Comment j'y suis venu épisodes 1 à 10 / 10

EP 1 : LA DECOUVERTE



Ça faisait un moment que j'y pensais … Très exactement depuis ce soir ou par le plus grand des hasards j'étais tombé sur un site Internet ou on voyait deux homme étrangement costumés. Au début j'ai pensé à à un costume genre exhibition. Ils étaient presque nus, et portaient une sorte de ceinture en métal et un cache sexe en métal également. Un objet assez volumineux qui me faisait tout de suite fantasmer. Bien sûr c'était juste un déguisement pour une soirée, un jeux sexuel juste pour un moment, quelques heures, une soirée …

Je m'attardais sur le site, et rapidement je comprenais que si c'était bien un dispositif pour un jeux sexuel. C'était pas forcément juste pour quelques heures … 

J'avais du mal à y croire, le dispositif paraissait énorme et je ne voyais pas vraiment comment on pouvait le porter en permanence. Il devait gêner dans les mouvements les plus simples et il devait aussi être très visible sous des vêtements normaux. Aucune chance de le porter avec des vêtements un peu serrés, même si on ne porte pas de pantalon '' moule boule '', seuls des vêtements très larges permettent de porter ce genre de truc … Et certainement pas sur une longue période !

Par la suite je faisais des recherches et je trouvais plein d'autres dispositifs sous le titre '' Ceinture de chasteté '' … Le terme ceinture était bien exagéré, la plus grande partie de ces dispositifs n'avait aucun rapport avec la ceinture. C'était des cages ou des tubes de chasteté. 

A chaque fois que je me retrouvais sur un de ces sites, je fantasmais et au bout de quelques instants je bandais …

J'en voulais un !

Je me documentais donc longuement sans en parler à mes proches. Francis aurait bien rigolé en voyant ce genre de truc et si je lui avais dit que ça me faisait envie, que je voulais faire cette expérience, que je voulais savoir ce qu'on ressentait quand on avait la queue coincée dans ce genre de cage … Ça devait être … je sais pas … excitant … frustrant … en un mot, Bandant !

Ça fait mal ?
On peut bouger librement ?
Ça se voit sous les vêtements ?
Je me posais ces questions. Je cherchais et finissais par trouver des réponses. Pas toutes les réponses mais j'arrivais à bien me documenter. Il restait le problème de la taille ! Je n'ai pas une bite si grosse que ça mais, au niveau diamètre si quand même un peu. Au niveau longueur seize bons centimètres mais au niveau largeur pas loin de cinq … 

Je vous dit ça mais c'est en érection bien sûr. En position repos c'est plus petit. Mais comment savoir qu'elle taille il faut ? Une bite ça change tout le temps de taille ! Rikiki quand on vient de se baigner dans la mer, l'au est froide … Pas forcément trop grosse quand on sort de la baignoire … Sous une douche chaude ça pendouille et rapidement ça prend un certain volume et si on profite de la situation du moment pour se frictionner bien ça devient rapidement beaucoup plus gros. Là ça ne pendouille plus du tout et c'est un gros bazar qui se redresse fièrement presque à la verticale quand on est jeune et un peu plus à l'horizontale quand on est plus vieux … Bon c'est la vie … 

J'en profite pour faire un aparté … Si il y a des garçons qui ne comprennent pas de quoi je parle et qui se disent … '' Mais qu'est-ce qu'il raconte ? '' … Ou encore '' De quoi il cause ? Je comprends rien ! '' … Un conseil, allez consulter ! C'est pas forcément grave mais il faut en parler !

Bon je reviens à mes moutons ! Enfin mes moutons … Là je serais plutôt en train de jouer au boules. Une queue des boules et c'est pas du billard … Mais qu'est-ce que c'est donc ? Prenez la queue avec la main, doucement mais fermement, serrez bien la main autour de ce manche, c'est pas ça qu'on appelle un joy-stick mais on pourrait, ça le fait. Ramenez la mains à la base de la queue en tirant la peau, à l'extrémité ça se débouche ( Oh comment je dis ça moi ! ). Si vous êtes circoncis, à l'extrémité c'est déjà débouché depuis le début mais vous pouvez continuez à procéder …

Avec une de ces cages autour de la queue on peut pas faire ça. Je jetais un œil sur mon écran d'ordinateur et continuait à me frictionner la bite, mon gland se dégageait puis se recouvrait en même temps que ma main s'activait. Ma queue était dure comme du bois et se relevait fièrement. Je continuait à m'astiquer la queue, j'accélérais le mouvement, je ralentissais puis reprenais … Sur l'écran je faisais défiler les images, il y avait différents dispositifs, j'avais la cervelle en feu et je refermais la main de toutes mes forces sur ma queue, elle résistait, elle restait ferme et dure. Le gland se dégageait complètement, le prépuce restait resserré à la base de mon gland. Différents modèles de dispositifs de chasteté défilaient sur mon écran, ils avaient de l'imagination les fabricants …

Je changeais de main ! Quand on vous dit … '' Change pas de main, ça vient ! '', il ne faut pas prendre l'expression au mot … Surtout que moi j'étais pas pressé que ça vienne … Je prenais mon temps. Les images ne défilaient plus sur mon écran. Je crachais abondamment dans ma main. Quand on en vient à se frictionner le gland il ne faut jamais le faire à sec. Je refermais ma main sur mon gland, crachais de nouveau et me frictionnais la queue sur toute sa longueur. Doucement sur le gland, plus fermement sur le reste. J'attrapais du gel dans un tiroir, en déposais une bonne dose sur le bout de ma queue et reprenais avec un peu plus de fermeté. Je refermais doucement ma main autour de mon gland, le frictionnait comme pour le reste de ma queue, refermais plus fermement ma main et continuais. Et finissais par la serrer de toutes mes forces et me frictionnais alors le gland avec force. Je penchais la tête en arrière et commençais à respirer fort !

Je ramenais lentement ma main vers la base de ma bite, je tirais sur la peau à la limite de la douleur. Je rajoutais encore une bonne dose de gel et continuais. Au moment ou je caressais mon gland je refermais ma main avec une force extrême, je relâchais un peu pour ne pas trop tirer sur la peau. Je m'attardais sur le gland qui était maintenant lubrifié à l'extrême, je serrais de toutes mes forces et faisais tourner ma main dans un mouvement circulaire. Je frissonnais, je tremblais et respirais avec force. 

Je changeais de main de nouveau, m'essuyais la main sur mon pantalon et reprenais la souris, les photos défilaient de nouveau sur mon écran. C'est doucement que je me caressais la bite maintenant, ma respiration redevenait normale, j'avais failli jouir. Je ne voulais pas jouir, je m'imaginais avec un dispositif de chasteté, une cage ou un tube autour de ma queue … Mais le problème restait le même, c'était un problème de taille. Comment on calcule la taille du truc qu'il fallait prendre, en plus je suis large, il me faut une longueur normale ou à peu près mais taille large !

Je me documentais. Il devait bien y avoir un site qui parle de mesures à prendre et comment les prendre. Avec la main gauche je continuait à me masturber avec plus ou moins de vigueur, peu à peu je me laissais aller. 

Ne pas jouir ! Ne plus jouir ! Pendant combien de temps ? Frustration ! Désir, le plaisir vient du désir mais si le désir est paralysé, bloqué, la frustration peut-elle devenir un plaisir ? Je bandais fort ma queue était de nouveau dure comme du bois et se contractait par intermittence, je respirait fort de nouveau, je n'arrêtait pas les mouvements de ma main, je ne pouvais plus m'arrêter, je ne le voulais pas pourtant je ne voulais pas jouir. Je remettais une nouvelle dose de gel et c'est avec les deux mains que je me masturbais maintenant. 

D'une main je me frictionnais la queue, de l'autre je me frictionnais le gland. Je refermais les deux mains de toutes mes forces et avec un mouvement de rotation, une main dans un sens la seconde dans l'autre sens je me branlais avec vigueur. C'était bon, je me retenais de jouir tant que je le pouvais, mon souffle était irrégulier, je ne regardais plus mon écran, je ne pouvais plus arrêter mes mains ne m'auraient pas obéi … Je frissonnais et brusquement échappant à mon contrôle je passais le point de non retour, mes mouvements devenaient frénétiques puis j'éjaculais avec violence, je m'étais penché en arrière, je tremblais en gémissant et je recevais une giclée de sperme sur la figure. C'était bon,terriblement bon. Je tremblais, une autre giclée et une autre encore, je suçais mes doigts, ils étaient recouverts de sperme, c'était bon !

J'avais pris mon plaisir, je me sentais bien. Je me laissais tomber en arrière, mon fauteuil se penchait et je ne bougeais plus, je restais là tranquille, je reprenais mon souffle, je devais probablement arborer un grand sourire béat.

C'est cool la chasteté ! Enfin je suis pas sûr que ce que je viens de dire ait vraiment du sens ! Mais bon ...

Dans les jours qui suivaient je continuais mes recherches ( et mes branlettes ), je finissais par trouver les informations que je cherchais, la mesure de la longueur de la cage, la largeur … Le diamètre du cock-ring … 

Je commandais un de ces dispositif ! Pour n'embarrasser personne je ne vous donnerai ni le marque ni le modèle … J'veux pas avoir des ennuis moi !

Pendant les jours qui suivaient je me rendais sur le site tous les jours. Je me posais plein de questions sur ce qu'on pouvait ressentir, si c'était facile à enfiler, si ça faisait mal, si on pouvait bouger normalement, si ça se voyait … J'étais rassuré, le témoignage d'un mec qui portait un truc comme ça me le confirmait … C'était cool … Je m'inquiétais, le témoignage d'un mec qui portait ce truc racontait exactement le contraire … C'était pas cool ! 

La livraison traînait, c'est toujours trop long quand on attend. Je surveillais ma boîte aux lettres tous les jours mais rien ne venait …

Francis ( un régulier ) me trouvais de plus en plus câlin. Je ne lui racontais rien mais il devinait, il ressentait que quelque chose était en train de changer en moi …

J'étais beaucoup plus attentif, plus attentionné. On se voyait toujours régulièrement, il passait me voir ou je passais le voir et on passait de bons moments ensemble. 

Francis est actif, très actif même. Moi je actif aussi ! Enfin bon, je suis surtout passif ! Et Francis est bien monté. On n'est pas en couple, on est potes de baise et on est amis aussi … Amis de baise … Enfin on baise, on s’envoie en l'air, il m'encule, des fois je l'encule aussi mais moins souvent ! Lui il s'en passe très bien ! 

Eh oui ! Je suis aussi un branleur … Hé, hé, hé ! 

Enfin avec Francis on ne fait pas que baiser … On sort, on voit du monde, on va boire un verre, cinéma, ballades … Non, non, il ne faut pas s'imaginer que … En fait on fait plein de choses ensemble. L'autre jour par exemple il est passé me voir sans prévenir, je lui ai proposé une bière et … Bon d'accord là c'est un mauvais exemple, on n'est pas sorti, on n'a pas vraiment parlé, on n'a pas regardé un film … On a baisé … Enfin il s'est fait plaisir, et moi aussi d'ailleurs !

Il avait une grosse envie subite en passant dans le quartier ou j'habite, il a dit. Il s'est arrêter, c'était à midi et il avait travaillé le matin, l'après midi il travaillait aussi. Moi j'étais chaud, je venais de faire quelques recherches sur l'Internet. Toujours le dispositif de chasteté, je n'avais pas encore reçu le mien. J'avais une grosse envie aussi. 

Entre nous on ne fait pas de manière, il est rentré et dès que j'ai refermé la porte il m'a embrassé avec passion, je l'ai pris dans mes bras et je lui ai rendu son baiser. Vous n'imaginez tout de même pas que j'allais le repousser ! 

Francis : J'avais une petite heure de liberté, tu me suces la queue tu serais mignon !

Il me disait ça en ouvrant puis en baissant son pantalon sans faire plus de manières … Et hop c'était parti !

J'aime bien sa queue, elle est belle, bien droite, de bonne taille, il a un gland superbe, bien large. Il ne doit pas être plus large que moi mais il fait bien quatre ou cinq centimètres de plus en longueur. C'est sans hésiter que je me mettais à genoux, je lui ouvrais la braguette et prenais sa bite dans ma bouche, il était un peu surpris par une réaction aussi rapide, c'est vrai que là je démarrais au quart de tour, et il ne bandait pas totalement quand je commençais à le sucer, je vous rassure ça ne durait pas !

Francis : Mais on se calme !

Il se retirait doucement, il avait l'air amusé.

Francis : Je serai mieux assis sur le fauteuil … Tu as quelque chose à boire ?

Il baissait son pantalon sur ses chevilles et s'installait confortablement sur le fauteuil une bière à la main, il écartait bien les cuisses. Je le regardais faire, il avait le sourire, il relevait la tête vers moi, nos regards se croisaient …

Francis : Vas y ! Je te laisse faire …

Je tombais à nouveau à genoux devant lui, il bandait ferme à ce moment, il ne se tripotait pas, ne prenait pas la peine de se stimuler, il s'en remettait entièrement à moi. Je lui caressais rapidement la bite avec douceur puis lui donnais un baiser sur le gland, je passais ma langue en insistant sur l'ouverture de l’urètre. J'ouvrais bien large le bouche et prenais son gland dans ma bouche tout en lui caressant la queue, je passais ma langue autour de cette partie très sensible et il réagissait rapidement par des gémissements destinés à m'encourager.

Je penchais la tête un peu plus et sa queue rentrait plus profond, il me caressait la tête. Sa main posée sur ma nuque il me massait doucement le cuir chevelu, son autre main me caressait la joue. Je m’appliquais à lui faire plaisir. Je bandais moi aussi mais je ne voulais pas me branler, je n'ouvrais même pas mon pantalon et je ne me tripotais pas … Mais je bandais ferme !

Brusquement, sans prévenir, avec ses deux mains il appuyait sur ma tête et j'avalais de force sa queue sut toute sa longueur jusqu'au fond de ma gorge. Par surprise je résistais, puis je me ressaisissais et le laissais faire. 

Je relevais la tête, il gardait ses deux mains sur l'arrière de ma tête, il me laissait respirer puis sans prévenir, au moment ou il le décidait il relevait son bassin et appuyait fort sur ma tête. Je sentais son gland me rentrer dans la gorge. C'était violent, un instant je ne pouvais plus respirer, il me maintenait un instant comme ça, me relâchait, se laissait retomber et recommençait. C'était irrégulier, c'était comme il le sentait, c'était lui qui pilotait. Moi je suivais, moi j'encaissais !

Il me laissait un petit moment reprendre mon souffle et sans prévenir recommençait. Sans pitié. Je sais qu'il m'aime beaucoup ce petit gars mais je peux vous garantir qu'à ce moment ce n'est pas à moi qu'il pensait … Il ne pensait qu'à son plaisir ! S'il voyait que je manquais de souffle, il me laissait respirer un instant, je relevais les yeux vers lui, il me regardait et me souriait.

Vous savez, il faut faire du sport si on veut être un bon suceur, surtout si votre partenaire est monté comme mon petit Francis … Bein oui, il faut avoir du souffle … Enfin je dis ça mais justement j'en fais ! Hé, hé, hé.

Je sentais ses muscles se détendre, il me caressait la tête avec douceur maintenant. Je m'activais, j'avalais sa queue, je relevais la tête de plus en plus vite. Quand je relevais la tête je le masturbais doucement avec la main, je lui caressais le gland, c'est là que c'est le plus sensible et il réagissait puis à nouveau j'avalais sa queue. Sa respiration devenait plus forte, plus rapide et je sentais arriver une conclusion proche.  Brusquement je le sentais se contracter, il me surprenait en me saisissant ma tête fermement avec les deux mains. Il relevait son bassin avec force, vigueur. Il me donnait des coups de reins contre ma figure et en même temps appuyait sur ma tête de toutes ses forces, je ne pouvais que subir, qu'encaisser ! J'aime bien mais là il y allait un peu fort ! J'encaissais !

Il éjaculait dans ma bouche et je sentais son sperme couler dans ma gorge, sur ma langue … Tous ses muscles se détendaient alors en même temps et il se laissait tomber sur le fauteuil, inerte. Je gardais encore un moment sa queue dans ma bouche et je la sentais se ramollir. Elle ressortait doucement et je continuais la succion, quand elle ressortait de ma bouche elle était toute propre, pas une goutte de sperme, elle était humide et je l'essuyais avec mon mouchoir. Il me regardait faire avec un petit sourire. Il débandait rapidement, se relevait et refermait son pantalon, enfin il  terminait sa bière ! 

Francis : Tu suce de mieux mon petit Dean !
Moi : Merci c'est gentil.
Francis : Je ne te rends pas la politesse, il faut que je reprenne le boulot dans pas longtemps.
Moi : Mais c'est pas grave, ça m'a fait plaisir.
Francis : Pas qu'à toi !

Il me quittait rapidement après m'avoir donné un tendre et chaste baiser dans le cou. Il avait le sourire, moi aussi j'avais le sourire … Je pensais alors à regarder dans ma boîte aux lettres.

Oué ! Il y avait un colis. Un petit colis dans un emballage discret, comme prévu !

Rapidement je rentrais avec ce petit paquet. Frénétiquement je l'ouvrais. C'était bien ça. Je bandais comme un malade. J'examinais l'objet, ça me semblait petit et je me demandais comment ma bite pourrait tenir la dedans. Je l'examinait sous tous les angles et ce petit truc me semblait énorme, dans le pantalon il devrait être visible. On le remarquerait de loin. On ne verrait que ça !

Bon vous allez vous dire que je ne suis jamais content ! C'est pas vrai ! Bon c'est pas toujours faux ! Mais là il y avait de quoi ! Je baissais mon pantalon et ma bite était bien plus grosse que le truc, C'est vrai que je n'avais pas un pantalon particulièrement serré et on ne voyais pas forcément que je bandais ( si, si, je faisais un essais devant le miroir de l'entrée ) … Finalement c'était peut être pas si gros que ça, en tous cas pas trop gros. Non c'était trop petit !

Je voulais l'essayer tout de suite, oui mais … Je bandais toujours comme un malade … Bon il ne me restais plus qu'une chose à faire, et comme je vous disais, je suis un pro ! 

Donc je me branlais !



EP 2 : L'ESSAYAGE



Ça ne suffisait pas. Je me branlais rapidement, le but était de débander ce n'était pas le plaisir. Ceci dit, c'est malgré tout pas désagréable … Si vous n'avez qu'à essayer vous verrez … J'étais excité moi après la visite de Francis et même après avoir éjaculé je ne débandais pas tout de suite … Je me calmais, enfin j'essayais, je respirais bien  à fond … Zen ! 

Au bout d'un moment je parvenais à passer sans difficulté le cock-ring. Là c'était pas difficile, j'en porte souvent un et donc je connais bien  ma taille. Le plus compliqué c'était d'enfiler la cage … Rapidement je recommençais à bander et je me pressais avant que ça ne devienne impossible. Finalement c'était fait. Ouah ! Pas cool ! Là c'était pas cool ! Je sentais ma bite complètement écrasée dans le dispositif, c'était presque douloureux. 

A l'entrée de la cage ma peau était comme pincée, rapidement ça devenait douloureux. Bon il faut s'habituer ! Le dispositif était très discret finalement, pas confortable du tout mais discret. 

Il faut s'y habituer, aussi je décidais de la garder pour le reste de la journée. Je partais au boulot comme ça ! Je le sentais biens le truc, je le sentais tout le temps. Quand on habitué, ça doit être super mais là moi j'étais pas habitué et si par moment ça se passait pas trop mal, la plus grande partie du temps c'était douloureux, de plus en plus douloureux … Avant la fin de l'après midi c'était devenu insupportable ! Je décidais de le retirer ! L'objet terminait la journée dans ma poche.

Pas cool ! J'étais un peu déçu ! Je m'étais fait une joie de faire une expérience excitante et finalement là j'étais dégoûté. Quand je rentrais chez moi, j'avais encore mal, un tout petit peu mais encore un peu ! Ça m'avait calmé cette histoire !

Le soir arrivé à la maison je prenais une douche, il y avait quelques traces, rien de bien grave, mais c'était sensible et quand je sortais de la douche je ne bandais pas … J'espérais que ça allait me faire fantasmer, me frustrer et ça m'avait seulement calmé les pulsions. Certainement pas pour longtemps, mais là j'étais calmé !

Ce soir là je ne faisais pas recherches sur l'Internet. J'étais dégoûté, je mangeais tôt, je ne regardais même pas la télé et je me couchais tôt également. La nuit se passait bien le lendemain matin je n'avais plus la moindre douleur, tout allait bien, je bandais au réveil, comme d'habitude … Avant de me lever je me branlais, comme d'habitude ! 

Pour ce qui est du port du dispositif je décidais de faire une pause, oui je sais j'avais commencé la veille et déjà je faisais une pause … C'est pathétique …

Ouai bein vous pouvez vous marrer mais c'est pas si facile que ça en à l'air. A en croire certains, allez hop on enfile le truc et on rigole, on s'amuse, on en tire un plaisir comme on a jamais connu … Dans la réalité, on enfile le truc et on le retire trois heures plus tard parce que c'est devenu douloureusement insupportable ! Non c'est pas drôle ! Là je ne fantasmais plus mais plus du tout !

Le week-end arrivait et Francis passait me voir pour me proposer une sortie. 

Francis : On se fait un chinois pour commencer ? Tu en penses quoi ?
Moi : Un chinois ! Tu sais que j'ai jamais été particulièrement attiré par les asiatiques moi ! 
Francis : Tu me fatigues ! Je parlais d'un restaurant, pas du voisin !
Moi : Oui mais il faut avouer que dit comme ça c'est trompeur, tu dis ça à n'importe qui et qu'est-ce que tu crois qu'il va comprendre ?
Francis : Il va comprendre que je parle d'un restaurant ! Il n'y a que toi qui a l'esprit tordu !

Finalement on se faisait un chinois et plus tard en boite Francis se faisait un coréen … Mais là je ne parle pas d'un restaurant !

Moi je me trouvais un petit jeune … Enfin petit jeune, oui il faisait une tête de moins que moi et paraissait tout jeune, en fait il avait mon âge. Il avait une petite bite mais ce soir là c'est moi qui pilotait.

Il avait l'air d'en vouloir le p'tit gars ! Francis et moi étions tranquillement installé au bar, on picolait en cœur et on rigolait bien de voir les danseurs sur la piste, deux mecs nous mataient du coin de l’œil, un petit ( c'est celui que je me suis fait ) et un plus grand de type asiatique. Ils étaient mignons tous les deux mais c'est sur le petit que mon regard s'attardait. Il me rendait tous mes regards. 

D'un geste de la main Francis les invitait à nous rejoindre, on continuait la discussion à quatre. Lentement le plus petit s'approchait de moi, j'en faisais de même, je m'approchais de lui, je lui touchais la main, il me caressait le bras. Il se collait à moi, je lui passais le bras autour du cou. Doucement nos visages se rapprochaient, nos lèvres se touchaient et quand nous échangions notre premier baiser nos deux amis étaient déjà enlacés. Il était mignon, son visage était doux, sa petite taille m'amusait, une tête de moins ! Ça faisait longtemps que je ne m'étais pas fait un mec dans ce genre, son corps était mince mais ferme. Et en plus il n'était ni timide ni farouche.

Dans toutes les boites de nuit convenable il y a une salle sombre, une black room ou une back room ( en fait j'ai jamais réussi à savoir lequel des deux  c'est ). C'est une recoin discret et douillet ou on peut faire plus ample connaissance. Bon d'accord j'enjolive un peu le décor ! 

Il me prenait par la main et m'y entraînait, à peine arrivé on se prenait dans les bras, on s'embrassait et rapidement nos mains se promenaient sur le corps de l'autre, les chemises s'ouvraient, les pantalons aussi. Il avait une petite bite et ça me faisait tour drôle quand je le suçais. Je suis habitué à plus encombrant dans la bouche. C'était une petite bite mais elle marchait bien, il bandait ferme et je la prenait complètement dans la bouche sans aucun effort, il appréciait.

Ensuite c'était son tour, ou le mien, ça dépend comment on voit la chose. Il avait plus de mal que moi mais il s'en sortait bien, il avait de l'entraînement. A la manière dont il s'y prenait je devinais qu'il était passif et que j'allais bientôt lui défoncer le cul. En attendant j'appuyais sur sa tête et donnais des coups de bassin. Je me laissais aller, je pensais à mon plaisir, il poussait des sons gutturaux des plus rigollots. Je lui tenais la tête, ça m'amusait. 

On inversait les rôles de nouveau. Il me tenait la tête et se lâchait comme je l'avais fait. Malgré tout c'était plus facile pour moi que pour lui. On faisait durer le plaisir. Il me lâchait la tête, se penchait vers moi et doucement, à l'oreille …

Lui : Encule moi !

Je me relevais, j'étais en forme et ce soir je ne penserais pas à ces dispositifs de chasteté … Il se retournait contre le mur, écartait les jambes et me disait simplement … '' Vas y doucement, elle est balaise '' …

Je n'en tenais pas compte … Je lui lubrifiait le cul, je me lubrifiait bien la queue puis je le prenais dans mes bras, l'embrassais dans le cou, sous l'oreille et appuyais ma bite contre son anus. Ça résistait, je poussais, il respirait plus fort et gémissait. Un petit cri de douleur et un mouvement pour me retenir. Je le serrais alors plus fort dans mes bras et augmentais la pression contre son cul qui résistait toujours. Il gémissait, je l'embrassais pour le faire taire. Il avait du mal à se la prendre dans le cul, je poussais encore plus fort et je sentais la résistance disparaître, il se dilatait bien et je m'enfonçais. 

Là il poussait un long gémissement et un véritable râle qui n'exprimait pas que du plaisir. Il voulait me retenir avec sa main, je l'attrapais et lui maintenais fermement les deux mains devant lui, en le serrant de toutes mes forces contre moi. 

Lui : Tu me fais mal !
Moi : Détend toi, tu vas voir !
Lui : Tu me fais vraiment mal !
Moi : Ne résiste pas tu vas aimer !

Ça c'est mon côté mauvais garçon ! Moi j'aime bien quand ça résiste et qu'il faut forcer un peu. Comme me dit toujours Didier, une vieille copine à moi : '' On n'est pas des gonzesses on est des mecs quoi ! Quand on se fait enculer on aime bien le sentir ! ''. Je suis sûr qu'il devait aimer le p'tit, il râlait mais il aimait. Enfin moi j'aimais et je pensais surtout à mon plaisir à ce moment. La chasteté, ça a du bon, ça motive … Et j'étais motivé !

Dans un mouvement lent, il faut tout de même y aller doucement on n'est pas des sauvages, j'enfonçais ma queue en entier et appuyais mon ventre contre ses fesses. Il gémissait et je le sentais trembler dans mes bras. Sa respiration était forte, une main me caressait les fesses puis se glissait entre mon petit camarade et moi. Elle descendait doucement jusqu'à la base de ma bite, entre mon ventre et les fesses du p'tit. J'entendais un voie bien masculine murmurer : '' C'est bon ça, j'adore ... ''. Le mec approchait son visage du mien et on s'embrassait, je continuais à pousser ma queue dans le cul de mon petit partenaire.

Il gémissait, par moments j'avais l'impression qu'il pleurait ou un truc dans le genre. Bon un mec ça pleure pas juste parce qu'il se fait enculer, il me faisait du cinéma le gars. En fait il adorait ça. Un second mec s'était placé juste derrière moi et je sentais sa queue qui se glissait entre mes cuisses. Je retournais la tête et l'embrassais sur la bouche. Il me saisissait par le bassin et me tirais vers lui, je suivais le mouvement, ma queue ressortait du cul du petit bonhomme que je tenais fermement, il gémissait plus fort. Puis le mec derrière moi me repoussait vivement en avant, ma queue rentrait de nouveau dans le cul du premier qui poussait un hurlement de douleur. Douleur, plaisir ? Je suppose que oui !

Il me tirait en arrière et je répondais dans l'instant, il me poussait en avant je me laissais guider et progressivement j'accélérais le mouvement. Le mec devant voulait se dégager mais il ne râlait plus. Il gémissait de plaisir c'est sûr. Mes mouvements devenaient amples et rapides, il gigotait semblait vouloir se dégager mais je le retenais. Je sentais la queue du deuxième homme qui nous avait rejoint, elle glissait entre mes cuisses, il semblait bien monter. Je refermais mes cuisses et il réagissait en me donnant un baiser dans le dos, juste à la base de mon cou, ça me faisait frissonner. Je m'enfonçais complètement dans le cul du premier garçon, sans prévenir le second m'enfonçait sa queue dans le cul ! C'était du lourd, je gueulais, il mettait sa main sur ma bouche pour me faire taire. Il y allait un peu fort le gars ! J'ai rien contre mais il aurait pu prévenir !

Il s'enfonçait bien à fond, j'en faisait de même avec l'autre et ne bougeais plus ! Rapidement il me limait le cul sans ménagement. Dans un même temps il me tirait vers lui quand il avançait son bassin et me repoussait quand il se reculait, je finissait par me laisser aller et suivait le mouvement, je me faisais limer le cul et je limais le cul du petit gars devant moi. 

Au début les mouvements étaient amples et réguliers, par moment ils s'accéléraient et perdaient en amplitude, plus rapides, plus courts. Quand il me donnait un violent coup de rein je réagissais par le même mouvement et je poussait un cri de plaisir le gars devant moi en prenait autant et il gémissait également.

Les mouvements devenait très rapides, mais vraiment très rapides, ils étaient alors très courts. Ils ralentissaient, plus amples puis moins réguliers, de moins en moins réguliers et pour finir totalement irréguliers. Violents, rapides, doux et amples, lents et courts … Je me contractais, je tremblais, j'éjaculais mon souffle était fort et derrière on me pilonnait le cul sans retenue, il ne mollissait pas le mec derrière moi et je me cramponnais au premier garçon qui était devant moi, je le caressais et je constatais que lui aussi il avait éjaculé, il avait joui.

Le gars derrière ne se retenais plus, ses mouvements devenaient irréguliers, rapidement il jouissait dans mon cul. On restait ainsi immobiles pendant un petit moment puis l'un après l'autre on se retirait, on se rendait présentable … Je sais dans ces boites de nuit on n'est pas très regardant mais c'est pas une raison pour avoir l'air d'un grignou ! 

Je prenais les escaliers et revenais dans la salle du bar. Mes camarades mes suivaient, je remarquais arrivé au bar que personne ne m'avait suivi. De toutes façons je ne risquait pas de reconnaître le mec qui m'avait enculé, je n'avais pas vu son visage. J'aurais pas oublié de vous dire que ces salles discrète et douillettes ne sont pas éclairées, on n'y va pas pour rigoler et se tenir la conversation. Tous les contacts sont tactiles … Cool non ? Y a pas ça dans la boite que vous fréquentez d'habitude ? Je vous rassure, c'est très convenable … C'est une salle interdite aux filles ! De toutes façons il n'y a pas beaucoup de fille dans cette boite de nuit.

Au bar je retrouvais mon copain Francis, il était toujours avec le coréen qu'il avait rencontré, ils discutaient, ils étaient restés sages tous les deux ( ? ) . C'est pas dans ses habitudes ça ! J'espère que Francis n'est pas malade ! Il me le dirait si ça n'allait pas ? On se connaît depuis un bon moment maintenant ! 

Finalement je me rassurais quand ils montaient tous les deux dans la voiture. Francis me confiait les clés, et s'installait à l'arrière avec son nouveau copain … Ouf ! Ça va il n'est pas malade, il a simplement décidé de prendre son temps, de faire preuve d'un peu de romantisme et de baiser son pote dans un lit plus confortablement. Si ça c'est pas du romantisme, moi c'est que j'y connais rien ! Et vous avez pu constaté que je m'y connaît en tendresse amoureuse ! Vous avez remarquer, non ?

Je me retrouvais donc tout seul dans mon lit, je me sentais bien. Finalement ça a du bon ce jeux de la chasteté ! Ça fait moins d'une semaine que j'ai commencé et déjà … Ouaaaah ! C'est cool ! Bon je me branlait un petit coup rapide avant de … Puis je m'endormais et passais une nuit reposante.

Je me levais tôt, il était à peine quatorze heures du matin quand je me réveillais. Un petite branlette rapide pour me sentir en forme … Je vous ais dit que j'étais un branleur ? Enfin maintenant vous savez … Mais pas que … Je suis aussi un enculé ! Au sens propre du terme pas au sens figuré, je suis un garçon adorable et je ne fais pas de mauvais plants à mes copains et copines des deux sexes … 

La chasteté j'adore, et ce programme d’entraînement que je viens de commencé me fait un effet incroyable ! Non, je ne déconne pas, depuis le début de la semaine j'ai déjà passé pas loin de trois heures avec ce truc sur moi !

Enfin deux heures et demie ! 

Mais en tout cas ça marche bien, je ne me sens pas frustré mais bien excité tout de même ! C'est cool ! 

Et puis c'était absolument insupportable ! Je ne recommencerai jamais ! Ça fait mal ce truc ! Ça coince la peau ! Et la pression sur la bite est trop forte ! C'est vraiment douloureux en fait …

C'est trop petit ! 

Le truc il est trop étroit ! Beaucoup trop étroit ! Pourtant ils disaient sur internet que ça devait marcher. Il y avait bien quelques témoignages qui disaient le contraire mais ceux là j'en ai pas tenu compte.

C'est vrai quoi, si on ne peut plus croire tout ce qui se raconte sur l'Internet on va ou ? Déjà qu'à la télé … Mais qu'est ce que je raconte moi, ils ne parlent pas de ça à la télé et les infos au moins elles sont sérieuses, pertinentes et vérifiées …

Bon je délire depuis combien de temps moi ? Ce matin il était quatorze heures quand je me suis réveillé … Ah ouai ! La vache il va bientôt faire nuit . Bon il est temps que je me lève, j'ai loupé la journée de samedi, je ne vais pas louper la nuit de samedi à dimanche … Manquerait plus que ça !

Il faut que je me prenne une douche, bon ce soir je reste sage … J'ai mal au cul !

Sous la douche je me savonnais longuement. Je me branlais longuement aussi … La chasteté je vous dit ça stimule ! Mais c'était juste pour … Enfin … Comme ça … Sans arrière pensée … Bon ça va, laissez tomber je dis n'importe quoi ! 

Je me suis branlé parce que je suis un branleur ! C'est tout !

Je ressortais de la douche tout propre avec une belle quéquette qui pendouillait lourdement devant moi. Je me séchais et passais dans ma chambre. Je m'habille comment moi ? Je met quoi pour la matinée moi ? Matinée … Peut être pas, il est déjà dix huit heurs passées. Ça ne me dit pas ce que je vais mettre pour la soirée … 

Mes yeux tombaient accidentellement sur la petite boîte qui contenait le dispositif de chasteté et … Si je … Non ça fait mal et j'ai dit que je ne le remettrais jamais, ça fait trop mal !

Passer le cock-ring c'est facile, une couille d'abord puis la seconde. Pour la queue si on ne bande pas ça ne pose pas de problème. En quelques secondes c'était fait. Je prenais la cage dans la main, l'examinais dans tous les sens, longuement bien en détail. J'hésitais un moment puis je me souvenais des conseils que j'avais lu sur l'Internet et je décidais de les suivre ( moi non plus je ne lis jamais les modes d'emploi ) peut être que là ça va marcher !

Un peu de gel et rapidement avant que je ne bande je glissais ma queue dans le truc … Ça ne passait pas si mal ! C'était tout de même étroit, très étroit même ! Mais finalement c'était supportable ! Je refermais le dispositif, ça passait mieux que la dernière fois. J'avais raison, il faut s'habituer. J'étais pris d'une violente envie de me branler, ouai je sais vous devez vous dire que je suis un branleur et bien … C'est vrai !

Mais j'étais héroïque … Je gardais le truc sur moi, je savais que ce serait dure de ne pas pouvoir me faire plaisir mais je savais aussi que je réussirais à tenir. J'ai beaucoup de volonté.

Ce qui est le plus dur dans la chasteté, c'est la privation. L'impossibilité de se branler. Je tiendrai le coup même si je n'ai pas eu de plaisir depuis … Ah oui , c'est vrai je ne m'étais branlé que deux fois depuis la nuit passée. Mais je vous le dis comme je le pense … Le plus dur ce sont les longues périodes et déjà … C'était pas facile !

Par mesure de sécurité je prenais un pantalon un peu large. Les pantalons bien moulants, ça me va comme un gant. C'est sexy et je suis beau comme un cœur dedans. Les pantalons plus larges, ça me va comme un un gant aussi et je suis très mignon aussi dedans. Les costumes, je ne vous dis pas, je suis super craquant dans un beau costume bien ajusté … C'est simple tout me va ! Mais bon, je m'éloigne un peu du sujet …

Je sortais donc et je portais le dispositif de chasteté. Rapidement ça devenait dur à supporter. Ma queue était vraiment à l'étroit dans ce truc ! Il est trop petit c'est sûr !

Finalement je parvenais à le supporter toute la soirée, mais quand je rentrais la première chose que je faisais était de le retirer. 

Ça fait mal et je ne le remettrai jamais ! C'est hors de question !

Je laisse tomber, c'est une expérience idiote, il n'y aura donc pas de troisième épisode à cette histoire de fous !

Chuis dégoûté moi !
FIN!

Je sais ça fait court et ça se termine en queue de poisson ! Au départ j'avais prévu de terminer la queue encage pas en queue de poisson mais il faut reconnaître qu'arrivé là c'était mal parti ! 

Le dispositif n'était pas supportable, trop petit. Ça faisait vraiment mal. Au niveau longueur peut être un peu plus long mais à peine ça devrait aller. Mais au niveau de la largeur, là on pouvait prendre le problème dans tous les sens, c'était trop petit. Comme tout le monde le sais, chaque solution à son problème aussi, ne partez pas trop loin, je vous raconte comment j'ai trouvé la solution à mon problème la prochaine fois.



EP 3 : LA SOLUTION



Je passais les deux semaines qui suivaient à me tripoter et à sucer les deux ou trois queue qui passaient à ma portée. En d'autres termes, je m'occupais tout en restant sage … Le dispositif de chasteté était entré dans ma tête et n'en sortait pas ! 

Je m'endormais souvent en imaginant ma queue dans une cage de chasteté. Je m'imaginais en manque de sexe. Je me demandais ce qu'on pouvait éprouver au bout de six mois sans pouvoir bander, sans pouvoir se tripoter, sans pouvoir … Six mois ! Mais c'est que je fantasme grave moi !

Mais il ne faut pas oublier que j'avais la bite à l'air, j'en profitais pour me branler … MMS, vous connaissez ? Ça veut dire Matin Midi et Soir … Non ? Enfin c'était à peu près mon rythme ! Mais pas que … 

Je continuais à faire des recherches sur l'Internet en me disant … '' C'est forcément sérieux et vrai je l'ai vu sur internet … '' … Oui je sais ! Mais ne me fatiguez pas avec vos histoire du genre … '' On y trouve aussi plein de conneries... '', ou encore … '' Faut pas croire tout ce qu'on y lit … ''. Je suis pas si bête que j'en ai l'air moi … Je m'appelle pas Benoît ! Je suis pas une grosse nouille moi ! ( S'il y en a qui ne suivent pas l’allusion, je me réfère à une histoire que j'ai diffusée récemment )

Je réfléchissais, je faisais des croquis, j'examinais les photos que je trouvais ( toutes les photos que je trouvais ). Il y a plusieurs types de dispositifs. Certains sont maintenus par des ceintures ce qui ne les empêche pas d'avoir un système qui passe sous le sexe, sous les testicules comme un cock-ring. Il y a aussi des dispositifs très aérés, d'autres moins, certains ressemblent vraiment à un tube et d'autres encore ressemble à des cages. 

Rapidement j'éliminais les dispositif trop lourd. Ceux qui avait une ceinture en métal et des attaches métalliques qui passaient sous les cuisses ou dans la raie du cul … Je supposais que là ça ne pouvait que gêner pour s'asseoir !

Restaient les dispositifs légers maintenus avec cock-ring, j'écartais également les ceintures légères. En tissus, genre sangle, elles seraient vite salles, seraient longues à sécher après la douche. Instinctivement c'est un modèle qui pourrait être porté en permanence qui m'intéressait. 

Je ne retenais finalement que les modèles qu'on  pourra appeler cage ou tube de chasteté. Maintenus par un cock-ring … Il restait encore pleins de modèles dans le commerce. Prenant les mesures du dispositif que j'avais acheté je me mettais alors à la recherche de ceux qui offraient une taille plus grande en largeur. J'estimais qu'il ne fallait pas que je descende en dessous de quarante millimètres de diamètre … Et bien je ne vous dit pas … Je n'en trouvais aucun !

Je n'avais pas vraiment envie de faire des dépenses trop importante si ça ne marchait pas. Le premier modèle que j'avais acheté n'était pas donné et malgré les bons commentaires il était inutilisable. 

Je cogitais à m'en faire sortir de la fumée par les oreilles ... Je vous rassure c'est une façon de parler, il n'y a pas vraiment de fumée qui sort des oreilles. Il ne restait plus qu'une solution … Le faire moi même … Heureusement je suis bricoleur. Le week-end arrivait, j'aurais du temps libre aussi je décidais pour ce vendredi soir …

De faire une virée en boite avec des copines !

Je vous le dis depuis le début, ce truc ça stimule à mort. Je vous jure depuis que je jouais à ces jeux de chasteté ça me mettais dans un état. Je bandais plus fort quand j'avais ma queue libre … J'ai quand même porté ce truc deux fois il y a plus d'un mois … C'est pas rien ! J'en ai bavé ! Et ça a porté ses fruits, vous vous imaginez je me branlais deux fois par jours ( bein oui je suis un branleur … Et j'en suis fier ! ) parfois trois, vous vous rendez compte que quand je trouvais une bite à mon goût, si son propriétaire était d'accord je le laissais m'enculer sans faire de manières !

Alors que maintenant.

Je ne me branle pas plus de trois fois par jour, et si je trouve une belle bite qui veut m'enculer je ne résiste pas ! 

Je vois ! …  Il semblerait que certains parmi vous ne trouvent pas qu'il y ait un réel progrès ! Bien ! Je vous laisse à vos préjugés !

Et je ne regrette pas cette soirée en boite avec mes copines ! C'est tout frétillant du cul que j'arrivai. J'avais du mal à me tenir au moment ou je suis arrivé. Passage obligé au bar … Un tour de piste, histoire de voir un peu ce qu'il y avait de disponible ce jour là … Ça se présentait bien ! Je repérais quelque culs bien moulés, quelques belles bosses dans des pantalons qui tombaient bien, quelques visages bien mâles et je laissais mon regard s'attarder sur les torses que des chemises ouvertes laissaient apparaître. J'avais la trique …

Je me faufilais ensuite dans la petite salle sombre, douillette et discrète … Oui je sais j'en rajoute encore mais bon … Quand on aime … 

J'étais à peine arrivé que déjà je sentais des corps qui se frottaient contre le mien. Chaleur, chaleur. Je sentais des mains qui se promenaient sur moi, une se glissait sous ma chemise, une autre me pelotait les fesses, une autre encore se glissait entre mes cuisses et me massait les couilles et la bite au travers de mon pantalon. Je bandais déjà et ça semblait lui plaire. Bon je triche un peu quand je sors comme ça je ne mets pas de sous vêtements. C'est ça de moins à retirer !

Je rendais chacune de ces caresses, mes mains trouvaient des torses à la peau douce, mes lèvres embrassaient d'autres lèvres, je massais une belle bosse entre les cuisses d'un mec, il ouvrait sa braguette passait une main derrière ma nuque et me tirait vers lui en appuyant bien sur mon épaule. Je comprenais le message et me retrouvais accroupi à lui sucer la queue. Une belle queue de taille normale. Bien proportionnée, je la prenais dans ma bouche en entier sans difficultés, il appréciait et appuyait sur ma tête. Je sentais qu'un autre mec s'était rapproché et devait être en train d'embrasser celui que je suçais. Je lui ouvrais la braguette à lui aussi. Il faisait comme moi, il ne portait pas de sous vêtements et sa queue se redressait avec vigueur aussitôt, je la suçais sans attendre qu'il ne me le demande. 

Il y avait toujours au moins une main qui m'appuyait sur la tête, je ne résistais pas. Bien au contraire. J'avançais la tête et j'avalais la queue, je la retirais, je recommençais, je changeais de bite … je lui faisais la même chose puis revenais à la première bite … Leurs propriétaires respectifs me caressaient la tête et ne cachaient pas leur plaisir par des gémissements de plus en  plus évident. 

J'étais à genoux. Je sentais une main se glisser dans mon pantalon et un doigt se glisser entre mes fesses. Je faisais semblant de ne rien remarquer et continuais à sucer en continuant à passer d'une queue à une autre. Un groupe se formait autour de moi. D'autres mains me caressaient, me tripotaient un peu partout. Ma chemise était totalement ouverte et j'étais aux anges, je ne savais même pas combien ils étaient, mais il y avait du monde.

Je sentais une main qui passait entre mes jambes avec force, le gars me malaxais les couilles et la queue sans ménagement. Au travers de mon pantalon il agrippait ce qu'il pouvait attraper et me soulevait sans douceur. Je voulais râler mais deux autres mains me retenaient … Et j'avais la bouche pleine !

Il ouvrait ma braguette et me branlait, toujours sans douceur. Je l'arrêtais avec les mains, il en profitait pour me glisser deux doigts dans le cul sans ménagement et sans prévenir. Je parvenais à retirer la tête mais j'étais aussitôt rattraper, on me tirait la tête pour me forcer à avaler une autre bite … C'était même pas une des deux premières. Oui ça va ! Je sais compter jusqu'à trois. Et je peux vous garantir que je me les suis pas toutes pris dans la bouche. Car une chose est sûre, il y avait plus de trois mecs sur moi ce soir là.

Le gars retirait ses doigt de mon cul, je soufflais … Sans prévenir il m'enfonçais alors d'un coup violent sa queue bien à fond en terminant par un coup de bassin bien placé. Avec la surprise et bien que j'avais la bouche pleine je poussais un cri à peine étouffé. Il se retirait et recommençait avant de prendre le rythme. Et là il n'arrêtait pas. C'était rapide et violent, il n'arrêtait pas le gars et là franchement il exagérait … Vous ne trouvez pas ? … On demande avant d'entrer … C'est une question de bonne manières … Bon là je dis n'importe quoi, je sais, mais en fait j'ai adoré ! 

Il s'accrochait à moi, me retenait avec les deux mains et se balançait vivement, avec fougue, il y allait directement de toutes ses forces et à la vitesse maximum. Pressé de jouir, pressé d'en finir ? J'avais l'impression que la seule chose qu'il recherchais c'était de cracher sa purée … Alors que moi qui suis si romantique je recherchais autre chose … Sinon je ne serais pas monté dans cette salle … C'est une impression ou je raconte que des conneries là moi ?

J'imaginais ce que ça pourrait être si je portais une cage de chasteté. Ils réagiraient comment les gars autour de moi ? Ils seraient plus excités que le mec qui se lâchait derrière moi depuis un moment sur mon cul. Il râlait de plaisir lui, moi j'avais toujours la bouche pleine et je ne pouvais pas dire ce que j'en pensais, sinon j'aurais certainement gueulé … '' Encore, vas y, c'est bon … Fait moi mal Johnny, Johnny, Johnny … ''. Ouai c'était bon ! Il poussait un cri de plaisir en même temps qu'un violent coup de rein, appuyait de toutes forces contre mon cul, se contractait, il jouissait … 

Il ne bougeait plus pendant quelques instants puis se retirait. Un des trois mecs qui était devant moi et que je suçais passait derrière moi, j'entendais le précédant remonter son pantalon et s'éloigner. Celui qui le remplaçait saisissait fermement mon sexe à la base, serrait bien fort et me tirait vers lui, je ne pouvais pas retirer ma tête. J'étais bloqué. Il m'enfonçait à son tour sa queue dans le cul … Décidément ils n'ont aucune éducations les mecs quand ils sont en rut … Ils ne prennent jamais la peine de frapper avant ? Faites pas gaffe c'est le manque d'oxygène, depuis un moment j'ai du mal à respirer, j'ai toujours quelque chose de gros et dur dans la bouche. La encore j'avais envie de gueuler '' Oui … Encore … ''. Je commençais à fatiguer là mais j'avais pas envie de laisser tomber. Et puis j'étais dans de bonnes mains! Je n'avais qu'à ne pas serrer les dents, surtout pas, jusque là ils semblaient me trouver sympa mais si je serrais les dents … Ne pas serrer les fesses, je sais pas, peut être que là ils apprécieraient mais moi, je sais pas si … J'en prenais plein le cul en tous cas !

Il finissait pas juter aussi bruyamment que celui qui l'avait précédé. Je frissonnais, je ne tenais plus debout, mes jambes tremblaient mais on me retenait … Cette soirée était … Je ne sais pas comment dire … Une soirée de dingue … C'est ça la chasteté, ça vous met la cervelle en huit ! 

Ça y est il y en a un qui ricane bêtement au fond … Je vous rappelle que j'ai déjà porté ce genre de truc, bein oui il ne fallait pas louper le passage dans les épisodes précédents. Au moins deux fois ( et au plus deux fois aussi d'ailleurs ) pendant cinq ou six heures … Au total, pas à chaque fois ! C'était il y a plus d'un mois … C'est totalement insupportable ce truc, ça fait mal, mais dans la tête … Alors si vous voulez que je continue à raconter arrêtez de ricanez bêtement comme ça !

Ouai donc j'avais la cervelle en huit ! Dit comme ça, ça fait penser à une roue de vélo après avoir fait un tonneau avec, remarquez il y a un peu de ça… J'ai essayé quand j'étais petit !

Après ça je ne tenais plus debout. Je remontais mon pantalon et restait assis sans bouger pendant un long moment. Je ne m'étais pas branlé ce qui ne veut pas dire que je n'avais pas pris de plaisir. Ça s'était bien passé. Le quatrième m'avait fait gueuler, le cinquième m'avait éjaculé à la figure. Ensuite tout le monde s'était calmé. Moi surtout !

Je dormais bien cette nuit encore, c'est vrai que je dors bien moi, le sommeil du juste … Je ne me branlait pas ce soir là. Quand je dis que la chasteté ça vous change un homme ! J'étais en train de changer petit à petit, imperceptiblement. 

Bon le lendemain je me branlais un petit peu, une deuxième fois sous la douche, un troisième fois devant la télé. Je ne regardais même pas de porno mais brusquement en regardant la météo … C'était une fille qui présentait la météo, ça ne devait pas venir de ça. Enfin ça m'a pris brusquement, le manque, la frustration … Et hop ! Une p'tite branlette … Ça mange pas de pain, ça fait du bien … 

Je m'étais levé tôt je ne vous dis pas. Et puis si, finalement, je vous le dis même si vous ne voulez pas me croire … Je m'étais levé avant midi !

Étonnant non ?

J'allais retrouver mes copines à la terrasse de notre bar habituel. Je me retrouvais tout seul. Ils n'était pas là, ils savent bien qu'avant dix sept du matin je ne suis pas disponible. Je me retrouvais donc tout seul. Un peu perdu, frustré, en manque … Oui je sais j'en rajoute un peu !

Je passais me promener vers les quais du fleuve, je lançais de la mie de pain aux canards. Je me retournais plusieurs fois sur le cul de quelques mecs bien foutus, je me retournais même sur le cul d'une fille mais là c'était pour mieux regarder son sac à main, je pense que ce serait un beau cadeau d'anniversaire pour ma copine Raphaël … Il va bientôt avoir vingt cinq ans ( en fait il en a trente deux mais je vous interdis de le répéter ) … C'est ça d'avoir une vie dissolue, on se retrouve tout seul. Franchement mais qui peut avoir envie de se lever avant quatorze heures du matin un jour de week-end ? C'est décidé, ça non plus je ne le referai jamais !

Le soir tout rentrait dans l'ordre. Avec mes copines on faisait la fête ! Je vais peut être vous surprendre mais ce soir là je restais chaste. Ça faisait depuis … Oui bon la veille … que je restait chaste, si on ne tient pas compte des cinq branlettes de la journée. Bein oui la journée n'allait pas s'arrêter à la météo ! Enfin quoi ...

Dès le lundi matin je recommençais à fantasmer. Aussitôt après le boulot je continuais à étudier les plans. Il fallait faire un anneau à l'entrée de la cage. Le dispositif sera entre le tube et la cage … Ce sera un '' Tuge '' … Non faites pas gaffe, c'est parce que je réfléchis trop, il faut que je décompresse aussi je dis des conneries moi dans ces cas là. Un tube très aéré tout simplement. Donc un tube, il devra être légèrement courbé vers le bas … 

Pour ce qui du cock-ring c'était facile à fabriqué, on coupe une baguette de PVC dans un tube, on la chauffe doucement ( il ne faut pas que ça crame ), on l'enroule autour d'un autre tube au bon diamètre, on colle une seconde baguette par dessus, puis au moins une ou deux autres. On a alors un anneau, il suffit de le limer à la rappe à bois dans un  premier temps puis on ponce, on ponce longuement et quand on est proche du résultat voulu on termine avec un papier de verre de plus en plus fin. Et voilà. Je ne pouvais pas me retenir de l'essayer et j'en profitais pour me branler.

C'était la le système que j'avais retenu. Il me fallait faire de nombreux essais mais je parvenais enfin à quelques chose de réaliste, fonctionnel, à la bonne taille, parfaitement utilisable. Fier de moi je regardais le dispositif final. Il semblait énorme, mais en fait il était à peine plus gros que le modèle que j'avais acheté, cinq millimètre par ci, un centimètre par là, sur la longueur en particulier … J'avais constaté que le dispositif du commerce était invisible sous le pantalon. Le cock-ring était de même taille. Ça devait marcher !

Le corps du dispositif était fait avec un morceau de tube de PVC déformé ou plus exactement formé. Soigneusement découpé pour lui donner les dimensions voulues. Le plus difficile était l'extrémité du dispositif, il fallait qu'il ait une forme arrondie. C'est sur cette partie que je devais travailler le plus ! Après de nombreux essais je parvenais à courber une baguette coupée en forme de croix. Comme je l'avais découpée dans un tube deux branches étaient déjà courbées, il fallait leur donner une forme plus adaptée et recourber les deux autres branches. 

Après beaucoup de ponçage, le contacte doit impérativement être parfaitement doux, l'objet prenait forme. Il ne doit y avoir que des formes douces et parfaitement lisses, sinon … Le plus dur était de poncer l'intérieur du dispositif. Il faut prendre son temps, y aller doucement et s'assurer que la finition est parfaite. 

Ensuite il faut poncer l'extérieure pour que ça ait de la gueule. J'avais mélangé plusieurs plastiques de différentes couleurs pour faire plus joli … Eh, éh, éh ! J'étais content de moi. Surtout que je progressais dans cette expérience de chasteté-contrainte-volontaire-illimitée sur une période courte ( pour commencer ). J'ai fini par comprendre avec ma longue expérience qu'il faut y aller doucement.

Mais je progressais. La semaine passée je ne m'étais fait que deux mecs … C'est pas mal ! Non ? 

De plus je ne me branlais pas plus de cinq fois par jours … C'est bien aussi ! Non ?



EP 4 : DISPOSITIF MAISON



Il ne me restait plus qu'à l'essayer. Je prenais le temps de l'inspecter, de l'examiner longuement. J’emboîtais les différentes parties, elles s'ajustaient parfaitement. J'étais content de moi. Ça faisait bien deux mois que je ne pensais qu'à ça et maintenant j'hésitais. Ce jour là je ne travaillais pas et nous étions tôt dans l'après midi. Je ne m'étais branlé que trois fois depuis ce matin. 

J'imaginais ce truc entre mes cuisses, je me voyais avec, je me demandais ce qu'on pouvait ressentir après une longue période avec ce truc sur soi. Finalement je me décidais …

Je passais en premier le cock-ring puis sur ma lancée avant de bander trop fort, j'enfilais ma queue dans la le '' Tuge '', ça va je rigole ! Je voulais dire dans le tube de chasteté. Mes premières impressions étaient favorables. Le truc semblait être à la bonne taille. Rien ne pinçait la peau. Pas de douleurs, pas de pression excessive contre ma queue comme avec l'autre dispositif. Je commençais à bander !

Je m'assurais que je pouvais glisser un doigt pour pouvoir me laver. Bon au tout début ça marchait mais rapidement ça ne marchait plus. Je bandais et là ma bite occupait toute la place, rien ne passait. En même temps je sentais la pression qui commençait à écraser ma queue. Une pression régulière sur toute la longueur de ma bite, sur tous les côtés en même temps. Finalement c'était pas désagréable !

La sensation était très différente de la première fois. Je verrouillais le cadenas et je m'admirais un long moment devant un miroir. A ce moment je bandais ferme, avec un doigt j'appuyais sur la peau au niveau des ouvertures d'aération, la peau ressortait et faisait comme des bulles mais c'était sans douleur. Le dispositif se relevait devant moi, normal il était sous pression et quand elle est sous pression une bite, ça se relève.  

C'était cool. Ça me plaisait ! J'étais content ! Je décidais de le garder un moment juste pour voir. Je m'habillais et prévoyais de sortir. Par précaution je ne mettais pas un pantalon trop étroit, on ne sait jamais, tout beau devant mon miroir je m'observais avec attention … On ne voyait rien ! C'était super cool !

Tout content je sortais de chez moi et j'allais dans mon bar habituel pour prendre un verre. J'y trouvais plusieurs copines, Didier était là. Il a une grosse queue Didier et je bandais à cette idée.  Ma cage de chasteté se manifestait alors, je la sentais bien, c'était sans douleur, sans gêne, c'était bandant, c'était une sensation agréable. Je passais devant la porte d'entrée et je pouvais constater dans mon reflet que c'était toujours totalement invisible. Ça m’excitait encore plus et je bandais encore plus fort. Je le sentais bien le dispositif, je ne sentais plus que ça et ça devait durer toute la soirée … 

Je vous dis pas c'était le pied ! … Sauf que j'ai pas pu terminer la soirée chez Didier, il a une grosse bite Didier, j'aurais bien aimé terminer la soirée chez Didier et me faire enculer comme ça, vite fait, juste pour le plaisir surtout qu'il a une grosse bite Didier mais je me suis rendu compte que j'avais oublié la clé … J'osais pas montrer mon truc à tout le monde … Même si Didier c'est pas tout le monde et qu'il a une grosse queue. Enfin, la frustration fait partie du jeu et là j'étais servi ! 

De retour à la maison j'étais vraiment excité, je bandais à mort dans mon dispositif et toujours pas de douleur. C'était bien un problème de taille ! Je me déshabillais et regardais le résultat devant un miroir. C'était bien rempli, il y avait de la pression. La peau de ma queue faisait des bourrelets qui ressortaient par les ouverture d'aération, ça coinçais un peu à cet endroit mais sans plus. Avec un doigt je tâtais et je constatais que ma queue était en érection totale. Elle était totalement coincée dans le dispositif. La cage était plus étroite à son ouverture aussi la queue en gonflant se bloquait d'elle-même à l'intérieur et n'avait pas le réflexe de sortir ce qui avec l'autre dispositif provoquait un pincement et des douleurs. Avec ce nouveau modèle ça ne provoquait que de la pression, une forte pression mais une pression sans douleur, une pression douce et presque confortable.

J'allais me coucher avec. J'avais un peu la trouille de me réveiller complètement endolori. Je posais donc la clé sur ma table de nuit et je faisais bien. Vers une heure du matin une érection nocturne me réveillait, la sensation était mitigée, ça ne me faisait pas aussi mal qu'avec l'autre dispositif mais c'était loin d'être confortable, je préférais ne pas insister et je retirais le truc. Aussitôt je bandais, je ne me masturbais pas ( j'arrête pas de vous dire que ça vous transforme ce genre de truc, je ne suis pas le même homme maintenant ). Je me rendormais rapidement ! Le reste de la nuit se passait bien et le lendemain matin je me réveillais avec une belle érection, le genre d'érection que je n'avais pas eu depuis … 

Depuis la veille au matin, finalement peut être pas plus. 

Ça m'avait énervé cette histoire aussi le soir même je décidais de me défouler un peu et je sortais. J'allais draguer dans un bar, pas celui que je fréquente habituellement un autre bar un peu moins distingué, un peu moins bien fréquenté … Là bas, c'est des sauvages ! 

Un bar avec une back-room c'est pas si fréquent … Pour une boite de nuit je ne dis pas. N'importe quel établissement convenable en a une ! Mais là c'était un bar. Le bar au rez de chaussée, un labyrinthe en sous sol, cabines ( pour ceux qui voudraient se faire un câlin en tête à tête ) une scène, des sièges tout autour, quelques accessoires rigollots, une croix, un hamac ( enfin je dis hamac mais c'est pas fait pour roupiller ). 

Ici les mecs viennent en tenue de cuir, avec des chaînes, des fouets et … des trucs qui font peur ! Bon je trouve ça excitant mais je suis pas toujours convaincu. Je m'approchais du bar et commandais une bière. J'étais pas fier, en fait je ne connais pas vraiment cet endroit et au fond de moi je me demandais à    quelle sauce j'allais être mangé, je me demandais même si quelqu'un voudrait me manger …

Un homme m'abordait …

Lui : Tu n'est pas un habitué toi ici ?
Moi : Euh ! Non …
Lui : Et tu cherche quoi ?
Moi : Bein, je sais pas moi !
Lui : Tu devrais venir un vendredi soir, il y a toujours des soirée spéciales !
Moi : Vendredi … Ok … 
Lui : Remarque si tu veux, on peut aussi te proposer … Suis moi !

Il se dirigeait vers les escaliers qui conduisaient au sous sol. J'hésitais puis j'avalais mon verre et le suivais.

Il ne se retournait même pas pour vérifier si je le suivais, il semblait s'en moquer . Il avançait jusqu'au milieu d'une des salles du sous sol. Il se retournait enfin, me regardait et me faisait signe d'approcher. Je tremblais mais je l'y retrouvais.

Lui : Met toi torse nue !

Je m'exécutais. Quelqu'un récupérait mes affaire et les rangeait dans un sac en me garantissant que personne n'y toucherait. '' On est des barbares pas des sauvages … '', il me disait.

Le premier me prenait dans ses bras, il prenait mes deux main et les plaçait au dessus de ma tête, les bras levés vers le plafond. '' Reste comme ça ! '' je ne bougeais pas, je bandais à mort ! Il s'approchait de moi et me donnait un baiser très tendre puis me recouvrait les yeux. Je ne voyais plus rien. Un autre homme s'approchait dans mon dos, me caressait tout le corps. Deux autres hommes s'approchaient, un à ma droite l'autre à ma gauche. Leurs mains me caressaient, me pinçaient les tétons. Un bruit métallique résonnait et je sentais des menottes autour de mes poignées. J'étais attaché les deux bras en l'air !

Les caresses se faisaient plus violentes, plus fortes … Ils me pinçaient le corps, mais il le faisaient dans le but de faire mal et je commençais à me tortiller et à râler. On me passait un bâillon, c'était un truc en caoutchouc, une sorte de barre fermement attachée par une sangle qui passait derrière ma tête. Je pouvais toujours râler, gueuler mais je ne pouvais plus articuler. J'entendais : '' C'est mieux comme ça '' … 

Je recevais alors un coup de fouet ou de je ne sais quoi dans le dos, c'était violent et ça claquait fort. Je me raidissais puis me débattais, je gueulais, je râlais, je les entendais rire … Suivaient deux coup de ceinture, finalement c'était une ceinture. Puis une dizaine d'affilé. Je ne gueulais plus, je gémissais …

On m'ouvrait mon pantalon, je râlais de nouveau et recevais aussitôt dix autres coups de ceinture. Ça commençait à bien me chauffer le dos et je ne bougeais plus, je ne disais plus rien. Je respirais fort, mais qu'est-ce que je suis venu faire ici … Ils m'avaient retiré mon pantalon et je me retrouvais nu au milieu de la pièce, je ne pouvais pas savoir combien ils étaient autour de moi. Je bandais !


Un main me caressait le torse avec douceur, s'arrêtait sur un de mes téton et me pinçait très fort, me faisait très mal, je gueulais et recevais aussitôt dix coups de ceinturon. J'avais compris que je devais la fermer. On me pinçais de nouveau un téton, je serrais les dents … Finalement il me posait un truc qui pinçait, une pince à linge ou un truc dans ce genre. Puis l'autre téton. Je sentais un mouvement autour de moi. Une caresse, un baiser, quelquefois un baiser tendre même puis une pince à linge. Au bout d'un moment qui me semblait une éternité je devais être recouvert de quelques dizaines de pinces à linge ! J'étais nu et je bandais comme un fou. 

Je sentais une caresse sur ma bite, là je tremblais. Ils vont me faire quoi ?

Finalement on me suçait la queue. Là j'avais plus envie de gueuler, c'était bon. Une main me frappait violemment les fesses, une fois puis deux puis trois fessées, quatre … et ainsi de suite jusqu'à dix avec une pause de quelques secondes entre chaque séries. Pour finir je sentais un doigt qui se glissait entre mes fesses, bien lubrifié il entrait sans problème dans mon cul ! Il était suivi d'un autre doigt puis d'un troisième. Devant moi le mec me suçait toujours. Il se retirait, j'avais je ne sais combien de pinces à linge sur le ventre, le torse et le côté de mon corps. 

Je recevais alors une série de dix coups de ceinture sur le dos puis sur les fesses. Une pause et on recommençait, encore une fois. Un mec s'approchait à moi, m'enfonçais sa queue dans le cul, je râlais de surprise autant que de douleur, il était bien membré le gars et il n'était pas tendre. Il me prenait dans ses bras décrochant dans ce geste un bon nombre des pinces à linge. Au travers de mon bâillon je hurlais, il me pinçait alors là ou il y avait des pinces à linge, ses copains en faisaient de même et il m'enculait avec force, il me défonçait le cul sans ménagement. Ça faisait un mal de chien … Pas au cul, ça j'aime bien en général, mais là ou il y avait les pinces à linge c'est sensible, très sensible … Je me tordais dans tous les sens, j'essayais de me dégager, je gueulais, je râlais, je pleurais à moitié.

J'entendais un bruit bizarre, une voix plus forte que les autres mais je ne comprenais pas ce qui se disait. Plus personne ne me touchait, même le gars qui quelques instants plus tôt me défonçait le cul se retirait avec douceur. Je ne comprenais pas ce qui se passait. 

Le premier homme que j'avais suivi me retirait mon bandeau et me demandait … '' Tu n'est pas l'invité ?'' . Je faisais non de la tête et tentais de lui expliquer que je ne savais pas ce que ça voulait dire. Sans plus attendre quelqu'un me décrochait mon bâillon, je râlais …

'' Excuse nous bonhomme mais on t'a pris pour quelqu'un d'autre … '' . Tout le monde éclatait de rire !

'' Tu veux continuer ? '' … Je faisais non de la tête.

La chaîne qui me retenait les mains se relâchait, on m'ouvrait le menottes et on me guidait vers un siège sur le côté de la scène. On me donnait des claques sur les épaules mais c'étaient des claques amicales, des claques d'excuse, celles là ne faisaient pas mal !

Un homme s'approchait de moi, il était super bien montré le gars et je regardais sa queue autant avec effroi qu'avec fascination … 

'' Dommage ! C'est que je commençais à bien m'amuser moi ! ''

Moi : C'est toi qui m'enculait tout à l'heure ?

Il me faisait oui de la tête !

Moi : Même pas mal, même pas peur !
Lui : Tu veux qu'on continue ?

Je lui faisais oui de la tête.

Sans attendre il m'allongeait sur le dos, me relevait les jambes il plaçait mes chevilles au niveau de ses épaules et sans plus de formalité me défonçait le cul, il venait d'en sortir, il y retournait ! Il ne retenait pas ses coups et je râlais quand il y allait trop fort mais j'encaissais tout. Il finissait pas jouir dans mon cul avant de se laisser retomber sur moi. Je me retrouvais complètement replié sur moi-même, sous lui ! Plié en deux et un peu écrasé, ma situation n'était pas vraiment confortable mais j'acceptais la situation avec complaisance … Je l'avais un peu cherché.

Pendant ce temps le jeux dont j'avais été victime reprenait, l'invité était arrivé et on m'invitait à rester pour regarder le spectacle et même y participé. J'ai posé quelques pinces à linge, et j'ai donné quelques séries de coup de ceinturon. Je l'ai fait couiner le mec mais il était consentant … Il aimait ça même, moi je doit dire que je n'avais que très moyennement apprécié … Très moyennement sauf peut être la fin quand je m'étais fait défoncé le cul !

J'étais toujours à poil, mes vêtements étaient en sécurité, j'avais pris mon pied en me prenant la queue du gars bien à fond mais je ne m'étais pas branlé, je n'avais pas éjaculé, je n'avais pas vraiment joui avec ma queue. C'était pas dans mes habitudes, ça se terminait toujours par une belle éjaculation avec moi, toujours !

Il commençait à se faire tard, je quittais les lieux. Je me sentais bien finalement, c'étaient pas des sauvages ni des barbares les mecs dans ce bar, je retournerai les voir un de ces jours, c'est sûr. Je ne m'étais pas branlé depuis la veille dans la matinée ! Ça aussi c'était nouveau !

Deux jours plus tard j'avais toujours ces images dans ma tête. J'avais du me branler une dizaines de fois en deux jours, comme d'habitude et je me décidais à essayer une nouvelle fois le dispositif fait maison. C'était le soir juste avant de me coucher, je m'étais branlé deux fois seulement dans la journée. J'enfilais le dispositif bien décidé à le garder au moins toute nuit et même plus si possible. 

Cette nuit là je ne dormais pas vraiment bien. Je me réveillais plusieurs fois dans la nuit, je me levais pour faire une pause pipi à chaque fois, et ça me soulageait, à chaque fois je me rendormais rapidement. Au matin il y avait de la pression dans la cage. Une révolte ! Une tentative d'évasion ? Je ne sais pas mais en tout cas ma queue protestait par le seul moyen qu'elle avait … L’Érection !

Je choisissais de ne pas répondre, on commence par répondre à ce genre de provocation et ça se termine toujours de la même manière … Tout le monde connaît ça … Enfin tout le monde, peut être pas, les filles je ne crois pas … D'abord on se branle ensuite on éjacule !

Donc ce matin là, c'était la première fois depuis bien longtemps que je ne suis pas branlé. L'érection du matin est restée la première frustration, celle de ne pas pouvoir se manifester et celle de ne pas me faire plaisir. Ce plaisir que je m'étais refusé, j'y ai pensé toute la journée. J'ai bandé toute la journée dans le dispositif car je l'ai gardé jusqu'au soir !

Le soir j'en pouvais plus, il faut pas déconner nom plus ! La chasteté c'est bien mais uniquement si on peut se branler au moins une fois par jour … Non ? … J'ai dit une connerie là ?

Je prenais mon temps pour me branler, je suis un pro moi. Je ne me pressais pas, j'y allais tout doucement. Je bandais bien ferme et les sensations étaient fortes, je me retenais, j'arrêtais et reprenais mon souffle. Dix fois, cent fois, mille fois j'ai failli jouir, éjaculer trop tôt … Bon peut être pas mille fois remarquez, j'en rajoute peut être un tout petit peu là. Mais bon, mes sensations étaient un peu différentes de ce que je connaissais, le plaisir montait plus vite, la sensibilité de mon gland semblait plus grande. Et quand j'ai senti que je ne contrôlais plus rien je me suis lâché, je m'astiquais le manche avec les deux mains, j'étais allongé sur mon lit et j'en ai pris plein la figure … C'était cool ! 

C'est vraiment jouissif la chasteté, je sais pas si c'est moi mais j'avais joui comme rarement. Peut être que la qualité est plus important que la quantité ? Jusque là j'ai tous misé sur la quantité … Mais d'un autre côté la quantité c'est bien aussi … Ce soir là j'ai remis ça encore deux fois.

Je faisais une pause, j'étais rassasié. Je rangeais mon dispositif dans ma table de nuit, soigneusement et douillettement posé dans une petite boite en carton … Il faudra que j'en fabrique une à la hauteur de mon dispositif, un peu plus classe qu'un bête boite en carton. 

C'est seulement au bout de deux semaines que j'ouvrais à nouveau le tiroir de ma table de nuit. Je n'avais pas oublié ce que j'y avait rangé mais … Je ne sais pas pourquoi je n'avais pas fantasmé sur la chasteté pendant tout ce temps. Deux ou trois mecs par semaine et pas plus de cinq branlettes par jour … Je me sentais déjà beaucoup plus chaste, beaucoup plus retenu qu'au début de mon histoire … Vous ne trouvez pas ?

Je cherchais je ne sais plus quoi dans ma table de nuit, c'était pas les capotes ça c'est sûr, je les range dans la niche de la table de nuit, j'ai une boite taille familiale ( je les achète par boite de 150, j'aime pas manquer ). Enfin bref c'est pas grave, je retrouvais la petite boite contenant mon dispositif de chasteté fait maison. Un violente envie me prenait, comme si ma bite me lançait un appel. En quelques secondes sans même réfléchir, ça m'arrive souvent de faire des trucs comme ça , sans réfléchir. Je baissais mon pantalon, je passais le cock-ring et glissais ma queue dans la cage que je verrouillais aussitôt ! J'avais fait ça en quelques instants, sans réfléchir … On sonnait à la porte.

Je remontais mon pantalon, rangeais la boite ou elle était et allais ouvrir. Tout s'était passé si vite que je n'avais même pas eu le temps de bander, c'est à peine si ma queue commençait à durcir au moment ou je refermais le dispositif. Je me sentais bien, mais au bout de quelques instants je sentais la pression de la cage contre ma queue. 

Je bandais au moment ou j'ouvrais la porte …



EP 5 : L'APOCALYPSE



Bon d'accord le titre peut faire peur mais il ne faut pas avoir peur. Moi j'ai pas peur de rien sauf que … Si quand même un peu ! Je ne me sentais pas encore prêt à annoncer à qui que ce soit mon petit fantasme, c'est vrai que ce n'était plus en fantasme depuis que je le vivais vraiment pleinement comme je le faisais à ce moment ( même si ''  pleinement '' est un mot un peu excessif ) . En fait le mot apocalypse signifie '' Révélation'' et c'est bien d'une révélation que je parle … 

Quoi vous pensiez à une quelconque fin du monde ? Mais enfin c'est pas la saison ! La dernière fin du monde annoncée c'était seulement le mois dernier et puis … Eh, éh, éh … On est toujours là. Remarquez moi ça m'arrange parce que les fins du monde, c'est pas trop mon trip mais je suis en train de sortir du sujet là … J'ai l'impression … 

C'est en fait à cet instant que j'ai vraiment compris qu'un jour ou l'autre, si je continuais à délirer comme je le faisais avec le dispositif de chasteté, il faudrait l'annoncer à mes copines de baises … L'annoncer ! … Le révéler … Bon il y en un qui n'a pas compris … 

Annoncer … Révéler ! Révéler … Révélation ! Révélation … Apocalypse !

Non je me moque pas mais il y en avait un au fond qui n'avait pas compris ! J'vous jure. Bon maintenant ça y est ! En fait ces commentaires ridicules que j'écris depuis plus de trois paragraphes ne sont là que pour masquer un certain embarras de ma part … 

Il faudrait bien un jour ou l'autre que j'annonce à mes proches et je ne savais pas du tout comment faire ni comment ils allaient réagir. Benoît va se foutre de ma gueule mais là je m'en fou Benoît c'est une connasse ( je dis ça mais c'est avec beaucoup de tendresse ) … Mais les autres … ?

Je m'étais arrêté ou moi ? Ah oui ! Donc on sonnait à la porte … C'était mon copain Francis qui passait me voir sans prévenir. Je paniquais un peu, je n'avais pas prévu de mettre quelqu'un au courant de mes fantaisies. En tout cas pas aujourd'hui, ni demain … Ni après demain … Ni … Pfff ...

J'allais ouvrir.

Francis : Ça va ma grosse ? Tu ne devineras jamais ce qui m'arrive. J'ai plus d'internet.
Moi : Ah ! ...
Francis : Il n'y a plus rien qui marche dans mon quartier !
Moi : Ah ! ...
Francis : Tu sais l'orage d'hier ?
Moi : Euh ? ...
Francis : La foudre est tombée juste à côté de chez moi !
Moi : Oh ! ...
Francis : Le poste de branchement à cramé ! 
Moi : Ah ! ...
Francis : Le téléphone ne marche plus, mais ça c'est pas grave !
Moi : Bein ! ...
Francis : Remarque le téléphone on s'en fout, il reste le portable.
Moi : Béé ! …
Francis : C'est surtout pour Internet … Ça marche plus !
Moi : Eh ! ...
Francis : Je peux utiliser ton ordinateur ?
Moi : Bééh !
Francis : Tu m'as l'air en forme toi aujourd'hui, tu n'arrêtes pas de parler !
Moi : … E … !
Francis : A part ça, ça va toi ?

Il me faisait la bise et se retrouvait devant mon ordinateur avant que j'ai le temps de refermer la porte. 

Quelques instants plus tard je l'entendais rigoler … '' Et merde j'avais oublié de fermer mon navigateur … '' … Il était ouvert sur la dernière page consultée.

Vous avez deviné ? Même au fond celui que ne comprenait rien tout à l'heure ? … Je déconne, faite pas gaffe, j'étais … Comment dire … embarrassé ? Oui c'est à peu près ça '' Embarrassé '' ! 

J'étais embarrassé ! J'arrivais juste derrière Francis, il regardait le site que j'avais visité avant son arrivée. Ça l'amusait.

Francis : Là tu as trouvé quelque chose, c'est le délire ce truc. Je ne savais pas que ça existait ! Remarque ils ne savent plus quoi inventer ! Tu sais tu es vraiment un marrant toi, tu trouves de ces trucs sur Internet ! Ça te déranges pas si je ferme la page ? 

Je ne bougeais pas, je ne répondais rien et Francis qui est plus futé que j'en ai l'air se retournait et me regardait droit dans les yeux. Il fronçait les sourcils.

Francis : Tu as l'air bizarre toi aujourd'hui !
Moi : Euh … Non ! … Tu peux fermer le navigateur si tu veux !

Il retournait rapidement le regard vers l'écran puis continuait en me regardant toujours droit dans les yeux.

Francis : Tu es plus bavard toi d'habitude !
Moi : Moi ? …
Francis : Bein oui toi ! Il n'y a personne d'autre ici ? Ça va j'ai compris ! Tu n'est pas tout seul et je te dérange.
Moi : Euh … Non ! 
Francis : Je ne connais pas alors !
Moi : Non mais …
Francis : C'est une fille ! Tu étais avec une fille ! J'y crois pas ! Dis moi pas que c'est pas vrai je ne suis pas sûr de ne pas te croire !

Il est plus futé qu'il en a l'air François, il a tout compris, depuis le temps qu'il me connaît et qu'on baise ensemble. Il sait que je préfère me faire enculer que d'enculer. Mais là je suis hors sujet ! 

Il me regardait en souriant. '' Tu es vraiment sûr que ça va ? ''. Je regardais l'écran, son regard passait de moi à mon écran, avec son doigt il montrait l'écran et se retournait ver moi avec un regard interrogatif. Sur l'écran il y avait en gros la photo du dispositif qui m'avait inspiré mon modèle perso !

En tremblant, je luis répondait enfin … '' Oui d'accord, je … '' … Puis je baissais mon pantalon, je baissait aussi la tête. J'étais embarrassé, mais quand je dis embarrassé … 

Francis : Approche s'il te plaît, je voudrais voir ça de plus prêt. 

Je m'approchais, il avait un sourire amusé, il me caressais les couilles. Quelques secondes avant il y avait de la place dans la cage mais soudainement elle se retrouvait pleine et se relevait. La pression montait.

Il avait toujours ce sourire quand il se relevait. Il me regardait avec un regard rieur en baissant son pantalon et le laissait tomber sur ses chevilles. Il avait visiblement l'air amusé en ouvrant sa chemise et en se rasseyant … 

Francis : Vas y suce moi la bite.

Il bandait déjà bien et je ne l'obligeais pas à se répéter. J'avais fantasmé sur cet instant depuis déjà un long moment. J'en avais rêvé. C'était ça la frustration que je recherchais, faire jouir un pote de baise tout en restant enfermé dans une cage de chasteté, ne même pas pouvoir bander pendant qu'il m'enfoncerait sa queue dans la gorge. C'était entendu je ne demanderais rien, je ne suggérerais rien, je me contenterais de faire tout ce qu'il me demanderais et de le faire au mieux ! 

J'avais une furieuse envie qu'il m'encule. Il le sait lui que j'aime quand il m'encule. Mais il allait faire quoi là, maintenant … Il allait s'amuser … Tester la situation, expérimenter mes réactions … Il aime bien rigoler et je sentais qu'il ne s'en priverais pas.

Je le suçais en m'appliquant de mon mieux …

Francis : Ouah ! Mais c'est une impression ou quoi ? Mais tu suce de mieux en mieux !

Je ne m'arrêtais pas, il me caressait les cheveux et tirait ma tête vers lui pour m'obliger à avaler sa queue sur toute sa longueur ( comme si c'était nécessaire de m'obliger à avaler ! ). 

Au bout de dix bonnes minutes il repoussait doucement ma tête, se relevait, envoyait balader son pantalon plus loin ainsi que ses chaussures et chaussettes, suivait la chemise...

Francis : Si tu retirais tes fringues …

On se retrouvait nu. Il s'installait à mon bureau et me faisait signe de passer en dessous. Je ne me faisais pas prier, il écartait les cuisses, et commençait à faire son truc sur Internet pendant que moi je le suçais. Par moment je me tapais la tête au bureau, c'est qu'il n'y a pas beaucoup de place la dessous. Il m'encourageait à continuer, il avait baisé le siège au maximum pour me laisser un peu plus de place.

Il était concentré sur ce qu'il faisait mais m'encourageait, je l'entendais taper sur le clavier. Ils s'arrêtait régulièrement pour me caresser les cheveux. Il avait un mot gentil '' Tu t'améliores ma grosse, tu t'améliore … '' ou encore '' Si tu continue je te garde sous clé en permanence … '' ! Ça c'était sensé m'encourager je suppose … 

Je sentais ses réaction, il appréciais et se dandinait sur le fauteuil, il écartait encore plus les cuisses et se laissait glisser sur le fauteuil et avec une main me retenais la tête au moment ou il me giclait dans la bouche. Il maintenait la main encore et je ne pouvais pas retirer ma tête, je n'avais pas le choix, j'avalais …

Francis : Reste comme ça tu seras mignon, j'ai pas fini mon truc. 

J'avais décidé de faire tout ce qu'il me demanderais aussi je ne bougeais pas, je gardais sa queue dans la bouche sans bouger. J'étais bien installé, ma position n'était pas inconfortable aussi … S'il n'y avait que cela pour lui faire plaisir !  

Je ne sais combien de temps je suis resté dans cette position mais au bout d'un moment je sentais sa queue qui prenait à nouveau du volume. C'était marrant, je ne faisais rien, ou presque rien. Il fallait bien que je respire et que j'avale ma salive, ça produisait forcément des mouvements dans ma bouche, des mouvement de ma langue. Il bandait de nouveau !

Je recommençais un mouvement de succion, doucement puis plus rapide. Plus sa queue prenait de place dans ma bouche plus je m'activais. De nouveau sa queue s'enfonçait jusque dans ma gorge. Je retirais ma tête, il me rattrapait et d'une main il me tirait vers lui. Ça me stimulait et je recommençais à le sucer. 

Francis : Ça y est j'ai fini !

Il se retirait et faisait rouler le fauteuil en arrière. J'étais sous le bureau et je le regardais.

Francis : Fais voir ton truc.

Je me relevais juste devant lui et lui montrait, il me caressait les couilles longuement, je le laissais faire. Avec une main il se masturbait, ça m’excitait à mort et dans ma cage je bandais comme un fous. La peau ressortait par les trous d'aération faisait comme l'autre jour des bourrelets, un peu comme des bulles de peau. C'était pas franchement désagréable mais pas pour autant agréable …

Francis : Suce moi s'il te plaît !

J'ai jamais su refuser ça à un mec qui dit '' s'il te plaît ''. Je retombais à genoux devant lui et m'activais comme je savais faire, j'y mettais tout mon cœur. Je m'attendais à ce qu'à un moment il allait se lever me demander de me  retourner, de me pencher en avant et de m'enculer bien à fond comme j'aime. En attendant je m’appliquais. J'avalais sa queue sur toute sa longueur, relevais ma tête et sa queue ressortait, je la masturbais en léchant le gland puis je recommençais. 

Sans prévenir il attrapait ma tête avec les deux mains et me tirait fermement vers lui. Mon visage était écrasé contre le bas de son ventre, il me tenait bien plaqué ainsi et giclait à nouveau dans ma gorge en poussant des râles de plaisir. Là encore pas le choix … J'avalais !

Il me lâchait alors et je retirais ma tête. Je me relevais devant lui et le regardais, il avait l'air satisfait, mon dispositif de chasteté se relevait … J'avais le souffle court, mon cœur battait fort, j'étais … Frustré ! Lui aussi il avait le souffle fort, son cœur battait fort, il était satisfait !

Francis : Si on parlait de ton truc. Tu sais les autres vont trouver ça complètement dingue …
Moi : Ne leur dit pas !
Francis : Tu ne veux pas leur raconter ?
Moi : Pas encore, c'est trop récent.

On parlait un moment, je lui racontais toute ma démarche, je lui racontait tout. Et de toutes façons c'est juste des essais, je ne garde pas le truc trop longtemps. C'est juste pour expérimenter de nouvelles sensations. 

Francis : Et la frustration ? Ça marche la frustration ?
Moi : Je suis complètement frustré là moi !
Francis : Bon, c'est Ok je ne dis rien à personne, je ne raconte rien à personne mais à une condition …

Je le regardais, je ne savais pas quoi répondre. Il allait me dire quoi ? Sa condition … Lui il me regardait avec un sourire de travers comme celui qui prépare un mauvais coup.

Moi : Alors. Parle. C'est quoi ta condition ?
Francis : Je prend le contrôle de ta période d’entraînement. Tu me donnes les clés, on s'installe ensemble, chez moi ou chez toi et tu deviens mon esclave !
Moi : Non mais tu rêve ! Je ne suis pas un esclave ! Ça c'est même pas négociable ! Non mais tu rêve !
Francis : Tu passeras l'aspirateur, la cuisine et …
Moi : L'aspirateur c'est dans le cul que tu te le prends si tu veux m'obliger à le passer et la cuisine, je te garantis que la choucroute c'est sur la tête que tu vas la recevoir !
Francis : Ok ne te mets pas en colère, il doit bien y avoir un terrain d'entente …

On discutait un bon moment puis on finissait par se mettre d'accord. On vivrait ensemble et il aurait le contrôle sur mon plaisir … Je lui donnerais donc les clés, on dormirait ensemble et je m'engageais à ne pas m'amuser avec des godes ou des plugs. Je serais bien son esclave pendant tout le temps ou je porterais ce truc mais son esclave sexuel seulement … son vide couille quoi. Je le suce quand il me le demande, il m'encule quand il le désire ( le plus souvent possible ). On fixe un délais maximum pendant lequel je devrais garder le truc. Il est en plastique donc facile à retirer en cas d'urgence mais pour cela il faudrait le détruire et je ne pourrais pas le lui dissimuler. 

Francis : Un mois, tu le gardes au moins un mois !
Moi : Non pas un mois c'est la première fois que je porte ce truc .
Francis : Et alors ! Tu me dis que c'est confortable.
Moi : C'est confortable mais je ne l'ai jamais gardé plus de quelques heures !
Francis : Mais toi tu es un pro et puis tu es un enculé toi pas un enculeur.
Moi : Facile à dire, on voit que c'est pas toi qui est à ma place !
Francis : Tu me propose quoi alors ?
Moi : On est mercredi … Disons jusqu'au week-end …

Il pouffait de rire.

Francis : Non mais tu rigole, deux jour, c'est tout ce que tu vises … Deux semaines. Mais c'est uniquement parce que tu commences. Ensuite tu fais un break et tu y retournes !
Moi : Disons jusqu'à la fin de la semaine prochaine.
Francis : Tu me fais rigoler là, tu n'est pas sérieux ?
Moi : Je commence !
Francis : Tu ne sais pas ce que tu veux !
Moi : Si mais je … Euh … 

Il insistait lourdement mais je ne lâchais rien, on finissait par se mettre d'accord et on fixais quelques règles. Je le porterais jusqu'à la fin de la semaine suivante mais ce serait renouvelable … Je ne sais pas pourquoi j'ai dis oui. Il va rajouter deux semaines c'est sûr. Je sentais ma queue presser contre ma cage de chasteté en pensant à ça. Pas de douleur. Et si c'était en fait ce que je voulais, et si j'avais envie d'être un peu poussé, un peu contraint et pas seulement encouragé. Je bandais à fond dans ma cage et je me disais que finalement … 

Après son départ je me demandais ce qui s'était passé. Pendant un moment je ne comprenais plus rien, je n'avais pas rêvé. Francis était au courant de mon délire, il m'avais vu à poil avec ce truc, je l'avais sucé ( bon ça c'était pas la première fois ), et c'est lui qui avait les clés. Il allait revenir, il dormirait avec moi ce soir ( ça non plus c'était pas la première fois ).

Mais il y avait un petit truc … Je m'étais engagé à être son esclave sexuel. Sexuel uniquement je ne passait pas l'aspirateur et ne lavait pas les vitres. Sexuel donc mais … Je devrais lui obéir tant que cela ne révélera pas mon secret … Pourquoi il avait voulu absolument ce dernier point de détail ? Il avait insisté en plus … '' Tant que cela ne dévoilera pas ton secret ''. Il l'avait dit de plusieurs manières … 

Finalement j'ai commencé ce texte par tout un laïus sur le mot '' Apocalypse '' et je me demande si au final on ne devrait pas le prendre au sens populaire, au sens simple … C'est la fin !

Je vous ai déjà fait le coup ! C'est pas la fin de l'histoire, c'est juste la fin, pour moi, je suis mal quoi. Franchement me retrouver dans cette situation, j'ai vraiment des idées de fou quand je m'y mets moi !



EP 6 : AVAL AVAL AVAL



Un peu plus tard Francis revenait, il avait emporté des pizzas … et sa brosse à dents … Il prenait les choses au sérieux. Il s'installait.

Francis : Au fait dis moi … Tu es un branleur toi ?
Moi : Parfaitement !
Francis : Et tu te branles tous les combien ?
Moi : Deux ou trois fois …
Francis : Deux ou trois fois tous les … mois, toute les semaines ?
Mois : Tous les jours !
Francis : Je me disais aussi … Trois fois par jours, c'est tout ?
Moi : Bein oui ! Et toit tu te branles tous les combien ?
Francis : Et bien moi je ne vais plus me branler pendant un bon moment. A partir de maintenant tu va me faire jouir au moins trois fois par jour.
Moi : Tu sais que tu es en enfoiré !
Francis : Tu sais que tu n'obtiendras rien de moi par la flatterie ?
Moi : Pffffrrrrr !
Francis : C'était quoi ça ?

Je lui tournais le dos et faisais semblant de ne pas entendre.

Francis : Suce moi la queue !
Moi : Nan ! J'veux pas !
Francis : Allons bon il nous fait un caca nerveux ! Tu sais le contrat est commencé, tu es mon vide couille pour neuf jours renouvelable par deux semaines supplémentaires … Bon si tu veux plus jouer, tu le dis et je téléphone à Didier. Je crois qu'il va se marrer Didier.
Moi : Pfffrrrr !
Francis : Allons bon, ça recommence !
Moi : Bon c'est d'accord je te suce la queue mais toi …
Francis : Moi, rien du tout. Enfin si moi je regarde la télé pendant ce temps.

Il avait retiré son pantalon en disant cela et s'installait confortablement sur le fauteuil, il me faisait son petit sourire de travers, celui qu'il fait toujours quand il prépare un mauvais coup. Je me penchais sur lui et lui suçais la queue. 

Vous pouvez ricaner mais moi je vous dis que c'est pas drôle. Bon ça ne va pas durer cette histoire il va bien finir par m'enculer le con. Je bandais encore et je sentais bien ma cage. J'étais pris par une violente envie de me branler. A la rigueur je me serais bien pris la bite de Francis dans le cul. Plus je le suçais plus j'avais envie de me branler, moins je pouvais me branler plus j'avais envie de me prendre une bite dans le cul. Il avait tout prévu mon lascar, il savait que s'il n'était pas avec moi je me serais amusé avec un gode … Là je ne pouvais pas, il l'aurait vu. C'est par hasard s'il avait voulu s'installer chez moi !

Il appuyait sur ma tête et relevais son bassin, imprimant ainsi un rythme que je n'avais plus qu'à suivre. Un rythme que je devais suivre. Ça durait depuis un bon moment quand d'autorité je relevais la tête.

Francis : Et bien tu n'est pas vraiment à ton truc ce soir.
Moi : pourquoi ? Parce que je me suis arrêté ?
Francis : Ouai !
Moi : C'est pas ça mais je te ferais remarqué que j'ai pas encore goûté à la pizza moi. Et j'ai faim.

Je restais en position assis en tailleur entre ses jambes, et attrapais une part de pizza et je prenais mon temps à la déguster. Il me regardait, toujours avec ce petit sourire. 

Moi : Tu prépares un mauvais coup toi ?
Francis : Tu prends ton temps toi !
Moi : Je me régale et je mâche, il faut toujours mâcher correctement …
Francis : Bon tu bouffes et ensuite tu me suces ! Tu ne pourrais pas me sucer avant de bouffer ?
Moi : Et avoir de la pizza froide ? Il n'en est pas question !
Francis : Tu parles d'un esclave sexuel toi !

C'est sûr je suis nul comme esclave sexuel mais c'est à prendre ou à laisser. Non mais c'est vrai ça il va voir que c'est pas si facile que ça que de m'avoir comme esclave sexuel … La part de pizza terminée je me léchais les doigt puis, je léchais autre chose … Oui je sais je râle mais bon, c'est pour la forme !

Je lui caressais les cuisses, une petite claque sur les cuisses et : '' On y retourne .''. Je prenais de nouveau sa queue dans ma bouche, bien à fond, il avait commencé à débander mais ça revenait vite. Je lui caressais les cuisses en même temps et glissais mes mains sur son ventre, un peu sur son torse, il m'appuyais sur la tête, je le laissais faire. Cette queue j'ai l'habitude de ma le prendre dans la bouche, je la connais biens. J'aime bien me la prendre dans le cul aussi mais, bon, là c'est lui qui propose et qui dispose ! Je sais c'est nul ce contrat !

Il gémissait de plaisir, se penchait en arrière, bien à son aise, me prenait fermement la tête et à chaque fois qu'il m'appuyait dessus me donnait des coups de bassin. J'en prenais plein la bouche, c'est plus moi qui le suçais, c'est lui qui me baisait par la bouche. Ça devenait violent, mais je suis bon joueur et j'encaissais sans rien dire, surtout que, de toutes façons avec sa queue qui me rentrait dans la gorge je ne pouvais pas parler !

Il accélérait le mouvement, il n'était plus tendre du tout là. Il respirait fort, il appuyait fort sur ma tête, il me balançait des coups de bassin bien forts. Je poussais de drôle de bruits gutturaux, je me tenais à lui, je me cramponnais plus que je ne me tenais. J'aurais bien voulu qu'il se calme un peu mais lui il avait l'air d'en vouloir. Il venait de jouir deux fois peux avant et ça ne venait pas. Il appuyait ma tête contre lui, je ne pouvais plus respirer et c'est uniquement quand je forçais pour me retirer qu'il me lâchait la tête pour me laisser respirer. 

Il ne me laissait que quelques secondes de répit puis il reprenait avec toujours autant de force. Il ne retenait plus ses coups de bassin, il y allait de toutes ses forces, je ne pouvais qu'ouvrir la bouche le plus possible et … encaisser … Là il ne me demandait pas mon avis, d'habitude il est plus retenu. 

Il respirait fort, vraiment fort ! Ses mouvements étaient violent, un moment enfin il gémissait et son gémissement se transformait en cris de plaisir, il me jutait dans la bouche en appuyant mon visage contre son ventre, sa queue arrivait jusque dans ma gorge. Arrivé à ce moment je ne trouvais pas ça très agréable, il y allait un peu fort … Je le sentais trembler, j'étouffais, il se laissait retomber, me tenait encore la tête fermement contre lui puis finissait par me lâcher. 

Je me relevais, je manquais d'air et je respirait à fond.

Moi : Tu veux ma mort, j'ai failli mourir étouffé !
Francis : M'en fou. Moi j'ai pris mon pied !
Moi : Profite en ça sera pas comme ça tous les jours !
Francis : On a passé un accord tous les deux !
Moi : Mais tu me prends pour quoi ?
Francis : Mon nouveau sex-toy !
Moi : Non mais ça va pas je suis pas un … Un sex-toy tu dis ? Tu cassais tes jouets quand tu étais petit ?

Il rigolait de ma question, il restait de la pizza et je prenais la dernière part. Après on passait une soirée calme, je sortais une couverture légère, super douce et chaude. Il s'allongeait sur le canapé, la tête sur un oreiller, je me blottissais dans ses bras la tête sur son bras. Je me recroquevillais en tenant bien son bras avec mes mains, avec son pouce il me caressait la joue... On se recouvrait de la couverture et avec son autre main il me caressait le corps, il descendait de temps jusqu'à mon dispositif, me caressais les couilles, je n'ai pas débandé de toute la soirée mais j'ai pas râlé. Je sentais sa queue contre mes fesses, il ne bandait plus mais je la sentais quand même. J'étais bien et je m'endormais pendant qu'il regardait le film à la télé. 

Il ne me réveillait que pour aller dormir à la fin du film. J'ai eu une nuit agitée, je rêvais de cul … Il fallait s'y attendre après une telle abstinence sexuelle, la chasteté ça fait cet effet quand ça dure longtemps et moi ça faisait … Oui, finalement pas si longtemps que ça ... ça remontait seulement à la veille !

Il était tôt quand je me réveillais le lendemain. Francis dormait sur le dos la tête enfouie entre les deux coussins, moi j'avais la tête et la moitié du corps sur le sien ! La première chose que je ressentais en me réveillant c'était une gène entre mes cuisses, ma bite s'était réveillée avant moi et protestait de ce qui lui arrivait, c'était pas vraiment douloureux, désagréable par contre. La première chose que je voyais en ouvrant les yeux c'était la queue de Francis à dix centimètres de moi. 
Ça me faisait envie et sans me poser plus de question je léchais le bout de son gland avec la langue, je voyais sa queue réagir et se soulever doucement, en même temps je sentais la mienne qui poussait contre sa cage. Il a vraiment une belle bite mon pote Francis, je la prenais dans ma bouche et la lui suçais comme il faut, avec douceur, avec beaucoup de douceur. Cet enfoiré m'avait défoncé la bouche avec moins de tendresse que ça mais je ne lui en voulais pas. 

Rapidement une main me caressait les cheveux, il cessait de ronfler. Pour être précis il ne ronflait pas vrai vraiment, il … Comment dire … '' Son petit nez f'sait d'la musique, une musique très sympathique … Pas des ronflements de dragons … ''. Bon j'arrête de dire des conneries moi ! Vous voyez bien que je ne lui en voulais pas quoi ! Il me caressait les cheveux et moi je lui suçais la bite avec tendresse. 

Il était tôt, on avait le temps de se faire un petit plaisir, il aurait largement le temps de m'enculer, on peut dire que tout allait bien ! Sauf que, moi évidemment je ne pouvais rien faire, je pouvais bien lui sucer la queue et c'est ce que je faisais mais je veux dire, avec ma queue. La je ne pouvais rien faire. J'étais en manque, j'avais envie de me branler je ne vous dis pas, c'était l'horreur. Je bandais comme un fou et je ne pouvais pas me soulager. À cet instant j'ai souhaité qu'il me défonce le cul comme il l'avait fait la veille avec ma bouche. 

J'avalais sa queue sur toute sa longueur, jusqu'au fond de ma gorge. Je commence à avoir l'habitude. Il n'appuyait pas sur ma tête, il me laissait faire. Il se réveillait doucement et je suis sûr que c'était un très bon réveil … Pour lui ! Il commençait à me caresser le dos, sa main descendait jusqu'à mes fesses, il glissait un doigt entre. La main suivait à plat jusqu'à la base de mes couilles, là ou se trouve le cock-ring, il continuait sur mes couilles. Il me les caressait, me les tripotait sans violence, il les prenait à pleine main et les serrait fort, pas trop, pas pour me faire mal mais suffisamment. Ma bite se révoltait, c'était pas la première fois depuis la veille qu'elle se révoltait celle là ! 

Moi je restais très concentré sur ce que je faisais. Ça se présentait bien cette affaire, il passait un doigt tout autour de mon anus, il appuyais sur mon trou de balle, un pression douce, il y allait avec douceur. Il revenait sur la raie de mon cul qu'il caressait avec insistance mais sans essayer de forcer le passage. J'étais détendu, je me laissais faire, j'avalais facilement sa queue maintenant,il me motivait. Je gémissais de désir, il gémissait de plaisir et finissait par exercer un légère pression sur ma tête. 

J'aurais du me douter que … Mais je ne pensais qu'au moment ou il allait se retourner, me retourner et me défoncer le cul quand il jouissait dans ma bouche. Il retenait alors ma tête avec douceur, comme pour me dire de bien tout avaler. C'est ce que je faisais, j'étais vexé, déjà il débandait et sa main ne s'intéressait plus qu'à mes fesses, ses doigts ne se promenaient plus sur mon anus. Je le sentais s'étirer de tous ses muscles, il me caressait la joue, se relevais et.

Francis : Si tu me préparait un petit déjeuner au lit tu sais que tu serais vraiment un amour.

Il me donnais alors  un baiser sur la joue et devinez quoi … Et bien je l'ai fait !

Ça s'est passé comme ça tous le matins sauf que j'ai pas fait le petit déjeuner tous les jours mais pour le reste, c'était comme ça tous les matins. On arrivait vite au week-end. C'est lui qui décidait du programme. 

Il m'entraînait chez des copains à lui. J'en connaissais vaguement plusieurs de vue, sans plus quoi, on n'avait pas baisé ensemble, en fait donc je ne les connaissais pas ! La soirée se passait bien, on picolait, on écoutait de la musique, on chantait, on dansait. Sous l'effet de l'alcool trois de ses copains se retrouvaient à poil. C'est vrai que ces trois là n'ont pas forcément besoin d'alcool alors avec vous imaginez après quelques verres ! Je les connaissais bien pour ça !

Bon il y en a encore un qui n'arrive pas suivre ! Quand je dis que je les connais biens les mecs c'est que je les connais bien mais quand je dis que je ne les connais pas c'est qu'on n'avait pas baissé ensemble. Voilà, c'est tout. 

Il y a plein de mec que je connais bien et même très bien mais c'est pas pour ça que je les connais bien … Pigé ? ( je sais pas si j'ai été clair là moi ? ) … Et pour les filles ? Quand je dis que je la connais bien ? … Si il y en a qui on déjà du mal à suivre, avec les filles ça va être pire !

Passons …

Francis venait vers moi et en même temps appelait un de ses potes qui était à poil, le gars s'asseyait juste à côté de moi.

Francis : Suce le !
Moi : Mais ça va pas ! Pas devant tout le monde comme ça ! Et puis je suis tout habillé et si je me déshabille …
Francis : Tu n'as pas besoin de te déshabiller pour lui sucer la queue !
Moi : Non ! Je veux pas ! Pas comme ça !
Francis : Tu te souviens du contrat qu'on a passé ?

Je le regardais l'air bête. Puis il me glissait à l'oreille ...

Francis : '' Tant que cela ne dévoilera pas ton secret '' ! Tu restes habillé, personne ne te touche, tu le suces ! ( et il rajoutait … ) Tu seras mignon !

C'était un argument ça ! Je m'exécutais. 

Le mec n'y croyais pas, il me regardait faire, au début il croyais que je déconnais, que j'allais pas vraiment le sucer devant tout le monde, puis finalement … Par contre il ne me touchait pas, pas une caresse dans les cheveux, il me laissait faire sans intervenir. Il continuait à faire le mariole, à déconner, à faire   des commentaires et à picoler. Là, pour les commentaires je ne risque rien, je fais ça comme un dieu et je n'ai jamais eu de mauvais commentaires. Les autres applaudissaient et m'encourageaient. 

Je me lâchais, j'avais tellement envie d'une bite que je m'en régalais, surtout que le mec comme j'expliquais tout à l'heure je ne le connaissais pas. Il était bien foutu, une belle queue de seize centimètres et demie … Oui ! Je le confirme ! Tout juste. J'ai pas besoin de règle pour mesure ça moi, j'ai le compas dans l’œil ou je devrais plutôt dire sur la langue. Quatre centimètres de large, normal quoi, même si moi je suis plus large … Enfin en temps normal parce que depuis quelques jours … C'est plus tout à fait ça …

Bein oui ça va faire quatre jours que je porte ce truc en permanence ! La vache, je me disais, '' j'espère que le truc que j'ai fabriqué est solide sinon il va exploser avec la pression de ma queue '' . C'est que j'ai une bite musclée moi mais bon, pas assez ! Le truc il n'explosait pas. Mais ce qui m’explosait à la gueule c'était la queue du mec. Au moment ou il jutait je l'avais bien en bouche et c'était pas trois gouttes qu'il lâchait. Tout le monde autour criait : '' Aval ! Aval ! Aval ! ''. Je suppose qu'il voulaient que j'avale. C'est ce que je faisais. Je suis un garçon très serviable moi ! Le mec me tapotait doucement sur la tête en me félicitant ! Je vous avais bien dit que je ne redoutais aucune mauvaise critique. 

Les trois potes qui étaient à poil aimaient bien faire les cons, c'était évident et ne s'en privaient pas. Le premier se levait, il bandait encore et quelque chose me dit qu'il ne devais pas être le seul dans la salle … Au contraire, c'est moi qui devait être le seul à ne pas bander. Francis me regardait d'un œil amusé et me faisait oui de la tête quand le second des trois mecs prenait la place du premier.

Il me tendait une canette de bière, j'en buvais la moitié d'un trait et procédait. Lui il faisait tout juste dix sept centimètre, la différence ne se voit pas à l’œil nu mais j'ai le nez, enfin la langue. Par contre il était plus large que le précédent quarante cinq millimètres avec un gland, un très beau gland qui arrivait à quarante neuf. 

Si il y en a un qui ne me croit pas, il le dit, je lui donne l'adresse et il pourra aller vérifier ! Je vous le dis moi j'ai un pied à coulisse sur la langue et je suis calibré au millimètre près !

Tout comme le premier il n'intervenait pas, il me laissait faire. Il commentait. Je prenais un vrai plaisir, à partir d'une certaine taille c'est un vrai bonheur de sentir une queue vous pénétrer la gorge, le cul c'est cent fois meilleur mais le cul … Pas ce soir il à dit Francis. J'appuyais ma tête et la bite rentrait, je la soulevais la bite ressortait, un instant je la massais doucement mais avec fermeté puis je recommençais sans oublier de lui caresser l'intérieur des cuisses, de lui masser doucement les couilles, et la base de son sexe. Ses gémissements de plaisir m'indiquait que je m'y prenais bien, il était aux anges. Quand je relevais la tête je jetais un œil vers son visage, il avait la tête penchée en arrière et ne cessais de gémir de plaisir. Dans la salle c'était le silence total, il y avait de la musique mais à par ça plus personne ne parlait. Je parvenais à jeter un regard rapide, plusieurs mecs avaient ouvert leur braguette et se masturbaient, quelques un faisaient la même chose que moi, eux aussi ils suçaient une queue et le troisième mec à poil juste à côté de moi me regardait faire, il bandait ferme et se caressait doucement, juste pour le plaisir de bander.

Je continuais à sucer la queue que j'avais juste devant moi. Le gars respirait plus fort et je sentais qu'il allait éjaculer. Il devait avoir fait un signe car à ce moment le groupe recommençait … '' Aval ! Aval : Aval ! ''. Bon ça va j'ai compris, quelques instants plus tard il jutait dans ma bouche, il me caressait doucement la joue comme pour me remercier. Il se relevait, je le regardais, il se penchait vers moi et me donnait un baiser très doux.

Le troisième prenait sa place. Lui il était plus petit, à peine seize centimètres … 

Je vois qu'il y en a qui chipotent … Qunize cinq  pour être précis sur quarante … Et ceux qui chipotent peuvent aller vérifier. J'ai l'adresse aussi. C'est comme pour ce qui est de sucer, vous ne me prendrez pas en faute. 

Là c'était facile les petites bites sont plus faciles à sucer mais c'est pas pour ça qu'il faut bâcler. Remarquez là je commençais à être un  peu fatigué, et j'en aurais pas fait un autre, je sentais la crampe arriver. J'avais presque oublié ma queue en cage moi. D'une main je vérifiais au travers de mon pantalon, il y avait de la pression, la cage était bien pleine mais la pression devenait douce. J'avais une grosse molle qui remplissait bien mais c'est tout ! Je continuais à sucer, je le branlais aussi, je lui massais les couilles. Il ne prévenait pas au moment ou il allait jouir et je ne sais pas si c'était la fatigue mais je ne voyais rien venir. J'avais la tête relevée et je me prenais trois belle giclées de sperme sur la figure. Tout le monde éclatait de rire, je relevais la tête vers Francis qui rigolait en me voyant ainsi. 

La soirée ne se terminait pas là mais pour moi si, je n'accordait plus ma tendresse que pour mon copain Francis. Je commençais sérieusement à avoir mal à la mâchoire. 



EP 7 : JUSQU'AU WEEK-END



On avait décidé de dormir chez Francis ce soir là. Il ne me sollicitait pas ce soir là, il avait picolé et n'avait qu'une seule envie … Dormir. Je dormais pas trop mal, j'avais une terrible envie de me branler, de me faire défoncer le cul ou d'en défoncer un. Enfin ce soir là j'avais fait le tour du ou des plaisirs que sucer des queues pouvait me donner. En tout cas pour ce soir. Ça ne faisait que quatre jours que j'étais sous clé.

Quatre jours et je m'étais engagé à rester encore comme ça pendant la semaine à venir. On n'avait pas décidé si je serais libéré avant ou après le week-end. Cet enfoiré le fera après c'est sûr. Il va me faire languir, j'aime pas ça moi ! Tu te retrouves sans savoir quand tu sera libéré ni même si tu va l'être. Tu sais pas combien de temps ça va durer cette histoire. C'est nul. Tout ce que tu gagnes c'est de la frustration … C'est nul ça la frustration. Moi ce que j'ai toujours voulu c'est de pouvoir me branler quand je voulais, tirer mon coup à volonté, et me faire défoncer le cul à satiété ! 

Mais pourquoi j'ai voulu porter ce genre de truc moi dans ce cas là ?

Bon c'est nul et demain je le retire. Après tout je suis pas obligé, je fais ce que je veux. Après demain je l'enlève. Je le garde jusqu'à la fin du week-end et ensuite je laisse tomber ce genre de délire … Ça aura duré bien assez longtemps.

Jusque là c'était bien la chasteté, excitant et jouissif. Excitant je bandais tout le temps ( remarquez ça me changeait pas beaucoup sur ce point ), jouissif je me branlais tout le temps ( pareil ça ne me changeait pas vraiment non plus ). Mais là c'est plus drôle du tout cette histoire je ne peux même plus bander, je peux plus me branler ni enculer un mec ( je précise ''un mec'' parce que je sais pas si vous avez compris, il y a un lecteur au fond qui avait du mal un peu plus tôt, mais les filles, c'est pas mon trip ). La chasteté j'aime bien, ça me fait bien fantasmer mais uniquement quand je peux baiser à volonté. 

Je sais pas si c'est moi mais brusquement je ne suis plus convaincu du tout par ce que je viens de dire à l'instant ...

Si j'avais su j'aurais pas venu ! La semaine qui suivait se passait comme il l'avait prévu. Finalement j'avais gardé le truc, je m'étais donné une semaine de réflexion … Tous les matins je me réveillais et je lui suçais la queue. Le midi si on avait le temps de faire une pause et de se retrouver, je lui suçais la queue. Le soir devant la télé … Bein oui toujours… Je le suçais ! Pour ce qui est de sucer là je suçais. Je n'avais jamais autant sucé de toute ma vie. C'est pas que j'aime pas ça mais j'aime bien me faire enculer aussi et Francis il ne voulait pas. J'ai l'impression qu'il s'amusait à me frustrer. Je me demande bien qui lui à mis une telle idée en tête … Oui bon je m'en doute bien un peu finalement, il faudra que je fasse attention à ce que je raconte moi maintenant … 

La seconde semaine se terminait et j'avais donc toujours le dispositif sur moi. C'est le moment que je choisissais de mettre fin à l'aventure. Je lui annonçais que je renonçais … Il me regardait avec beaucoup de douceur … '' Bein alors doudou tu veux laisser tomber à ce que je vois ''… Je disais oui et il continuait … '' C'est sûr c'est pas un projet facile, ça ne m'étonne pas, je me suis renseigné depuis ces derniers jours et je comprends. ''. Il se branchait sur internet et ouvrais les différents sites que j'avais visité depuis des semaines. On parlait, on parlait … Il s'intéressait à moi, à mon projet, à mon truc. On passait un très long moment à discuter de ce que je ressentais, de ce que j'avais voulu rechercher, de ce que j'espérais trouvé. Il me disais que je pouvais renoncer quand je voulais, qu'il ne me ferait aucun reproche, qu'il serait discret et n'en parlerait pas si je le lui demandais. Que si je sentais que c'était pas possible, il valait mieux renoncer … 

J'avais déjà passé dix jours avec un dispositif de chasteté sur moi …  '' Et pour un branleur comme toi ça, c'est déjà une grande victoire … ''. Il me disait ça, il est mignon quand il veut. Il rajoutait  : '' Tu avais décidé de tenir jusqu'à la fin de la deuxième semaine et tu l'as fait. Tu peux être fier de toi !''. Je me sentais fier. 

On continuait la discussion sur ce que cherchaient les porteurs de ce genre de truc, ce qu'ils pouvaient éprouver, sur ce que j'avais recherché … Mais il me disait toujours : '' C'est peut être pas pour toi ? '' … '' Je te propose un truc, je te sors au restaurant et quand on rentre je te donne la clé … ''. j'acceptais, je me sentais bien, il y avait de la pression  mais j'étais détendu et je sentais de nouveau un certain plaisir provoqué par la contention de la cage contre ma bite. C'était agréable à ce moment, j'y prenais du plaisir. J'étais frustré mais agréablement frustré. C'est ce que je j'avais recherché. Il y avait un restaurant pas loin de chez lui, un bon restaurant pas un de ces truc ou on vous livre deux tranches de pains avec je ne sais pas quoi entre et des frites. 

Comme on était à pied on en profitais pour picoler un peu. On continuait à discuter. On abordait le sujet dans tous les sens, ça me faisait un bien fou. On rentrait chez lui, il n'était pas trop tard. 

Francis : Il y a un truc que j'aimerais bien faire …
Moi : Oui, vas y, parle !

En me prenant dans ses bras avec force et douceur …

Francis : Je voudrais te baiser alors que tu portes encore don dispositif. Je voudrais t'utiliser comme un sex-toy …

Je lui répondais en l'embrassant avec passion, ma queue protestait comme si elle avait deviné la suite de l'histoire. 

Il me serrait fort dans ses bras et me faisait un gros câlin. On s'embrassait avec douceur au début puis avec passion puis avec fougue puis avec … Comme des fous ! Depuis ces jours les relations qu'on avait eu se limitaient à … '' Suce moi la queue '' et je lui suçais la queue

Il m'embrassait partout sur le corps en commençant par le haut. Il faut bien commencer par un bout … D'abord des baisers passionnés sur les lèvres. Suivaient des baisers dans le cou, on alternait et je le couvrais de baisers moi aussi. Il m'embrassait ensuite sur le torse en me caressant avec une extrême douceur, il me chatouillait et je frissonnais en riant. Quand il arrivait au nombril il m'ouvrait mon pantalon et me le retirait. Il continuait à m'embrasser les cuisses, puis me massait les couilles, il me gobait les couilles. Il les prenait complètement dans sa bouche, les aspirait et tirait doucement mais fermement. Je sursautais et avais le réflexe de me retirer mais il ne lâchait pas. Je sentais sa langue qui me malaxait les couilles, il ouvrait largement la bouche et elles ressortaient , il me regardait avec un large sourire. Il m'embrassait de nouveau sur la bouche. A part le petit dispositif de chasteté j'étais nu devant lui. Je bandais … J'avais une violente envie de me branler, de me tripoter la queue ou encore qu'il le fasse . Javais aussi envie de me faire enculer. On va commencer par ça, ensuite je me branle et je lui demande de me sucer à son tour. 

C'est moi qui maintenant, le caressais, le couvrais de baisers, je lui faisais ce qu'il m'avait fait sauf qu'au moment ou je lui retirait son pantalon, moi, je lui suçais la bite. C'était nouveau ça pour moi … Enfin quand je dis nouveau, ça me semblait nouveau, pour une fois ça n'avait pas commencé par un '' Suce moi la queue !''. Mais je la lui suçais, et avec plaisir. Il s'en rendait compte. J'avais le feu au cul et ma cage était devenue tout petite ou alors c'est ma queue qui était devenue trop grosse.

Francis : Tu suce mieux que d'habitude !

Je ne répondais rien mais je continuais. Je lui gobais les couilles également. Je le sentais se contracter, c'était nouveau ça, je ne lui avais jamais gobé les couilles comme ça, il est évident qu'il faut le faire avec beaucoup de douceur sinon ça doit devenir très désagréable. Je faisais très attention, je faisais preuve d'une grande douceur et je le sentais se détendre et gémir de  plaisir. 

Il était allongé sur le dos et je lui faisait plaisir, je me frottais contre lui, je le prenais dans mes bras. Je le suçais, il me laissait faire. Il me retournait et c'est moi qui me retrouvais sur le dos, il me caressait partout, m'embrassait partout avec beaucoup de tendresse. 

Doucement mais avec force il me relevait les jambes et me posait les chevilles sur ses épaules. Mon cœur battait très fort, j'en avais envie, j'en avais tellement envie. Il se lubrifiait la queue et fermement il me l'introduisait bien à fond dans le cul en un mouvement rapide et ferme. Je gueulais de plaisir. C'était pas la première fois que je me prenais la queue de Francis dans le cul mais ça n'avait jamais été aussi bon. Je sentais mon anus se dilater et c'était très agréable, intense mais terriblement agréable. Je hurlais de plaisir et m'accrochais à lui !

Il me limait le cul avec force mais sans violence. Je gémissais de plaisir à chacun de ses mouvements, il y allait doucement, il ne voulait pas jouir trop vite aussi il y allait lentement. Des mouvements amples et lents, très amples. Par moment il se retirait totalement, me donnait un baiser sur le torse puis revenait bien à fond en un mouvement rapide et ferme. Il appuyait fort, restait dans cette position un instant puis se retirait de nouveau et continuait à me limer.

Il me disait de me retourner et de m'allonger sur le côté, il se plaçait alors juste derrière moi et me pénétrait de nouveau. Il m'embrassait dans le dos, en haut du dos ça chatouille et c'est agréable tout en me retenant dans ses bras. Il me caressait les couilles. Le plaisir montait vite, le plaisir devenait vite intense. Je jouissais comme je n'avais pas joui depuis des mois. C'est en tout cas l'impression que j'avais. C'était tellement bon, j'avais presque oublié ! J'éjaculais avec force, une ou deux giclée parvenait à sortir avec énergie par l'orifice de ma cage, le reste coulait lentement par les orifices d'aération. 

Il continuait à me limer le cul pendant un long moment, je tremblais, je frissonnais, je serrais ses bras contre moi. Il me serrait fort dans ses bras et continuait ses mouvements. Il ne prévenait pas avant de jouir et de juter dans mon cul, c'est seulement à ce moment que je remarquais quelques chose. Il tremblait lui aussi et me serrait contre lui de toutes ses forces puis ne bougeait plus. 

Je m'écroulais, j'étais comblé. Il finissait par me lâcher et me donnais la clé. 

Moi : Je vais encore le garder cette nuit, je le retire demain et je t'encule.
Francis : Ça marche, demain tu m'encules mais je t'encule aussi alors.

Il me faisait rire, je l'embrassais et je finissait par m'endormir dans ses bras. Cette nuit là j'ai vraiment bien dormi.

Le lendemain matin j'étais réveillé par ses caresses et ses baisers. Au moment ou j'ouvrais les yeux il m'enfonçait sa queue dans le cul. Il ne m'avait pas prévenu et je poussais un long gémissement, un long râle de plaisir. Ça passait tout seul, il m'avait préparé à ça la veille. Il reprenait là ou il en était avant de s'endormir. Rapidement le plaisir montait, rapidement je jouissais par le cul, je n'éjaculais pas mais je jouissais vraiment. Je tremblais, je frémissais, je gueulais des '' Encore … '', des '' Vas y baise moi … '' … Bref je l'encourageais même s'il n'en avait pas besoin. Ma queue était encore sous pression dans sa cage mais c'est normal pour un réveil. On bande toujours quand on se réveille. Enfin moi je bande toujours au réveil …

Il finissait par jouir dans mon cul en poussant des cris de plaisir et restait là sans bouger, la bite bien plantée dans mon cul.  Il me donnait seulement quelques baisers pleins de tendresse dans le haut du dos. C'était bon, je frissonnais de plaisir.  Ma queue poussait de toutes ses forces et c'était bon de sentir cette pression qui l'empêchait de grossir comme elle le voulait. C'était bon, frustrant mais bon.

La clé était sur la table de nuit et je la remarquais tout de suite. 

Si je compte bien, j'ai porté mon dispositif pendant la fin de la première semaine, puis la semaine suivante, comme je l'avais prévu au départ. J'avais relevé mon défi. Woué ! Lui voulait au départ rajouter deux autres semaines mais ça m'avait paru trop long, ça me foutait la trouille. Je me sentais bien, terriblement bien. Je venais de prendre mon pied, pas avec ma bite c'est vrai mais j'avais tout de même pris mon  pied avec mon cul.

Francis : La clé est là, c'est quand tu veux.
Moi : Range là je crois que je vais prolonger un peu. 

Il m'embrassait avec douceur.

Moi : Je ne te promets pas que je vais le garder deux semaines mais je  prolonge quelques jours.

Donc ça c'était il y a trois semaines ...

J'ai comme l'impression que je me suis fait avoir sur ce coup ! D'abord on ne devait rajouter que deux semaines et on est à trois. Je portais ce truc depuis quatre semaines et demie maintenant moi. J'ai la tête en feu et le cul aussi ! On avait changé les règles.

Les nouvelles règles sont un peu différentes. Je dois supporter une abstinence totale pendant la semaine ou en tous cas en son absence et le week-end ou en sa présence je deviens un jouet entre les mains de Francis … Et il m'encule si je le lui demande … Sur ce dernier point c'est même pas nécessaire de lui demander. Bon j'ai pas le droit de refuser, pour lui c'est pareil. Donc depuis trois semaines je me suis fait enculer quinze ou vingt fois ( plusieurs fois par semaine ) je l'ai sucé au moins autant de fois … Bon par contre je ne me suis pas branlé, sur ce dernier point que dalle … Ah oui aussi, on n'habite plus ensemble. 

Vous ne vous imaginez pas que je vais me mettre en couple avec une tafiole … Faut pas rêver ! Vous lui dites pas que je l'ai traité de tafiole … Je compte sur votre discrétion, sinon il va gueuler.

C'est vrai que ça fait long ça, quatre semaines et demie … Je le sens bien, dans mon corps je me sens bien mais dans ma tête c'est un peu la folie. Je suis en manque … Dans ma bite c'est le délire, je bande dix fois, cent fois par jour et à chaque fois je le sens bien, à chaque fois j'ai un envie de me branler, à chaque fois l'envie est encore plus forte. Il n'y a plus que les coups de bite dans le cul que me donne Francis qui me calment … Heureusement qu'il est là lui. 

Cette grosse tafiole !

Je ne sais pas si j'aurais continué cette aventure sans lui, en tout cas je ne l'aurais certainement pas continuée comme je le fais. Plus de quatre semaines d’affilé, pour un premier essais c'est long. Très long. Trop long. Bon ce coup ci je fais une pause, je le retire juste avant le prochain weed-end.

Je demandais la clé à Francis ( la tafiole ). Et il recommençait …'' Alors doudou tu veux retirer ton truc ? ''. Là j'éclatais de rire, il ne va pas me rouler deux fois de suite. Là je l'avais venu venir … 

Moi : Ouai ! C'était un bon début ça quatre semaines et demie. C'était une expérience étonnante, riche en sensation, riche en découvertes sur moi-même …

Il n'insistait pas et me donnait la clé …

Francis : J'aimerai te lancer un autre défi.
Moi : Je t'écoute.
Francis : Je voudrais que tu ne te branles pas, je vais te sucer … Ça devrait être amusant ça … Après un mois d'abstinence …



EP 8 : JE LAISSE TOMBER



Il me proposait de me sucer la queue ! Bein mince alors ! C'est que j'ai rien contre moi ! 

Moi : Bon d'accord je te laisse faire mais c'est bien pour te faire plaisir … 
Francis : Tu es sérieux là ?
Moi : Oui bien sûr, je suis prêt à me sacrifier pour te faire plaisir …
Francis : J'y crois pas !
Moi : Bon tu te décides avant que je ne change d'avis ?
Francis : Je ne sais pas j'hésite … Je ne sais pas si j'ai le droit de te demander un tel effort …
Moi : Mais si tu as le droit. Mais si tu as le droit !
Francis : Peut être pas tant que ça ! J'apprécie beaucoup ton sens du sacrifice mais … Vois-tu …
Moi : Oublie ce que je viens de dire … Je suis ton jouet sexuel et tu as le droit de t'amuser avec moi !
Francis : Tu n'as pas peur si je te dis que je cassais souvent mes jouets quand j'étais petit !     
Moi : Mais je suis solide, je ne casse pas facilement moi !
Francis : Peut être mais …
Moi : Et puis je suis ton esclave sexuel, tu n'as pas oublié ?
Francis : Ça ne risque pas tu es nul comme esclave sexuel !
Moi : Je ferai un effort mais vas y suce moi.
Francis : Tu es demandeur finalement !
Moi : Mais pourquoi il a fallu que je rajoute mon commentaire moi ?

Pendant tout ce temps j'avais ouvert et retiré mon dispositif et je commençais à me tripote, rapidement je bandais …

Moi : Francis !
Francis : Oui mon petit Dean .
Moi : Suce ma queue !
Francis : OK !

C'est vraiment un bourrique quand il s'y met celui-là ! C'est vrai que moi aussi, j'aurais mieux fait de me taire ! Bon finalement on y arrivait, je me laissais tomber sur le fauteuil, les jambes bien écartées. 

Bien installé je ne bougeais plus … Je bandais ferme … Ça vous étonne ? 

Il est mignon quand il veut Francis mais il y a des fois ou il un peu … Bourrique ? … Ouai bourrique c'est le mot exacte !

Par contre il suce bien !

J'avais presque oublié ce que ça faisait, mais c'était bon, c'était tellement bon … Et en plus il fait ça bien ! Moi aussi mais c'est pas de moi qu'il s'agit là … Mais il fait ça vraiment bien quand il veut, et là, il s'appliquait ! 

Il avait d'abord commencé à passer sa langue sur mon gland, doucement en prenant bien son temps. Il insistait longuement sur le petite fente, l’urètre comme s'il voulait y entrer le bout de sa langue. Le gland bien humidifié il passait un doigt avec une extrême délicatesse sur le dessus et me caressait avec son pouce sur le dessous. 

Je n'avais rien à faire et je sentais ma queue se contracter par intermittence sans que je contrôle quoi que ce soit. Par moment la sensation devenait plus forte et je sursautais. Je me relevais alors sur mon fauteuil, me contractais et m'accrochais aux accoudoirs … Il ralentissait le mouvement, me frôlait plus qu'il ne me touchait et quand je me détendais enfin totalement il reprenait.

Il savait faire durer le plaisir, et heureusement, sinon je ne vous dis pas , ( oh et puis si je vous le dis ) j'aurais éjaculé en un rien de temps … Ça faisait quand même plus d'un mois que ça durait cette histoire … C'est pas humain, j'ai vraiment des idées de malade … On m'a souvent dit que j'étais grave, et ceux qui m'ont dit ça ne savaient pas pour le '' truc '', je ne sais pas  ce qu'ils auraient dit si ils avait su ? 

En tous cas il suce bien Francis. Plus d'un quart d'heure s'était passé et il avait réussi à me donner un plaisir fou sans me faire juter. Je respirais fort, et souvent je me cramponnais aux accoudoirs. Heureusement qu'ils étaient en tissus, en cuir j'y aurais laissé la trace de mes ongles … 

Maintenant il me branlait avec douceur, un coup de langue puis il reprenait. Il finissait pas la prendre dans la bouche. J'avais toujours pas éjaculé, je ne comprenait pas comment ça pouvait durer aussi longtemps. C'était bon, tellement bon que normalement  j'aurais du en finir depuis un bon moment ! Mais il devinait le moment ou j'allais tout lâcher et il s'arrêtait un peu avant. Il ne m'avait jamais sucé comme ça avant !

Il avalait mon gland maintenant et appuyait sa tête de plus en plus. Ma queue entrait maintenant à moitié. Je sentais sa langue, il ne la bougeait presque pas, il ne voulait pas faire jouir trop tôt. Et il y parvenait le bougre, je serrais dans mes mains le tissus des accoudoirs résistait, pourtant je serrais fort !

Il ne mollissait pas, il avalait ma queue complètement maintenant et je ne jutais toujours pas. C'était un truc de fou, je ne parvenais pas savoir si c'est moi qui me retenais ou bien si c'est lui qui était assez habile pour ne pas me pousser trop loin, je tremblais à chacun de ses mouvement j'avais l'impression que j'allais éjaculer et … Rien !

Ma queue s'enfonçait jusqu'au fond de sa gorge maintenant à chaque fois qu'il penchait sa tête vers moi, son nez s'écrasait sur mon ventre et il faisait des bruits de succion. Depuis un petit moment il ne se retenait plus … Non il ne se retenait plus de me faire jouir, c'est au contraire ce qu'il voulait faire maintenant. Ça ne venait pas, je tremblais, je me cramponnais de toutes mes forces, je contractais tous mes muscles, je serrais les dents. Rien ne venait.

Puis sans que rien ne me prévienne je sentais en quelques secondes seulement un plaisir monter, je passais le point de non retour et quelques secondes plus tard sans avoir rien montré j'éjaculais dans sa bouche. J'éjaculais plusieurs fois de suite, il encaissait sans broncher et continuait à me sucer encore pendant un long moment après ça.

Il finissait par relever la tête et me regardant l'air bête …

Francis : Et bien c'était quelque chose !

Je le regardais sans bouger, j'étais toujours aussi contracté, je respirais toujours très fort mais plus lentement. Je me sentais bien, soulagé … Peu à peu mes muscles se détendaient et je retombais sur mon fauteuil. Quelques instants plus tard j'étais effondré de mon poids au fond du fauteuil, tous mes muscles étaient détendus, je n'étais pas seulement soulagé, c'était bien plus. 

Dans les semaines qui suivaient je reprenais le rythme de ma vie habituelle. Je me faisais sucer, je suçais tout ce traînait, je me branlais, je branlais qui le voulait bien, je me faisais branler, j'enculais qui je trouvais et me faisais enculer par qui le voulait bien … 

En un mot la banalité quotidienne d'un obsédé sexuel plutôt mignon, disponible, actif-passif !

Je sortais beaucoup comme si j'avais du temps à rattraper. En fait j'en avais un peu, quatre semaines et demi c'est pas rien ! Bon maintenant je suis content. J'ai réussi mon challenge, c'est cool ! Bien maintenant je laisse tomber. 

C'était un défi que je m'était lancé et je l'avais gagné. Je pouvais être fier de moi. Aussi je décidais clairement que j'en resterais là.

J'avais découvert de nouvelles sensations, c'était pas tous les jours facile, mais j'avais parfaitement surmonté l'épreuve. Je pouvais abandonner sans honte. 

J'allais revenir à ma vie normale genre … Métro, boulot, sodo … Finalement c'est bien mieux. En plus je sais ou je vais en vivant comme ça ! Donc je laisse tomber.

Finalement c'était pas si dur que ça ! Bon c'était pas toujours cool mais j'ai découvert des plaisirs exotiques particuliers. Inattendus mais particuliers et finalement … Mais bon j'arrête !

Il y a même des jours ou c'était génial. Mais bon c'est pas pour ça que je vais continuer … Certainement pas ! Je reprends ma vie de libertin et youpi je rigole … 

Le plus souvent c'était insupportable mais par moment c'était cool.

Et puis quatre semaines c'est bien suffisant. Demain j'arrête !

Mais pourquoi je dis '' Demain '' j'ai arrêté depuis un moment déjà en fait et puis je rigole bien moi, comme ça ! Je ne vais certainement pas recommencer mon expérience moi ! Je suis bien comme je suis là moi !

C'était pas toujours désagréables quand même !

Il y avait des moments ou c'était vraiment … Cool !

Et si je recommençais un peu cette expérience, pour voir ! Juste pour voir ! Pas sur de longues périodes ! Juste comme ça … 

Ça ne sert à rien ! Non finalement ça ne sert à rien et puis … c'était cool par moment, je ne peux pas dire le contraire !

C'était vraiment cool ! Super cool !

En fait par moment c'était vraiment le pied ! 

Il y a bien des moments ou c'était atroce mais le plus souvent c'était … Je me souviens de ces matins, au réveil c'était douloureux puis quand j'avais fait une pause pipi, la douleur disparaissait, j'avais cette impression de bander ferme mais sans violence … Quand je dis violence, je veux dire sans gène … Ensuite je bandais encore un moment, je contractais ma queue dans ma cage, ça ne faisait plus mal du tout, c'était même agréable. 

Je me souviens quand je passais mon pantalon après une bonne douche, la pression restait forte mais je pouvais oublier les sous vêtements. Il n'y avait pas de risques d'une réaction importune et mes couilles bien fermes se frottaient contre mes cuisses à chaque pas … C'est vrai que c'était cool … Finalement j'ai adoré ça !

Par moment dans la journée, le truc tirait sur la peau de mes couilles. Là ça pouvait faire mal mais il suffisait de réajuster le dispositif, un passage dans les toilettes, un pause pipi et en général ça passait … A part ces moments, c'était cool en fait … 

Arrivé à ce niveau, je pensais tous les jours à mon dispositif, je ne le portais plus depuis moins d'un mois, je l'avais porté à peine plus d'un mois … Je ne voulais pas me le dire mais en fait j'avais envie de le remettre ! J'y crois pas mais c'est que c'est addictif ce genre de truc. 

Et puis il y avait Francis qui se faisait un plaisir de me soulager quand j'étais sous clé … Il est sympa Francis, il a le sens du sacrifice même si je ne suis pas sûr que ça lui coûtait vraiment … 

Par contre il est hors de question que je lui en parle. Si jamais il apprend que j'ai la nostalgie il va se foutre de ma gueule ! Je l'entends d'ici … Et en plus il voudra que je porte ce truc pendant plus longtemps. Il ne demandera certainement pas que je devienne son esclave sexuel, sur ce point il m'a trouvé trop nul. Mais je suis comme je suis. De toutes façons si il veut un esclave sexuel il n'a se débrouiller pour s'en trouver un le guignol. Moi je suis trop nul il m'a dit … Et je suis d'accord !

Ce soir là, c'était la première fois que je me faisais ces réflexions. La première mais pas la dernière. Je reprenais ma vie fantasque et libertine en oubliant toutes ces pensées … J'oubliais rapidement ces idées mais ces idées elles ne m'oubliaient pas … 

Je travaillais, pas tout le temps et quand je ne travaillais pas, soit je dormais soir je faisais la fête … Finalement c'était une variante du '' Métro, Boulot, Sodo '' pour moi c'était '' Boulot, Sodo, Dodo '' … C'est bien aussi ! …

On organisait des soirées entre copain. Robert, Didier, Gérard … Les plus proches venaient régulièrement. Ils avaient tous remarqué que j'étais plus câlin depuis quelques temps et ils en profitaient … 

Un soir chez moi, on était particulièrement chaud. Quand je dis on je parle de moi bien sûr … J'avais un peu bu, Didier revenait de vacances, on était en hiver mais il était tout bronzé la gars. Je ne pouvais pas lâcher du regard sa poitrine brune qu'il prenait le plus grand soin à ne pas dissimuler en ouvrant largement les premiers boutons de sa chemise. 

Plus la soirée avançait, plus le nombre de boutons ouverts augmentait. La soirée était loin d'être finie qu'on voyait son nombril. Il l'avait remarqué le clown que je le regardait. Je ne sais pas ce que j'avais ce soir là mais je ne m'occupais pas du tout de Francis. Ça ne semblait pas le déranger, lui il ne lâchait pas Robert. 

C'est vrai qu'il est bien aussi Robert. Mais qu'est-ce qui me prenait ce soir là ? Il me les fallait tous ou quoi ? C'est la chasteté qui me faisait ça ? Je dis n'importe quoi, c'était fini ça. Fini depuis des semaines, totalement oublié, du passé. Je ne sais même pas pourquoi j'y pensais à ce moment.

J'y pensais tellement que je pensais surtout à ça. J'avais envie de sentir ma queue confinée dans une cage comme quelques semaines plus tôt. Au moment ou Didier passait juste à côté de moi, je sentais sa chaleur, je passais ma main sur son torse, j'avais un verre à la main, il s'approchait du bar et se servait un verre. En réponse il me donnait un baiser juste en dessous de l'oreille. Un baiser très doux, je bandais …

Francis me faisait un sourire, il ne lâchait plus Gérard … Il est bien aussi Gérard. Je les connaissais bien ces trois là …

Bien sûr, là vous vous dites … On avait deviné qu'il les connaît, il nous a dit que c'était une soirée entre copains … Évidemment mais ce que je veux dire c'est que … J'ai baisé avec eux … Avec chacun d'eux … Sinon j'aurais pas dit que je les connaissais bien … Je suis un mec sérieux moi ! Enfin ! …

Bon je disais quoi moi avant ce commentaire totalement déplacé ?

Oui ! Donc Francis devait être aussi chaud que moi, c'est en tout cas l'impression que j'ai eu quand il s'est retrouvé coincé entre Rober et Gérard … Je dis coincé mais il n'essayait pas de se dégager … Peut être pas si coincé que ça finalement. Mais n'allez pas vous imaginer que Francis est un garçon coincé, c'est pas du tout le cas ! J'en sais quelques chose !

Didier non plus il n'est pas coincé, on discutait de choses et d'autres, un verre à la main. On s'était rapproché, je lui caressais le torse en lui faisant remarqué son bronzage. Il était allé passer des vacances à l'autre bout du monde et il revenait plus beau que jamais, ça ne le dérangeait pas de me montrer son bronzage, sa chemise était sortie de son pantalon et tous les boutons étaient ouverts. Il se penchait vers moi et me donnait un baiser très tendre dans le cou. Il continuait à me donner des baiser jusqu'au moment ou ses lèvres se posaient sur les miennes.

Un instant je jetais un œil vers Francis. Il était maintenant complètement écrasé entre Rober et Gérard mais il arrivait encore à respirer donc tout allait bien aussi de ce côté là. A ce moment je ne pensais plus du tout à la chasteté, je pensais à la queue de Didier, je la sentait contre ma cuisse dans son pantalon. Bien dure, bien ferme … Un peu trop peut être, je m'étonnais un peu … A bein non c'était son téléphone !

Nous avions posé nos verres, et il me tenait dans ses bras. J'avais passé mes mains sous sa chemise, j'adore la douceur de sa peau et je ne sais pas si ça venait de moi ou de son bronzage mais, ce soir là je trouvais sa peau particulièrement douce. C'est même sans le faire exprès ( ou presque ) que mes mains passant sur ses épaules faisaient tomber sa chemise, et c'est probablement presque sans s'en rendre compte qu'il laissait faire. 

Il se serrait contre moi et … J'avais un doute et me disais finalement : '' Oui cette fois ci c'est pas son téléphone … C'est prometteur, il est en forme !'' .

Je me penchais pour me mettre à genoux et d'un geste il me retirait ma chemise. Encore un coup d'œil vers les trois autres, ils étaient torses nues et d'où j'étais j'avais du mal à deviner à qui étaient chacun des bras qui dépassaient un peu partout … Donc tout allait bien !

J'ouvrais et baissais le pantalon à Didier, il bandait ferme et en effet c'était pas son téléphone. Je le suçais avant qu'il n'ai le temps de me le demander. Il m'encourageait avec une caresse dans mes cheveux et donnait des petits coups de bassin. 

Rapidement je prenais sa queue dans ma bouche jusqu'au fond de ma gorge. Il appuyait légèrement sur ma tête, il avançait le bassin, un peu comme un réflexe qu'il ne pouvait pas retenir. Il y allait doucement. Son pantalon tombait totalement sur ses chevilles. D'un mouvement des pieds il jetais ses chaussures et son pantalon plus loin et se retrouvait nu devant moi. Je me relevait lentement en couvrant son corps de baisers.

Quand mes lèvres rencontraient les siennes de nouveau il glissait ses mains sur mes fesses, juste sous mon pantalon. Ses mains passaient devant moi et mon pantalon s'ouvrait tout seul ( en tout cas moi j'ai rien fait ) il tombait sur mes pieds. Je faisais comme lui, j'étais nu et me collait à lui. Mais c'est que ses fesses aussi étaient bronzées …

On se frottait l'un contre l'autre, chacun caressait l'autre avec son propre corps. C'était doux, chaud, tendre … Le mouvement de nos corps ressemblait à une danse sensuelle . Il me glissai à l'oreille …

Lui : Tourne toi 
Moi : Non
Lui : Contre moi 
Moi : Non, pas comme ça 
Lui : Et danse …

Je me retournais.

Moi : Et tu les as pris ou ces réplique ?

Il rigolait, à ma question, je sentais une forte pression contre mon anus et il ne rigolait plus quand je le sentais enfoncer sa queue dans mon cul. Là je respirais fort ! Je gémissais et je soupirais, c'était bon. Ma bite se relevait devant moi, je la caressais avec douceur et de nouveau je me l'imaginais enfermée dans une cage. J'imaginais la pression que je devrais ressentir sur toutes sa longueur, sur tous les côtés en même temps. Je l'imaginais poussant contre les barreaux de cette cage. Je poussais un cri au moment ou son ventre s'écrasait contre mes fesses, il poussait de toutes ses forces. 

J'avais l'impression qu'il voulait me soulever, il me plaquait contre le mur et continuait ses mouvements, il se retirait et revenait, ses mouvements étaient amples et lents. La seule envie que j'avais sur le moment, c'était de grimper au rideaux. 

Je jetais encore un œil vers nos trois autres amis. Ils ne bougeaient plus. Francis était toujours coincé entre les deux autres mais il n'était pas encore violet donc il pouvait toujours respirer, moi je devais être tout rouge, j'avais le feu au visage. Ils regardaient tout les trois dans ma direction !



EP 9 : PAN DANS L'CUL



Didier se retirait puis revenait. Ses mouvements étaient toujours lents et amples. Un plaisir intense inondait mon ventre. Il accélérait doucement et semblait monter en puissance. J'avais le souffle court quand je sentais plusieurs mains se poser sur moi. 

Je n'ouvrais pas les yeux et je vibrais … Dans ma tête je me disais '' Bon Didier il à deux mains et j'en sens trois autres … Non quatre ! ''

J'avais deviné juste, je suis futé quand même ! En fait je ne savais plus, cinq ? On me caressait les cuisses, les couilles. Deux autres mains se promenaient sur mon torse, un bras passait par dessus mon épaule. Là c'était peut être Didier. Bon et puis je décidais de ne plus me pauser de question. Je m'écartais du mur et je m'appuyais toujours mais les bras tendus maintenant. On me retenais fermement. La seule partie de mon corps que personne ne touchait, c'était ma bite.

Ce  n'était pas un hasard, ils prenaient tous soin de ne pas me toucher la queue. Francis avait cafté ! Ça ne pouvait être que ça ! C'est un enculé ce Francis, je ne suis pas près de le laisser me toucher. Je me refuserai à lui jusqu'à … Enfin bon je me connais, ce sera jusqu'au moment ou il me s'approchera de moi, qu'il posera sa main sur moi, qu'il posera ses lèvres sur les miennes … 

Je me laissais aller à mon plaisir les yeux fermés et quand je les ouvrais, c'était le sourire de Francis que je voyais en premier. Il s'était glissé entre le mur et moi cet encu … Non finalement Francis c'est un amour. Il m'embrassait, et me glissait à l'oreille : '' Suce moi, tu seras mignon ''. Sans hésiter je me penchais et avalais sa queue, il guidait ma tête avec ses mains. Didier se lâchait, ses mouvements étaient violents il jouissait, il éjaculait dans mon cul. Trois violents coups de bassin qui m'auraient arraché des cris si je n'avais pas eu la bouche pleine puis il se retirait. Il me donnait une claque sur la fesse, quelqu'un le remplaçait … 

Je la sentais bien sa queue quand elle sortait de mon cul, je la sentais bien la queue qui s'enfonçait à nouveau bien à fond. J'avais la queue de Francis dans la bouche et je ne pouvais même pas retourner la tête pour voir qui c'était … Si c'est pas malheureux on me traitait comme … Finalement j'aimais bien la manière dont ils me traitaient à ce moment … 

J'avais une bite dans le cul, une autre dans la bouche et on me caressait un peu partout … C'était vraiment cool. Le mec qui me pilonnait il y allait de bon cœur, j'en prenais  plein les fesses. Il était violent, celui là encore il ne pensait pas à mon plaisir mais au sien, uniquement au sien. Pourtant j'aimais ça, c'était bon, si j'avais gueulé, j'aurais gueulé : '' Encore, vas y défonce moi le cul '' … '' Arrête tu me fais mal, j'en peu plus '' … Ouai je me connais, j'aurais gueulé les deux !

Enfin j'aurais gueulé quoi ! Là je ne pouvais que subir sans rien dire. C'était bien aussi, si j'avais pu gueuler il aurait peut être arrêté quand je lui aurait demandé et finalement … Wouah ! Je voulais qu'il arrête mais je voulais aussi qu'il continue. Comme je ne pouvais que la fermer, sauf que j'avais la bouche pleine, il continuait et ça avait l'air de l'amuser ! L'enculer … Mais là je me demande si c'est pas moi l'enculé … Finalement … La vache je le sentais bien lui aussi quand il jutait dans mon cul … 

Il se retirait et c'est à peine si on me laissait le temps de réagir avant que le dernier le remplace. Celui là il était plus rapide, ça faisait un moment qu'il se tripotait mais je le sentais bien lui aussi. Ma prostate demandait grâce, mon muscle anal suppliait, je tremblais, Francis jutait dans ma bouche juste au moment ou l'enculé se retirait de mon cul. Je fermais les yeux à ce moment et je ne sais pas dans quel ordre ils me sont passé dessus. 

J'avais joui ! Je n'avais pas vraiment juté mais j'avais vraiment joui, comme un fou. Je tremblais encore un moment  après. Ils sont mignons tout de même mes copains, ils ne me laissaient pas m'effondrer sur le sol, ils me soulevaient et me jetaient sur le canapé. Bon d'accord c'était un peu direct et le romantisme était retombé, mais ils étaient un minimum attentionnés.

Moi : Francis tu es un enfoiré je te hais !
Francis : Mais j'ai rien fait moi ou alors c'est parce que je ne t'ai pas enculé ?
Moi : Non c'est parce que tu as cafté !

J'étais allongé sur le dos et je gardais les yeux fermés.

Moi : Parfaitement tu m'avais promis que tu ne dirais rien et tu as cafté. Pourquoi tu leur à dit que j'avais porté un dispositif de chasteté ? C'est pas cool ça . 

J'entendais la voix de Gérard.

Gérard : Mais qu'est ce qu'il raconte ? Un dispositif de chasteté ? Il délire ?
Robert : Je veux voir ça moi, ça me branche !
Didier : Tu veux en porter un toi aussi ?
Robert : Non mais je veux bien baiser un mec qui en porte un moi !
Gérard : Tu le remet quand ce truc, et ça ressemble à quoi !
Moi : Ne me dis pas que tu n'avais rien dit ?
Francis : C'est comme tu veux !
Moi : Comment ça ? C'est comme tu veux ?
Francis : Bein c'est comme tu veux, je ne te le dirai pas …
Moi : Francis tu es vraiment un enfoiré, tu aurais pu me prévenir .
Francis : Te prévenir que je ne n'avais rien dit. Mais je t'avais promis que je ne dirais rien …

Les trois autres ils se marraient. Je les entendais …

… C'est quoi cette histoire …
… Vas y raconte …
… C'est une blague … 
… Moi je veux voir …
… Rien que d'y penser ça m'excite …
… Si je tombais sur un mec comme ça, là, je le baise dix fois de suite …

Moi : Dix fois de suite, on n'en demande pas autant !
Francis : Je peux leur raconter ?
Moi : Au point ou on en est !

Il commençait à tout leur raconter depuis le début. Ensuite ils s'attroupaient autour de l'ordinateur. Vous imaginez bien qu'il voulaient voir à quoi ça ressemblait ce truc. Je ne disais plus rien, je ne bougeais plus, je restais allongé sur le canapé à me demander : '' Mais pourquoi il a fallut que je parle moi ? ''. 

En fait si on y réfléchit bien, inconsciemment j'avais envie de tout raconter, et de continuer  cette expérience. De  plus en plus souvent j'y pensais à ce jouet. Aujourd'hui je ne m'étais pas branlé pendant qu'ils m'enculaient. J'avais pensé à ce truc, à la fin je ne pensais plus qu'à ça. On était chez moi …

Pendant qu'ils continuaient à délirer sur l'écran de l'ordinateur il ne s'occupaient plus de moi. Sans rien dire  je me levais, j'allais dans ma chambre, dans le tiroir de ma table de nuit. J'ouvrais la petite boite en carton, je regardais l'objet, je me sentais bien. On m'avait ramoné le cul, trois mecs l'un après l'autre et même si je  n'avais pas éjaculé j'avais joui, j'avais vraiment joui et je ne bandais plus. 

Rapidement je passais le cock-ring, je prenais bien le temps de l'ajuster. Ensuite je glissais ma nouille dans la cage, rapidement ma queue remplissait la cage. Elle ne poussait pas contre les parois elle gonflait un peu, mais restait toute molle et remplissait la cage en douceur. La peau faisait des petits renflements qui ressortaient par les trous d'aération. J'appuyais dessus, c'était rigolo.

Quand je revenais, personne n'avais remarqué que je m'étais absenté. Je ne disais rien et reprenais ma place sur le canapé. Je me sentais tellement bien que je ne réfléchissais même pas à ce que je faisais. Bon de toutes façons ils étaient au courant maintenant. Ensuite j'avais envie  mettre à nouveau ce truc sur ma queue depuis un moment et il fallait sans doute qu'on me pousse un peu. Voilà c'était fait. 

Ils continuaient encore un long moment à délirer sur les photos. Finalement Didier se retournait et poussait un cri de surprise quand il me voyait. Il appelait les autres qui se retournaient à leur tour. Ils ne cachaient pas leur surprise …

Didier : C'est donc ça ton truc !

Ils s’agglutinaient tous autour de moi. Gérard commençait à me taquiner pour voir comment je réagissais. Il me caressait le ventre, puis les couilles, tripotait ma cage. Les trois autres autour de moi en faisaient de même. J'étais devenu le centre d'intérêts. J'aimais bien ça moi. Leurs mains me caressaient partout et je commençais à bander comme un malade. La cage se remplissait mais cette fois ci il y avait de la pression, c'était bon, au début surtout, c'était même très bon. La cage se relevais. Chacun me proposait sa queue à sucer et je suçais tout ce qu'on me présentait devant la bouche. Ils m'attrapaient et sans me demander mon avis m'entraînaient au milieu de la pièce sur le tapis. '' A genoux ! '' je m'exécutais. Je me retrouvait à genoux sur mon mon tapis mais ça va il est très épais et c'est confortable. 

Didier : Je commence !

Il se plaçait debout devant moi, je comprenais vite ou il voulait en venir et sans attendre j'ouvrais la bouche. Lui non plus sans attendre il m'enfonçait sa queue dans la bouche, il appuyais bien sur ma tête et me forçait à la prendre jusqu'au fond de la gorge, il balançait des coups de bassin violent rapides et secs . Je l'ai senti passer le petit Didier ! Il ne m'avait jamais fait ça avant, enfin jamais à ce point. 

Je tentais bien de le freiner avec les mains mais voyant ça mes camarades me les attachaient dans le dos avec une ceinture. Je n'avais pas le temps de réagir et au moment ou je voulais protester je ne pouvais déjà plus bouger. Ils me tenaient tous et Francis leur racontait … Pour le jouet sexuel … Et là je peux vous garantir que, c'est vrai qu'il y avait l'effet de groupe, mais là il me traitaient vraiment comme un jouet. Didier me pilonnait la bouche sans ménagement un autre allait chercher une serviette à la cuisine. Il me bandait les yeux. Ça me rappelait quelque chose ça !

Didier laissait ensuite la place à Francis, puis Gérard pour finir par Roger  comme je vous le disais je les connais bien et je reconnaissais les queues facilement. Je vous jure, ça avait l'air de les amuser cette histoire. Au début moi pas trop mais je finissais par y prendre goût. 

Ensuite on me relevais pour me pencher contre le fauteuil, ils sont adorable tout de même, ils prenaient soin de mettre plusieurs coussin pour que je sois à l'aise. Sans prévenir, Gérard me mettait sa queue dans la bouche alors qu'un autre me défonçait le cul sans ménagement. J'étais bien dilaté, il était bien lubrifié et ça passait tout seul. Je ne pouvais pas dire un mot, tout juste quelques sons ridicules mais de toutes façons je n'aurais gueuler que pour les encourager …

Un long moment plus tard je n'étais plus aussi enthousiaste. La sensation était tellement intense que j'avais déjà éjaculé deux fois et là ça devenait douloureux. C'était moins bon, j'aurais voulu faire une pause. Ils se suivaient dans mon cul, quand l'un faisait une pause sans attendre un autre le remplaçait. Je finissais pas savoir qui me limait en entendant les commentaires des autres. Bein oui dans la bouche je reconnais une queue mais pas dans le cul … 

Je tremblais, je gémissais et c'était pas toujours de plaisir. Eux il prenaient une pause mais pas moi. Je râlais, j'essayais de protester mais les gargouillis qui  sortaient de ma bouche les faisaient rire.  J'avais l'impression que je jutais sans m'arrêter mais en fait je ne sais même pas si quelque chose coulait de ma queue. Je bandais toujours mais c'était en douceur. Pourtant je la sentais bien la cage … 

Je ne savais pas depuis combien de temps il s'amusaient avec moi comme avec un jouet mais ça devait faire un moment. Ils finissaient par se calmer et devenaient plus câlin. Un moment de silence, je n'avais plus rien dans la bouche , ils me laissaient respirer. Plus rien dans mon cul, ils me laissaient récupérer. C'était un plaisir incroyable qui persistait dans mon cul et rayonnait dans tout le reste de mon corps. Je n'avais plus mal et me sentais terriblement bien, vidé, comblé … On me détachait les mains … 

Je restais là un moment sans bouger, je m'écroulais sur les coussins, les bras repliés devant moi. Je ne prenais même pas la peine de retirer mon bandeau. C'était donc ça que de servir de Sex-toy … Si j'avais su je l'aurais demandé bien plus tôt. J'avais mal au cul, à la mâchoire, je ne pouvais plus bouger mais j'avais pris mon pied et finalement je me sentais super bien. Mais ils étaient rendu ou . Je n'entendais plus rien. Ils devaient être écroulés sur le canapé … 

Je finissais par soulever mon bandeau, il n'y avait personne dans la pièce … Je me relevais, j'étais fourbu mais je parvenais à me déplier. Dans la cuisine, personne, je passais au salon et j'étais accueilli par des cris de joie.

… Là tu as assuré comme une vrai pute …
… J'ai jamais vu un mec encaisser tout ce qu'on ta fait …
… Tu assures quand tu veux tu sais …

Je leur aurais bien dit que justement, pendant la séance je ne voulais pas toujours et qu'ils ne m'avaient pas vraiment laissé le choix mais il y avait un matche de foot à la télé et raidement ils ne se préoccupaient plus de moi … C'est toujours pareil avec les mecs !

Je passais dans la salle de bain et je restais un long moment dans baignoire. Finalement ils m'avaient un peu forcé la main … Enfin un peu, beaucoup même. Ils m'avaient complètement forcé la main, par moment ça faisait mal mais j'ai vraiment adoré et maintenant je me sens bien, j'ai joui comme jamais, je m'en suis pris plein le cul aussi comme jamais, j'ai éjaculé aussi et plusieurs fois. 

Là ma queue remplissait toujours la cage mais il n'y avait aucune pression, c'était terriblement agréable. Dans mon cul aussi c'était cool comme si on m'avait massé et que le muscle se détendait. En fait on m'avait massé, on m'avait massé le cul et la prostate. L'eau étai presque froide quand je ressortais du bain. Je retrouvais mes copains dans le salon, je m'installais dans un fauteuil et me laissais aller. Quelques instants plus tard je dormais malgré leurs cris … 

Je ne serais jamais allé aussi loin si on ne m'avait pas forcé. Ils avaient bien fait, même si j'avais mal partout je me sentais tellement bien … Plus tard, ils me réveillaient pour me dire au revoir, il passaient tous me faire la bise et tous me disaient …

'' Tu es le meilleur mais ton truc, tu le gardes … ''

Tous les quatre me faisaient le même commentaire et je finissais à répondre au dernier …

Moi : Bon d'accord je vais le garder encore un peu …
Francis : Non pas un peu … Maintenant tu le gardes et ce n'était pas une question. Maintenant tu es notre sex-toy.
Moi : Mais tu sais que je suis nul comme esclave sexuel !
Didier : Il n'a pas dit esclave il a dit toy .
Gérard : Et comme jouet tu étais au top, je ne te dis pas comment on s'est amusé nous !

Je les regardais, ils se dirigeaient vers la porte et ils avaient tous un sourire qui allait d'une oreille à l'autre, l'un me faisait un clin d’œil l'autre me lançait un baiser de la main. Ils me laissaient, il se faisait tard, je ne sais pas combien de temps ils avaient joué avec moi, mais j'avais encore mal au cul. C'était cool !

Je me couchais sans attendre et m'endormais rapidement. Le lendemain je me réveillais en pleine forme, tout allait bien, j'avais mal au cul ! 

Je prenais un petit déjeuner copieux, je ressentais toujours ce bien être dans mon corps, dans mon ventre, dans mon cul et j'avais faim. J'avais mal à la mâchoire !

De retour du boulot le soir, fatigué, à peine remis de la veille … J'avais toujours mal au cul ! Je rangeais ma chambre. La petite boite ou je rangeais mon dispositif était toujours là, ouvert, sur la table de nuit. J'allais la ranger quand je remarquais que les clés n'étaient plus dedans. Je cherchais un peu partout, je me souvenais parfaitement que la veille elles étaient sur le cadenas et que pour être sûr de les retrouver je les avais soigneusement rangées dans la boite. Elles n'y étaient plus donc … 

Les enfoirés ! Ils ont embarqué les clés, je comprenais mieux ce que ça voulait dire quand ils m'ont salué. Ils m'avaient dit : '' Tu es le meilleur mais ton truc, tu le gardes … ''. Je le garde ! Mais ce sont des enfoirés ces quatre là.

Bon il n'y avait pas de raison de paniquer, vous savez on n'est prisonnier de ces dispositifs si on le veut bien. On trouve dans le commerce des petites perceuse qui tiennent dans la main d'une puissance étonnante. Avec un de ces appareils on découpe un cadenas en quelques instants. De plus mon dispositif est en plastique.

Par contre, remplacer le cadenas sera repéré, découper le dispositif encore plus. Donc, comme je disais on n'est prisonnier que si on le veut bien, il est seulement impossible de dissimuler une évasion. Mais ils auraient pu prévenir. Francis sait très bien que … J'aurais probablement dit non !

C'est probable en fait, j'aurais pas osé même si j'en rêvais. C'est comme pour la séance de pilonnage de mon cul. Si ils m'avaient demandé, j'aurais hurlé et j'aurais dit : '' On arrête tout les gars '' . C'est ce que j'essayais de dire quand j'avais la bouche pleine, j'ai toujours mal à la mâchoire moi. Puis au final je ne regrette pas qu'ils m'aient un peu forcé la main, j'ai toujours mal au cul aussi d'ailleurs. 

Je ne sais pas ce qu'ils vont me réserver comme jeux. Mais bon tant qu'ils ne cassaient pas leurs jouets quand ils étaient petits ça devrait aller … C'est vrai quoi je ne suis pas le genre de jouet qu'on peut réparer avec une goutte de super-glue moi !

J'étais fatigué, je mangeais et me couchais tôt. La nuit était mouvementée, mes rêves étaient chauds, je dormais bien et je rêvais si fort que les draps s'en souviennent … Lalalère bon d'accord là j'ai plagié ! … Je me suis réveillé plusieurs fois mais je me rendormais facilement. A plusieurs moment j'éprouvais une certaine gêne autour de mon sexe, à la base. Le cock-ring était en train de s'installer, mon corps était en train de s'habituer. Je connaissais bien ces sensation et ces réactions de mon corps. Je les redoutais aussi un peu car je savais que par moment ça pouvait être désagréable, douloureux non mais désagréable et en plus je ne savais pas combien de temps cette bande de guignols avaient décidé de me garder comme ça !



EP 10 : APTE POUR LE SERVICE



A leur tour, ils devenaient câlins avec moi. Mais pas que ! Les enfoirés ! Ils ne parlaient pas de me libérer ? Je décidais de ne pas aborder le sujet dans l'immédiat et puis j'avais la possibilité de découper en limaille le cadenas si je le voulais. Oui je sais en limaille c'est une grosse colère mais bon si je m'énerve moi ... Il ne faut pas me chercher !

Un bon mois s'était passé depuis cette soirée, je personne n'avait parlé de me retirer ou pas le dispositif de chasteté. Je n'en parlais pas non plus. Ça se passait bien finalement. J'avais déjà passé un mois avec ce dispositif sur moi et tout s'était bien passé. Pour le moment je ne m'inquiétais pas vraiment. Mais comme je vous le disais plus, j'étais peut être sous clé, mais c'était volontaire !

De nouveau je devenais plus câlin, mais que ! Je devenais plus réceptif. Un soir ils m'ont fait un mauvais plan … Les enfoirés !

On faisait une soirée, chez quelqu'un que je ne connaissais pas. Je me disais bien '' Oula ! Je sens qu'ils vont me faire un mauvais plan ! ''. Francis avais sa tête de farceur, je veux dire par là, encore plus que d'habitude et c'est tout dire. Sur la route Didier aussi avait un sourire de circonstance.

C'est Didier qui conduisait, ils m'emmenaient à la campagne pour passer le week end. J'aime bien la campagne moi. On peut faire de grandes promenades, les soirées d'hiver devant la cheminée à discuter en savourant un bon verre de vin. Je me souvenais d'une soirée comme ça. Avec un ami on avait passé un week-end délicieux. La cheminée nous réchauffait, on était allongé sur un tapis très épais. On était resté à poil pendant deux jours et on n'avait baisé aussi pendant tous le temps qu'on était à poil. C'était un bon souvenir.

Ça faisait cinq semaines que je ne m'étais pas tripoté la nouille. Je me demandais ou on allait. Je n'étais pas inquiet mais tout à fait serein, ce sont des farceurs pas des satyres. On roulait près de deux heures, on traversait un petit village, on suivait une route secondaire puis une petite route qui semblait avancer entre deux champs. C'est un coin paumé ! 

On s'arrêtait finalement sous un arbre, je regardais autour de nous … Il n'y avait rien !

Moi : Mais vous m'avez emmené ou ?
Didier : Chez un ami, tu ne le connais pas !
Moi : Mais on n'est nulle par ici !
Francis : Mais si, regarde là juste derrière le gros buisson, on aperçoit une maison.

On sortait de la voiture et en effet il y avait une belle maison, pas très grande mais très jolie. Une petite maison de campagne très bien restaurée avec des massifs de fleurs devant. Ça devait être calme, peut être un peu trop même mais c'est une question de goût.

La porte s'ouvrait et un homme que je ne connaissais pas nous faisait signe, il nous souriait. On entrait, l'intérieur était simple mais agréable. Mobilier rustique mais de bon goût qui allait très bien avec le décor extérieur. Il faisait un peu frais dehors et la cheminée était allumée. Une cheminée ça réchauffe tout de suite l'atmosphère et tout de suite je me sentais bien. On me présentait Djef !

Djef c'est pas son vrai nom mais tout le monde l'appelle comme ça. Un beau gaillard, bonne tête, bonne allure, souriant et agréable. Il nous servait un verre. Et on discutait .

Djef : Alors c'est de lui que tu me parlais ?
Didier : Ouai ! Tu le trouves comme ?
Djef : Il est pas mal ! J'aime bien ! Et tu crois qu'il sera d'accord !
Francis : Lui ! Il est toujours partant ! Tu vas voir on n'arrive plus à le retenir !
Moi : Bon, éh, oh, éh, les gars ! C'est de moi que vous parlez là !
Francis : Ne te fâche pas doudou, il regarde la marchandise c'est tout !
Moi : La marchandise ! Non mais ! …

Ils rigolaient tous les trois.

Djé : Mais ne te fâche pas bonhomme. On déconne … Et de toutes façons personne ne te fera ce que tu ne veux pas.
Moi : Ouai ben, moi personne ne me touche …
Didier : C'est d'accord.
Moi : Il y a intérêt ! Non mais, oh, éh, oh, éh !
Francis : Fait attention à ce que tu demande …
Moi : De menaces ?
Francis : Non des promesses !
Djé : Alors tu veux que personne ne te touche ?
Moi : Parfaitement !
Djé : Bien c'est d'accord. Personne ne te touchera !

On frappais à la porte. Djef allait ouvrir. Trois autres gaillards du même genre entraient. Là je me disais … '' je sens que je vais m'amuser '' … On me présentait, Rapp ( il paraît qu'on l'a surnommé comme ça parce qu’il fait du rap ) et Larsen ( C'est lui qui s'occupe de la sono du groupe de rap ) . J'imaginais tout de suite pourquoi. 

Tout le monde se faisait la bise. 

Rapp : C'est lui ?
Larsen : Qui tu crois que c'est d'autre ?
Moi : Mais ça va les mecs , je ne suis pas un morceau de viande !
Rapp : De toutes façons on n'est pas végétariens et tu m'as l'air très comestible !
Moi : Beuh !

Je faisais un peu la gueule et je me demandais si c'était un compliment !

Me retournant vers me copains …

Moi : Ils sont charmants vos potes !

Je me retournais vers les trois autres et déjà Rapp et Larsen s'embrassaient goulûment. Chacun agrippait l'autre par ses vêtements. Ils se tenaient fermement, c'était viril. Djef regardait ça et se mettait torse nue. Didier et Francis faisaient de même.

C'est Djef qui qui se retrouvait à poil en premier. Je le regardais retirer ses vêtements et je bavais. C'est qu'il est balaise le mec, musclé, poilu et en plus il est monté comme un âne. La vache !

Ça faisait plus de quatre semaines que j'étais en situation d'abstinence, pas de branlette, pas de tripotages, pas d'éjaculation. Je me faisais bien défoncer le cul régulièrement mais pour le reste … Que dalle ! Nada ! Je me levais et frénétiquement je retirais mes vêtements aussi. J'étais à poil avant mes deux copains qui m'avaient emmené ici. Djef me regardait avec un air amusé. Il venait vers moi avec un air sévère, très mâle. Sa queue se redressait menaçante devant lui, il posait un doigt sur moi, sous ma gorge juste au dessus de mon plexus solaire. Il appuyait et me poussait en arrière. Il était musclé le mec, j'y croyais pas ! Il me poussais, toujours avec ce regard sombre, je reculais ( bein oui j'aurais voulu vous y voir moi, il me poussait avec un doigt ), je retombais sur le canapé …

Djef : Toi tu restes là. Tu ne voulais pas qu'on te touche. Personne ne te touchera !

Je me liquéfiais, je ne savais plus quoi dire. Je ne savais plus quoi faire.

Larsen me disais simplement : '' Toi tu regardes c'est tout ce que tu as le droit de faire ! ''.

J'étais vert ! Ils ne vont pas oser, j'avais la bouche ouverte mais je ne parvenais pas à articuler le moindre mot. '' Tu as gagné ! '' me balançait Francis.  Didier rigolait et me disait : '' Ils ne sont pas végétariens mais moi je suis un beau morceau et j'ai une belle saucisse ''. Mes deux  potes étaient nus également.

Il s'approchaient de Djef et se prenaient tous les trois dans les bras. Francis embrassait Djéf pendant que Didier se penchait pour le sucer. J'avais les yeux riveté sur ces trois là ! Toujours la bouche ouverte, je suppose que là je n'avais pas l'air futé, je ne parvenait pas à articuler mais par contre je bavais d'envie. La bite à Djef … La vache … Je me la prendrais bien dans le cul moi … Même si on doit couiner quand il l'enfonce … 

Mes deux potes échangeaient leurs positions. Francis avalait la queue de Djef avec une certaine facilité. Là il me surprenait mon petit Francis … Je ne vous avais pas dit que c'était une grosse salope ? Si non, j'aurais du ! Francis, c'est pas seulement un enfoiré !

Djef était traité comme un maître, il demandait, on le servait. Mais qu'est ce qu'il était viril ! J'y croyais pas. Il avait une voix grave et douce. Pas besoin de parler fort pour se faire entendre, il demandait à Didier de se pencher et de lui offrir son cul. Sans hésiter Didier obtempérait, il s'appuyait sur le fauteuil. Puis Djef demandait à Francis de s'installer sur le fauteuil, Didier se relevait puis reprenait place. Djef enfin demandait à Didier de sucer Francis. C'était fait. Je ne le lâchais pas des yeux, je bandais comme un fou dans ma cage, c'était vraiment désagréable, presque douloureux. 

Dans ma tête c'était un incendie. Par moment j'avais l'impression que ma cervelle fondait et même s'évaporait par les oreilles. C'est tout dire !

J'avais oublié les deux premiers, je me tournais les yeux vers eux. C'était encore pire. Ils étaient à poil tous les deux. Ils étaient dans le cadre d'une porte. Paff avait les bras levé, il se tenait les bras et se retenait au cadre de la porte, il bandait, lui aussi il avait une bite de monstre. C'est Pouf c'est pas Paff … Non c'est pas Pouf non plus c'est … ça y est j'ai grillé un étage de neurones là ! La vache ! Donc c'est Rapp, voilà il se faisait enculer par son pote … Je sais plus comment il s'appelle celui là. Ça y est une deuxième étage de neurones. Je vais devenir gâteux précoce moi si ça continue. Il gueulait Paff, ça y est je me souvient ce sont les cris qui réactivent ma mémoire l'autre c'est Larsen !

Bon je respirais un bon coup, dans ma cage c'était la folie. Je relevais les yeux et je récapitulais … Rapp se tenait au cadre de la porte, les mains en l'air et Larsen l'enculait avec rage …

J'ai eu du mal à la sortir celle là ! Ça y est j'entends les neurones exploser les uns après les autres . Larsen retirait un court instant sa queue du cul de son copain et j'étais saisi. Il était aussi bien monté que les deux autres. Mais je suis ou moi ? Chez les champions de la grosse bitte en chaleur ? 

En tous cas moi j'étais en chaleur, c'est juré dès mon retour après ça je retire mon truc, je me branle toute la nuit et sur ma lancée sans interruption je me trouve un mec, je l'encule, un autre et l'encule aussi. Da la salive coulait de ma bouche, je m'essuyais.

J'ai pas la clé je sais mais je m'en fou !

Larsen se lâchait dans le cul de Rapp qui gueulait et en redemandait, ils se tordaient dans tous les sens. C'était violent ! Là c'est les cheveux qui tombaient de ma tête, en tout cas l'impression que j'avais. Je vous jure, ces trois mecs à poil, c'était à vous faire tomber les cheveux de la tête, c'était plus une expression, j'allais finir chauve avant la fin de la soirée. Musclés, poilus, virils,vraiment viril, tous les trois montés comme des ânes, ils assuraient les mecs, si le but était de me chauffer la tête, ça marchait bien.

Mon cul se contractait de peur avant de se détendre comme s'il renonçait à toute résistance inutile.

Mon regard revenait sur mes potes. Didier était effondré, penché, appuyé sur les genoux de Francis, il avait toujours la bite de Francis dans la bouche et celle de Djef dans le cul. Lui aussi il se lâchait, ce sont des sauvages ces trois là !

J'étais en transe, je respirais fort, j'avais le souffle court, un peu comme juste avant que je jouisse mais, là je n'allais pas jouir. Là j'allais être frustré, j'étais mal ! Délicieusement mal ! J'avais maintenant l'impression que mon thorax pourrait exploser à tout instant, je manquais d'air.

Paff gueulait comme un fou, il gueulait déjà depuis un moment vous allez me dire, mais là il hurlait encore plus fort, son pote Sourdine qui l'enculait se mettait aussi à hurler … Je voyais Paff éjaculer avec violence et un jet de sperme allait se loger sur le mur d'en face et le traversait …

Faites pas gaffe là, je délire, le manque d'oxygène ! Les prénoms je les mélange un peu. Bon ça giclait fort mais pas si loin, un jet épais suivi d'un autre, puis un suivant puis quelques autres plus faibles. Ils laissaient une longue marque blanche devant lui. Son pote Volume se retirait et une fuite laissait tomber juste entre les jambes du premier un long filet blanc. Je tremblais, ma vue se troublait, mes neurones devaient se sentir mal eux aussi. La vache ! 

Mais pourquoi personne ne veux pas me toucher moi ! C'est pas juste ! J'avais envie de brailler mais je n'arrivais même plus à parler. Vous faites pas gaffe si je me suis encore embrouillé la tête avec les prénoms mais je ne savais même plus comment je m'appelais moi à ce moment précis !

Je regardais de nouveau les trois autres. Là j'avais loupé quelque chose … Didier ne bougeait plus, il n'était pas mort je vous rassure ! Djef s'était retiré, il avait éjaculé sur le dos de Didier. Francis aussi avait éjaculé sur la figure de Didier. Il en avait de la chance mon pote Didier ! Il avait posé sa tête sur un genoux à Francis et me regardait, il avait le regard vague. Moi c'est dans ma tête que tout était vague, je vous jure tellement vague que je suis sûr que dans mes oreilles on pouvait entendre la mer.

Plus personne ne bougeait, Rapp et Larsen se calmaient et se faisaient un câlin. Je ne pouvais qu'admirer ces deux corps magnifiques qui après avoir déchaîner une telle violence virile se relâchaient maintenant avec une infinie tendresse, avec une infinie douceur. Je me serais damné pour qu'ils me prennent dans leurs bras musclés. Ça y et j'avais atteint la température de saturation je disjonctait et me mettais en pause.

Il se retrouvaient tous vautrés dans les fauteuils et sur le canapé à côté de moi. Djef me donnait une claque sur la cuisse. Je sursautait à peine mais me contentait de trembler.

Djef : Alors Biloute, ça se passe bien pour toi ?
Moi : WOWOWOWOWOUWOU oui !

J'avais du mal à articuler. Il se marrait à m'entendre. 

On était chez Djef aussi il se transformais en hôte attentionné et nous servait à boire. C'est vrai qu'on n'avait pas eu le temps de se prendre un petit alcool .

Djef me proposait un Whisky, je faisait oui de la tête. Il versait le Whisky dans un verre : '' Tu me diras d'arrêter !'' . Arrivé à la moitié du verre il arrêtait et me regardait d'un air interrogatif. Sans hésiter je prenais le verre et le vidais d'un trait. Je reposais le verre et …

Moi : Soif ! Encore !
En rigolant  il me servait une autre dose … Je ne comprenais plus rien à ce qui se passait … Une pizza arrivait sur la table puis une seconde … On mangeait. Plus tard on continuait à discuter. On me demandait mon avis, peu à peu je parvenais à parler de nouveau. Mon cerveau faisait un reset.

Moi : Vous êtes marrants les mecs mais vous avez vu dans quel état vous m'avez mis ?

Ils rigolaient .

Didier : C'est toi qui l'a cherché !
Moi : C'est malin !
Djef : J'ai un truc à te proposer. 

Tout le monde le regardait.

Djef : Bon tu veux t'amuser avec nous ?

Je faisais oui de la tête et terminais la part de pizza.

Djef : Je suis prêt à soutenir ta candidature.

J'ouvrais de grands yeux.

Djef : Bien tu viendras ici tous les week-end.

Je faisais oui de la tête.

Djef : Personne ne te touchera et tu ne ne touchera personne.

Je relevais les sourcils.

Djef : Pedant un mois … Absolument personne, même ailleurs …

Je faisais la moue.

Djef : Par contre quand on va t'utiliser comme jouet tu vas voir ce que tu vas voir …

Je réfléchissais un long moment, comme si j'étais en état de réfléchir, je n'avais pas encore terminé mon reset, puis je faisais oui de la tête. En fait je n'avais rien compris mais bon c'est pas grave, je me disais simplement '' On verra bien ''

C'est vraiment une bande d'enfoirés eux aussi. Pendant un moi tous les Week-end j'ai été témoin de leurs sauteries. A chaque fois j'en ressortais dans un état lamentable. Surtout que plus personne ne me touchait pendant la semaine. J'étais enfermé dans ma cage à bite, à chaque fois je me disais … '' Le jour ou ils vont me libérer on va bien s'amuser. Les semaines ont passé et … Vous vous souvenez il avait parlé de m'utiliser comme jouet, il n'a jamais parlé de remonter le jouet … La clé n'était donc pas nécessaire.

Passé un moi j'étais tellement en manque, tellement frustré de les voir s'envoyer en l'air alors que moi je n'avais même pas le droit de me tripoter que j'aurais fait n'importe quoi pour pouvoir jouer avec une belle grosse bitte. J'y ai finalement eu droit et je ne vous raconte pas mais elles étaient vraiment très grosses les bites. Je l'ai senti passé. Ils m'ont enfilé tous les trois les uns après les autres. Le samedi soir j'avais le cul large comme le tunnel du mont blanc. Ils ont remis ça le dimanche …  

Après cette soirée mémorable ils m'ont adopté comme jouet officiel. Je n'avais qu'une chose à faire … Mais vous savez on devient vite addicte à ce genre de truc et j'acceptais de le garder un an. Oui j'étais apte pour le service, j'étais bon pour un an !

Mais c'est vrai qu'on devient vite addicte à ce truc, le moi prochain on va renégocier le contrat … Ça fait un an déjà !

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