EP 01 : MAISON
On se retrouvait donc devant un thé …
Finalement c'est pas le thé qui était fade, j'avais mis quatre sucres, c'était l'apéro … Il n'y avait rien à boire ! Même pas une petite goûte de Vodka, de Gin, Whisky … Pfffff … C'est pas une manière de vivre ça. On aurait pu aller faire des courses mais dans ces coins paumés tout est fermé passé vingt heure et en plus le magasin le plus proche est à vingt kilomètres au moins ! On n'a pas idée de venir s'installer dans un endroit pareil ! Il faut être à moitié barge pour avoir de telles pensées !
– Bein euh … Je …
– Il glande … Répondait Nadine.
– Il se branle ! Rajoutait Hélène.
– Mééééé … !
– Non je voulais dire comme travaille … Précisait Étienne.
– Il glande ! Continuait Hélène.
– Il vit de ses rentes … Précisait nadine.
– C'est vrai ça ? Tu ne bosses pas ? Demandait Étienne.
– Bein … C'est que …
– Non il ne bosse pas ! Répondait Nadine sans me laisser le temps de réagir.
– Il glande ! Précisait Hélène.
– C'est vrai que c'était les soldes ! Concluait Nadine.
– Mais c'est fini ça les filles … Le moi dernier par exemple, j'ai été très occupé …
Tout le monde éclatait de rire … Sauf moi … Je faisais la moue … Pfff … Elles m'embêtent !
Il était bien foutu ce Étienne ! Je le regardais quand il retirait sa chemise de cow-boy super classe, belle musculature, belles proportions … Il était bronzé, je l'imaginait en train de conduire son tracteur, torse nue, les cheveux dans le vent, un chapeau sur la tête façon Indiana Jones, un petite chaîne en or autour du cou. Je me disais que finalement la vie à la campagne, ça a du bon !
Rapidement mon imagination m'entraînait, j'étais assis sur le capot de son tracteur, je le regardait conduire au travers des champs, un gros bazar ( je sais pas comment ça s'appelle ces trucs là moi ) ramassais les choux qui retombaient dans la benne qui nous suivait. Il me souriait, un éclat de lumière sur ses dents blanches, un sourire à tomber, je lui tendais un verre de champagne … Euhhh , d'un coup je suis pas sûr là pour le champagne … Mais bon c'est pas grave !
Étienne arrêtait son tracteur et en descendait, je contemplait longuement ses épaules, son dos musclé et bronzé, et son cul. Son pantalon lui faisait un cul je ne vous dis pas. C'est ça de choisir une grande marque ! Ses soulier cirés lui donnaient une élégance de gentlemen cow-boy ! Je sautais avec légèreté sur le sol et retombais avec élégance … Hop !
On se regardait, il me souriait et de la tête me faisait signe de le suivre. Il m'entraînait dans la benne qui était accrochée juste derrière son véhicule, il y avait un douillet coussin de blé sur lequel nous nous allongions l'un à côté de l'autre. A côté de nous, soigneusement rangées un tas de tomates, dans un autre coin un tas de choux, des pommes ainsi que des filets de pommes de terre justes cueillies …
Je m'approchais de lui, sa peau était chaude et sentait bon le soleil, une peau douce et brune, légèrement poilue d'une toison très douce. Je lui caressais doucement le torse, je m'attardais sur ses tétons, je les embrassais, les suçais il penchait la tête en arrière en gémissant de plaisir, il me caressais les cheveux. Mes doigts se promenaient sur son ventre, il était bien musclé, ça muscle la conduite du tracteur … Je sentais ma queue qui commençait à se manifester.
Il me repoussait en arrière, je me laissais faire et me retrouvais allongé sur le dos, il se penchait sur moi à son tour et je devinais la douceur des ses lèvres, la fermeté de son corps, sa force. Je sentais quelque chose de dur en haut de sa cuisse et c'était pas son téléphone …
Je retirais ma chemise.
On s'agrippait l'un à l'autre, il me tenait serré contre lui, je le retenais, il faisait chaud et il était brûlant de cette brûlure qui fait qu'on en redemande tant elle est douce et agréable … La chaleur humaine ne brûle pas vraiment. Je le retournais et c'est moi qui était sur lui maintenant. Son corps était musclé de partout et ses fesses étaient fermes et rondes. Je commençais à baver d'envie. Je m'imaginais déjà en train de le sucer, il semblait prometteur, il avait une grosse bite c'est sûr. C'est mieux quand on se fait enculer ça, une grosse bite !
Il se relevait juste devant moi, et je voyais ouvrir son pantalon, il bougeait au ralenti. Il avait dégrafé son ceinturon, quand je dis qu'il ressemble à un cow-boy, il ouvrait le premier bouton de son jeans, les autres suivaient sans résister, il portait déjà un maillot de bain et dévoilait ses jambes, je n'avais pas encore vu ses jambes. Belles, fines, longues, musclées et recouverte de cette douce fourrure qu'on s'attend à trouver chez un homme … Viril … J'admirais la jolie bosse très prometteuse, mais je m'en doutait déjà, son maillot de bain très ajusté le mettait en valeur … Ouai ! Viril … Je me disais qu'elle en avait de la chance Mathilde … Non c'est pas Mathilde , Florence … C'est pas ça non plus ! Nathalie, Lucienne … Je sais plus et je m'en fout !
Il me regardait, devinait-il mes pensées à ce moment précis, il posait son pantalon juste à côté de lui, il plongeait et m'arrosait, j'étais trempé … Il l'avait fait exprès l'andouille …
Au moins je retrouvais mes esprits ! J'allais passer moi aussi un maillot de bain et plongeais à mon tour dans la piscine ou les deux filles l'avaient rejoint.
La soirée avançait, j'avais donc bien un peu rêvé sur le physique et le corps superbe d’Étienne, mais bon … C'est le petit copain d'une grande copine de ma petite sœur … Alors ! Je préférais me retenir … Ma sœur est un peu chatouilleuse sur le sujet … Tout ça depuis que je lui avais piqué son copain quand on était à la petite école … C'était il y a des années et elle y pense encore. Elle m'a dit que si jamais je recommençais elle me ferait subir … Non je veux pas vous le dire, rien que d'y penser ça fait trop peur, et pourtant je suis courageux !
Je me rappelais brusquement que je n'avais pas vidé mon coffre.
– Les filles ! J'ai laissé mon bagage dans mon coffre, il faut que j'aille le chercher ! Quelqu'un peut venir m'aide ?
Les
deux filles se regardaient incrédules …
– Non
j'y crois pas ! ( puis me regardant ) Ne me dis pas que … Se
demandait Nadine.
– Je
te jure que cette fois ci j'ai voyagé léger …
– Si
tu veux mais tu as … Une valise ? Demandait Étienne.
– J'ai
presque rien, je ne suis là que pour un mois …
Étienne
enfilait rapidement un T-shirt, on était en maillot de bain. Il
fallait bien, à cause des filles, entre mec on aurait été en
maillot de bain mais sans maillot de bain … éh, éh, éh… Je ne
sais pas si je suis clair ? Bref ! Il me regardait, je
passais un pantalon, une chemise que je refermais avec élégance …
– On
va juste chercher une ou deux valises … Faisait remarquer Étienne.
– Oui
mais on va sortir ! Répondais-je.
– Ta
voiture est juste devant la maison ! Insistait Étienne.
– Oui
mais elle est dehors ! Faisais-je remarquer.
Il
tournait la tête vers les filles … Elles étaient pliées de rire
…
– Quelqu'un pourrait vous voir et mon frère aime bien être présentable en toutes circonstances …
Je faisais ça vite et passait mes chaussures sans mettre de chaussettes … Nous arrivions à ma voiture, j'ouvrais le coffre et en sortait une valise, puis une deuxième, puis une troisième, puis une quatrième un peu plus petite que les autres …
– Ah !
Tout de même … C'est pour un mois . S'exclamait Étienne.
– J'ai
pris le stricte minimum …
J'ouvrais
la portière arrière et en sortait une valise, puis une seconde …
Je plongeait dans la voiture.
– Oui il n'y a presque plus rien … Elle est coincée …
Non sans effort je tirais hors de la voiture une autre valise. Puis une toute petite valise genre bagage à main et enfin une sacoche .
– Voilà !
M'exclamais je d'un air tout content de moi.
– Le
stricte minimum, je vois, remarque tu avais prévenu ! Me
faisait remarquer Étienne.
On
faisait plusieurs tours et on déposait les bagages dans l'entrée …
– Oué !
C'est moi qui ai gagné ! S'écriait Hélène. Nadine tu avais
dit huit moi j'avais dit plus …
– La
sacoche ne compte pas !
– La
sacoche est un bagage. Ta ta ta … C'est moi qui ai gagné !
Lui répondait Hélène.
Étienne
lâchait un grand soupir …
– Tu
m'as dit Nadine qu'il y avait une boîte sympa pas loin ?
– Oui
mais tu ne vas pas nous quitter ?
– Mais
certainement pas, je vais passer toute la soirée avec vous mais je
vais me changer parce que aussitôt après je passe y faire un tour …
Je
partais vers ma chambre avec deux valises …
– Et
je voudrais pas arriver trop tard ! Rajoutai-je.
Je
revenais prendre deux autres valises …
– Mais en attendant je suis tout à vous ! Continuais-je.
Étienne s'était laissé tombé sur le canapé et me regardait faire, il avait l'air de ne pas croire ce qu'il voyait …
– Et s'il désire y être pour minuit il ne faut pas qu'il traîne. Lui répondait Hélène.
– Ne t'inquiète pas, tu va pas tarder à comprendre ! Complétait Nadine.
– Mais ne vous inquiétez pas je suis avec vous toute la soirée ! Concluaisje.
Je m'enfermais alors dans ma chambre et en ressortait vers onze heures et demie !
– Vas y tourne toi … Ahhh ! Mais tu ne vas pas sortir avec cette chemise ? S'écriait Nadine.
– Quoi ma chemise ! Quoi ma chemise ! Quoi ma chemise ?
– C'est ma chemise ? Mais dites ! … ( avec une angoisse incontrôlable dans voix )
– Là tu le cherches ! Mais non mon trésor elle est très bien ta chemise ! Rajoutait Hélène.
– Ne
l'écoute pas elle te taquine, c'est tout, tu sais comment elle est …
Me rassurait Hélène.
– C'est
vrai ? Si tu me voyais comme ça un soir au coin d'une rue tu
serais impressionnée, séduite, enfin tu me remarquerais quoi ?
Étienne
se retournait et je l'entendais rire, il n'en pouvait plus !
Nadine faisait pareil. J'avais même l'impression que Hélène avait
aussi envie de rigoler mais j'étais pas sûr. Pourtant je suis
perspicace !
– Ça c'est sûr je te remarquerais mais j'ai tout ce qu'il me faut à la maison … Me répondait Hélène
De toutes façons je n'avais plus le temps pour me changer … Je leur faisait la bise à toutes les trois … Oui je sais ! … Puis je les laissais en leur lançant …
– Bon les filles je vous laisse, soyez sages ! J'ai vraiment passé une super soirée !
Mais c'est vrai ça aussi ! J'avais craqué quand je me suis vu dans le miroir … J'étais trop mignon avec ce pantalon plein de poches un peu partout, ces chaussures de marche, cette chemise avec des poches aussi, je ressemblais à Un ce ces aventuriers qu'on voit au cinéma qui part à la recherche d'un temple maudit … Ou un truc comme ça ! Je vous jure devant mon miroir je me trouvais trop mignon, trop attirant … C'est sûr je vais avoir un succès fou moi ! Tient la prochaine fois, je vais en boite comme ça !
C'est dans cette tenue que je descendais à table … Les filles me regardaient arriver d'un air médusé …
– Allons bon ! Le voilà qui se prend pour Indiana Jones maintenant ! S'exclamait Nadine.
– Vous auriez vu les filles, au magasin c'était quelque chose. Racontait Étienne.
– On a vu les sacs, mais je te rassure c'est tout à fait normal … Lui répondait Hélène.
– Mais au fait, il y a un truc que je ne comprends pas moi ! … Toi Étienne et toi Hélène vous n'habitez pas ici d'habitude ? Demandais-je.
– Exact !
– Mais je vous vois tout le temps depuis que je suis là !
– C'est parce qu'on va partir en vacances ensemble, et on prépare notre départ …
– Et vous partez quand ? Demandais-je.
– Pourquoi tu dis '' vous '' tu devrais dire '' nous '', je te rappelle que tu pars avec nous … C'est pour ça que tu as fait des courses ce matin ! Me répondait Nadine.
Dans ma tête je me disais '' Mais pourquoi je me suis porté volontaire, il y a un truc que j'ai pas du comprendre moi ! Bon demain matin je me fais une crise de myxomatose. J'ai plus qu'à trouver un moyen pour me faire gonfler la tête … Ça ne devrait pas être trop dur ! '' …
– Et on part quand ? … Donc ! Demandais-je alors.
– Demain matin ! On prend ma voiture il y a de la place pour les bagages. Et comme c'est une 4X4 on peut aller jusqu'au lac. Avec une voiture normale on ne peut pas ! M'expliquait Étienne.
– Bien je prépare mon bagage dès ce soir …
– Attention ! Un sac à dos ! Uniquement ! Me précisait Hélène.
– Mais enfin tu me prends pour quoi … Je sais ce que c'est que de partir faire du camping !
– Ça c'est pas vrai ! Rajoutait Nadine.
– J'ai fait la liste de ce qu'il faut emporter ! Me disait Étienne.
– Mais j'ai tout prévu, j'ai demandé à Laurent de me préparer un lot complet du petit nécessaire de camping ! Il est vraiment serviable quand même ce Laurent !
– Et c'est qui Laurent ! Demandait Nadine.
– C'est le vendeur au magasin, ils se sont même fait la bise quand on est parti … J'arrivais pas à y croire ! Expliquait Étienne.
– Ne t'inquiète pas, mon petit frère est un rapide !
Étienne regardait ma sœur avec les yeux tout ronds.
– Probablement si ! Lui répondait ma sœur.
– Benoît tu peux venir ici tout de suite espèce de crétin demeuré ! Me gueulait ma petite sœur.
– J'en ai juste un tout petit dernier quatrième … C'est tout !
– Mais tu te moques de nous ! Et tu vas faire comment pour les porter tous les quatre, tu te débrouilles …
– Non je me sens bizarre, j'ai l'impression que ma tête à gonflé, et je vois tout flou !
– Mon pauvre, tu es malade ? Tu as de la fièvre ? Me demandait Nadine, sans y croire.
– Oui je suis malade, je ne vais pas pouvoir vous accompagner !
– Ça va on a compris, tu ne veux pas venir … Faisait remarquer Hélène.
– Si je veux venir, je veux venir, je veux venir …
– Si tu ne veux pas venir, tu peux le dire …
– Non, non, c'est pas ça … Je suis malade, je voudrais bien vous suivre mais je ne vais pas pouvoir …
Ils éclataient de rire. Je les regardait sans comprendre.
– Je ne vois pas le rapport ! ( l'air presque indigné )
– C'est une maladie que seuls les lapins peuvent attraper ! Me disait Hélène.
Étienne continuait à rigoler, bon là il se moquait !
– Peuhhh ! Tu dis ça pour m'embêter …
Comme je ne voulais pas renoncer, j'étais obliger de refaire mon sac. Mais comment je vais faire pour survivre avec seulement deux pantalons moi, je retirais même le peignoir … Ça va pas être facile … J'aime bien l'aventure et la vie rustique mais pas à ce point !
J'allais me coucher tôt, il fallait être en forme pour le lendemain, on partait au lever du soleil. J'avais du mal à m'endormir, le lendemain on partait à l'aventure dans un endroit sauvage, perdu, loin de tout. La 4G ne passe pas ni même la 1G … On a le téléphone mais rien de plus … Il y a des bêtes sauvages, et c'est certainement un endroit très dangereux, surtout pour un petit citadin comme moi ! Je finissais par m'endormir.
Le lendemain nous prenions la route, les filles n'avaient pas pu venir elles nous rejoindraient … Hélène devait aller travailler au garage, un autobus était tombé en panne et tous les passagers attendaient qu'elle vienne réparer. Nadine préparait les repas pour tout ce monde ainsi que pour l'équipe de rugbymen qui faisait de l'auto-stop …
On roulait bien la route était belle, on prenait d'abord l'autoroute. Étienne conduisait pendant toute la journée, il ne fatiguait pas. Il était beau dans le soleil couchant, au volant de son énorme véhicule. Il avait les bras nus, je ne pouvais pas détacher mes yeux de son torse, de son visage, de ses bras musclés. C'est un poste confortable quand on est passager à côté d'un chauffeur aussi beau. On n'est pas obligé de regarder le paysage et de compter les poteaux télégraphiques. J'avais à côté de moi un paysage bien plus intéressant.
Il avait remonté ses manches, et cette superbe chemise à carreaux de grande marque le mettait très en valeur. J'avais déjà remarqué ces détails dans la piscine, ses bras n'étaient pas très poilu, juste ce qu'il faut, et sur son torse c'était pareil. Ses jambes étaient plus poilues, et musclées aussi … Je les avais aussi repérées dans la piscine …
A peine arrivés on montait la tente, c'était une grande tente quatre chambres, une entrée un salon qui donnait directement sur le lac. La cabane dont il nous avait parlé n'était rien d'autre que quelques planches qui tenaient par miracle et je préférais ne pas pas m'en approcher.
Il y avait encore quelques rayons de soleil quand nous terminions de nous installer. Il me proposait de faire un plongeon dans le lac et me garantissait qu'il n'y avait pas de crocrodiles (!) … Sans attendre ma réponse il retirait ses vêtements. Sa chemise tombait, il la retirait avec les gestes d'un sportif culturiste qui pause pour une photo, il exhibait ses muscle, il ne me regardait pas, je bavais sans rien dire … Après les chaussures suivaient les chaussettes, il se plaçait alors devant moi, il me tournait le dos il ouvrait son pantalon et sans plus de manières le baissait, je voyais ses fesses, musclées comme le reste du bonhomme, moyennement poilues, il se penchait vers l'avant et dégageait ses jambes de son pantalon, il était nu … J'avais déjà la langue qui pendait, maintenant elle traînait par terre …
Je ne vous dis pas. Il était canon le mec ! J'en connais une qui a de la chance … Mais comment je vais faire moi pour me retenir. Je vais devenir dingue. Je vais le demander en mariage avant la fin de la semaine moi ! Et si 'il refuse ? Bon, si il refuse je me suicide en me noyant dans le lac. Il ne faudrait pas que l'eau soit trop froide, sinon je devrai trouver autre chose … Je suis comme ça moi … Je veux bien me suicider mais c'est pas une raison pour prendre froid !
Il se retournait vers moi et me lançait un sourire d'invitation, je pouvais enfin le voir, le voir de face. Il n'était pas seulement bien foutu, il était bien monté. Il ne tentait même pas de dissimuler une belle grosse molle qui pendait lourdement devant lui entre ses cuisses, il n'était pas circoncis mais il était beau tout de même ! D'un geste de la main il m'invitait à le suivre et courrait vers le lac à quelques centaine de mètres de là.
C'est fébrilement que je me déshabillais à mon tour. J'avais l'impression que chaque bouton de ma chemise résistait et ne voulait pas se décrocher. J'avais l'impression que mon pantalon aussi résistait mais je me retrouvais à poil alors qu'il n'avait fait que quelques enjambées. Je fonçais comme un malade et le rattrapais rapidement, je tournais ma tête vers lui au moment ou je le doublais, il avait l'air amusé. J'avais l'impression que je penchais en arrière car mes jambes bougeaient tellement vite que le reste de mon corps avait du mal à les suivre ! Je plongeais dans l'eau, elle était fraîche mais pas trop. Bon si je veux me suicider ça devrait aller, je le ferais même plusieurs fois si elle n'est pas plus froide que ça !
Il était beau, j'avais le sourire et je le contemplais. J'admirais ses muscles qui se contractaient lentement, ses bras, ses jambes, sa queue qui se balançait lentement autant que lourdement de gauche à droite. Je me l'imaginais en érection … Je m'imaginais à la place de sa copine. Je m'imaginais dans ses bras, ses bras musclés. Je me voyais entre ses mains, ses mains douces et fortes. Je m'imaginais accroupi devant lui en train de le sucer, j'entendais déjà ses gémissements de plaisir. Je le sentais contre moi dans mon dos et je sentais mon anus se dilater, je sentais sa queue ferme me pénétrer, me défoncer le cul comme un fou ! J'aime bien le romantisme moi !
Je plongeais et nageais quelques brasse en prenant un air détaché, c'est que je savais déjà comment ça allait se terminer cette histoire. D'abord je suis irrésistible dans ma tenue d'aventurier, ensuite je suis craquant tout nu dans le lac à faire trempette et pour finir je … Bon là je ne sais plus quoi dire mais je vais sûrement trouver …
Étienne était la devant moi, à quelques mètres du lac, il arrivait, ses mouvements étaient gracieux, élégants, doux, forts, athlétiques … Bon on s'arrête là ou je rajoute encore quelques adjectifs ? … Hein ? Vous devez déjà avoir une idée claire sur le sujet !
Il arrivait enfin à mon niveau, j'avais de l'eau jusqu'à la ceinture, il plongeait, il m'éclaboussait et je me retrouvais tout mouillé … Il passait sa main sur sa poitrine avec douceur, j'en faisais autant. Je passais moi aussi ma main sur sa poitrine, il me caressait la main. Il se penchait ver moi et je goûtais à ses baisers, je le prenais dans mes bras, il me serrait contre lui. Je bandais comme un fou, sa queue se relevait vigoureusement. Je m'accroupissais et sans hésiter la lui suçais. Il appréciait. Il tirait mon visage vers lui et je le tirais vers moi par les cuisses. Il enfonçait sa bite jusqu'au fond de ma gorge et j'en redemandais. Il me limait la bouche, je me branlais en même temps.
Je me relevais un peu plus tard en le couvrant de baisers, j'arrivais à ses lèvres et nous partagions une nouvelle étreinte intense, humide et fraîche, on était encore dans l'eau. On ressortait et on s'allongeait sur notre grande serviette de bains qui était posée là à quelques mètres du lac. Je m'allongeais sur le ventre, il s'allongeait sur le ventre également mais c'était sur mon dos et là moi je sentais enfin en vrai sa queue qui poussait contre mon anus …
Évidemment c'est à ce moment là que le réveil matin a sonné !
Je me réveillais furieux, au moment ou on allait conclure … Je vous dis pas mais j'étais un peu ronchon au réveil et ça continuait pendant le petit déjeuner. Surtout que ce matin là c'est moi qui était de corvée avec ma sœur pour le préparer. Pas encore complètement réveillé je l'imaginais dans les bras d'Hélène alors que quelques instants plus tôt il était dans mes bras … Je vous dis pas les mecs pas plus fidèles que ça, ça ma gave !
Nadine parlait, parlait, comme toujours … Moi je ronchonnais …
– Il y a un problème, on a reçu un coup de téléphone hier soir … Me disait-elle.
– Ouai !
– … C'est contrariant mais ça ne change rien pour toi …
– Ouai !
– … Et puis avec Hélène …
– Ouai !
Le petit déjeuner était prêt, on entendait Hélène et Étienne qui descendaient. Étienne avait juste sur lui un short, il était torse nue comme la veille dans la piscine. Encore plus beau, le poil en broussaille, le cheveux hirsute mais bon j'oubliais pas qu'il m'avait largué juste à la fin de mon rêve. Ouai … De mon rêve, c'est vrai ! Bon je lui pardonne.
– … Donc ça change un peu le programme mais comme tu peux voir pas trop ! … Reprenait Nadine.
– Ouai !
– Salut les jeunes. Alors Benoît ta crise de myxomatose ça va mieux ? Me demandait Étienne
– Allons ne te moque pas de moi, c'est un truc pour les lapins ça. Tout le monde sait ça !
– Tu lui a expliqué ? Demandait Hélène à l'intention de ma sœur.
– Oui !
– Et il a dit quoi ?
– Ouai !
– Je le trouve éloquent ce matin ! Ça va Benoît ?
– Ouai !
On prenait le petit déjeuner. Tout le monde parlait, moi je ronchonnais encore un long moment. En plus j'avais Étienne devant moi qui exhibait sa beauté sauvage, il était comme dans mon rêve mais simplement encore plus beau car là c'était pour de vrai.
Tout était prêt, les bagages étaient dans la voiture. Mes deux sacs … Pardon MON seul sac à dos … étaient eux aussi dans la voiture, il y avait beaucoup de place et personne ne les remarquerait avant notre arrivée … Désolé un sac je peux pas ! J'étais habillé en tenue d'aventurier, beau et sexy comme un prince … Je faisais la vaisselle pendant que tout le monde allait s'habiller.
Étienne était beau quand il descendait, il avait le même costume que moi. Je le revois quand il embrassait Hélène, pour lui dire au revoir. Je disais au revoir à ma sœur puis à Hélène et je montais dans le voiture, à l'avant. Étienne m'y retrouvait peu après il prenait le volant. Il démarrait, on partait.
Je somnolais un bon moment et quand je me réveillais je me retournais ne voyais personne à l'arrière. Il n'y avait qu' Étienne et moi dans la voiture. Je hurlais …
– On a oublié les filles !
Étienne sursautait, il ne s'y attendait pas à ça. Il me regardait …
–Je sens que ça va pas être facile ! Arrivait-il a murmurer.
EP 06 : EN TRAIN DE SE BRANLER
Étienne poussait un grand soupir …
– Je croyais que Nadine t'avait tout expliqué. Me demandait Étienne.
– Nadine ? C'est qui Nadine d'abord ?
– Ta sœur !
– Ah oui ! Nadine … Et bien quoi Nadine ? Elle est pas là Nadine ! Elle devrait être là … Nadine … On a aussi oublié Hélène … Elles devraient être là toutes les deux … Il faut faire demi tour ! Tu as oublié ta copine et ça te dérange pas ?
Étienne respirait bien à fond, il avait l'air calme, il avait oublié sa copine mais ça ne semblait pas le déranger. Moi c'était ma sœur, c'est moins grave remarquez, mais bon …
– Tu n'as pas écouté ce que te disait Nadine !
– C'est qui Nadine ? Ah oui Nadine … Elle disait quoi ?
– Elles ont reçu un coup de téléphone hier soir. Tu dormais déjà. Un gros contrat de réaménagement d'un magasin, si ça marche elles pourraient redécorer tous les magasins du groupe …
– Nadine n'a pas besoin de ça pour vivre …
– C'est pas le cas d'Hélène, elle n'a pas fait d'héritage … Elle !
– Tu veux me faire culpabiliser ou quoi ?
– Mais non ? Elles sont très heureuses de leur travail, elles l'ont choisi, et elles l'ont créé …
– Et nous on va faire du camping entre hommes !
– Entre homme … Pfff … lol !
– Ça va ! J'ai entendu !
On roulait toute la journée, on faisait une pause dans un fast-food puis je prenais le volant. C'est super le GPS on ne sait pas ou on va mais on y va quand même. En se relayant on gagnait du temps et on avançait vite.
J'apprenais que Étienne ne conduisait pas de tracteur, il était ingénieur … Il conduisait des microprocesseurs … Ça n'a rien à voir ! Il m'expliquait que c'est beaucoup plus petit qu'un tracteur un microprocesseur ! Au moment ou on quittait la route je lui repassais le volant, pas question que je conduise dans un chemin avec des trous, des bosses, et pas la moindre signalétique. Heureusement qu'on a ces gadgets modernes car moi j'étais perdu.
Le temps était magnifique quand Étienne arrêtait la voiture ! On installait rapidement une tente. C'était un modèle simple une tente de type canadienne. Deux places, des plus banales, on avait deux tente et Étienne me disait que si je voulais une tente pour moi tout seul on en monterait une seconde dès le lendemain, et il rajoutait mais c'est toi qui la porte …
– Ce soir je suis trop fatigué, on fait à manger et … Dodo … Mais c'est pas vrai on a un sac en trop … Non ( en me regardant ), on avait bien dit un sac à dos !
Je faisait oui avec la tête d'un air penaud.
Vous ne pouvez pas vous imaginer comment c'est simple à monter une canadienne quand on est avec quelqu'un qui sait faire !
Je commençais vraiment à apprécier de plus en plus Étienne, il ne me bousculait pas, il ne me taquinait pas ( c'est pas comme ma sœur ) . Il m'expliquait comment il fallait procéder pour chacune des opérations … Ma sœur elle, elle me gueule dessus dès que ça marche pas comme elle voudrait ! L'autre jour vous avez vu, quand je lui ai dit '' Ça te vieilli '' elle m'a traité de '' connasse ''. Je ne suis pas impressionné, je ne dis pas ça … Mais je préfère tout de même les manières d'Étienne. Et puis il faut dire que les hommes sont plus doux que les femmes, c'est connu !
On avait un réchaud pour faire chauffer le manger … Miam … Là je commençais à avoir faim et c'est mon estomac qui parlait … Man-ger ... Le grand air l’exercice, le trajet … Bein oui l'exercice ! Parfaitement, monter une tente c'est du boulot … Bref on tombait de sommeil … Étienne avait tout prévu, il cuisine divinement … Bon il avait prévu une boite de raviolis pour le premier soir mais il réchauffe divinement les raviolis … Au fait j'en profite pour dire, si on vous invite à emporter un matelas gonflable en camping, c'est pour dormir … Moi je pensais que c'était pour la baignade et j'en avais pris plusieurs au cas ou … Mais ça ne prend pas de place … Et puis on était bien, le grand air, les dernier chants d'oiseaux, le vent dans les feuilles, c'était la campagne, j'aime bien ça moi la campagne, c'était le paradis !
J'ai bien dormi pendant au moins deux heures ! Ensuite c'était l'enfer ! Il y avait du bruit, des grognements, des gens qui parlaient ou je ne sais pas ! Il y avait des pas et j'imaginais des zombies. Il y avait des bruits bizarres qui venait de la mare … Des monstres qui semblaient souffler contre la tente, des branches qui tombaient, qui craquaient … Enfin c'était l'horreur … Je me ratatinais dans mon sac de couchage et ne bougeais plus. Je vous jure je n'ai pas dormi une seconde du reste de la nuit !
…
Je dormais donc profondément quand Étienne me réveillait, il était déjà levé.
– On se lève, le soleil se lève et il faut que tu vois ça !
Un peu comme un automate je me levais.
– Tu me laisses le temps de prendre un bain et je suis à toi. Bon la salle de bain … D'abord la salle de bain !
Il éclatait de rire …
– Tu sais ou tu es là.
– Non ! Mais je m'en fou … D'abord la salle de bain …
Je me glissait et sortais de la tente en rampant sans même ouvrir les yeux ... Mais pourquoi il y a de l'herbe et de la terre partout ?
Je me relevais, ouvrais les yeux et hurlais comme un fou … Étienne arrivait.
– Mais qu'est ce qui t'arrive encore ?
– Mais on est ou là ? On n'est pas à la maison ! Le ciel, des oiseaux qui crient, il y a du vent, des arbres qui font du bruit, je déteste la campagne moi, je suis un citadin … Mais je suis en enfer moi …
– On est arrivé hier soir. Tu ne te souviens pas ?
– Si je me souviens ! Maintenant je me souviens ! Mais pourquoi vous m'avez laissé venir ? Mais pourquoi tant de haine ? J'veux rentrer à la maison moi.
Sans essayer de me faire taire, il me tirait par le bras. Je continuait à brailler. On approchait du lac, je ne me calmais toujours pas. Il me poussais et je tombais dans l'eau. Là je ne disais plus rien … Je me relevais …
– Bon ! Tu voulais prendre un bain ?
Il repartait vers la tente et me demandait … '' Si tu veux prendre un café ? Je vais en préparer ! ''. J'étais calmé ! Je le suivais !
– Mais on va pas rester là ? C'est l'enfer ! On ne va pas passer encore une nuit comme ça ? Tu sais j'ai pas dormi de la nuit !
– Tu n'as pas dormi de la nuit ? … Mais tu sais je me suis réveillé plusieurs fois cette nuit et à chaque fois je t'entendais ronfler …
– Je ne ronfle pas !
– Si !
– C'est pas vrai !
– Si !
– Un tout petit peu alors !
– Avec le bruit que tu faisais, il n'y au aucune chance qu'un animal sauvage ne s'approche de la tente à moins de cinq cent mètres !
– Tu n' exagères pas un peu là ?
– Un tout petit peu alors !
– Il y a des animals sauvages ? … ( d'un coup je parlais tout bas )
– Animaux ! Des animaux sauvages …
– Non ! C'est encore pire s'il y en a plusieurs … Là ça fait peur !
Il rigolait en préparant le café, moi je regardait partout à la fois, comme si quelque chose allait arriver, nous tomber dessus, nous attaquer … L'air méfiant que j'avais semblait l'amuser, il rigolait toujours au moment ou il me tendait le café.
– Bon on se prépare et on va se promener autour du lac, et je te rassure ce soir on ne dormira pas ici !
– Maison ?
– Non ! Pas maison ! Mon petit ET … Je vais t'emmener dans un coin magnifique … Bon en attendant je vais prendre un bain à mon tour …
Étienne retirait tous ses vêtements sans la moindre gêne. Du coin de l’œil je ne loupais rien … Il était encore plus beau que je ne l'avais espéré. Un torse avantageux, bronzé et doucement poilu, des bras musclés douillettement poilus eux aussi, deux belles jambes un peu plus recouvertes d'une fourrure que je devinais douce, des fesses fermes et rondes et une queue qui pendait lourdement et dont il ne semblait pas éprouver la moindre honte … Il me donnait même l'impression de l’exhiber avec une certaine fierté !
Je n'osais pas bouger, il m'avait un peu surpris là. Un peu mais pas désagréablement … Je ne disais plus rien, j'avais ma gamelle de café à la main et le regardais s'éloigner, il courait avec élégance et force, c'était un bel athlète, un très bel athlète. Je bandais !
Mais comment je vais faire moi ? Si je me déshabille il va penser que c'est lui qui me met dans cet état ! Ce ne serait pas faux remarquez ! Mais je suis tout à fait capable de me mettre dans cet état tout seul, surtout que là je n'ai pas baisé depuis … Oh oui ! Euh deux jours … Seulement deux jours ! Je sens que je vais devenir dingue moi, je veux dire … encore plus dingue !
J'avalais donc mon café, prenait une grande respiration, me concentrais et parvenais à contrôler mon érection … Je retirais à mon tour mes vêtements, ça allait vite j'avais juste une shirt et un T-shirt, ils étaient trempés, et je courais rejoindre Étienne. J'avais moi aussi une grosse molle qui pendait et se balançait à chacun de mes mouvements. C'était agréable mais il fallait que je pense à autre chose sinon la grosse molle allait transformer en grosse dure !
J'arrivais à temps dans l'eau, Étienne nageait tranquillement, il se retournait et nageait sur le dos et quand il faisait la planche je voyais sa queue qui sortait de l'eau, et ce n'était plus une grosse molle … Ouah ! Il en avait une belle, je ne pouvais plus regarder ailleurs, je bandais encore mais là j'étais dans l'eau, c'était plus discret.
Je remarquais un truc bizarre au milieu du lac. Une sorte d'île.
– Mais c'est une île là au milieu du lac, c'est pas l'autre rive ?
– Tout à fait, tu croyais que …
– Oui de loin je croyais que le lac n'était pas large à cet endroit.
– Tu veux aller voir ?
–Étienne : Si tu te sens capable de nager trois cent mètres …
– Oh oui , oh oui, oh oui … Je peux faire !
– Tu es sûr, c'est pas des conneries ?
– Je nage très bien, je vais à la piscine trois fois par semaines, tu n'as pas remarqué mes muscles ?
Là je ne déconne pas, je suis assez bien musclé. Quand on veut continuer à plaire à mon âge on n'a pas le choix, je fais de la course, et un peu de muscu aussi … Bein quoi quand on arrive à vingt cinq ans … Bon vingt huit …
Qui a dit trente ? Il ne faut pas exagérer non plus ! J'en suis pas encore là !
Je partais donc vers cette île au milieu du lac avec un mouvement de brasse gracieuse. J'en profitais pour respirer bien à fond et parvenait à contrôler à nouveau mon érection. Étienne me suivait. Il était lui aussi tout fait à son aise ! On nageait au même rythme en prenant bien notre temps.
– C'était sérieux, tu nages très bien finalement.
– Mais qu'est ce que tu crois ? Je sors souvent moi et c'est pas une petite flaque d'eau qui va me faire peur.
– Un aventurier !
– Je fais souvent de la natation, les grande étendues d'eau ne me font pas peur !
– Mer, rivière, lac … ?
– … Piscine !
Il rigolait !
– J'oubliais que tu étais un aventurier !
…
– Au fait si tu sens quelque chose qui te passe entre les jambes, tu ne t'...
– ( Je hurlais ) Des bêtes, il y a des bêtes …
Je terminais la traversée en crawl, à fond … Et je suis très bon aussi à cette nage ! Étienne arrivait plus tard, je l'avais laissé sur place. Je n'arrêtais pas de sauter et de m'agiter.
– Il y a des bêtes, pourquoi tu m'as pas dit qu'il y avait des bêtes, il n'y a pas de bêtes à la piscine et quand du sens quelque choses entre les cuisse c'est Mama qui te fait une blague.
Et là je ne bandais plus mais plus du tout !
En arrivant à l'île Étienne était plié de rire, il sortait de l'eau. Lui il bandait toujours.
– Et c'est qui Mama ?
– Une copine. Son vrai nom c'est Manuel mais tout le monde l'appelle Mama. Il est très farceur !
– Manuel ... une copine … D'accord …
– Ne change pas de sujet. Il y a des bêtes dans l'eau et tu ne me dis rien !
– Des poissons, il y a des poissons. Dans tous les lacs il y a des poissons !
– Il n'a pas de poisson dans les piscines.
– Allons, calme toi, c'est pas la petite bête qui va manger la grosse …
– Quoi il y a aussi des grosses bêtes ? Me dis pas qu'il y a des crocrodiles.
– Des '' crocrodiles '' ah oui c'est comme les '' animals '' ça, ouai ! Tu sais que tu es grave toi !
– Alors ça c'est gentil ce que tu me dis là ! Toutes mes copines me le disent souvent !
– Tu ferais mieux de t'allonger et de regarder, les premiers rayons du soleil vont bientôt nous toucher et la forêt sur la montagne à des couleurs magnifique, c'est beau un coucher de soleil mais personne ne parle jamais des lever de soleil … Regarde …
Le haut de la montagne prenait des couleurs incroyables qui penchaient sur le rose, c'était magnifique. Étienne était allongé, je pouvais admires son corps, il était mince et musclé. Sur son corps les dernières goûtes d'eau coulaient sur le sable. Il s'était appuyé sur les coudes, et regardait en direction de la montagne. Il ne prenait pas la peine de dissimuler sa queue, il bandait toujours et par moment se caressait doucement la queue. Il était circoncis, les proportion de son membre étaient spectaculaires … Vingt deux centimètres de long, près de cinq de diamètre ( vous pouvez me croire, j'ai l’œil ) Son gland faisait un peu plus de cinq centimètres de large … C'était énorme, presque effrayant, mais bon moi j'ai pas peur de rien ni de personne moi !
Il se caressait le torse, il séchait rapidement maintenant, j'étais sec et moi aussi et je bandais. C'était pas la peine d'essayer de respirer bien à fond. Il n'y avait plus aucune chance que je me calme, ma queue était ferme et se relevait, se plaquait contre mon ventre. Lui c'était pareil, sa queue se plaquait contre son ventre, il ne s'en cachait pas, il ne me le cachait pas et je me demande s'il ne le faisait pas un peu exprès. Encore une allumeuse. Je ne rencontre que des mec comme ça moi. J'étais allongé sur le sol à quelques mètre de lui, je relevais le torse en m'appuyant sur les coude, je repliait également une jambe par réflexe de discrétion ce qui ne m'empêchait pas me rincer l’œil.
Il se caressait le torse et descendait sa main jusqu'à la base de son sexe, sa main passait alors sous sa queue qui était complètement relevée et plaquée contre son ventre, sa main passait entre sa bite et son ventre, il insistait en se frottant la base de sa bite avec le tranchant de la main un peu comme s'il se grattait doucement … Ma queue se contractait à ce spectacle. J'avais le souffle court. Il regardait vers moi et me souriait.
– Décontracte toi bonhomme ! On est entre homme … Ou presque !
– Tu me taquines là.
– Tu pourrais allonger ta cuisse !
J'allongeais la jambe que je gardait repliée … Je le voyais, il m'examinait et ne s'en cachait pas …
– Tous les mecs font ça quand il sont sous la douche à plusieurs, dans des vestiaires par exemple, ils comparent …
– … Heu …
Je ne savait plus quoi dire mais c'est exactement ce que je faisais depuis un bon moment déjà !
– Tu es bien foutu ... Bien monté … Tu sais, je connais des femmes qui sauraient apprécier …
– … Ehhh …
– Oui ! Tu disais ?
– … ! …
Je n'arrivais plus à parler, il était en train de me chauffer la cervelle. La il se caressait la queue, doucement, sans insister, il ne semblait pas vouloir se branler ou jouir. Il se tripotait tout doucement c'est tout.
– Tu n'as jamais essayé avec une fille ?
– … EEEEE … ( je faisais non de la tête )
Là il se masturbait, doucement, sans chercher à conclure, c'était juste pour le plaisir de bander. Je ne pouvais plus détourner le regard . Mon regard était fixé sur la queue, elle était belle, je l'avais rêvée mais aussi belle, pas aussi massive, pas aussi réelle. La c'était en vrai, à trois mètres de moi.
– Si ça se trouve, ça te plairait !
– … EEEEE … ( je faisais oui de la tête )
Tu n'est pas très bavard. Tu parlais davantage tout à l'heure.
Je faisais non avec la tête puis je faisais oui … Étienne me regardait, il regardait sa queue puis la mienne. Il continuait à se caresser.
– C'est beau hein ?
Je faisais oui avec la tête en gardant les yeux rivés sur sa queue, là il se masturbait avec plus d'insistance.
– Je parlais du lever de soleil !
Je faisais oui avec la tête …
– On se fait une branlette, un concours de branlette ? … Le premier qui jute !
J'avalais ma salive, me levais rapidement et plongeais dans le lac …
– Je rentre …
Je nageais vers le camp, mais pourquoi je suis parti moi ? C'est la première fois que je fais ça avec un mec ! Mais pourquoi je ne profite pas de la situation ? Ma sœur va me découper en morceau avant de m'étrangler si je touche au copain de sa copine ! J'ai pas peur de ma sœur d'habitude ? Non mais là j'ai un peu peur d'avoir la trouille ! Et puis j'aurais fait quoi ? Je ne crois pas que je me serais branlé, je lui aurais sauté dessus ! C'est peut être ce qu'il voulait ? …
En nageant je me retournais et je le regardais de plus loin, il n'était pas complexé le gars, il était tout simplement en train de se branler !
A suivre
Sur l'île je voyais Étienne, il était toujours en train de se branler, il prenait son temps, il prenait le temps d'en profiter ! C'est vrai que c'était d'une beauté époustouflante … Je veux dire le paysage avec ce lever de soleil … Étrange sensation, j'étais allumé, sexuellement surexcité, je bandais comme un bandard fou, j'ai vu ça dans une BD, un mec qui bandait tout le temps et que les filles cherchaient à rattraper et c'était même pas une BD porno en plus ! Je bandais sans pouvoir me calmer mais je n'avais pas envie de me branler … Je ne pensais plus qu'à la queue d' Étienne, j'avais une envie de dingue de me la prendre dans le cul. A cet instant je me serais damné pour qu'il m'encule !
Mais pourquoi je me suis sauvé, j'aurais mieux fait de lui sauter dessus, il était en train de m'allumer, il ne demandait que ça … J'en suis sûr ! Mais qu'est ce qu'il va penser de moi ? Il ne va tout de même pas s'imaginer que je suis hétéro ? Ou pire ! … Qu'il ne me plaît pas ? Parce qu'il me plaît Étienne mais j'ai peur que ma petite sœur ne me coupe en morceaux, ne me passe au hachoir et ensuite ne m'étrangle avant de m'engueuler grave …
J'y retourne ! … Non j'y retourne pas ! …
Bon je le fais à pile ou face … Je fouillais dans la poche de mon pantalon mais ne trouvais rien … Avec une carte bleue on peut jouer à pile ou face ? Je suis pas vraiment sûr là ? J'étais sec. Je passais mon pantalon rapidement et je m'apercevais ensuite que j'avais oublié de mettre des sous vêtements … Bon c'est pas grave, je finissais tout de même par débander.
Étienne arrivait au moment ou j'enfilais un T-shirt, j'étais habillé et je me disais que forcément je me sentirais mieux. Il était toujours aussi magnifique, bronzé, musclé avec une grosse bitte molle qui pendait et se balançait à chacun de ses mouvements, c'était excitant, je sentais de nouveau ma queue qui se redressais. Mais bon, j'étais habillé et ça ne se verrait pas …
– Tu aurais du faire comme moi. Me disait Étienne. Tu bandes encore !
Je sentais toujours ma queue qui se redressait. Donc … Mais bon, j'étais habillé et ça ne se verrait pas trop, enfin avec un peu de chance …
Étienne se séchait, il me jetais des regards avec un petit sourire, il s'habillait en prenant bien son temps et en commençant par le haut !
– Je t'emmène faire un tour sur les rives du lac. M'annonçait Étienne. Sac à dos uniquement j'autorise un coussin gonflable, on emporte une tente et le stricte nécessaire … On fait ça à la dure ! Je vais faire de toi un homme !
– Mais pourquoi tu me dis des trucs comme ça ! Je t'ai rien fait moi !
Il pausait sa main sur mon épaule d'un geste affectueux, un geste d'une amitié virile, j'aimais bien ce contact, je sentais ma queue qui devait être un peu redressée et la force de son bras. Je sentais la chaleur de son corps, et voyais sa queue se balancer juste devant moi, à quelques centimètre, elle frôlait mon pantalon. Il m'allumait encore et j'avais bien l'impression qu'il y prenait du plaisir.
– Mais non mon petit bonhomme. Je t'aime bien tu sais, et tu verras tu vas adorer ce séjour ! L'année prochaine tu viendras même avec tes copines …
Il terminait par une légère pression de la main sur mon épaule, j'avais envie de le prendre dans mes bras, de me jeter à genoux devant lui et de lui sucer la queue … Mais je ne sais pas pourquoi, j'étais bloqué.
Je regardais vers le sol et … La vache … Je bandais comme un malade et on ne voyait que ça ! Mais bon ça n'a pas l'air de le déranger. Il n’empêche qu'il avait raison … j'aurais du faire comme lui !
Il enfilait un short.
– Tu devrais faire comme moi et mettre un short, a moins que tu ais peur de montrer tes mollets … Tu as de beaux mollets tu sais !
D'habitude quand on veut séduire quelqu'un on lui dit plutôt … '' T'as de beaux yeux tu sais ! ''. Mais bon j'acceptais le compliment !
– Mais je n'ai que deux pantalons moi . Tu ne voulais pas que j'emmène ma garde robe d'urgence …
– Approche ! Me disait-il. Tu vois là cet ourlet juste au dessus des genoux et bien il y a une fermeture à glissière.
Je le laissais faire, il était amusé de voir que je bandais toujours et me décrochais le bas de mon pantalon … Ça se décrochait ce truc ! … Il ne savent vraiment plus quoi inventer dans la mode spécial camping sauvage. Je me retrouvais finalement en short moi aussi … Je ne sais pas si j'avais l'air malin à ce moment précis mais j'étais en short avec un grand sourire et une érection qui était tout sauf discrète. Sans prévenir Étienne me prenait en photo !
Tout ça m'avait un peu calmé et je ne faisais plus le guignol, je préparais mon sac en suivant les indications d' Étienne, c'était léger, très léger mais ça devait être pour quelques heures, enfin j'espère … On rangeait tout ce qui était précieux ou fragile dans le coffre de la voiture, sous clé. On démontait la tente et on se la partageait … C'était bien la peine tout ce travail la veille au soir, en plus on l'emportait avec nous … Et il va m'emmener ou comme ça ?
– Maintenant en marche ! Tu me suis bonhomme ?
Je faisais oui de la tête, je bandais moins, ça allait mieux. Je le suivais.
On commençait par un chemin pas très large, je marchais donc derrière lui. On parlait de tout et de rien. J'admirais ses mollets, son cul … Ça lui donnait de l'allure cette tenue, il était sexy. Il me parlait de son boulot, je n'osais pas lui demander s'il fallait un permis pour conduire un microprocesseur … J'avais trop peur de dire une connerie. Il avait vraiment un beau cul et je ne pensais qu'à une chose … Mais pourquoi je me suis barré tout à l'heure sur l'île, j'aurais mieux fait de lui sauter dessus. Je lui racontais mon travail … Euh ? … Enfin les soldes … Il avait le rire joyeux ça me réchauffais le cœur. Je bandais toujours comme un malade … Mais pourquoi j'ai pas mis de sous vêtements moi ?
On s'enfonçait dans la forêt, il n'y avait plus aucune trace du lac et j'avais l'impression que le chemin montait. À un moment entre les arbres d'un côté du chemin j'apercevais le haut des arbres en contrebas. Nous avions pris de l'altitude et on ne tardait pas à arriver sur un espace libre et plat. Étienne me faisait signe de le suivre. Il y avait une ouverture entre les arbres, c'était le sommet d'une falaise, le paysage était époustouflant de beauté, on était largement au dessus de la forêt et plus loin tout en bas il me montrait un long serpent bleu, c'était le lac.
– Tu vois là bas, c'est l'île ou nous étions ce matin, un peu plus à gauche le campement, et la voiture est là. D'ici on ne peut pas la voir … C'est beau non ?
– C'est magnifique, j'ai jamais rien vu de pareil. Lui répondais-je.
– Tu ne viens jamais à la campagne ?
– Bein non ! Mais je suis monté en haut de plein de tours géantes …
– C'est pas tout à fait pareil. Bon on fait une pause, on mange et on repart ! Ici on peut faire un feu !
On récupérait des branches, et on faisait chauffer le repas. Il est bien organisé Étienne, je sais pas comment il fait. Moi je m'en sors bien aussi mais uniquement dans un restaurant. Là il n'y avait personne pour prendre la commande. On se reposait, je restais un peu inquiet, nous n'avions emporté que nos sacs, une tente, un équipement qui me paraissait un peu sommaire, de l'eau bien sûr mais … On mangerais quoi demain ?
On parlait oh pour ça on parlait ! Je lui racontait ma jeunesse, il me disait comment il avait rencontré Hélène. Je lui parlais de ma sœur, il me parlait de ses anciennes conquêtes …
– Donc tu n'as jamais touché à une fille ?
– Mais tu es folle ! Oh pardon je voulais dire euh , non jamais !
Il rigolait de ma réaction.
– Et toi tu n'a jamais touché à un mec ?
– Mais bien sûr que si !
– … ? … !
– On dirait que ça t'étonne ? Reprenait-il.
– Bein oui, un peu quand même ! … Tu me racontes ?
– Non !
– Beuhhhh ! Tu dis ça rien que pour m'embêter ! Je te crois pas d'abord !
– J'étais jeune, je devais avoir quatorze ans pas plus … C'était pendant les vacances au lac …
– Au lac ?
– Oui on était venu avec nos parents, un copain d'école, il avait mon âge. Les plus âgés s'occupaient à je ne sais quoi, nous on se baignait dans le lac. On a traversé pour se retrouver sur l'île, là ou on était tout à l'heure … On était à poil, nos parents font du naturisme.
– Sur l'île ou on était ce matin ?
– Exactement ! Quand on arrivait sur l'île je commençais à bander, Path également. Tant qu'on était sur la petite plage ou on s'était allongé on pouvait nous voir depuis le camp, on décidait donc de nous enfoncer un peu dans l'île … Comme tu peux voir elle n'est pas bien grande, deux cent mètres sur à peine plus de cent mètres.
J'écoutais, il commençait à m’intéresser …
– Au centre de l'île il y avait un champ sans arbres, je pense qu'ils on du pousser un peu depuis, c'était il y a plus de dix ans. On s'allongeait sur l'herbe et on commençait à se branler. On se regardait et on se motivait l'un l'autre. A un moment Path s'est arrêté, il est venu s'asseoir à coté de moi. Il avait une toute petite bite … Enfin toute petite je ne sais pas, j'ai pas trop d'éléments de comparaison mais par rapport à moi elle était toute petite. Plus petite que la tienne en tout cas.
– Je suis assez bien doté …
– Lui moins ! Il me regardait avec une sorte d'avidité, un peu comme toi ce matin …
– Peuh … Arrête de te moquer et raconte, je t'écoute !
– Il semblait fasciné, je ne bougeait plus, il me regardait et me demandait juste … '' Je peux ? '' . J'ai pas compris tout de suite ce qu'il voulait faire mais.
– Moi je sais il voulait te sucer la bite ?
– Mais non, il voulait juste la mesurer !
– Tu déconnes, j'y crois pas ! En tout cas c'est pas ce que j'aurais fait moi !
– Oui mais en attendant toi tu n'as rien fait !
– Et toc ! Prend ça dans les dents … Mais raconte plutôt la suite. C'était pas pour mesurer dis ?
– Non bien sûr, il voulait me la sucer. C'est ce qu'il a fait, j'étais surpris mais je l'ai laissé faire …
– Tu m'étonnes !
– Bon il avait du mal à avaler ma queue, mais il y mettait du cœur. Il essayait vraiment, il me caressait le gland, tu as vu je suis circoncis ? ( je faisais oui de la tête ) il me branlait, il me suçait, il s'appliquait le mec. Bon au bout d'un moment je me suis aussi occupé de lui, je le masturbais avec douceur, je crachais dans ma main et je le masturbais comme ça, je le sentais qui se contractait, il avait l'air d'aimer.
– Ça me rappelle quand j'étais à la petite école avec un copain à ma sœur … Mais tu dis pas que je t'en ai parlé, elle ne m'a toujours pas pardonné !
Il me regardait bizarrement après ce commentaire …
– La petite école ?
– T'occupe pas je te raconterai. Vas y continue, tu m’intéresses.
– Tu es du genre précoce toi !
– Tu sais moi je suis un rapide, un peu comme dans le magasin de sport ou on a acheté mon équipement …
– Il s'est passé quoi dans le magasin ?
– Bein tu as remarqué que j'ai fait la bise au vendeur en partant éh éh éh je l'avais sauté dans une cabine d'essayage juste avant mais bon ça c'est une autre histoire et si on mélange tout on ne va plus rien comprendre vas y raconte il a fait quoi ton mec là, ça commence à m’intéresser ton histoire j'aurais jamais imaginé ça de toi mais c'est cool vas y raconte il a fait quoi là ton mec il a fait quoi ?
– On se calme, respire quand tu parles, ça ira mieux … Je l'impressionnais et il voulait y goûter le gars. Il me suçait comme il pouvait, il était pas au top, je le laissais faire mais par moment je sentais ses dents …
– Ah les dents c'est pas cool ça, c'est les débutants qui savent pas s'y prendre.
– Bon tu me laisses continuer ?
– Oui, vas y, continue je ne dis plus rien.
– Avec un main je lui caressais les cheveux, et de temps en temps avec un peu de malice j'appuyais sur la tête … Il résistait et faisait des bruits bizarres et amusants, ça me faisait rigoler. Avec l'autre main, je lui caressais la cuisse, il était à quatre pattes juste à côté de moi, je remontais jusqu'à sa queue et je le masturbais un peu. Ça me faisait tout drôle, j'ai l'habitude d'avoir une queue plus grosse dans la main. Il parait même que c'est trop gros d'après certaines, tu sais il y a des filles qui en ont peur.
– Les filles … Pffff … Faut pas écouter ce qu'elle racontent, elles n'y connaissent rien … Par contre c'est vrai, c'est énorme !
– J'avais envie de faire un truc plus amusant aussi je lui caressais les fesses, j'essayais de lui glisser un doigt dans le cul mais là il se contactait et en plus ça ne glissait pas, aussi…
– Ouai ! Là ça devient intéressant ! Tu as fait quoi dis ? Tu as fait quoi ?
– Mais laisse moi parler si tu veux le savoir … Donc …
– Excuse moi ! Je ne dis plus rien ! Tu as fais quoi dis ? Tu as fait quoi dis ?
– ( Il poussait un grand soupir ) J'ai craché dans ma main et je lui ai lubrifié le cul, il se laissait faire, j'ai fais ça plusieurs fois et sans prévenir je lui ai glissé un doigt dans le cul !
– Direct ! Oué c'est bon ça ! Et lui il a fait quoi dis … Lui il …
– Ça à l'air de te plaire cette histoire !
– Ça me rappelle quand j'étais tout petit.
– A la petite école ?
– Non mais l'année suivante. Mais ne te laisse pas distraire, vas y raconte, vas y raconte, je ne dis plus un mot ! … Juré !
– Là je l'ai entendu gémir, reprenait Étienne en rigolant. Il a essayé de relevé la tête mais j'appuyais dessus … Je l'ai entendu gémir … J'étais plus fort que lui aussi j'ai continué, en quelques secondes il a éjaculé. Il avait le cul bien serré et je glissais un autre doigt !
Je ne disais plus rien je le regardais, j'avais la bouche ouverte, je devais avoir l'air bête il rigolait en me voyant.
– Il essayait de se dégager mais je le retenais, je continuais à agiter mes doigts dans son cul et lui il continuait à me sucer. Ça commençait à venir, ma queue s'enfonçait de plus en plus profond dans sa gorge … J'ai continué un moment comme ça … J'appuyais sur sa tête, j'agitais mes doigts dans son cul, et lui il essayait de se dégager … Au bout d'un moment je l'ai entendu pousser des cris étranges, il gémissait, je ne comprenait pas ce qui se passait tout de suite mais à ce moment il a éjaculé une deuxième fois. J'avais l'impression qu'il n'essayait plus vraiment de se dégager, il se tordait dans tous les sens mais là il jouissait vraiment.
…
– Ne me regarde pas comme ça avec la bouche ouverte, là tu sais que tu as vraiment l'air bête … Me disait Étienne en me regardant.
– Des bêtes ou ça des bêtes. ( je me relevais et regardais autour de moi ) Je ne vois pas de bêtes moi. Arrête de dire des trucs comme ça tu sais que j'ai peur des bêtes … Pourtant je suis très courageux !
Il était éclaté de rire.
– Quelle grosse nouille tu fais. J'ai dit '' Tu as l'air bête '' ! Il n'y a pas de bête … Sauf toi !
– C'est malin ça mais ça ne me dit pas ce qu'il a fait le mec, il a fait quoi et toi tu as fait quoi ?
– Donc je sentais bien qu'il jutait et il jouissais …
– Tu l'as enculé dis, tu l'as enculé ? …
– On était jeunes … J'y ai bien pensé mais j'ai pas osé et puis …
– Remarque moi j'aurais bien aimé être à sa place mais bon lui il aurait dégusté parce que le truc que tu as c'est pas pour les débutants …
– Je disais donc que j'y ai bien pensé mais …
– Remarque je dis ça mais à son âge je n'aurais peut être pas été volontaire. C'est quand même du gros calibre.
– J'y ai bien pensé donc mais …
– C'est vrai que un truc comme ça quand j'étais jeune ça m'aurais fait peur.
– Donc mais c'est à ce moment que …
– Mais maintenant j'ai plus peur du tout … Maintenant je suis un homme !
Étienne ne disait plus rien.
Oui ! Reprenais-je.
Étienne ne disait toujours plus rien.
– Je t'écoute ! Continuais-je.
– Ça va je peux parler ? Me demandait-il.
– Oui, oui, oui, vas y … Je t'écoute … Je ne dis plus rien … C'est juré …
– C'est à ce moment donc … que … j'ai éjaculé dans sa bouche !
– J'adore ça moi ! Mais bon je dis plus rien ! Parole ! Vas y continue !
– Ensuite je me suis calmé, reprenait Étienne en levant les yeux au ciel. Je lui ai lâché la tête et j'ai retiré mes doigt de son cul. Il avait l'air essoufflé. Finalement malgré les dents j'avais bien aimé moi ! Lui c'était autre chose … On est retourné se baigner et on a discuté un moment. Il m'a dit qu'il n'avait pas aimé mais deux jours plus tard il voulait recommencer …
– Et tu as recommencé dis ? Tu as recommencé ? Tu as recommencé plusieurs fois dis ? Tu lui as défoncé le cul dis ?
Tout en parlant on ramassait tout, on prenait soin de vérifier que le feu était parfaitement éteint, même si c'était un endroit dégagé qui ne présentait pas de risque d'incendie. On était prêts à partir …
– Tu me raconte la suite dis ?
– Si tu es sage je te raconterai la suite. En tout cas tu as aimé cette histoire on dirait …
– Pourquoi tu dis ça ?
– Tu bandes !
– Tu ne bandes pas toi ?
– Tu peux me croire, il n'en faudrait pas beaucoup plus.
On était sur le point de repartir …
– Alors tu me racontes ce qui s'est passé, ce que j'ai loupé dans le magasin …
– Avec le marchant Damien ?
– Je crois que ton Damien en fait s'appelait Laurent !
– Tu es sûr ?
– Oui !
…
– Dis qu'est ce qui s'est passé dis ? Qu'est ce qui s'est passé dis ? Qu'est ce qui s'est passé dis ? Vas y raconte dis ! Vas y raconte dis ! Insistait Étienne.
– Ouai mais là tu te moques de moi !
– Oui mais avec beaucoup de tendresse !
Il se retournait vers moi, passait une main derrière ma tête, me tirait vers lui et me donnait un baiser sur la bouche …
Alors là il m'avait surpris, si c'était ce qu'il voulait faire, c'était réussi ! Je restais là, comme un con, incapable de dire quoi que ce soit, il partait en me criant …
– Allez en avant bonhomme, on a encore de la route à faire avant ce soir !
Il se retournait, me regardait, il rigolait.
– Tu bandes encore mon gars. C'est moi qui te fais cet effet ?
Je marmonnais quelques mots incompréhensibles, que je ne comprenais même pas moi même d'ailleurs et j'avançais en traînant les pieds. Là je ne savais plus quoi faire, j'avais envie de lui sauter dessus depuis ce matin même que hier j'avais déjà envie de lui sauter dessus … En tout bien tout honneur ! Pas pour lui faire du mal ! Juste pour lui sucer la queue et me la prendre dans le cul. Je n'avais que de bonnes intentions parfaitement avouables, ne vous méprenez pas !
Il prenait de l'avance et brusquement je me voyais tout seul dans la forêt au pied d'une montagne que je ne connaissais pas, je ne savais pas ou j'étais … Et le téléphone il marche le téléphone. Je faisais un essais … Ouf il marche le téléphone … Étienne était au bout du chemin, il allait entrer dans le bois, je paniquais et me mettais à courir, quelques instant plus tard j'entrais dans le bois, il n'y avait plus personne !
Là je paniquais vraiment, je regardais à droite et à gauche, je l'appelais et j'accélérais le pas, je m’angoissais et je hurlais …
– Étienne si tu ne me réponds pas je pleure !
Je l'entendais alors rigoler juste derrière moi.
– Et bien voilà une réaction d'aventurier là ou alors c'est que je n'y connais rien.
J'étais affolé, je me retournais vers lui et le prenais dans mes bras !
– Tu m'as fait une de ces peurs. Je me croyais perdu, abandonné, je me voyais déjà perdu dans la nuit et toi je ne sais ou, me cherchant peut être.
– Allons c'est fini, je ne t'abandonnerai plus je te le jure, c'est fini, c'est fini.
Il me prenait dans ses bras et je dois reconnaître que l'émotion passée, j'en profitais un peu. Je sentais enfin ses muscles, ses bras forts, la chaleur de son corps, son souffle … Je bandais encore plus, de ce côté je ne contrôlais plus rien …
– Bon tu peux me lâcher maintenant, on a encore de la route à faire …
A contre cœur je le lâchais. Je me disais que si je continuais il finirait par s'imaginer que j'étais une fille facile … Et ce n'est pas le cas ! Je peux vous garantir que je ne couche pas le premier soir … Mais qu'est ce que je raconte moi, en général je n'attends même pas le soir !
– Bon maintenant tu marches devant. C'est moi qui vais reluquer ton cul.
Je passais donc devant, je jetais régulièrement un œil pour m'assurer qu'il ne m'abandonnais pas, qu'il était toujours là …
– On t'a déjà dit que tu avais un beau cul ?
J'aime bien les compliments, je prenais de l'assurance et le laissais parler.
– Tu as de beaux mollets aussi on voit que tu fais du sport.
Je relevais les épaules et bombais le torse. Je l'entendais rigoler …
– Ton col est de travers et ta chemise est déculottée !
Je m'arrêtais net. Réajustais fébrilement mon col et repassais ma chemise bien dans mon pantalon … Je me retournais et je le voyais, il avait une main devant son visage, il rigolait et je l'entendais … '' Mais c'est pas vrai c'est encore pire que ce que je croyais … ! ''
– C'est bon j'ai compris, tu te moques de moi !
– Oui mais avec beaucoup de tendresse ! ( avec un grand sourire ravi )
– Tu me l'as déjà fait celle là !
– En fait je suis jaloux de ton élégance, c'est vrai quoi tout te va à toi !
J'étais content je retrouvais une allure digne et en même temps je l'entendais rigoler … Il me taquinait mais il était mignon tout de même, j'aimerais bien dormir avec lui bientôt.
– Mais pourquoi tu n'as jamais essayé avec une fille !
– Une fille ! Beuuuuuurk !
– Oui bien sûr ! C'est un argument comme un autre ça !
– Par contre un jour il y a une fille qui a essayé avec moi !
– Mon pauvre je compatis, j'espère que ça ne t'a pas trop traumatisé … Raconte !
– Voilà, j'étais en vacances avec des copines …
– Et un soir une d'entre elles à …
– Mais voyons mes copines c'étaient des mecs … Pffff … Mais essaye de suivre un peu …
– Oui c'est vrai, j'aurais du me douter que ... Excuse moi tu peux continuer.
– Donc, on dormais dans une grande maison qu'on avait louée ( enfin moi surtout ) pour y faire le fête et on avait reçu plein de monde et aussi des filles …
– Là il s'agit encore de mecs je suppose …
– Mais non voyons, mais fait un effort, là il s'agit de filles … Essaye de suivre ce que je raconte …
– C'est vrai que j'ai du mal par moment !
– Donc, je dormais seul pour une fois, j'allais m'endormir et je sentais un corps chaud qui se glissait contre moi dans le lit, une peau douce, j'imaginais qu'il s'agissait du petit Youri que j'avais remarqué un peu plus tôt, il était mignon tu peux pas t'imaginer le petit Youri … Évidemment je le caressais doucement et devine ! …
– Non, je ne sais pas …
– C'était pas Youri ! C'était une fille, il n'avait pas de bite et elle avait des mamelles.
– Des seins !
– Tu appelle ça comme tu veux, c'était flasque, ça ne sert à rien et si il y avait ces trucs en trop il manquait quelque chose d'essentiel …
– Une queue !
– Exactement ! Je te raconte pas …
– Si, si raconte ! ( d'un air dépité )
–enveloppé pudiquement dans mon drap, elle était à poil dans mon lit la grosse, j'ai hurlé comme une folle avec une vox suraiguë … '' Au viol '' … J'étais bouleversé.
– Mon pauvre chérie ! Tu as eu très peur ?
– Je te raconte pas …
– Si, si, raconte ! ( d'un air distrait ) … El la fille alors ?
– Et bien la fille, je n'ai pas eu le temps de voir qui s'était, elle a disparue avant que j'ai le temps de réagir … Je te raconte pas …
– Mais si, mais si !
– J'étais dans un état, tiens regarde, rien que d'y penser … Je tremble comme un malade.
Je lui tendais la main pour qu'il puisse constater ! Un peu surpris il me serrait la main et m'indiquant la direction.
– On va dans cette direction … Là !
– Tu écoutais ce que je racontais au moins ?
– Euh … Tu sais que tu as vraiment un très beau cul toi !
– C'est trop mignon !
On continuait à avancer … J'étais content de ce dernier compliment que je devinais sincère … Il est fou de moi c'est sûr ! Nadine va me tuer, je n'ose même pas imaginer comment elle va s'y prendre mais elle va me tuer et ensuite ce sera Hélène qui va me tuer et là je suis sûr qu'elle sera encore plus cruelle. Je ne vous dis pas mais … Et puis si je vous le dis … Il faut vraiment être mordu pour supporter ce qu'elle vont me faire subir … Même quand on est aussi courageux que moi !
On continuait encore à marcher une bonne partie de l'après midi. J'avais l'impression qu'on continuait à monter, on finissait par arriver sur une petite plage au bord du lac, un endroit charmant, j'étais complètement perdu, à aucun moment je n'avais remarqué que nous étions redescendu …
– Bon ! On est arrivé ! Tu saurais monter la tente ?
– Moi ! Sans problème, non mais tu as vu comment ça s'est passé hier …
– Bon je vais le faire … Vas donc chercher du bois ! Et ne te fais pas mal avec la hache !
Tout guilleret je partais en sifflotant la fameuse chanson des nains dans blanche neige … Je l'entendais qui ne pouvais pas retenir un commentaire flatteur. '' Mais c'est pas vrai il n'arrête jamais, pourvu qu'il ne se blesse pas !''
J'étais encore en train de choisir un arbre quand je le voyais arrivé l'air un peu affolé …
– Ça va tu ne t'est pas blessé ?
– Non pourquoi veux-tu que je sois blessé ?
– Non rien je dis ça comme ça ! Mais tu fais quoi là ?
– Je cherche quel arbre je vais couper !
– Mais on ne coupe pas d'arbre, on récupère juste les branches, regarde là par terre il y en a plein …
Il me prenait la hache des mains …
– Avant que tu ne te fasses mal, on ne sait jamais !
On ramassait tout ce qu'on pouvait trouver de bois utilisable, puis on revenait au camp. On discutait toujours.
– Alors ton mec tu l'as sauté ou tu l'as pas sauté.
– Toi quand tu as une idée dans la tête ! Pas le premier jour …
– Et ça c'est passé comment après dis … Le lendemain ça c'est passé comment … Dis !
Il rigolait de bon cœur en me regardant.
– Tu es un marrant toi ! Bon on ramène du bois, on fait du feu et je te raconte …
On ramassait du bois mais motivé que j'étais j'en ramassais trois fois plus que lui, je faisais plusieurs tours maintenant que j'avais compris ce qu'il fallait ramasser … A la fin c'est même lui qui devait me calmer. On avait un beau tas de bois devant la tente.
– Mais c'est que tu deviens efficace toi quand tu es motivé. Je m'en souviendrai !
On se retrouvait un peu plus tard devant la tente à côté d'un feu de camp, un peu d'eau dans la gamelle et on avait tout les deux un repas réhydraté succulent. Il était beau éclairé par les flammes, torse nue le chapeau sur la tête. Aventurier dans l'âme je voyais en lui mon âme sœur et je le trouvais de plus en plus attirant, je bandais encore mais bon je commençait à en avoir l'habitude … Depuis le matin je ne contrôlais plus rien de ce côté la …
Il reprenait son histoire.
– Le lendemain on se retrouvait de nouveau sur l'île, et on se faisait un concours de branlette …
– Qui c'est qui a gagné ?
– … Mais c'est lui ! ...
– Tu as perdu ! Bouuuuuu !
– ( en levant les yeux au ciel ) C'est que moi bonhomme j'aime bien prendre mon temps, quand on se branle il n'y a pas urgence …
– Tu as raison … Donc en fait c'est toi qui a gagné ! Yooooo !
– Tout à fait ! On se retrouvait tous les jours comme ça et on se branlait en cœur. Il finissait par comprendre lui aussi que c'était mieux si on prend son temps, c'était cool et ça soulageait. Il faut dire qu'on se baladait à poil en permanence. Quand je venais ici à cette époque je passait tout mon séjour à poil en permanence. D'ailleurs à partir de demain …
– Moi pareil alors ! Mais ensuite tu l'a enculé le mec ? … Dis !
– Ensuite on à commencé à changé les règles de nos branlettes, on se masturbait l'un l'autre, et je dois dire que j'en prenais beaucoup de plaisir. Je le suçait de temps en temps, lui il me suçait plus souvent il aimait vraiment ça j'ai l'impression.
– Et tu aimes sucer une queue ?
– Bof, très moyennement. Je préfère me faire sucer !
– Cool !
– Cool ? … Bon je continue, au bout de plusieurs jours je lui glissait encore un doigt dans le cul. En y allant doucement il réagissait bien, il appréciait de plus en plus … J'apprenais à le faire jouir avec éjaculation et tout et tout uniquement avec un doigt, moi j'aime moins, ou alors c'est qu'il s'y prenait mal ! Au bout de trois semaines je décidais d'en faire un peu plus …
– Tu l'a enculé ? Il a du le sentir passer ? Ça lui a fait mal ? Il en a redemandé ou il alors il ne voulait plus …
– Dou – ce – ment bonhomme … C'est moi qui raconte !
– Oui, je ne dis plus rien, tu peux y aller …
– Donc trois semaines plus tard, je lui proposais de le sodomiser. Il avait un peu peur …
– J'imagine, moi à sa place enfin si j'avais son âge je … Ok je ne dis plus rien !
– Je lui promettais d'y aller en douceur …
– Tu parles avec un truc pareil … En douceur … Pfff … Mort de rire … Ok , Ok je me tais !
– Il voulait m'enculer en premier, pour voir si … comment j'allais réagir …
– Non ! Encore un qui ne savait pas ce qu'il voulait ! Bon Ok …
– J'ai hésité un petit moment puis je me suis dit que de toutes façons, vu la taille de nos deux queue j'avais la meilleure place …
– Ça dépend, les goûts et les couleurs … Et puis il y a les grosses gourmandes … Bon ça va j'ai compris je ne dit plus rien … Vas y continue … Tu ne m'entendras plus … Plus un mot !
– Je l'ai laissé faire … Je dois dire que je l'ai senti passer. Ça fait mal la première fois ! Je ne te dis pas, enfin tu connais … Non ?
– Moi je dis plus rien !
– D'accord ! … Au moment ou il pousse et qu'on sent ton anus se dilater, on ressent une douleur terrible, ensuite quand il s'enfonce ça devient insoutenable … Je voulais lui dire de se retirer mais j'avais bien l'intention de l'enculer après … Je serrais les dents !
– La vache !
– Il me limait sans ménagement, je serrais les poings, je serrais les dents ! Et rapidement il jouissait en moi. Il me serrait dans ses bras et je le sentais trembler, je sentais son souffle dans mon cou.
On s'allongeait sur l'herbe, je reprenais mon souffle, ça fait vraiment un mal de chien. Je me demandais comment il allait réagir quand ce serait son tour … J'étais beaucoup plus gros que lui !
On discutait … Il me proposait de continuer un peu plus tard, il bandait à nouveau. J'avais compris quelque chose. Je le lubrifiait longuement avec de la salive ( on n'avait rien d'autre sous la main ), je le travaillait comme je le faisais depuis un moment déjà avec un doigt puis deux, je passais même à trois. Il gueulait de plaisir ! Je crachais sur ma queue à plusieurs reprises puis je posais mon gland sur son cul et doucement je poussais. Mon gland rentrait, tu aurais vu la tête qu'il faisait, une grimace à faire peur.
J'ai compris à ce moment qu'il allait gueuler trop fort aussi je lui posais ma main sur la bouche et j'enfonçais ma queue en entier. J'avais vu juste, sans ma main il aurait hurlé et je suis sûr que nos parents auraient entendu … Il haletait comme, il respirait fort. Il gémissait, j'avais l'impression qu'il allait pleurer. Je gardais ma queue bien enfoncée dans son cul.
Je posais de nouveau ma main sur sa bouche, et me retirais puis m'enfonçais à nouveau. Il tremblait. Je le prenais pas les hanches et je me retirais, m'enfonçais et prenait le rythme. Au début j'y allais doucement, je sentais qu'il valait mieux ne pas faire durer et comme j'étais déjà largement stimuler je n'avais qu'à me laisser aller pour éjaculer rapidement dans son cul. La c'est moi qui tremblait, je le serrais fort dans mes bras et je l'embrassais. Ensuite je me retirais. Il faisait la gueule !
– J'y crois pas ! Il a encaissé ton truc ? Tu étais plus jeune, ça devait être plus petit … Non ?
– Non je n'en suis pas sûr … ( il rigolait )
– Et vous avez remis ça ?
– Non, ça il ne voulait pas … Moi j'ai eu mal au cul pendant plusieurs jours et lui aussi … On allait souvent dans l'eau, ça soulage, puis ça passait. On continuait nos branlettes. On inventait un jeux, chacun branlait l'autre et celui qui jutait en premier avait perdu.
– Et c'est toi qui gagnait !
– Oui mais c'était parce que, comme il voulait me faire jouir en premier il y allait un peu trop fort … Et en fait c'était pas plus efficace …
– Ça me rappelle quand j'étais jeune …
– En tout cas cette histoire t'a plu !
– Ça se voit tant que ça ?
– Tu bandes bonhomme … Tu bandes …
– C'est l'érection du matin !
– On est le soir !
– Je suis comme ça depuis ce matin !
– Il m'avait bien semblé aussi ...
On éteignait le feu, on rangeait le camp, il ne restait plus qu'à aller se coucher
– tu n'auras pas peur cette nuit ?
– Moi ! Mais tu ne me connais pas, j'ai pas peur de faire du camping … Pourquoi tu me dis ça ?
– Tu es sérieux là ?
– Parfaitement et en plus je dors très bien quand je suis au grand air !
– J'ai du loupé un épisode moi !
Il est vraiment bien Étienne, il est cool, il est calme et en plus il est très philosophe …
Étienne retirait son short, il se retrouvais à poil et il entrait dans la tente et je ne traînais pas à le suivre, j'ai pas peur mais bon il fait grand noir … J'avais pas monté la tente mais c'est moi qui avait préparé les sacs de couchage et bien gonflé les matelas pneumatiques. J'avais même accroché les deux sac de couchage ensemble, ça en faisait un grand … Deux places … J'y retrouvais donc Étienne et je me demandais s'il avait remarqué quelque chose …
Je me glissais, j'étais nu également, dans le duvet. Étienne se retournais vers moi …
– J'ai vu que tu avais rangé la tente …
Il avançait la main dans ma direction, la passait derrière ma nuque, s'approchait de moi tout en me tirant vers lui. Vous imaginez bien que là je ne résistais pas …
Là il n'y avait aucun risque que je résiste. J'avais attendu, espéré ça depuis des mois … D'accord je ne connais Étienne que depuis cinq ou six jours mais je l'avait attendu toute ma vie … Ouai bon ça fait cinq jours que j'en rêve mais c'est déjà beaucoup. J'ai pas l'habitude qu'on me fasse attendre si longtemps moi … Et puis il faut dire qu'il était bien Étienne, vraiment bien, canon, un vrai dieux Grec de l’Égypte antique … Rien que ça !
Je le laissais m'attirer à lui et je lui simplifiais le travail, il n'avait pas besoin de tirer bien fort, je me rapprochais rapidement de lui et il ne nous fallait que quelques secondes pour qu'on se retrouve chacun enlacé dans les bras de l'autre.
Je sentais enfin son corps, ses muscles, sa force et sa douceur également. On s'embrassait, je savais que ma sœur allait me transformer en viande hachée avant de m'engueuler grave mais je peux vous garantir qu'à cet instant je m'en moquais complètement. Je goûtais enfin à la saveur de ses lèvres, de sa peau et à la chaleur de sa peau. La petite toison qui le recouvrait faisait un peu velcro avec la petite toison que je porte, et dans le noir je voyais les étincelles qui s'en dégageaient. Je les voyais même les yeux fermés.
On roulait l'un sur l'autre, il se retrouvait sur moi et je sentais son poids qui m'écrasait avec tendresse et douceur, il m'embrassait dans le cou, sur le torse, je lui caressais les cheveux. Je sentais ses lèvres qui se promenaient sur ma peau, je sentais sa langue qui me chatouillait et j'en redemandais. Il me caressait la queue, je bandais comme un fou.
On faisait encore un tour et je me retrouvais sur lui, je l'écrasais de tout mon poids mais sans inquiétude, je ne suis pas bien lourd et il est très costaud. Je l'embrassais à mon tour sur les épaules, je lui mordillais les tétons et lui caressais le torse ainsi que la bite. Il me massait les fesses. Il bandait encore plus que moi mais surtout c'était un peu plus gros.
De nouveau il était sur moi et me mordillait le corps en descendant la tête vers le bas de mon ventre. Je sentais ses dents qui parcouraient mon corps avec douceur et je réagissais à chaque contact. Puis il rentrait les dents au moment ou il promenait sa langue sur mon gland. Il me masturbait avec lenteur d'une main et de la bouche me suçait la queue. Je pouvais constater qu'il avait commencé jeune et qu'il avait de l’entraînement, rapidement il la suçait jusqu'à sa base. Je lui caressais les cheveux et les épaules, mes mains ne pouvaient pas descendre plus bas, j'avais envie de lui caresser le dos, les fesses mais mes bras étaient trop courts. Je relevais le torse et mes mains descendaient plus bas, jusqu'au milieu de son dos, je parvenais à lui caresser les reins et j'admirais ses fesses magnifiques que je pouvais enfin admirer de prêt. Je n'appuyais pas sur sa tête, je le laissais faire.
Il relevait le visage et me regardait, il me faisait un sourire, je l'embrassais avec passion. Je repoussais alors sur le dos et c'est moi qui lui montrais comment je m'y prenais. Elle était grosse mais j'ai l'habitude et j'ai de l’entraînement … Je l'entendais gémir de satisfaction, il me caressait les cheveux avec douceur, il me laissait faire également et n'appuyait pas sur ma tête, c'était un peu plus laborieux que pour lui mais je m'en sortais bien. Je finissais par la prendre en entier dans bouche et je la sentais s'enfoncer dans ma gorge. Je relevais la tête puis j'avalais sa queue à nouveau … Je continuais comme ça pendant un bon moment et c'est totalement essoufflé que je relevais la tête.
En m'embrassant il me retournait sur le dos, ses mains parcouraient mes cuisses et de nouveau il prenait ma queue dans sa bouche. Ça ressemblait presque à un concours ou chacun montrait à l'autre ce qu'il savait faire, ou ce serait à celui qui donnerait le plus de plaisir à l'autre … Il faisait ça bien, quand je l'avais vu avec Hélène je n'aurais jamais cru que ça se terminerait comme ça avec lui … Mais pourquoi je pense à Hélène moi ? Surtout à un moment pareil !
Je prenait sa tête entre mes mains, mais pas pour le guider, juste pour suivre son mouvement. Il relevait la tête, et remontait vers mon visage en me couvrant de baisers et de douceur. Je gardais mes mains sur ses joues, puis sur ses épaules et nous partagions de nouveau un baiser plein de passion.
– Tourne toi ! Me disait Étienne.
Pour seule réponse je le regardais dans les yeux, puis je me retournais sur le ventre, je commençais déjà à respirer fort, j'écartais les jambes. J'avais tellement envie … J'avais un peu peur aussi … S'il était violent, il était suffisamment bien armé pour pouvoir blesser quelqu'un mais … J'en avais tellement envie … Et je lui faisais confiance, je faisais confiance à la douceur qu'on partageait depuis un moment déjà … Et puis j'en avais tellement envie !
Il m'embrassait sur le dos, me couvrait de baisers et d'une main je le sentais qui me lubrifiait le cul. Il valait mieux si on voulait que ça rentre … Et on le voulait ! J'écartais les cuisses un peu plus, il me glissait un doigt dans le cul, je poussais un léger gémissement. Face à ce succès, il me le rentrait en entier et progressivement l'agitait doucement puis plus vite. Il y glissait un deuxième doigt. Je gloussais de plaisir et l'invitait à continuer … '' Vas y c'est bon ! ''. Il faisait le même chose et régulièrement rajoutais du lubrifiant …
Il plaçait ses genoux entre les miens, et je devinais qu'il se lubrifiait aussi la queue. Je fermais les yeux et déjà je respirais fort. Il s'allongeait sur moi, sa queue appuyait sur mon cul, juste sur mon anus et déjà il commençait à pousser. Je me détendait, je détendais mon anus de toutes mes forces, il poussait plus fort, je ne résistait pas, il poussait encore, je me dilatait doucement, il entrait lentement, je poussais un cri étouffé dans un grand soupir. Je sentais un baiser dans mon cou !
Je tournais ma tête et nos deux bouches se retrouvaient, il continuait à s'introduire, je gémissait fort maintenant et mon souffle était bruyant, chacune de mes respirations se terminaient par un râle. Douleur, plaisir … Un peu les deux mais surtout du plaisir, un plaisir qui me remplissait rapidement, intensément, je gueulais mais je ne lui demandais pas d'arrêter. Quand il arrivait bien à fond, il donnait un léger coup de rein puis il appuyait de toutes ses forces. Je gueulais, je hurlais, je gémissais et mes cris se terminaient par des sanglots dans la voix.
– Ça va ?
– Oui vas y défonce moi le cul ! Lui gueulais-je pour réponse. J'étais en sanglots, en larmes.
Il se retirait doucement, puis revenait un peu plus vite que la première fois. Il se retirait de nouveau un peu plus vite et revenait. A chaque mouvement il accélérait le mouvement, il faisait une pause pour lubrifier de nouveau. Je redoutait la suite. Il reprenait alors le mouvement un peu plus vite et encore avant de se lâcher. Il appuyait alors de tout son poids sur mon cul, le matelas amortissait le mouvement, puis se relevait et ressortait alors presque complètement sa queue de mon cul, je rebondissait sur le matelas.
Rapidement je ne contrôlais plus rien, je jutais mais le plaisir venait de la prostate, c'était un plaisir à la limite de la douleur, c'était l'extase. Je tremblais, je ne commandais plus les mouvements de mes bras et je criais, et je hurlais … '' Non j'en peux plus !'' … Et continuais par … '' Oui c'est bon ! '' … '' Arrête tu vas me tuer !'' … '' Encore c'est bon ! '' …
Il ne m'écoutait plus il y allait, il se lâchait, je sentais encore une certaine douceur, il était attentif à mes réactions … Il se laissait tomber sur moi de tout son poids, et ne bougeait plus que son bassin, sa queue entrait, sortait. Je n'avais plus de souffle mais je ne demandais pas grâce, j'encaissais ! Moi quand je défonce un cul je me lâche, j'aime bien entendre gueuler les mecs que j'encule mais là je ne faisais pas semblant. Je gueulais, je gueulais mais je ne simulais pas … C'était de la folie !
C'était à son tour de gémir de plus en plus fort, il ne ralentissait pas ses mouvements. Je le sentais qui commençait à trembler et finalement il poussait un cri de jouissance dans mon oreille, mais à cet instant ça ne me m'inquiétait pas de devenir sourd … Il jouissait dans mon cul et me balançait quelques mouvements du bassin, c'était les derniers. Je gueulais car là il me faisait mal. Finalement il ne bougeait plus et se laissait tomber sur moi ! Il respirait fort, moi aussi. Il semblait détendu, moi aussi. Il était amorphe, moi aussi. Il avait joui, moi aussi. Il n'avait pas mal au cul, moi si !
On restait un moment comme ça, sans bouger. J'avais mal au cul ! Il me donnait des baisers dans le cou, sur les épaules. J'avais mal au cul moi ! Enfin il se relevais et se retirait, ça faisait tout drôle quand il se retirait totalement mais j'avais toujours mal au cul ! Il se laissait tomber sur le dos à côté de moi. Je ne bougeais pas. Il approchait sa main et je posais ma joue dessus en tournant la tête vers lui. Je lui donnais un baiser dans la main et le regardais en souriant … J'avais mal au cul mais je m'en moquais !
La fatigue se faisait sentir, je me blottissais dans ses bras et on s'endormait.
Le lendemain matin nous étions réveillé par le chant des oiseaux … Le vent faisait un bruit léger et reposant dans les feuilles, c'était calme. J'adore la campagne moi ! Je me sentais chez moi. Étienne dormais encore, j'étais toujours dans ses bras, je lui caressais doucement la fourrure, la douce et fine fourrure qu'il avait sur le corps, j'arrivais rapidement à sa queue qui grossissait au moment ou je la touchais. En tout cas on ne remet pas ça ce matin nous … J'avais mal au cul !
Il finissait par ouvrir les yeux, me souriait …
– Bien dormi ?
– Super ! Et toi ?
…
On se levait, j’attrapais mon short qui était à côté de moi et il me disait … '' Laisse tomber ! ''. Je ne comprenais pas tout de suite de quoi il parlait mais je le voyais sortir de la tente à poil, j'admirais toujours cette grosse bite, bien lourde, bien grasse et terriblement impressionnante. J'avais mal au cul et ça me rappelait que la veille au soir je me l'étais prise bien à fond … Je le suivais, à poil aussi, il courait vers le lac et me faisait signe de le suivre, c'est ce que je faisais. On se retrouvait dans l'eau, on plongeait, on nageait, on s'arrosait, j'étais bien, j'étais avec mon mec !
C'est un bon moment plus tard quand on est revenu au campement, j'allais chercher du bois, l'idée de couper un arbre était loin et je ne portais que mes chaussures. Je revenais avec du bois plein les bras, il allumait un feu pour faire chauffer l'eau.
– Au fait on va manger quoi ce midi ? Demandais-je.
– Regarde ça. ( il me montrait une bobine de fil )
– Oui et bien ? C'est une bobine de fil de nylon !
– Et ça ?
– Ça c'est un crochet, fait voir !
– Non n'y touche pas tu vas te faire mal ! C'est un hameçon !
– Et on va manger ce truc ? Moi j'y goûte pas on dirait que ça pique !
– Bon ! … C'est pas grave, je vais te montrer, tu es un garçon futé, tu vas comprendre …
– Bon ça ne me dit pas ce qu'on va manger … Si on commandait une pizza !
Étienne pouffait de rire ce qui me laissait supposer que je venait de dire une connerie … Je regardais autour de moi et je dois dire que en effet je concluais que je venais de dire une connerie … Mais moi je sens que je vais avoir faim et quand j'ai faim je suis ronchon …
On prenait un café et Étienne préparait une sorte de sac fait avec un filet de pêche et là … Filet de pêche, hameçon …
– Oué j'ai compris ! On va pécher du poisson !
– Je savais bien que tu étais un petit malin toi !
– C'est gentil ça tu es trop mignon !
Et c'était parti, il me donnait une sacoche avec quelques trucs dedans …
– Mais dis moi, pourquoi on n'a pas emmené d'eau ?
Il me regardait sans rien répondre.
– De l'eau … Pour boire … Me sentais-je obligé de préciser.
– Tu as vu ou on est ?
– A côté d'un lac ou on va pêcher des poissons …
– Oui et dans un lac il y a …
– Des poissons ?
Il rigolait …
– Je sais pas moi, des canards ?
– Tu es grave toi ! Il y a de l'eau !
– Mais on va pas boire l'eau ou nagent des poissons ! … Si ?
Il rigolait tellement qu'il n'arrivait même plus à me répondre.
On trouvait un coin tranquille ou on pourrait se mettre à l'ombre plus tard, il préparait la ligne, je m'installais au soleil, il était tôt et il faisait encore un peu frais aussi je préférais le soleil. Je regardais le flotteur au milieu du lac. A un moment le flotteur disparaissait sous l'eau, je sursautais et faisais signe à Étienne, tranquillement il attrapait la ligne, et tirait dessus … Je venais de voir pécher un poisson en directe. C'est que je ne savais pas comment on faisait ça moi !
Le poisson j'aime bien mais d'habitude il arrive tout cuit dans mon assiette ! J'étais épaté, je surveillais la ligne moi même après, il m'expliquait, ne pas tirer trop fort mais suffisamment tout de même. Avant la fin de matinée on avait cinq beaux poissons dans le filet, j'avais bien un peu de peine pour eux mais je pensais à mon estomac.
Plus tard de retour au camps, c'était la cuisson … Je découvrait qu'on pouvait faire cuire des poissons dans du feu, enfin sous les braises … Ça me paraissait bizarre au début mais c'était bon … Miam … Il avait prévu des légumes déshydratés et je mangeais de bon cœur. Le grand air ça creuse … Le reste de la journée je me disais que finalement je m'installerais bien là …
Le reste de la journée, on s'amusait dans l'eau, on nageait. Je plongeais au fond du lac, l'eau était pure et il y avait une grande visibilité, je voyais des poissons et … Des crabes … !
– Eh il y a des crabes, c'est pas normal on n'est pas à la mer …
– Ce sont des écrevisses, attrape en si tu peux, ça se mange et c'est super bon !
Il est marrant … Attrape en qu'il dit mais il aurait aussi pu me dire que ça mort c'est bêtes … Enfin ça pince mais c'est pareil … Ça fait mal ! Mais bon je suis courageux et j'en attrapais un bon paquet … Je confirme c'était rudement bon ! Le soir on s'est régalé.
On s'est aussi détendu en ne faisant rien … Un petit câlin quand même … J'étais au paradis.
– Je veux m'installer ici ! Je ne rentre pas à la maison !
– Toute l'année ?
– Ouaip ! Toute l'année. On est trop bien ici !
– Oui mais on est en été.
– Et alors …
– Ensuite il y a l'automne, c'est vrai que c'est joli, les feuilles tombent, les couleurs de l'automne sont belles aussi mais il fait plus frais …
– Oui mais c'est beau l'automne, j'ai vu des photos …
– Dans des livres ?
– Dans des livres ! Mort de rire ! J'ai pas ça chez moi ! Non j'ai vu des photos sur Internet …
– Ensuite il y a l'hiver … Tu as vu des photos aussi.
– Oui ça aussi c'est super beau !
– Mais c'est froid ! Tu t'imagine le pieds dans la glace, le lac gelé, la prairie couverte de neige, la tente sous la neige et là tu n'as pas le chauffage central !
Je me contractait et j'en profitais pour me blottir dans ses bras …
– Tu as raison, mais je reviendrai !
…
– Au fait on est ou ? La voiture elle est de quel côté du lac ?
– La voiture elle n'est pas par là. C'est un autre lac, c'est pas celui ou il y avait l'île quand on est arrivé.
Je me redressais et le regardais. Il m'expliquait qu'on était monté en altitude à quelques centaines de mètre plus haut, d'un côté le lac était alimenté par une rivière et de l'autre il y avait une chute d'eau qui se déversait dans le premier lac … Là ou nous étions arrivé …
Dans les jours qui suivaient, on se faisait beaucoup de câlins, les nuits étaient chaudes dans ses bras et les jours étaient doux, la chaleur était facile à supporter sur les rives fraîches de ce lac … Il y avait de la nourriture à volonté, je devenais un expert dans la chasses aux écrevisses, au fait on les chasse ou on les pêche ? Enfin moi je les attrapais avec mes mains …
Ça faisait une bonne dizaine de jours que nous étions installés dans ce campement et nous n'avions vu personne. Je commençais à oublier le reste du monde.
Il m'emmenait à la chute d'eau, en avançant sur le promontoire rocheux on avait une vue impressionnante, c'était magnifique, la rivière coulait en lacets et par endroits il y avait des chutes d'eau plus ou moins hautes, des rapides. D’où j'étais je pouvais deviner qu'il était possible de descendre en suivant plus ou moins les rives …
Quand je me retournais, toujours sur le promontoire rocheux j'avais une vue impressionnante, c'était à tomber, il était là en pleine lumière, nu, son corps avait des couleurs ambrées, il y avait cette queue énorme qui pendait entre ses cuisses, ses yeux, son sourire. Ça faisait quelques jours que … J'avais plus mal au cul, mais plus du tout alors ! En un instant je bandais. Il ne cachait pas sa surprise mais ce sourire qu'il affichait me disait aussi qu'il appréciait et rapidement il en faisait de même !
Je voyais sa queue se développer doucement, elle se relevait à peine, puis prenant plus de volume elle se décalait légèrement sur la gauche. Elle continuait à prendre un peu plus de place. Elle se relevait encore et se décalait de nouveau droit devant lui cette fois. Elle continuait à gonfler, il ne lui fallait plus que quelques instants pour se relever complètement, prendre son volume maximum et sa position presque à la verticale … C'était un beau spectacle qu'il m'offrait là. Mon cœur battait fort.
Je m'approchais d' Étienne, il posait sa main sur mon bras. Je me mettais à genoux devant lui et lui caressais la queue. Avec ses deux mains il me caressais les cheveux, les joues. Je passais ma langue sur son gland, je faisais tourner le bout de ma langue autour de son gland, aussitôt je l'entendais gémir et je ressentais une légère pression sur l'arrière de mon crâne. J'y répondais en prenant sa queue un peu plus profondément dans ma bouche. Elle est balaise mais j'ai de l'entraînement et j'aime ça, sa queue s'enfonçait encore un peu plus et encore d'avantage.
Il appuyait doucement sur ma tête, tout doucement. Sa queue s'enfonçait de plus en plus, elle entrait maintenant en entier, je sais synchroniser ma respiration et, je maîtrise … Il appuyait sur mes oreilles, et tirait ma tête vers lui mais sans me retenir, je sentais que je pouvais me dégager à tout moment. Je continuait ça un long moment.
Quand je me relevais, je me retournais et j'admirais encore un moment le paysage puis je le prenais par la main et l'entraînais vers un un doux tapis d'herbe, douillet et confortable … Vous avez remarqué depuis le début de cette histoire que je suis un garçon prévoyant quand je pars faire du camping … je l'invitais à s'asseoir.
Ensuite je continuais à lui sucer la queue longuement. Il ne cachait pas son plaisir et me caressait avec une extrême douceur toutes les parties de mon corps qu'il pouvait atteindre. Il était assis, les jambes allongées sur le sol et légèrement écartées, il était relevé, le dos appuyé contre un rocher. Je me relevais l'enjambais.
Il m'attrapait alors pas les fesses en passant ses mains entre mes jambes et me tirait fermement vers lui, surpris je ne pouvais même pas résister. Il prenait à son tour ma queue dans sa bouche et me la suçait avec expertise lui aussi. Je le laissais faire en lui caressant la tête avec tendresse. Il avalait ma bite bien profond et je sentais les caresses de sa langue et c'est moi qui gémissais maintenant.
J'attrapais un flacon de gel intime dans mon sac ( quand je vous dis que je suis prévoyant ) … Je le lui donnais. Il comprenait le message, il continuait à me sucer la queue et je le sentais aussi me lubrifier le cul … Il m'introduisait un doigt puis deux et rapidement me massait la prostate. Je poussais un cri de surprise je tombais en avant et ma queue s'enfonçait en entier. Il continuait, lui aussi il maîtrise.
Doucement je m'accroupissais, lui ne bougeait pas et me couvrait de baisers au fur et à mesure ou je me trouvais à sa portée. Je sentais la queue juste contre mon anus, je me détendais, lui ne bougeait toujours pas, j'appuyais un peu plus et je sentais mon anus se dilater lentement. C'était intense, je forçais, mon anus se dilatait, j'arrêtais et je hurlais. Ça faisait mal, très mal ! Je me relevais.
Je soufflais fort, bon c'est d'accord je me la suis prise dans le cul il n'y a pas si longtemps mais elle est vraiment grosse, on en rêve toutes mais quand on est au moment décisif … C'est toujours avec un certaine boule au ventre que … Je me disais, là ça va faire mal, non je ne pourrai pas … Et à ce moment ça faisait vraiment mal. Je me détendais et recommençais.
Sa queue s'enfonçait encore un peu plus profond. Je m'arrêtais, je faisais une pause … Quelques instants sans bouger et je reprenais. Je sentais passer chaque millimètres et quand mes fesses touchaient enfin ses cuisses j'avais l'impression que quelque chose allait ressortir par ma bouche .. ;
Il se redressait alors et me prenait dans ses bras et me serrait très fort. Je me laissais tomber sur lui, totalement empalé sur sa queue et passais mes jambes dans son dos. Je tremblais de plaisir, j'étais sur le point de jouir, à un cheveux de l'extase.
Il me caressait le corps, je lui rendais ses caresses, ses baisers … Il commençait alors à basculer son bassin d'avant en arrière. Sa queue s'enfonçait et se retirait dans un mouvement doux et léger. Sa queue ne se retirait pas beaucoup, elle s'enfonçait à fond par contre et se lent mouvement me massait la prostate. Rapidement, le plaisir montait, je gémissais, je criais, je gueulais, je pleurais. Il faisait une pause quand je me serrais trop fort contre lui et lui faisais sentir que je n'en pouvais plus.
Il était très attentif a chacune de mes réactions, très tendre, très doux, très câlin, très viril et je savais que j'aurais encore mal au cul …
Il reprenait le mouvement et faisait durer le plaisir. Je jouissais, j'éjaculais mais rien ne sortais, je tremblais, je ne pouvais plus contrôler mes gestes. Il le ressentait et accélérait les mouvements, le sadique. Il voulait me tuer ou quoi ?
Sa respiration devenait plus intense, plus rapide, plus bruyante … Il me serrait plus fort dans ses bras, je lui demandais grâce, je le suppliais … Il continuait, il accélérait jusqu'au moment ou il était pris de mouvements violent et rapides, là il me faisait sauter sur ses cuisses, comme on fait sauter sur ses genoux … Là je hurlais mais sans pour autant lui demander d'arrêter …
Il criait à son tour en faisant une grimace, suivaient quelques convulsion que j'encaissais comme je pouvais mais que j'encaissais ! Il se détendait ensuite et me tirait vers lui, nous restions enlacés, sa queue toujours plantée dans mon cul. J'avais des tremblements incontrôlables et je continuais à pousser de petits cris, de petits gémissements …
Quand je me relevais un flot de sperme coulait de ma bite. J'avais joui mais je n'avais pas éjaculé, voilà maintenant que je jutais mais sans jouir. Sans jouir mais non sans sensations au moment ou sa queue ressortait de moi … On se dirigeait vers le lac pour se rafraîchir … J'avais mal au cul !
Remarquez c'était à prévoir ! Je l'avais bien dit mais je m'en moquais. Si en effet j'avais mal au cul, je me sentais bien, rempli, vidé, un peu comme les poissons … Je dis ça parce que Étienne m'a appris à nettoyé et à vider les poissons avant de les cuire … Remarquez la comparaison est peut être un peu excessive ! Mais bon je me sentais vraiment bien … J'avais tout de même mal au cul !
Au départ on devait passer deux semaines près du lac, mais on était si bien qu'on prolongeait un semaine supplémentaire. De temps en temps on téléphonait aux filles, je laissais Étienne discuter avec Hélène, ils vont se marier, je ne suis qu'une passade pour lui. Il n'a rien de mieux alors il se venge sur moi … Ceci dit, j'en redemande. Ça me chagrinait bien un peu mais bon … Je devrais survivre … Je vais sûrement pleurer pendant des mois et deux jours après mon retour je recommencerai à vivre, à draguer … Enfin deux jours si je ne trouve pas d’auto-stoppeur mignon, sinon je réduirai la durée de mon veuvage …
Oui je sais j'en rajoute mais c'est que je suis comme ça moi. Quand un mec me plaît ça ne loupe pas je tombe amoureux. Le plus souvent ça ne dure pas. Mais quand ça dure ça peut durer … dans le temps … je sais pas moi … des semaines.
La fin de ces vacances étaient brutales. Il me laissait démonter la tente pour voir si j'avais appris quelque chose. On nettoyait tout pour ne laisser aucune trace de notre passage. Quand l'herbe aura repoussé il ne restera que les cailloux qui limitaient notre feux, toutes les autres traces auront disparues. On restait à poil pour la route du retour, ça faisait quelques semaines qu'aucun de nous n'avait porté le moindre vêtement et on, en tout cas moi, se sentait bien comme ça.
Il choisissait de me faire passer par les rapides. Bon quand je dis rapides, si quand même, il y avait une zone de cailloux qui assurait le trop plein, c'est là que le lac débordait, on pouvait traverser le lac juste à côté du ravin en marchant sur ces cailloux et roches, là il n'y avait pas vingt centimètres d'eau, suivait ensuite tout un tas de paliers que l'eau descendait successivement. Des trous d'eau, on en profitait pour se rafraîchir. A d'autres endroits, c'étaient de vrais rapides de petites taille, nous on suivait le chemin qui quelquefois nous forçait à revenir dans la forêt et à d'autres moments nous conduisait juste à côté d'une véritable chute d'eau, un arc en ciel se formait alors … La région était magnifique, sauvage mais accueillante, les bêtes sauvages … Même pas peur ! Bon c'est vrai que je n'en avais pas vu …
Il nous fallait la journée entière pour descendre au niveau du lac inférieur, les jours sont longs en cette saison mais je devinais que nous ne serions pas rentrés le jour même …
On montait la tente … Enfin quand je dis on … JE … Bein oui on dirait que ça vous surprend ? Mais vous me prenez pour quoi ? Moi le camping je connais ça par cœur, c'est sans problème que je faisais ça pendant que Antoine allait chercher du bois pour faire le feu. Quand il revenait, tout était prêt, la nourriture n'attendait plus que la cuisson pour devenir notre souper … Eh oui ! Et tout ça, c'est moi qui l'ai fait !
Étienne revenait avec du bois, il n'en revenait pas. Il me laissait même surveiller la cuisson … C'est dire la confiance et le sens de la responsabilité que j'inspire … Une fois de plus on se régalait …
Cette dernière nuit était tendre, on l'a passé dans les bras l'un de l'autre. Il allait retrouver sa femme. Peuhhh ! Une femme ! Mais bon il en faut pour tous les goûts … Moi je m'en moquais, je l'avais tout à moi pour une nuit encore, pour une dernière nuit. Je le tenais, je ne le lâcherais pas avant le lever du soleil …
Je me glissais tout contre lui dans le sac de couchage, je le caressais, je l'embrassais, et rapidement je jouais avec sa queue. Il me laissait faire. Je le sentais détendu, très détendu, fatigué peut être … Je le suçais tout en le masturbant, je bandais mais j'avais décidé de ne me consacrer qu'à lui. Il était allongé sur le dos, me caressait la tête avec douceur, je léchais, je suçais son gland, il gémissait de plaisir. Je refermais ma main sur son gland bien lubrifié, et faisait pivoter mon poignet. Je le sentais qui se raidissait et soulevais son bassin. J'adorais sentir son corps qui se cambrait, se détendait, sursautait. J'adorais sentir cette queue bien massive qui se relevait, devenait dure comme du béton ( ou presque ) et qui finalement me crachait son jus à la figure … Bon là je ne m'y attendais pas mais c'est vrai que ça faisait un moment que je le tripotais le gars. Il poussait un gémissement de plaisir et de satisfaction, je le sentais qui respirait fort.
Je me blottissais tout contre lui, dans ses bras. Un peu dégoûté quand même, je me la serait bien prise dans le cul une dernière fois moi. Il refermait un bras contre mon dos et … On se réveillait ensemble dans la même position le lendemain matin …
Tous les deux on bandait ferme le lendemain matin. Mais il n'était pas question de passer la matinée à se sucer ou à s'enculer, à me faire enculer … Étienne il n'aime pas vraiment en fait mais il est tellement bien équipé pour me défoncer le cul que je ne lui en demandais pas plus ! Je l'admirais quand il faisait ses ablutions, on démontait la tente ensemble, on nettoyait derrière nous. Et on faisait route.
Je n'osais pas lui demander si on était encor loin, en fait j'espérais qu'on passe encore une nuit sous la tente. Surtout que je sais monter une tente moi maintenant ! Mais vu comment il m'avait parlé la veille au soir, je devinais que nous serions à la voiture dans la journée …
On arrivait en fin de matinée, il faisait une pause et s'asseyait.
– Et voilà on est rendu ! S'exclamait Étienne.
Je regardais partout autour de nous, pas de voiture, pas de prairie ou nous avions passé la première nuit.
– Mais non, on n'est pas arrivé, ça ne ressemble pas à l'endroit d'où on est parti et la voiture. Elle est ou la voiture ?
Il me montrait l'autre côté du lac.
– Là bas ! Environ quatre cent mètres pour traverser mais je sais que ça ne te fait pas peur.
– C'est sur l'autre rive …
– Non ! Tu te souviens de l'île ou nous étions le premier jour ?
– C'est l'île ?
– Oui ! Mais on est de l'autre côté du lac, donc quatre cent mètres, ensuite on traverse l'île, encore trois cent mètres et on sera arrivés à la voiture …
Il ne nous fallait pas longtemps pour traverser, on faisait une pause sur l'île, un petit concours de branlette … Finalement il l'avait eu son concours de branlette … Dans la voiture il y avait le réchaud et on se faisait un vrai repas. Ça nous changeait. J'étais heureux, un peu triste que les vacances se terminent mais heureux …
On montait dans la voiture et on en ressortait quelques secondes plus tard en rigolant … On était toujours à poil ! L'habitude depuis près de trois semaines. On se couvrait et on prenait la route …
Il faisait presque nuit quand on garait la voiture devant la maison de ma sœur. Les deux filles étaient là, elles travaillaient sur leur projet. Finalement elles l'avaient eu leur contrat, c'était un gros contrat …
Je frimais un peu, j'avais été un héro, je savais monter une tente, chasser les écrevisses, pêcher du poisson, faire du feu … J'étais devenu un véritable aventurier. Je leur racontais tout ça et Étienne confirmait, Hélène était dans ses bras ( la garce je la hais ), mais bon elle était là avant moi …
Ma sœur Nadine avait du mal à croire à toute cette histoire mais c'est vrai que j'ai gagné en maturité, maintenant je suis un autre homme, plus virile, plus posé, plus calme, un peu moins … fofolle (?) …
Depuis Étienne et Hélène se sont mariés. Bon il ne faut pas raconter cette histoire à Hélène, ce serait méchant et cruel … Enfin cruel pour moi, je terminerais en viande haché et en pattée pour chat … Et en plus j'ai pas de chat …
Bon il faut que je termine cette histoire car je vais demain matin me transformer en gladiateur genre Caligula … Non je ne déconne pas, demain matin ça va saigner, il va y avoir des victimes, je vais me transformer en tueur, ça va faire peur je peux vous le jurer … Vous avez deviné ?
Oui c'est ça … Demain c'est le début des soldes !
Fin
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