FRANCK 01
Moi c'est Bob, en fait je m'appelle pas Bob mais j'ai un double prénom ridicule alors ... Moi c'est Bob ! En plus Bob, c'est le premier mot que j'ai prononcé quand j'étais tout petit, alors depuis tout le monde m'appelle Bob. J'ai 43 ans 1M70 , 72 kilo...
Franck est un garçon absolument adorable. Je l'ai rencontré il y a environ un an, j'étais tranquillement en trains de pisser dans les toilettes d'un bar, concentré à pisser en dirigeant le jet au travers de ma cage de chasteté, je n'avais pas vu que quelqu'un arrivais à côté de moi ! Il s'était lui aussi mis à pisser quand il vit mon dispositif, à ce moment je regardais dans sa direction et ... il avait une bitte énorme et commençait aussitôt à bander. Je regardais son visage, il avait les yeux rivés sur ma bitte et sa cage ... Et en même temps il avait un beau sourire. Au bout de quelques instants il bandait tellement qu'il ne pouvait plus pisser, ce qui me fit rire ... Et lui aussi. Je terminais tranquillement tout en me marrant puis passais au lavabo ou je prenais le temps de le laisser me rejoindre en me lavant les mains. Il se dépêchais de terminer puis essayais de ranger son matos dans son pantalon, ce qui ne semblait pas si facile dans l'état ou il était. Il me rejoignait sans tenter de dissimuler son entre jambe, il bandait a fond et c'était énorme, il se plaçait à côté de moi et en me regardant dans le miroir.
Franck : Tu portes toujours ce genre de dispositif sur toi, Oula, ça doit faire mal ?
Moi : Et toi , tu portes toujours cette matraque sur toi ? Oula, ça doit être dangereux ?
Franck : Je te paye un verre, on pourra discuter un peut ?
Moi : Avec plaisir !
Avant de sortir des toilettes Il sortit sa chemise de son pantalon, ça faisait un peut négligé mais c'était plus discret, on voyait moins qu'il bandait.
On a bu quelque verres, on a bien rigolé, il m'a invité chez lui, il m'a baisé fort de ses 22 cm sur plus de 5, on s'est revu, puis il est devenu mon keyholder ... Aujourd'hui il m'a invité à souper avec insistance en me disant...
F :Viens ce soir, j'ai une petite surprise pour toi.
M : J'adore les surprises, c'est quoi ? c'est quoi ? C'est quoi ? ...
F : Si je te le dis, ce ne sera plus une surprise .
M : Bon d'accord, 19 H, j'emmène le pinard ...
J'ai prévu deux bouteille de bordeaux grand cru ''Haut médoc'' soyons fous. On va terminer bourrés mais c'est pas grave. Les relations que j'ai avec Franck ne sont pas du genre SM, dominant dominé, c'est en fait une relation très cool, une relations d'amants qui aiment bien baiser ensemble, simplement un des deux est encagé... Il ne m'a libéré que deux fois, depuis un an, et la dernière fois c'était il y a bientôt sept mois ... Alors autant dire que j'ai toujours le feu au cul ! Mais bon il assure, et il a ce qu'il faut pour me satisfaire 22 cm sur 5 ... Tout de même ... Belle gueule, 1 mètre 85, physique bien proportionné agréablement musclé. Bien quoi, je suis verni !
Franck habite en pleine campagne, près d'un petit village bien perdu et bien tranquille, il a un jardin très privatif ou on peut bronzer à poil sans problème. Une route secondaire, puis un large chemin et pour terminer une allée, là on passe le portail puis au bout une petite maison, ancienne mais bien entretenue, très sympathique avec une cheminée, en hiver c'est le pied, et voilà je suis arrivé. Sa maison est super bien décorée, il travaille dans un atelier ou il fabrique tout un tas d'objets en métal et en bois, depuis les lampes de chevet, le petit mobilier, jusqu'aux objet de décoration de tout type ... Récemment il m'a montré sa dernière réalisation, un petit moteur stirling qui fonctionne parfaitement, une commande spéciale pour un collectionneur.
Je sonnais pour lui annoncer mon arrivée, j'entrais, il arrivait pour m'accueillir et me prenant les bouteilles des mains, il me donnait un baiser.
F : Ouah , Bordeaux Grand Cru ... Haut Médoc, ouais, ça c'est du pinard ... allez on va y goûter ... Je te laisse t'installer, tu connais la maison, je vais chercher les verres.
M : Mais dis-moi, pourquoi insistais-tu tellement pour m'inviter ce soir ?
F : Quoi tu te rappelle pas, là tu me fais de la peine ... Snif ... Allons quand même...
M : J'ai bien une petite idée mais je suis pas sûr .
F : Si, si c'est bien ça, toi et les dates tu n'y arriveras jamais ...
M : Alors c'est ce soir notre premier anniversaire .
F : Le premier anniversaire de notre rencontre, tu te souviens? Une soirée inoubliable. J'ai kiffé grave sur ton bazar . Tu veux pas me faire plaisir, fou toi à poil!
Pendant qu'il ouvrait un bouteille et choisissait les verres, je me déshabillais, et me vautrais sur le canapé, les jambes écartées, mon dispositif de chasteté bien en évidence.
M : Tu kiffes toujours autant de me voir à poil avec ma cage de chasteté? Non ?
Il revenait avec deux verres pleins et la bouteille sur un plateau, et pour seule réponse il me tendais un verre avec un grand sourire. Il s'était habillé ... pantalon du dimanche, une chemise, veste cravate, et moi j'étais à poil ...
M : Mais t'es beau comme un pape, je ne savais pas que c'était une soirée habillée, j'aurais mis un nœud papillon.
F : Tu kiffes sur moi quand je suis en costume, et moi c'est quand tu es à poil, surtout avec ton petit dispositif, alors tout le monde est comptant.
Je me relevais pour trinquer, je l'embrassais et lui me caressait le bas ventre.
M : Alors cette surprise ? C'est quoi dis ? C'est quoi ?
F : Il faudra attendre pas avant la fin du repas !
M : Bon alors on passe à table !
Je me levais et faisait deux pas en direction de la table. Il m'arrêtais en attrapant mes couilles et tout en me les caressant doucement ...
F : Du calme on va d'abord terminer cette excellent pinard. On garde la seconde pour le repas, on va être bourré mais bon c'est un grand jour.
M : On va être bourré ? JE vais être bourré ! Et je sais par qui .
F : Mais tu râle ou quoi ! Quel caractère, je t'ai promis une surprise et tu râle. Si tu continues je te supprime la surprise ...
M : Non pas la surprise.
On continuait à discuter un moment avant de passer à table, il n'a rien voulu me dire sur la surprise, sinon que, bien sûr c'était en rapport avec l'anniversaire et que ça allait me plaire et me faire délirer .
Le repas se passait très bien il avait mis les petits pots dans les grands dîner aux chandelles, comme il me trouvais un peut trop négligé, évidemment j'étais toujours à poil, il m'avait donné un nœud papillon. C'est fou mais il faut le reconnaître … Un rien m'habille!
On se retrouvait sur le canapé du salon, bien allumés, évidemment la seconde bouteille était presque vide à son tour. Il lançait un film porno, un truc bien hard, j'aime bien, un film dans lequel un mec bourré se faisait violé par son meilleur pote qui l'avait attaché, profitant de son état. Je disait rien, j'attendais qu'il aborde le sujet, la surprise, je le regardais avec un sourire complice, il me rendait mon sourire et mon regard.
F : Tu dis plus rien. Alors la surprise ça ne t'intéresse plus.
M : (prenant l'air dégoûté) Non finalement non plus maintenant ...
Je lui jetais un regard puis reprenais.
M : Alors c'est quoi cette surprise ? Je craque !
F : Mon cul !
M : Mais je t'en pris, soit polis, non mais c'est pas parce que tu vas m'enculer...
F : La surprise , c'est mon cul, je veux que tu m'encule, comme dans ce film. Tu vas m'attacher, me bâillonner, puis m'enculer. Je veux savoir ce que ça fait de se faire violer.
Après un court silence...
M : T'es sûr ?
F : Oui j'en suis sûr. Ça fait un an que je te défonce le cul régulièrement, tu ne peux même pas te branler. Ça fait un an que tu me suce à chaque fois que j'en ai envie, que je te retourne comme je l'entends, alors je veux savoir ce que ça fait de se faire défoncer le cul, de se faire limer, de prendre des coups de butoirs sans ménagement, en un mot ce que je te fais subir depuis un an.
Je le regardais sans savoir quoi dire et je restais là, comme un con la bouche ouverte sans prononcer un mot, je le regardais sans trop y croire. Il ne s'était jamais fait sodomisé ...
F : Alors quoi , dis quelque chose, reste pas comme ça, et ferme la bouche tu vas avaler de l'air.
M : D'accord!
Il me répondais par un sourire, et avalait une grande gorgée de vin, j'en faisais de même.
M : Mais tu t'es jamais fais sodomisé .
F : Non jamais!
M : Ça va faire mal!
F : C'est pour ça que je veux être attaché.
M : T'es sûr.
F : Tu me l'as déjà demandé, oui je suis sûr.
M : Mais ça va faire très mal !
F : Moi quand je te défonce le cul, ça te fais pas mal!
M : Mais moi j'ai l'habitude, et j'aime bien ta grosse queue!
(un moment de silence)
M : Mais ça va faire vraiment très mal!
F : Ta queue est plus petite que la mienne, non ?
M : Pas tellement en diamètre, en longueur oui largement, mais pas tellement en diamètre.
F : M'en fou, je veux que ce soit toi qui m'encule. Ça fait déjà un moment que j'y pense. Je veux savoir ce que ça fait que de se faire violer.
M : Attaché !
F : Oui au cas ou je trouverais ça vraiment trop insupportable, au cas ou ça ferait vraiment trop mal. Je serais obligé de subir jusqu'à la fin...
M : Au cas ou ça ferait vraiment trop mal . Tu as pensé à tout ! Mais ça va faire vraiment ...
F : ''Je sais! '' ( me dit – il fermement en me coupant la parole ! )
M : Bâillonné !
F : Comme ça je pourrais pas gueuler, de toute façons la maison est isolée, mais c'est pour toi. J'ai peur que tu renonces si tu m'entends gueuler.
M : Tu as pensé à tout ! Mais tu vas gueuler tout de même et pas seulement.
F : Pas seulement ?
M : Tu vas pleurer !
F : Je suis un vrai mec, je pleure pas !
M : Un vrai mec se fait pas enculer!
F : Tu te fais bien enculer toi, pourtant tu es un mec !
M : C'est pas pareil, moi j'aime ça. Et puis j'ai peur de te faire mal, de te blesser.
F : C'est un risque à prendre, c'est un risque que je prends !
(nouveau silence)
F : Je serai attaché pour ne pas pouvoir me dégager, bâillonné pour ne pas gueuler dans tes oreilles, et si je pleure donne moi des coup de reins encore plus violents. Je veux un viol, et un viol ce n'est ni tendre ni doux, c'est violent et ça fait mal. Alors vas y carrément ! C'est moi qui te le demande. J'ai mes raisons et je ne désire pas en parler, pas pour l'instant. Est tu partant oui ou merde!
M : D'accord ! Mais tu vas pleurer ta mère !
F : J'ai tout prévu, j'ai même mis un stimulant sexuel dans le repas, tu ne devrais pas avoir de mal à bander ...
Il se levait et me fit signe de le suivre au sous sol.
F : Ça fait combien de temps que t'as pas joui ... avec ta queue je veux dire ...
M : Ça fera 29 semaines dimanche prochain.
F : Tu jouis jamais alors?
M : Si mais, c'est pas pareil, tu me fais jouir avec ta grosse queue, quand tu me lime, les coups de reins bien à fond.
F : Tu crois que moi, je vais jouir ?
M : Non, toi tu vas avoir mal !
On arrivait dans l'atelier. Il avait dégagé son établi pour pouvoir y être attaché, tout était près les cordes pour les pieds garderaient les jambes bien écartées le cul bien offert, les bras attachés de chaque coté le bloquerait totalement, il ne pourrait pas bouger. Il avait aussi prévu un gros bâillon , il ne pourrais pas gueuler. Pendant que je faisait le tour de l'établi il se déshabillais rapidement ne gardant sur lui qu'une clé autour du cou. On était bien à moitié ivres et plus même, je sentais ma bitte se raidir dans sa cage, la situation ou le stimulant faisait son effet. Il était totalement à poil, se retournant vers moi.
F : Puceau du cul ... Je me livre à toi, dépucelle moi comme je t'ai demandé, sans ménagement...
Il se retournais et se mettais en position, allongé au dessus de son établi, les bras dans le vide, les pieds bien écartés. Je lui caressais les fesses doucement avant de lui attacher les mains doucement mais fermement, il surveillait en même temps ce que je faisait et me fit signe que c'était bon. À ce moment il me dit '' les pieds maintenant !''. Je lui attachais les pieds toujours en douceur, évidemment il n'essayait pas de résister, au contraire, il positionnait ses pieds pour être bien immobilisé... Arrivé à ce moment je me plaçait en face de lui et marquais une pause ...
F : Tu prends les clés à mon cou, tu me bâillonnes, et ensuite ... Comme je t'ai dis, sans ménagement, direct bien à fond, violent coup de rein... Dépêche toi avant que je ne change d'avis.
Je prenais les clés ...
M : T'es sûr ? Au moment ou tu auras le bâillon sur la bouche, ça sera parti, je ne m'arrêterais plus.
Il me répondit en gueulant.
F : Mais qu'est-ce que tu attends, tu devrais déjà être en train de m'exploser la rondelle, bordel! Merde quoi, vas y défonce moi l...
Je lui coupais la parole en lui posant le bâillon. Je retirais ma cage, l'anneau en prenant bien mon temps, il observais le moindre de mes mouvements, l'attente faisait parti du viol. Je bandais ! Puis je me massais doucement ma bite. Il avalait sa salive. Il regrettait peut être déjà... Trop tard !
Je continuais en me lubrifiant longuement la bite, puis lui caressais les fesses en les lubrifiant longuement aussi. Il se mit à réagir, grommela dans son bâillon, j'étais trop long et l'attente devenait trop longue. Toujours tout doucement je continuais lui introduisait un doigt puis deux doigts dans le cul toujours pour bien lubrifier. À partir de ce moment il ne bougeait plus... Sans prévenir, je lui enfonçais ma bite d'un coup, jusqu'à la garde pour terminer par un violent coup de rein! Il tentait alors de se redresser en contractant tous ses muscle et c'est certainement un hurlement de douleur que le bâillon dut étouffer à ce moment là ... Face à ce résultat, je me retirais un peu et revenais à la charge avec un gros coup de rein de nouveau, il relevais la tête en hurlant de tout son souffle au travers de son bâillon, il tendait tous ses muscles mais sans essayer de se dégager, il savait qu'il ne le pouvait pas. Moi de mon coté je commençais des vas et viens réguliers plus ou moins rapides, quelques mouvements rapides suivis de mouvement plus amples avec de temps en temps un violent coup de rein, c'est ce qui le faisait réagir plus bruyamment, là c'était vraiment de douleur terrible, mais à chacun de mes mouvements il réagissait avec force.
Après quelques minutes de ce traitement, il était en sueur, semblait être à bout, il tirait sur les cordes de toutes ses forces et tentait vraiment de se dégager mais il ne retournait pas la tête pour me regarder, il aurait pu essayer de communiquer, tenter de me faire savoir qu'il n'en pouvait plus …
Non, il encaissait, c'est tout ! Je lubrifiait au maximum car il était étroit le mec mais vue que ça faisait presque 7 mois que j'avais pas éjaculé ... ça ne devait pas durer beaucoup plus longtemps.
Je finissais par ce qui me semblait une super éjaculation accompagnée d'un violent coup de rein, et je m'effondrais sur lui. Son corps était tendu, il était en sueur, son souffle était intense, il tremblait, il gémissait, il pleurait ! J'avais joui, comme ... comme je ne me souvenais pas auparavant, je me retirais doucement lui arrachant encore quelques gémissements, tout allait bien mais lui il devait avoir vraiment mal ! Je lui caressais le dos avec douceur, mais lui se contractait à mon contact, il avait la tête penchée en avant , il chialait vraiment !
Moi : Ça va ?
Lui : Hen , hen . '' tout en bougeant la tête de haut en bas .
Moi : Bien on va remettre ça ...
Là il se mit gigoter dans tous les sens et à hurler au travers du bâillon, il devenait fou. Je commençais à lui caresser le dos tout doucement en lui disant ...
Moi : C'est bon je déconne, c'est fini, c'est fini.
Il se calmais, je lui retirais le bâillon, il continuait à gémir, le l'embrassais sur le dos tout en lui disant.
Moi : Reste calme, ne bouge plus, je vais te détacher.
Je lui détachais les pieds, puis les mains, je m'accroupissais devant lui, il avait une salle gueule, je lui caressais le visage. Il avait les yeux rouges, il arrêtait de pleurer!
Franck : Merci !
Moi : merci pour ? T'avoir enculé .
F : Non merci pour cette tendresse que tu me manifeste, c'est moi qui t'es demandé de m'enculer et je le regrette, mais pour le reste tu aurais pu te foutre de ma gueule parce que je pleure, tu aurais pu en rajouter, tu bande encore, tu aurais pu continuer. Je voulais savoir ... Maintenant je sais ... J'ai bien choisi la personne ... Merci ! Mais putain ça fait mal, à ce point là je le croyais pas.
Il restait un moment sans bouger, râlant régulièrement ... '' Ça fait mal, ça fait vraiment mal ton truc, j'espère que tu en as bien profité, c'est pas demain que tu pourras recommencer...''
Toujours en râlant il se relevais lourdement, s'étirait ...
F : Ça fait vraiment mal ton truc, je recommencerai pas, y reste du pinard ?''
M : Non, voilà tout ce qu'il reste . '' Je lui tendais son verre, il n'en restait qu'un fond.
Il avalait les dernières goûtes vin d'un geste rapide.
F : Bon il nous reste la bière, j'en ai tout un stock, je vais me passer le cul à l'eau froide, ça fait vraiment mal ton gros machin, on va pas tarder à le remettre en cage histoire que tu ne fasses plus mal à personne pendant un bon moment ... On se retrouve au salon, tu sais ou est la bière.
Un quart d'heure plus tard je le voyais rappliquer au salon, en râlant, '' Ça fait vraiment mal ton truc, je sais pas comment tu peut le supporter toi ?''. J'entamais ma deuxième bière, il prit une bière et se laissa tomber sur le canapé à coté de moi.
F : '' Alors tu apprécie ta soirée de liberté? T'inquiète elle est pas finie. Il y a toujours la surprise ..
M : La surprise, alors c'était pas ça la surprise? ...
F: En partie, seulement en partie .''
On a continué la soirée en buvant quelques bières en regardant la fin du film à la télé, quand il s'est terminé, j'étais complètement saoul, saoul mais content, je me branlais tranquillement Franck me laissait faire en me disant seulement
''Profites en, tu as la soirée de libre, après ... retour en cage pour une longue période ...''
Puis il se releva, mit un autre film, revint vers moi, se pencha sur moi et sans dire un mot commençait à me sucer longuement la bitte, c'était la première fois qu'il me le faisait. IL s'y prenait bien, il avait du y penser longuement auparavant, il faut dire que je lui avait souvent montré l'exemple. Il devenait de plus en plus entreprenant, il me masturbait, me suçait, m'embrassait, ses caresses devenaient de plus en plus intenses et son étreinte de plus en plus forte. Brusquement il se redressait me retournait et me pénétrait avec force, il m'enfilait ses 22 cm jusqu'à la garde terminait par un violent coup de rein, je le laissait faire ... C'est en gémissant que je laissais échapper '' Oui c'est bon !''
F : Tu aime ça dis, ça te fais pas mal ?...
M : Non , c'est bon, vas y continue, oh oui.
Il continuait à me bourrer le cul sans aucune retenue, et les cris que je poussais n'étaient pas des cris de douleur... Tous en me défonçant le cul, il passait ses mains devant moi, me retenant avec une et me masturbant avec l'autre, ça aussi c'était une première. Avec la cage de chasteté c'était de toutes façons impossible, mais ce soir là il en profitait et m'en faisait profiter. A plusieurs reprise j'ai failli jouir mais il s'arrêtait toujours à temps et faisait monter encore plus le plaisir. Il me retournait brusquement sur le dos, les chevilles sur ses épaules, dans cette position, ça rentre bien à fond.
Je finissais par éjaculer dans un râle de plaisir et de jouissance aussi intense que la première fois, c'était vraiment bon, il ne ralentissait pas ses mouvements et continuais à me masturber et à me limer le cul. Je commençais à me tortiller tentant de me dégager, tentant surtout d'arrêter sa main, la sensation sur ma queue n'était plus agréable mais presque douloureuse après deux éjaculation. Mais Franck est plus fort que moi, il me retenait les deux poignets par une main, me masturbait de l'autre main, et me limait gaillardement le cul avec sa grosse bitte. la sensation devenait intense, je commençais à jouir par la prostate et à ce moment précis, si je me tordais dans tous les sens,ce n'était plus pour me dégager, c'était seulement que je ne contrôlais plus rien. J'avais l'impression d'éjaculer en permanence mais rien ne venais et j'avais aussi l'impression que ma prostate allait exploser. J'étais dans cet état quand je l'entendis hurler "Oh oui , Oh oui , Oh c'est bon'' et dans un même temps il me donnait quelques coup de reins plus lent mais très violents qui me firent mal, je me cramponnais au canapé, il cessait de me masturber et la queue toujours bien enfoncée au fond de mon anus, il me regardais dans les yeux, et se laissait tomber sur moi de tout son poids, je le prenais dans les bras, je tremblais de plaisir, il me prenait lui aussi dans ses bras, m'embrassait et nous restions ainsi sans bouger pendant un long moment.
Nous retrouvions tout doucement nos esprits et notre souffle, puis Franck se relevait, vif et décidé, et s'exclamait, : "" Encore une p'tite bière ?! ''. Il en attrapait une , l'ouvrait et me la tendait, il s'en servait une également, puis se laissant retomber lourdement a cote de moi ...
F : Alors, si on parlait de la petite surprise ...
M : Tiens je l'avais complètement oubliée celle la !
F : Tu te moques!
M : Franchement' après cette soirée je ne m'attendais plus à rien.
Il se relevait avec un sourire et se penchant vers moi me donnait un baiser. Il est alors allé dans sa chambre d'où il est revenu quelques instants plus tard, il avait dans les mains une petite boite enveloppée dans un joli papier cadeau avec un joli ruban rouge.
F : J'ai la petite surprise enveloppée dans un joli papier cadeau avec un joli ruban rouge ... (Puis après un instant de silence) ... C'est moi qui l'ai fait.
J'éclatais de rire... Et en insistant lourdement sur le mot 'joli' je continuais...
M : C'est toi qui l'a fait...! Mais c'est vrai, ça c'est une jolie petite boite avec un joli papier cadeau et un très joli ruban rouge. Mais il ne fallait pas, c'est trop. C'est trop, je suis comblé.
F : Arrêtes tes conneries, et ouvre ton cadeau!
M : Non j'ai pas envie, je veux pas abîmer une aussi jolie boite... Je vais la garder comme ça, je l'ouvrirai peut être pour Noël ou une grande occasion comme...
Tout en rigolant, il me coupait la parole en gueulant ...
F : Mais vas tu ouvrir ton cadeau, espèce de grosse bourrique !
M : Alors là tu me vexes, bourrique je veux bien, mais 'grosse' là tu me vexes, avec tous les efforts que je fais pour garder la ligne...
Il me regardais l'ai agacé avec un sourire de travers...
F : Bon si tu veux pas de mon cadeau...( il fit un geste pour me reprendre la jolie petite boite )
Saisissant fermement la boite dans les mains...
M : OK, OK je vais l'ouvrir!
Tout en ouvrant le cadeaux, je décrivais le moindre de mes gestes...
M : Alors, je défais le joli petit nœud du joli petit ruban rouge ...
F : Tu fais bien de parler de nœud, avec ta tète de ... d'abruti. (M'interrompit Franck d'un ton agacé !)
M : Arrêtes de m'interrompre, j'aurais déjà ouvert la boite sans ça. Bon maintenant je retire le joli ruban rouge.
Franck levait les yeux au ciel ...
M : Maintenant je retire le joli papier cadeau ... Mais ... Il y a du ruban adhésif, cela va compliquer le travail...
Grand soupir non dissimulé de la part de Franck...
M : Bon j'arrache tout ! Je suis maintenant devant une petite boite en carton blanc, c'est une jolie boite blanche, en carton, il ne fallait pas, c'est trop, c'est trop.
F : C'est pas croyable ! ( soupira Franck … )
M : Bon maintenant j'ouvre la boite et je regarde dedans...
Mon regard restait figé, rivé au fond la petite boite... Un dispositif de chasteté similaire a celui que je portais mas en métal, brillant et argenté. Franck se redressait brusquement sur le canapé visiblement content de lui.
F : C'est un dispositif de chasteté copié sur le tien. Celui ci est en métal, acier inoxydable massif qualité chirurgicale, garanti inoxydable, inaltérable. Il a l'air plus petit que le tien, c'est parce qu'il y a moins de matière, par endroit ton dispositif est épais de près de un cm, au même endroit celui-ci ne fait pas plus de 1 mm mais les dimensions internes sont les même. Il n'y a pas de cadenas car la serrure est incorporée dans la cage, à l'endroit ou elle se fixe à l'anneau support.... Et ... C'EST MOI QUI L'AI FAIT. Na!
Je restais sans voix...
M : Whaou...
C'est tout ce que j'arrivais a dire ! Franck jubilais, il se marrait le con ...
F : Aller essayes la...
Sans aucune hésitation je passais l'anneau, le contact était différent de ce que je connaissais. La finition était parfaite ! Je passais ensuite à la cage... J'y introduisait ma queue, confortable, la taille était bonne, puis je l'enclenchais sur l'anneau ...''clic '' .
M :Clic?
F : Le dispositif n'est pas encore verrouillé, dans la petite serrure il faut maintenant introduire la clé. Elle est dans la boite.
Il restait dans la boite une sorte de clous profilé comme une clé avec la tète de la clé lisse et argentée comme le reste du dispositif. J'introduisais ce dernier dispositif dans la serrure, Franck m'encourageait de gestes de la tète, je poussais la clé à fond 'clic' ...
F : Vas te regarder dans la glace.
L'objet était élégant, moins encombrant mais pas moins confortable.
M : Et la clé, pour ouvrir, ça marche comment ?
Franck arrivait derrière moi, me passait un bras autour de la ceinture, m'embrassait tendrement dans le cou,
F : Pour ce qui est d'ouvrir ... On peut pas ouvrir ... Le seul moyen c'est de découper le bazar, mais, tu peux me croire c'est de l'acier de qualité, ça sera pas facile! ...
Je le regardais, sans voix, il me souriait puis il m'embrassait tendrement …
FRANCK 02
Franck est un enfoiré, je le hais ... Bon, en fait c'est pas vrai, c'est un garçon adorable, et tout va très bien entre nous... Mais il y a des jours... Les grandes vacances approchent, il veut que nous allions à la mer. Bon, jusque là pas de problème, j'aime beaucoup la mer, la plage, le soleil, ne rien faire sinon bronzer, roupiller sous le parasol... le retour à la maison fatigué, épuisé d'une journée à ne rien faire (à moins que ce ne soit de la soirée précédente), le corps transpirant de chaleur et de coups de soleil, la douche qui vous laisse cette sensation de propreté et de fraîcheur prêt à repartir pour toute une nuit de fête, ces nuits qui ne servent pas à dormir (surtout pas , manquerait plus que ça !) les apéritif qui durent jusqu'à ... tard ... très tard dans la soirée, ces soirée qui n'en finissent pas, les barbecue toujours bien arrosés, que l'on termine la nuit tombée, (vue qu'on les a commencés la nuit tombante !), le temps de la digestion sous les étoiles, aidée par quelques verre d'alcool régional, l'inévitable bain de minuit, et pour finir après tout ça, (en général à ce moment là, on est en forme), et pour finir donc ... La descente en boite de nuit ... Les nuits sont courtes en cette saison, le retour se fait bruyamment en chantant, en zig zag sur le chemin, on est alors beaucoup moins en forme et incapable de suivre une ligne droite mais Heu-Reux et en plus il fait jour... On arrive à la maison, épuisé, fourbu, c'est l'heure de se faire un gros câlin... Je suis jamais parti en vacances avec Franck mais pour ce qui est du gros câlin je sais que je ne serais pas déçu ... Après tout çà on avale un café, et direction la plage, on prendra le petit déjeuner sur place...
Enfin bref des VA-CAN-CES . Un mois de repos et de détente complet, on en revient ... C'est simple la dernière fois il m'a fallu presque un mois pour m'en remettre...
C'est dire à quel point les vacances à la mer , JE SUIS POUR !
Mais là, Franck, il abuse, il veut faire du naturisme... Je ne suis pas contre d'habitude, c'est vrai quoi, jouer les exhibitionnistes devant une bande de voyeurs tout en jouant les voyeurs devant une tripotée d'exhibitionnistes, c'est cool ! Mais la dernière fois je n'avais pas de ceinture de chasteté. !
Nous étions allongés sur le lit.
Moi : Il n'est pas question que je m'exhibe devant tout le monde avec ma ceinture de chasteté !
Franck : Tu sais que tu ne peut pas la retirer!
M : C'est malin, comme si je ne le savais pas ! Et de la faute à qui ? Non, je garderai un maillot de bain !
F : Tu vas être ridicule. Tout seul a rester tout habillé sur la plage.
M : Habillé, tu crois pas que tu exagères, je ne serai pas TOUT habillé ! Mais je ne me mettrai pas à poil ...
F : Tu sais sur ces plages, ce sont ceux qui restent habillé qui sont le plus remarqués, le plus regardés.
Je me relavais et commençais à caresser son sexe ...
M : Avec un camarade comme toi, aussi bien équipé ! C'est pas moi qu'on va regarder le plus.
Je commençai à le pomper, il commençait à bander.
F : Je peux te demander ce que tu fais ?
M : Je vérifie si ce que je dis est exact, (il bandait ferme maintenant) franchement à coté de ça, c'est pas moi qu'on va regarder ... ( je continuais à le sucer).
F : T'es pas drôle, et moi alors tu as pensé à moi, j'aurai l'air de quoi avec un mec tout habillé.
M : Vue comment tu es gaulé tu auras l'air d'un étalon.
F : Mais je suis un étalon ! C'est bien ce que tu fais là ! Vas y, continue.
En même temps que je le caressais et le suçais goulûment,il me prenait la tète des deux mains la dirigeait, tout en relevant le bassin il appuyait sur ma tète, je sentais sa grosse bite rentrer de plus plus profond dans ma gorge. J'accompagnais ses mouvements en synchronisant ma respiration et ma déglutition, je finissais par avaler totalement sa queue, mes lèvres arrivaient à la base de son pénis. Je me retirais respirais bien a fond et recommençais plusieurs fois de suite ce mouvement, Franck m'encourageait en appuyant sur ma nuque. J'entendais ses râles de plaisir, sa respiration s'accélérait les mouvements de son bassin aussi, il enfonçait de plus en plus vite et de plus en plus fort sa queue dans ma bouche, j'avais du mal à suivre mais je ne voulais rien lâcher. C'est lui lâchait la purée en premier, il éjaculait généreusement dans ma bouche, j'avalais et continuais à le biberonner. Je le sentais se détendre, sa respiration ralentissait, il me caressait doucement les cheveux.
F : Tu verras, on sera très bien a poil sur la plage.
M : Non, pas moi!
F : Tu sais, je serais fier de toi
M : Non!
F : Pour me faire plaisir...
M : Pas question.
F : Dommage tu es beau à poil, surtout avec ta ...
M : Je m'en moque.
Suivait un long moment de silence...
F : Et si ...
M : Non !
F : On pourrait ...
M : Non !
Un autre long silence suivait.
Il me sautait dessus, me plaquait sur le dos , me relevais les cuisses mes chevilles sur ses épaules, se lubrifiant la queue et, me pénétrait d'un coup jusqu'à la garde. Je râlait de plaisir et un peu de douleur, je me cramponnais à lui, il ne bougeait pas, il poussait à fond me remplissant le cul avec sa bite magnifique, le l'attrapais par le coup et le tirais à moi, il se penchait vers moi m'écrasant de tout son poids et m'embrassait. Il commençait alors des mouvements de va et vient, ressortait presque complètement puis revenait brutalement bien à fond,violemment à fond. là, les 22 cm je les sentaient bien passer ! Ouais c'était bon !
F : Alors t'es toujours pas d'accord ? Tu vas voir ! Je vais te faire couiner comme jamais, tu vas voir ce que tu vas voir ...
M : (entre deux râles) "Ouais des promesses toujours des promesses !"
Il éclatait de rire et continuant à me limer le cul de plus en plus violemment "T'es un marrant , prends ça et ça !''
Je râlait de plaisir, toujours cramponné je voulais pas le lâcher, je n'essayais pas de résister, j'encaissais c'est tout !
F : Alors on ira à la plage? (Il a décidément de la suite dans les idées ce garçon), tu iras te faire bronzer à poil avec moi?
M : Je gueulais OUI , OUI TOUT CE QUE TU VOUDRAS, OUI VA Y C'EST BON !
F : Oui , je savais bien que j'aurais le dernier mot. Tu vas voir c'est pas fini!
Il me lâchait, j'avais les jambes repliées sur le ventre, se retirait, me tirait par les jambes, me retournait m'allongeait sur le ventre cuisses jointes, je me laissais faire les bras en croix, il me chevauchait plaçant ses genoux à l'extérieur de mes cuisses, il me lubrifiait abondamment et me pénétrait sans ménagement. les cuisses jointes, j'étais particulièrement serré, étroit. Je gueulais.
M : Arrête tu fais mal, oui va y c'est bon, non ,non doucement, vas y a fond, défonce moi le cul, arrête j'en peux plus, oui vas y continues...
Je contrôlais plus rien, je jouissais et il le savait, il savait y faire depuis plus d'un an il avait tout appris de mes réactions, et là, il me faisait jouir, mon souffle était intense et irrégulier, je tremblais mais je n'avais pas froid, il m'écrasait sous son poids, c'était bon!
Je ne sais pas à quel moment lui il a joui, simplement à un moment, il ne bougeait plus, il était là, allongé de tout son poids sur moi, son pénis était toujours en moi .
Il se retirait finalement et se retournait sur le dos à coté de moi. J'étais comme mort, je ne pouvais plus réagir, je me sentais bien, très bien, le con il m'avait fait jouir par le cul, c'était bon, très bon et intense, très intense...
F : Alors c'est bon, j'ai gagné, tu viendras avec moi à la plage, a poil !
M : Non !
F : Comment ça non ? Tu viens de dire oui !
M : Ah oui,oui et bien non! Quand je disais oui, c'était pas pour ça, c'est pas de ça que parlais, non c'était ... Oui défonce moi , oui vas y ... Pour la plage c'est non ... !
F : Je suis mort, vidé, je bande même plus, sinon j'aurais remis ça, mais je suis vraiment KO !
M : Ça m'arrange !
Je parlais mais je ne faisait pas le moindre mouvement, j'ouvrais même pas les yeux, moi aussi j'étais complètement KO, complètement défoncé, c'était cool! Il se levait, je l'entendais ouvrir un tiroir ...
M ; Qu'est ce que tu cherches ? Qu'est ce que tu fabrique ?
Pour seule réponse, il m'enfonçait un gros gode, que je n'utilisais que rarement, sans prévenir en me disant : " Tiens prends ça espèce d'enculé , tu fais chier !"
Je gueulais sous l'effet de la surprise, il faut dire que c'était un Gros Gode, 25 cm sur 7! Mais je restais là sans bouger, avec ce gode énorme dans le cul ...
Durant la semaine qui suivait une idée germait dans ma tète ... Je décidais de fabriquer un dispositif de chasteté pour Franck, comme celui que je portais quand je l'avais rencontrer, à sa taille et en PVC ... Je lui proposerais alors de le porter en même temps que moi sur la plage, après tout Franck aime bien faire des expériences amusantes et même quelquefois très douloureuses ... Nous devions passer le week-end ensemble, Franck avait beaucoup de travail aussi nous ne pourrions pas nous voir pendant la semaine, j'en profitais pour me mettre au travail. L'objet était terminé pour la fin de la semaine.
Franck m'attendait devant chez moi quand je rentrais du boulot le vendredi soir. Aussitôt dans mon appartement on se sautait dessus l'un comme l'autre, on s'embrassait, on se déshabillait l'un l'autre, on se caressait, il me fourrait sa queue dans la bouche commençait des mouvements de va et vient tout en me maintenant la tète, il était en manque et moi aussi alors j'avalais sa queue dans toute sa longueur, il adore ça, et il ne tardait pas à gicler dans ma gorge dans un râle de plaisir. On n'avait presque pas parlé, on était resté dans l'entrée. On restait enlacés, debout au milieu du couloir, à s'embrasser et à se caresser.
F : Alors ... la plage ... tu y as pensé ?
M : J'ai pensé qu'à ça !
F : Alors ?
M : C'est négociable !
Il me répondais par un grand sourire, puis me retournait, me plaquait contre le mur, et sans plus de formalité, me pénétrait fermement, et sans attendre, continuait en me limant le cul vigoureusement puis violemment. Je gueulais de plaisir.
M : Tu m'as manqué !
F : Toi aussi !
Il me défonçait violemment, ses mouvements étaient désormais très rapides, il faisait une pause, se retirait complètement puis revenait d'un coup bien à fond , m'arrachant à chaque fois des cris de plaisir, il reprenait aussitôt ses mouvements très rapide, toujours à fond, toujours violent !
Je passais mes bras derrière moi pour essayer de le retenir, il passait ses bras devant moi et m'enlaçait avec force. J'entendais son souffle contre mon oreille, puis ... '' Oui, c'est bon , je vais jouir ...'' ... je sentais tous ses muscles se contracter m'empêchant presque de respirer, des mouvements très violents de son bassin, j'en prenais plein le cul et plein les oreilles quand il poussait un cris de jouissance, je sentais alors ses muscles se détendre, les miens aussi, je restais là contre le mur, je restais debout uniquement parce qu'il était appuyé contre moi, j'étais en sueur, lui aussi, le pied !
Il me regardait, sa tète par dessus mon épaule, m'embrassait. Je ne savais même plus s'il s'était retiré ou pas ... il se retirait ... là, je savais !
F : (en reprenant son souffle) Tu prends pas de douche en rentrant du travail toi ?
J'éclatais de rire, lui aussi! Quelques instants plus tard on se retrouvait sous la douche à se savonner l'un l'autre.
F : Je t'invite à manger une pizza, ça te tente ?
M : Une pizza , j'adore une ultra complète , ouais, ça me tente !
F : C'est quoi une ultra complète ?
M : C'est simple, tu prends tout ce qu'il y a comme ingrédients dans toutes les pizzas de la carte et tu les déposes sur une seule pizza, en double dose ! C'est moi qui l'ai inventé !
F : T'as pas grossi toi, ces derniers temps ?
M : Moi grossi !
Je regardais mon profil dans le miroir tout en lui savonnant les fesses, j'en profitais pour lui entrer,vite fait, un doigt dans le cul. Il réagissait en écartant ma main.
F : Arrête, tu sais que j'aime pas ça !
M : Un jour je te ferai jouir par le cul, si tu voulais bien me laisser faire!
F : Non ça fait mal ! J'ai essayé tu te souviens pas ! La dernière fois que tu as tiré ton coup !
M : Un doigt, c'est plus petit, ça te ferait pas mal, bien au contraire, je te jure on en redemande.
F : La dernière fois ta bite, ça m'a fait mal !
M : Je te dirais pas que je t'avais prévenu, mais je t'avais pré ...
F : Et là tu me dis que ça ne me fera pas mal !
M : Oui.
F : Je te crois pas !
M : Je t'avais pas menti la dernière fois, non !
F : Bon d'accord , je te crois, mais on verra un autre jour ...
On se séchait l'un l'autre, puis on passait au salon boire une petite bière.
F : Alors c'est négociable tu disais .
M : Oui, c'est négociable, en fait j'ai rien contre l'idée de faire du naturisme, au contraire j'aime bien, mais c'est ma ceinture de chasteté, tout le monde va ma regarder et tout et tout. Pour conclure je suis d'accord si je suis pas tout seul à porter ce genre de truc ! ...
F : Tu as des copains qui portent aussi ce ''genre de truc'' ?
M : Non .
F : Sa complique le problème. Que faire ? On passe une petite annonce ?
M : Arrête de te moquer.
F : Mais si je vois ça très bien : Couple d'homos, un encagé et un étalon recherche troisième larron acceptant de porter également une ceinture de chasteté pour que le petit se sente moins seul sur une plage de nudiste ... nourri , logé , défoncé !
M : Matin, midi, et soir... Non! C'est à toi que je pensais !
Il me regardait bien en face, droit dans les yeux sans rien dire.
M : Tu aimes les expériences bizarres.
Il tournait légèrement la tète mais continuait à me regarder dans les yeux. Je continuais un peu moins convaincu.
M : Tu sais ça fait pas mal !
Il continuait à tourner légèrement la tète et à relever le menton tout en gardant le regard fixé sur moi.
M : C'est pour juste quand on sera à la plage ...
Il tournait encore un peu plus le tète, là il me regardait carrément de travers du coin de l'oeuil.
M : C'est juste pour que je sois pas tout seul à la plage.
Silence.
M : Pour pas que tout le monde me regarde.
Silence.
M : Tu le porteras que sur la plage.
Silence.
M : Je garderais les clées.
Silence.
M : Comme ça t'es sur que je te libérerais tous les soirs.
Silence.
M : Bon arrêtes de me regarder comme ça, et dis quelque chose.
F : (en montrant son sexe avec son index) Tu veux que je mettes un dispositif de chasteté là !
M : (d'une toute petite voix timide) Oui !
F : T'es un grand malade, il faut être malade, pour porter un truc pareil !
M : Merci ça fait plaisir !
F : Non c'est pas ce que voulais dire !
M :(l'air faussement vexé) Merci quand même, je m'en souviendrai !
F : Mais non, bon d'accord, toi t'es un grand malade ! mais ...
Je tournais la tète légèrement tout en continuant à le regarder dans les yeux .
F : Non ne fais pas ça !
Je continuais à tourner légèrement la tète et à relever le menton tout en continuant à le regarder dans les yeux .
F : Il n'est pas question !
Je tournais encore un peu plus le tète , là je le regardais complètement de travers à mon tour.
F : T'es grave toi !
M : Je sais on me l'a déjà dit !
F : Bon c'est d'accord, mais comme on n'a pas un tel dispositif à ma taille, l'affaire est réglée, j'en porterai pas.
M : Mais si on a !
Et en disant cela je posait devant lui une jolie petite boite décorée d'un joli papier cadeau et d'un joli ruban rouge ...
Franck se redressait, penchait sa tète en avant tout en relevant les yeux pour observer ma réaction, je me marrais, il avait du mal à dissimuler un fou rire. Puis respirant bien à fond ...
F : J'ai l'impression d'avoir déjà vu cet épisode ... J'y crois pas. Ho la jolie boite avec un joli papier cadeau et un joli ruban rouge ... Mais c'est le ruban que je t'avais donné ! Tu as recyclé mon cadeau. J'y crois pas c'est une blague.
Il regardait dans ma direction, j'étais plié de rire. Il éclatait de rire à son tour.
F : Ça va, j'ai compris, c'est une blague. ( il riait joyeusement, il ouvrait la boite, regardait a l'intérieure et arrêtait de rire !.). C'est pas une blague il a osé !
Il sortait l'objet de sa boite pour pouvoir l'examiner de plus près...
F : Tu veux vraiment que je porte ce truc?
M : Pas en permanence ! J'aime trop ta bite ! Juste quand on sera sur la plage, déconne pas je t'en supplie, non, ne le porte pas d'une manière définitive, non pas ça, j'ai crée un monstre, je pourrai plus jamais tripoter ta bite, je pourrai plus jamais sucer cette magnifique queue, plus jamais me la prendre dans le cul, plus jamais...
Franck me coupait la parole tout en levant les yeux au ciel.
F : Bon ça va pas mieux toi ! On se calme! Ce que tu t'es pris dans le cul il y a pas heure ça t'a pas suffi... Tu n'imagines pas que je vais porter ça sur une longue période, t'es pas un peu fou dans ta tète, pardon, je ne voulais pas te vexé je sais que tu es complètement fou dans tête . Mais bon, juste pour essayer, juste pour voir ...
Franck continuait à regarder l'objet dans sa main, le retournait pour l'observer sous tous les angles. Il connaissait parfaitement cet objet, il ne faut pas oublier que c'est lui avait fabriqué le mien. Il se relevait soudainement .
F : C'est bon j'essaye.
Sans la moindre hésitation il l'enfilait, comme il m'avait vu faire...
F : Ça fait drôle, c'est bizarre comme sensations.
Il se regardais dans un miroir, se retournait de face de côte.
M : Mais oui tu es beau comme ça !
F : Ça m'excite ! Je bande ! Ouah , c'est vraiment bizarre, c'est vrai ça ne fait pas mal, c'est juste une douce et forte pression sur la base du sexe et sur toute la bite. Ouah, c'est délire je bande et ça ne se voit pas.
Il continuait à se regarder dans miroir. Je lui tendais le cadenas, il le prenais et se verrouillait sans aucune hésitation en disant.
F : Je prends pas de risque, ton truc est en plastique, alors si tu garde la clef, ton truc résistera pas longtemps... Tu as vu l'heure qu'il est, allez Pizza !
On s'habillait, puis on sortait. J'en revenait pas, c'est vrai que Franck aime bien faire des expériences amusantes, ce qui est sûr c'est qu'il le portera pas longtemps ce truc ... Ah ça non, je ne le laisserai pas faire,il faudra qu'il me passe sur le corps et il en est capable !
La soirée se passait normalement, Franck ne laissait rien paraître, d'abord le resto ou je me contentais d'une pizza complète puis un bar ou on avait l'habitude d'aller. On y rencontrait Sophie et sa copine Isabelle, Franck leur parlait des vacances, mais pas des détail, d'ailleurs elles ne savaient rien sur ma ceinture de chasteté. Finalement elles nous invitaient à souper pour le lendemain. On rentrait vers une heure matin, une soirée très agréable.
De retour à la maison, je prenais Franck dans mes bras et l'embrassais.
F : Dis donc, ton truc, on le sent toujours, pas un instant je l'ai oublié !
M : C'est normal, on ne l'oublie jamais totalement, mais au début on y pense même en permanence.
F : Je vais le garder toute la nuit, tu as des conseils?
M : C'est en fin de nuit que c'est le plus dur, essaye de te détendre, vas pisser, pense à autre chose et si tu craques retire le. Fais le moi savoir, défonce moi le cul !
On allait se coucher, la semaine avait été dure, on était fatigués, Franck surtout, il s'endormait facilement.
Le lendemain, je me réveillais vers neuf heures, Franck n'était pas coté de moi. Je me levais et retrouvais mon camarade dans la cuisine en train de préparer le petite déjeuner. Il n'avait pas craque.
M : Alors, pas trop dur?
F : C'est délire ton truc, mais vers six heures, j'ai bien failli craquer.
M : Tu aurais du me réveiller !
F : Pour te dire quoi, je craque !
M : Pour rien dire, juste pour m'enculer !
F : Je vois le genre, et bien non, t'auras pas droit a ma quequette aujourd'hui !
M : Tu n'as pas envie de partager aujourd'hui !
F : Non, mais tu l'as un peu chercher!
Le reste de la journée se passait calmement, un peu de sport en forêt, un film à la télé, un peu d'Internet, enfin bref ... On s'est occupé ! Franck revenait vers moi a plusieurs reprises dans la journée pour me dire des truc du genre...
F : C'est vraiment un truc de dingue, il se passe pas une seconde sans que j'y pense. Ouah , délire!
M : Et tu penses le garder encore longtemps ce 'truc' ?
F : Peut être pour toujours ...
M : C'est toi le grand malade, mon dieu , j'ai crée un monstre !
Il repartait en rigolant.
F : Mais au moment ou je vais le retirer ... J'en connais un qui va couiner
Il me regardait en rigolant,et rajoutait...
F : Oui je sais, ''des promesses toujours des promesses ... ''
Je le regardais comme un con. Finalement ça avait été facile de faire porter une ceinture de chasteté à Franck, pourvu qu'il ne fasses pas comme moi, pourvu qu'il ne la porte que de temps en temps, par jeu... Ben oui quoi, j'aime bien me prendre sa bite dans le cul moi ! …
FRANCK 03
Franck se relevait brusquement en hurlant .
F : Il est 6 heures du soir et on est pas prêts ! Dépêchons, dépêchons, faut pas perdre de temps.
M : Du calme, de quoi tu parles, tu m'as fait peur !
F : Les filles ... on n'est pas prêt, on va être en retard!
M : Tu as raison !
Je fonçais dans la salle de bain, en revenais, entrais puis ressortais aussitôt de la cuisine, j'entrais dans les WC en disant ''pipi !'' en ressortais dans un même mouvement en disant '' Non pas le temps !'' revenais dans salon, faisait le tour de la table basse et me laissait tomber sur le canapé ou j'étais quelques instants plus tôt . Il me regardais l'air hébété ...
F : Mais qu'es ce que tu fais là ?
M : Je me dépêche, je m'agite, je panique ... Non mais franchement ... Elles habitent à trente kilomètres, avec la voix rapide, on y est en moins d'une demie heure, alors ... Calme ! ... On n'est pas en retard ... On a encore près de deux heures ...
F : Et on va arriver les mains vides ? Non alors, douche 5mn chacun, si on l'a prend ensembles on en a pour une heure ... (Il était déjà sous la douche et continuait en gueulant) on rajoute 5mn pour terminer de s'habiller, une demie heure pour acheter le pinard, il va y avoir un monde fou en caisse, ensuite une demie heure pour acheter des fleurs il va y avoir un max de monde on pourra pas se garer, c'est la cata... une demie heure pour faire la route, ça va être juste, espérons qu'on n'aura pas de mal pour se garer, qu'il n'y aura pas de bouchons non plus ... Au pire on est là bas a huit heure moins le quart ... Ça va être chaud ! ...
Il paniquait ... je quittait mon appartement tranquillement et sans écouter davantage ce qu'il bafouillait . En bas de chez moi, il y a un caviste que je connais bien, je remontais dix minutes plus tard avec deux bouteilles de très bon vin. Franck était déjà habillé, encore plus affolé qu'à mon départ.
F: Mais ou t'étais rendu, t'es pas sérieux, on va être en retard, tu pourrais prévenir quand ..
Je lui montrait les bouteilles, les posais sur la table en disant.
M : Douche : une sur deux ... pinard OK ... il est six heures et quart … tout va bien ... je vais prendre ma douche … !
Là, il ne disait plus rien ! Je prenais ma douche, m'habillait : six heures trente ... j'arrivais victorieux au salon ou attendait Franck, il regardait l'heure et ne disait toujours rien .
M : Alors, on y va ! Imagine s'il faut plus d'une heure pour acheter les fleurs ... on est foutu en retard, c'est la cata ...
F : C'est malin !
Il était plus calme, mais sa ne devait pas durer. Il faut dire qu'on avait un peu plus d'une heure pour acheter un bouquet de fleurs, et faire 30 km par la voix rapide ... Franck paniquait une dernière fois avant d'arriver chez le fleuriste , '' y va pas y avoir de place pour garer la voiture ...''. Le parking du fleuriste était presque vide, le magasin aussi. Quand il revenait avec une allure glorieuse, un énorme bouquet dans les mains, et un grand sourire. Je lui lançait ...
M : Attention, il ne va pas falloir traîner, il ne nous reste plus qu'une bonne heure pour faire trente km en passant par la voix rapide, tu penses que c'est faisable, même en respectant la limitation de vitesse ?
F : C'est malin ! Tiens prends les fleurs pour qu'elles ne s'abîme pas au lieu de dire des conneries ...
M : Au fait, tu portes toujours le dispositif de chasteté ? (Je vérifiais en lui caressant l'entre jambe). Mince! Tu le porte toujours! Tu as l'intention de le garder encore longtemps ?
F : Ça te manque ?
M : Non c'est pas ça, mais ...
F : Ça te manque !
M : Mais non, mais tu devais le porter juste pour essayer.
F : J'étais sur que tu craquerais le premier. J'avais raison ! Tu as vraiment le feu au cul toi. De toutes façons, j'ai pas pris la clef ... Là, je peux pas le retirer, pas pour le moment, pas avant d'être rentré.
M : Quand on sera rentré ! ?
F : Promis.
M : Te voir, te savoir avec ce dispositif sur toi, bon d'accord, ça m'excite, mais je te préfère tout de même sans ...
F : Moi aussi je me préfère sans, mais je voulais savoir ce que ça faisait ... Maintenant je sais, enfin pour quelques heures; le porter plusieurs jours, plusieurs semaines, ça doit être très différent ...
M : Plusieurs mois c'est encore plus différent, là tu peux me croire. Alors pour la plage, tu le porteras ou pas, moi si je suis tout seul, je garde un caleçon de bain !
F, : Ouais, bon , pour la plage je suis pas encore décidé, on verra ...
On roulait rapidement tout en discutant, la circulation était fluide, la sortie de la ville puis les trente km nous prenaient vingt petites minutes. On arrivait donc très en avance dans le quartier ou habitent nos deux amies. Nous décidions de prendre un verre dans un bistrot tout prêt, le bistrot avait l'ait sympa, on s'installait à une table dans un coin, on commandait une bière chacun. Quelques minutes plus tard deux hommes entraient dans le bar s'installaient aussi à une table à l'autre bout de la salle, l'un d'entre eux ,le plus grand, il avait environ la taille de Franck portait une sorte de sac qui apparemment devait contenir deux bouteilles, l'autre , le plus petit, environ de ma taille lui portait un gros bouquet de fleurs.
M : Voilà un beau petit couple!
F : Un couple ! Tu dis n'importe quoi
M : Moi, je te dis qu'il sont en couple!
F : Tu vois des PD partout !
M : PD toi même.
F : C'est pas moi qui est PD, mais le mec avec qui je couche !
M : Ce qu'il faut pas entendre ! ... Là ! Tu as vu !
F : Quoi encore ? Non j'ai rien vu ?
M : Le petit a caressé la main du grand !
F : Tu rêves ! ... Un peu comme toi en ce moment avec ma main... (sans même y penser je lui avait pris la main)
Vexé, je lâchait sa main, lui tournais le dos tout en le traitant de ''Connasse'' ce qui le fit rire .
Je continuais à surveiller du coin de l’œil les deux hommes à l'autre bout du bar, et j'étais de plus en plus convaincu que c'était bien un couple ! Franck me rappelait à la réalité, en me disant '' Il faut y aller ! '', on repassait à la voiture pour récupérer les fleurs et les bouteilles. Le couple d'homme quittait le bar quelques instants après nous et se dirigeait vers le même immeuble que nous. Ils nous doublaient et nous les suivions donc pour les retrouver devant la porte de l'ascenseur, on se saluait rapidement les uns les autres. Les portes s'ouvraient, on y entrait tous en même temps.
Franck leur dit, tout en tendant la main pour appuyer sur le bouton de l'étage ... ''Nous allons au troisième ...''. Le plus grand répondit '' Nous aussi '' tout en faisant le même geste . Leurs mains se touchaient, ils la retiraient très vite tous les deux ... L'ascenseur ne bougeait pas ... Le plus petit pouffait de rire, constatant que personne n'avait actionné l'ascenseur, j'en faisait autant. Les deux autres se retournaient pour nous regarder l'air réprobateurs, d'un même geste, on se cachait derrière nos fleur, on s’échangeait un regard et on éclatait de rire, un bon rire jovial et bruyant ! Le plus grand se retournait disant ''Antoine ! S'il te plaît !'', alors que Franck se retournait me disant ''Bob ! S'il te plaît !''
Moi : Enchante Antoine ! ( tout en lui tendant la main).
Antoine : Ravi de faire de faire ta connaissance Bob ! (tout en me serrant la main)
Antoine avait une bonne tête et on commençait déjà à sympathiser ... L'ascenseur ne bougeait toujours pas...
Moi : (A l'intention d'Antoine mais sur un ton normal) C'est long , trois étages, on pourrait les faire a pied... ?
Antoine : Ce serait plus rapide !
Franck, très agacé, se retournait, me faisant les gros yeux et appuyait sur le bouton en même temps. L'autre se retournait vers Antoine avec un grand soupir sans rien dire. L'ascenseur démarrait.
Les deux grand, ils étaient donc a peu prés de même taille, s'échangeaient un regard, puis commençaient à rigoler également... ''Moi c'est Franck'' ... ''Moi c'est Christophe'' ... Ils se retournaient, on échangeait les saluts, je faisais la bise a Antoine , à Christophe et à Franck qui réagissant me disait d'un ton agacé ... ''Mais arrête tes conneries, t'es pas sortable...''. Je me cachais derrière mes fleur prenant un air honteux. Antoine rigolait !
L'ascenseur s'arrêtait, les portes s'ouvraient, et nos deux gaillards en sortaient d'un air décidé, ils avançaient d'un même pas vers l'autre extrémité du palier, visiblement vers la même porte.
Moi : Dis moi Antoine, vous n'allez pas par hasard chez Isabelle ...
Antoine : Et Sophie ... Et bien oui ...
Moi : Ils ne devraient plus tarder a s'en rendre compte.
Antoine : J'ai l’impression que ça va être amusant !
En effet, ils nous refaisaient le gag de l'ascenseur ... Mais en plus court, Christophe prenait l'initiative de frapper fermement a la porte ...
Antoine : La, c'est le mien qui a été le plus futé !
C'est Isabelle qui ouvrait. Elle poussait, un cri de joie en nous voyant tout les quatre, et tout en faisant la bise à Franck et à Christophe , nous invitait à entrer. Au passage Christophe tentait de fermer la porte derrière lui nous laissant sur le palier mais Isabelle qui n'avait pas compris que le ton était a la taquinerie, intervenait vigoureusement.
Isabelle : Mais enfin laisse à tes amis le temps de rentrer tout de même !
Frank : C’était bien essayé, moi, j'ai pas osé.
Moi : (a l'intention Antoine) Le plus futé, tu es sur ?
Franck : Saluant Sophie, j'ai pris deux bouteilles.
Christophe : Moi aussi !
Sophie : Il ne fallait pas, comme nous buvons pas, nous avions prévu deux bouteilles !
Antoine : Ça fait six bouteilles tout ça !
Moi : Çà va être du propre !
Antoine : On va être torchés …
Franck : Si on passait d'abord à l'apéro !
Christophe : Tu as raison il faut faire les choses dans l'ordre !
Moi et Antoine : (en se regardant) On va finir torchés ! ...
La soirée commençait joyeusement, on continuait à faire connaissance, Antoine est un artiste peintre, paraît-il très bon dans son art … Christophe est agent immobilier Isabelle et Sophie tiennent une boutique de mode dans le centre ville … plusieurs verres plus tard , on passait à table .
La première bouteille de vin était vidée avant même que l'entrée ne soit servie, les filles commençaient à rigoler, se disant que la suite serait très amusante. Essayez de réunir quatre garçons gay et faites les boire, c'est le délire garanti...
La seconde bouteille ne survivait pas longtemps à la première. On était chauds ! Et finalement on attaquait la troisième bouteille en même temps que le plat de résistance.
La discussion allait bon train.
- Il y a longtemps que vous vous connaissez.
- Vous vivez ensemble ?
- Vous habitez loin ?
- Et le commerce, il marche bien ? …
La quatrième bouteilles se laissait vider sans résistance. Le repas avançait, ne restait plus que le dessert .
Franck : (regardant l'air pensif les deux dernières bouteilles de vin) Si on buvait un verre avant de passer au dessert ! (Hips)
Les deux filles éclataient de rire.
Isabelle : Vous dormez ici ce soir, pas question de vous laisser prendre le volant, il y a une chambre vide.
Franck débouchait la bouteille sans plus attendre, trois verres se tendaient dans sa direction.
Moi : Ça y est je suis torché !
Antoine : Moi aussi !
Christophe : Pareil, c'est cool, mais fait soif tout de même !
La conversation continuait, et on finissait par parler des vacances... Dans un état normal j'aurais été sur mes gardes, mais …
Sans se concerter on avait tous choisi de partir en vacances à la même période. Et nous voulions tous aller au bord de la mer .
Christophe : Nous avons un petit terrain sur la cote ouest, c'est un endroit extraordinaire, il donne directement sur la côte, on sort de la propriété et on est sur la plage.
Moi : Directement sur la plage …
Antoine: C'est une plage naturiste !
Franck : Ils vont sûrement construire un de ces jours, et fini le paradis.
Christophe : Aucune chance, c'est une zone inondable, totalement inconstructible. C'est simple aucune installation permanente n'est autorisé. Même le stationnement des caravane est réglementé !
Antoine : Le coin est sauvage et le restera, pas d'électricité, pas de service d'eau, pas de téléphone … C'est inondable, mais il y a tout de même un puits d'eau douce, c'est étonnant mais grâce à cela nous avons un jardin, un potager, le terrain est entouré d'une grande haie, pas de vis à vis …
Franck : Alors là, tu voudra bien de mettre à poil.
Christophe : (A Franck) Il veut pas se mettre a poil ?
Antoine : (En me regardant) Tu veux pas te mettre à poil ?
Moi : Non c'est pas ça … c'est en fait que …
Franck : C'est parce que … (il se relevait en avalant d'un trait son verre de vin) … c'est parce qu'il porte un truc comme ça !
Dans un mouvement rapide il baissait son pantalon et exhibait fièrement son dispositif de chasteté qu'il portait depuis la veille. Autour de la table tous les yeux se retournaient vers lui dans un silence de mort … j'éclatais de rire et je rajoutais …
Moi : C'est moi qui l'ai fait !
Franck : Ouai mais le tiens, c'est moi qui l'ai fait. Allez montres !
Les regards se retournaient vers moi … Et tous commençaient à scander ''Fais voir ... Fais voir … A poil … Fais voir … '' . Franck se joignait à eux ''A poil … Fais voir …'' . L'air désabusé, je les invitais à continuer … '' Encore , encore .. '' puis me levais m'éloignais de la table et bien à la vue de tous, je retirais d'abord ma chemise et tout en me dandinant d'une manière ridicule qui fit rire toute l'assemblée, je jetais mes chaussures en arrière, mes chaussettes, et en leur tournant le dos, je baissait mon pantalon que je jetais ainsi que mon slip. J'étais à poil, de dos, je me retournais avec élégance (enfin j'espère) et les mains derrière la tête, les jambes écartées je me montrais bien en vue à tous. Mon exhibition était reçue par des applaudissements et des bravos. Franck en avait profité pour retirer tous ses vêtements et avait repris sa place à table, c'est dans cette tenue que je reprenais place également.
Isabelle : (l'air amusée) Alors, comme ça vous restez à poil !
Sophie : (en rigolant) Ils ne sont pas totalement à poil !
La suite de la discussion tournait bien sûr uniquement autour de nos dispositifs. Christophe nous regardait, l'air amusé et incrédule alors que Antoine semblait fasciné, il ne pouvait pas retirer son regard de mon dispositif, le fait qu'il soit en métal et qu'il soit permanent ... Plus tard dans la soirée les filles se retiraient dans leur chambre.
Isabelle : Vous connaissez la maison, nous on va se coucher, Amusez-vous bien et soyer sages...
Nous restions ainsi, Franck et moi a poil assis enlacés sur le canapé, nos deux camarades en face de nous, les bouteilles de vin n'étaient plus qu'un souvenir, il ne restaient qu'une bouteille de whisky et quatre verres sur la tables basse.
Christophe : Donc si j'ai bien compris, tu voulais savoir ce que ça faisait ... Le manque ... La frustration ... C'est bien ça Franck ?
Tout en disant cela, il se levait et se déshabillait lentement en prenant bien le temps de plier ses vêtements. Il se retrouvait entièrement nu avec une belle érection. Franck avalait sa salive, je le caressais. Christophe se penchant ver Antoine, l'embrassait et lui murmurait quelques mots à l'oreille.
Antoine se levait à son tour et retirait ses vêtements tout en caressant son camarade. Il avait également une belle érection lui aussi. Ils s’enlaçaient, se caressaient devant nous. Ils s'embrassaient, Franck était soudainement tendu, Antoine se mit à genoux et commençait à pomper son ami. Je caressait la cage de chasteté de Franck, il était tendu, il y avait de pression là dedans ...
Moi : Et tu as laissé les clefs à la maison ... Je te proposerais bien de goûter à ... Un doigt ...
Franck : Tu vas pas me faire mal ?
Il était moins réticent que l'autre jour. Je répondais '' Non !''
Franck : Vas y je te donne carte blanche ... Me fais pas mal !
Je lui introduisait doucement un doigt dans son derrière, il poussait un petit gémissement de surprise, et murmurait ''Même pas mal ...''. Je commençait à lui masser la prostate, il se détendait et me laissait faire.
Nos deux camarades avaient pris la position du 69, '' Tiens, on l'a jamais fait ça '' me dit Franck. Il commençait à passer à l'acte, il m'introduisait un puis deux doigts dans le cul, et reproduisait sur moi les mouvements que je faisais sur lui . J'agitais de plus en plus fort mon doigt contre sa prostate, il faisait de même. C'était bon . Son souffle devenait plus fort, il se détendait. Je ralentissais le rythme, puis reprenais plus fort, moins vite, moins fort, plus vite, il en faisait de même, et commençait à soulever son bassin, je sentais ses muscles se tendre. J’arrêtais tout et le regardais dans les yeux.
Franck : C'est pas mal ton truc, c'est vrai, ça fait pas mal, (a peine essoufflé).
Il fit un geste pour se redresser, je reprenait sans prévenir fort et rapide le massage de la prostate. Il se laissait retomber en arrière, un grand sourire aux lèvres, et un grand soupire de plaisir. Il fermait les yeux, soulevait et reposait son bassin essayant de suivre le rythme de mon doigt, sa respiration devenait plus forte et plus soutenue elle était accompagnée des râles et des gémissement de nos deux camarades de chambres que nous avions totalement oubliés, Christophe était assis dans le fauteuil et faisait sauter sur ses genoux son camarade qui assis sur sa bite jusqu’à la garde face à lui se cramponnait a son coup. Je faisais durer le mouvement encore un bon moment, puis arrêtais de nouveau. Franck respirait fort, il ouvrait les yeux , je l'embrassait. '' C'est vraiment bon ton truc '' me dit-il avec un grand sourire, un peu essoufflé. '' Ouais ! C'est vraiment bon ''. Nos deux camarades étaient toujours emmêlés l'un dans l'autre ... Christophe assis sur le sol, Antoine toujours empalé sur son ami, ils ne bougeaient presque plus et vivaient un grand moment de tendresse, se caressant doucement, enlacés.
Je reprenais le massage, sans prévenir en regardant Franck dans les yeux. Instantanément il basculait la tête en arrière, il continuait a me regarder dans les yeux également, mais je voyais déjà son regard se cacher derrière ses paupières alors qu'il se laissait retomber sur le dos. Je sentais ses muscles se contracter, son bassin se soulever nerveusement, il commençait à trembler.
Franck : Ahhhh, oui, c'est bon . C'est bon ton truc, encore.
Il continuait par des râles de plaisir qu'il ne retenait plus, ils se tordait, se cramponnait aux coussins, il était pris de secousse comme des spasmes, et à chaque mouvement poussait des gémissements de plaisir, son souffle était intense. Nos deux camarades continuaient leurs ébats, Antoine a quatre patte avait la tête sur un fauteuil et couinait littéralement de plaisir alors que Christophe le limait généreusement en lui donnant de violents coups de reins, il était bien monte lui aussi. Les réactions de Franck étaient de plus en plus fortes, j'avais bien l'impression qu'il ne contrôlait plus rien et qu'il allait bientôt exploser. J’arrêtais tout . Mais je ne retirais mon doigt .
Franck ne bougeait pas il reprenait son souffle, se calmait, ses muscles se détendaient, les tremblements cessaient , petit a petit.
Franck : C’était vraiment bon ton truc, a ouai... C’était vraiment bon ... Bon, je vais souffler un peu ...
Je reprenais une fois de plus le massage, mais fort cette fois ci, fort et rapide, aussi rapide que je pouvais en appuyant sur son anus le plus fort possible. Franck poussait un cri de surprise, puis ...
Franck : Non, arrête, ouahh, c'est bon, tu es fou....
Il se cramponnait au canapé comme il pouvait, il tremblait sans pouvoir se contrôler, relevait et rabaissait son bassin comme un fou, ses quatre membres étaient pris de violents tremblements, son visage n'exprimait plus que des grimaces, il serrait les dents, son corps se cambrait sous l'effet des spasmes... Je faisait durer le plaisir encore un bon moment jusqu'à ce que Franck se mette à gueuler ...
Franck : Non , non arrête tout , j'en peux plus, ne touche plus rien ... Arrête ...
Un long filet de sperme coulait a l’extrémité du dispositif de chasteté. J’arrêtais tout, je retirais mon doigt de son cul, il continuait à trembler et a se contracter, il était a bout de souffle . Je relevais la tête , Antoine et Christophe étaient penchés dans notre direction, ils me firent tous les deux un signe de félicitation avant d’applaudir . Franck reprenait ses esprits tout doucement et en les regardant ...
Franck : Vous êtes cons les mecs, c'est tout ce que vous avez a faire ... Mais , bon dieu, c'est bon ce truc, je savais pas qu'on pouvais jouir comme ça, pas à ce point, j'ai encore des sensations ...
On s'endormait rapidement après tout cela. Le lendemain, on n'était pas vigoureux, on prenait congé des filles qui ne voulaient pas se lever. On prenait notre petit déjeuner dans le bar du coin, puis après avoir échangé nos téléphones, chacun rentrait tranquillement chez lui. Au moment de se quitter Antoine me glissait à l'oreille ! '' Il faudra qu'on se revoit pour parler de ton truc ...''.
Une demie heure plus tard Franck et Moi arrivions chez moi. A peine la porte refermée derrière nous, Franck attrapait la clef, retirait son dispositif il bandait dur, il me plaquait contre le mur, baissait mon pantalon, et m'enculait avec rage, le tout sans prononcer un mot. Je le laissais faire, sans rien dire, je n'attendais que cela ! Il me limait le cul sans ménagement, il était visiblement en manque, et moi aussi ! Je ne bougeais pas, je restais totalement passif, j'encaissais en gémissant de plaisir, la nuit précédente m'avait bien excité, et j'étais le seul à n'avoir pas eût ma part ! Là j'en profitais ! Ça ne devait pas durer longtemps avant qu'il ne jouisse dans mon cul... Y a pas ... Ça soulage ! Une douche rapide, au lit... Franck bandait toujours, aussi il recommençait à me faire l'amour, mais avec beaucoup de douceur, ce n'était que caresses, câlins, baisers, étreinte, je le suçais, il me massais la prostate comme je lui avais montré la veille, il n'appuyait pas sur ma tète, il me laissait faire, pour finir il me pénétrait avec douceur mais , viril, il me limait doucement au début, puis avec force et pour finir avec violence ... Je jouissais comme un fou, je lâchais mon sperme, lui sans pitié n'arrêtait pas, il se lâchait maintenant et ne cessait de me défoncer le cul que quand il jouissait à son tour. J'étais en sueur lui aussi, je tremblais il se laissait tomber complètement amorphe à coté de moi, J'avais le souffle court il respirait profondément ... On était en accord l'un avec l'autre !
Le reste de la journée , on ne faisait plus rien, gueule de bois, grosse fatigue, on soupait ensemble puis Franck rentrait chez lui me laissant dormir...
Et pour la plage alors !
On verra ça, un autre jour …
FRANCK 04
Le lundi soir suivant, je recevais un coup de téléphone, c'était Antoine ...
A : Salut c'est Antoine, euh, je te dérange pas ?
M : Non pas du tout, alors ça va depuis hier ?
A : Je me demandais, si on pourrait pas se voir ...
M : Ce soir ?
A : Oui ce soir ... Ou un autre jour ... Si ça ne te dérange pas ... Quand tu veux !
M : Ce soir alors, je suis seul et je prépare une choucroute ... Ça te tentes ?
A : OK, j'arrive alors !
Je lui expliquait le chemin exacte, puis continuait a préparer le repas. Trois quart d'heure plus tard Antoine frappait a la porte, il avait emporté une bouteille.
A : J'ai pas voulu venir les mains vides !
M : Ouah du pinard, cool, une bouteille rien qu'une, ce sera plus raisonnable que l'autre soir!
On se faisait la bise, il entrait, je lui faisais signe des s'installer.
M : Alors ça s'est bien terminé l'autre matin ?
A : Oui, j'ai dormi tout la journée.
M : Moi pareil .
...
Nous échangions des banalités, on prenait des nouvelles les uns des autres puis, il en arrivait à me parler de mon 'truc' ...
A : Je sais pas si j'ai tout bien compris. J'étais un peu perdu par moment. Mais ton truc, tu ne peux vraiment pas le retirer.
M : En fait, si je peux le retirer, mais pour cela, il faut le détruire, le découper. Avec du bon matos de bricolage, c'est très faisable...
A : Donc c'est bien ça, tu ne peux pas le retirer, te branler un coup ou baiser, puis le remettre.
M : Là ça non. Si je le retire, je le casse.
A : C'est une idée à la con ce truc. Pourquoi tu portes un truc que tu peux pas enlever ?
M : C'est à cause de Franck, c'est une blague qu'il m'a fait. Je portais un dispositif en plastique, très efficace, avec un cadenas, que je pouvais facilement retirer et remettre. Mais Franck, ce farceur, m'a offert le système que je porte maintenant. Il ne m'a dit qu'on ne pouvait pas l'ouvrir seulement après, quand il était verrouillé.
A : Le farceur ! Et tu le gardes !
M : Oui, en fait, le dispositif que je portais avant, je ne l'avais retirer qu'une seule fois depuis que je connais Franck. Alors Franck ,ce farceur, m'en offre un sans l'option...
A : Je parlais de Franck !
M : Là c'est toi le farceur !
Antoine me regardait avec des yeux pétillants de curiosité.
A : Moi j'aimerais bien essayer, mais je dois dire que je suis un peu terrifié !
M : Tu veux voir ?
A : J'aimerais bien oui ... Si ça te dérange pas ...
M : Au contraire !
Je me levais baissait mon pantalon et finalement retirais tous mes vêtements.
M : On est aussi bien comme ça.
Antoine ne savait plus quoi dire, j'étais assis en face de lui, j’écartais bien les cuisses, il semblait apprécier.
M : Tu veux essayer ...
A : J'aimerais bien oui , mais , ...
Je me levais, allais dans ma chambre, en revenais quelques instants plus tard, je posait devant lui une petite boite en carton sur la table. Il me regardait
A : C'est ... ?
M : Oui c'est ...
...
M : Vas y ouvres.
Il ouvrait la boite, prenait l'objet dans ses mains, l'examinait sous tous les angles. Je lui expliquais, tu passes d'abord une couille puis l'autre, ensuite tu passes ta bite. Mais par contre là, il ne faut pas bander, ensuite tu introduits ta bite dans le petit tubes là, ou il y a plein d'ouvertures, c'est pour aérer et pour la douche, tu enclenches le petit bidule sur le machin, et tu referme avec le cadenas.
En même temps je lui montrait les étapes directement sur l'objet. Il me regardais , il semblait hésiter...
M : Vas y ... Tu en as envie.
Finalement , il se relevait, baissait son pantalon, mais on allait avoir un problème, il bandait dur, bien dur.
M : Je l'ai porté pendant plusieurs années en ne le retirant que très rarement. En fait si c'est la bonne taille, on peut le porter en permanence , c'est pas un problème.
Comme je disait cela, Antoine avait passé ses deux couilles dans l'anneau, il serrait sa bite dans sa main pour essayer de débander, et petit à petit ça marchait, au bout d'un long moment, il arrivait à un résultat, il pouvait enfin passer son pénis dans l'anneau a son tour. Sans plus attendre, il l'introduisait dans le tube à pénis qu'il enclenchait sur l'anneau. C'était fait, je n’en revenais pas. Je lui tendais le cadenas, il le posait puis le refermait. Il relevait la tête, il me regardait, il était presque essoufflé.
Moi : Alors, tes premières impressions ?
Antoine : Je sais pas ... C'est bizarre ... Ça semble confortable, et en même temps ... La première impression ... Ça fait pas mal...C'est même agréable, une sensation de pression ferme et douce, sur toute la longueur de la bite ... Ferme, ouais, ferme !
Moi : Tu veux le garder plus longtemps ?
A : Plus longtemps ?
M : Oui, plusieurs jours, tu sais, le garder quelques minutes c'est rien ! Pour se faire une véritable impression, il faut le porter plusieurs jours ...
A : Plus longtemps ?
M : Oui, plusieurs jours, tu sais, le porter plusieurs jours c'est rien ! Pour bien comprendre il faut le porter plusieurs semaines ...
A : Plus longtemps !
M : Tu radotes !
A : Oui je sais, mais, ... , plus longtemps ...
Il regardait, l'air un peu bête son entre jambe .
M : Plus longtemps ?
A : Christophe est absent tout la semaine, il ne rentrera pas avant cinq jours ...
M : Cinq jours alors, c'est un bon début ...
A : Ouais ! J'ai bien envie, mais en même temps, j'ai les boules !
On se regardait, tout les deux avec un sourire probablement un peu idiot, puis ...
A : OK, je le garde cinq jours !
M : Bravo, c'est bien dit, je garde les clefs !
Il me regardait surpris et hésitant, puis faisait oui de la tète. Je remplissait les deux verres.
On continuait à discuter un bon moment avant de passer table . La soirée se terminait tranquillement , il n'était pas dix heures du soir quand Antoine rentrait se coucher...
A : Il se fait tard, et le dernier week-end a été dur, reposes toi bien, je t'appelle.
M : Tu as raison, je pense que je ne vais tarder à dormir, moi aussi.
On se faisait la bise, puis il me laissait dormir. A peine dans mon lit, je m'endormais profondément et dormais d'un trait toute la nuit . Il me fallait cette seconde nuit de repos pour récupérer de ce week-end difficile, je me levais prêt pour une journée de travail.
Vers la fin de l'après midi, Franck me téléphonait .
Franck : C'est la cata, on à un boulot de dingue à l'atelier, je pourrais pas passer te voir ce soir.
Moi : Tu me manques déjà …
Franck : Te fout pas de ma gueule, moi c'est ton cul qui me manque …
Moi : Mais c'est que tu es de plus en plus romantique toi dis donc…
Franck : Tu comprendras quand tu me reverras …
Moi : Je comprendrai ?
Franck : Ouai, parfaitement tu me manques et ton cul tout particulièrement, tu sais que je t'aime toi !
Moi : Peu … ! C'est mon cul que tu aimes, bon ça me dérange pas moi c'est ta bite que j'aime . Le reste tu pourrais le laisser à la maison ça me dérangerait même pas .
Franck : Ce qu'il ne faut pas entendre ! Bon sérieux, j'aurais bien aimer passer la nuit avec toi, te tenir dans mes bras, te caresser, sentir tes caresses …
Moi : Et m'enculer …
Franck : … Aussi … Tu penseras à moi ?
Moi : Ça c'est sûr, je pense toujours à toi !
Franck : Moi aussi, je t'embrasse, je t'aime !
Moi : Moi aussi je t'aime, travaille bien à demain !
Bon je vais donc passer une nuit en célibataire, je me douchais, préparais un repas rapide et m'installais devant la télé quand le téléphone sonnait à nouveau ! C'était Antoine !
Moi : Salut Antoine, ça va toi ?
Antoine : Ça va, ça va, mais c'est dur ton truc, c'est du délire, on ne pense qu'à ça.
M : Je suis sûr que tu es le genre de garçon qui ne pense qu'à ça …
A : Ne te moques pas, tu sais de quoi je parle... C'est vraiment la folie ce truc, tu le sens vraiment en permanence, vraiment pas facile, ça fait pas vraiment mal, mais …
M : VRAIMENT !
A : Tu te moque encore ! Tu es de mauvais poil, je te dérange ?
M : Non mais Franck a téléphoné, et je le verrais pas ce soir, il a trop de boulot .
A : T'auras pas droit à sa quéquette ! Oua Oua Oua là c'est moi qui me moque, ça t'apprendras. Mais bon c'est pas simple à supporter ton truc …
M : Douloureux ?
A : Non pas douloureux, mais ça gène, je me réveille deux ou trois fois pas nuit …
M : Mais aucune douleur ?
A : Non au niveau douleur, aucune …
M : Alors le dispositif est parfaitement adapté, il est à ta taille, c'est cool tu peux le porter en permanence maintenant !
A : On avait dit cinq jours !
M : Oui cinq jours, pour commencer …
A : Tu ne dis rien à Christophe …
M : Pourquoi ? Tu ne lui diras pas ?
A : Pas pour le moment !
M : A long terme, tu envisage de le porter en permanence, comme moi ?
A : C'est un peu tôt, je sais pas, j'ai envie mais je sais pas … ça fait peur ...mais c'est une idée excitante , tu vois ce que je veux dire ?
M : Alors là oui, tu peux me croire, je sais de quoi tu parles !
A : Surtout tu dis rien à Christophe !
M : Tu penses que ça ne lui plaira pas ?
A : Au contraire je pense que ça va lui plaire, peut être un peu trop même !
M : ''Que ça va lui plaire '' … tu as donc l'intention de lui dire ! Bienvenu au club bonhomme !
A : Mais quand tu craques, tu fais comment toi ?
M : Il y a les gadgets …
A : Les gadgets ! Les godes ?
M : Ouai, tout seul, ça soulage, évidemment si tu n'as rien de mieux, sinon … Dans mon cas j'ai mieux à la maison, mais quand il n'est pas là …
A : Moi j'en ai pas .
M : Tu n'as pas mieux à la maison … Si Christophe t'entendait, il serait content !
A : Non c'est pas de Christophe que je parle, c'est du gode, j'en ai pas !
M : C'est une proposition, une soirée gode, ce soir, chez moi, entre nous …
A : Alors là tu me tentes !
M : Bon d'accord, je t'attends !
A : J'arrive !
Je préparais les différents godes que je présentais bien en vue sur la table de salon . Un peu plus tard Antoine sonnait à la porte. On se faisait la bise, et, alors que je le tenais toujours dans bras, je le regardais puis …
M : Tu sais, ton '' truc '', pas question que tu l'enlève avant la fin de la semaine !
Pour seule réponse il m'embrassait. Nous nous embrassions longuement tout en se caressant et en se déshabillant l'un l'autre. On se retrouvait complètement à poil dans l'entrée, nos vêtements éparpillés sur le sol autour de nous, nous n'avions gardé sur nous que le dernier petit détail … Antoine regardais mon dispositif tout en me caressant les testicules, je lui caressais le bas du ventre et laissait mes mains s'attarder également sur ses testicules. Il bandait dur à l'intérieur de son dispositif on pouvait voire que son pénis était bien gonflé et était sous pressions, son souffle était fort il était complètement sous pression, et j'étais dans le même état.
Je l'attirais dans le salon, pour lui montrer ma collection. Le plus petit gode faisait quatre centimètre de diamètre sur quinze de long, le plus gros … sept sur vingt cinq … Antoine l'air amusé prenait le plus petit dans les mains, en disant '' ça c'est amusant … '' et en voyant le plus gros … '' là ça ne rigole plus, oua ! Tu arrives vraiment à t'enfiler ça dans le cul ? ''
M : Oui mais pas tout les jours, ça c'est du lourd, il faut respirer bien à fond !
A : Pas pour moi, c'est trop gros, mais celui-ci , il me semble juste à ma taille et devrait donner quelques sensations fortes …
M : Très bon choix, c'est le moulage de ma bite avant que je …
A : Tu es rudement bien monté, de quoi satisfaire un passif difficile, et je suis passif. Quand je vois ça je me dis que tout même dommage d'enfermer un jouet aussi sympathique...
M : Moi aussi je suis passif, et de toutes façons, Franck, lui il est actif , et même très actif ! ( en lui montrant un gode de 22 cm de long) là c'est le moulage de Franck, il me l'a donné pour que je puisses me faire plaisir en pensant à lui quand il n'est pas là.
A : C'est un beau morceau !
M : Tu veux ..
A : Non je préfère le tien !
Je le prenais dans mes bras, lui caressais le dos en l'embrassant dans le coup. Je le retournais doucement toujours en lui caressant le torse et le ventre avec la main droite, la main gauche descendait vers ses fesses, je crachais dans ma main gauche et continuais l'exploration , j'introduisais mon majeur dans son anus. Je sentais Antoine se crisper, mais il se laissait faire.
Antoine se penchait en avant, je le dirigeais en appuyant sur son dos, j'introduisais ou deuxième doigt et commençais à lui masser la prostate, je l'entendais gémir, mais il me laissait toujours faire. Je versais une bonne dose de lubrifiant puis continuais , j'entrais puis ressortis mes deux doigts de plus en plus vite. Antoine gémissait plus fort !
Je prenais le gode (le mien) et le présentais à son anus, l'enduisait de gel et l'introduisait bien à fond en un seul mouvement !Antoine hurlait, se crispait, se cramponnait au canapé, son visage faisait des grimace, son souffle était fort, il gémissait de plus en plus fort, il était tout rouge et semblait proche des larmes mais il me laissait toujours faire ...
Moi : Ça va ?
Antoine : Oui, non, je sais pas ( il était essoufflé ). Putain ça fait mal ton truc, tu sais que t'es bien monté. Je t'ai senti passer ... enfoiré !
M : Tu veux que j’arrête ?
A : Non vas y fais moi mal. Putain ça fait mal mais c'est bon .
Je commençais alors a faire des mouvements de vas et viens de plus en plus rapide, Antoine râlait ! Je changeais de rythme plus ample mais plus lent, bien a fond d'un coup violent puis je ressortais le gode pour le rentrer entièrement d'un coup rapide et violent, ou tout en douceur, lentement mais fermement.
Antoine sanglotait '' Putain on le sent passer ton gros machin , AAAhhhhh, non ,oui, vas y, ça fait mal mais c'est bon ! '' Il était rouge, il tremblait ses mains crispées sur les coussins, il était en larme, en larme mais ravis, Je maintenais le gode bien à fond sans faire le moindre mouvement puis retournais Antoine sur le dos , il se laissait faire. Il se retrouvait allongé sur le dos , les jambes jointes et le gode toujours dans le cul jusqu'à la garde. Il me regardait et me souriait. Je l'installais confortablement avec deux gros coussins sous la tête puis revenant à la table je lui présentais le gode ''Franck'' , avec un grand sourire ...
Antoine : Ça c'est du lourd ... même pas peur !
Je lui présentais la taille du dessus ... 24 cm sur 6 cm ... Là Antoine ne souriait plus ...
Antoine : Je te garantis pas que je vais me le prendre dans le cul, ça c'est vraiment gros ! Mais, je suis chaud ... Je te laisse faire ... Vas y doucement ... La vache , on doit le sentir passer celui là et c'est même pas le plus gros de ta collection !
Je posais le gode sur un tabouret, bien collé avec sa ventouse, l'enduisais abondement avec du gel, à chaque étape je jetais un regard vers Antoine qui semblait se dire '' c'est énorme , ça passera pas ''. Je me plaçais alors entre Antoine et le tabouret, les jambes écartée, il me regardait, je lui faisais un grand sourire, il baissait les yeux et regardait mon dispositif de chasteté puis le gode qu'il pouvait voire derrière moi entre mes jambes. D'un mouvement lent , je repliais les jambes m'asseyant doucement sur le gode, je me positionnais, le cul juste au dessus puis m’empalais doucement , Antoine avait les yeux ronds il semblait fasciné , je m'enfonçait de plus en plus sur ce gros pal en un seul mouvement lent , à voire ma tête Antoine rigolait, au bout de quelques minutes j'étais assis sur le tabouret avec ce gros gode dans le cul .
Antoine : J'y crois pas , Ouah ! Là tu m'impressionnes ,
Moi : Et je te confirme qu'on le sent passer celui là !
D'une main j'approchais un second tabouret que je plaçais juste devant moi, j'y posais fermement le gode ''Franck'', et d'un geste, invitais Antoine à s'installer.
Antoine : Même pas peur !
Antoine se levait, il respirait lentement, il retirait le gode qu'il avait dans le cul depuis un moment en faisant quelques grimaces, et quelques sourires à mon intention, puis tout comme je venais de lui montrer, se positionnait au dessus du tabouret et doucement s'empalait , doucement il enfonçait les 22 cm jusqu'à la garde.
Je me penchais vers Antoine, l'embrassais en le prenant dans les bras et lui glissais à l'oreille .'' Va y , fait comme moi !''
Je me relevais alors doucement pour faire ressortir le gode de mon cul, puis me ré-asseyais dessus, je recommençais, le gode entrait , sortait ... C'était bon, Antoine faisait comme moi. On se tenait enlacés, on se relevait puis on s'empalait pendant de longues minutes.
On finissait par se relever, toujours accrochés l'un à l'autre. Antoine tremblait dans mes bras ou alors c'est moi qui tremblais dans ses bras.
Antoine : Quand je me fais enculer, je peux me branler, là, c'est un peu ... spécial ...
Il respirait fort, semblait essoufflé, je le poussais en arrière, il se laissait tomber sur le canapé. Je lui présentais le gros gode que j'avais dans le cul quelques instants plus tôt et qui était resté collé au tabouret. Antoine ne répondait rien mais poussait un gros soupir. Sans plus attendre, je lui relevait les jambes et commençait a le lui rentrer dans le cul. Antoine poussait un hurlement mais ne résistait pas, il respirait vite, très vite, comme une femme qui accouche. Il hurlait : '' Ça passera pas ! '' . Je poussais un peu plus et finalement ... Ça passait ! Je poussais le gode bien à fond avec douceur, Antoine avait la bouche ouverte comme s'il hurlait mais aucun son ne sortait.
Je laissais Antoine dans cette position. Je prenais le dernier gode, le plus gros , le posais sur le tabouret et m’empalais dessus en un seul mouvement. Antoine n'en perdait pas une miette ! Il me regardait totalement fasciné ! Je m'allongeais sur lui, l'embrassais, on se caressait, chacun appuyait sur le gode l'autre, le ressortait puis l’enfonçait de nouveau. Ce jeux durait un long moment pour nous laisser finalement amorphe, vidés, comblés.
Antoine : Délire ton truc, j'ai pas éjaculé, mais j'ai pris mon pied !Je suis mort. Je peux dormir ici ?
Je me relevais et lui tournant le dos.
Moi ! Alors tu me le retire ?
Je le laissais faire, je sentais le gode sortir doucement, ultime sensation de plaisirs. La je me senti vraiment vidé , Je lui faisais la même chose. Il restait là, à me sourire, il avait l'air heureux.
Moi : Ça va ?
Antoine : C'est le pied. J'adhère, ...
On rangeait tout on prenait un douche puis ... dodo. On se regardait l'air complice sans rien dire. Nous n'avions pas éjaculé mais on avait tout de même prix notre pied. on se couchait, on échangeait un dernier baiser puis très vite on s'endormait !
Le lendemain,on se réveillait en pleine forme. Antoine avait un large sourire.
Antoine : Je ne me suis pas réveillé de toute la nuit. Ouah, j'ai vraiment bien dormi, tu as bien dormi toi aussi ? Finalement c'est super ton truc ! En fait je te comprends mieux maintenant. Tu sais prendre du plaisir, pas de problème. J'aurais presque envie de recommencer. Ça fait plusieurs jours que je me suis pas branle , et je me sens super bien. ..
Moi : Thé ou café ?
Antoine : Chocolat ! D'habitude je me branle tous les jours et même plusieurs fois par jour, et là ça fait plus de deux jours, pourtant je me sens super bien ! Sans problème ton truc je le garde à vie, ouais je ne l'enlève plus!
Moi : Pain grillé ou biscottes ?
Antoine : Gâteaux ! Remarque, j'ai pas de gode moi, il faut que je m’achète un gode. Ou tu as trouvé tes godes toi, il y a un marchand dans le coin, tu sais peut être ça toi. Ça te tentes de venir avec moi pour m'aider à choisir, on pourrait se faire un resto au passage ...
Moi : Deux ou trois sucres ?
Antoine : Quatre ! C'est Christophe qui va délirer, tu lui dit rien, c'est moi qui vais faire ...
Là, j'ecclatais de rire .. Il ne disait plus rien, me regardait l'air bête, puis éclatait de rire à son tour !
Antoine : Je parle trop ! ... Trop vite .. ? Trop fort ... ?
Moi : On verra ça dans deux ou trois jours ...
On terminait notre petit déjeuner presque en silence.
Antoine : Tu ne me crois pas quand je te dis que , ton truc, je l'adopte, je le garde ? ...
Moi : Non c'est pas ça ...
A : C'est quoi ?
M : Tu es enthousiaste aujourd'hui, mais demain...
A: Demain, pareil !
M : Peut être, c'est pas toujours aussi facile, il y a des jours ... Surtout au début ...
Au moment ou il me laissait je me disais que finalement il avait l'air vraiment décidé …
Dans la journée Franck m'appelait, je lui racontais la soirée …
F : Tu t'amuse bien quand je suis pas là à ce que j'entends ! Et bien tu va pouvoir continuer encore quelques jours … J'ai un collègue malade et un appareil à livrer à l'autre bout du pays, pas le choix, C'est moi qui m'y colle, il n'y a personne d'autre, je serais absent au moin une semaine... On ne se verra pas ce week-end je ne rentrerais pas avant le milieu de la semaine prochaine ! Là ça va devenir dur , dur dur !
M : Galère, qu' est ce que je vais faire ce week-end moi !
F : Je suis sûr que tu vas trouver ! Christophe m'a téléphoné au sujet de ton petit dispositif .
M : Et qu'est-ce qu'il a dit ?
F : En fait, Antoine à raison, il m'a dit qu'il aimerait bien le voir sous clée somme toi !
M : J'ai l'impression que je vais avoir un nouveau collègue dans mon club !
F : Je te rappelle plus tard, il faut que je me prépare, nous partons dans moins d'une heure.
M : Je t'embrasse, je t'attendrai, le regard fixé sur la ligne d'horizon, je ne mangerai pas ne me laverai pas ne boirai pas avant ton retour !
F : Ça va vraiment pas mieux toi ! N'en fait pas trop tout de même ! Je t'embrasse, à plus !
FRANCK 05
Bon maintenant que nous nous connaissons un peu plus , je vais vous raconter une petite aventure que j'ai vécu il y a quelques années. Je vous fais confiance, surtout ne le répétez pas à Frank . Frank , il sait très bien qu'il n'est pas le premier homme dans ma vie mais , il n'aime pas trop que je parle d'avant , avant que je ne le rencontre et qu'il ne devienne le seul homme de ma vie ! Alors déconnez pas , je vous fais confiance , n'allez pas lui raconter !
Comme je vous le disais à l'instant , c'était il y quelques années , à cette poque je n'avais pas de compagnon régulier , je vivais l'insouciance du célibataire , je vivais de rencontres qui ne duraient pas forcément , et même ne duraient pas ... Comme à cette époque je sortais beaucoup, je picolais aussi beaucoup , je fréquentais donc ces lieux de perditions qu'on appelle les bars , les troquets , les bistrots !
Un soir ou j'avais pas mal picolé , confortablement installé à un bar ou j'avais mes habitudes , avec d'autres clients réguliers que je connaissais la discussion allait bon train , évidemment on parlait … de cul … Bon d'accord je sais , il n'y a pas que le cul dans la vie , y a le sexe aussi … à moins que ce ne soit le contraire … Mais bon , on parlait de cul !
...
… Moi , la semaine dernière je me suis fait une fille , z'auriez vu ça les mecs .
… Vas y raconte !
… Elle avait de ces nichons …
…
… Et toi Bob , ça se passe comment avec les mecs ?
Moi : Si tu veux vraiment le savoir , demande à une de tes copines !
Tout le monde rigolait !
Petit à petit le bar se vidait , je restais seul avec le barman , Luc :
Luc : Alors ça se passe comment avec les mecs ?
Moi : Demande à ta copine !
Luc : Je l'ai virée , j'en avait mare de voire … son nez au milieu de la figure !
Moi : Tu aurais voulu le voir ou , son nez ?
Luc : Ça se passe comment ?
Moi : Normalement !
Luc : Il parait que les mecs sucent mieux que les filles ?
Moi : Comment tu veux que je le sache ?
Luc : T'as jamais essayé ?
Moi : Avec les filles , non jamais
Il pouffait de rire !
Luc : Moi c'est avec les mecs que j'ai jamais essayé !
Moi : Et tu veux que je te suce ?
Luc : Sans vouloir abuser de ta bonté !
Luc était un grand gaillard , beau gosse , bien carré , musclé avec une belle gueule d'hétéro … J'avais souvent lorgné vers son entre jambe ou on pouvait espérer trouver de quoi satisfaire un garçon gourmand comme moi !
Moi : Ok , laisse moi faire !
Je me glissais derrière le bar , ou il y avait une niche vide , juste à coté des fûts de bière et de la bonbonne de gaz comprimé .
Luc me regardait , tétanisé , il n'osait pas bouger …
Luc : Mais qu'est ce que tu fais ? Tu es fou !
Je ne l'écoutais pas et j'ouvrais sa braguette , bon j'avais un peu bu .. ( un peu ! ... ) … je dois le reconnaître , mais lui … Il faisait son ' farouche ' mais me laissait faire …
Elle était belle , oui , il en avait une belle … Molle mais belle , longue , large et il était circoncis ! Sans aucune hésitation je la prenais dans la bouche et commençais à la sucer … Il ne fallait que quelques instant pour que la chose prenne de l'ampleur , je sentais sa queue qui gonflait dans ma bouche , c'était très agréable … elle était balèze ! Il me regardait faire , semblant ne pas en revenir , avec des yeux écarquillés et commençait à respirer plus fort , et à à gémir doucement . La scène durait un bon moment , il était maintenant vraiment en forme et rien à faire je n'arrivais pas à me la prendre en entier dans la bouche … La porte du bar s'ouvrait , Luc se collait au bar pour que personne ne puisse rien voire à ce qui se passait en dessous , un client entrait , je ne reconnaissais pas sa voix , je ne m'arrêtais pas pour autant , le client venait s'asseoir au bar et commandait une bière , je continuais , Luc le servais sans se déplacer , je veillais seulement à ne pas faire de bruit , il ne débandais pas et plaqué contre le bar personne ne pouvait deviner ce qui se passait . Le client parlait , Luc lui répondait d'une manière distraite , je suçais . C'est sans prévenir que je prenais une giclée dans la bouche , Luc poussait une gémissement , puis une seconde giclée …
Le client : Ça va ?
Luc : Oui , tout va bien !
Le client : Tu as l'air bizarre ?
Luc : Juste un peu de fatigue ! Une petite baisse de tension …
Le client : Tu me remet une bière ?
Luc débandait rapidement , j'essuyais sa bite tout en la contemplant , elle était belle et j'aurais bien aimé me la prendre dans le cul , même si elle faisait un peu peur ! Je la remettais en place et lui refermais sa braguette .
Le client se levait pour aller au WC . Luc me dit vite de sortir en passant par la salle privée juste derrière le bar ! Il me dit de sortir par la porte au fond et de faire le tour , de revenir par la porte principale pour que personne ne remarque rien … ne remarque d’où je venais …
Je sortais donc discrètement , faisait le tour du bâtiment et revenais par la porte d'entrée principale , le client , c'était Denis , je le connais bien . Luc me voyait revenir avec un grand sourire . Il me servait déjà un verre !
Denis : Ah , te voilà toi , ça m'aurais étonné aussi que tu ne traînes pas dans le coin toi !
Luc : Il n'était pas bien loin !
…
La discussion continuait à tout les trois , mais bizarrement on ne parlait plus de cul , et Luc qui n'était pas le dernier à aborder ce sujet d'habitude , ce soir là …
On se préparait à partir , Denis terminait son verre , et se dirigeait vers la sortie quand Luc me lançais …
Luc : Tu m'avais dit que tu pourrais regarder à mon ordinateur , comme je te disais … il bug !
Moi : Tu as raison , tu fait bien de me le rappeler !
En se penchant vers moi , au moment ou Denis refermait la porte , il me glissait à l'oreille …
Luc : Tu avais raison , je ne connais aucune fille qui suce aussi bien que toi !
Moi : Les filles elle n'y connaissent rien !
Luc : J'aimerais bien te , … ,
Moi : M'enculer ?
Luc : Oui … ( un peu embarrassé )
Moi : Maintenant que j'ai vu le matos , avec plaisir !
Luc : Par contre … toi … tu …
Moi : Je te suce , tu m'encule … Ça marche !
Il avait l'air surpris , mais agréablement surpris …
Nous montions à son appartement , juste au dessus du bar , il fermait les rideaux et nous nous retrouvions face à face .
Luc : Je … On fait …
Moi : Tu me suce pas , je t'encule pas mais on fait un câlin !
Avec un grand sourire , il me prenait dans ses bras et je l'embrassais , un léger geste de réticence puis il me rendais mon baiser …
Luc : C'est bizarre d'embrasser un mec , il y a la barbe … Mais à par ça …
Je lui ouvrais sa chemise et lui caressais le torse en insistant sur les tétons , il se laissait faire ! Il me retirait mon T-shirt et me rendait mes caresses , il fermait les yeux … On continuait à s'embrasser , il embrassait bien le gars …
Je lui ouvrais la ceinture , sa braguette et faisait tomber son pantalon sur ses pieds , il bandait et sans attendre plus , je le suçais . Il poussait quelques gémissements , prenait ma tête entre ses mains et lui imprimait un mouvement tout en bougeant son bassin . Il entrait sa queue de plus en plus profond dans ma gorge … Mais à fond , là , ça ne passait pas …
Luc : Retournes toi , enlève tes fringues , je vais t'enculer !
Je m'exécutais , le pantalon , les chaussures , les chaussettes se retrouvaient dans un coin de la moquette et on se retrouvaient tout les deux à poil . Je lui tournais le dos et me penchais en avant . Il me lubrifiait le cul , se lubrifiait la queue , et doucement commençait à me pénétrer en me tenant fermement par les hanches . Je le sentais passer , je le sentais bien même , il était balèze ! Je commençais à respirer fort et à gémir , je poussais quelques cris de plaisir autant que de douleur … Quelques instant plus tard il était entré à fond et m'enlaçais tendrement , fermement en me redressant . Il commençait alors des mouvement de va et viens du bassin , je gémissais , il accélérait le mouvement !
Ses mouvements devenaient plus amples , plus rapides et plus violents , il ressortait presque totalement et revenait à la charge bien à fond , son bassin frappait et claquait sur mes fesses , je me cramponnais à ce je trouvais , il prenait le contrôle de la situation et c'est lui qui me retenait , je le laissais faire . Je retournais la tête et on s'embrassait . J'étais aux anges , je me laissais aller , c'était bon … Je le sentais se contracter , il me serrait plus fort dans ses bras , sa respiration s'accélérait , il gémissait puis il hurlait … Il était en train de jouir , ses coups de bassins devenaient très violents , je hurlais également , c'était bon , je jouissais aussi mais par le cul . Il n'avait pas une seconde approché sa main de mon sexe limitant ses caresse à peine en dessous du niveau de la ceinture …
On restait un moment sans bouger , il commençait à débander et à se retirer doucement . On était en sueur …
Luc : Une petite douche ?
Moi : C'est une idée !
Il se dirigeait vers la salle de bain , je le suivais … En arrivant à la couche , il se retournait , et ses yeux semblaient ressortir de sa tête quand il vit mon dispositif de chasteté …
Luc : C'est quoi ça ?
Moi : Un dispositif de chasteté !
Luc : Mais pourquoi … C'est un truc de fou … Ça doit faire mal …
Moi : Non ça fait pas mal , ouai c'est un truc de fou , et c'est pour m'obliger à rester sage !
Il regardait le truc , avec un petit sourire , on se douchait , et il gardait toujours un œil sur mon dispositif …
Luc : Et tu appelle ça , rester sage toi ? … Ce qu'on vient de faire ?
…
Luc : Et tu as la clée ?
Moi : Pas sur moi !
Luc : Je ne risque rien alors ! Tu risques pas de m'enculer !
Moi : Moi je suis surtout passif , mais si tu veux , la prochaine fois que je viens j'emmène la clée et je t'encule !
Luc : ... La prochaine fois … C'est une idée ça , emmène la clée ! Ouai emmène la clée !
Moi : Et je t'encule ?
Luc : Tu es surtout passif ! ... Mais emmène la clée !
On se séchait et il m'invitait à passer la nuit avec lui … On passait la fin de la soirée à boire quelques verres et à parler de mon dispositif de chasteté … J'étais un peu surpris , mais ça avait l'air de l'intéresser ce truc …
On passait une bonne nuit et le lendemain au réveil , Luc était en forme . Il me regardait avec un œil rieur et un sourire au coin des lèvres … Puis sans rien dire me prenait dans ses bras , m'embrassait en me caressant … Je lui rendais ses baiser ses caresses . Là il me caressait les couilles et s'amusait à tripoter mon dispositif de chasteté . Il me retournait sur le dos , m'écartait les cuisses , posait mes chevilles sur ses épaules , s'approchait , me tripotait encore un moment mon petit truc en me caressait les couilles et finalement me pénétrait de nouveau . Je poussait un cri , c'était bon . Il me faisait crier sans me faire mal , enfin un petit peu , mais … D'un mouvement rapide , il s'appuyait sur moi et commençais à me défoncer le cul sans ménagement . Je me cramponnais au matelas , il me regardait dans les yeux , il avait l'air ravis , il me faisait un grand sourire , moi je pense que je devais faire des grimaces , rapidement je jouissais , du cul d'abord …
Luc : Tu aimes ça ?
Moi : Oui , vas y !
Luc : C'est bon ?!
Moi : Vas y , défonce moi le cul !
Il continuait à me ramoner le cul un bon moment , je me tordais dans tous les sens , je ne contrôlais plus rien et je finissais par jouir en éjaculant … Un filet blanc coulait de l'extrémité de mon dispositif de chasteté . Luc ne se calmais pas , il continuait de plus en plus fort …
Moi : Arrête , j'en peux plus …
Il continuait …
Moi : Non arrête , arrête !
Il continuait plus fort encore !
Moi : S'il te plaît ! J'en peut plus !
Il continuait , et finalement il jouissait dans mon cul en poussant un cri de plaisir puis se laissait tomber sur moi , de tout son poids . Il me prenait dans ses bras et m'embrassait . Je tremblais comme si j'avais froid , et pourtant …
Un moment plus tard , il se relevait et en me donnant une claque sur la fesse …
Luc : Allez debout , p'tit déj !
On se levait , se douchait , s'habillait puis on prenait un petit déjeuner !
Cette nuit ne devait pas être la dernière ! Régulièrement , je le retrouvais au bar , puis on terminait la soirée chez lui . Quelques jours plus tard , je repassais au bar , Luc était ravis de me voire ! La soirée se passait comme d'habitude on discutait entre clients , entre clients et barman … A la fermeture , il m'invitait à monter et me demandais …
Luc : Alors , tu y as pensé !
Moi : Pensé à quoi ?
Luc : La clée !
Moi : La clée ?
Luc : C'est pas grave , la prochaine fois !
Je lui donnais la clée !
Luc : Garde là , tu vas en avoir besoin !
J'y croyais pas , il voulait que je l'encule ou quoi ? Arrivé dans l'appartement , il s’asseyait et en me regardant avec un grand sourire …
Luc : Allez met toi à poil !
Je m'exécutais .
Luc : Ouvre ton cadenas et retire le !
Je le faisais .
Il me tendait alors un autre cadenas en me disant …
Luc : Bon moi je fais l'homme et toi la femme . Donc moi j'ai une bite , et en plus elle est belle , et toi tu n'en a pas besoin ! Alors toi tu l'enferme et tant qu'on sera ensemble tu ne t'en servira pas ! Met ce cadenas à la place de l'ancien et referme le !
Sans hésitation , je lui obéissais !
Luc : Maintenant , suce moi la queue :
Il était assis sur son fauteuil , les jambes écartées , et passait les mains derrière sa tête d'une allure parfaitement décontractée ! La situation me plaisait bien , aussi je le faisais , je le suçais avec plaisir , j'aimais de plus en plus sa queue , il finissait pas jouir dans ma bouche . Plus tard il m'enculait encore comme il savait le faire !
Quelques semaines plus tard , j'arrivais , il y avait une fille qui ne le lâchait pas de la soirée . Il faisait les présentation , … Sabrina … , et me la présentais comme sa nouvelle copine … ! Mais continuait en me proposant de rester toute la soirée ! …
Je me disais que de toutes façons , je savais bien que ça ne pourrait pas durer , il est hétéro , une fille , c'est plus naturel , c'est moi qui suis pas naturel dans ce contexte , dommage , j'aimais bien sa queue moi …
Sabrina s'approchait de moi !
Sabrina : Luc m'a dit que tu tiendrais la chandelle ?
Moi : S'il l'a dit … !
Sabrina : Il m'a raconté que vous étiez un peu ensemble ?
Moi : Un peu , oui , peut être , mais un peu alors , juste un peu !
Elle rigolait de ma réponse … Plus tard dans l'appart Luc et Sabrina commençaient à se peloter et à s'embrasser à peine après avoir fermé la porte derrière eux , j'étais là , je les regardais sans trop comprendre ce que je faisais là !
Luc déshabillait sa copine , elle le déshabillait en même temps …
Sabrina : Je veux bien être à poil , mais c'est valable pour tout le monde !
Je retirais mes vêtements … Elle ne faisait pas attention à moi ! Ils étaient déjà presque à moitié mélangés …
Je les regardais faire l'amour , il y mettait du cœur , c'est clair , je n'était qu'un bouche trou . Il n'avait pas de fille sous la main alors , je pouvais compenser un moment … Mais ça ne pouvait pas durer … Chassez le naturel et il reviendra au galop . Il revenait le naturel , et au galop , pas de doute lui c'était les filles … Je regardais et j'admirais ce corps magnifique , j'aurais aimé être à la place de Sabrina , c'était sadique ce qu'il me faisaient là … Je restais là , au pied du lit , les jambes écartées , les bras croisés à les regarder ? Il était vraiment beau … Il était vraiment très en forme …
Un peu plus tard on se retrouvait assis autour de la table basse avec chacun un verre d'alcool . Sabrina se renseignait sur le dispositif que je portais , sur notre relation , longuement elle posait toutes les questions qu'elle avait envie de poser et recevais toutes les réponses … Puis ...
Sabrina : Écoute Luc , si notre relation doit continuer que les choses soient claires … Si tu touche à une autre fille , je te largue … Pour lui , c'est pas pareil , c'est un mec … et puis ( en regardant mon dispositif ) lui il ne compte pas … enfin … et puis de toutes façons avec moi , tu ne me prendras jamais par derrière … ! Mais il y aura toutefois un point non négociable … C'est moi qui garde ses clées et pas question que je le libère …
Sans attendre ma réponse , il lui donnait les clées !
Je ne disais rien , mais je n'approuvais que très moyennement le fait qu'on ne me demande pas mon avis!
Sabrina : Et il te suce bien ?
Luc : Alors là , oui !
Sabrina : Mieux que moi ?
Luc : Largement !
Moi : Les filles , elles ne savent pas sucer comme il faut !
Sabrina : Montre moi !
Luc , s'allongeait les jambes écartées mains derrière la tête , il ne bandait pas encore …
Luc : Allez y les filles ! Je vous regarde faire !
Je commençait à le sucer , Sabrina me regardait faire , Luc commençait à bander , je prenais sa queue presque en entier dans la bouche , elle semblait émerveillée , elle essayait à son tour , puis me passait le relais , on échangeait les rôles … Luc gémissait de plaisir …
Sabrina : Luc , j'aimerais bien te voire enculer ton copain !
Luc donnait d'abord un baiser à sa copine , puis me demandait de me mettre à quatre pattes . En regardant sa copine il passait une bonne dose de lubrifiant puis sans ménagement m’enfonçait sa queue jusqu'à la garde … Je hurlais de douleur ! Luc me dit alors de la fermer et de le laisser faire … Sans prendre la peine de me laisser me détendre il me limait le cul avec vigueur , je tentais de le retenir avec une main , il m'attrapait la main et continuait à me donner des coups de bite de plus en plus forts !
Sabrina regardait , elle avait l'air fascinée .
Rapidement Luc jouissait dans mon cul . Moi j'avais pas vraiment joui et j'avais mal aux fesses ! Le reste de la nuit les deux amants dormaient tendrement enlacés dans le lit , et moi je me contentais du canapé !
Cette relation devait durer encore un moment … A plusieurs reprises je me retrouvais seul avec Luc et c'était quelques chose … Mais quand Sabrina était là , il n'était plus le même … J'envisageais de me retirer … Un jour Luc m'avait invité à monter avant la fermeture du bar , Sabrina était là … Elle me recevait sèchement , c'était elle la femelle dominante maintenant … C'est sur un ton très froid qu'elle me donnait ses consignes … ses ordres … elle me demandait de … elle m'ordonnait de … faire la vaisselle et de passer l'aspirateur pour que tout soit bien propre quand ils remonteraient puis me laissait et descendait au bar … Je restais un moment à réfléchir puis je descendais à mon tour , au rez de chaussée il y avait deux porte , une ouvrait vers le bar , l'autre vers l'extérieure , c'est cette seconde porte que je prenais …
Je revenais quelques temps plus tard , un soir ou Sabrina n'était pas là , pour m'expliquer avec Luc , je ne lui ai pas fait de scène , pas de reproches , juste des adieux , je garde un bon souvenir de lui , je garde de nombreux bons souvenirs , de bons moments … de très bons moments …
FRANCK 06
Le vendredi arrivait très vite, Frank resterait absent encore plusieurs jours, je n'avais pas de nouvelle d'Antoine … On frappait à La porte ... C'était Antoine …
Antoine : Salut, je te dérange pas !
Moi : Non ! mais je croyais que tu étais mort ! Alors ça s'est bien passé ?
A : Ouais à peu près, tu avais raison, c'est pas facile tous les jours ... Dis, tu me donne la clef ?
M : Finalement, tu craques ?
A : Non ! Je ne craque pas, mais ... Je ne suis pas encore prêt. Plus tard... Christophe sera absent toutes les semaines ces prochains mois, on ne se verra que le week end.
M : Week-end libre et semaine sous clef !
A : C'est exactement ça ! Dans quelques temps, ... , on verra !
Je lui donnais la clef, et sans attendre, il retirait son dispositif qu'il rangeait dans sa poche ainsi que le cadenas ouvert . Il me rendait la clef.
M : Tu vas t'amuser ce soir !
A : Christophe ne va pas tarder à arriver ... Mais je sais pas , j'ai envie de ... J'ai envie de ne pas me branler ... Si je dois éjaculer, c'est Christophe qui me fera jouir ! Moi je ne m'occuperai que de lui, je ne me tripoterai pas, je ne me branlerai pas ... Enfin …
M : Bon courage ,
A : Et toi ? Tu vas pas t'amuser avec Franck ?
M : Franck ne sera pas là ce week-end, il me délaisse, me néglige ... SNIF !
A : Vous n'êtes pas fâchés ?
M : Non je déconne, il est juste absent et ne reviendra pas avant le milieu de la
semaine . mercredi ou jeudi !
A : Dix jours sans sa quéquette ! C'est la dèche ! Courage, il faut que je te laisse , on va pas tarder à m'attendre . Je t'embrasse , je te téléphone …
Disant cela il me faisait le bise, et me laissait. Je me préparais une soirée télé , et finalement me couchai tôt ! Je m'endormais en pensant à Franck, il me manquait ...
Le lendemain c'est le téléphone qui me réveillait, c'était Franck !
F : Salut toi, tu as bien dormi ?
M : Non !
F : Qu'est-ce qui t’arrive ?
M : C'est de ta faute !
F : Mais j'ai rien fait moi !
M : Tu me manques !
F : Toi aussi tu me manques !
M : J'ai rêvé de toi .
F : Alors c'était pas un cauchemar !
M : Non, mais tu me manques !
F : Je rentrerai jeudi.
M : Jeudi matin ou jeudi soir ?
F : Jeudi dans la journée.
M : Tu passes me voir dès que tu arrives !
F : Pas de problème , tu vas voir, on aura du temps à rattraper !
M : Je t'embrasse …
F : ... tendrement …
M : Tendrement... ? Mais ça fait pas très virile ça , tendrement !
F : J'ai pas envie d'être virile, j'ai envie d'être tendre .
M : Toi ! Tu es malade !
F : Connasse ! Je te parle de tendresse et toi tu me réponds ...
M : Tu me manques , je t'embrasse !
F : Tendrement ?
M : Parfaitement et moi je m'en fou si ça fait pas très virile !
F : Tu me manques , je vais compter les jours !
M : Moi les minutes.
F : Heureusement que ça ne fait que quelques jours …
M : Ouah, l'autre '' quelques jours '' il ne sait même pas combien de jours et il parle de les compter !
F : Tu sais que tu me fatigues !
M : Ouai, ouai, compter les jours ... des promesses toujours des promesses .
F : Peut être mais le jour ou j'arrive, tu vas le sentir passer !
M : Des promesses toujours ... remarques celle là tu es capable de la tenir …
F : Tu vas couiner !
M : En attendant, tu rentres à quelle heure, histoire que je commence le
décompte ?
F : Toi tu as le feu au cul, vas donc jouer avec un de tes gadgets ça devrait te calmer !
On se laissait et, un peu plus tard, finalement, je sortais son gode et m'amusais longuement avec ... Dans la soirée c'est Antoine qui me téléphonait.
A : Salut Bob , c'est moi. Christophe et moi on se fait un resto, ça t'intéresse ?
M : Oui, avec plaisir, on fait comment, on se retrouve quelque part ?
A : Passe nous rejoindre à la maison …
Il m'expliquait en détails le chemin pour aller chez lui, je me préparai tranquillement et le rejoignais vers vingt heures. Il avaient choisi un petit resto asiatique dans un quartier sud de la ville. Un moment Christophe se rendais aux toilettes pour se laver les mains .
Moi : Alors ?
Antoine : C'est délire ce truc , j'étais vraiment très chaud, Christophe l'a remarqué . J'avais du temps à rattraper !
M : Il ne se doute de rien ?
A : Non ! Pourquoi voudrais-tu qu'il se doute de quelque chose? Il m'a juste dit que j'avais du lui manquer !
M : Il repart quand ?
A : Demain soir .
M : Et toi ... ?
A : Moi, je remets ça !
M : Pour toute la semaine ?
A : Pour toute la semaine !
La soirée s’avançait, on parlait de choses et d'autres et finalement on se retrouvait chez Antoine pour un dernier verre. J'étais assis sur le fauteuil, mes deux camarades assis cote à cote sur le canapé, je sirotais doucement ma bière quand ... Antoine relevait la tête vers moi, semblait lancer un éclair avec ses yeux avant de me lancer un large sourire puis se retournant ver Christophe lui dit sans aucune hésitation …
A : J'ai envie que tu me baises là, sans autre formalité, sauvagement , bestial, que tu me culbutes comme une bête, Rah …
Christophe et moi nous regardions et éclations de rire .
M : Il te fait ça souvent ?
C : C'est la première fois .
A : Mais je déconne pas, j'ai envie de me faire baiser! C'est des choses qui arrivent quoi, non ? Et j'ai aussi envie que toi Bob tu nous regardes ! Ça devrait te faire de l'effet ... je sais c'est un peu sadique, mais ! Tu recherches la frustration, tu vas être servi.
C : Pour moi, pas de problème …
M : Moi non plus je voudrais bien voir ça !
Il n'en fallait pas plus , Antoine se jetait sur Christophe pour l'embrasser tout en lui ouvrant sa chemise. Christophe le prenait dans ses bras l'embrassait doucement alors que Antoine , toujours aussi décidé commençait à lui défaire sa ceinture et à lui ouvrir son pantalon . Se trouvant dans une position peu confortable Christophe se relevait devant son camarade qui en profitait pour lui baisser son pantalon et commencer à le pomper goulûment !
Il ne leur fallu que quelques instants pour se retrouver totalement à poil . Ils se serraient l'un contre l'autre , se caressaient sans fin , Antoine insistait pour sucer la queue de son camarade qui le laissait faire sans résistance . Il le suçait aussi et ils devaient rester de longues minutes en position du 69 .
J'avalais une gorgée de whisky ...
Christophe commençait à préparer le cul d'Antoine en y introduisant un puis deux doigt qu'il semblait remuer vigoureusement ! Antoine appréciait ! Christophe passait derrière son amant , le prenant fermement dans ses bras , le redressait pour le coller à lui , l'embrassait dans le coup et doucement le pénétrait en un mouvement lent et régulier !
Je regardais le pénis d'Antoine qui se redressait fièrement alors qu'il passait ses bras dans son dos pour caresser son camarade . Je me disais aussi que d'ici peu , cette bite ne se relèverait plus aussi fièrement . C'est beau un homme qui bande tout en se faisant enculer , c'est beau aussi un homme qui ne bande pas à cause d'une cage de chasteté tout en faisant enculer !
Les mouvements de Christophe devenaient plus rapide , plus violents , Antoine faisait des grimaces tout en poussant des gémissements de plaisir . Christophe poussait aussi des gémissements de plaisir mais lui il arborait un grand sourire en fronçant les sourcils d'un air bien décidé .
Antoine ne se touchait pas le sexe , il ne se masturbait pas … Christophe par moment faisait une pause , le masturbait puis reprenait , continuait à le limer vigoureusement . Antoine était à quatre pattes et Christophe ressortait totalement son pénis puis le réintroduisait complètement en un mouvement violent qui faisait claquer son bassin contre les fesses de son camarade qui poussait un cri en même temps !
De nouveau debout , en position de sodomie verticale Antoine avait toujours la bite bien raide et on pouvait voire un filet blanc qui en coulait doucement , filet blanc de plus en plus épais , il avait du mal à reprendre son souffle . Dans son dos Christophe continuait ses mouvements de va et viens en tenant fermement son amant dans ses bras , il poussait un gémissement de plaisir , il jouissait lui aussi … La tension retombait entre eux deux , ils se retrouvaient face à face , ils s'enlaçaient doucement , s'embrassaient tendrement …
J'avalais une gorgée de whisky , … , mince j'avais fini la bouteille … !
Antoine : Alors Bob … frustré ?
Je le regardais sans répondre …
Antoine : C'était le but !
Moi : Sadique !
Les deux garçons éclataient de rire … Je restais dormir sur place , avec tout l'alcool que j'avais avalé , c'était la seule chose à faire . Le lendemain nous décidions de passer la journée ensemble , promenade , un peu de sport , internet …
Le soir arrivait Christophe avait préparé son bagage pour la semaine et j'assistais à des adieux déchirants … bon j'exagère un peu … j'assistais à des au-revoir . Antoine et moi nous retrouvions seuls …
Moi : T'es un enfoiré …
A : Pourquoi ?
M : Pour hier soir … Vous m'avez bien allumé tous les deux !
A : Eh ; Eh , Eh !
En disant cela , il retirais son pantalon , prenais son dispositif de chasteté et tout naturellement se l'enfilait , pour terminer il me regardait avec un petit sourire malicieux au moment ou il refermait son cadenas …
Moi : Tu commence à y prendre goût !
A : J'ai l'impression oui ! Tu as vu , je ne me suis pas branlé . J'ai éjaculé , en douceur , mais j'ai éjaculé … et je ne me suis pas branlé , c'est Christophe qui m'a fait jouir … par le cul ! C'était bon !
Je restais dormir chez lui , avec lui , dans son lit , mais on restait sages … Ce qui ne m'empêchait pas de lui glisser à l'oreille juste avant de dormir …
M : T'es un enfoiré !
Quelques jours plus tard , j'étais chez moi , tranquille en train de lire et d'écouter de la musique quand j'entendais la porte s'ouvrir …
C'était Franck ! Je lui sautais au coup !
Moi : C'est toi , c'est vraiment toi , mais tu as un ou deux jours d'avance , c'est super !
Il me prenait dans ses bras et m'embrassait avec passion ! On s'arrachait nos vêtements , je lui ouvrais sa ceinture , sa braguette , et … Merde il avait sont dispositif de chasteté !!!
Franck : Tu comprends pourquoi je te disais que tu me manquais !
M : Tu l'as mis quand ?
F : La dernière fois qu'on s'est vu ! Juste après t'avoir quitté !
M : Ouah !
F : Tu as les clées … ?
M : Bein non , tu ne me les as pas données !
F : Elles sont accrochées dans l'entrée , avec toutes tes autres clées !
Je m'y précipitais , en effet elles étaient là , je les ramenais et je le libérais … Sans attendre plus je commençais à le sucer goulûment , avec passion … Presque dix jours , il ne tardait pas à jouir dans ma bouche … Je l'embrassais sans avaler , le goût de son sperme et de sa salive se mélangeaient bien … Il m'avait manqué .
Il venait de jouir mais ne débandait pas , il me retournait et sans attendre plus me sodomisait , doucement d'abord , puis plus ferme , plus violent , plus passionné … Au bout de quelques instants il me limait le cul avec des mouvements rapides , fermes , il me claquait les fesses me tenant par les épaules , il me tirait vers lui , me tenait fermement …
Je râlais de plaisir , le plaisir de ce manque comblé , enfin comblé … Il avait choisi de rester chaste près de dix jours pour m'offrir ce moment , j'en profitais , il en profitais aussi … Il se lâchait , il me poussait sur le lit sans se retirer , m'allongeait dessus sans arrêter de me limer le cul , se laissait tomber sur moi , m'écrasait de tout son poids toujours en continuant de buriner le cul , il jouissait de nouveau avec des cris et des mouvements de son bassin très violents qui me faisait mal … Je râlais de plaisir autant que de douleur …
Il restais là , immobile , sans débander , il était allongé sur moi , et ce contact me comblait … Dix jours sans le toucher … Il s'appuyait de tout son poids et j'aimais cette pression … Il m'embrassait dans le coup , je retournais la tête , on s'embrassait …
Il se retirait tout doucement en gémissant , puis revenait à la charge et recommençait à me pilonner le cul … Ce n'étaient plus des simples gémissements , ça devenait des cris , des hurlements de plaisir … C'était la folie , je ne l'avais que rarement vu comme ça , j'avais perdu tout contrôle , je ne savais pas si j'avais envie de pisser ou d'éjaculer , je jouissais comme jamais …
Je ne savais plus depuis de temps ça durais , mais on finissait … il finissait par se calmer … Il se retirait , j'avais l'impression que j'allais exploser … Il m'embrassait dans le dos , me donnait une douce caresse … Je tremblais , j'avais froid … Il me donnait un baiser dans le bas du dos et me recouvrait avec la couette …
F : Je vais prendre une douche …
Je regardais l'heure , il était arrivé depuis une heure de demie … Je me demandais si je pourrais me relever … Je me rendais en tâtonnant à la salle bain … Franck était sous la douche , plus beau que jamais , il me regardais avec un grand sourire , il me tendait la main .
F : Ça va ?
M : Je sais pas , tu m'as dévissé le cul là , tu était en forme !
Je lui rendais son sourire … Je prenais sa main et allais le rejoindre sous la douche . Il me prenait dans ses bras avec une grande tendresse … Il est capable de passer de la force virile et violente à la douceur la plus tendre en quelques instants … Il me caressait en me savonnant … On laissait longuement l'eau couler sur nos corps .
Un long moment plus tard , séchés , toujours nus , on se retrouvait dans le salon chacun dans un fauteuil , en silence , je me sentais bien , il recommençait à bander , ça me fit rire …
F : On remet ça ?
M : Laisses moi un peu de temps pour récupérer !
…
M : Masturbe toi !
F : Quoi ?
M : Masturbe toi ! Je te regarde , masturbe toi !
F : OK !
Il commençait à se caresser la queue qui n'attendait pas pour prendre toute son volume ! Décalottait exposant bien son gland , il crachait dans sa main et se caressait le gland en gémissant et en fermant les yeux , il penchait la tête en arrière … Il crachait de nouveau dans sa main et se massait toute la longueur du pénis en insistant sur l’extrémité plus sensible … Il me regardait , il avait un regard rieur , il me souriait ! Il continuait , prenait du gel et s'en recouvrait généreusement le sexe , il croisait les doigts et massait son sexe avec les deux mains glissant sa queue entre ses paumes … Il accélérait le mouvement son pénis ressortait par intermittence dans l'espace en les pouces et ses autres doigts , il gémissait , il se faisait plaisir , relevait son bassin , allait de plus en plus vite quand , une belle giclée de sperme lui arrosait le torse …
Il avait l'air un peu désemparé cherchant une serviette , je me relevais et lui léchais le torse , l'embrassais et léchais encore jusqu'à ce que tout ait disparu … Je m'allongeais sur lui et nous restions ainsi un long moment sans bouger !
F : On se fait un resto ?
M : Pas la force de bouger !
Finalement on ne bougeait pas et on se faisait un souper rapide …
F : Souvent le soir je me fait une petite branlette avant de dormir ! Là pendant neuf jours … que dalle !
M : Mais pourquoi tu as mis ton truc ? Tu n'était pas obligé !
F : Je voulais savoir ce que ça faisait !
M : Et alors !
F : C'était terrible … je l'ai regretté tous les jours … mais maintenant je me sens vraiment bien … J'ai jouis comme jamais …
M : Tu vas recommencer ?
F : Pourquoi pas !
…
F : Tu pourrais garder mes clées !
M : Tu ne prendra donc pas un dispositif permanent … Ouf !
F : Non , tu es fou ! Mais j'ai pensé que … Je pourrais le porter en permanence quand tu ne serais pas là . Tu aurais les clées et tu me délivrerais à ma demande … mais uniquement en ta présence !
M : Tu es prêt à faire ça ! Là tu m'épate !
…
M : OK , pourquoi pas , ça serait amusant ! Et les périodes ou tu devrais t'absenter ?
F : Je le garderais pendant toute mon absence ! Tu le porte bien en permanence toi !
M : De la faute à qui ?
F : Si tu devais vraiment le retirer , ou si tu devais craquer … on trouverais une solution !
M : Alors on peut l'ouvrir ?
F : Non , mais on peut le détruire ! Tu trouves des mini perceuses qui tiennent dans la main , idéales pour un travail de précision … Avec une bonne mèche au tungstène je te garantis que le dispositif ne tiendrait pas longtemps ! On ne peut pas l'ouvrir sans le détruire , c'est tout !
M : Bon je le garde encore jusqu'à demain ! Demain on verra !
Sur ce on s'endormait pour une bonne nuit pleine de rêves de retour et de retrouvailles .
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