Vacances à poil 07

 

Vacances à poil 07



Son corps était brûlant et je vous jure que ce n'étais pas les coups de soleil. Son corps était infiniment doux, ses seins se relevaient, je sentais ses tétons durcir, ils piquaient ma poitrine.


Ma cage s'était encore réduite, enfin c'était l'impression qu'elle donnait, je sais bien que sa taille ne change pas. Mais ce n'est pas le cas de ma bite qui est dedans.


La petite ( je l'appelle comme ça parce que c'est affectueux ) me tirait vers elle, je retombais, m'appuyais sur un bras pour ne pas l'écraser, et profitais de ses baisers.


Elle me demandait de l'embrasser un peu partout. Je commençais par le cou, tout doucement. Puis je fermais les yeux et me laissais aller. Elle était nue, entièrement nue, moi je sentais ma cage à bite, cet horrible objet que je regrettais d'avoir mis. Il fallait faire attention à ne pas lui écraser ma cage sur la cuisse, ne pas lui faire mal.


Elle écartait les jambes et ma cage trouvait naturellement une petite place dans le grand vide qu'il y a entre ses cuisses. C'est à ce moment, à ce moment vraiment que j'ai vraiment ressenti la différence entre un homme et une femme.


Je vous rassure, je sais comment tout ça c'est fait mais je n'avais jamais ressenti à ce point la différence. Ses seins étaient brûlant, doux et brûlants, et cet espace vide entre ses cuisses terriblement confortables. C'est pas comme avec les mecs. Il y a un truc qui dépasse.


C'est bien aussi remarquez !


Je la couvrais de baisers, elle me caressait le dos, les fesses, elle glissait sa main contre mon ventre, puis plus bas, puis encore plus bas. Je devinais un sourire sur son visage quand sa main découvrait ma cage à bite. Là moi j'avais pas envie de rigoler, je sentais une pression très inconfortable qui montait dans ma cage. Ça devenait violent. Puis on se laissait aller, enlacés on roulait l'un sur l'autre.


Des gémissements se faisaient entendre juste derrière le buisson, c'était sans doute le couple que j'avais vu un peu plus tôt. C'était une voix féminine, sans doutes la fille que j'avais aperçue.


On n'entendait pas le garçon.


Je crois que juste à côté … Disait ma copine sans terminer sa phrase.


Puis elle exerçait sur moi une pression pour le guider vers ses seins, je les lui caressais avec le bout de ma langue, un peu avec les lèvres et ma moustache naissante la chatouillait.


Plus bas ! Me dit-elle.


Je prenais alors une voix très grave.


Comme ça, ça ira ? Lui demandais-je.

Tu es bête ! Me répondait-elle en éclatant de rire …


Puis je continuais à l'embrasser sur son ventre, j'arrivais à son nombril. Je m'étais replié, mes genoux joint entre ses genoux. J'arrivais à sa vulve, là j'y mettais toute ma douceur. Ma langue glissait sur, ce devait être son clitoris, et là je l'ai entendu gémir. Un peu comme la fille à côté.


Je continuais plus intensément, plus profond, ma langue glissait entre ses lèvres et là ma moustache le stimulait. Elle repliait ses jambes et je me retrouvais ma tête coincées entre, le nez dans son sexe.


Elle se tortillait, elle ne m'oubliait pas, ça ne risquait pas mais ne pensait plus qu'à son plaisir. Elle se tortillait et mon nez n'était plus qu'un petit gode uniquement destiné à la stimuler, uniquement destiné à son plaisir.


Elles gémissaient de plaisir. La fille à côté ne cachait pas le plaisir qu'elle ressentait, ma copine également et leurs cris se répondaient et nous encourageaient, l'autre garçon et moi.


Je le savais, lui n'avait pas de cage, mais je devinais que comme je n'entendais pas sa voix, il devait lui aussi donner du plaisir à sa compagne avec sa langue. Mais lui …


Des cris plus précis nous racontaient ce qui se passait.


Oui ta langue !

Oui vas y, doucement ta barbe me gratte !

Ooooooh oui, là ton nez, oui, oui.


J'avais mon nez sur son clitoris et je m'imaginais la position, je le voyais faire la même chose que moi. Et les cris de plaisir de ma compagne m'encourageait.


C'est enfin une voix masculine qui se faisait entendre.


Ça va à côté ?


Ça nous était bien destiné. Je ne pouvais pas répondre, mais ma copine oui.


Il est très habile de la langue et il sait ou mettre son nez.

Le mien aussi ! Lui répondait l'autre fille. Maintenant on va essayer avec sa bite. Rajoutait-elle en rigolant.


Nous entendions alors la voix du garçon qui commentait le corps de sa compagne et ce qu'il allait lui faire.


Écarte bien les cuisses !

Je vais me glisser entre.

Je vais te pénétrer, ne bouge pas !


Ma copine s'énervait à les entendre, il avait une voix chaude et douce, pourtant bien masculine, bien virile. Elle refermait ses cuisses avec forces et là je n'entendais plus rien, elle refermait ses cuisses sur mes oreilles. En même temps elle gigotais. Elle appuyait sur ma tête, elle se masturbait avec ma bouche. Je ne savais plus trop quoi faire, j'étais dépassé. Je ne contrôlais plus rien mais elle me retenait, elle me tenait même la tête avec force et me guidait.


Par moment je je me débattais, juste pour pouvoir respirer. Elle ne se préoccupait plus que de son plaisir.


Tu ne pourras pas te faire plaisir mais c'est pas une raison pour ne pas me faire plaisir ! Me déclarait-elle.

Et pourquoi il ne pourra pas se faire plaisir ? Demandait l'autre voix féminine, de l'autre côté du buisson.


Cette question était suivie d'un long gémissement qui commençait par un long ' Oh ' et terminait par un très long ' Uiiiiii ! C'était évident, elle prenait du plaisir. Une voix masculine l'accompagnait, il râlait, on sentait un certain effort physique de la part des deux participants. Puis on entendait les mouvements, on entendait le garçon frapper le ventre de sa copine avec son propre ventre, on entendait les cris de plaisir.


Et ça limait, et ça limait, et ça se faisait entendre. Les deux criaient maintenant. Moi je ne savais plus ou j'étais. Ma copine s'était retournée et m'avait entraîné avec elle.


J'avais toujours le visage écrasé sur sa vulve, elle se masturbait avec mon visage tout entier. Et elle criait de plaisir .


Puis brusquement plus rien, je la sentais frémir, trembler puis s'écrouler sur le ventre. Elle desserrait les cuisses et je me trouvais enfin libéré, je pouvait enfin respirer.


De l'autre côté du buisson les cris de plaisir continuaient, la voix masculine s'était rajoutée à la voix féminine du début, c'étaient des râles de plaisir, des gémissement de plus en plus forts. Ça en devenait agaçant. Moi je n'avais même pas pu me masturber et à voir comment évoluait la situation ça ne risquait pas.


J'ai entendu le mec crier de plaisir, il jouissait et aussitôt il était suivi de sa compagne, elle jouissait, il l'avait fait jouir. Et il gueulait encore, il reprenait son souffle et je l'entendais ricaner.


Moi aussi j'avais fait jouir ma partenaire et j'en faisais pas toute une histoire ! C'est vrai quoi, ils m’agaçaient ces deux là. J'avais accepté de faire un câlin et ça finissait en cauchemar. Moi aussi, je peux en faire autant, me disais-je. Qu'on me retire de truc à la con et je leur montre à ces deux là.


J'avais complètement oublié ma partenaire, c'est elle qui me rattrapait, elle se collait contre moi et m'embrassait. Il y en avait au moins une qui était contente, c'est déjà ça.


Tu sais, tu es un amour ! Me disais la fille qui reprenait son souffle. On recommencera !

Quand ? Lui demandais-je.

Quand je le déciderai.

Chapeau mec ! Me lançait le gars que je ne connaissais pas derrière le buisson. De mon côté aussi, ça s'est bien passé


On restait là un moment sans bouger. Ma partenaire me faisais des papouilles. Elle s'amusait avec mon corps, elle me caressait, me tripotais les couilles sans aucun scrupules. Je vous rappelle que moi je n'avais pas pris mon plaisir mais une grosse dose de frustration.


J'étais pas vraiment content, enfin, elle l'était pour deux et ça devait suffire. Au bout d'un moment elle se levait.


– Allez, on y va, on ne pas passer la nuit ici ! Déclarait-elle.


Les deux autres se levaient en même temps.


Je vous paye un verre au bar ! Déclarait le gars.


Je voyais leurs silhouettes apparaître. Il avait un corps mince, il était grand. La fille avait une grosse poitrine. Elle s'approchait de moi et me glissait sa main sur le ventre depuis la gorge jusqu'à ma cage. Enfin presque, elle s'arrêtait juste avant et ne la remarquait même pas.


C'est un bon coup ? Demandait-elle à ma copine.

Un super bon coup, il fait des merveilles avec sa langue.

Avec sa langue c'est bien mais avec sa queue ?


Elle glissait alors une main directement sur ma cage. Elle éclatait de rire tout en me tripotant les couilles.


Ah oui, forcément ! Eh Alain, regarde un peu par là. Il y a une surprise.

Quoi, c'est une fille ? Répondait-il.


Puis il glissait aussi sa main. Il éclatait de rire également.


Ils s'amusaient à me tripoter les couilles.

Et pourquoi tu portes un truc comme ? Me demandait Alain. Tu n'arrives pas à être sage ?


Ça ne se voyait pas dans le noir mais là, je faisais la gueule. Je retrouvais un sourire de composition au moment ou nous arrivions dans un endroit un peu plus éclairé.


Je voyais Alain se pencher pour mieux voir ma cage.


C'est bien ce truc, moi j'aime bien !

Tu en veux une aussi ? Lui demandait sa copine.

Ah non pas pour moi, moi ! Moi je suis un mâle, un mec, un vrai et en plus je sais me tenir.


J'allais réagir à ' un mec, un vrai ' au moment ou j'ai vu sa bite. Elle était énorme, il avait encore une grosse molle. Il pouvait, il avait le droit de s'amuser avec, elle était molle. Mais c'est vrai qu'elle était très grosse.


Ça m'a fait tout drôle. Instantanément je l'imaginait glissant dans mon cul. Avec tout ça, cette frustration, tous ces câlins qui n'aboutissent à rien, et cette énorme queue qui pendouillait lourdement juste à côté de moi … J'étais en manque et de nouveau ma cage redevenait toute petite, bien trop petite.



A suivre



N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast


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