ils étaient beaux et même si j'avais encore mal au cul, je me disais que quand ça irait mieux, je me les essayerais bien volontiers. Une soirée à me prendre les trois dans le cul …


Ils m'avaient fait une mauvaise blague et je voulais marquer la chose, dans l'immédiat je faisais la gueule.


Béh Charly tu étais ou ?

Tu nous rejoins, on va au restau.

Tu viens manger avec nous.


Je ne leur répondait pas mais je remarquais que leurs cages étaient bien remplies. Je retrouvais Greg un moment plus tard dans le mobile-home. Je faisais la gueule.


Regarde ! Me Disais Greg. J'ai un truc pour toi.


Il avait retiré sa cage à bite, il se plantait juste devant moi, il bandait, il était trop beau. Brusquement je n'avais plus du tout envie de faire la gueule. Je tombais à genoux devant lui et commençais à lui sucer la queue.


La veille je les avais sucé, dans la nuit je m'étais pris la queue de Tomas dans le cul, et tout ça, c'était pour moi tout nouveau. Il n'avait fallu qu'une seule chose pour que je me lâche sexuellement, il avait juste fallu que je me retrouve à poil en plein air avec mes copains, eux aussi à poil.


Sa queue entrait et ressortait. Il me ne touchait même pas, c'est moi qui faisait tout le boulot. Je le masturbais quand sa queue ressortait, puis je passais ma langue sur son gland, je le caressais longuement avec e pouce, avec ma langue, puis je prenais sa queue en entier. Je la sentais s'écraser au fond de ma gorge et j'étais le premier surpris de la facilité avec laquelle je me l'enfilais.


Ma queue protestait, je bandais autant que lui. Enfin je veux dire qu'il devait y avoir autant de pression chez moi que chez lui mais, chez moi je gardais ma retenue, je n'avais pas le choix. Lui se laissait aller.


C'était tout nouveau pour moi et je m'étonnais d'apprécier autant, au bout d'un moment je me disais même que c'était une bonne idée qu'ils avaient eu là, je parle de ma cage. Je me caressais les couilles, je lui caressais les couilles, il s'asseyait sur le fauteuil et écartait les jambes.


Je tentais quelque chose de nouveau, mais c'est vrai que là ou j'en étais, tout était nouveau pour moi. Pour mes camarades aussi je suppose. Je lui gobais les couilles, j'en prenais une dans la bouche puis je gobais la seconde.


Là je l'ai senti se contracter, il ne savait pas comment réagir. Je prenais le plus grand soin de ne surtout pas lui faire mal mais je tirais tout de même un peu sur ses boules. Il gémissais, tentais de dire quelque chose mais n'arrivait pas à articuler.


Il me caressait la tête d'une main mais là encore ne semblait pas savoir quoi faire. Me repousser, me tirer vers lui, il tremblait, il était en apnée.


Je faisais durer le plaisir pendant un moment, je relevais la tête, je lui lâchait les couilles et me rabattais sur sa bite. Il soufflait fort, un peu comme s'il était soulagé, et me caressait les cheveux et appuyait doucement sur ma tête, il ne faisait rien d'autre et se reposait entièrement sur moi pour prendre du plaisir.


Déjà il en prenait, déjà je lui en donnais du plaisir. Il me caressait la joue. Il y mettait beaucoup de douceur, mon ventre s'écrasait sur son ventre. Je ne pouvais pas garder cette position plus de deux ou trois secondes, mais j'essayais.


Ensuite je relevais la tête ma langue caressait sa queue sur toute sa longueur puis insistait longuement sur le gland. Et je replongeait, et je me relevais avant de recommencer.


On prenait tout notre temps, je n'étais pas pressé de le voir jouir, pour moi le seul plaisir que j'avais à attendre à ce moment, c'était le sien. Ses marques de plaisir, c'étaient ses gémissements, c'étaient ses caresses, c'étaient ses tremblements. Et je m'attendais à recevoir une grosse giclée de sperme.


Les deux autres n'étaient pas là. Je ne savais pas du tout ou ils étaient et je m'en moquais. Je me disais que s'ils arrivaient ils y auraient droit aussi. J'avais envie de sexe et là avec le sien dans la bouche je ne me satisfaisait pas.


J'imaginais me faire enculer mais j'avais encore mal au cul et je préférais ne pas parler de ça. Et puis je ne pouvais pas parler, j'avais la bouche pleine. Mais déjà l'envie de me faire défoncer le cul se manifestait.


Je continuais à écraser mon nez sur son ventre avec régularité, il appuyait maintenant avec la main, il appuyait de plus en plus fort. Là c'est moi qui le suivais. Il appuyait sur ma tête, j'appuyais ma têt, il me lâchait et je relevais la tête. Je le sentais il commençait à trembler.


Il commençait aussi à gémir de plus en plus fort, des coups de bassin lui échappaient et c'est moi qui les prenais dans dans la gueule. Un bon coup bassin quand on a déjà la bite du mec bien calée au fond de sa gorge, je vous jure, on le sent bien. Là j'aimais moins mais j'encaissais sans rien dire.


Et de toutes façons j'avais la bouche pleine et je ne pouvais pas parler.


Il appuyait fort d'un coup et me retenait. Là je paniquais, il jouissait et je recevais directement dans la gorge une puis deux grosses giclées de sperme. J'ai cru que je jouissais aussi à ce moment. Je sentais tout son corps trembler de plaisir et il a crié en même temps.


Il ne me lâchais pas totalement, et maintenait ma tête en place, pas à fond mais il me maintenait fermement. Il lâchait aussi quelques giclées supplémentaire de sa sauce, je me régalais, j'avalais tout. Je ne voulais rien perdre.


Quand je relevais la tête, je le voyais à son visage. Il était heureux de ce qui venait de se produire … Et moi aussi, j'étais heureux. Je passais mon doigt sur mes lèvres, je regardais sa queue, elle était toute propre, un peu humide mais toute propre.


Il débandait rapidement, sa queue lourde et épaisse retombait sur sa cuisse. J'étais rassuré de ne pas voir les autres arriver. Maintenant j'avais un peu mal à la mâchoire.


Il prenait le dispositif dans la main et me regardait.


Tu crois que ?

Si tu ne le mets pas tu ne tiendras pas sans bander bien longtemps.

Il rigolait de ma réponse en glissant ses couilles dans l'anneau. Je regardait totalement fasciné, sa queue était encore bien grosse quand il la glissait dans la cage. Là glisser n'était pas le mot exact, je voyais qu'il forçait mais, même si sa queue était encore de belle taille, elle était molle et parvenait à prendre place.


Il refermait le dispositif, un tout petit clic se faisait entendre. Il était superbe et moi je ne me calmais pas. Moi je bandais toujours et ma queue protestait dans sa cage.


On se dirigeait vers le restaurant, les deux autres nous y attendaient. Là je me rappelais qu'il faudrait qu'il s'expliquent.



A Suivre



N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast

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