Djé saison 6

Ep 68 : ENFIN LES VACANCES



La première semaine de vacances Léa restait avec nous. Le boulot n'était pas trop laborieux. On se faisait beau, ça c'était pas le plus dur … On est beau ! Bein si je vous rappelle que je vous l'avais dit dès le premier récit … Je suis très mignon ! En fait notre boulot consistait à se faire beau pour la caméra, donc ...

On se relâchait un peu, on se levait un peu plus tard, toujours la séance de sport comme toute l'année puis petit déjeuner, ensuite tout ce joli monde partait un peu comme au boulot … 

Moi et Antoine avions tout un tas de contrats publicitaires, séances photo, tournage des pubs, séances d'habillage, les marques ,ous offraient à tous les deux chaque costume ou accessoire que nous allions promouvoir dans les pub. Heureusement il y avait Charles et son très grand talent pour ce qui est de tout ranger comme il faut, les penderies devenaient petites. 

Luc avait ses émissions à préparer, les enregistrements, il était assisté par Bob qui bien sûr avait trouvé un petit boulot aussi. Bein oui ! Comme d'habitude Luc avait décroché son téléphone, avait demandé Mr Le Conte, lui avait expliqué que Bob … Ce serait bien si … Un petit boulot … etc … Et bien sûr comme vous le savez Mr Le Conte ne peut rien refuser à Luc !

Bob était content lui, il ne demandait rien à personne, on lui trouvait du boulot, en plus un boulot pas trop dur, passionnant et bien payé. On ne lui appliquait pas la grille tarifaire syndicale à lui !

Au bout d'une semaine Léa partait passer ses vacances dans sa famille. Pour Antoine, une rupture, une réconciliation suivie d'une autre rupture. Plus personne ne savait s'il était en couple et avec qui. Peut être ne le savait-il même plus lui-même.

Le premier week-end Luc avait invité à la maison deux sportif qu'il avait reçu dans son émission. Une traversée d'un océan en duo avec un bateau … ( Oui je sais, présenté comme ça, c'est un peu banal ) … Sans assistance, en plus ils n'avaient pas battu le record de la catégorie mais si on devait se limiter à ne parler que du champion dans chaque catégorie on aurait vite fait le tour du sujet et on ne parlerait plus de rien à la télé. 

Moi : Alors Luc, l'enregistrement s'est bien passé ?
Luc : Comme d'habitude, on prépare l'émission et on l'enregistre en une seule prise. 
Moi : Tu as des invités on me dit ?
Luc : Oui je te présente Youri et Thomas … 

Deux beaux gaillards avec un sourire franc et une poignée de main ferme. Rapidement on passait à table. Ils étaient sympathiques, ils avait des projets intéressants de courses, de reportages pour la télé, de développement de la voile … C'était leur passion et ça se voyait. 

La soirée avançait, Charles avait disparu, tout était rangé. Antoine avait disparu également, lui il était sorti. Luc s'était excusé, il avait des dossiers à préparer. J'en revenais pas, il devient mature le p'tit. C'est vrai que ce travail lui plaisait et il le faisait bien. Bob restait avec moi et nos deux invités. Bon ne bavez pas devant vos écrans, ce soir on restera sage. 

Je ne sais pas ce qu'il y avait dans le regard de Bob. Il était moins directe, moins droit … Bon si on compare au regard qu'il avait un an plus tôt … A cette époque en général quand je lui parlais il devenait tout rouge et fixais le bout de ses chaussures, donc par rapport à cette époque on peut dire qu'il avait un regard directe, mais ce soir il y avait quelque chose. Il avait beaucoup gagné en assurance ce petit gars, il était de plus en plus beau et je me disais souvent que mon petit frère avait de la chance. 

Mais là, il n'avait pas sont regard habituel. Par moment j'avais l'impression qu'il ne regardait pas nos invités dans les yeux mais plus bas, parfois même beaucoup plus bas.

C'est pas trop son habitude à ce petit bonhomme … Même si tous les garçons que je connais jettent toujours un œil … Souvent en vain mais on est comme ça incorrigible. Ceci dit ça faisait aussi un moment que je regardais l'entre jambe de nos invités, j'étais prêts  à parier qu'ils ne portaient pas de dispositif de chasteté eux. Mais Bob non plus il n'en porte pas !

Tout en discutant, ils échangeaient des regards complices, l'un se grattait les couilles, l'autre ajustait son pantalon. Tout en prenant un digestif ils  commençaient à nous parler des nos dispositifs. 

Youri : C'est vrai que vous portez tous une dispositif de chasteté ?
Bob : C'est obligatoire si tu veux entrer dans l'université PK .
Thomas : Et ça en vaut la peine ?
Bob : Ce sont les meilleurs étudiants du continent, ils ne cherchent pas d'emploi, ce sont les emplois qui les cherchent .

Nos deux invités avaient l'air impressionnés.

Moi : J'en porte un depuis un bon moment déjà.
Youri : On peut voir ?
Thomas : Pour moi il n'est pas question que je porte un truc comme ça !
Bob : On peut voir ?

Je regardai Bob, j'étais surpris de sa réflexion. Je l'ai connu plus timide que ça le petit Bob, je peux vous garantir, il était moins dégourdi que ça il n'y a pas un an ce petit gars. Il se levait et baissait son pantalon … Merde j'avais complètement oublié que Bob était sous clé. Il n'en parlait plus depuis un moment … Et encore un qui ne porte pas de sous vêtement. Mais ils me copient tous ou quoi ? Je vous l'ai dit il me semble, non ? Je ne porte pas de sous vêtement …

J'en faisais de même. Mais je ne m'arrêtais pas à baisser son pantalon, mes chaussures sautaient, ma chemise suivait … Bref en quelques secondes je me retrouvais à poil … Ils me regardaient les deux skippers, ils n'en loupaient pas une miette. Je les regardaient bien dans les yeux, je regardais aussi leur entre-jambe. Ils commençaient à se redresser, il y avait comme quelque chose qui prenait de la place et qui gênait …

Un court instant je ne m'occupais plus de Bob et quand je le regardais il avait fait comme moi ! Il est beau Bob, il a pris du muscle depuis qu'il vit avec nous. Il avait un corps doux, quelques restes de la beauté de l'enfance même s'il n'en était plus un depuis longtemps. Son corps gardait quelques rondeurs, quelques douceurs qui le rendait encore plus attirant. Ma bite gonflait brusquement dans ma cage qui se redressait devant moi. Brusquement je manquais d'air !

La vache … A cet instant je me disais que mon  petit frère avait vraiment de la chance … Bob … Il était vraiment craquant ! Et à voir comment Youri le regardait je ne devais pas être le seul à me faire cette même réflexion. 

Youri se levait, il ne rigolait pas là, aux mouvements de sa glotte je devinais qu'il avalait sa salive. Ses yeux parcouraient du haut vers le bas le corps de Bob. Lui il avait un petit sourire. Youri s'avançait vers Bob, au passage il heurtait la table basse, il y a des moments comme ça ou on devient soudainement maladroit …

Thomas et moi regardions le spectacle. Je remarquais que le dispositif que portait Bob était fortement redressé. S'il n'avait pas porté ce dispositif c'est une belle grosse queue que nous pourrions admirer. Je l'ai un peu pratiqué Bob, si vous vous souvenez ! ( Ep 42 ). Je me souvenais de la douceur de sa peau, la chaleur de son corps, la force de sa musculature et sa virilité … Là aussi je l'avais senti passer, avec ce dispositif il ne semblait plus aussi dangereux mais il était toujours aussi beau. Un peu comme dans cette chanson … '' Il était beau comme un enfant, fort comme un homme ! ''. 

Il faut que je pense à autre chose, je suis à moitié en train de tomber amoureux de Bob moi !

Youri était juste devant devant Bob, et au moment ou Youri posait sa main sur le torse de Bob, je devinais que ce dernier frissonnait. Le dispositif de chasteté réveillait en lui des désirs qui n'étaient pas ses désirs habituelles.

Je me retournais vers Thomas. Il avait maintenant une réaction très visible, pas seulement parce qu’il avait du mal à avaler sa salive et qu'il gardait la bouche entre ouverte. Son pantalon ne pouvait plus dissimuler une grosse bosse qui n'était pas là un peu plus tôt. Il tournait les yeux vers moi, je lui répondait par un grand sourire comme seule invitation.

Il se levait à son tour et s'approchait, je le recevais en lui ouvrant mes bras en grand. Il n'hésitait pas une seconde et se retrouvait dans mes bras que je refermais sur lui. J'étais nu et je sentais ses mains me caresser le corps, les épaules, le dos, les reins, les fesses et quand je sentais un doigt se glisser entre mes fesses à la recherche de mon petit trou de balle, je me disais que celui là,  il savait ce qu'il voulait …

Je le serrais dans mes bras, le caressais en cherchant avec les mains une ouverture, un passage jusqu'à sa peau. Bob avait pris de l'avance, son partenaire était déjà torse nue ! Je décidais de le rattraper, je glissait mes mains sous la chemise de Thomas et les remontais vers son torse, mes mains glissaient rapidement vers le boutons de sa chemise qui s'ouvraient sans difficulté. Je le couvrais de baisers, il refermait ses bras sur moi, penchais sa tête et m'embrassait également juste sous l'oreille. Ça chatouille à cet endroit et il me faisait frisonner …

Un œil sur mon camarade Bob, le pantalon de Youri était tombé, Bob était à genoux et lui suçait la queue. Je me disais que le plus souvent avec mon frère ça ne devait pas trop se passer dans ce sens mais il avait l'air de bien savoir ce qu'il faisait le petit Bob. Youri lui, semblait aux anges, il relevait la tête, ouvrait la bouche, laissait échapper quelques gémissements de plaisir et caressait la tête de Bob.

J'avais ouvert le pantalon de Thomas, je glissait mes mains contre ses cuisses, entre ses cuisses, ça ne me surprenait pas il bandait ferme. Une belle bite, pas énorme, pas minuscule, normale. Elle était bien ferme bien dure, je me penchais et sans plus attendre la prenait dans la bouche. C'est toujours plus facile de sucer une queue quand elle n'est pas disproportionnée, pas trop grosse. Youri semblait être dans la même catégorie, dans la norme …

Thomas prenait ma tête entre ses mains et me guidait, comme si j'avais besoin qu'on me guide … Je le laissais faire, ça ne me dérangeait pas et ne m'empêchait de lui montrer ce que je savais faire. La langue qui roule autour de son gland, les lèvres qui recouvrent bien les dents, les dents c'est le principal ennemi quand on veut sucer comme il faut. La queue qui s'enfonce doucement et qui glisse doucement contre le palais avant de s'enfoncer un peu plus loin, la glotte écrasée et le gland qui rentre jusqu'à la gorge. Là il faut bien contrôler sa respiration sinon … Et pour la victime à qui on fait subir tout ça, ce ne sont que contactes doux, caresses chaudes et humides. 

Je fantasme toujours sur les grosses queue, c'est vrai que je suis bien membré aussi mais, la taille juste en dessous, c'est pas mal non plus, c'est plus facile à sucer en fin de compte et le reste du corps donne toujours la même douceur, la même chaleur, la même force et la même tendresse. Les étreintes sont toujours aussi fermes, les gémissements toujours aussi bruyants.

C'est toujours avec la même force que le bassin pousse en avant que les mains se cramponnent et nous tirent la tête en avant au moment ou un cri de plaisir suivi d'une giclée de sperme met fin à ce moment de plaisir. Souvent suivie d'une seconde giclée, puis de quelques autres moins violentes, l'éjaculation est suivie d'une décontraction de tous les muscles. Thomas était envahi de plaisir, mois je vibrais de le sentir, je restais sur ma faim, je gardais sa queue encore un moment dans ma bouche, lentement il débandait, il se retirait, je levais les yeux il me regardait avec un grand sourire.

Youri était déjà assis dans le fauteuil et le regard fixe de Bob ne cachait pas la frustration qu'il devait éprouver. Je me demandais s'il savourait aussi, autant que moi cette frustration. Elle fait aussi partie du plaisir !

Thomas se laissait retomber sur son fauteuil …

Thomas : On m'avait bien un peu parler de ça !
Moi : De moi ?
Thomas : Non pas de toi mais des porteurs en général …
Youri : On nous avait prévenu.
Bob : Et ?
Moi : C'était à la hauteur de vos attentes ?
Thomas : Mieux que ça … On ne ma jamais sucé comme ça !
Youri : Moi c'est pareil .

On échangeait des regards sans rien dire … 

Bob : ( bien fort d'un coup ) Mais c'est qu'il n'y a plus rien à boire !

On sursautait tous les trois et Bob était content de lui …

Bob : Je vais chercher une autre bouteille, il en reste dis moi Jérémy ?
Moi: Oui il y a tout ce qu'il faut !

Ce premier mois de vacances était avant tout studieux, on travaillait surtout … Nous avons passé plusieurs soirées du genre de celle là. On invitait plusieurs mecs, et le plus innocemment du monde on s'envoyait en l'air. On les suçait, on se faisait enculer. Le plus souvent Luc participait, Antoine était souvent là aussi. Mais pour Bob la situation était spéciale.

Luc avait choisi et même demandé à porter ce dispositif. Antoine et Moi l'avions accepté puis on était devenu demandeur … C'est quand même nous qui avions conçu les dispositif actuellement commercialisés et que nous portions tous … Mais Bob lui, au début il ne le voulait pas, ensuite il s'était un peu senti forcé pour des raisons économiques, il allait entrer à l'université et à moins de le faire dans une autre ville c'était une obligation. La nouvelle direction de l'université exigeait le port d'un dispositif PK pour les étudiants ( les enseignants aussi ) . 

Bob n'avait au départ pas les moyens financiers d'aller s'installer dans une autre ville. Bien sûr avec le boulot et les contrats que Luc lui trouvait régulièrement il le pouvait maintenant mais … Il y avait Luc, il était fou amoureux de Luc et c'était réciproque. C'est ça qui faisait qu'il acceptait sa nouvelle situation de porteur. Mais le manque, le manque sexuel était particulièrement intense chez lui.

Ils avaient passé un accord entre eux. Tant que ce n'était qu'une histoire de cul, chacun accordait à l'autre une grande liberté. Une condition toutefois, il devrait y avoir une franchise totale, une honnêteté totale. 

J'en parlais avec Bob !

Moi : Tu sais Bob, tu n'est pas obligé d'aller dans cette université si tu ne le veux pas !
Bob : Je sais j'ai gagné beaucoup d'argent depuis quelques temps. Ça suffirait pour une première année, largement même.
Moi : Je t'ai proposé un soutient économique, ça tient toujours.
Moi : C'est sympa Jérémy, c'est très sympa mais … Luc m'a fait la même proposition tu sais … Mais je veux rester avec lui !

On verra bien comment les choses vont évoluer. On sait par expérience que c'est très supportable, addictif même. Au début on se plaint, on râle, on s'énerve … Ensuite on s'habitue, et pour finir … On en redemande et on ne peut plus s'en passer !

Avec Antoine on était occupé, on avait presque tous les jours des séances photo, enregistrement vidéo, quelques conférences, des défilé de mode. On en a même fait plusieurs avec Bob. Quelques Dollars Internationaux de plus dans la poche. Surtout que je ne vous dis pas comment ça paye bien ce genre de boulot.  C'en est presque indécent ça mais bon c'est le capitalisme … 

Vers la fin de ce mois on recevait une lettre de Justine. Elle avait reçu des proposition pour Bob … Ça ne m'étonnait pas vraiment, il est vraiment super mignon, les filles craquent complètement devant lui et les garçons le trouvent tous très sympathique … Bien sûr il les acceptait, Justine n'avait gardé que les propositions intéressantes. Je pense qu'à partir de ce moment il aurait pu choisir une autre université sans avoir besoin de notre soutient jusqu'à la fin de ses études … Il n'avait rien demandé à personne et il commençait à avoir du fric, il était content comme tout lui.  

Pour Antoine et moi, Justine nous apprenait que les ventes étaient plus importantes que prévues et nous faisait parvenir un chèque supplémentaire non prévu … '' Bah il faut savoir se résigner '' me disait Antoine d'un air blasé : '' Nous serons encore plus riche que prévu à la fin de l'année … ! ''.

Ce dernier jour, le salon était plein de bagages. Mon frère et Bob partaient en vacance, au bord de la mer. Luc avait décidé de présenter Bob à nos parents, il n'avait pas besoin de moi pour ça et je ne m'inquiétait pas vraiment, ça devrait bien se passer.

Moi : Tu sais Bob que tu vas poser pour des sous vêtements et des vêtements de sport, tu ne dois surtout pas bronzer !
Bob : Si ! J'ai le droit de bronzer mais uniquement si je n'ai pas la marque du maillot !
Luc : Et il n'a pas de maillot !

Antoine pouffait de rire !

Antoine : Ils ont tout prévu les p'tit !
Moi : Et toi Antoine tu vas ou ?
Antoine : Je vais faire un voyage à l'étranger ! Les grandes étendues de sables, les forêts vertes et sauvages. Les fleuves rugissants et les chûtes d'eau … 
Moi : Tout ça en un mois ?
Antoine : J'ai trouvé une club de vacance qui a un super parc à thème !

Là c'est tout le monde qui pouffait de rire …

Bob : Et toi Jérémy ? Tu fais quoi ? 
Moi : Je ne sais pas encore, je vais prendre la voiture, rouler, et on verra bien. Je ferai un rapide passage au château vers la fin du moi …
Antoine : Et Léa, tu la revois quand ?
Moi : J'ai reçu quelques informations qui me laisse imaginer qu'elle ne sera pas parmi nous à la rentrée …

Ils me regardaient tous sans rien dire.

Moi : Il me semble que ce qui lui plaît le plus chez moi c'est ma carte de crédit !

J'aurais pensé que ça jetterais un froid mais ils se regardaient tous les uns les autres, haussaient les épaules puis continuaient à vaquer à leurs préparatifs de départ.

Charles arrivait peu après, on remplissait les voitures, on s'embrassait tous, Charles fermait l'appartement, on prenait la route !



Ep 69 : BOB A LA MAISON



Il faut bien dire que pour ce qui suit je n'y étais pas, mais on m'a raconté.

Ils roulaient bien les deux p'tits, bon ils avaient tout les deux le permis et pouvaient donc se relayer. Luc faisait un petit détour d'à peine cent kilomètres pour pouvoir dîner dans un restaurant de qualité … Il est comme ça mon petit frère. Quand c'est moi qui paye il lui faut un restaurant de qualité ! Mais ça fait plaisir de voir que quand c'est lui qui paye c'est pareil ! Bob, un peu moins difficile se serait contenté d'un routier … Mais quand Luc à choisi le restaurant il a préféré ne pas intervenir, le risque de provoquer un drame était réel !

Ils arrivaient tôt dans la soirée, la famille était là … Notre mère en larmes, notre père qui ne valait pas beaucoup mieux, les embrassades, les poignées de mains les tapes sur l'épaule ( ça c'était surtout pour Bob ) … Tout le monde savait que le petit revenait à la maison et toutes les voisines étaient là, quelques voisins aussi … Je me suis mal exprimé là, je voulais dire … Les filles des voisins et quelques copains venus comme voisins. 

Quand j'étais revenu passer des vacances, vous vous souvenez ? Non !C'était l'épisode 27 … ( Merci ça fait plaisir ! )

Donc lors de mon premier retour pour passer des vacances à la maison, c'était le retour du champion, à l'époque j'étais déjà passé à la télé … Mais là, Luc il n'était pas seulement passé à la télé, il passait à la télé régulièrement, il avait son émission télé, à dix huit ans, et il avait quitté la maison moins d'un an plus tôt …

On m'a dit que c'était encore plus fort que pour moi ! Bob ne passait pas inaperçu non plus, lui aussi on l'avait vu à la télé, et comme je vous l'ai dit il n'y a pas longtemps … Il est vraiment beau comme un dieu … 

On les faisait entrer dans la maison …

Maman : Tu peux pas savoir comment on est tous fier de toi mon trésor !
Papa : Alors toi c'est Bob, je te paye un verre Bob …
Mam : Quand on t'a vu à la télé, tous les voisins sont venus …
Pap : Tu as une belle voiture dis moi Bob ? Ça doit coûter cher ?
Bob : C'est pas à moi, c'est à Luc, c'est Jérémy qui la lui a offert !
Pap : Il s'en sort bien Jérémy, tu le connais bien ?
Bob : On habite tous ensemble, je le vois tous les  jours .
Mam : Mais arrête donc d'embêter ce gentil garçon, et vas préparer un apéritif, les voisin vont passer nous voir … Jolie voiture Bob. 
Bob : C'est à Luc !
Luc : C'est Jérémy qui me l'a offert pour mes dix huit ans !
Mam : Il s'en sort bien dans la vie ton frère !
Luc : Moi aussi, je m'en sort bien !
Bob : Très bien même!
Pap : Vous habitez tous ensemble, et votre ami Antoine il habite toujours avec vous ?
Luc : Bein oui !
Mam : C'est grand comme appartement ?
Luc : Trois chambres !
Pap : Tu partages ta chambre avec ton frère, comme à la maison !
Luc : Bein non moi je partage mon lit avec Bob !

Un grand silence tombait soudainement !

Bob : Tu n'avais pas prévenu ta famille ?
Luc : Bein non pourquoi ? ( le plus naturellement du monde )

Et paf, là on m'a dit que j'avais loupé quelques chose … Bob est devenu tout rouge, ça faisait longtemps, mais là on m'a dit Rouge Basque … Encore pire qu'à l'époque ou il changeait de couleur tout le temps … 

Vous vous rappelez ? Un an plus tôt ? … Non ? Alors là c'est désespérant …

Luc : Bien on monte nos bagages dans la chambre. Tu me suis Bob ?

Vous imaginez que Bob n'avait pas vraiment envie de rester avec la famille tout seul … Il suivait Luc sans hésiter !

Ce soir là notre mère m'a téléphoné. Oh ce n'était pas un drame, elle n'était pas effondrée, ni affolée … Elle était seulement surprise … On discutait un long moment, vous savez nos parents sont cool, ils ont l'esprit ouverts. Elle voulait en savoir plus, si ce garçon était sérieux, sa famille, depuis combien de temps ils étaient ensemble … Je la rassurais, lui expliquais que j'avais déjà enquêté sur lui et que Mr Le Conte avait lui aussi enquêté. Elle avait souvent entendu parler de ce Mr Le Conte et rien que son nom la rassurait. Si même lui n'avait rien trouvé d'inavouable c'est forcément que tout allait bien … 

Le lendemain, Luc me disait qu'elle traitait Bob comme son troisième fils, pour notre père c'était pareil … Ils sont tous cool dans la famille je vous dis !

C'était le milieu de l'été il faisait beau et le lendemain matin les deux gamins partaient faire un tour en voiture, déjà quatre filles et trois garçons ( connus de Luc eux ) attendaient devant la voiture … Vous vous imaginez tout de suite qu'il y en a quatre qui ont été déçues. C'est donc à cinq qu'ils ont passé la journée, ils sont allé à la plage. Bob n'avait pas le droit d'avoir la trace du maillot vous devez vous douter que ce genre de détails ne va pas déranger grand monde, il suffit alors de ne pas en mettre et c'est bien sûr pour ne pas l’embarrasser que personne n'en a mis … Uniquement pour ne pas l'embarrasser, ou alors peut être parce que personne n'en avait non plus ? C'est possible, j'ai un doute … Enfin vous connaissez mon frère ! Et bien ses copains sont pareil que lui !

Il y avait une zone un peu sauvage et très agréable à quelques kilomètres, on ne pouvait pas y aller par la route. Le seul moyen pour y aller c'était à pied, ou à la nage à marée haute … Une zone de rochers entre lesquels il y avait de petites plages de sable fin, on pouvait y bronzer tranquille, ce n'était connu que des locaux. Justement mon frère et ses copains sont des locaux …

Ses trois copains en faisaient une tête quand ils on vu Bob à poil, il ne portait pas ce dispositif PK. Il l'avais porté pendant le premier mois de vacances mais avait décidé avec Luc de le retirer jusqu'à la rentrée. La rentrée c'était l'université PK et par conséquent la question ne se poserait plus. Leurs têtes se décomposait encore plus quand ils ont vu Luc à poil … Lui non plus ne le portait pas, il l'avait retiré pour partager ce dernier moi de liberté avec Bob.

Bob et Luc étaient pliés de rire quand ils ont vu leurs copains à poil. Les trois portaient ce dispositif … Ce n'était pas vraiment étonnant il y avait de plus en plus de personnes qui portaient ces trucs maintenant, la nouvelle augmentation récente de mes revenus en étaient la preuve …

Un des gars : Alors là les mecs, vous abusez , je trouve !
Luc : Comment ça on abuse moi je le portais depuis un an !
L mec : Oui mais en attendant on est les seuls à porter ce truc en ce moment !
Luc : Et bien tu n'as plus qu'à me sucer !
Bob : Et paf ! Moi pareil, un volontaire ?

C'était une situation nouvelle et terriblement amusante pour les deux gamins. Bob ne profitait pas que de son copain Luc, il s'amusait aussi avec d'autres garçons, Luc était d'accort et faisait de même. Pas de jalousie, c'était juste une histoire de cul … Ce n'était en aucun cas une histoire d'amour ! Entre eux si par contre, là c'était une histoire d'amour !

Je l'ai un peu pratiqué le petit Bob et il est bien monté, il ne se privait pas d'appuyer sur la tête du volontaire … Il relevait son bassin et enfonçait sa queue dans la gorge du garçon qui ne pouvait plus que faire des bruits bizarres. Amusé Luc faisait pareil de son côté. 

C'est du côté de Bob que ça coinçait en premier le mec qui suçait Bob demandait grâce, il était alors remplacé par le troisième garçon qui jusque là se contentait de regarder. Un peu plus tard Luc demandait au garçon qui récupérait …

Luc : Toi là ! Viens ici je vais t'enculer .

Luc y allait sans grande tendresse, il savait par expérience que quand on est bien excité, bien frustré les sensations sont quelquefois plus fortes mais qu'on reste demandeur. C'est rapidement que Luc lui lubrifiait le cul, le gars ne cachait pas une certaine appréhension, il faisait une petite grimace au moment ou Luc prenait position puis un râle au moment ou Luc s'introduisait, il était pas tendre le p'tit. Il est surtout passif, on le sait mais quand il joue les actif, on a quelquefois l'impression qu'il y a de la vengeance !

Bob s'adressait au mec qui était en train de le sucer .

Bob : Tu veux que je t'encule toi aussi ?

Le gars faisait oui de la tête, il pouvait à peine relever ou baisser la tête il avait la queue de Bob bien enfoncée dans la gorge.

Bob : Retourne toi et desserre les fesses.

Le gars obtempérait. Lui aussi avait avait une tête de condamné qui passe au peloton d’exécution … '' Vas y doucement ''…

Bob lubrifiait longuement le cul du petit jeune, le travaillait en introduisant un puis deux doigts. Il les rentrait et les ressortait en prenant bien son temps puis prenait position et commençait à pousser sa queue dans le cul de garçon. Lentement mais sans lui laisser aucune chance d'y échapper. Sa bite s'enfonçait Luc était fasciné par la scène, il ne bougeait plus il regardait et son érection n'en devenait que plus forte.

Le garçon à genoux devant Bob ne bougeait plus, il semblait tétanisé, il tremblait mais ne pouvait plus bouger, il avait un peu peur mais il laissait faire. En fait il avait terriblement envie de se faire défoncer le cul. Il relevait la tête, ouvrait la bouche. Bob y allait doucement finalement mais il y allait, il enfonçait plusieurs centimètres rapidement … Le gars répondait par une grimace monstrueuse. Aucun bruit ne sortait de sa bouche, il respirait fort, il convulsait. Bob s'enfonçait presque à fond, le garçon râlait. Bob donnait un dernier coup de rein et son bassin s'écrasait contre les fesses du garçon à genoux devant lui. Ce dernier se laissait tomber en avant, il respirait fort et vite, il gémissait, il tremblait, il voulait se dégager mais ne parvenait pas à faire le moindre mouvement. 

Bob se retirait, faisait une courte pose puis revenait à la charge, encore une courte pose et c'était reparti. Il accélérait le mouvement son camarade, pardon je voulais dire sa victime convulsait et gémissait. Bob surveillait la moindre de ses réactions et continuait ses mouvements de plus en plus rapides. 

Luc restait fasciné, il ne bougeait pas, il ne débandait pas non plus. Plus personne ne bougeait sauf Bob. Les autres regardaient, admiraient et celui qui était entre les mains de Bob subissait. Pour lui c'était juste entre l'extase et le cauchemar. 

Luc reprenait ses mouvement et aussitôt le garçon qu'il enculait poussait des cris de plaisir, d'intense plaisir et d'un peu  de souffrance. Le dernier garçon ne bougeait plus, ne disait rien.

Luc s'agitait, ne se contrôlait plus, le plaisir montait en lui … Ils se lâchait  et il jouissait dans le cul du garçon qu'il tenait fermement contre lui . 

Bob ne loupait rien à ce qui se passait et quelques instants plus tard il suivait son camarade, ses coups de bassin devenaient impressionnant, rapide et violent,lui , un garçon si gentil et si doux il hurlait de plaisir, il jouissait, ne bougeait plus et se retirait le garçon devant lui ne bougeait plus, un long filet de sperme coulait de son dispositif au moment ou Bob se retirait de son cul. 

Le dernier garçon tout seul dans son coin ne bougeait plus, il s'était ratatiné, il respirait fort lui aussi et on n'avait pas vraiment l'impression qu'il bandait … : '' Fouf … ça c'était quelque chose les mecs !'' 

Le calme finissait par revenir, les esprits se calmaient et ils  finissait par se reposer au soleil, il n'y avait personne,  ils étaient tranquilles, ils pouvaient  baiser, se détendre, se baigner ou même encore ne rien faire. La marée montait et ils se retrouvaient coincé mais ils savaient nager tous les cinq et ils avaient pris des provision car ils prévoyaient de pique niquer sur place. Ils avaient déjà  niqué … C'était un bon début... Non ? ( Oui bon je sais , le jeux de mot est nul ! )

Ils ne leur restaient plus qu'à passer les six heures suivantes à … ne rien faire … Baignade, bronzage, câlins … C'est ce qu'ils ont fait pendant le reste de la journée.

Quand on est en été et au bord de la mer, les soirées sont longues, on peut regarder le soleil disparaître derrière l'horizon, si on a de la chance, mais c'est très rare, on peut au dernier moment de la journée, le moment exacte ou le soleil va disparaître apercevoir un éclair, un étrange éclair comme un flash mais d'une étrange couleur … Il est parait-il d'un vert merveilleux, on l'appelle le rayon vert, mais c'est rare, c'est très rare. Quelqu'un m'a dit un jour qu'il connaissait quelqu'un qui l'aurait, vu un jour … Pour nos camarades ce ne serait pas cette année là !

Pour mon frère et son petit copain la journée se terminait paisiblement, un seul de ses camarade ne s'était pas fait défoncé le cul mais, finalement il n'était pas demandeur … La scène à laquelle il avait assisté l'avait complètement retourné et sa bite se ratatinait dans sa cage. A part ça il se sentait bien, très bien même !

Dans la soirée avant la marée basse, ils revenaient à la nage. Ils regagnaient la voiture. Luc invitait nos parents au restaurant de soir là. Je sais que nos parents ont trouvé Bob tout à fait adorable, ma mère me dira même un peu plus tard  : '' C'est un gentil garçon mais est-ce vraiment normal s'il change de couleur tout le temps ? ''. Ce à quoi je lui répondait :'' Oui je sais il fait toujours ça au début mais on fini par s'y habituer … '' .

Les jours qui suivaient ils se retrouvaient régulièrement. Vous imaginez cinq beaux garçons entre dix huit et vingt ans, porteurs d'un dispositif de chasteté, bien sûr les filles ne savaient pas que Luc et Bob s'en étaient dispenser aussi elles leur tournaient autour avec insistance. 

Plusieurs d'entre elles se souvenaient de moi l'année précédente, elles savaient que j'étais plein aux as et devinaient rapidement que mon frère devait être pareil, sa voiture en tous cas l'indiquait, il était de plus très mignon et son ami était beau comme un dieu. Une grappe se formait autour de mes deux loustics, une grappe formée par les plus belles filles du coin.

Bob jouait les charmeurs et ne cachait pas qu'il s'amusait de cette situation. Pour mon frère c'était un peu différent, il n'essayait même pas d'exprimer le moindre agacement … En fait il n'en avait rien à foutre ! 

Mon frère conserve une relation toute particulière avec les filles. Elles le laissent dans la plus profonde indifférence, je me dis quelquefois qu'il ne sait même pas comment ça s'écrit ça … une fille … et qu'il s'en moque … Une chose est sûre, si un jour il devait trouver dans son lit la plus femme du monde, ne vous imaginez pas qu'il irait dormir dans la baignoire … Certainement pas ! C'est elle qui irait terminer la nuit dans la baignoire ! Il est comme ça mon petit frère !

Luc et Bob ont profité de ces deux mois pour faire de nouvelles expériences sexuelles, Luc est principalement passif, exclusivement même quand il porte un dispositif de chasteté, c'est vrai que là il n'a pas trop le choix. Bob lui est exclusivement actif. Il y a des jours ou il a du avoir du mal pour s'asseoir pendant cette période, sans doute le manque d'habitude. Ils m'ont raconté, pas tout, mais ils m'ont raconté …
Et pendant qu'Antoine traversait le désert de la soif, juste après avoir fait un plongeon dans une piscine remplie de piranhas végétariens, mon petit frère et son doudou passaient leur temps à s'envoyer en l'air !



Ep 70 : UN P'TIT GIGOLO



La cabane était très confortable. Même si le mot … cabane ... est excessif.  C'était son aspect extérieur, dessinée toutefois avec élégance, très bien travaillé et il avait fallu un grand soin pour donner à cette chambre d'hôtel de luxe cet aspect rustique. Une large terrasse ouvrait sur un coin salon qui permettait au client de recevoir une bonne quinzaine de convive.

La cabane était fièrement installés au bout de la branche d'un arbre en haut d'une colline, elle offrait une vue sur le lac en contre-bas et de l'autre côté on pouvait voir la canopée d'une forêt, dans laquelle on devinait des chemins. Cet arbre c'était l'arbre central ou se trouvaient douze chambres de première classe ( les plus chères ), toutes au bout d'une branches sur lesquelles était installé une passerelle sécurisé qui conduisaient jusqu'au tronc.

Vous imaginez bien que c'était un arbre artificiel, sinon il n'y aurait pas eu l'ascenseur !

Mais ce trompe l’œil était réalisé avec beaucoup de moyens, c'était superbe, on se serait cru dans une bande dessinée … L'intérieur des cabanes ressemblait à de petites suites de luxe … Pour les clients c'était une vie rustique certes, l'espace était réduit, mais sans pour autant se démunir d'un minimum de confort … 

Antoine avait fait le tour de la chambre rapidement, il avait un service maître d'hôtel à la carte autant qu'à la demande.

Antoine : On voit qu'on est à la dure, la salle de bain est petite et il y a juste une baignoire … Même pas de bain moussant … 

Il disait ça en rigolant, je vous rassure.

Antoine prenait tous ses repas au restaurant. C'était pas loin, juste entre les racines de l'arbre. Les repas pouvaient être servis dans les suites à tout heure, à la demande. Tôt le matin Antoine descendait de sa chambre en tenue de sport, prenait son petit déjeuner rapide comme il faisait toujours d'habitude. Il n'aurait certainement pas été accepté dans cette tenue pour un dîner ou un souper mais pour un petit déjeuner on était moins regardant. Des chaussures de sport de marque, un short et un T-shirt de grande marque avec au poignet une montre de luxe restaient une tenue tout à fait convenable à cette heure de la journée.

Il saluait d'un regard accompagné d'un sourire les autres vacanciers pendant l'entraînement puis il faisait un plongeon dans le lac avant de prendre un grand verre de jus de fruits au bar de l'embarcadère, îlot du lagon … 

Antoine était parti seul, il revenait accompagné … 

Rapidement les vêtements tombaient. Antoine tirait vers lui sa rencontre du jour et l'embrassait. Le garçon lui répondait en le couvrant de baiser sur le torse. L'affaire s'était décidée rapidement et il n'y avait pas de temps à perdre. Antoine ne se défendait pas le garçon tirait son short vers le bas, il lançait ses chaussures plus loin et ouvrait à son tour le short de son camarade, déjà il bandait. 

Antoine se mettait à genoux et lui suçait la queue. Il se jetais sur lui d'une manière presque frénétique, il était en manque. Il prenait la queue de son ami de passage jusqu'au fond de la gorge, le jeune homme ne résistait pas, c'est simple, il ne faisait rien. Il ne caressait même pas les cheveux d'Antoine, il n'appuyait pas sur la tête, il n'avançais pas son bassin. Il se retirait doucement pour s'asseoir sur le fauteuil, lentement pour laisser à Antoine tout le temps de suivre le mouvement. Antoine suivait, et la queue de son amant entrait et sortait de  sa  bouche à la même vitesse, toujours de la même manière.

Bien à fond, Antoine écrasait son visage contre le ventre de son partenaire et sa queue lui rentrait bien à fond dans la gorge. Antoine retirait la tête en arrière, la queue de son partenaire ressortait complètement, il la caressait et passait sa langue autour de son gland. Le jeune homme écartait les jambes et se laissait retomber sur le dos, il avait un grand sourire et regardait Antoine s'activer sans intervenir. 

Antoine continuait, il était décidé, il avalait la queue de son camarade puis relevait la tête. Il recommençait et recommençait encore. Au bout un certain temps, la respiration de son camarade devenait plus forte, sa main finissait par se poser sur la tête d'Antoine. Aucune pression, la main suivait les mouvement et caressait doucement les cheveux d'Antoine, il ne faiblissait pas, il poussait des petits gémissement et de petits bruits bizarres. 

Le garçon : Je ne vais pas pouvoir traîner trop longtemps. Tourne toi, je vais t'enculer !

Au moins c'était clair et directe ! Antoine aimait ça et ne le faisait pas répéter. Il se relevait et se penchait contre l'autre fauteuil. Son ami de passage se relevait alors et commençait aussitôt à lubrifier le cul d'Antoine. Même en vacances certains ne prennent jamais le temps de prendre leur temps … Il glissait un doigt dans le cul d'Antoine, puis deux et enfin trois. Antoine manifestait son approbation par des râles de plaisir.

Rapidement son camarade s'approchait puis se plaçais juste derrière Antoine et d'un mouvement rapide enfonçait sa queue bien à fond. Il était bien monté, sans plus et Antoine était très entraîné, il se contentait de pousser un gémissement de plaisir. Sans attendre son camarade commençait à le limer et en peu de temps les mouvements de va et viens étaient aussi violent que rapide. 

Antoine l'encourageait : '' Oui vas y ! '' … '' C'est bon encore ''. Qu'est ce qui excitait le plus cet homme rencontré par hasard, l'allure d'Antoine, sa musculature ou encore juste son dispositif PK, son dispositif de chasteté … En tous cas cet inconnu se lâchait, c'est lui qui maintenant râlait de plaisir. Il sentait le plaisir monter, le désir était à son comble, il frémissait déjà du plaisir qui montait et au moment ou ce plaisir explosait, au moment ou il éjaculait dans le cul d'Antoine c'est tous les deux ensemble qu'ils hurlaient de plaisir.

La tension retombait rapidement. Les deux hommes se retrouvaient sous la douche, se savonnaient l'un l'autre.

L'inconnu : Au fait moi c'est Arthur !
Antoine : Antoine !
Arthur : Et tu portes toujours ce genre de truc ?
Antoine : Bein oui !
Arthur : Et tu fais quoi dans la vie ?
Antoine : Je suis étudiant mais ce truc dont du parles, c'est moi qui en suis l'inventeur.
Arthur : J'y crois pas !
Antoine : Bon je ne l'ai pas inventé tout seul, j'étais avec un ami Djé !
Arthur : Djé ?
Antoine : Tu as peut être entendu parler de Djé.

Arthur réfléchissait une petit moment …

Arthur : C'est pas vous les deux champions dont on parle dans '' Sport Et Jeunesse '' ?
Antoine : Tu sais on parle de nous un peu partout …

Les deux hommes se séchaient et Arthur repartait, un dernier baiser : '' Ça m'a fait très plaisir de te rencontrer Antoine … ''

Arthur disparaissait dans l'ascenseur. Antoine terminait la matinée sur la plage de l'îlot du lagon. Un peu de bronzette, un glace, quelques plongeons dans la piscine ( le fameux lagon ) avant de revenir dans sa chambre pour se changer. C'est beau comme un prince qu'il descendait au restaurant gastronomique. L'après midi le club organisait une ballade dans la région avec arrêt dans les boutiques de souvenirs, le repas du soir arrivait vite, il était suivi d'une soirée dansante … Bref une journée bien remplie …

Le lendemain on recommençait, cette fois-ci il revenait seul de son footing … Pas tous les jours non plus. Dans l'après midi Antoine retrouvait au club hippique une très jolie femme un peu plus âgée avec qui il avait dansé la veille … Valérie …  

Valérie : Antoine, vous ici, je ne savais pas vous faisiez de l'équitation ?
Antoine : Mais voyez vous Valérie, dans le domaine du sport je ne vois aucune raison de me limiter.
Valérie : Vous êtes expérimentée dans ce domaine ?
Antoine : Pas vraiment, je suis débutant en équitation !
Valérie : Mon père élevait des chevaux, si vous le voulez bien, je me ferais un plaisir de vous aider pour vos début !

C'est donc tout tranquillement que ce nouveau couple partait faire une balade dans la forêt. Quelques heures plus tard, au retour.

Valérie : Je te remercie Antoine, j'ai passé une journée merveilleuse avec toi.
Antoine : Mais tout le plaisir était pour moi, tu est une merveilleuse monitrice  d'équitation.

Valérie : Alors c'est promis tu passes à 20 heures, je te présenterai à mon mari et je suis sure que tu vas très bien t'entendre avec ma fille.

Valérie occupait un appartement sur le même arbre qu'Antoine, il n'y avait pas beaucoup de chemin à faire, une branche, deux bourgeons et un rameau. Il s'était fait tout beau Antoine quand il sonnait à la porte. La porte s'ouvrait et ses yeux lui ressortait de la tête quand il voyait le jeune homme très attirant qui lui ouvrait la porte … '' C'est quand même pas le mari à Valérie, il a mon âge ? '' Se disait Antoine.

Valérie arrivait juste après. 

Valérie : Raphaël, je te présente notre voisin de branche ( deux branches plus loin pour être précis ). Antoine, tu sais chéri, c'est lui qui a inventé ces nouveaux dispositifs de chasteté PK. C'est  un personnage important au sein de la PK. 

Raphaël lui faisait un grand sourire, il avait apporté une bouteille de champagne.

Antoine : Je n'ai pas osé venir les mains vides …
Raphaël : Ouaouw ! C'est sympa, entre, installe toi !
Valérie : Tu ne connaissais pas mon mari ? ...

Ils faisaient plus ample connaissance, la discussion allait bon train quand arrivait un peu plus tard Élisabeth. Antoine n'y croyait pas, elle était plus âgée que son beau père, pas de beaucoup mais un petit peu quand même. C'est à ce moment qu'Antoine se demandait s'il avait eu raison de garder son dispositif de chasteté … Valérie était magnifique, sa fille était à tomber, et le gigolo était craquant aussi … 

Antoine comprenait rapidement que c'est Valérie qui avait l'argent, que Raphaël était un petit gigolo et que Élisabeth n'appréciait pas vraiment de voir sa mère dans les bras d'un homme qui avait l'âge d'être son frère cadet.

Raphaël était charmant. Valérie c'était la grande dame, elle était très cultivée et parlait cinq langues.

Raphaël : Le jour ou j'ai rencontrer cette fée, a certainement été lé plus beau jour de ma vie.
Élisabeth : Il travaillait dans un bar … Et c'est sûr son niveau de vie à changé !
Valérie : BETH ! Nous avons un invité ce soir, pourrait tu éviter ce genre de commentaire ?
Élisabeth : Oui mère ! Voudriez-vous m'excuser cher nouveau papa. Au fait j'ai remarqué que vous vous êtes fait offrir une nouvelle voiture de sport !
Valérie : Je ne te demande pas de compte sur ta manière de dilapider ta part d'héritage … 
Élisabeth : DILAPIDER ! Voilà mère une manière bien singulière de définir des dépenses qui sont seulement à la hauteur de mon train de vie … Je n'ai pas acheté une montre en or massif à mon gigolo moi …

Par réflexe Antoine jetait un œil vers la montre que Raphaël tentait de cacher dans sa manche. Trop grosse elle ne rentrait pas, mais elle était blanche.

Élisabeth : Oh pardon, je voulais dire en platine massif. Je ne voulais pas que tu te sentes méprisé par des cadeaux bas de gamme mon pauvre nouveau papa !

Au début Antoine s'était senti très mal à l'aise, puis il finissait par s'y faire et rapidement il se demandait jusqu'où ils allaient aller tous … Finalement il était un peu comme au spectacle. 

Valérie : Je suis confuse du comportement de ma fille Antoine. Je ne sais plus quoi dire.
Antoine : Et bien ne dis rien ! L'entrée était succulente … 

Ils n'en étaient qu'à l'entrée ! Les deux femmes se calmaient pour le reste du repas mais on sentait toujours une certaine tension. Raphaël restait calme et Antoine se disait que c'était peut être le prix à payer pour ce statut particulier d'homme de luxe !

Le dessert n'était pas terminé que les deux femmes recommençaient à se crêper le chignon ! Raphaël allait parler quelques instant à l'oreille de Valérie … Puis revenait vers Antoine. 

Raphaël : Valérie me propose de t'emmener prendre un verre quelque part. 

Ils sortaient de l'appartement et les hurlements commençaient à se faire entendre … 

Raphaël : Tu sais c'est pas toujours facile …
Antoine : J'imagine !
Raphaël : Et puis c'est avant tout de l'amour, entre Valérie et moi.
Antoine : Tu pourrais me donner l'heure s'il te plaît … 
Raphaël : Il est presque onze heures. C'est une histoire merveilleuse entre elle et moi !
Antoine : Bien sûr il y a Élisabeth …
Raphaël : Bien sûr je n'aurais peut être pas du commencé par la séduire mais à ce moment, ce soir là, je n'avais pas encore vu Valérie … 
Antoine : Et de fait Élisabeth est jalouse que tu l'ai laissée tomber pour sa mère …
Raphaël : Pas du tout, elle venait de m'envoyer braire !

Ils arrivaient à la porte de la chambre d'Antoine. Antoine l'invitait à rentrer. Il m'a raconté plus tard qu'il avait vraiment envie de ne pas louper la suite de cette histoire … 

Donc le soir ou Raphaël avait rencontré Valérie. Il avait commencé à draguer la fille, il s'était fait envoyé braire comme je le disais, puis avait reporté ses espoirs sur la mère. C'est donc dans le lit de la mère que la fille le retrouvait le lendemain matin … Depuis il y a comme un froid entre lui et la fille …

Raphaël : Et toi, tu vas aussi hériter …
Antoine : pourquoi ? Je vais hériter …
Raphaël : Si tu es capable de louer une telle suite c'est que tu as de l'argent, et comme tu me sembles trop jeune pour avoir gagné cet argent …
Antoine : C'est pourtant le cas ! Pour le mois en cours j'attends un versement de plus de deux millions de DI.

Le visage de Raphaël changeait subitement, son regard, son sourire, le mouvement de sa tête … C'était difficile à définir …

Antoine lui tendait un verre, Raphaël le prenait, leurs mains se touchaient. Raphaël regardait son hôte droit dans les yeux … Il se levait en posant le verre sur la table basse. Debout, face à face, ils se regardaient droit dans les yeux et, un sourire, un clignement des paupières … Ils se sautaient dessus l'un l'autre et je peux vous garantir que c'était pas pour se faire mal. Et ce même si un des deux finirait pas gueuler ce soir là !

Ils avaient l'air en manque … Antoine on peut le comprendre le pauvre, ça faisait bien trois jours qu'il n'avait pas tenu un mec dans ses bras … 

Une fille ? Alors là je crois que plus personne ne s'en souvient, là ça faisait largement plus de trois jours !

Mais Raphaël, on ne pouvait pas douter que Valérie devait être chaude et il n'était pas crédible qu'elle le laisse en manque de sexe …

Il serrait fermement Antoine dans ses bras, il n'avait fallu que quelques secondes pour que les vêtements se retrouvent éparpillés un peu partout dans l'appartement. Raphaël caressait les couilles d'Antoine. Ils bandaient ferme tous les deux, mais ça ne se voyait vraiment que sur un seul des deux !

Raphaël : C'est trop délire ton truc, j'adore !
Antoine : Tu n'avais jamais vu ?
Raphaël : Vu si mais … C'est la première fois avec un mec qui en porte un !
Antoine : C'est pas la première fois avec un mec ?

Raphaël rigolait doucement en entendant cette question.

Antoine s'accroupissait et commençait à sucer la queue de son nouveau copain. Il était bien foutu et plutôt bien monté le lascar. Elle ne devait pas s'ennuyer Valérie. Il était doux mais il était viril aussi, non c'est pas incompatible ! Il tirait doucement la tête d'Antoine vers lui, doucement mais fermement.

C'est  une position qui ne déplaît pas à Antoine, je le connais personnellement et je le pratique encore de temps en temps … Antoine, il avalait la queue du gigolo sans effort apparent. Il fait ça bien, il enroulait sa langue autour du gland de Raphaël, puis la prenait jusque dans la gorge. Il appuyait, écrasait même son visage contre le ventre de son partenaire. 

Raphaël passait peu à peu à l'action et donnait progressivement des petits coups de rein, il accélérait et ses coups devenaient plus forts, plus rapides et pour finir plus violents. Il était surpris de la manière dont Antoine encaissait. Il lui tenait alors la tête fermement et donnait des coup de butoir qu'il ne retenait plus.

Antoine transpirait et des larmes coulaient de ses yeux mais il tenait le coup. Je vous le dis, c'est entre nous mais il adore ça ! En même temps Antoine lui caressait les cuisse et le retenait pas les fesses … Quand je vous dis qu'il adore ça !

Raphaël : Tu veux que je t'encule ?

Antoine faisait oui de la tête.

Raphaël : Valérie elle ne veut jamais que je la prenne par derrière moi ! C'est pas cool . Les mecs il ont besoin de passer par derrière de temps en temps !

Antoine s'était retourné sans rien dire, il devait sans doute se remboîter les mâchoires. Raphaël n'attendait pas, de toutes évidences il n'avait pas de temps à perdre. Il se plaçait en position bien posé sur ses deux jambes et rapidement avec un plaisir malicieux enfonçait sa queue bien à fond. 

C'était prévisible et comme on s'y attendait c'est Antoine qui gueulait et de plaisir en plus. Il se lâchait, il aimait faire ça le gars et il en profitait. Ses mouvements devenaient très rapide, très violents aussi. Antoine se cramponnait là ou il pouvait, il gémissait, il râlait de plaisir. Dans sa cage la pression était forte, ses couilles formaient un boule dure, des bourrelets de peau ressortaient par les ouvertures d’hygiènes. Pour les dispositifs qui sont portés sur de longues périodes ces ouvertures sont indispensables. 

Raphaël poussait un cri à chacun de ses mouvements, un cri je devrais dire un râle de plaisir à chaque fois que son ventre s'écrasait contre les fesses d'Antoine. 

Antoine gémissait, il se tordait de plaisir, il soufflait fort par moment il avait le réflexe de vouloir se dégager, quelques gouttes de sperme coulaient de son dispositif. Il râlait de plaisir, il jouissait, c'était bon tellement bon … Raphaël poussait à son tour des cris de plaisir, il jouissait à son tour, balançait quelques dernier coups de rein particulièrement violents avant de se laisser tomber sur son partenaire …

Elle s'amuse bien avec son petit gigolo Valérie, se disait Antoine ! 



Ep 71 : SUR LA PLAGE ABANDONNEE



Luc et Bob ne passaient pas tout leur temps à la plage. Il faisaient des balades dans la campagne également. Ils étaient reçus un peu partout. Un fête était organisée dans la région, ils étaient invités ; un kermesse, un inauguration, un association organisait quelque chose … ils étaient invités … 

La kermesse annuelle dans un village pas très loin s'organisait pour le milieu du mois. Luc la connaissait bien cette kermesse, il y allait tout les ans quand il vivait encore ici il n'y a pas si longtemps. Bien sûr Luc avait été invité. Désormais il y avait un groupe qui faisait la promotion des dispositifs de chasteté PK et la présence de Luc et d'un de ses amis était une aubaine.

Il arrivait avec son copain Bob. Là encore il faisait sensation, un gamin du pays, vous imaginez il avait juste dix huit ans, il avait son émission télé, on le voyait dans des pubs et son copain Bob également, en plus il roulait en Mercedes … Si ça c'est pas une réussite des plus rapides je ne sais pas ce qu'il vous faut !

On admirait la voiture … Il présentait son copain Bob.

… Et vous Bob, vous faites quoi dans la vie ?  …
… Étudiant dans la PK Université ! …
… Vous portez vous aussi un dispositif de chasteté ? …

Comme si ceux qui les avaient invités ne le savait pas ! Et là, c'était la surprise …

… Bein non, j'en porte pas ! …

Luc rigolait. Ensuite il fallait donner des explications. Bob expliquait qu'il l'avait déjà porté et qu'il devait le porter de nouveau dès la rentrée. Luc confirmait et rajoutait qu'ils pouvaient le retirer pendant les grandes vacances.

Au départ les organisateurs voulaient demander à Luc et à Bob de participer mais quand ils apprenaient qu'en ce moment il ne portaient pas le dispositif il leur avait semblé bizarre de leur demander cette animation ! Les organisateurs portaient un tel dispositif, les animateurs aussi et tout le monde trouvait logique que pour pouvoir promouvoir le port de ce dispositif il fallait être sois même porteur. 

Luc et Bob étaient alors sollicités pour une petite conférence sur le sujet, et pour animer des discutions. Finalement c'est plus ou moins ce qu'on leur aurait demandé s'ils avaient porté le dispositif … ( il ne faut pas chercher à comprendre la logique des organisateurs )

La kermesses battait son plein, nos deux amis se promenaient au milieux de la foule. Ce n'étaient que des sourires qu'ils rencontraient, des poignées de mains, des tapes sur l'épaule amicales et affectueuses.

Dans un coin de la kermesse, juste entre deux tentes Luc apercevait un visage connu, c'était Florian ( Ep 59 ), il faisait un geste à son copain Bob. Il est mignon Florian se disait Luc …

Luc : Tu vas voir Bob, je vais te présenter un vieux copain, il m'a dit qu'il devait entrer à la PK Université l'année prochaine … 

Florian avait disparu derrière les tentes qui étaient montées pour servir de stand pour la kermesse. Luc se glissait entre les toiles de tissus épais, Bob suivait, personne ne faisait attention à eux. Luc apercevait Florian qui avait reculé et qui lui lançait un regard et un large sourire. Luc et Bob avançaient encore un peu plus, Florian semblait s'amuser avec eux et s'enfonçait encore un peu. 

Ils le retrouvaient enfin entre deux container qui servaient de centre de logistique pour la musique et l'animation. Partout autour d'eux il y avait du bruit, et personne ne passait par là.

Luc approchait de Florian, les deux garçons se regardaient et se souriaient. Ils se regardaient droit dans les yeux, Luc lui prenait la main, Florian le tirait vers lui et l'embrassait. Les deux garçons se serraient l'un contre l'autre, Bob regardait la scène avec le sourire. 

Rapidement Florian se retrouvait torse nue, pourtant il n'avait rien fait pour ça, rapidement Luc se retrouvait torse nue et le pantalon sur les genoux il bandait bien ferme déjà. Sans attendre Florian se retrouvait à genoux et suçait goulûment la bite à Luc. 

Luc avait un peu perdu l'habitude de se retrouver dans cette position. Avec Bob c'était toujours lui qui se retrouvait à sucer la queue de son copain, mais bon vous comprendrez bien que quand on porte un dispositif de chasteté … Mais ça ne lui déplaisait pas de changer un peu de position. Et à ce moment là il ne regrettait pas d'avoir retiré son dispositif pour quelques temps. 

Bob s'était rapproché, il était juste derrière Luc et posait son menton sur l'épaule de son camarade, il lui donnait des baisers dans le cou. Luc penchait la tête en arrière et la retournait vers son amant. Florian semblait en manque de queue et avec celle de Luc il remplissait ce manque. Il passait sa langue sur le gland de Luc, puis il prenait dans sa bouche la queue en entier, il retirait sa tête en arrière puis léchait avec délectation cette queue qui lui était proposée sur la longueur. Il reprenait plusieurs fois, sur le dessus, sur le dessous et doucement gobait les couilles de Luc. Ça Luc connaissait bien. Malgré le dispositif PK Bob pouvait le lui faire.

Luc guidait son copain en lui tenant fermement la tête des deux mains. Il donnait aussi quelques coups de bassins. Puis il demandait à Florian de se relever, ils se prenaient dans les bras, et s'embrassaient. Il se prenaient tous les trois dans les bras. Rapidement Bob retirait son polo et les baisers s'échangeaient rapidement de l'un à l'autre.

Florian se penchait vers Bob, lui ouvrait son pantalon puis lui suçait la queue à son tour. Luc se glissait derrière Florian et doucement mais sans  lui demander son avis et commençait à lui caresser les fesses en insistant bien sur la petite ouverture qu'il détendait progressivement, il prenait bien son temps Luc, personne n'était pressé.

La queue de Bob rentrait dans la gorge de Florian en même temps que le doigt de Luc se glissait en ses fesses puis lui rentrait lui aussi, doucement, dans le cul. Luc faisait ce geste lentement puis rapidement. Bob tirait sur la tête de Florian, il balançait des coups de bassin, fermement au départ puis avec une certaine violence. Luc choisissait ce moment pour enfoncer fermement sa queue bien à fond dans le cul de Florian !

Florian ne pouvait plus que faire des sons amusants, penché en avant il se retrouvait dans une position instable. Il avait tendance à tomber en avant et ses deux camarades lui retenaient malicieusement les mains dans le dos ce qui n'améliorait pas le confort de sa position. Il tombait en avant et la queue de Bob lui rentrait dans la gorge, il tentait alors de retrouver l'équilibre en avançant un pieds et c'est alors Luc qui en profitait pour avancer le bassin et donnait un violent coup. On sentait bien que Florian voulait dire quelque chose, il voulait probablement gueuler ou râler de plaisir, mais il ne parvenait qu'à faire des bruits qui amusaient nos deux amis. 

Luc se montrait de plus en plus violent, Bob également et par moment ils se synchronisaient. Leurs bites s'enfonçaient en même temps, bien à fond. Le mouvement était rapide. Florian se tordait dans tous les sens mais les deux autres ne le lâchait pas. Bien au contraire ils le tenaient bien fermement et ne retenaient pas leurs coups. 

A d'autres moments les mouvements se désynchronisaient et quand l'un des deux rentrait sa queue bien à fond l'autre la retirait. Un des deux faisait une pause, l'autre se lâchait puis ils inversaient, c'est l'autre qui faisait une pause et le premier qui se lâchai. 

Florian se tortillait de plus en plus. Luc avait parfaitement compris qu'il voulait se dégager mais n'en tenait pas compte. Il continuait de plus en plus fort et finissait par se lâcher, il éjaculait en poussant un cri et en se cramponnant à Florian.

Luc se retirait rapidement, Bob lâchait tout également. Je veux dire avec les mains, il relâchait Florian qui en profitait pour se relever. Le pauvre il avait une tête à faire peur, sa figure était rouge et on avait l'impression qu'il avait pleuré. Il se retournait vers Luc et le prenait dans ses bras, ils s'embrassaient tendrement.

C'est le moment que Bob choisissait pour s'approcher du duo, il enlaçait ses deux camarades et sans rien demander à personne enfonçait sa queue dans le cul de Florian. Sodomie verticale, Florian se raidissait et se redressait encore plus mais là il pouvait se retenir à Luc et le prenait vraiment très fort dans ses bras. En même temps il hurlait. Bob faisait comme son camarade un peu plus tôt. Il ne tenait pas compte de la réaction de Florian !

Luc était bien monté mais Bob encore plus et Florian la sentait passer cette grosse queue qui là, lui défonçait vraiment le cul. Si Luc ne l'avait pas largement préparé, ça n'aurait pas passé. Mais l’insistance avec laquelle Luc l'avait préparé lui donnait envie de hurler : '' Au secours, non arrête '' … '' Oui vas y '' … '' J'en peux plus, arrête '' … '' Défonce moi le cul '' … Enfin des trucs comme ça quoi. 

Sentant venir les hurlements incontrôlables Luc lui posait les lèvres sur les siennes et l'embrassait. Il parvenait ainsi à le faire taire encore un moment. Quand le baiser cessait, Florian posait sa tête sur l'épaule de Luc, il tremblait et se contractait à chaque mouvement de Bob. Et il poussait des plaintes qui ressemblaient plus à une crise de larme qu'à des cris d'orgasmes, mais il est vrai que quelquefois c'est trompeur.

Au moment ou Bob se lâchait, c'était avec violence il poussait un cris de plaisir alors que Florian lui gémissait en demandant pitié. Bob le lâchait et Florian s'écroulait ! 

Rapidement les trois garçons se rendaient présentables, restaient assis un moment Florian n'avait pas juté mais il avait aimé. Il gueulait qu'il ne recommencerait jamais ça, que ça faisait mal, que ce n'était pas bon … que …

C'est un bon moment plus tard que les trois garçons se relevaient et continuaient à parcourir la fête. Rapidement Luc et Bob étaient accaparés  par des organisateurs, de vieilles connaissance ou encore par des fans. Florian continuait sa promenade en se caressant toutefois les fesses régulièrement.

A plusieurs moment Luc était sollicité pour donner un conseil ou un avis sur les dispositifs PK. Même s'il n'en portait pas il restait un spécialiste, c'était quand même son frère qui avait conçu ces dispositifs.

Les filles aussi, il ne faut pas les oublier celles là, il ne faut pas faire comme Luc qui a très rapidement tendance à oublier qu'elles existent … Les filles donc tournaient autour de ces deux garçons, elles avaient remarqué  que ce gamin de dix huit ans avait déjà une voiture de luxe, on le voyait à la télé … Aussi on devinait que c'était un bon parti et les filles se sentaient attirées par ces deux petits jeunes. Surtout qu'ils étaient très mignons.

Bob, tout particulièrement, avait beaucoup de succès ! C'est vrai qu'il était craquant Bob, une bonne tête, un très beau sourire, un air sympathique et en cette saison les vêtements légers qu'il portait, un pantalon bien ajusté et un polo, ne cachaient ni sa carrure ni sa musculature …

Plusieurs filles s'approchaient de lui en lui faisait les beaux yeux et ne lâchaient pas les garçons du reste de la journée. Luc n'y faisait même pas attention … Des filles franchement, qu'est-ce-que vous voulez qu'il en fasse ? Bob se prêtait avec bonnes grâces aux sollicitations. Il posait avec les filles, se laissait photographier … Luc faisait de même lui aussi bien sûr, pas le choix, c'était lui la vraie vedette de la télé !

Dans la soirée Luc invitait ses parents au restaurant puis avec son copain Bob continuait sa soirée tard dans la nuit. Ils allaient se promener en amoureux sur la plage, là ils n'avaient pas peur de se laisser aller … Ils couraient sur la plage entièrement nus … Bon c'est vrai que ça ils pouvaient aussi le faire en plein jour.

Il continuaient en se tenant la main et quand ils en avaient envie ils s'arrêtaient, comme ça, sans se poser de questions et s'embrassaient tendrement. Le cul ils le partageaient avec des garçons de passage mais l'amour, ça il se le gardaient pour eux. Rien que pour eux. La nuit devenait un voilà pudique sur la tendresse que chacun donnait à l'autre. Dans l'eau c'était encore mieux. Les nuits étaient chaudes et pas seulement au niveau sexuel. Les nuits étaient chaudes, il faisait chaud … Tout simplement !

C'était le cas tout particulièrement ce dernier week-end. La nuit tombée il n'y avait plus personne sur la plage, la température restait élevée. Luc et Bob s'étaient retrouvés sur la plage, la mer avait des allures surréalistes et féeriques, les reflets de la pleine lune transformait la mer en une surface argentée qui brillait dans le noir. Le ciel restait sombre mais aucunes étoile n'apparaissait. Le sable lui aussi prenait des reflet magiques.

Luc et Bob marchaient sur le sable, couraient dans l'eau, plongeaient, nageaient. Ils se couraient l'un après l'autre, se rattrapaient, se retenaient, roulaient l'un sur l'autre et restaient ainsi allongé sur le sable et savouraient le plaisir de se tenir dans les bras de l'autre. 

Luc avait envie de tenir son amant dans ses bras, et Bob ne se défendait pas. Luc voulait sucer la queue de son amant et Bob le laissait faire, c'est à peine s'il le guidait de la main. Allongé sur le sable, rafraîchis par les mouvements de l'eau, Bob écartait les jambes Luc s'allongeait sur lui. 

Luc parcourait le corps de Bob de la bouche en le couvrant de baisers. Et quand les lèvres se rencontraient, Luc était allongé sur le corps de Bob qui était complètement replié sur lui même, ses cheville sur les épaules de Luc, ses genoux contre ses côtes et ses mains sur la nuque de Luc. 

Bob sentait la queue de Luc appuyer sur son anus, il se détendait, n'opposait aucune résistance et quand Luc poussait il sentait un immense plaisir, une toute petite douleur s'enfoncer en lui. Ce n'était pas sa position préférée, d'habitude les rôles étaient inversés mais pour faire plaisir à son amant il était capable d'en jouir. La bite de Luc s'enfonçait lentement, elle était enfoncée à moitié à peine que Bob poussait un cri de plaisir, il jouissait, c'était subite, inattendu, trop soudain … Il jutait et Luc s'en rendait compte il enfonçait alors sa queue entièrement en un mouvement rapide. 

Bob laissait échapper un immense soupir accompagné d'une longue et lente plainte. Il relâchait tous les muscles. Luc lui écartait alors les jambes et se laissait tomber sur lui. Bob le recevait dans ses bras et le retenait avec force et repliait ses jambes dans son dos. Les deux amants scellaient leurs lèvres dans un intense et tendre baiser alors que le bassin de Luc pilonnait le cul Bob sans ménagement.

Ces mouvements devaient durer un long moment, Bob jutait et tremblait de plaisir. Peu à peu le mouvements se calmaient, encore quelques mouvements convulsifs puis Bob allongeait ses jambes sur le sol, Luc restait allongé sur lui. Ils partageaient un moment de tendresse, de douceur … De passion !

Plus tard on voyait deux silhouettes revenir à la voiture, elle se tenaient par la main et marchaient d'un pas lent, en silence.

Encore quelques jours et la plage serait abandonnée, la masse des touristes allait fondre et le calme allait revenir. L'hiver n'était pas encore là, mais la fin de la saison se faisait sentir. Une dernière vague de vacanciers allait encore arriver mais il seraient moins nombreux et Bob serait à l'université.

Pour Luc c'était un peu plus compliqué. Il pensait pouvoir entrer lui aussi à l'université mais il s'avérait qu'il était trop jeune, rien ne s'opposait à ce qu'il saute la dernière année de son second sicle, en tout cas pas les résultats qu'il avait obtenu dans son école, ils étaient tout simplement remarquables … Mais tous les responsables étaient unanimes pour dire qu'avant l'âge de dix neuf ans c'était prématuré. Bob les avait depuis peu mais Luc ne les aurait qu'à la fin de la prochaine année scolaire. Il serait né six mois plus tôt seulement on lui donnait l'autorisation, mais là tout le monde s'y opposait ! Il venait d'être informé par courrier de cette situation. Il avait décidé de régler ce problème comme il le faisait d'habitude. Un passage au château, ils en profiteraient pour mettre les dispositifs de chasteté tous les deux, et une petite discussion avec Mr Le Conte.

Les derniers jours Luc les passait dans sa famille, famille dans laquelle il incluait désormais son ami Bob. Il est adorable Bob il avait su se faire adopter. Au début, il avait surpris puis notre mère s'était habituée à ne voir qu'un seul lit défait le matin dans la chambre … 

C'est lui qui prenait le volant au départ de la maison. Florian était venu leur dire au revoir. Ils allaient se retrouver, surtout avec Bob qui, c'était confirmé, entrait à l'université.

Je vous laisse imaginer les larmes de nos parents, le petit devenait grand, et partait déjà vivre loin du foyer, continuer sa vie dans une autre ville. Mais ce n'était qu'un au revoir, un : '' A bientôt '' .

Ils partaient tôt et Luc profitait qu'il n'était pas au volant pour tenter de contacter Mr Le Conte. Celui-ci ne pouvait pas répondre, il était en déplacement mais le secrétaire promettait à Luc de transmettre le message !

Comme on le fait toujours, ils se relayaient au volant et ils arrivaient au château tôt dans la soirée, juste le temps de souffler un peu, de prendre une douche et de se changer avant de passer à table. Antoine était arrivé quelques heures plus tôt et c'était des retrouvailles, on les plaçait ensemble à table, ils se racontaient leurs vacances …

Monsieur Le Conte n'était pas encore revenu …



Ep 72 : CALIN



Antoine avait bien apprécié cette rencontre avec Raphaël. En faisant son footing le lendemain matin il ne pensait plus qu'à Raphaël. Pour être un bon gigolo il faut être bien bâti, et Raphaël était très bien bâti ! 

Il faut aussi avoir une bonne tête et être très beau. Et celui-là il était vraiment très beau et il avait une très bonne tête.

Il n'est pas non plus inutile pour un bon gigolo de savoir faire jouir sa ( ou son ) partenaire … Et Antoine m'a garanti par la suite que celui-ci n'était pas seulement bien foutu il était très bien membré et il savait aussi très bien se servir de sa queue !

Bref c'était l'homme idéal... 

Avec ou sans défaut ? … 

Avec ! Il ne fallait pas en douter … Il était vénal, arrogant, suffisant, capricieux … Mais c'était un bon coup ! 

Valérie était le genre de femme à avoir la tête sur les épaules et elle savait parfaitement à quoi s'en tenir au sujet de son mari. '' Je serais étonné qu'il se soient mariés sans contrat ces deux là !''. Se disait Antoine ! 

Quelques jours passaient. Valérie semblait embarrassée quand elle revoyait Antoine. Mais celui-ci tentait de la mettre à l'aise en ne parlant pas de la soirée précédente, je veux dire par là la soirée chez Valérie pas la fin de soirée chez lui bien sûr.

Il revoyait également Raphaël mais lui ne montrait aucune gêne, il avait même ce petit sourire qui semblait lui dire … '' On recommence quant tu veux bonhomme ! ''. Antoine ne le décourageait pas, il avait bien aimé. 

C'est pendant un de ces entraînement qu'Antoine voyait une de ces petites affiches qui étaient apposée un peu partout et qui annonçaient les activités et les distractions. On organisait une compétition sportive, un jeux un peu comme ceux qu'on voit à la télé. Les participants commencent par une course à pied, ils doivent aller chercher un objet plus ou moins lourd, plus ou moins gros. Ensuite ils plongent dans un lac infesté de crocodiles puis grimpent sur une liane, ils doivent alors se balancer pour traverser une rivière remplis de piranhas assoiffés de sang. Suivent alors des combat à la lance,combats de boxe pour se terminer, toujours, non pas dans un bain de sang mais dans le grand bain dans la piscine et toujours, et là c'est inévitable, dans de nombreuses éclaboussures …

Je rassure mes lecteurs les plus sensibles … Les piranhas sont végétariens ! Enfin cette espèce là est végétarienne. On m'a même dit que ce n'était que des poissons rouges … 

Vous imaginez bien qu'Antoine n'hésitait pas à s'inscrire. En course il était champion, en natation aussi, il faisait aussi de la lutte, de la varappe et quelques autres sport pour se distraire … 

Tous ceux qui l'avaient croisé depuis son arrivée dans ce parc de vacances , et toutes celles aussi, l'avaient remarqué. Son  physique n'était pas ordinaire, il avait une musculature de champion … Normal c'était un champion … Il avait un très beau visage, un sourire qui retournait toutes les filles et quelques garçons aussi et en plus il bougeait bien … Le mec sexy quoi !

Le jour venu tous les participants arrivaient en tenue de sport qui les mettaient bien en valeur, ils étaient tous à la hauteur, pour participer il fallait être un minimum sportif. Plusieurs moniteurs du parc étaient inscrits. Antoine se faisait remarquer au milieu de tout ce beau monde. Non pas que sa tenue était excentrique mais il était un peu plus musclé que les autres participants. La réaction des spectatrices n'était pas toujours discrète. 

La première épreuve était une épreuve de course suivie d'un plongeon  dans le lagon ( une piscine gigantesque de forme circulaire et remplie de poissons ) puis d'une course de natation … Les deux disciplines qui lui avaient rapporté plus d'une médaille … la course était lancée, chacun, chacune encourageait son favori mais le nom qu'on entendait le plus fort c'était … '' … Antoine … Antoine … ''. 

Il était le plus rapide au départ et en quelques secondes un belle distances s'installait entre lui et le second, à chaque foulée, cette distance grandissait. C'était des cris d'acclamation qui portaient Antoine ( et son entraînement quotidien peut être aussi ). La partie course à pied se terminait par un promontoire un peu comme l’extrémité d'une jetée à environ trois mètres au dessus de l'eau. 

Antoine ne ralentissait pas, contrairement à la plupart des autres participants qui suivaient, il se lançait dans le vide à pleine vitesse, les filles hurlaient ( quelques garçons aussi ), il faisait deux pirouettes complètes sur lui-même puis une entrée dans l'eau parfaite trois mètres plus bas. Dans le public c'était des acclamations. Il ressortait à la surface de l'eau plus de dix mètres plus loin et continuait la course en crawl. C'est quand il arrivait au milieu de la partie aquatique  que les premiers suiveurs plongeaient à leur tour … Au moment ou le second de la course sortait la tête de l'eau à la fin de son parcours il n'entendait que les acclamations '' Antoine … Antoine … Antoine … '' pourtant lui ne s'appelait pas Antoine !

Mais notre ami Antoine avait eu le temps de se sécher et répondait aux acclamations en levant les bras et en faisant le V de la victoire.

Suivait une sorte de bataille navale, là c'était beaucoup plus drôle. Chaque participant prenait place sur une plate forme à l'avant d'un petit bateau et deux par deux se livraient à une joute dont le but était de pousser à l'eau l'adversaire. Oui je sais l'idée est déjà ancienne, autrefois on le faisait avec des chevaux, les cavaliers étaient en armure … Mais là les lances était rembourrées d'une mousse épaisse qui flottait, histoire de ne pas se faire mal. 

Antoine s'en sortait un peu moins bien, il n'était que deuxième mais s'il ne parvenait pas toujours à pousser son adversaire il savait tomber dans l'au avec  beaucoup de dignité. Il terminait toujours ses chutes en plongeon qu'il réussissait parfaitement, il n'y avait pas une éclaboussure de trop et c'était autant les rires, les applaudissements que les acclamations qui rythmaient cette épreuve …

Antoine terminait en troisième position. Juste derrière un petit maigrichon tous mince mais très agile et un balaise énorme avec une masse musculaire presque anormale. Il était vraiment balaise et à ce jeux personne n'avait réussi à le renverser, il était le seul qui terminait cette épreuve complètement sec. Les regard des spectatrices devaient se promener sur toute cette musculature mais les regards d'Antoine s'arrêtaient sur la bosse de son entre jambe … '' Si tout est aussi musclé chez lui, ça vaut la peine de s'attarder sur le sujet '', se disait Antoine !

L'épreuve suivante était une épreuve de lute. Bon on se calme, il ne s'agit pas de se taper dessus, les organisateurs n'oseraient pas proposer une telle activité. Les participants devaient traverser une rivière infestée de piranhas affamés ( je sais ils abusent encore, c'est bien une variété de piranha mais ceux là sont végétariens et  n'ont jamais mordu personne ) les pont pour traverser étaient mobiles, constitué de gros boudins de mousse à l'horizontale, certains pouvant tourner autour de leur axe dans un sens ou dans les deux sens, des plateaux circulaire, mobiles ou pas. Des lianes qu'il fallait attraper pour passer en se balançant. Il y avait aussi des massues ( en mousse ) pour retarder l'adversaire. Chaque participant devait affronter tous les autres participants l'un après l'autre, cette épreuve serait à n'en pas douter longue et pleine de fous rires.

Le gros costaud balaise devait affronter Antoine, et Antoine il faut bien le dire n'y croyait pas trop. Trop balaise, le gars est impossible à renverser … Mais là c'était une autre histoire, toute l'installation était généreusement arrosée pour rester bien glissante. Antoine, sans doute trop sûr de lui, posait le pied sur la première plate forme, glissait et se retrouvait dans l'eau deux mètres plus bas. Son adversaire était plié de rire avant de glisser à son tour et d'aller rejoindre Antoine avec les poissons rouges ( J'avais dit piranha ? … Peut être pas finalement … Ça existe des piranha de couleur rouge ? ). 

Il avaient droit à plusieurs essais. Antoine et son adversaire faisaient très attention cette fois ci. Antoine s'avançait sur un de ces boudin horizontal son adversaire avait pris un peu d'avance et l’attendait un peu plus loin avec une massue ( toujours en mousse ). Au moment ou Antoine arrivait à sa hauteur, il levait la massue, se déséquilibrait et plongeait de nouveau tout seul sans que personne ne le pousse. Là c'était Antoine qui était à son tour plié de rire, il perdait l'équilibre et allait rejoindre son adversaire dans l'eau.

Finalement aucun des deux n'a traversé !

Si ces deux participants s'étaient fait remarquer lors des premières épreuves en se plaçant dans les premiers. Ils se faisaient également remarquer mais cette fois en se classant dans les derniers … Zéro points mais beaucoup d'éclats de rire. Pendant qu'ils étaient dans l'eau ils en profitaient pour faire un peu plus connaissance.

Bryan était un peu plus vieux qu'Antoine, il faisait lui aussi du sport et en particulier de la musculation ce qui expliquait sa carrure. Il travaillait dans le bâtiment, célibataire … Il insistait sur ce dernier point …

Antoine : Et tu viens souvent passer des vacances ici ?
Bryan : C'est la première fois … Et toi ?
An : Pareil, j'avais envie de passer des vacances tranquilles.
Br : Tu n'aimes pas voyager ?
An : Pourquoi tu dis ça ?
Br : Ici, c'est un peu voyager mais sans aller loin. Il y a une rivière de piranha …
An : Ce sont des poissons rouges !

La discussion continuait ainsi encore un long moment ! Le soir ils se retrouvaient au restaurant '' La jungle sauvage ''. Un restaurant qui se trouvait au milieu de la zone boisée. Le vainqueur gagnait une soirée à ce restaurant pour deux personnes et Antoine avait donc invité son adversaire Bryan.

Le regard de Bryan disait tout, sa manière de regarder Antoine était une promesse de se retrouver ce soir dans le même lit. '' Je vais m'en prendre plein le cul … ! ''. Se disait Antoine. Il portait un dispositif de chasteté depuis des mois et sa situation de passif ne lui déplaisait pas. C'était devenu une habitude, et comme il ne pouvait rien faire de sérieux avec une fille il se rapprochait de plus en plus des garçons. Bien bâtis c'est mieux, et comme Bryan est dans le bâtiment ... Bien monté c'est encore mieux, c'est même une évidence et la bosse que Bryan semblait dissimuler sous son short, et ce soir là sous son pantalon, était prometteuse et laissait déjà Antoine imaginer des plaisir profonds intenses et violents peut être.

La sortie du restau était détendue, et les vestes se retrouvaient sur les épaules. Ils faisaient un arrêt dans un bar sur le chemin qui conduisait au lagon sauvage ( une autre piscine, il y en avait plusieurs dans le parc ). Cette plage était volontairement moins équipées, il y avait tout ce qu'il fallait mais juste derrière la ligne des premiers arbres, depuis la plage on ne pouvait voir aucune installation et on pouvait facilement se croire sur une plage sauvage totalement isolée.

C'est à cet endroit que les mains se sont touchées. C'est Bryan qui en premier posait la sienne sur celle d'Antoine, le geste aurait presque pu passé anodin mais le sourire d'Antoine à ce moment invitait Bryan à continuer, à ne pas se sentir obligé de s'excuser ou à retirer sa main …

Les deux garçons savaient prendre leur temps, ils savaient ne pas se précipiter l'un sur l'autre. Antoine sentait sa queue se révolter, plus, beaucoup plus que quelques temps plus tôt avec Raphaël. La pression était intense, et la frustration totale. 

Il s'approchaient doucement l'un de l'autre. Pas de main au panier, comme on dit communément, et au moment ou ils échangeaient leur premier baiser leurs corps se touchaient à peine. Antoine sentait la chaleur et la force de son partenaire. Avec son costume, chemise, veste celui-ci paraissait tout à fait élégant mais il suffisait de le frôler à peine pour ressentir sa force animale, la force de tous ses muscles, il était beaucoup plus musclé qu'Antoine. 

Antoine se sentait tout petit, tout menu, tout fragile en face d'une telle masse musculaire et ça c'était nouveau pour lui. C'est un bel athlète Antoine et en général c'est lui qui impressionne, c'est pas lui qui est le plus impressionné. Sa queue protestait, son cœur battait fort et quand il posait sa main sur l'avant bras de Bryan il ressentait que son camarade devait être dans le même état. 

Sa main caressait l'avant bras de Bryan, musclé, de très grosse taille, recouvert d'une petite fourrure particulièrement douce. Antoine se disait que si son copain donnait un peu dans le genre ours, c'était surtout dans le genre nounours … '' Et en plus un nounours qui a une fourrure très douce … ''. Et il ne pouvait se retenir d'y déposer un baiser, une caresse sur l'avant bras puis un baiser … Bryan lui répondait en lui passant l'autre main dans les cheveux !

Ils se tenaient dans les bras l'un de l'autre mais sans se serrer l'un contre l'autre. Antoine avait deviner à la bosse que Bryan ne pouvait plus dissimuler dans son pantalon qu'il éprouvait la même chose que lui, mais Bryan n'avait pas le même dispositif pour cacher pudiquement la monté de son désir et Antoine ne voulait pas l’embarrasser, surtout que c'était prometteur.

Ils avançaient lentement sur le bord de l'eau, pieds nus, pantalons remontés, ils étaient désormais collé l'un à l'autre. Ils se tenaient par la main, les caresses restaient douce, à peine si une main osait remonter jusqu'au bras du partenaire. 

Un baiser, oui encore un baiser déposé sur les lèvres d'Antoine avec une extrême douceur au moment ou sa main se déposait doucement sur le torse de Bryan. Doucement, timidement la main frôlait juste le torse, le téton de Bryan, il durcissait ou se redressait mais c'est vrai qu'il y avait du muscle.

Antoine montrait lui aussi une belle bosse au niveau de son pantalon, il bandait. Normalement rien ne ressort mais la tension était trop forte et le dispositif se redressait et poussait contre son pantalon. À cet instant on pouvait douter qu'il portait un dispositif de chasteté PK. Antoine baissait les yeux et constatait qu'on aurait pu croire que tout comme pour son camarade il ne portait pas de dispositif de chasteté et qu'il était … en forme.

Dispositif trompeur qui s'était voulu tellement invisible qu'on pouvait quelquefois douter de sa présence. Pas pour le porteur toutefois, lui ne l'oubliait jamais. Antoine le sentait son dispositif, pas de douleur, pas de gêne mais il ne sentait que ça. C'était une intense pression frustrante. Il sentait aussi son anus se contracter et se détendre, appréhension de la suite de la soirée, crainte que Bryan ne soit monté de la bite comme il l'était du reste de son corps, énorme …

C'était peut être aussi tout simplement l'espoir, précisément l'espoir qu'il soit monté de la bite comme du reste de son corps … Antoine en a vu d'autres vous savez. 

Les deux hommes s'étaient assis sur le sable, il fallait rester sage un minimum, il y a des caméras de sécurités et ils pourraient faire jaser, même si le sérieux du parc garantissait que rien n'en ressortirait.

La main de l'un se posait sur la cuisse de l'autre, une main caressait un dos puis une épaule et de nouveau des baisers se partageaient avec douceur, beaucoup de douceur. Bryan à peut être un peu l'aspect d'un ours mais il a la douceur d'un nounours, et pas seulement la fourrure. Les gestes aussi sont doux, ses caresses, son regard, ses lèvres, chez Bryan tout est doux, même sa force.

Antoine était fou de désir, il ne redoutait plus cette fin de soirée, il l'espérait avec de plus en plus d’impatience. Ce n'était plus seulement son cœur qui battait fort, son souffle aussi devenait plus fort. Ils se relevaient d'un mouvement et toujours en se tenant par la main prenaient la route de l'appartement d'Antoine. Ils n'accéléraient pas, ils continuaient leur route, sans se hâter, ils profitaient de ces instants, de cette attente pour pouvoir apprécier encore plus les instants qui suivraient.

Antoine entrait le premier et invitait son ami à entrer en l'entraînant par la main. Là encore il n'y avait aucune hâte. Antoine ouvrait les bouton de la chemise de Bryan avec lenteur, il profitait de chaque secondes pour le caresser et lui donnait un baiser après chaque caresse, la chemise tombait puis c'était Bryan qui à son tour avec une lenteur qui n'avait d'égal que la douceur qu'il y mettait.

Ensuite Bryan ouvrait le ceinturon d'Antoine en prenant bien soin de ne surtout pas toucher son sexe, le plaisir est dans l'attente et l'extase vient plus tard, pas trop mais suffisamment. Le pantalon tombait et deux mains se glissaient sous le caleçon remontaient sur les cuisses puis sur les hanches, les pouces ne passaient qu'à quelques centimètre à peine du dispositif de chasteté d'Antoine puis c'est le caleçon qui tombait à son tour.

Bryan ne bougeait plus, il regardait ce truc et c'est visiblement surpris qu'il levait les yeux ver Antoine.

Bryan : Tu portes ce genre de truc toi ?
Antoine : Bein oui !
Bryan : Tu es passif ?
Antoine : Bein oui !
Bryan : Uniquement ?
Antoine : Je ne vois pas ce que je pourrais faire d'autre !

Bryan éclatait de rire. Et tout en se relevant couvrait le corps d'Antoine de baisers, toujours la même tendresse, toujours la même douceur, la même lenteur. Son dispositif PK se redressait et se balançait par secousse au rythme des battements de son cœur !

Bryan : A toi !
Antoine : Je fais comme toi.

Avec les mêmes gestes Antoine ouvrait le pantalon de son camarade et le laissait tomber. Mais quand le caleçon tombait à son tour c'est Antoine qui regardait le dispositif de chasteté de son ami …

Ces dispositifs il les avait conçus, il savait à quel point ils étaient discrets et pour une fois il regrettait cette réussite. Lui même s'était laissé prendre au piège … Bryan lui portait également un tel dispositif et c'était la taille XL c'est pour ça qu'on pouvait distinctement voir une bosse sous le pantalon.

Antoine relevait les yeux …

Antoine : Toi aussi tu es passif ?
Bryan : ( avec un sourire ) Bein oui !
Antoine : Uniquement ?
Bryan : ( en éclatant de rire ) Je ne vois pas ce que je pourrais faire d'autre !

Antoine ne pouvait se retenir d'éclater de rire. Il se relevait avec la même douceur, la même tendresse que son ami en avait eu ! Quelques instants plus tard ils se retrouvaient enlacés mais maintenant l'étreinte était serrée, ils se tenaient fermement, se caressaient et s'embrassaient.

Antoine : Je suppose que toi non plus tu n'as pas la clé.

Bryan faisait non de la tête. Les caresses redoublaient plus douces et plus fortes, plus lentes et plus pressantes … 

Bryan : Je ne m'y attendais pas.
Antoine : Moi non plus, j'aurais jamais pensé qu'un jour je ne devinerais pas la présence d'un de ces trucs.
Bryan : Il était doué le mec qui a conçu ces trucs, comme tu dis.
Antoine : Je suis d'accord avec toi … C'est moi ! …


Antoine regardait le dispositif de son camarade …

Antoine : C'est ballot tout de même !
Bryan : Alors on fait quoi ?
Antoine : Câlin !

Sans jouets, avec tous les deux un dispositif de chasteté, c'est à peu près tout ce qu'ils pouvaient faire …



Ep 73 : UN CLUB PRIVE 01



Je roulais tranquillement à travers le continent, il y a de très belles régions et après plusieurs hôtel et de nombreux kilomètres j'arrivais dans une très jolie vallée. Au fond, tout au fond de la vallée coulait une rivière. Je m'arrêtais un moment près d'un pont. Je descendais de ma voiture, il faisait chaud, très chaud au fond de cette vallée, le soleil était haut dans le ciel. 

Je me disais qu'en hiver il devait y faire froid, très froid. Les montagnes de chaque côtés de la vallée étaient hautes et resserrées, la vallée était étroite et en hiver quand le soleil était plus bas sur l'horizon il ne devait pas éclairer beaucoup le fond de la vallée et le côté Sud devait être toujours à l'hombre.

Je pensais à ce micro climat qui aujourd'hui m'offrais un chaleur d'été et  cette rivière fraîche et son eau pure, un violente envie de me rafraîchir. Le coin était tranquille, il n'y avait personne aussi je décidais de retirer mes vêtements et de faire un plongeon. Il ne me fallait pas longtemps, j'avais sur moi un T-shirt, deux chaussures légères et un pantalon de toile souple. Il ne me fallait que quelques secondes pour me retrouver nu … Je ne sais plus si je vous l'ai dit mais je ne porte pas de sous vêtements, j'aime bien voyager léger... Et puis on peut dire que si, d'une certaine manière j'ai un sous vêtement … Le dispositif de chasteté dont je ne me sépare jamais …

L'eau était froide et j'étais saisi. Saisi et revigoré, je nageais, remontais sur la berge et plongeais pendant un long moment, jusqu'à ce que, sortant la tête hors de l'eau j'étais surpris par l'apparition d'une silhouette sur le pont.

C'était un homme jeune, il était étrangement habillé. Il avait un pantalon en toile un peu comme ceux qu'on imaginerait sur Astérix le gaulois, et une tunique qui semblait de la même origine mais le tout dessiné avec talent et élégance. Des espadrille aux pieds et un chapeau de paille sur la tête, l'étrange personnage me surprenait et me faisait un grand sourire. 

Titi : Salut, moi on m'appelle Titi ! Il fait chaud, un bain ça rafraîchi …
Moi : Oui il fait chaud, moi c'est Djé !
Titi : Je crois que je faire comme toi tiens ! 

Il retirait rapidement ses vêtements, apparemment lui aussi aimait voyager léger. En quelques secondes il était à poil et plongeait directement depuis le pont. Je n'aurais pas osé, de peur de m'éclater le crâne sur le fond mais il connaissait le coin et savait qu'à cet endroit il y avait assez de fond.

J'avais comme l'impression, je n'étais pas sûr, il m'avait sembler voir un petit éclair, un truc brillant sur Titi au moment ou il plongeait, juste entre ses jambes. Un dispositif de chasteté en métal brillant, ça devait être ça. Une fois dans l'eau je pouvais constater que c'était bien une dispositif de chasteté en métal. C'était même le modèle de chasteté que mon pote Antoine et moi avions dessiné. Mais c'est que ce dispositif devient de plus en plus populaire. 

Titi : Il y a de plus en plus de porteurs depuis quelques temps !
Moi : Et toi tu le porte depuis longtemps ce truc ?
Titi : Quelques mois, et toi ?
Moi : Un peu plus de quelques mois, beaucoup plus même ! 

On continuait la discussion et on faisait connaissance. Il était du monastère, il me disait, un bâtiment très ancien qui avait été restauré il y a quelques année pour devenir un lieu de vacances. Il était sur le côté nord de la vallée. En cette saison c'était un endroit magique, il faisait beau pendant toute la journée, en hiver il était fermé mais là on était en plein été.

Je décidais d'aller voir ce que c'était ce genre de truc. Titi montait avec moi dans la voiture et me montrait la route, il ne nous fallait que quelques minutes pour y arriver. On passait un portail lourd et épais en bois massif. Titi descendait de ma voiture et je l'entendais …

Titi : J'ai trouvé un voyageur qui ne trouvait pas la route …

On me faisait signe de garer la voiture dans un parking ombragé et sécurisé. Le personnel qui me recevait portait un vêtement dans le genre de ces vêtement d'Afrique du Nord, une djellaba, c'est confortable avec cette chaleur, ils portaient tous un chapeau en paille, des sandales, les tenues étaient à la fois simple et confortables … 

Une salle d'accueil … un guichet … C'était un hôtel, en tous cas c'était un établissement qui en assurait les fonctions. Un club peut être aussi mais un club privé alors. On ne pouvait y accéder que si on y était recommandé par un membre et c'est là que s'est produit le quiproquo.

J'étais venu en compagnie d'un membre et tout naturellement à l'accueil ils ont pensé qu'il me connaissait. C'est ballot, je sais mais je n'ai pas compris tout de suite non plus. Enfin bref grâce à cette petite erreur j'ai été reçu dans le club et j'en suis devenu membre … 

J'aurais du avoir un doute quand on m'a demandé si je portais un dispositif de chasteté en permanence, combien je mesurais … Là bien sûr je répondais.

Moi : Un mètre soixante quinze ! 

Mon interlocuteur pouffait de rire et répondait …

Lui : Je ne parlais pas de cette taille là … ( il rigolait ) Je parlais de la longueur de ta queue !

Oui je sais, là j'aurais du avoir un doute. Mais vous savez, avec la vie un peu débridée que je menais depuis trois ans … Bein si quand même, débridée, c'est pas parce que je porte un dispositif de chasteté en permanence, je me prends des bites … ou des godes … ou des plug … ou des coups de gode-ceinture … dans le cul ! 

Là j'ai entendu il y en a un au fond qui vient de dire … '' j'y crois pas ! '' … Celui là je l'invite à lire ou à relire les soixante douze épisodes qui précèdent et il verra si c'est des conneries que je raconte là … 

J'vous jure c'est du vécu !

Sinon je ne m'appelle pas Djé !

Bon, j'en étais ou ? Ah oui ! Donc forcément quand on me demande la longueur de ma bite je ne me formalise pas, on ne vas pas se formaliser pour si peux ! Donc oui … '' Vingt bons centimètres '' …

Lui : Donc tu portes !
Moi : Mais comment tu le sais ?
Lui : Tu es un marrant toi !
Moi : Bein oui, je peux dire que le plus souvent ça m'amuse de rire !
Lui : Et en largeur ?
Moi : Cinq !
Lui : Bien ! Mais avec cette largeur tu pourrais prétendre à être un actif !

Là je ne comprenait plus tout à fait de quoi il parlait mais ça ne me dérangeait pas vraiment, il rigolait et je rigolais aussi … Donc … 

Lui : Donc on disait une taille quatre !
Moi : Tout juste, taille quatre, modèle CTC en titane …
Lui : Mais de quoi tu parles ?
Moi : Modèle CTC en titane, c'est le dispositif que je porte.
Lui : Mais le modèle CTC n'existe pas !

Il avait l'air de s'y connaître le gars. Toutefois je ne voulais pas me faire reconnaître aussi …

Moi : J'ai reçu par hasard un modèle expérimental.
Lui : Ah parce que tu portes déjà ?
Moi : Bein oui ! Mais de quoi on parle depuis tout à l'heure.
Lui : Fais voir !

Sans plus de manière je baissais mon pantalon, il jetais un œil.

Lui : Alors je ne t'en propose pas alors ?
Moi : Bein non !

Il devait être d'humeur joyeuse, il continuait à rigoler …

Moi : Et toi alors tu portes ?
Lui : Mais bien sûr !

Il tirait sur son pantalon et me montrait, il avait le même dispositif que moi mais pas en version prototype. 

Moi : Tout le monde en porte ici alors.
Lui : ( toujours en rigolant ) Sauf les actifs !

Bein oui je sais bien que les actifs ne portent pas ce genre de dispositif, sinon ils ne sont pas actif mais comme moi en ce moment , et depuis longtemps déjà, ils sont passif ! Mais il avait l'air bien rigolo le mec à l'accueil. Il rigolait tout le temps !

Il me donnait la tenue réglementaire, la djellaba ou une tunique qui s'arrêtait juste au dessus des genoux, les pantoufles et le chapeau de paille que tout le monde portait ici. Je laissais mes affaires personnelles, y compris mon téléphone … J'avais fini par comprendre que c'était une retraite … J'avais tout de même le droit de modifier le message de mon répondeur et de donner le numéro de téléphone d'ici, en cas d'urgence …

On pouvait se changer sur place, ou dans un vestiaire si on préférait. En ce qui me concerne je choisissais le plus simple et le plus rapide à la fois, et c'est le cœur léger que je suivais le petit bonhomme rigolard vers ma cellule …

Lui : Tu est rudement bien foutu toi, tu fais du sport ?
Moi : Oui pas mal, et je suis assez bon !

Les logements étaient spartiates mais ils n'étaient destinés qu'au repos. Un lit, des murs de deux mètres d'épaisseur, si dehors il faisait très chaud, ici il faisait bon. Le lit était très confortable. On m'expliquait que si je voulais changer de vêtement je n'avais qu'à le demander mais que je n'étais de toutes façon pas obligé d'en porter. Seul le chapeau était fortement conseillé ! Mais uniquement à cause du soleil !

Je passais le reste de la journée autour de la piscine, à l'ombre, au soleil, dans l'eau, au sec ( je résume je n'arrêtais pas de bouger quoi ), il y avait un bar étonnant et un barman … j'aurais aimé qu'il ait une bite de plus de 20 centimètres celui là, il était bâti comme un dieu Grec mais à voir le dispositif qu'il portait, il ne taillait que du deux … P'tit bite quoi. Mais le reste du bonhomme, je ne vous dis pas, c'était à en perdre ses cheveux …

Au tout début j'avais pas tout compris, avec l'autre rigolard qui se marrait  tout le temps mais, ici, tout le monde était à poil. L'accueil était le seul endroit ou on pouvait croiser des personnes qui portaient un vêtement par nécessite ! 

C'était cool et je m'y sentais tout de suite parfaitement à mon aise. Le sublime bar-man faisait des cocktail à tomber, sans alcool bien sûr, mais c'était vraiment super bon !

Les repas étaient servis pendant deux heures, ce qui nous laissait le temps de nous décider si on avait faim ou pas, c'était comme on voulait, une ambiance de cantine mais une cuisine de grande qualité, on pouvait manger sur place ou emporter un plateau. Il y avait un sauna, des massages, des activité sportives, des jeux qui allaient depuis les échecs jusqu'au tennis, foot, lutte ( au passage la lutte à poil j'adore ), une salle de projection et un film tous les soirs, yoga conférence bien être … 

En un mot on pouvait ne rien faire ou faire plein de choses …

Je sympathisais avec mes nouveaux camarades, quelques uns portaient leur dispositif en dehors du club ( comme moi ), pour d'autres c'était une expérience. Il y en avait pour tous les goût !

Le premier soir j'étais épuisé, détendu mais fatigué. Je me retirait dans la cellule relativement tôt. Je m'endormais rapidement en me demandant ou j'étais. Ce matin je n'avais jamais entendu parler de ce lieu, et ce soir j'y étais chez moi … 

Il ne devait pas être beaucoup plus de minuit quand on frappait à ma porte. C'était Titi …

Titi : Tu dors déjà ?
Moi : Bein non plus maintenant pourquoi ?
Titi : J'aurais cru que tu voudrais passer dans le jardin de nuit.
Moi : Le jardin de nuit ?
Titi : Bein oui ! Tu ne connais pas ?
Moi : Tu sais, ce matin je ne savais pas que cet hôtel existait alors …
Titi : Et ils t'ont laissé entrer ? Ça c'est étonnant ! Pour entrer ici, il faut être parrainé …  
Moi : Tu ne te souviens pas ? On es venus ensemble !
Titi : C'est bizarre cette histoire ! Bon je vais t'expliquer ! Ici parmi les clients il y a deux catégories, les passifs, comme toi, moi, tous ceux que tu as vu aujourd'hui … Et les actifs …
Moi : Les actifs ? Je t'écoute !
Titi : Les actifs ne portent pas de dispositifs de chasteté, ils ont le droit de se vider les couilles si l'opportunité se présente … 
Moi : Là moi je ne comprends plus rien du tout !
Titi : Ils sont installés dans une autre partie du bâtiment, mais la nuit la porte qui sépare les deux zones sont ouvertes. 
Moi : Tu m'intéresses ! Et comment on fait pour choisir lors de l'inscription !
Titi : On ne choisi pas ! On nous le propose ou on ne nous le propose pas ! Il faut dépasser vingt centimètres … 
Moi : C'est pour ça qu'il m'a demandé combien je mesurais … Je commence à comprendre.

Titi se levait et me regardant bien dans les yeux …

Titi : Alors tu restes ici ou tu me suis ?
Moi : Attend je passe ma tunique et …

Il rigolait en me regardant, il était à poil et c'est vrai que la tunique je ne l'avais portée qu'à mon entrée … Je me levais et je le suivais. On descendait jusqu'à la piscine, le bar était fermé mais au bout de la piscine les transats avaient disparus, et entre les arbres les haies avaient disparues. Ce qui était un cul de sac était devenu une immense entrée vers … Je me demandais vers quoi !

C'était un jardin qui dans la nuit paraissait magique, il y avait des lampes de faible puissance un peu partout, on ne distinguait pas seulement les silhouettes on pouvait distinguer les corps, et distinguer tous les détails des corps. Je sentais ma queue protester à la première silhouette qui passait devant moi, le dispositif de chasteté se redressait avec force et même avec violence. Si cette érection soudaine n'était pas douloureuse c'est uniquement à cause de l'extrême confort que garantissait mon dispositif. 

Titi me caressait les couilles puis le bas du mon ventre, je le laissais faire. 

Titi : Tu pourrais presque faire partie des actifs toi, je me trompe ?
Moi : Pas sûr, mais c'est possible.

Plus loin, il y avait un panneau étrangement éclairé, il semblait diffuser ou réfléchir une très faible lumière, on pouvait toutefois y lire … '' Regardez . Choisissez . Consommez '' … Encore un coup de pied au cul de la probité et de la morale telle qu'on l'attend des porteurs … 

Je ne vous cacherai pas que là j'étais un peu perdu. Je voyais rapidement passer une homme qui me convenait, il était bien foutu et, surtout, il avait une grosse bite. 

Bon d'accord j'en entends encore qui son en train de se dire … '' grosse bite, grosse bite … Il n'y en a que pour les grosse bittes … Pfff '' .  Je ne dis pas le contraire mais quand c'est pour se faire enculer … Un grosse bite c'est quand même mieux … Comme le disait une copine à moi, un garçon charmant … '' On n'est pas des gonzesses, quand on se fait enculer, on aime bien le sentir … '' … Non, vous ne trouvez pas ?

Donc je reprends, celui là il en avait une belle je ne vous dis pas … Oh et puis si je vous le dis finalement, il bandait, ça aurait pu faire peur mais vous devez le savoir … J'ai pas peur de rien et de personne moi ! Je ne lâchais plus des yeux, grand, plus grand que moi et surtout bien monté, mieux monté que moi … 

Oui je sais moi en ce moment je ne suis pas vraiment … 

Mais bon je vous ai déjà dit que les commentaires désobligeants c'est pas la peine ou j'arrête de raconté moi !

Je le suivais, il le remarquais. Je suis plutôt craquant moi, bien foutu, bien musclé, bien monté … C'est vrai que sur ce dernier point on ne le remarque peut être pas en ce moment mais … Bon … Comme je disais.

Il me remarquais, heureusement sinon j'aurais crisé, et juste sous un de ces lampadaires il se retournait, me regardait et me souriait. Sa queue se relevait fièrement, il y avait de quoi. Sans hésiter une seconde je m'approchais, me mettais à genoux et le suçais. Il semblait surpris de ma rapidité … '' Tu sais ou tu vas et ce que tu veux toi ! ''. Il me tenait la tête avec les deux mains mais sans me forcer, j'en ai pas besoin, en quelques secondes j'enfilais sa queue jusqu'à la garde, je m'écrasais le nez contre son ventre et je sentais son gland s'enfoncer dans ma gorge. Je ne m'attendait pas à ce que la soirée se termine comme ça mais c'était une très bonne surprise, un vrai plaisir. 

Il me tenais la tête puis il me la retenait et pour finir il la retenait fort, il ne voulait plus me lâcher et avançait puis reculait son bassin avec douceur, force et régularité. Son mouvement était ample, lent mais ferme. A ce moment il ne s'occupait plus de mes réactions, je n'avais plus le choix, à ce moment je ne pouvais plus que subir. 

Rapidement ce n'était plus facile du tout, j'avais du mal à synchroniser ma 
respiration, je voulais me dégager mais il n'y avait rien à faire. Il me laissait le temps de respirer, juste le temps de respirer et si je tentais de me dégager, à chaque fois que je tentais de me dégager, il me retenait la tête avec force et la tirait vers lui en même temps qu'il balançait son bassin en avant.

Je faisais des bruits bizarres et plus je tentais de me dégager plus il me retenait fermement, plus il me retenait avec force et même avec violence. Je sentais juste derrière moi un homme qui était à genoux également et me donnait des baisers dans le coup, il me caressait et se serrait contre moi. Le pied j'allais me prendre une bite dans le cul. Dans la bouche j'aime bien mais si ça ne se termine pas à un moment ou à un autre par un coup de bite dans le cul il manque quelque chose … 

Depuis un moment je ne faisais plus attention à ma queue, et ce contact dans le dos me rappelait que ma queue était toujours sous clé. De nouveau je bandais comme un dingue, mon dispositif se relevais, c'en était gênant, par moment désagréable mais jamais douloureux. Dans mon dos il avançait son bassin se collait à mes fesses et là je devinait la frustration qui allait suivre, il ne m'enculerait pas celui-là, il portait un dispositif de chasteté !

Il me caressait, m'embrassait dans le cou, sur les épaules, dans le dos. Il me mordillait doucement et chaque contacte de ses dents avec ma peau provoquait une contraction de ma queue. Mais elle n'avait pas pour autant plus de place pour se développer … 

Je pleurais, pas de tristesse, mais des larmes coulaient des mes yeux, j'avais vraiment beaucoup de mal à avaler cette énorme queue qui entrait et sortait maintenant de plus en plus vite, il ne se retenait plus le gars.  Je devinais la présence de plusieurs autres personnes autour de nous mais sans pouvoir toutefois voir s'ils étaient des actifs ou passifs …

J'avais maintenant vraiment du mal à avaler cette queue, je me concentrais pour garder la bouche ouverte au maximum et le dernier coup de bassin était particulièrement fort au moment ou il giclait dans ma gorge, il tirait alors ma tête violemment vers lui, il retenait ma tête pendant qu'il se vidait les couilles dans ma gorge. A cet instant je ne pouvais plus respirer, je recevais trois giclées de sperme et ma bouche se remplissait du goût de sa semence … Là c'était bon …

Non en fait c'était pas bon du tout, il abusait le mec, je manquais d'air et j'essayais de me dégager, il finissait pas me laisser, par me lâcher. Je retirais ma tête, j'étais en larme, je reprenais mon souffle, je dégustais encore un moment le goût de son sperme. Là c'était bon … Oui là c'était bon !

Mais je restais sur ma fin, je n'avais rien pris dans le cul. Le mec s'était bien amusé avec moi, il n'y avait plus personne autour de nous. Le mec me caressait la joue pendant que je me relevais et m'embrassait goulûment. '' Demain je t'encule '' …

Je me retournais et je voyais Titi, c'était lui qui m'avait pris dans ses bras accroupis derrière moi. Il était en train de se faire défoncer le cul avec vigueur par un mec bien, très bien monté. C'est pas possible ils sont tous montés comme  … C'est vrai j'oubliais, il faut être surdimensionné pour pouvoir se dispenser de porter un dispositif de chasteté ici. Je bandais toujours comme un dingue, ma queue protestait et ne voulait pas en rester là. Pas moyen de me calmer ma cage se redressait, ma queue dans un élan de désespoir poussait le dispositif, tirait sur l'anneau cock-ring qui retenait le tout, la pression contre la peau de mes couilles devenait par moment presque douloureuse, à la limite, mais rien ne sortait …

Antoine et moi avions fait du très bon travail, ma queue était dans sa cage et n'avait aucune chance de s'en échapper !



Ep 74 : UN CLUB PRIVE 02



Je n'ai pas bien dormi cette nuit là. J'étais épuisé, j'avais beaucoup roulé, fais beaucoup de kilomètres depuis quelques jours, j'aurais bien aimé me faire défoncé le cul et tout ce que j'avais gagné c'était d'avoir mal à la mâchoire. Bon c'était pas la première fois et je savais que je m'en remettrais !

Je me demandais toutefois ce que c'était que ce '' club ''. Je me demandais si Justine ne pourrait pas me renseigner sur ce point aussi je passais récupérer mon téléphone. On ne devait pas le garder avec nous mais nous n'étions pas prisonnier et on avait le droit de communiquer avec l'extérieur si on en éprouvait le besoin. Je m'installais tranquillement sous un arbre et appelait Justine.

Justine c'est mon avocate et elle connaît tout le monde, surtout sur les bancs des tribunaux. Je tombais sur Joss, son principal collaborateur, je le connais bien Joss, il est très sympa. Je lui racontais mon aventure et j'avais à peine fini que je l'entendais qui rigolait à l'autre bout du fil.

Moi : C'est moi qui te fait rire Joss ?
Joss : Oui c'est toi ! Mais comment tu as fait pour te retrouver dans ce genre d'endroit ?
Moi : Bon c'est pas la peine de te moquer, je passais par là par le plus grand des hasards, et voilà !
Joss : Bon tu ne t'inquiètes pas, nous avons enquêté pour le Château au sujet de plusieurs de ces groupes, et ce monastère ou tu es arrivé … C'est … Comment dire … Une sorte de club ou les porteurs comme toi peuvent se retrouver et se défouler … Par contre ce qui m'étonne c'est que s'il ne te connaissaient pas tu ais réussi à y entrer. Il faut être parrainé pour ça … C'est bizarre !
Moi : Je suis arrivé et on m'a accepté … C'est tout !
Joss : C'est vraiment bizarre, s'ils connaissaient ton identité on peut comprendre qu'il t'accepte sans parrain mais tu me dis qu'ils ne savent pas qui tu es … 
Moi : Bizarre, tu as dit bizarre !

Il rigolait.

Joss : Ça me rappelle quelque chose ça … Mais bon soyons sérieux. Tu n'as donc pas à t'inquiéter ! C'est tout ce que je peux faire pour toi ?

J'étais rassuré même si je ne comprenais pas vraiment pourquoi j'avais réussi à rentrer dans ce club. Ils savaient peut être qui j'étais finalement ? J'en profitais pour lire mon courrier, Antoine me racontait qu'il avait trouvé un club de vacances touristique absolument génial, et mon frère me racontait que depuis son arrivé tout se passait bien, qu'avec Bob ils s'éclataient bien et que maman avait complètement adopté Bob.

Donc si tout se passe bien pour tout le monde … Je retournais mon téléphone à sa consigne et me retrouvais rapidement sur le court de tennis ou on m'attendait. Finalement, si on peut faire laver sa tunique quand on veut, ça ne doit pas arriver souvent, on ne la porte jamais !

J'étais toujours à poil ! Enfin presque … J'avais sur la tête un chapeau de paille du meilleur goût et toujours ce petit truc autour de la queue Mais je me sentais très bien.

La nuit suivante, j'étais trop fatigué et je dormais profondément du sommeil du juste. Je retrouvais Titi au petit déjeuner.

Titi : On ne t'a pas vu hier soir !
Moi : J'avais surtout envie de dormir.
Titi : Et tu as trouvé ça comment ? J'avais l'impression que tu aimais.
Moi : Toi aussi tu avais l'air d'aimer ? Hier j'avais encore un peu mal à la mâchoire.
Titi : Tu m'étonnes, moi j'avais mal au cul !

Il est marrant Titi. Il avait mal au cul mais ça ne l'avait pas empêché de recommencer. 

Moi : Donc on peut dire qu'il y a deux club en un …
Titi : Si on veut. Le club des grosse bites qui sont actif, et les autres qui sont passifs. Mais toi tu devrais t'inscrire dans le club des actif je te dis. Je suis sûr que tu as la taille.
Moi : Peut être mais de toutes façons j'ai pas la clé … Donc …
Titi : C'est pas vrai ta femme garde ta clé !
Moi : Je ne suis pas marié !
Titi : Pas ta femme alors … Ton petit copain ?
Moi : Non plus ! Je suis étudiant à la PK université !
Titi : Oui j'ai entendu parler de ce truc. Il paraît que tous les mecs portent un truc comme ça. C'est vrai alors qu'ils ne doivent pas le retirer jusqu'à la fin de leurs études ?
Moi : Non ! En fait on peut le retirer pendant les vacances mais ce n'est pas une obligation.
Titi : Et toi tu le gardes ?
Moi : C'est addictif ce truc !
Titi : Tu connaissais les dispositifs plus anciens ?
Moi : Oui, au début, mais ils étaient moins confortables !
Titi : Ceux qui ont inventé ces nouveaux modèles ont fait un super travail à la PK . Moi l'ancien modèle j'avais du mal à le supporter sur une longue période.
Moi : Un dispositif plus confortable … C'est ce qu'on cherchait a faire avec Antoine quand on a mis au point ce dispositif …

Titi me regardait sans rien dire. Dire qu'il avait l'air surpris, c'était peu dire. 

Titi : C'est toi qui ? 

Je lui faisais oui de la tête. Il continuait à me regarder un moment, les yeux tout ronds, la bouche ouverte, il n'en revenait pas et n'avait pas vraiment l'air futé à ce moment. Moi, je rigolais.

Vous devinez que cette information que j'avais lâché faisait le tour du club avant la fin de la journée. Le soir j'étais la star du club. Je me disais que j'aurais peut être du éviter de me faire reconnaître. Mais finalement ça ne changeait pas grand chose, dans ce club il y avait des personnes bien plus célèbres que moi !

Je rencontrais des industriels, des chefs d'entreprise, des intellectuels, il y avait du beau monde dans ce club. Mais c'est vrai qu'il en fallait un peu plus pour m'impressionner.

La nuit suivante je me retrouvais avec Titi au bord de la piscine, le personnel retirait les transats, les tables puis les buissons très épais qui étaient entre les arbres s'ouvraient et ce coin de détente se transformait en hall d'entrée vers le jardin des délices … Je prenais le temps de visiter plus longuement cette partie des jardins, Titi et moi étions les premiers à y entrer. 

Titi : Tu t'appelles Jérémy Brosso, tu ne travailles pas pour la PK Compagnie, mais en effet tu es un des deux inventeurs du dispositif que nous portons … 

Il me regardait avec un petit sourire rieur …

Moi : Tu as fais ton enquête ?
Titi : Après que tu m'ais dit que tu avait inventé les dispositifs. On dit aussi que tu es payé par la PK alors que tu ne travailles pas pour cette entreprise … C'est vrai ça ?

Je lui faisais oui de la tête. Il n'en revenait pas …

Moi : Tu travailles pour la PK toi ?
Titi : Bein oui ! Je m'occupe de l'exportation vers l'Asie … Je vis au nord de l'Inde et j'étais de passage pour un séminaire … Tu connais le Château je suppose …
Moi : J'y passe régulièrement !

Il ne disais plus rien et gardait son sourire complice. Nous nous enfoncions dans le jardin, le haut de la montagne était encore largement éclairé, les jours sont longs à cette période de l'année, mais le fond de la vallée il faisait déjà sombre. Je me disais qu'en hiver il devait faire froid mais là il faisait encore chaud et les nuits étaient agréables, surtout à poil !

Rapidement on voyait des silhouettes arriver de l'autre entrée du jardin, je reconnaissais un des bar-man, il était à poil et ne cachait pas une bite énorme. Je n'avais pas remarqué qu'il portait un dispositif de grande taille, je n'avais remarqué personne avec un dispositif d'une taille plus grande que la mienne et comme vous le savez c'est moi qui les ai conçus alors j'ai l’œil … En tout cas une chose était sûre, il en avait une belle !

Si vous en avez une sous la main, ou si votre copain en a une et qu'il vous autorise à vous amuser avec ( dans le cas ou vous seriez une fille par exemple ) vous savez qu'une bite est à géométrie variable. Sa taille varie selon bien des paramètres, la température, le moment de la journée, la stimulation sexuelle que vous ressentez … Souvent le matin, dans le lit elle a tendance à se développer et à prendre de l'importance, c'est d'ailleurs un excellent moment pour  … Bon je m'égare … Bref pour faire court, sous une douche froide ça ne donne pas le même résultat que dans un bains chaud …

Quelquefois une petite bite pas trop épaisse en position repos peut devenir de très belle taille, longue et large, en position relevée. Je voulais dire en action.  Ça devait être le cas de ce garçon, il devait porter une taille plus petite que moi sans que pour autant ça n'indique qu'en pleine action il n'ait quoi que ce soit à m'envier. 

En ce moment, c'est plutôt moi qui avait quelque chose à lui envier. Lui il pouvait bander librement alors que moi … Je bandais à mort, mon excitation sexuelle était à son maximum et rien ne dépassait.  Le dispositif se relevait mais cette position devenait tellement habituelle que personne ne faisait plus attention à ce petit truc ridicule. J'avais une violente envie de me branler, de me faire sucer, et de défoncer un cul … Ce garçon je l'avais vu dans la journée, il avait un corps magnifique et un petit truc pathétique entre les cuisse, comme moi en ce moment ! Et le voir bander aussi librement me donnait envie d'en faire autant et là … J'étais un peu coincé … Titi avait disparu mais il ne devait pas être bien loin. Je ne pouvais pas lâcher du regard cet homme qui dans la journée nous servait des cocktails et dans la nuit se proposait à nous enculer … 

Je suis preneur, dans la journée je suis preneur et la nuit aussi … J'en veux ! Je ne traînais pas, des fois que quelqu'un d'autre ne me pique ma place, enfin c'est une façon de parler … Sauf quand je dis : '' J'en veux !''. 

Je m'approchais rapidement de lui et sans attendre je lui caressais la queue avec douceur, il se laissait faire et me caressait le visage puis il appuyait sur mon épaule, je m'accroupissais et prenait sa queue dans la bouche. Il était aussi bien monté que le mec de l'autre jour. Autour de nous de nouvelle silhouettes s'approchaient. 

Un autre homme prenait position juste à côté du premier que j'étais en train de sucer. Le premier ressortait sa queue de ma bouche et le second prenait sa place, ils ne me demandaient pas ce que j'en pensais, l'un d'entre eux me tenait la tête et m'enfonçais sa queue jusque au fond de ma gorge puis laissait son camarade le remplacer, il faisait alors de même. Ce jeux durait un long moment et je commençais à avoir mal à la mâchoire une fois encore. 

L'un d'entre eux passait sa main sous mon bras et doucement me tirait vers lui en m'incitant à me relever. Ils me guidaient alors vers un banc, et me faisaient signe de me pencher contre le dossier du banc, un d'entre eux me caressait tout le corps, l'autre prenait position juste derrière moi. Je sentais une pression forte et ferme contre mon anus, je sentais en même temps mon cœur battre fort, très fort. Ma queue se contractait dans sa cage, prenait du volume, la cage devenait vite trop petite et la pression intense. Je ressentais une certaine douleur, pas au niveau de ma queue, là je ne ressentais que de l'inconfort, beaucoup d'inconfort mais rien de plus. La douleur venait de mon anus et la pression devenait plus forte. Je me décontractais comme j'en avais l'habitude, mon anus se détendais et brusquement sa bite me rentrait dans le cul, avec force et violence. Elle s'enfonçait jusqu'au fond de mon cul et je sentais son ventre s'écraser contre mes fesses, je gueulais !

Je ne cherchais pas à me dégager pour autant, ça faisait quelques jours que j'avais envie de me faire défoncer le cul, ça faisait du bien. Ça faisait un peu mal mais ça faisait du bien et si je gueulais c'était pour en redemander. Il ne se faisait pas prier le gars, il y allait de bon cœur. Il ne devait pas être en manque de sexe, pas en ce moment en tout cas. Je ne comprenais pas vraiment le fonctionnement de ce club mais j'avais seulement compris que si un certain nombre de membres portaient un dispositif de chasteté, d'autres n'en portaient pas et pouvaient se défouler quand ils voulaient. 

Il me balançait des coups de bassin joyeusement, il ne se retenait pas, se retirait complètement puis revenait d'un mouvement rapide et fluide bien à fond. Il en profitait pour bien écraser le bas de son ventre contre mon cul, continuait à exercer une forte pression, il m’arrachait des râles de plaisir, il me donnait beaucoup de plaisir un peu de douleur mais c'était tellement bon. Je me laissait aller et mon torse retombait contre le banc, je me retrouvais presque plié en deux, les fesses bien offerte et le cul bien rempli. Mes gémissements devenaient une longue plainte, mon corps vibrais, je tremblais et je peux vous garantir qu'avec la température ce n'était pas de froid.

C'était de plaisir, un plaisir qui envahissait tout mon corps. Il me tirait vers lui quand il s'enfonçait en moi et me repoussait quand il se retirait, ma cage de chasteté se balançait et à chaque mouvement frappait contre le dossier du banc et rythmait les saccades des coups de bites que je me prenais dans le cul. Je me cramponnais.

Quand ses mouvements devenaient irréguliers, je sentais son souffle qui lui aussi devenait plus fort, et également irréguliers. Il râlait mais aussi de plaisir, dans mon oreille, de plus en plus fort dans mon oreille et finissait par hurler de plaisir au moment ou il jouissait dans mon cul. Il poussait alors contre mon cul de toutes ses forces. J'encaissais sans me plaindre, j'avais pas envie de me plaindre, au contraire, je prenais beaucoup de plaisir. 

Je prenais vraiment beaucoup de plaisir et je n'avais pas le temps de souffler ou d'en redemander, le premier personnage qui était resté à côté de nous et qui me caressait pendant tout ce temps prenait la place et sans prévenir m'enfonçait sa queue bien à fond. D'une certaine manière il reprenait là ou l'autre s'était arrêté. 

Il mettait de la vigueur, de nouveau ma cage de chasteté battait le rythme contre le dossier du banc de bois, il était un peu plus violent que le premier et je ne sentais pas seulement son ventre frapper contre mes fesses, on l'entendait aussi … Je me détendais complètement, mes bras devenaient tout mous, je ne parvenais plus à me retenir. Il me secouait rapidement, fermement, ne me laissait aucune chance de me dégager mais je n'essayais même pas. Mes jambes tremblaient, je ne tenais plus debout. C'est lui qui me retenait. Je ne tenais debout que grâce à lui. L'autre était parti. J'avais du mal à déterminer lequel des deux avait la plus grosse … Ils étaient très bien montés tous les deux. En tout cas mieux que moi, je ne sais pas si j'avais la taille pour rejoindre l'autre club, mais je savais qu'à côté d'eux je n'étais pas de taille …

Ma queue voulait démolir ma cage et poussait de toutes ses forces, mon cul se dilatait comme jamais, c'est toujours ce qu'on dit à ce moment, mon cœur battait si fort que mes cotes allaient se briser de l'intérieur. Le plaisir envahissait mon torse, mon cœur, mes poumons … Je manquais d'air, mes jambes me lâchaient, je me laissais tomber juste derrière le banc et me retournais pour voir ou en était mon partenaire.

C'est juste à ce moment que je recevais une grosse giclée de sperme sur la figure. Ça le faisait rire. Il me donnait une caresse sur la joue, un baiser et repartait dans le jardin … Il y avait plusieurs silhouettes qui s’attroupaient autour de nous, certaines étaient des porteurs, d'autres bandaient. 

Je ne bougeais plus pendant un moment, je restais assis là ou j'étais. Plusieurs me proposaient leur queue à sucer ou plus je suppose mais je leur faisait signe que pour moi, c'était bon. Ils n'insistaient pas et passaient leur chemin. Je regardais ces mouvements, ces passages, j'admirais ces grosses queue bien droites, bien grasses qui tournaient autour de moi. C'était beau à regarder, il n'y avait que du gros calibre.

Un peu plus tard je retrouvais Titi.

Titi : C'est de toi qu'on parle dans le coin ?
Moi : De moi, mais pourquoi voudrais-tu qu'on parle de moi ?
Titi : On parle d'un mec bien chaud … 
Moi : Donc tu as pensé à moi …

Titi rigolait … Quelqu'un lui  avait tout raconté ou bien il avait tout vu … 

Le lendemain tout était redevenu à la normale. Dans l'après midi le barman, Joey avait repris son travail au bar … J'allais y demander un de ces cocktail dont il a le secret, un grand sourire de sa part me confirmait qu'il se souvenait de moi, il faisait sombre mais il m'avait parfaitement reconnu. Quand il me servait mon verre à ma table …

Moi : ( en regardant son dispositif ) Pas trop à l'étroit ?
Joey : Au repos je taille petit !
Moi : Mais en action tu tailles très grand …
Joey : Comme vous avez pu le remarquer !

J'admirais son corps pendant un long moment dans l'après midi … Je me posais beaucoup de questions sur l’endroit ou je m'étais retrouvé. C'est quoi ce club, y a-t-il un rapport entre le Château et le Club ?

J'avais entendu parler de diverses communautés qui s'étaient construite sur la base du port d'un dispositif de chasteté. La morale se transformait peu à peu, le port d'un tel dispositif était LA preuve et on pourrait même dire LA définition de la moralité !

Il faudra que je me renseigne lors de mon prochain passage au Château. Justement j'y vais aussitôt après mon séjour ici. 

Les deux semaines qui suivaient je me contentait de me détendre, je faisais une descente dans le jardin des délices tous les deux jours en moyenne et je ne vous cacherais pas que je profitais de l'endroit. J'en  profitais autant le jour que la nuit. Ici on pouvait se régaler, il n'y avait que des grosse bite, ça me changeait de mon quotidien. Dans mon quotidien il y avait surtout des bites en cages, ça oui, il y en avait tous mes camarades de fac, mon majordome, mon frère, mon colocataire Antoine … Bref, tous mes proches, oui, tous mes proches portent un tel dispositif. Dans la journée ici c'est un peu pareil mais dans la nuit les rencontres sont plus chaudes, plus viriles …

Deux semaines plus tard, quand je quittais le club j'avais presque du regret. Je serais bien resté plus longtemps moi, c'était l'éclate, la détente dans la journée et l'éclate dans la nuit. Ça c'était des vacances comme je les aime. Loin de mon frère, c'est pas que je ne l'aime pas, en fait je l'adore mais il y a des fois il me fatigue. Et puis ça ne devrait plus durer très longtemps, dans un ou deux jours je le retrouve, il devrait passer au Château avec Bob. Antoine y sera probablement aussi … On verra bien !

Je prenais la route, tôt le matin mais j'étais loin, il y avait des kilomètres à faire et le soir je n'était pas encore arrivé. Je décidais donc de passer la nuit dans un hôtel.



Ep 75 : RETROUVAILLES



Je ne cherchais pas, je m'arrêtais dans le premier hôtel présentable que je trouvais, le guide touristique me confirmait que c'était un hôtel propre et bien tenu avec parking privé. C'était juste pour passer une nuit, je ne jouait pas les difficiles … En m'installant dans ma chambre ne ne pouvais m'empêcher de penser à mon frère, il aurait braillé tout ce qu'il savait si je l'avais emmené dans un hôtel comme celui-ci. Pourtant c'était propre, le lit était confortable et pour passer une nuit c'était très suffisant.

Le restaurant était tout à fait correcte. Je dois dire que je me suis régalé. Dans la sale du bar, il n'y avait pas grand monde, apparemment que quelques habitués, quelques jeunes de mon âge et rapidement je sympathisais … 

Je n'avais pas l'habitude de me faire reconnaître, je préférais voyager incognito … Quand c'était possible …

Un de ces jeunes qui était là ce soir là faisait du sport dans une équipe régionale, il faisait ça sérieusement il s'appelait Yohan …

Yohan : Mais vous ne seriez pas le célèbre sportif … Jérémy Brosso … ?

J'étais repéré ! Et au moins lui il connaissait mon nom ! En général quand on me reconnaît on ne retient que mon surnom Djé. Lui il avait retenu mon nom complet. La discussion continuait et rapidement on se tutoyais et il m'appelait rapidement Djé.

Moi : Et tu m'as reconnu à quel moment ?
Yohan : A la seconde ou tu es rentré ! Tu sais, tu es mon idole, j'ai un poster de toi dans ma chambre !
Moi : Béh dis donc ! Là c'est moi qui suis intimidé !

A la télé il y avait la rediffusion de la dernière émission de mon frère.

Yohan : Mais dis moi Djé, le gars là, à la télé, le nouveau présentateur il te ressemble beaucoup, il y a comme un air de famille …
Moi : C'est mon frère !
Yohan : C'est toute la famille qui est célèbre alors … Lui aussi il fait du sport ?
Moi : Oui bien sûr, mais pas au même niveau que moi, même s'il est très bon. J'ai l'impression qu'il préfère interviewer les champions que de jouer les champion lui-même.
Yohan : On aurait pu croire que lui aussi …
Moi : Mais il est très bon, on projette de participer au prochain marathon et t'inquiète pas pour nous s'il participe il ne sera pas dans les derniers, on fait au minimum dix kilomètres tous les jours.
Yohan : Le marathon ?
Moi : Oui, sans problème … Pour lui ce sera marathon en début d'après midi, tel que je le connais il voudra faire ça vite fait bien fait … Histoire d'être tranquille le reste de l'après midi, et le soir il a son émission en direct …
Yohan : Et il sera en forme ?
Moi : On voit que tu ne connais pas le bestiau !

On rigolait de ma réponse … Le bestiau … ! Il faudra que je lui ressorte, ça devrait le faire rire. C'est vrai que s'il n'est pas aussi rapide que moi, il a gagné en endurance depuis qu'il habite à la maison et il ne sera certainement pas ridicule dans ce genre de course …

Yohan m'invitait à prendre un dernier verre chez lui. Il travaillait dans le fast-food pas loin et habitait le quartier. On y était à pied en quelques minutes. 

Yohan : Mais un truc, je n'osais pas trop tout à l'heure … Le dispositif de chasteté … C'est de l'info ou de l'intox ?
Moi : C'est pas de l'intox !
Yohan : Tu en portes vraiment un ? Tout le temps ?

Je faisais oui de la tête avec un petit sourire.

Yohan : J'y crois pas ! Et ça fait pas mal …

Suivaient toutes les questions habituelles auxquelles je répondais comme je l'ai si souvent fait depuis le début de cette histoire … Il me regardait avec des yeux tout ronds. 

Yohan : Moi ça me fait un peu peur ! Mais ça me fait fantasmer aussi !

… 

Yohan : Je peux voir ?

Je me levais et sans plus de manières de baissais mon pantalon devant lui. Les yeux lui ressortaient de la tête mais il gardait le sourire. Au fait je vous ai dit que je ne porte pas de sous vêtements ? Peut être bien je ne sais plus … Je préfère voyager léger et de toutes façons avec ce genre de dispositif on ne risque pas d'avoir de réaction gênant … 

Yohan : Tu le portes vraiment tout le temps ?
Moi : Bein oui !
Yohan : Mais il n'y a pas de cadenas, tu ne peux pas le retirer, comment ça s'ouvre ?
Moi : Tu vois cette petite partie ronde là ? Et bien c'est le cadenas il a une forme circulaire sur environ six millimètres d'épaisseur, on l'introduit dans le petit trou prévu à cet effet et c'est verrouillé, plus rien de dépasse...

Il regardait avec attention et surprise …

Moi : Et moi, je peux voir ?
Yohan : Voir quoi ?
Moi : Ton dispositif !
Yohan : Mais j'en porte pas moi !
Moi : Oui mais ça ne veut pas dire que tu n'as aucun équipement !

Il commençait à comprendre. Il devait être surpris là et c'est avec un œil rieur qu'il ouvrait sa ceinture, faisait sauter tous les bouton de sa braguette. Lui il portait des sous vêtements. Et c'était préférable vu l'état dans lequel il était. Il bandait ferme le petit gars. Enfin le petit gars … 

Yohan : Tu fais ça souvent ?
Moi : Quoi … ça ? ( je me mettais à genoux ) … Ça ? ( je commençais à lui sucer la queue ) …

Il ne cherchais pas à se dégager. 

Yohan : Tu fais ça souvent ? C'est pas interdit ? C'est pas très … moral tout ça !

Je continuais encore un moment à le sucer, je prenais sa queue bien dans ma bouche et il réagissait bien quand je passais ma langue sur son gland. Je faisais une pause …

Moi : Quand tu portes ce genre de truc … tu es l'expression de la morale … C'est une nouvelle morale, il suffit de ne pas faire de mal à autrui et tu es moral. Ce qui est interdit c'est de s’exhiber, ta vie privée doit rester privée et ce qui se passe entre porteurs ou avec un porteur doit rester entre porteur …

Je reprenais sans hésiter, je sentais sa queue se raidir et prendre tout son  volume dans ma bouche. Je sentais aussi ma propre queue prendre tout son  volume, enfin tout le volume qu'elle pouvait prendre. Autant vous dire que là ça n'allait pas loin. Ma bite criait famine, elle poussait contre les parois de la cage, elle poussait de toutes ses forces, mais la cage restait toujours enveloppante et contenait fermement toute érection. Fermement mais avec douceur, c'était sans douleur, sans gêne mais non sans frustration. 

J'avais envie, brusquement envie de sa queue, c'est souvent mieux quand ce n'est pas prémédité, même pas prévu. Il était mignon Yohan, bien foutu, assez bien monté. Moins bien que moi mais … Moi ça ne compte pas, surtout pendant ces longues périodes ou je porte mon dispositif. 

J'avais aussi violemment envie de me branler, de me faire sucer ou de défoncer un cul. J'en avais violemment envie mais tout ce que je pouvais faire c'était serrer les fesses et tenir le coup, desserrer les dents, ouvrir bien grand la bouche et avaler la queue du mec que j'avais rencontré ce soir. Il était très mignon, je le tirais vers moi, il m'appuyait sur la tête et me tirait vers lui. 

Mon nez s'écrasait contre son ventre, je sentais sa queue s'écraser contre le fond de ma gorge, c'était bon, j'adore ça même si ce soir j'avais envie d'autre chose.

Il avançait son bassin avec vigueur, de plus en plus de vigueur. Il avançait son bassin avec force, presque avec violence et me tirait la tête vers lui avec de plus en plus de fermeté. Je le laissais faire, j'aime bien quand ça devient viril. Je lui montrais que j'aimais en le tirant vers moi, mes mains derrière ses cuisses, avec force. Ma queue protestait et mon dispositif me paraissait minuscule.

Il continuait en me donnant de violent coups de bassin, il ne se retenait plus, il se lâchait. Il me tirait le visage contre lui de toutes ses forces, je ne résistais toujours pas. Au contraire je relâchais mes muscles et ne résistais pas, je me contentais d'encaisser et de laisser faire. Il en profitait et me retenait mon visage écrasé contre son ventre, la queue bien enfoncée dans ma bouche. Je la sentais qui se contractait tout au fond de ma gorge, je m'attendais  à une conclusion rapide. 

Il respirait fort, et poussait des gémissements discrets. Il ne tentais pas de dissimuler son plaisir, il ne devait pas être d'un naturel trop extravagant c'est tout. Mais sa respiration était très violente et c'est tout juste une plainte longue qui se faisait entendre au moment ou il éjaculait dans ma gorge. 

Il retenait encore un moment mon visage contre lui et ne me lâchais que quand je manifestais, quand je manquais d'air. Je retirais alors ma tête toujours avec ce mouvement de succion. Je relevais la tête, il me regardait avec un grand sourire. Je lui rendais son sourire, il avait joui, moi j'aurais bien aimé …

On ne s'était pas déshabillé, on n'en avait même pas pris le temps … Il avait son pantalon sur les genoux, moi pareil, il ne nous fallait pas longtemps pour nous rhabiller. Il m'offrait un verre et la discussion continuait.

Yohan : J'y crois pas ! Ça c'est permis ?
Moi : Bein oui !
Yohan : Et vous êtes tous comme ça dans l'équipe ?
Moi : Bein plus ou moins !
Yohan : Mais c'est que je veux aller dans ta fac moi ! Ils n'embauchent pas ? J'ai une formation de cuisinier !

J'éclatais de rire …

Yohan : Mais pourquoi tu rigoles toi maintenant ?
Moi : Je ne sais pas s'ils embauchent mais ce que je sais c'est que pour y entrer dans cette fac il faut porter un truc comme le mien !
Yohan : Ouai pour les étudiants !
Moi : Non ! Pour tout le monde !
Yohan : C'est ce qu'ils veulent vous faire croire ! Là moi j'y crois pas !
Moi : C'est pourtant vrai !
Yohan : Nannnnn ! C'est des conneries ! Les mecs qui ont inventé ce truc il veulent vous faire croire ça …

Je continuais à rigoler.

Moi : Les mecs qui ont inventé ce truc … Je suis un des deux mecs qui ont inventé ce truc !
Yohan : Non !
Moi : Si !
Yohan : Bein mince alors ! Et tous les profs …
Moi : Tous les profs …
Yohan : Bein mince alors ! Et tout le personnel …
Moi : Tout le personnel …
Yohan : Bein mince alors ! Et tout …
Moi : Ouai !


Yohan : Et tu as des droits sur cette invention ?
Moi : Sur ce point, je gagne beaucoup d'argent !
Yohan : Et ton frère qu'on voit à la télé … Il … ?
Moi : Oui, lui aussi !
Yohan : Et le mec qu'on voit de temps avec lui là … Le mec qui est si mignon …
Moi : Bob !
Yohan : Ouai c'est ça … Bob ?
Moi : Bob entre à l'université le mois prochain, il n'y a pas d’exception !
Yohan : Bein mince alors ! Moi je le trouve craquant le … Bob !
Moi : C'est vrai qu'il est adorable !
Yohan : Tu le connais bien ?
Moi : Très bien !
Yohan : Mais bien  comment ?
Moi : Précise !
Yohan : Tu pourrais me le présenter !
Moi : Tu n'as pas peur de te faire arracher la tête par mon frère ?
Yohan : Ah parce que … 
Moi : Oui !
Yohan : Bein mince alors !

On terminait plusieurs bières en discutant, il est amusant Yohan, pas mal foutu, je me serais bien pris sa queue dans le cul. Mais bon ! C'était pas pour ce soir là ! Et puis … '' … Bein mince alors … '' Il m'a bien fait rire.

Je le laissais il était un peu tard et j'avais encore de la route avant d'arriver au château. Je prévoyais de dîner dans un restaurant sur la route et d'arriver au Château en tout début d'après midi !

Finalement l'hôtel était très bien tenu, très propre, tranquille, à l'abri des bruits de la route, j'y ai très bien dormi. Le lendemain matin ma queue protestait toujours autant que la veille, je revoyais la queue de Yohan, je la sentais encore dans ma bouche et ce matin, comme ça m'arrive quelquefois, j'avais une violente envie de baiser mais là par contre comme ça m'arrive pas si souvent que ça. J'étais vraiment en manque. 

C'était sans doute parce que j'avais souvent pratiqué pendant mes vacances dans cette espèce de club. Bon j'avais pratiqué … Sur trois semaines j'avais du me faire défoncer le cul une bonne vingtaine de fois mais pas plus … Ça doit être ça pratiquer ! J'ai déjà passé des périodes longues, et même très longues de plusieurs mois, et je ne me retrouvais par forcément plus en manque qu'à ce moment. 

Ça doit être ça. Si on s'abstient le désir fini par devenir plus faible et si on pratique on voit sans doute le désir augmenter … 

Ou alors ce que je me raconte là est absolument faux ! J'ai envie de baiser ! C'est tout !

Je prenais mon petit déjeuner au bar puis reprenais la route. Le fast-food n'était pas encore ouvert, je regardais si j'apercevais mon nouvel ami Yohan, on ne sait jamais … Une petite demie heure de libre et … Hop ! Mais je ne le voyais nulle part. 

Comme prévu j'arrivais au restaurant un peu avant l'heure du premier service, un trois étoiles, je pensais à mon frère. S'il a fait une pause dans cette ville il doit le connaître. Comme d'habitude dans ce genre d'endroit, le service, le décor, la nourriture … C'est absolument irréprochables … C'est donc détendu que je reprenais la route. 

Je ne sais pas comment ils font au Château, je n'avais pas prévenu mais quand ma voiture arrivait à la grille, elle s'ouvrait automatiquement. Là encore ils avaient du me repérer ! 

Encore une violente contraction de ma bite dans sa cage au moment ou je passait l'entrée du parc. Ma queue devait avoir reconnu les lieux et savait que c'est pas ici qu'on lui laisserait la moindre chance de se faire remarquer. J'étais en manque je pensais au grenier, accès escalier nord, au fond du couloir qui part ver l'aile ouest … 

J'avais pas arrêté de me faire défoncer le cul et j'avais envie de recommencer !

Devant le Château, un employé m'attendait, je garais la voiture, il venait m'accueillir. Il me saluait, me souhaitait un bon séjour. Je lui donnais les clés de la voiture, il prenait mon bagage … Oui je voyage léger et là c'est pas pour vous dire que je ne porte pas de sous vêtements pour une fois … Je vous ai déjà dit que je ne porte pas de sous vêtements ? … Non là je parlais de mon bagage ! Juste un sac à dos c'est pas des bagage, c'est un bagage ! Il m'indiquait la chambre qui m'avait été réservée.

Jean-François était là aussi, il venait m'accueillir également et me donnait chaleureusement l'accolade.

Jean-François : Tu as fait bonne route Djé ? Ton ami Antoine, ton frère et Bob sont arrivé hier soir ! On n'attendait plus que toi pour que l'équipe soit au complet. Ils doivent être à la piscine à l'heure qu'il est !
Moi : Je vais aller les rejoindre ! Tout se passe bien ici ? Rien de nouveau ?
JF : Non rien de spécial, Justine veut te voir mais ce n'est pas urgent. C'est pour te donner un chèque … 
Moi : Mais c'était prévu ça !
JF : Le montant lui n'était pas prévu ! Il a été révisé à la hausse !
Moi : Encore ! Mais ça n’arrête pas ?
JF : Il va se plaindre maintenant ! Tu exagères quand même !
Moi : Je rigole, tu sais de combien il a augmenté le chèque !
JF : Bien sûr mais je ne te dirai rien, ça t'apprendra ! Va donc rejoindre tes copains à la piscine.

A la piscine on a le droit de se mettre à poil, je m'y rendais directement, je retirais mon vêtement … C'est comme pour mon bagage, un T-shirt, un bermuda et des sandales, c'est du vêtement léger ça. On ne va pas déranger le pluriel pour si peu … 

Ils étaient tous là, c'était la première fois que je voyais Bob avec juste le dispositif de chasteté sur lui. Je l'ai toujours trouvé sexy Bob mais là encore plus que d'habitude. On poussait tous des cris de joie et on prenait le temps de se raconter nos vacances …



Ep 76 : PAS DE FAC POUR LUC



On avait choisi de ne passer au Château que les derniers jours de nos vacances mais comme c'était calme à ce moment de l'année, on nous avait donné des chambres individuelles, sauf pour Bob et Luc bien sûr qui avaient un grand lit !

Pendant toute la soirée on se racontait nos vacances. Bob avait beaucoup de chose à dire, lui il vivait une nouvelle expérience, il l'avait accepté mais c'était tout de même une situation nouvelle pour lui, et elle devrait durer toute sa première année de fac.

Les quelques jours que nous passion sur place passaient si vite qu'à peine arrivés, nous préparions déjà nos bagages pour le retour. On restait sage, chastes. Luc et Bob étaient très câlins, il ne se pelotaient pas, ils ne passaient pas non plus leur temps à s'embrasser mais on sentait une grande douceur entre eux, une grande tendresse dans les gestes que chacun faisait à l'encontre de l'autre et il n'était pas rare qu'ils se tiennent la main quand ils marchaient dans les allées du parc. 

Ce n'était pas la première fois que Bob venait au Château mais contrairement à nous trois ce n'était pas non plus un habitué. Luc s'était tout de suite senti chez lui mais ça c'est normal avec mon petit frère, si c'est confortable et qu'on y mange bien il se sent toujours comme chez lui celui là ! 

On avait largement pris le temps de se raconter nos vacances, on avait bien sûr été reçu par Mr Le Conte. Pour une fois mon petit frère ne semblait pas satisfait de la discussion privée qu'il avait eu avec lui.

Moi : On dirait que quelque chose te contrarie mon petit bonhomme ?
Luc : C'est la fac, il m'y refuse … Et même Mr Le Conte ne peut rien y faire !

… 

Luc : Chui dégoûté !
Mais : Mais il me semble que tu ne devait entrer en fac que l'année prochaine. Tu as un an d'écart avec Bob, il est dans les temps, il y rentre cette année toi c'est l'année prochaine.
Luc : J'ai bossé comme un dingue pour sauter une classe. J'espérais pouvoir entrer en fac dès cette année. Mes résultats m'y autorisent mais … Je suis trop jeune ils disent. 
Moi : Mais ce n'est pas dramatique, tu es loin d'être en retard.
Luc : Oui mais je pouvais être en avance, et en plus j'aurais été avec Bob … Pfff !
Moi : Tu vas voir ça passera vite et Bob, il sera toujours avec toi, je te rappelle qu'il habite à la maison. Il a le privilège d'être un des étudiants externes. 
Luc : Tu vas voir ! J'ai pas dit mon dernier mot !
Moi : Luc à quoi tu penses ?
Luc : Tu verras !

Le moins qu'on puisse dire c'est que mon petit frère est du genre décidé, je l'ai toujours vu moins mature, plus tête en l'air, plus superficiel … Il me faisait presque peur là ! Il avait pris en maturité ou bien ?

Juste avant notre départ je demandais à voir Mr Le Conte.

MLC : Vous vouliez me voir Jérémy ?
Moi : Oui Mr Le Conte, j'ai parlé avec mon frère, il semble affecté de ne pas pouvoir entrer en fac cette année. 
MLC : Il est venu me voir pour ça en effet. Je ne peux pas autoriser de dérogation sur ce point. Il m'a dit qu'il chercherait une autre possibilité, je n'ai pas vraiment compris ce qu'il entendait par là.
Moi : Il n'a pas le niveau pour y entrer ?
MLC : Il doit encore passer un examen, s'il le réussi il aura prouvé que le niveau il l'a. Si on se fie à ses résultats pendant l'année cet examen n'est qu'un formalité … C'est uniquement une question d'âge. J'ai tout le corps enseignant sur le dos là. Ils sont tous formellement contre et je ne vois pas vraiment comment je pourrais passer outre sans faire preuve d'autoritarisme, ce ne serait pas compris.
Moi : Oui ... je vois !
MLC : Mais soyez gentil de garder un œil sur lui, et surtout n'hésitez pas à me déranger s'il y a besoin. Je vous laisse juge !

Ça m'inquiétait un peu cette affaire, mon petit frère n'est pas du genre à renoncer facilement et je me demandais ce qu'il allait encore inventer.

De retour à la maison c'est Bob qui venait me voir. Luc n'avait pas desserré les dents de tout le trajet … Pire !

Bob : Mais tu t'imagines Djé ? Il s'est arrêté dans un routier ! On a mangé dans un restaurant pour routier !
Moi : La vache ! Là il y a quelque chose de grave !
Bob : Là ça m’inquiète ! C'est pas du tout son genre.
Moi : Et tu as fait quoi ?
Bob : J'ai rien dit, j'avais la trouille ! Il n'avait pas l'impression de réagir ! Ceci dit on a très bien mangé !
Moi : Bon la situation est sérieuse, ça ne veut pas dire que c'est grave ! On va en parler à Antoine et à Charles, il faut le garder à l’œil. 
Bob : J'espère que ce n'est pas une dépression nerveuse !
Moi : Pas de panique Bob, on garde un œil sur lui et on se tient au courant !

On profitait de l'absence de Luc pour faire une réunion d'urgence, et on prenait les mesures, on le tiendrait à l’œil. Si nécessaire on pouvait contacter Mr Le Conte. 

Luc continuait à faire la gueule pendant encore quelques jours. Bob me racontait que même quand ils se retrouvaient ensemble, Luc gardait cet air contrarié, inquiet …

Quelques jours plus tard Luc passait son examen et le réussissait haut la main. Techniquement il pouvait entrer en fac. Il était simplement trop jeune ! Un an trop jeune ! 

Le soir ou  il recevait les résultats de son examen.

Luc : Un an trop jeune ! Je suis d'un an trop jeune ! Mais c'est rien ça un an ! Ils se moquent de moi ! J'ai largement la maturité ! … Pffff … 


Luc : C'est décidé ! J'arrête mes études !

On sursautait tous !

Moi : Mais tu ne les as même pas encore commencées !
Luc : M'en fou ! J'arrête mes études !
Bob : Mais enfin Luc …
Luc : J'arrête mes études ! 

Bob me regardais, je haussais les épaules.

Moi : Il est reçu en fac, il pourra toujours y entrer l'année prochaine !
Luc : Dans un an, c'est une idée ça, ils me diront peut être que je suis trop vieux !

Bien sûr j'avertissais Mr Le Conte. En effet l'entrée en fac restait une possibilité pour l'année suivante, sur ce point c'était pas un problème, il me demandait de bien prendre soin de mon petit frère.

La vie reprenait son cour habituel. Tous les matins, sport comme d'habitude, petit déjeuner que Charles nous préparait avec le sourire, il gardait un œil sur Luc tout particulièrement, puis on partait à la fac. On ne prenait qu'une voiture, Luc utilisait la sienne. Au début on ne savait pas ce qu'il faisait. Charles enquêtait et rapidement reconstituait l'emploie du temps de mon frère … 

En début d'année, il y a toujours quelques étudiants qui arrivent un peu en retard. Bernard était un garçon avec un physique flatteur, en fait ce n'est pas lui qui était en retard, une place venait de se libérer en première année, et il était sur la liste d'attente. Il arrivait le jour même, avait rendez-vous avec le bureau des inscriptions une heure plus tard, pour passer le temps, il était passé à la piscine et maintenant il se douchait, il se croyait seul. 

Je ne sais pas ce que vous en pensez mais les douches sont toujours une endroit chaud … Très chaud …

On s'y retrouve tous à poil et on se voit donc tous les jours.  Bon on est sage, on n'a pas le choix. Mais ça reste chaud, les cages de chasteté se redressent, les corps se frôlent, et souvent les contact tactiles sont plus clairs, plus directs. Il n'est pas rare que l'un frotte le dos de son camarade. Bon quand on est en groupe on ne va pas plus loin. On ne frotte pas les fesses des ses camarades et encore moins ses couilles. Mais il arrive quelquefois qu'on se retrouve seul sous les douches. 

Il se croyait seul le petit nouveau. Je me croyais seul aussi dans les vestiaires quand j'entendais l'eau couler. J'entrais dans la salle des douches communes et je le voyais. Au début je n'y prêtais pas attention, un garçon à poil qui prend sa douche dans un local réservé à cet effet … J'en voix des dizaines par jour et je n'y fais plus attention. Je me demandais seulement qui c'était.

De dos je ne le reconnaissais pas, belles épaules bien larges, cheveux châtain clair, jambes bien musclées. Sa silhouette était trapue et mince, je sais c'est un peu contradictoire mais il semblait mince parce que grand, trapu parce que large et fort.

J'aime bien ce genre de silhouette large, qui dégage de la force et qui malgré tout semble mince parce que de grande taille. En plus il avait des fesses magnifique, je tombais sous le charme mais continuait à me demander qui c'était. Il se lavait avec vigueur, son bras bougeait rapidement d'un mouvement répétitif et rapide. 

Il est tout de même pas en train de se branler ! ?

Il se caressait le torse, puis reprenait ses mouvements rapides. Il penchait la tête en arrière, se tournait légèrement, je voyais l'eau tomber sur son visage, je le voyais de profil. Il était bien en train de se branler, de profil c'était parfaitement clair. Il en avait une belle. C'est rare de voir quelqu'un bander dans cet endroit, ça n'a pas du arriver depuis un long moment. Il avait une belle grosse bite qui se relevait fièrement devant lui. 

En temps normal ici ce sont les cages de chasteté qui se relèvent, et pas toujours fièrement … Là c'était une belle grosse queue, et son porteur était tout pareil, enfin beau pas gros … Il ne m'avait pas vu, j'étais à poil, je lui faisais face mais de toutes évidences il fermait les yeux. Bein oui à poil ! Vous vous douchez tout habillé vous ? 

Je contemplais un moment le spectacle et ma cage de chasteté se relevait rapidement, avec force. À l'intérieur il y avait de la pression je ne vous dis pas … Oh et puis si je vous le dis ! C'était de la folie, j'ai souvent des montée de pression mais des comme celle là c'est assez rare. 

La chaleur de la douche, le fait que je n'ai pas baisé depuis mon retour de vacances et puis … Ce spectacle, il était beau comme un dieu ce mec, un nouveau avec un cul superbe, ça fait bander ça ! Un nouveau qui n'a pas encore été mis en cage, c'est tentant ça ! Et en plus un nouveau qui est très beau, qui a une grosse bite, qui bande et qui se branle alors que moi … 

J'avais la langue qui traînait par terre … ( je rassure les plus crédules c'est une façon de parler ) … et je bavais en même temps. Au moment ou il m'apercevait il poussait un cri, sursautait et l'air penaud tentait maladroitement de cacher son sexe.

Bernard : Euh ! Je suis désolé …
Moi : Moi pas !
Bernard : Excusez moi je croyais que j'étais seul.
Moi : Mais nous sommes seuls !
Bernard : Je suis nouveau, Bernard, une place s'est libérée … et … 
Moi : Et tu n'est pas encore passé au bureau des inscriptions ?
Bernard : Euh … Bein … Non …
Moi : Et tu en profites ?
Bernard : Bein … Je suis désolé … Mais …

Je m'approchais de lui, il me regardait il semblait tétanisé. 

Je m'arrêtais à vingt centimètres de lui, levait la tête pour le regarder dans les yeux, il faisait une bonne tête de plus que moi ! Je luis caressais le torse avec le dos de la main, il gardait ses mains sur son sexe mais sa bite dépassait. De près elle paraissait encore plus grosse. Ma taille préférée … très grosse … Puis il se détendait.

Moi : Tu as raison, il faut en profiter. Dans une heure ta queue sera sous clé, tu ne pourras plus te branler pendant les dix prochains mois. Tu ne pourras plus non plus faire ça …

Je me mettais à genoux et commençais à le sucer. Il se laissais faire, les deux bras tombaient comme s'il ne savait pas quoi faire de ses mains. Ça ne durait pas très vite je le sentait me prendre la tête à deux mains, il me caressait les cheveux, il me caressait les joues, je le suçais avec plaisir. Rapidement j'avalais sa queue sur toute sa longueur, je sentais une réaction de sa part, il ne devait pas être habitué à se faire sucer comme ça !

Il faut dire qu'il en a vraiment une belle et pour se la prendre dans la gorge comme je le faisais il fallait avoir de l'entraînement. Et j'en ai ! Il se laissait faire, je sentais son gland me caresser la glotte et s'enfoncer encore plus loin. Je synchronisait bien ma respiration, j'avançais et retirais ma tête.

Un instant je faisais une pause et je relevais la tête. Il me regardait.

Bernard : Je vais te prendre. 

Je me relevais alors sans faire de manières, me retournais, j'écartais les cuisses et me penchais en avant. Il me lubrifiait alors abondamment le cul avec du savon, se lubrifiait aussi la queue, me la posait bien en position sur mon anus et poussait en avant. 

J'ai failli tomber en avant mais il me retenait. 

Bernard : C'est génial ça.  Tu sais c'est la première fois que je fais ça moi !
Moi : Vas y ! Défonce moi le cul ! Profite en mon gars dans moins d'une heure …

Il se lâchait alors avec violence, me balançait des coups de reins aussi violent que rapides avec des mouvement amples. Régulièrement il se retirait complètement, me glissait au moins deux doigts dans le cul, me lubrifiait encore un peu et revenait d'un mouvement écrasait son ventre contre mon cul. Il aimait que ça s'entende, et ne se privait pas de faire claquer son ventre au moment ou il touchait mes fesses. 

J'aime bien me faire défoncer le cul. Vous vous en doutiez un peu non ? Et j'aime bien aussi qu'on me prenne avec force et là j'étais gâté. L'heure tournait il se donnait à font, j'en prenait plein le cul.

Moi : Vas y doucement tout de même ! Là tu me fais mal !

Il ne s'occupait pas de ce que je disais. Il accélérait même le mouvement. C'était à la fois un mouvement ample, rapide et violent. Il me tirais vers lui de toutes ses forces. J'étais plié en deux, j'avais posé mes mains sur le sol pour ne pas tomber, il me tenait fermement par les hanches, me repoussait quand il se retirait et me tirait vers lui sans tendresse.

Bernard : Ça vient, je sens que ça vient ! Il faut pas que je sois en retard et je ne vais pas louper cette dernière occasion. Je … Ouai . Ça vient !

Il poussait alors un cri, me tirait contre lui et appuyait son bassin de toutes ses forces contre mes fesses. Il jouissait dans mon cul, la pression dans ma cage avait baissée. Il ne bougeais plus pendant un petit moment, il reprenait son souffle puis se retirait. 

Au moment ou sa queue se retirait de mon cul, un long filet de sperme coulait de ma cage autant que de mon cul. Il n'y prêtait pas attention terminait de se laver rapidement, se séchait, et sortait de la douche en me saluant.

Bernard : Ravi de t'avoir rencontré, ça fait du bien mais il faut que je te laisse. Moi c'est Bernard et toi ?
Moi : Jérémy mais tout le monde m'appelle Djé.

Il tournait la tête vers moi !

Bernard : Djé ? Non ! C'est toi Djé ?

Je rigolais. 

Bernard : On a le droit de faire ça ?
Moi : Uniquement si on ne se fait pas prendre ! Ne traîne pas on t'attend aux inscriptions …
Bernard : Ouai je sais ! J'ai signé pour dix mois et j'ai un peu les boules !
Moi : Ça va bien se passer, tu verras !

Il partait vite remplir la dernière formalité pour son inscription. Je terminais ma douche, j'avais un peu mal au cul moi. Peut être qu'il n'avait pas l'habitude de ce genre de plaisir mais il savait utiliser sa queue, on la sentait passer. Par certains côté il me faisait penser à Bob. Je ne sais pas pourquoi, Bob était plus petit, moins large et un peu moins bien monté … En fait ils ne se ressemblaient pas du tout et je ne sais pas pourquoi il me faisait penser à Bob. Mais c'est à Bob que je pensais à l'instant ou Bernard quittait les douches.

Un peu plus tard je sortais à mon tour du bâtiment, j'apercevais la silhouette de mon frère qui sortait de la fac, il avait un sac à dos léger sur l'épaule. Mais enfin il n'est pas admis à la fac, qu'est-ce qui fait ici. Il ne devrait pas être à la télé à l'heure qu'il est lui ? Il ne traînait pas, on avait l'impression qu'il était en retard, il montait dans sa voiture et démarrait rapidement. Il semblait se diriger vers la zone nord de la ville, c'est là que sont les studios de la télé. Il a son direct tout à l'heure !

Il ne m'avait pas vu, j'arrivais à ma voiture et j'entendais une voix qui m'appelait. Je me retournais c'était Charles.

Moi : Mais qu'est-ce-que tu fais ici toi ?
Charles : J'ai suivi Luc !
Moi : Alors … 
Charles : Je ne sais pas ce qu'il a encore inventé. Ce matin, il est passé aux studios télé, puis il a passé le reste de la matinée au centre médiatique, il a fait quelques déplacements mais on ne sais pas ou exactement, il a été vu au journal local … A midi il à dîné à la maison, vous manger à la cantine tous mais lui il n'est plus ni scolaire ni étudiant donc il mange à la maison …
Moi : Il a dit quelque chose ?
Charles : Tu t'imagines bien que j'ai essayé de le faire parler mais … Rien !
Moi : Rien !
Charles : Il a retrouvé le sourire, il avait l'air de bonne humeur mais il ne m'a rien dit !
Moi : Mais rassure mois, tu n'as pas passé la journée à prendre Luc en filature.
Charles : Non, j'ai passé le mot à toutes les personnes que je connais, si on le voit quelque part on me le dit … 
Moi : Il ne faut surtout pas qu'il sache qu'on le surveille, avec lui on ne sait jamais, il pourrait le prendre mal. Mais bon si il était de bonne humeur c'est déjà bon signe … 



Ep 77 : FLORIAN EST LA AUSSI



Le soir on se retrouvait autour de la table. Luc avait retrouvé sa bonne humeur. Il semblait aussi insoucieux que d'habitude.

Moi : Alors finalement Luc, dis moi, ça se passe comment pour toi ?
Luc: Très bien !

… 

Moi : Tu as des projets ?
Luc : Plein !


Antoine : Et tu projettes de reprendre la Fac l'année prochaine ?
Luc : Non !

… 

Moi : Tu as vraiment décidé d'abandonner tes études ?
Luc : Ce sont elles qui m'ont abandonné !


Charles : Il pourra toujours reprendre la fac dans un an … 
Luc : Dans un an je serai trop vieux … Pfff !


Moi : Mais tu fais quoi de tes journées alors ?
Luc : Mais je travaille moi !
Bob : Oui, tu travailles, mais tu fais quoi on t'a aperçu plusieurs fois à la fac ? 
Luc : Ouai …


Moi : On aimerait juste savoir comment ça va toi, tu avais l'air tellement vexé qu'on te refuse l'entrée en fac.


Luc : Bon d'accord, je vous raconte tout. Je suis en train d'entrer dans la vie active. Je continue mon travail à la télé, c'est très bien payé et ça marche bien en plus. Ensuite j'ai décidé de n'étudier que les matière que je juge utiles. Je parle déjà pas trop mal une langue étrangère, je me perfectionne et j'en rajoute deux autres. Ensuite j'ai un projet mais je ne veux pas encore en parler … Rien n'est fait.

Rapidement on arrêtait de le suivre, son emploi du temps était simple, le matin il faisait son entraînement comme nous, ensuite il passait à la fac. Il s'était inscrit pour seulement trois matières, les trois langues. C'étaient des cours destinés à des personnes dans la vie active. Son émission à la télé lui donnait ce statut et personne n'avait posé de questions. Il n'est pas impossible que Mr Le Comte soit intervenu. L'après midi il faisait du sport avec des horaires irréguliers, ça dépendait du travail qu'il avait à faire pour préparer  son émission. Pour le reste, son projet, même Bob ne savait rien.

La vie reprenait tranquillement. Je contactais Mr Le Comte, il me confirmait que Luc était inscrit à des cours de langue mais pour le reste il n'était au courant de rien. Depuis que je le connais celui-là, c'est bien la première fois que quelque chose lui échappe !

Bob supportait bien son nouveau statut de porteur. Il n'en parlait pas très souvent mais les rares fois que j'abordais ce sujet avec moi il me confirmais que ça se passait bien. Au cours des semaines qui suivaient son corps se transformait. Il avait plus d'énergie à dépenser, et il se défoulait sur le sport. Il avait toujours un corps un peu plus rond, attention je n'ai pas dit gros, il avait juste quelques formes plus douces, alors que nous autres nous avions un corps sec, la couche de graisse sous la peau était particulièrement fine, un peu comme des culturistes, lui était resté plus doux. Ça le rendait plus attrayant, mais il se transformait, il finirait pas nous ressembler. J'étais également surpris par ses performances sportives. C'était un futur champion !

Je le voyais régulièrement, dans la journée on se croisait souvent, déjà on arrivait ensemble avec Antoine, il avait hérité du droit privilégié d'être externe et on n'était pas nombreux dans ce cas … L'interna était une obligation et sans la décision de Mr Le Comte nous y aurions eu droit aussi. Bob habitait aussi avec nous. C'est pas avec moi qu'il dormait, c'était avec mon petit frère, remarquez j'aurais pas dit non moi … 

Quand je dis que je le voyais souvent je voulais dire dans son activité. Dans notre quotidien je le voyais régulièrement nu par exemple, depuis la rentrée on se croisait souvent dans les vestiaires ou les douches. Avec le sport on transpire et on se douche souvent je voyais donc les transformations se produire. 

Antoine s'était trouvé un nouveau copain, un porteur également. Ça c'était nouveau. Jusque là Antoine se trouvait soit une fille soit un mec non porteur. Il aime bien se faire défoncer le cul Antoine lui aussi … Eh, éh, éh … Bon je dis ça l'air de me moquer mais … Moi aussi j'aime bien me faire défoncer le cul ! 

Et puis il faut bien se dire qu'avec le matos qu'on avait dans nos tiroir on pouvait s'amuser … Des godes, des godes ceinture, des plugs … Tiens ! Javais oublié le Gigoteur moi. ( Ep 67 ) … 

Nos horaires ne correspondaient pas et c'est pour cela que je ne l'avais pas encore rencontré pendant les premières semaines. À peine un mois s'était écoulé que j'apercevais une tête connue, un vieux copain à mon frère. Il était à peine plus vieux que Luc mais lui venait d'avoir ses dix neuf ans juste avant la rentrée, il était donc accepté. C'était Florian ! Je le rencontrais par hasard.

Moi : Florian ? Mais tu es là toi aussi ?
Florian : Bein oui, je me demandais quand je te rencontrerais. Je n'ai pas encore vu Luc nom plus.

Je lui racontais les petit problèmes que Luc avait rencontré et pourquoi donc il n'était pas inscrit en fac. 

Florian : Il avait l'air d'y tenir, il a pris ça comment ? Et Bob n'est pas là non plus je ne l'ai pas vu.
Moi : Finalement Luc l'a bien pris il a des projets mais ne veut pas en parler, pour ce qui est de Bob, il est là en première année mais il est externe c'est peut être pour ça que tu ne l'a pas rencontré. 
Florian : C'est vrai que je ne sors pas souvent de l'école. J'ai pas trop d'argent pour faire la fête et en plus je ne connais personne …

Je l'invitais pour le souper le soir même, on était à la veille du week-end. Ça lui faisait plaisir. Florian et mon frère se connaissent depuis qu'ils sont tout petits, je l'ai toujours connu ce garçon et il est très gentil. 

Et assez mignon en plus …

Le soir je n'avertissait personne que j'avais rencontré Florian sauf notre majordome Charles bien sûr et quand il est arrivé c'était une grande surprise pour Luc.

… Mais tu devenais quoi, on savait que tu devais commencer la fac et …
… Moi finalement je passe à autre chose ! …
… Et toi Bob je ne t'ai pas rencontré une seule fois ? …

Florian avait emmené une bouteille de vin, il n'avait pas osé venir les mains vides. Je le mettais à l'aise et lui servais une flûte de champagne. Rapidement on parlait de tout et de rien. Les sensation de Florian, c'était une nouvelle situation pour lui, il portait déjà le dispositif de chasteté depuis quelques temps, et ne nous cachait pas que c'était pas tous les jours facile. Sur ce point rapidement avec Bob ils partageaient leurs expériences qui étaient récente pour eux deux. 

Finalement on passait à table. Florian avait du mal à croire que Charles était vraiment notre majordome aussi Charles, un peu taquin, en rajoutait avec des Monsieur Florian longs comme le bras, Luc rigolait.

Bob : Moi aussi j'ai eu un peu de mal avec la présence d'un majordome.
Charles : Je confirme Monsieur Florian, je confirme. Mais ce n'est certainement pas Monsieur Bob qui me contredira. On se fait très bien au luxe … N'est-ce pas Monsieur Bob ?
Moi : Charles s'il …
Charles : Mais je suis à votre service Monsieur Djé, si je peux vous être d'une quelconque utilité … 
Bob : Et encore Florian, toi tu as de la chance un jour moi je suis arrivé et je me suis retrouvé face à DEUX majordome … Je ne savais plus ou j'étais.
Charles : Fort heureusement pour vous Monsieur Bob, l'un des deux, c'était moi !

Il en rajoutait tellement qu'on était plié de rire et je ne sais pas comment il parvenait, lui, à garder son sérieux. Rapidement on reprenait nos habitudes et d'habitude Charles nous tutoies.

A la fin du repas, nous passions au salon, Charles rangeait tout et disparaissait jusqu'au lendemain avec sa discrétion habituelle. On discutait encore un moment puis Antoine proposait une sortie. Luc et Bob acceptaient avec enthousiasme. Florian préférait décliner l'invitation, Son nouveau rythme de vie n'était pas facile à suivre et le soir il était souvent épuisé, il préférait ne pas trop traîner. C'est donc à trois seulement qu'ils partaient faire une sortie. 

Florian : Et toi Djé tu ne sors pas ?
Moi : Quand je sors il y a au moins cent cinquante à deux cent personnes qui s’agglutinent autour de moi, c'est pas facile à gérer. A une époque je sortais à cent cinquante kilomètres d'ici, c'était le seul moyen pour être tranquille.

La discussion continuait encore un long moment !

Florian : Tu sais Djé il y a autre chose qui me '' chagrine '' aussi. 
Moi : Allons bon ! Vas y raconte !

Il commençait à rougir un peu.

Florian : C'est ce truc qu'on doit porter, c'est pas toujours facile. Tu fais comment toi pour supporter. J'ai envie de me branler depuis la rentrée je ne te dis pas. 
Moi : Bouge pas de là ! … Je reviens …

Je partais dans ma chambre et revenais quelques secondes plus tard, il avait rempli les verre et je voyais que la bouteille était vide. Je lui lançais la petite boîte sur laquelle était marqué : '' LE GIGOTEUR '' … 

( Ouai je vois que parmi les lecteurs il y en a au moins un qui suit … Là au fond de la salle, il a compris de quoi il s'agissait ). 

Par contre Florian lui ne savait pas de quoi il s'agissait.

Je passais dans la cuisine chercher une autre bouteille de champagne, je revenais, il avait ouvert la boîte et regardait l'objet attentivement.

Moi : Tu veux vraiment que je te montre comment je fais pour tenir le coup ?
Florian : ( Brusquement l'air moins décidé ) Euh, bein ouai !
Moi : alors à poil !

Il me regardait l'air pas vraiment très convaincu. Je me déshabillait complètement ne gardant sur moi que le seul petit truc que je ne pouvais pas retirer … Je m'allongeais sur le tapis, trinquait et buvais le verre d'un trait, sur ce dernier il me suivait. Puis après quelques hésitations il retirait lui aussi ses vêtements et s'allongeait lui aussi. 

Il gardait un sourire de contenance. 

Florian : Alors c'est quoi ce truc que tu m'as lancé ?

Pour seule réponse je lui passais, avec beaucoup de tendresse, le dos de la main sur le torse, je le caressais jusqu'au bas de son ventre, il ne disais plus rien, il ne bronchait pas. Quand le tranchant de ma main touchait son dispositif de chasteté, je remarquais que c'était normal si son dispositif se redressait. Il y avait un pression incroyable la dedans. Remarquez, j'étais dans le même état ! 

Je posais mes lèvres sur les siennes, il ne résistait pas.

Florian : Je ne dis pas non mais, tu crois vraiment que ça va ma calmer mes envies ?

Pour seule réponse, je lui donnais un baiser passionné. Il me prenait dans ses bras et rapidement je me retrouvais allongé sur le dos, Florian allongé sur moi. Je le tenais dans mes bras, je lui caressais le dos. Mes mains se promenaient jusqu'à ses fesses et à chaque passage je glissais un doigt entre, au début je n'insistais pas vraiment sur son petit trou de cul. Mais à chaque passage j'insistais un peu plus.

Il passait ses bras autour de mon cou et couvrait mon visage de baisers. Je roulais sur lui et c'est moi qui me retrouvais allongé sur lui. Je lui caressais le torse, je l'embrassant en insistant sur ses tétons, il gémissait, je sentais son dispositif PK se relever par à-coups avec force, en suivant les battements de son cœur. Mon dispositif était lui aussi sous pression, lui aussi se balançait de la même manière, ma queue se sentait à l'étroit et ça me faisait plaisir de me dire que pour lui c'était probablement encore pire.

Avec frénésie on se caressait toutes les parties de nos deux corps. Avec douceur mais avec vigueur. Je me lubrifiais un doigt et sans prévenir le lui enfonçais dans le cul. Il ne pouvait retenir un gémissement de plaisir. Puis un tremblement de tout son corps. Il s'allongeait alors sur le ventre, écartait bien les cuisses et me laissait faire.

Je lui massais l'anus avec douceur, un doigt, puis deux doigt. Il gémissait de plus en plus fort. J'agitais mes deux doigts dans son cul, il ne retenait plus ses cris, mais ce n'était pas des cris de douleur, il aimait ça le bonhomme. J'en profitais pour lui dilater l'anus de plus en plus, ça passait aussi je continuais.

Au bout d'un moment je jugeais qu'il était prêt pour passer à l'étape suivante. Je lui lubrifiais longuement le cul, le disposé à continuer je glissais doucement dans son cul le petit dispositif … Le Gigoteur …

Quatre centimètre, c'est rien mais lui il n'était pas aussi entraîné que moi aussi quatre centimètre c'était gros, il hurlait mais laissait faire. Il gémissais en respirant comme un fou, le Gigoteur s'enfonçait lentement dans son cul. A plusieurs reprises il tournait son visage vers le mien, il semblait vouloir me dire quelque chose. Il ouvrait la bouche et la fermait, cherchant à articuler mais seuls des gémissement se faisaient entendre. Je continuait à enfoncer le petit truc. 

Au moment ou je sentais son anus se contracter sur l'extrémité du Gigoteur je me disais que finalement il y avait du potentiel avec ce petit gars. Son anus s'était entièrement refermé sur le dispositif, seule la ficelle destinée à le récupérer ressortait alors.

Moi : Tu me fais confiance ?
Florian : Si c'était pas le cas on n'en serait pas là !
Moi : Tu te sens comment ?
Florian : Je l'ai senti passer mais ça va !
Moi : Serre bien les cuisses, serre bien les fesses et retourne toi sur le dos.

Il s'exécutait, il gémissais mais il s'exécutait. Je le chevauchais alors, plaçais mes genoux de chaque côté de ses cuisses et m'assurais ainsi que ses cuisses et son cul étaient bien serrés.

J'attrapais mon téléphone, et choisissait un programme. 

Pour commencer je commençais doucement, une légère vibration. Ses yeux s'ouvraient tout rond, et je l'entendais faire un '' Ohhhh '' en relevant la tête, puis reposait la tête en soupirant très fort avec un large sourire.

Je le caressait sur le torse, les épaules, les bras … Je l'embrassais sur le ventre. D'un frôlement délicat sur mon écran de téléphone je passais à la vitesse suivante. Il poussait alors un long gémissement de plaisir, il tremblait de plaisir. Il réagissait bien le gars et je me demandais jusqu’où il encaisserait avant de me supplier de tout arrêter.

J’enclenchais un premier programme. Vibrations douces puis plus fortes, enfin violentes pendant quelques instant, plus de vibration du tout et on recommence. Je le sentais réagir à chaque changement de vitesses. Il tremblait, il contractait ses bras me tirant vers lui. Je résistais et le retenais pour qu'il ne puisse pas se dégager. Quand l'appareil faisait une pause il retombait mollement sur lui-même mais quand le vibrations reprenaient, il se mettait à trembler. Il avait l'air essoufflé.

J'arrêtais tout, lui faisait un gros câlin qu'il me rendait. Il tentait alors de relever son torse en s'appuyant sur ses bras, il avait un grand sourire, un air ravi.

C'est à ce moment que j'enclenchais un autre programme. Les vibrations commençaient douces, puis plus fortes puis arrivée à un certain niveau, ce n'était plus seulement des vibrations, le dispositif se pliait et se redressait avec vigueur. Là, il hurlait, je le bloquais contre le sol de tout mon poids. Il gémissait, mais là, ce n'était pas un simple petit bruit, c'étaient des hurlements, des cris de jouissance, de plus en plus forts. Il convulsait, il ne contrôlait plus ses gestes mais je suis plus fort que lui et je le plaquais contre le sol. Ses yeux semblaient me demander pitié. Il ouvrait la bouche mais n'articulait aucun son, que des cris. 

Je m'allongeais de nouveau sur lui et je sentais qu'il avait éjaculé, il manquait d'air, maintenant il jouissais presque en silence. J'avais l'impression que ses yeux allaient se retourner … j'arrêtais le dispositif !

Il continuait à trembler encore un moment, il continuait à juter, du sperme coulait lentement de l'extrémité de sa cage. Ses muscles se détendaient, je lui donnais un baiser juste sur un téton, je le sentais alors se contracter, un réflexe sans doute. Il tremblait encore un peu. Je me relevais, il ne bougeait pas. Je le laissais, j'allais remplis les verre.

J'étais content de moi, un peu frustré, ma queue se révoltait contre la cage mais je n'en tenais pas compte. Sa cage était bien remplie mais ne se relevait plus, une grosse molle qui ne devais plus manifester aucune mauvaise humeur. Contrairement à moi ou c'était une grosse dure qui tentait de se révolter même si elle devait savoir depuis le temps que c'était sans espoir !

Il finissait par se relever en position assise, il s'appuyait contre le fauteuil, je lui tendais le verre de champagne. 

Florian : C'est toujours du …
Moi : Oui ! Toujours !
Florian : Tu bois de l'alcool et tu es un champion, tu fais comment !
Moi : C'est très simple je bois très peu, mais je préfère boire très bien !

Il rigolait.

Florian : C'est un truc de fou ton truc, j'ai encore l'impression de le sentir.
Moi : C'est normal, tu l'a toujours sur toi, enfin … Sur toi … 
Florian : La vache, je ne savais pas qu'on pouvait … 

Puis en relevant la tête …

Florian : Tu me le donne dis ?
Moi : D'accord mais à une condition …

Il me regardais l'air surpris, inquiet peut être.

Moi : Tu le gardes jusque chez toi !

Il rigolait …

Florian : Ah ouai je le sens bien ton truc !
Moi : Surtout quand tu ris ?

Il rigolait.

Florian : Ne me fait pas rire !

Il n'était pas habitué à se prendre quelque chose dans le cul. Après ça, son anus était bien contracté et le dispositif bien en place. On restait encore un moment assis, là, à poil. On discutait. 

Son dispositif de chasteté retombait et pendait mollement devant lui, c'était beau à voir, à chacun de ses mouvements il se balançait. Je ne me lassais pas de le regarder. Il était bien plein mais il n'y avait pas de pression il faut croire. Mon dispositif lui ne pendouillait pas du tout. La pression y était toujours maximale, il avait toujours tendance à se relever, même si c'était moins qu'au début de la soirée...

Un peu plus tard je le raccompagnais à son interna. Il avait l'air fatigué, dans sa poche la petite boite de rangement pour le Gigoteur, dans son cul … Le Gigoteur.



Ep 78 : DANS LES BRAS D'ANTOINE



Par la suite je voyais plus régulièrement Florian, il nous avait trouvé Bob et moi et ne voulait plus nous lâcher. Il devenait un habitué à nos soirées. Vous n'avez pas oublié que trois fois par semaines on organisait un repas. On y mangeait divinement, Charles est un … pardon … Le traiteur est un très bon traiteur … Je déconne, Charles cuisine divinement et si quelquefois on faisait appel à un traiteur ce n'était que pour des raisons pratiques. 

De fait Florian devenait plus populaire, ces soirées sont très convoitées. Y être reçu est vu comme un honneur, nous tenions toujours une liste des participants pour que tous mes proches puissent participer chacun leurs tours, mais ceux qui y participaient régulièrement étaient repérés. Quelquefois enviés mais jamais jalousés, enfin j'espère …

Un soir que nous étions entre nous, en plein repas Luc se levait, il avait depuis le midi un grand sourire réjoui. On remarquait tous que quelque chose se passait. Je lançais un regard interrogateur en direction de Bob qui me faisait signe qu'il ne savait rien. Luc appelait Charles lui demandant d'être présent.

Charles : Mais qu'est-ce qu'il a encore inventé celui-là ?
Moi : Luc tu me fais peur !
Luc : Non mais c'est fini les moqueries là. Je ne suis plus un gamin j'ai dix huit ans passés. Vous feriez mieux d'écouter ce que j'ai à vous dire …

Il nous regardait tous les uns après les autres, plus personne ne parlait.

Luc : Bon ! Voilà qui est mieux ! J'espère que mes collaborateurs seront aussi attentif quand j'organiserai des réunions …
Charles : Collaborateurs ( tout bas )
Antoine : Organiserai ( tout bas )
Moi : Réunions ( très fort mais dans ma tête )

Bob regardait son copain sans comprendre la bouche ouverte …

Luc : C'est fini là les commentaires ! Bon je reprends. Vous avez devant vous le nouveau producteur d'une nouvelle émission de télévision. Elle sera destinée aux étudiants qui veulent entrer en fac, et paf là je me venge, et aura pour but de donner toutes les informations pour choisir les études qui s'offrent à eux ! Tous les tuyaux, les conseil, etc. Je n'en serai pas seulement le producteur, j'en serai également le principal animateur. Charles ton lapin chasseur ce soir était une merveille, comme chaque repas que tu nous prépares, j'en reprendrai volontiers un petit peu !

Il se rasseyais et tendais son assiette à Charles, qui machinalement partait dans la cuisine et ramenait une nouvelle part de ce lapin chasseur qui je dois le reconnaître était absolument merveilleux !

On regardait tous Luc en se demandant ce que tout cela signifiait. De quoi il parle, il pourrait nous en dire plus …

Luc : Bein quoi ? Ça vous défrise que je produise une émission télé. C'est en partenariat avec la fac, j'y vais tous les matins. 

… 

Luc : Ne me dites pas que vous n'êtes pas au courant, vous me faites surveiller, depuis le début de l'année scolaire … Charles tu cuisines décidément comme un dieu mais pour ce qui est des filatures … Tu es nul !

Il nous avait repéré mais il le prenait bien finalement !

Bob : Mais pourquoi tu ne m'as rien dit à moi ?
Luc : Tu aurais tout répété mon doudou. Mais je t'aime quand même !
Antoine : Et ça va se passer comment alors ? 
Luc : Le matin je serai surtout à la fac, en fin de matinée aux studios télé. Au fait Charles le midi je dînerai désormais soit aux studio soit à la fac, j'ai une entrée pour les deux réfectoires … On n'y mange pas si bien qu'ici, mais ce sera plus pratique ! Dans l'après midi je fais du sport, j'ai le privilège de pouvoir utiliser les installations sportives de la fac, la bibliothèque aussi tout comme la médiathèque. Dans la soirée je me retrouve aux studios ou je fais en direct mon émission.  Quatre émissions par semaines, plus celle que je fais déjà si mon affaire ça marche je multiplie mes revenus par cinq ! Au fait la première émission passera désormais sur le réseau national et le contrat est renouvelé pour un an !

… 

Antoine : Cool !


Plus personne ne prononçais le moindre mot ! Quand on sortait de table, on était tous un peu sonnés.

Antoine : Mais dis moi Luc … Si ton truc ça marche … Tu vas gagné combien ?
Luc : Pas loin d'un demi million par an !
Antoine : La vache ! ( et se retournant vers moi ) Tu as entendu ça Djé, il s'en sors bien le p'tit ! Mais c'est qu'il devient grand !

Je rigolais !

Antoine : Bientôt il va quitter la maison, il volera de ses propres ailes, il viendra nous voir une fois par an quand il aura le temps après nous avoir placé dans un hospice …
Luc : Mais tu as fini de dire n'importe quoi toi ?

On avait tout de même du mal à réaliser qu'il avait réussi à garder un tel secret, préparer un projet pareil sans rien dire à personne … Il devenait mature le p'tit ! Et c'est vrai que si son projet marchait, il deviendrait largement autonome.

Après cette soirée pleine de surprises la vie reprenait son cours normal. Il fallait s'organiser un peu et Luc n'était plus présent tous les soirs pour le souper, Bob non plus. Les horaires posaient quelquefois problème, et le plus souvent quand il ne pouvait pas être là il invitait son copain Bob au restaurant. Surtout que Bob travaillait aussi comme assistant au studio. On l'apercevait dans un petit coin de l'écran de temps en temps.

Luc était aux anges, il oubliait rapidement le refus qu'on avait opposé à son entrée en fac. Bob ne me cachait pas qu'il trouvait cette nouvelle vie passionnante, la vieille il avait rencontré un écrivain très connu, la semaine à venir ils allaient inviter un metteur en scène … Il travaillaient comme des fous, mais semblaient totalement heureux et épanouis.

De notre côté avec Antoine, on continuait nos études tranquillement. En ce début d'année scolaire la société PK ouvrait de nouveaux marchés, tout particulièrement sur le continent asiatique qui jusque là ne l'avait pas très bien reçu. En gros ce nouveau marché devrait doubler le chiffre d'affaire … Et nos revenus étaient justement liés au chiffre d'affaire … La société venait aussi de gagner un procès contre un concurrent qui avait honteusement plagié notre modèle breveté … Le concurrent n'y avait pas survécu, Justine ( notre avocate ) avait arrosé ça au champagne, la PK Compagnie prenait donc la place du concurrent sur son marcher et là encore le chiffre d'affaire augmentait …  

Nous recevions aussi un chèque de dédommagement pour le plagiat. C'est qu'on a des droits sur l'invention !

Antoine : Tu as vu Djé le chèque de dédommagement, moi je le trouve tout triste …
Moi : Mais pourquoi tu dis ça ?
Antoine : Il n'y a que cinq zéros dessus !
Moi : Mais c'est vrai ça, tu as raison, d'habitude sur les chèques qu'on nous donne il y en a six !

Ce petit commentaire que nous échangions résume bien notre situation ! Je ne savais plus vraiment combien d'argent j'avais mais je m'en moquais, je savais que j'étais plein aux as et qu'il y avait Justine qui veillait à mes intérêts, et je savais que celui qui s'en prendrait aux intérêts de ses clients prenait un gros risque … Avec la réputation de notre avocate personne n'oserait !

On avait travaillé comme des fous, pendant tout le premier trimestre, les premières vacances approchaient, un soir, Antoine et moi étions seuls à la maison. Les p'tits étaient au restaurant puis de sortie, Luc ne me demandait plus ma carte de crédit pour sortir … Charles était absent pour la soirée et pour une fois depuis deux bons mois on ne faisait rien. Mais quand je dis rien … Antoine était vautré comme un gros lard sur le fauteuil et je faisait de même sur l'autre fauteuil. 

Antoine : Dis moi Djé, ça fait combien de temps, la dernière fois qu'on s'est gardé une soirée comme ça, à ne rien faire ?
Moi : Je ne sais pas, je ne sais plus. J'ai l'impression que ça fait des années …
Antoine : Si on n'avait pas décidé d'être tous ensemble pour le souper, il y a des jours ou on ne se verrait même pas. 
Moi : Tous ensemble ?
Antoine : C'est vrai que les p'tits sont là de moins en moins souvent …
Moi : Sans Charles je ne sais pas ce que cette famille deviendrait.

Il se relevait se plaçait juste devant moi, les jambes écartées.

Antoine : Mais dis moi Djé, je ne sais pas si c'est une impression mais … Ça fait un moment que je ne t'ai vu avec personne. Tu as un copain en ce moment ?
Moi : Non ! Et toi ?
Antoine : Pareil ! Une copine alors ?
Moi : Non plus ! Je ne te vois avec personne non plus !
Antoine : C'est comme toi, en se moment je bosse tout le temps. Je ne sais pas si j'ai bien fait de m'orienter ver l'ingénierie.
Moi : C'est la conception du dispositif de chasteté qui a révélé ta vocation. 
Antoine : Oui mais c'est pas si facile, j'aurais du faire comme toi rester dans le domaine de la gestion.
Moi : Et du droit … 
Antoine : Au fait tu savais que Léa est de retour dans la région ?
Moi : Léa ! Son nouveau copain a fait faillite ?
Antoine : Ou alors elle a appris que tu n'as jamais été aussi riche que maintenant !
Moi : C'est son genre !
Antoine : Il n'a pas pu faire faillite, c'est un banquier, ça ne fait pas faillite un banquier. Ses clients je ne dis pas mais un banquier … 
Moi : Et en plus Jonathan est monté comme un âne !
Antoine : Tu le connais ? Il s'appelle Jonathan en effet !
Moi : Si c'est celui auquel je pense, c'est une des ses ex !
Antoine : Et il est monté comme un âne ton Jonathan ?

Il se tortillait devant moi et si je ne le connaissais pas aussi bien j'aurais pensé qu'il voulait m'allumer. 

Moi : A quoi tu penses ?

Maintenant il se caressait les cuisses, le ventre et le torse. Oui bon finalement il voulait m'allumer !

Antoine : Gode ?

Je me levais brusquement, lui passais un bras autour de lui, lui donnais un baiser sur la bouche et disparaissait dans ma chambre. J'en ressortais quelques instants plus tard avec un gros carton dans les mains. Il se retournait, continuait à se caresser, un peu comme un strip-teaser, il me faisait rire. J'ouvrais, tout un tas de godes en tombait. 

Antoine éclatait de rire.

Antoine : Ça fait un moment que je n'ai pas touché aux miens .

Il arrêtait de faire le clown, et se précipitait, il en attrapait un, un gros, on connais ses goûts ! 

Moi : J'avais un truc génial que Léa avait acheté, il est pas là, je ne sais plus ce que j'en ai fait … ( je cherchais dans le carton )
Antoine : Celui là il est bien ! Ça ne te tente pas ?

On se relevait ensemble, chacun un gode dans la main, on se touchait presque, j'étais comme attiré vers lui. Ça faisait longtemps qu'on ne s'était pas pris dans les bras comme on le faisait là.  On s'était vu à poil sous les douches presque tous les jours mais ça faisait je ne sais plus combien de mois qu'on ne s'était pas touché. 

Je le serrais contre moi et je me souvenais de la douceur et de la force de son corps. A cet instant je vous jure que j'aurais fait n'importe quoi pour retirer mon dispositif. Je le sentais fort ce truc à ce moment et si le plus souvent je le supportais bien, si le plus souvent je ne voulais pas le retirer, là ce n'était pas le cas. À cet instant je voulais le retirer comme jamais.

Quelques secondes plus tard je redécouvrais la peau d'Antoine, sa douceur. Mes mains s'arrêtaient juste à sa ceinture, je n'osais pas aller plus bas, je me souvenais de sa bite, une belle grosse bite que j'avais pris dans dans le cul avec tellement de plaisir. Je savais que là il y avait un dispositif de frustration. Mon cœur battait plus fort à chaque seconde.

Je sentais la douceur de ses lèvres qui se promenaient contre ma peau, je connaissais cette douceur et je me demandais comment j'avais pu l'oublier, ça fait maintenant plusieurs années que je vis avec lui pourtant nous ne nous touchons plus. On s'amuse chacun de notre côté. Ma queue voulait se dégager, et elle poussait contre ma cage comme jamais. 

Ma hanche frôlait son entre jambe, et je pouvais constater qu'il était dans le même état que moi. Sa cage se relevait et on pouvait la sentir au travers de son pantalon, ça ne faisait qu'augmenter mon désir. Je le tirais vers moi, je me serrais contre lui. Entre nous un obstacle blindé prenait toute la place, nos deux dispositifs étaient là comme deux entraves, deux barrières infranchissables. 

Mon pantalon tombait mais il y avait toujours ces deux barricades qui suivaient nos moindres mouvement, elles occupaient notre esprit et toutes nos pensées. Ses épaules étaient douces, ses bras étaient forts, son torse était musclé, son ventre était ferme, ses fesses sensuelles au travers de son pantalon. Entre nous cet obstacle ! Face à face nous nous retenions, puis il me tirait, me retournait contre lui, il me tenait serré, je passais ma main dans mon dos pour toujours toucher sa peau. Il me caressait alors le torse, le ventre, ses mains descendaient mais évitaient de toucher ma cage.

Ses doigt se promenaient à la base de mon sexe, sur le cock-ring de fixation, se glissaient entre mes cuisses. Je sentais ses baisers dans mon dos, sur mes épaules. Je sentais la pression intense dans ma cage, j'avais envie de me branler, de me faire sucer … J'avais un violent envie de défoncer un cul !


Je me retournais lui faisais face à nouveau. C'est lui qui maintenant se retournait, il semblait danser entre mes bras. A mon tour je l'embrassais dans le dos, il le sentais frissonner, sur les épaules … Il penchait alors sa tête sur mon épaules et je l'embrassais dans le cou, sur la gorge … 

Mes mains se promenaient sur tout son corps, elles arrivaient à sa ceinture … J'hésitais je savais que je serais déçu mais, je glissais mes doigts sous sa ceinture, j'ouvrais son pantalon qui tombait sur ses chevilles. Il se dégageait les pieds et je lui caressait sa cage de chasteté. Doucement je lui massais les couilles, elles étaient ferme, elle devaient être bien pleine, tout comme moi !

Il se retournais contre moi, nos deux cages se cognaient l'une à l'autre en faisant un bruit métallique. Il prenait un gode ceinture avec un beau gros gode, pas le plus gros mais de très belle taille qu'il me donnait, il en prenait un identique qu'il se fixais. Son visage était grave, il fronçait les sourcilles  au moment ou il ajustais le gode ceinture.

On se regardait, on respirait fort tous les deux. Je ne sais pas lequel à fait un geste, un regard peut être … En tous cas c'est en même temps qu'on réagissait, on se sautait dessus l'un l'autre.

Antoine : Retourne toi !

Je m'exécutais. Il me saisissait avec force, me lubrifiait le cul, positionnait son gode, et c'est avec douceur qu'il poussait et que le dispositif entrait lentement dans mon cul. J'avais pas refait ça depuis les vacances, presque trois  plus tôt, quand je dis '' refais ça '' je veux dire que je ne m'étais pas fait enculer. 

Je hurlais, la sensation était intense, le sentais mon anus se dilater, je sentais mon cul se remplir. C'était à la fois bon, terriblement bon et un peu douloureux. Je jutais instantanément, un flot de sperme coulait lentement mais coulait longtemps de ma PK. Je continuais en gémissant, en poussant une longue plainte. Je sentais le souffle d'Antoine contre mon oreille, il râlait, pas vraiment de plaisir, il ne ressentait rien sa bite était en plastique. Mais il râlait, il était concentré, ses muscles étaient contractés, chacun de ses mouvements était contrôlé. Il surveillait la moindre de mes réactions et moi je suffoquais, j'avais la bouche grande ouverte mais c'est un son à peine audible qui en sortait. 

Il me limait le cul pendant un long moment, me caressais longuement, avec force, avec douceur … Il finissait par se retirer, je m'effondrais sur le fauteuil. Il était en sueur, il avait le souffle fort. Moi je ne sais pas comment j'étais mais je ne valais pas mieux que lui ! Je récupérais !

Un peu plus tard, je me relevais, me plaçais face à lui, les jambes écartées, la bite en plastique fièrement relevée devant moi … 

Moi : Retourne toi !

Il me jetais un œil rieur, se retournait et se penchait sur le fauteuil, son cul bien offert. A mon tour j'enfonçais le gode dans son cul. Il hurlait un '' OH OUI ! '' au moment ou le gode s'engageait, le gland un peu plus large, cinq bon centimètres, passait rapidement puis il gémissait à son tour. Il encaissait mieux que moi le bonhomme. Rapidement mon ventre, enfin le harnais, frappait ses fesses et il en redemandait. J'avais presque oublié combien il aimait ça mon petit Antoine. 

Je le limais avec régularité, je me souvenais de cette époque ou nous étions libres, avant de faire le mur pour entrer au Château. C'est vrai que maintenant nous avons nos entrées au Château … A cette époque on s'amusait bien, on n'avait pas besoin de ces gadgets pour se défoncer le cul, on faisait ça en direct. 

Il finissait par demander grâce, je me retirais, il s'écroulait sur le sol, se retournais, je pouvais voir un long filet de sperme couler de son dispositif de chasteté.



Ep 79 : UN TRAIN TRES RAPIDE



Le lendemain on était dimanche, on avait terminé la soirée dans les bras l'un de l'autre, on avait tout rangé, on avait trempé un bon moment dans le bain bouillonnant et quand je me réveillais, tout naturellement il était dans mes bras.

J'enfilais rapidement un pantalon léger et passais à la cuisine. Luc et Bob y étaient déjà, il avaient préparé un petit déjeuner et discutaient de leur travail. 

Moi : Non les mecs on est en week-end et vous parlez boulot. 
Luc : Tu as bien dormi ?
Moi : Ça va, pas trop mal. 
Bob : Alors vous avez fait quoi hier toi et Antoine !
Moi : Rien, on a rien fait, on est resté sage !

C'est à ce moment qu'ils ont vu Antoine sortir de ma chambre !

Bob : Je vois ! Antoine s'est levé avant l'aube pour profiter du bain bouillonnant sans doutes ?
Antoine : Non le bain bouillonnant c'était hier soir !
Bob : Et tu as une nouvelle copine ?
Antoine : Bein non !
Bob : Un nouveau copain alors ?
Antoine : Non plus ! Mais pourquoi tu me demandes ça ?
Bob : Euh …
Il commençait à rougir, moi je commençais à rigoler. Antoine commençait à se poser des questions, il regardait Bob puis moi, il regardait ensuite Luc qui levait les yeux et pouffait de rire.

Antoine : mais que … 

Il se retournait face à un miroir et regardait, on rigolait tous et brusquement il hurlait.

Antoine : Djé tu es un enfoiré ! Mais c'est pas vrai ça ! Tu n'est vraiment pas sérieux !

Il venait enfin de voir le suçon que je lui avait fait la veille au soir. Il râlait bien encore un moment, nous, on rigolait encore plus et finalement en fronçant les sourcilles il nous rejoignait à table. 

J'entends déjà les commentaires des lecteurs ! '' Oué, et ils ont pas tiqué plus que ça ! '' ou encore '' On sait comment ça se termine ce genre d'histoire … '' . Bon d'accord, pendant quelques temps on n'utilisait plus que deux chambres dans cette maison, mais bon, c'était juste parce que … Antoine n'avait personne en ce moment, je n'avais personne en ce moment, j'aime bien la douceur de sa peau et son contact et j'ai comme l'impression qu'il aime bien lui aussi !

De plus, non ils n'ont pas tiqué, dans cette famille on en a vu d'autres … Personne ne va tiqué juste parce que deux garçons portant tous les deux un dispositif de chasteté dorment ensemble et en profitent pour s'amuser avec des godes. En tout cas c'est pas Luc et Bob qui vont s'offusquer ! Là ça ne risque pas !

Ce sont là des choses parfaitement ordinaires qui arrivent tous les jours un peu partout … Enfin je suppose !

Les dimanche on lève le pied au niveau de l'entraînement, on partait tous les quatre faire un peu de sport, il faisait encore très bon, et au passage on en profitait pour s'arrêter à la rivière et faire un plongeon. Chacun avait un petit sac à dos avec dedans une serviette, un peu de musique … Enfin quelques petits trucs pour passer le temps et se détendre.

On y retrouvait quelques têtes connues, et rapidement on se retrouvait comme d'habitude. Entre copain, comme quand on est tous sous la douche, à poil mais tous avec le dispositif de chasteté. On en riait, on s'en amusait. Bob s'y faisait sans difficultés finalement … Même si souvent il avait envie de se branler, envie de baiser, envie d'enculer Luc, envie de … Enfin vous voyez  ce que je veux dire, vous connaissez, vous aussi !

On s'arrêtait dans un fast-food, c'est dire à quel point on levait le pied … Et puis on était en tenue de sport, et dans les fast-food il ne sont pas trop regardant, même si on m'aurait de toutes façons laissé entrer n'importe ou. Plusieurs copain s'étaient joints à nous et nous étions donc une bonne trentaine.

Reprise des cours le lundi suivant. Charles n'avait même pas l'air surpris de voir Antoine sortir de ma chambre.

Charles : Bain bouillonnant ?
Antoine : Pas que …
Charles : Café ou chocolat ?

C'était pas plus compliqué que ça, personne ne posait la moindre question. Le premier trimestre se terminait bientôt et on parlait du groupe de sport. Vous savez ce camps de vacances organisé par la fac. Avec Antoine on avait déjà participé mais c'était il y a longtemps, pour être précis c'était au premier camps de vacances que nous étions allé. ( Ep 16 ) Bein oui ça fait longtemps !

Cette année, il y avait un séjour à la montagne, ce séjour là on le connaissait. Mais on proposait aussi des vacances au bord de la mer, Antoine avait passé ses vacances au bord de la mer mais ça ne le dérangeait pas vraiment d'y retourner, et puis de toutes façons c'était pas au même endroit. Les organisateurs recrutaient des moniteurs, enfin des étudiants plus âgés pour encadrer les nouveaux surtout. Leurs apprendre les bonnes manières, et plus si affinités. 

Au programme, natation, ski nautique, plongée en apnée et avec des bouteilles … Enfin quelques réjouissances sympathiques. Avec Antoine on se portait volontaires, Bob restait à l'appartement il travaillait maintenant même si ce n'était pas à plein temps, et Luc lui par contre avec ses cinq émissions à préparer par semaine, lui il travaillait à plein temps.

Comme prévu donc, le jour du départ tous les inscrits attendaient au départ des bus. On partait la veille des autre juste après le souper, je trouvais ça bizarre. Les consignes étaient respectées et chacun n'avait qu'un tout petit sac à dos. Quelques vêtements de rechange et les objet personnels comme les téléphones, les papiers d'identité et je crois que c'est tout. On allait dans un endroit chaud donc on n'aurait pas besoin de beaucoup de vêtements. La première fois qu'on avait organisé un groupe de sport, on n'avait pratiquement pas porté de vêtements alors …

Au départ on chantait, on rigolait, la nuit tombait sur le bus et on s'endormait les uns après les autres. Un peu avant minuit on était réveillé, on roulait encore mais un responsable de bus venait réveiller les moniteurs, Antoine et moi nous en faisions partie. 

On n'irait pas jusque là bas en bus, il y avait trop de distance mais en train rapide. Une nouvelle ligne de trains qui pouvait rouler à plus de quatre cent cinquante kilomètre heures. Le train partait à minuit, nous avions cinq mille kilomètres a faire, don presque la moitié sur la terre, nous devions  arriver en début d'après midi. Pour le moment notre mission était de réveiller en douceur tous nos camarades et surtout de n'oublier personne. Le train ne nous attendrait pas.

Il étaient ronchons les petits jeunes. C'est vrai qu'on les réveillait en pleine nuit et en plus on les bousculait un peu pour qu'ils ne traînent pas. Je me souviens ce soir là, je les comptais, les recomptais, mon obsession était surtout de n'en oublier aucun. Chacun des moniteurs comptait les passager de son bus, six moniteurs par bus, le compte était bon. On était donc rassurés quand le train démarrait, le départ se faisait tout en douceur. Ce train avait l'air complètement futuriste, un croisement entre le TGV et le Concorde pour ceux qui se souviennent des vieux moyens de transport des siècles passés … C'était très confortable, on ne ressentait rien, il fallait regarder par les fenêtre pour se rendre compte qu'on avançait. A cinq heure du matin nous avions déjà fait près de la moité de la route. Les jeunes commençaient à se réveiller, et restaient sans voix devant le paysage.

Une gigantesque étendue d'eau jusqu'à l'horizon. Nous étions sur la voie maritime. Une voie construite sur l'eau, trois mille kilomètres de ligne droite sur l'eau, un panneau lumineux nous indiquait qu'à ce moment notre vitesse dépassait les quatre cent kilomètres heures, et tout ça dans le plus grand confort. On n'avait aucun point de repère aussi il fallait se fier au panneau lumineux pour connaître notre vitesse. 

Au début, le groupe était calme et silencieux mais ça ne pouvait pas durer … Faut pas rêver !

Il y avait Florian dans le groupe, il venait me remercier. Bon d'accord j'avoue, je l'avais un peu pistonné pour qu'il puisse participer et il était vraiment content. Un petit déjeuner copieux était servi sur place, ça discutait, ça rigolait, ça commençait à s'agiter, ça commençait déjà à me fatiguer tout ça ! 

Mais c'est qu'ils sont pleins d'énergie les petits jeunes, bon d'accord les plus jeunes on trois ou quatre ans de moins que moi mais j'ai déjà donné moi! Je me réfugiais dans une cabine libre et je fermais les rideaux, quatre places, je me détendais avant notre arrivée. J'avais à peine fermé les yeux que la porte s'ouvrait, une silhouette se glissais. Je l'entendais fermer le verrou.  

Moi : ( dans ma tête ) Ce doit être Antoine … 

Je ne bougeais pas. Je sentais la douceur d'une caresse sur mon torse, je souriais et poussait un léger gémissement pour montrer mon approbation et encourager Antoine !

C'est ce qu'il devait comprendre le bougre. Je reconnaissais bien sa douceur, je le laissais faire. Il est mignon Antoine, on vit ensemble et au niveau cul on s'était éloigné mais pas de beaucoup. Et puis j'aime bien le contact d'Antoine, la douceur de sa peau, la chaleur de son corps, il est sensuel en plus, très sensuel !

J'avais l'impression qu'il ne m'avait jamais caressé avec autant de sensualité, autant de douceur. Je me sentais bien et je n'ouvrais pas les yeux mais j'affichais un sourire ravi. Il avait ouvert ma chemise, et je sentais le bout de son nez qui me chatouillait le corps, depuis les tétons jusqu'à mon ventre.

Tiens ! Il ne me le fait pas souvent ça ? Ça chatouille ça ! Je frémissais. Je sentais le bout de sa langue se me caresser la peau, il faisait ça avec beaucoup de douceur, je le reconnaissais bien là. Il est câlin Antoine. C'est vraiment dommage qu'on soit obligé de garder notre cage de chasteté. Pour les prochaines vacances il faudra que je lui propose de la retirer. C'est vrai quoi, on a le droit de le retirer pendant les vacances !

Là il me suçait les tétons, comme ça non plus il ne me le fait jamais, c'est nouveau mais pas désagréable. J'avais la tête penchée en arrière je le laissais faire et tan pis si il me fait un suçon à son tout pour se venger. C'est trop bon ce qu'il me fait là. J'avais pas très bien dormi et souvent dans ces cas là, je bande comme un fou le matin, aussi je ne vous dis pas, avec ce que Antoine me faisait je sentais ma queue comprimée dans sa cage un peu comme un saucisson dans son filet.

De ce côté là, ce n'était pas agréable mais la douceur des caresses d'Antoine c'était génial. Je passais ma main sur son dos et ses épaules, il portait un polo ( ? ). Il me semble que quand on est parti de l'appartement il portait une chemise comme la mienne … 

Il m'embrassait sur tout le corps, avec une telle délicatesse, je le sentais à peine, ses baisers seuls étaient de plus en plus forts et devenaient intenses. Je soupirais avec force, je posais ma main sur ses cheveux … Cheveux courts  et bouclés ! 

C'était pas Antoine !

Je relevais la tête, et le regardais. Il en faisait de même. C'était une  première année ! Je me disais dans ma tête : '' Ça promet, il commence déjà comme ça lui ''. Il était mignon, paraissait jeune, il l'était il venait juste d'avoir dix neuf ans, trois mois après la rentrée, il était limite au niveau âge. Il faut avoir dix neuf ans pour être accepté dans cette fac. Mais il était vraiment très mignon ! Il me souriais, je lui rendais son sourire avec peut être un peu de surprise dans le regard.

Mike : Salut Djé. Ça va ?
Moi : Salut ! T'es qui toi ?
Mike : Mike !
Moi : Salut ! Mike ! Ça va ?

Il posait alors ses lèvres sur les miennes et je n'avais pas besoin de me forcer  pour lui rendre son baiser. C'est avec beaucoup de plaisir que je le faisais ! Il se relevait et retirait son polo. Il dévoilait un corps superbe et totalement imberbe. 

Un corps imberbe n'est vraiment beau que s'il est bien musclé et parfaitement proportionné. Les poils peuvent quelquefois gommé quelques défauts, même si on est un peu dodu ! Mais lui, là il était vraiment très beau, je devinais aux traits de son visage qu'il devait être métis, sa peau était agréablement bronzée. J'avais dans mes bras un garçon magnifique. J'en ai de la chance … Sauf que ! Mon dispositif de chasteté me faisait presque mal à ce moment. 

Ça vous étonne vous, j'aurais bien voulu vois y voir. La tension devenait tellement forte que le dispositif se soulevait avec une force incroyable et tirait sur la peau, je le réajustais d'un geste rapide et ça passait. Il me regardait faire, il en faisait de même mais lui il ne se contentait pas de glisser sa main dans son pantalon, il laissait tomber son pantalon. 

Mais c'est quoi cette nouvelle mode qu'ils suivent tous, il ne portait pas de sous vêtements. Mais ces jeunes, je ne vous dis pas ! Est-ce que ? … C'est vrai j'avais oublié, je ne porte pas de sous vêtements moi non plus ! Il le remarquait vite car si à ce moment il était nu, moi j'avais encore mon pantalon, il me l'ouvrais, y glissait la main, il me faisait un sourire puis tirait mon pantalon sur mes pieds avant de me le retirer totalement. 

Je soulevais le bassin pour l'aider, il me couvrais alors de baiser le bas de mon ventre, les parties de ma peau qu'il venait de dégager de mon pantalon, la seul partie qu'il évitait c'était la cage de chasteté, c'est du titane, c'est pas la peine mais il glissait la langue juste à la base de mon sexe, juste là ou le cock-ring touche le haut de ma cuisse. Je penchais la tête sur le côté et je pouvait contempler son corps, son dispositif était de taille moyenne, il devait avoir une queue de taille moyenne, même si c'est quelquefois trompeur ! 

Je le caressais mais la position dans laquelle on était ne me permettait pas de descendre mes mains beaucoup plus bas que ses épaules, je lui caressais les cheveux, c'était amusant ces cheveux qui rebiquaient, à voir on aurait pu penser qu'ils étaient rêches mais ils étaient doux, très doux et très soyeux. C'était amusant si je frôlais ses cheveux les mèches rebelles me chatouillaient la paume de ma main, ses cheveux étaient aussi doux que ses baisers, et ses mèches rebelles me chatouillaient tout comme le bout de sa langue qui se glissait dans des recoins que j'avais presque oubliés à la base de ma cage de chasteté.

Je respirait fort, je frémissais, je tremblais, c'était très agréable et un peu inattendu aussi. Enfin inattendu avant notre arrivé à destination … Parce que après … J'avais tout prévu, je n'avais pas de maillot de bain. 

J'allais me relever pour lui rendre la politesse au moment ou il me glissait deux doigts dans le cul. Je sursautais de surprise, il n'avait pas prévenu, mais il y allais avec la douceur qu'il m'avait montré jusqu'à maintenant. Il s'était bien lubrifié les doigts et ils entraient sans résister, surtout que je … 

Ouai c'est pas la première fois pour moi ! J'avoue ! C'était bon, c'était tellement bon que je commençais à gémir de plaisir quelques instants plus tard seulement. Pour lui non plus ce n'était pas la première fois, je peux vous le garantir. Il savait ce qu'il faisait le petit jeune. Remarquez il ne faut pas se fier à l'âge, mon frère est plus jeune que ce petit là et il paraît qu'il est lui aussi un expert. Même depuis que Bob porte un dispositif, mon frère arrive à le faire grimper au rideaux. 

Tout ce qu'il me restait à faire c'était écarter les cuisses pour lui faciliter le travail, et … Rien ! Juste le laisser faire. Je ne sais pas combien de temps ça a duré, je frémissais, il me massais la prostate, je tremblais, il faisait une pause et reprenais, je me tordais, il faisait une pause et quand il reprenait je convulsais. Je ne contrôlais plus ma respiration ni mes gémissements, il ne s'arrêtait pas, je ne contrôlais plus les réaction de mes bras et brusquement dans un râle de plaisir je jouissais. Deux giclées de sperme parvenaient à s'éjecter de ma cage et retombaient sur son épaule, le reste coulait de ma cage, c'est là qu'il l'a suçait, il ne laissait rien se perdre. Au moment ou il allait se relever, d'un mouvement rapide je me penchais sur lui et embrassais ses épaules en faisant disparaître toutes les traces de sperme. Il réajustais ses vêtements, se penchais vers moi, me donnait un baisers sur la bouche et se glissait hors de la cabine avec la même discrétion que quand il était venu.

Je restais là sans bouger, complètement à poil me demandant un peu ce qu'il s'était passé, si j'avais rêvé ou bien. En tout cas si c'était un rêve c'était un beau rêve et j'allais pas me plaindre …

Je me rhabillais et continuait à me détendre. Ça chahutait encore pas mal à l'extérieur, rien que de d'y penser ça me fatiguait. Et ce n'était que le début , il y en aurait pour deux semaines avec une bande de post adolescents déchaînes, pleins d'énergie qui allaient se montrer aussi agités que bruyants que … Câlins peut être … Ça a aussi de bons côtés finalement !



Ep 80 : UNE ILE



Il restait encore quelques heures avant l'arrivée. Malgré le bruit et l'agitation des gamins ( oui je sais on n'a que trois ans d'écart ! ) je me sentais détendu moi maintenant. Je me demande bien pourquoi, si vous avez une idée sur le sujet … Je pensais à Mike.

Certains chantaient, d'autres écoutaient de la musique, d'autres encore jouaient à des jeux de société ou encore lisaient, il y en avait qui regardaient un film et quelques un, oh ceux là ils n'étaient pas nombreux, regardaient le paysage … Là il fallait vraiment se faire chier … Le seul paysage que nous avions depuis des heures maintenant c'était de l'eau. Nous étions sur un rail posé sur un pont posé sur l'océan. Un pont qui faisait plusieurs milliers de kilomètres de long jusqu'à notre destination. Un peu plus tôt on avait traversé une route maritime et là on avait vu plein de bateaux mais maintenant il n'y avait plus rien, aucun point de repaire, juste une  étendue d'eau qui n'en finissait pas ! On avait l'impression de faire du sur place alors que notre vitesse n'était pourtant pas loin des quatre cent kilomètres heure.

J'avais rejoint le groupe, Antoine venait s'asseoir à côté de moi.

Moi : Tu connais un p'tit jeune qui s'appelle Mike ?
Antoine : Un première année, frisé, le corps totalement imberbe et super bien foutu ?
Moi : J'ai comme l'impression que tu le connais. 
Antoine : Je l'ai un peu entraîné depuis trois mois !
Moi : Il est mignon !
Antoine : Moi je lui ferais bien un câlin.
Moi : Je peux te dire qu'il n'est pas farouche !
Antoine : Tu as fait sa connaissance ?

Je lui racontais. Ça l'amusait beaucoup. Un cri retentissait …

… '' On arrive, regardez on ralentit ! '' …

Le compteur en effet descendait en dessous des trois cent kilomètres heure, peut après il descendait en dessous des deux cent. On ne ressentait rien, absolument rien, le confort restait total, on n'entendait pas le moindre bruit des roues sur les rails, on avait pas l'impression de se déplacer. Pendant un moment tout le monde regardait le compteur puis passait à autre chose … Ils reprenaient leurs activités. Un peu avant onze heures on roulait au ralenti à environ cent trente, pour nous ça ne faisait pas de différence mais, on savait alors qu'on n'était plus très loin.

On m’interpellait .

Joey : Eh Msieu Djé je peux te poser une question dis Msieu Djé.
Moi : Et tu m'appelles Msieu toi maintenant Joey ?
Joey : Tu peux m'expliquer pourquoi, il est onze heure et que le soleil il est si bas dis Djé !

C'est Joey, un première année, ça fait un moment que je l'ai repéré celui là. Il est marrant, il ne m'appelle jamais Msieu d'habitude, là il fait le clown c'est tout.

Moi : On a traversé deux fuseaux horaire vers l'ouest, ça fait deux heures de décalage, deux heures en moins sur vos montres les jeunes. Vous pouvez vous mettre à l'heure.
Joey : Et pour le retour Djé on va encore gagner deux heures !
Moi : Mais tu es presque aussi bourrique que mon frère toi, là on recule les montres au retour il faudra les avancer.
Joey : Ah ouai ! Tu es sûr !
Moi : Que tu es une bourrique ? Oui !
Joey : Ok Djé !

Il est un peu bourrique mais il n'est pas contrariant, c'est déjà ça ! Puis … des questions fusaient de partout.

… Eh dis Djé, c'est vrai qu'on aura le droit de rester à poil toute la journée ?
… Eh dis Djé, on pourra faire du parachutisme ?
… Eh dis Djé, on pourra faire du parachutisme à poil ?
… Eh Djé, dis y a des requins ?
… Eh Djé, dis les requins ça n'a pas de poils ?
… Eh dis Djé … 
… Etc ...

A côté de moi, Antoine était plié de rire, les autres moniteurs, ou animateurs on ne savais trop comment les appeler, étaient pliés de rire également. Moi je soupirais en me disant … Ça y est ça commence …

On voyait des côtes se dessiner de chaque côté du train, nous roulions alors à cent kilomètre heure,  peu après on roulait sur la terre ferme, la vitesse diminuait toujours. On arrivait dans une forêt, on roulait alors à moins de cent. Puis on entrait dans un tunnel. De nouveau c'était le calme dans le train, tout le monde regardait l'extérieur, nous arrivions sur une île à plus de deux mille kilomètres du continent. Jusque là on ne pouvait venir ici qu'en avion ou en bateau. Nous, on était venu en train et en plus presque aussi vite qu'en avion. 

Le chef du camp prenait la parole. 

Le chef : Bon les jeunes, on m'écoute ! Comme vous avez vu, on arrive. C'est le terminus, on va prendre un bateau pour nous rendre sur une petite île qui appartient à la PK ! La bas on sera entre nous. 

… On pourra se mettre à poil ?

Le chef : On se calme les jeunes, on se calme ! Tout à l'heure vous pourrez vous promener dans la tenue que vous voulez. 

Cette dernière phrase était reçue par des cris de joie et il n'avait pas terminé son discours que déjà la moitié des membres du groupe était prêt à partir. C'était encore plus fou que la fois ou avec Antoine on était allé au groupe de sport à la montagne. Les participants n'attendaient que ça.

… On peut pas se mettre à poil tout de suite ?

Le chef : Pas avant de descendre du bateau !

Une voix se faisait entendre : ''… Le bateau ? Oui mais là on est dans un train ! '' … Et justement le train s'arrêtait. Toute cette équipe sortait tranquillement du train, on se faisait un peu remarqué, mais c'était cause de notre nombre. 

Quand on nous a dit que notre embarcadère se trouvait à dix bons kilomètres de la gare personne n'a râlé. Au contraire après plus de huit heures dans le train on avait envie de se défouler et il ne nous fallait pas bien longtemps pour faire la route. 

Antoine et moi arrivions en premier avec les responsables, pour fermer le cortège quelques plus anciens comme nous suivaient. On leur montrait le bateau et ils fonçaient tous comme des fous, j'en profitais pour les compter au passage. Le capitaine regardait ça sans trop y croire, il n'avait jamais vu un embarquement aussi rapide. On prenait la mer et pendant la traversée on nous expliquait l'organisation.

Il n'y aurait pas de hiérarchie entre nous, on était tous des étudiants un point c'est tous, les plus vieux prendraient en charge les plus jeunes pour les guider et les conseiller, surtout sur les points délicats. J'en voyais plus d'un qui caressait leur dispositif sous le pantalon ou le short. On se prenait un peu moins la tête que la première fois. Le débarquement était encore plus rapide que l'embarquement, tout le monde était déjà à poil et certains trouvaient plus rapide de terminer à la nage. Mike et Florian en faisaient partie.

Chacun s'installait ou il voulait avec qui il voulait, des groupes se formaient rapidement par affinité. J'entendais une voix qui ne m'était pas familière … '' Djé, Antoine il y a encore des place dans cette cabane là, à côté du groupe de palmiers et elle a une super vue sur le lagon . ''

On n'avait pas identifié exactement qui m'avait appelé mais par réflexe on s'y rendait rapidement et on y retrouvait Florian, Mike arrivait juste après nous. C'était lui qui nous avait appelés, les deux petits jeunes gardaient farouchement la cabane en espérant pouvoir être avec nous. Ils son mignons tout de même, depuis la petite terrasse il y avait une superbe vue sur le lagon et le soleil couchant, enfin quand il se coucherait. Les cabanes étaient installées sur environ cent mètre le long de la plage, ici pas de marées ou si peux, on avait vraiment l'impression d'être au paradis ! Quarante baraques nous étions plus de cent cinquante, le compte était bon.

Une cloche retentissait, je ne sais pas comment ils font les jeunes pour repérer ces détails, ni Antoine ni moi ne réagissions mais nous étions bien les seuls … C'était la cantine et ils fonçaient comme des fous furieux vers le bâtiment d’où venait le son. 

Antoine : Alors ça, c'est l'instinct de survie !
Moi : Dès qu'il s'agit de bouffe ! 
Antoine : Si on y allait aussi avant qu'il ne reste plus rien !

Quant on arrivait, nos deux colocataires nous avaient gardé une place à leur table, il sont vraiment mignons tout de même. J'ai pratiqué les deux, mais le dernier Mike était particulièrement attirant. Attention je ne dis pas que Florian … Lui aussi il est adorable mais Mike … A part les cheveux et un léger duvet sur le menton il n'avait pas un poil sur tout le corps, il s'épilait c'était évident, mais ça lui allait tellement bien !

Un des enseignants qui nous encadrait arrivait vers moi et me glissais une note … '' Tiens, vu qu'ils n'en ont qu'après toi ! Tu peux lire la note s'il te plaît ''.

Je me levais et lisait. Il n'y avait plus un bruit. Je regardais autour de moi ils me fixaient tous. 

Moi : Bon, on vient de me donner cette note … de service … : Aujourd'hui . Installation, vous pouvez vider vos bagages ( fous rires dans le groupe ), oui je sais , ça ne devrait pas être long. Ensuite, plage surveillée sur deux kilomètres de chaque côté, forêt de cinq de large derrière la dune, il n'y a pas de serpent venimeux sur l'île … Ta , ta , ta … Bref amusez-vous bien et soyez sage … Ça c'était moi, c'était pas la note. 

Éclats de rires, le bruits reprenait et le repas était vite terminé. Le reste de la journée, on bronzais, on se baignait, on jouait au foot … Bref on s'occupait et on restait sage. Enfin presque tous !

Dans l'après midi je retrouvais Antoine.

Antoine : Tu es ici toi ?
Moi : Pourquoi tu me demandes ça ?
Antoine : La cabane, tu sais la notre, la porte et les volets sont fermés … Je pensais que …
Moi : Tu as vu Mike et Florian ?
Antoine : Non pourquoi ? ( il me regardait ) … Nonnnnnn …

On s'approchait de la cabane, on collait chacun une oreille à la porte et au volet, et bien sûr, il fallait s'y attendre, on entendait des murmures et des gémissements. On entrait sans prévenir !

Florian sursautait il était allongé sur un lit, les jambes dans le vide. Mike ne bronchait pas et continuait à caresser le corps de notre camarade il était replié sur Florian. À genoux, penché sur Florian. Il tournait la tête …

Mike : C'est maintenant que vous arrivez ?

Antoine et moi échangions un regard incrédule puis on fermait la porte. Je m'approchais de Mike, me penchais sur lui et l'embrassais sur le dos. Rapidement je lui caressais les fesses, sa position les rendait très accessibles, j'appuyais sur son cul et je le voyais se resserrer après chaque contacte. Je lubrifiais et j'enfonçais deux doigts, direct, sans prévenir. Je l'entendais gémir de plaisir, son anus se contractait fortement autour de mes doigts.

Antoine s'était installé lui aussi à genoux également sur le lit, penché en avant, les lèvres sur le torse de Florian. Je voyait Florian relever les mains ver Antoine, et lui caressait les bras, je voyais un bras passer sur le dos de mon ami Antoine. Antoine se retenait avec les deux bras pour ne pas écraser le visage de Florian, il ne le touchait que du bout des lèvres, Florian pouvait atteindre ses fesses et ne s'en privait pas. Pendant que l'un embrassait l'autre partout ou il pouvait poser ses lèvres, l'autre caressait le premier partout ou il pouvait passer la main. 

Mike avait relevé la tête et à le voir, il aimait. Il aimait même beaucoup, je lui massais énergiquement la prostate. Je sentais la force avec laquelle son anus tentait de se refermer, il forçait mais c'était volontaire. Mike se concentrait et serrait les fesses comme on dit. Je faisais rouler mes deux doigts l'un sur l'autre, et je le sentais gémir, il gémissait mais ce n'était pas une plainte.

Antoine s'allongeait à côté de Florian, en position du célèbre 69, chacun passait sa main dans les parties les plus sensible de son camarade, une main se promenait sur toute la hauteur du dos de l'un. Deux doigts se glissaient dans le cul de l'autre. L'un gémissait, l'autre râlait.  Les visages s'écrasaient sur le ventre de leur partenaire. Je voyais Antoine mordiller doucement la hanche de Florian, juste au dessus du bassin puis un peu plus dans le dos tout près des reins. Florian tremblait, passait une main sur les cheveux d'Antoine avant de glisser sa tête entre ses cuisses et de lui sucer les couilles.

Je m'étais penché sur le dos de Mike, avec une main je lui caressais le ventre, je remontais jusqu'à ses tétons. Sa peau totalement lisse laissait deviner chaque muscle, je l'embrassais dans le dos, tout en haut de son dos sur la colonne vertébrale. Je le sentais frémir et en même je sentais toujours son anus se contracter. Je ne pouvais pas savoir si c'était c'était mes baisers ou mes massages de la prostate qui le faisait frémir.

J'entendais Florian qui râlait un peu plus fort depuis un moment, je relevais la tête et continuais à agiter les doigts. A son tout Mike râlait plus fort. Antoine faisait subir à Florian ce que je faisais subir à Mike et les deux gamins de toutes évidence semblaient beaucoup apprécier ! Mike respirait fort et vite brusquement, il râlait à chaque expiration et se lâchait, je sentais son cul se contracter, se détendre et se contracter de nouveau, et encore avant de se refermer sur mes doigts de toutes les force de ce petit muscle, il avait l'air étroit   le petit Mike, c'est à ce moment qu'il s'abandonnait, à ce moment je lui caressait les couilles et je sentais un flot de sperme couler de sa cage. Je continuait à lui masser les couilles.

Quelques instants plus tard c'est Florian qui jouissait il était allongé sur le côté et je voyais le jus blanc couler de sa cage. Les deux gamins se laissaient tomber sur le dos mais pas dans le même sens.

Antoine et moi les regardions, on était chacun d'un côté du lit, un peu essoufflé, il  faisait chaud mais pas tant que ça. J'ouvrais les volets et la porte. Nos deux camarades se relevaient avec un grand sourire, ils sortaient alors en courant, on les suivait des yeux, ils couraient vers l'eau et quand ils y arrivaient il terminaient par un plongeon. 

On s'attendait à les voir revenir, mais non … Ils ne revenaient pas, ils nous laissaient là.

Antoine : Ils sont mignons !
Moi : Ils vont revenir non ?
Antoine : Mais c'est qu'il ne reviennent pas !
Moi : Ils ne nous ont pas oublié ?
Antoine : Bein j'ai bien l'impression que si !
Moi : J'y crois pas !
Antoine : Ils sont encore pires que nous !
Moi : Ça promet !


Moi : Tu ne trouves pas qu'il fait plus chaud maintenant que la porte et la fenêtre sont ouvertes. 
Antoine : Ils n'ont tout de même pas climatisé les baraques ?
Moi : J'ai bien l'impression que si !

On se laissait tomber sur le lit, l'un à côté de l'autre. 

Moi : Tu crois que ça va bien se passer ?
Antoine : En tous cas, c'est bien parti !

Sans le faire exprès Antoine relevait un pied et se prenait dans la sangle du sac à dos de Florian, il se soulevait et son contenu se retrouvait sur le sol .

Antoine : C'est quoi ce truc, on dirait une saucisse de Francfort en caoutchouc.

Je relevais la tête attrapais le truc.

Moi : Ouai , c'est génial ! C'est le gigoteur, je ne savais plus ce que j'en avais fait ! Je me souviens maintenant ! Je l'avais donné à Florian la dernière fois que …

Antoine : La dernière fois que …
Moi : Je l'avais montré à Florian et il avait aimé.
Antoine : Et ça marche comment ce truc ? C'est quoi d'abord ?

Je lui expliquait.

Moi : C'est un gode, tu l'introduit complètement dans ton cul, la ficelle c'est pour le récupérer plus facilement … Et là tu comprendras pourquoi ça s'appelle '' Gigoteur ''.

Ça semblait l'intéresser ce truc … Pas de doute, ça devrait se passer très bien ce petit séjour !  

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