Un jeu à la con épisodes 1 à 9 / 9

UN JEU A LA CON 01



Un soir avec mon ami Marc. J'étais arrivé chez lui un peu plus tôt, j'avais préparé à manger … Des nouilles …  Oui bon ça va je sais je ne m'étais pas foulé. Mais avec des petits morceaux de chorizo et de la sauce à la viande … Ouai … Bein moi j'aime bien !

Il était arrivé un peu plus tard, on s'était embrassé, on ne s'était pas vu depuis une semaine, depuis le week-end dernier pour être exact. On était vendredi soir et on passait le week-end ensemble, tous le weed-end ! … 

Marc : J'aime bien ta manière de préparer les nouilles !
Moi : Tu te moques ou bien …
Marc : … ou bien !

On avait mangé rapidement, caca cola à boire et une glace comme dessert … J'avais vu les choses en grand …. Oui bon je sais j'en rajoute … Mais la sauce, ça j'en avait rajouté … Miam !

On continuait un moment à se regarder et à échanger des banalités un long moment, à discuter pour ne rien dire et à prendre des nouvelles l'un de l'autre. On ne vivait pas ensemble.

… Ta semaine s'est bien passée …
… Moi oui je me suis engeulé avec mon patron …
… Moi je me suis fait draguer pas ma collègue …
… Encore mais tu vas finir par te faire virer toi …
… Une fille ! … Beuhhh … !

Marc : Bon je vais prendre une douche ! On sort après ?
Moi : Bon je vais te frotter le dos … Évidemment qu'on sort !

On se retrouvait à poil sous la douche … Il se laissait faire, le lui frottais les épaules et lui massait la base du coup, les épaules puis mes mains descendaient et je lui caressait les deux côtés de son torse. Mes mains passaient devant, je lui massait les tétons, le ventre. Je les serrais bien contre moi, je lui donnais des baisers dans le dos entre les deux omoplates. Mes mains descendaient encore, il bandait je lui massais longuement sa queue, il passait ses mains dans son dos et me caressait mes hanches.

On restait là un long moment à se faire plaisir. Ma queue se relevait entre ses cuisses. Brusquement il se retournait vers moi et me plaquait contre le mur de la douche. Il me prenait dans ses bras et m'embrassait longuement … Il s'accroupissait et me suçait la queue, je lui caressait les cheveux. Ma bite entrait profondément et ressortait avec douceur. Il sait y faire le gars. J'avançais mon bassin et ma bite lui entrait jusqu'à la gorge, je reculais et elle ressortait. Rapidement j'oubliais qu'il n'aime pas quand je fais ça mais , j’accélérais le mouvement en lui retenant la tête. Il ne fallait pas longtemps pour que l’excitation ne fasse son effet, ma respiration s'accélérait puis je lui éjaculais dans la bouche en appuyant fermement sur sa tête. 

Il se dégageait.

Marc : Tu es chiant, tu sais que j'aime pas quand tu jute dans ma bouche !
Moi : Embrasse moi !

Il m'embrassait, il avait encore la bouche pleine de mon sperme. On restait encore un long moment à se caresser et à s'embrasser, je débandais après ça et ses caresses n'y changeaient rien !

Marc : Bon et maintenant tu veux plus que je t'encule, je suppose ?
Moi : Je viens de jouir, et tu sais que j'aime pas que tu m'encule juste après …
Marc : Tu es chiant quand tu t'y met toi !
Moi : Pourtant tu m'aimes ?
Marc : Pas tout le temps ! Non pas tout le temps !
Moi : Tu peux te branler …
Marc : Tu fais chier !

Il me tournait le dos et je sentais bien qu'il était ronchon. C'est vrai que sur ce coup on n'avait pas été vraiment synchrone. 

Moi : Si tu veux on pourrait étudier le … Jeux … Que tu m'as proposé l'autre jour …

Je n'étais pas convaincu du tout par l'idée. En fait c'est un couple d'amis qui nous avait parlé de mettre un peu de pimant dans nos relations sexuelles en portant un dispositif de chasteté. Je me souviens ce soir là, j'avais éclaté de rire …
Marc : Tu es prêt à essayer ? A porter ce truc ? 
Moi : Et toi tu es prêt à porter ce genre de truc ?
Marc : Pourquoi pas ! Moi je suis toujours prêt à faire des expériences amusantes.

Il avait l'air d'apprécier ce que je lui disais quand je lui parlais du … Jeu ... 

Tout en parlant il s'était habillé, j'étais resté a poil et je le voyais revenir vers moi. Mais c'est qu'il était beau comme un pape !

Marc : Alors tu restes à poil pour sortir ce soir ?

Rapidement je m’habillais à mon tour. On sortait boire un verre, voir des copains … Enfin on passait une soirée de vendredi soir ordinaire …

Beaucoup plus tard dans la nuit, on rentrait et il n'attendait pas pour me prendre dans ses bras et m'embrasser avec avidité, j'étais bien décidé à le laisser faire et à céder à tous ses caprices …

Il me prenait tendrement dans ses bras et nous échangions des baisers passionnés. Lui il n'avait pas joui quelques heures plus tôt … Je bandais, et lui bandait certainement autant que moi … Il me retirait ma veste, ma chemise, me déboutonnait mon pantalon et jetait mes sous vêtements à l'autre bout de la pièce …

Je le laissait me caresser.

Moi : Tu me suce la queue ?
Marc : Non !
Moi : Bon d'accord ! Tu es encore fâché pour tout à l'heure ?

Il avait ouvert et laissé tomber son pantalon et pour toute réponse il appuyait ma tête vers sa bite qui se dressait fièrement …

Marc : Toi tu me suces !

Je m’exécutais. Il en profitait pour terminer de se déshabiller !

D'abord, je commençais par lui passer la langue tout autour de son gland, avec beaucoup de douceur, je ne voulais pas qu'il jouisse trop tôt. Il serait capable de m'en vouloir … Oui je sais c'est un comble … Il pourrait m'en vouloir si je le fais jouir …

Ensuite, sa queue se relevait et était devenue très dure, j'ouvrais bien grand la bouche et approchais mon visage, sa queue rentrait lentement. Il appuyait alors sur ma tête et je me prenait sa queue dans la gorge. Il maintenait ma tête dans cette position, il m'avait pris par surprise mais j'encaissais. Je caressais sa bite avec ma langue, il ne cachait pas son plaisir. Il me tenait fermement la tête avec ses deux mains et commençait à me limer la bouche. Il se retirait lentement et revenait bien à fond d'un mouvement violent. Il appuyait sur ma tête de toutes ses forces. Là j'avais du mal à encaisser mais … Ouah, quand il se retirait ça faisait du bien. Je respirais bien à fond pour pouvoir encaisser ...

Il ralentissait le mouvement qui restait toujours aussi ample, par moment il se retirait complètement, me donnait des coups de bite sur le visage puis … 

Il ordonnait … '' Ouvre '' … J'ouvrais grand la bouche et il m'enfonçait de nouveau sa queue bien à fond jusqu'à la gorge … Je râlais mais seuls quelques bruit gutturaux arrivaient à se faire entendre … 

Sa respiration devenait plus forte, plus rapide. Ses râles de plaisir devenaient plus bruyants et c'est avec quelques mouvements très violents qui me coupaient le souffle qu'il éjaculait dans ma gorge … Il me maintenait la tête dans cette position, sa queue bien enfoncée, je sentais le sperme qui coulait jusqu'au fond de ma gorge, je sentais le goût de son sperme. C'était bon, j'avais du mal à respirer mais c'était bon et c'est seulement quand je manquais vraiment d'air que je me dégageais. Il me lâchait, je me regardais dans le miroir, j'avais les yeux rouges et un peu mal à la mâchoire, mais ça, ça ne se voyait pas.

Il se laissait tomber sur le fauteuil. J'étais debout devant lui, ma queue était bien redressée. Presque à la verticale. Il me regardait en souriant.

Marc : Tu ne tiendras pas !
Moi : Quoi ?
Marc : Je te dis que tu ne tiendras pas !
Moi : Je ne tiendrais pas … Quoi ?
Marc : Tu vas te branler …
Moi : Non ! ( En relevant la tête d'un air de me venter )
Marc : Je ne te crois pas !
Moi : Je peux très bien ne pas me branler … 
Marc : Bon c'est d'accord ! Alors prouve le ! Ce soir c'est moi qui joui !
Moi : Et moi alors ?
Marc : Toi tu as déjà joui il y a trois heures ! Le reste du week-end c'est moi ! …
Moi : D'accord ! 



UN JEU A LA CON 02



Je me laissait tomber à ses pieds, lui caressait les cuisses et lui donnait des baisers sur la bite. Rapidement elle se redressait et redevenait aussi dure que quelques minutes plus tôt. Je la prenait dans ma bouche, lui embrassait le gland et le caressait avec la langue. 

Marc : Tu ne te branles pas . 

En se relevant …

Marc : Prend la pause, je vais t'enculer … Mais tu ne te branles pas … Il faut que tu t’habitue .

Il se relevait et me donnait une tape sur le dos de la tête.

Marc : En position bonhomme !

Il était toujours un peu fâché, je le voyais bien … De fait il passait totalement la phase … Tendresse … Je m'appuyais sur le canapé. Il prenait place juste derrière moi, lubrifiait généreusement sa bite, l'appuyait contre mon anus et … D'un mouvement rapide et violent il me l'enfonçait bien à fond, son ventre frappait contre mes fesses … 

Je hurlais, mais il était toujours fâché et ne semblait pas s'en préoccuper. L'enfoiré il en profitait, heureusement que je suis entraîné. Se faire défoncer le cul comme ça, c'est pas pour tout le monde, ça fait mal. Il ne me laissait pas le temps de me détendre et commençait à me limer le cul sans ménagement. 

Il ressortait sa queue, puis l'enfonçait de nouveau bien à fond, bien violent et recommençait avec vigueur. Je serrais les dents, je me cramponnais, j'essayais de me détendre, de me détendre le cul en particulier mais ça faisait mal. N'en pouvant plus je passais une main derrière moi pour le retenir. Il s'arrêtait puis se retirait.

Marc : Alors tu aimes ?
Moi : Là tu n'es pas cool, tu es toujours en colère et tu te venges !
Marc : Exactement !

Il me laissait quelques instants pour me détendre et reprenait. De nouveau bien à fond, en un mouvement il enfonçait sa queue sur toute sa longueur. C'est pas un monstre ou un géant mais il est tout de même bien monté et je le sentais passer ! Il ne mollissait pas et accélérait le mouvement, je me retenais à ce que je trouvais, et finissais par me cramponner au dossier du fauteuil. Mon cœur battait fort, mon souffle était irrégulier, la douleur avait passée et une sensation de chaleur montait dans mon ventre.

Il s'en rendait compte, je gémissais de plaisir maintenant. Il faisait une pause, il avait le souffle court, comme s'il venait de courir une longue distance. Il se penchait sur moi et me prenait dans ses bras, enfin un peu de tendresse, enfin quelques caresses et quelques baiser … Ses mains se promenaient sur ma poitrine, me pinçaient doucement les tétons, je bandais fort. Ses mains me caressaient le ventre, passaient doucement autour de mon sexe en l'évitant soigneusement … L'enfoiré, il ne voulait pas que je me branle, il ne voulait pas me branler, il ne voulait pas me sucer … 

Bon c'était clair, il était toujours fâché !

Il me tirait vers lui, m'étreignait de toutes ses forces et me donnait des baisers, juste là ou ça fait des chatouillis, dans le dos entre les deux omoplates … J’adore ! Bon finalement c'est peut être pas un enfoiré ! Ça va il est pardonné de son salle caractère ! Il reprenait les mouvements de son bassin. Il se retirait doucement puis faisait une toute petite pause et revenait d'un mouvement violent, très violent bien à fond. Son ventre frappait contre mes fesses, il appuyait fort, très fort et recommençait.

Je me crispais à chacun de ses assauts, je gémissais de plus en plus fort. Son souffle devenait irrégulier, plus intense. Ses coups de de bassin contre mon cul étaient d'une violence extrême, il frappait de toutes ses forces avec des mouvement lents mais réguliers, puissants, sans retenue puis je le sentais se crisper, se contracter de tout son corps, il ne se retirait plus, il appuyait fort, très fort, il jouissait dans mon cul, j'entendais ses râles de plaisir dans mon oreille. Il me mordillait le coup. 

Ce contact était chaud, fort doux et ... violent pour mon cul ! 

Je ne m'étais pas branlé, je n'avais pas touché à ma bite je bandais ferme. Il reprenait son souffle, je me remettais de mes émotions dans ses bras. Nous étions allongés sur son lit côte à côte. Il ne bandait plus, je bandais toujours, on se caressait. Je le caressait, il me rendait mes caresses. Je me caressait, il me caressait aussi. Je me tripotait la queue, il me donnait une petite tape sur la main.

Marc : Je t'ai dit de ne pas te branler !
Moi : Oui mais je …
Marc : Tu fais chier, tu t'ai déjà branlé tout à l'heure et tu as giclé dans ma bouche !
Moi : Toi tu es toujours fâché ! 
Marc : Oui !
Moi : Allons doudou … 

Je me blottissais contre lui.

Marc : Tu as dit d'accord !
Moi : Pour le … Jeu … ?
Marc : Oui !
Moi : Bon d'accord ! Ça se passe comment ?
Marc : Il y a plusieurs règles … Le principe est simple on porte le truc chacun son tour pour une période définie … Celui qui ne porte pas est le seul actif et peut jouir comme il l'entend de son camarade, enfin comme il l'entend … Sexuellement !
Moi : Il peut l'enculer ?
Marc : Quand il veut !
Moi : Il peut se faire branler ?
Marc : Oui !
Moi : Se faire sucer ?
Marc : Évidemment !
Moi : Il peut lui juter dans la bouche ?
Marc : Tu fais chier toi ! C'est une idée fixe … Oui il peut lui juter dans la bouche !
Moi : Et sans que tu gueules ?
Marc : Sans que je gueule ! …
Moi : Cool !
Marc : Oui mais fait gaffe … Si tu me fait trop chier, après je me venge … 
Moi : Tu ferais ça mon doudou ?
Marc : Parfaitement !
Moi : Et tu ferais ça comment ?
Marc : Celui qui a les clés décide ! C'est clair ! Donc si je veux me faire plaisir avec ta bouche … Je me fais plaisir avec ta bouche … Toi qui aime bien te faire défoncer le cul … Eh , éh , éh … 
Moi : C'est pas drôle ! Mais je peux en faire autant … Non ?
Marc : Oui !
Moi : Ouéééé ! Tu vas voir ce que tu vas voir ! Tiens je bande ? Oh ça c'est une surprise … Je vais me branler ou tu me suces …
Marc : Ni l'un ni l'autre … Toi je t'ai dit que ce soir tu ne te tripotes pas … Essaye de penser que bientôt, quand ce sera ton tour, tu ne pourras même plus toucher ta queue …
Moi : Ça m'excite. Je bande encore plus dur du coup. Je peux pas me branler ?
Marc : D'accord mais à une condition … On commence pas toi et c'est moi qui déciderai du protocole.
Moi : Du prototol ? …
Marc : Fais pas ton idiot ! Protocole … Comment on décide de la durée, s'il y a des malus, si on alterne automatiquement ou pas …
Moi : Comment ça … Si on alterne … C'est pas toujours automatique ?

J'avais commencé à me branler, une main bien refermée sur ma queue, à chaque mouvement je décalottais, passais mon pouce sur  mon gland. Je penchais la tête en arrière et je sentais la main de Marc qui me caressait le gland, il avait  bien lubrifié sa main et attrapait ma bite. Il refermait fermement sa main autour de mon gland puis tournait sa main autour de ma queue.

Terrible … C'était terrible … Oh oui je ne savais pas vraiment à quoi j'avais dit oui mais là … Ça me plaisait … J'étais tout fait d'accord … Encore ! Encore ! …

Lubrifiée au maximum il serrait fort mon gland puis remontait sa main vers la base de ma queue ou massait longuement juste l'extrémité de ma bite … 

Je gémissais de plaisir et sursautais aussi de temps en temps … La sensation est forte quand on vous fait ça. C'est bon, c'est très bon mais mais fort … Il continuait en me branlant comme un chef, je le laissais faire et rapidement mon souffle s'accélérait, lui ne ralentissait pas. Je tremblais et rapidement j'éjaculais avec violence, encore plus que quelques heures plus tôt.

Marc : Tu as promis !
Moi : Ouai j'ai promis, tout ce que tu veux … Tant que tu recommence ça régulièrement.
Marc : Oui, et bien tu rigoleras moins d'ici peu. C'est toi le premier qui t'y colle !
Moi : La durée … Ce sera combien la durée ? Une semaine ?
Marc : On tirera le nombre de semaine aux dés … 
Moi : Quoi ?
Marc : Ne t'en fait pas pour commencer on utilisera un dé à six faces … 

Je commençais à me demander mais qu'est-ce que c'était que ce jeux à la con ?



UN JEU A LA CON 03


Mais pourquoi j'ai dit oui moi ? Bon si je me rétracte il va être vraiment fâché. Et puis moi j'ai pas vu le truc. Ce sont nos copains de l'autre jour qui nous ont raconté ces histoires. Marc il a dit qu'il avait vu le truc ! Que c'était cool ! De toutes façons, avec lui tout est cool ! Il ne lui faut pas grand chose pour s'emballer ! 

Les idées se bousculaient dans ma tête. Je me demandais comment ça allait se passer, si ce truc se voit quand on le porte si ça gène les mouvements ...  

Bon la première semaine c'est moi qui le porte ... Et pourquoi c'est pas lui d'abord ... Ah oui ! C'est vrai ... Il était fâché et j'ai dit oui pour lui faire plaisir ... Après ça il va me reprocher de ne pas l'aimer, vous allez voir ça ! Il me fatigue ... Tout ça parce que j'ai juté dans sa bouche ... Ouai bein on fait comme on peut, je l'ai pas fait exprès moi ... Ça arrive comme ça … On ne prévoit pas … Moi quand je me branle, je le fais pas exprès ! Ça arrive comme ça ! 

En général c'est quand je suis tout seul, une petite envie, je commence à me tripoter à travers mon pantalon, je bande … Cool … Ça j'aime bien … Ensuite je glisse une main dans mon pantalon … Ou bien j'ouvre mon pantalon … Ça dépend des jours, des envies, ou si j'ai le temps …

Je me tripote et comme je bande ça prend plus de place et de toutes façons je finis toujours par ouvrir et baisser mon pantalon … Sous la douche aussi … A chaque fois … Je me branle tous les combien moi ? Tous les jours ! Ça c'est sûr ! Mais pas une fois par jour, non, un peu plus  … ! 

Deux fois ? … Au moins oui, c'est un minimum ça ! Trois fois ? … C'est pas rare ! Plus ? … Quelquefois ! Oui quelquefois … Mais pourquoi j'ai dit oui moi à cette connerie ? Je ne vais pas pouvoir me branler pendant une semaine ! Vous allez voir je vais lui dire que j'ai changé d'avis moi à ce guignol … Et puis de toutes façons, il aime bien mon cul, il ne m'en voudra pas. En tous cas pas bien longtemps. 

J'aime bien prendre mon temps. Le soir quand je suis seul par exemple. En général je me met à poil, je bande déjà avant de me déshabiller. Alors je commence à me caresser la bite sur toute la longueur, il ne faut pas se presser, je décalotte, le gland est sensible je ne le lubrifie pas, au contraire je m'y prend à sec … Pour ça il faut qu'il soit sec, je caresse tout doucement mon gland, rapidement il finit par sécher, sa surface est lisse, tendue, fine, douce et terriblement sensible. Je la caresse alors avec le pouce, en tenant ma bite dans le creux de ma main. Doucement il ne faut pas provoquer le plaisir trop rapidement. 

Par moment ma bite se manifeste en se contractant, je le provoque aussi, mais si je caresse assez longtemps ça se fait tout seul. La main bien sèche je caresse avec la paume de ma main le bout de mon gland, puis toute sa surface.

Il ne faut surtout prendre soin de bien rester décalotter sinon le gland redevient humide et moite et ces caresses sèche ne sont plus  possibles, il faut recommencer et attendre qu'il sèche à nouveau. Progressivement on intensifie les caresses, plus fortes mais pas trop, plus rapide mais pas trop non plus. On peut faire durer le plaisir un long moment. 

Le plaisir fini par monter, je le repousse alors le plus longtemps possible, mais pas trop, toujours pas trop. Tout est dans le dosage. Quelques convulsions, il vient un moment ou le corps réagis seul, il se cambre, le bassin se relève d'un coup sans qu'on le veuille. Quelques tremblements, il ne fait pas froid, il faut toujours se branler dans le plus grand confort … Quelques tremblements incontrôlés, un petit gémissement … On continue, ensuite on respire plus fort, là il faut se laisser aller, savoir ne plus se retenir.

Les caresses sur la queue sont plus fermes, fortes, toujours régulières et c'est là, les yeux fermés, que je laisse le plaisir exploser ! Quelques gémissements, quelques dernières convulsions, le plaisir intense, il ne faut pas tenter de contrôler sa respiration et … Je me retrouve couvert de plusieurs belles giclées de sperme sur le corps et même sur le visage … En un mot … Cool ! 

Bon avec ce jeux à la con je vais devoir me retenir pendant une semaine … Ouai ! Je me disais que finalement je n'en mourrais pas et que la première fois que je remets ça après la semaine … Ça devrait être …. Whaow ! 

J'arrivais chez Marc avec ces pensée en tête. Nos deux amis qui nous avaient parlé de ce jeux étaient déjà là … Marc lui n'était pas là, il avait été appelé pour une urgence et il deviendrait plus tard.

Je m'installais sur le fauteuil, et on me servait un verre. Nos deux amis José et Didier … Je ne sais plus lequel est le porteur en ce moment …

Moi : Au fait c'est lequel qui porte le truc en ce moment ?

José levait la main.

José : Moi ! Depuis deux semaines !
Moi : La vache ! Deux semaines ! Et comment tu fais ?
José : Comment que je fais quoi ?
Moi : Mais comment tu fais pour supporter ce truc ?
Didier : Tu sais, c'est pas un problème ! Le truc, comme tu dis, est très solide ! Il ne risque pas de casser aussi quand tu l'a mis, tu le portes, tu n'as plus le choix. A moins de le détruire bien sûr. Sans la clé c'est le seul moyen de le retirer. 
José : C'est sans douleur. Il faut le prendre bien ajusté. Marc connaît ta taille, j'étais avec lui quand il a choisi le tien.  Pour le sien c'était plus simple.
Moi : Il y en a un pour lui aussi ?
José : Ainsi que les colliers …
Moi : Les colliers ?

Ils me montraient tous les deux leurs colliers. Celui de José était refermé par un tout petit cadenas doré de cinq millimètres de large qui fonctionnait vraiment, il était fermé court et il ne pouvait pas le retirer par la tête, Didier en avait un plus large qu'il pouvait retirer et qui retenait une petite clé dorée elle aussi, c'est elle qui ouvrait le collier de son camarade.

José : Quand tu connais le truc tu sais qui porte le dispositif … 
Didier : La clé ou le cadenas … 
Moi : Et Marc a acheté deux colliers aussi ?
Didier : Tu veux les voir ?

Il allait chercher une petite boite qui était rangée dans une autre pièce et me la présentait. Sans attendre je l'ouvrais, on me donnait une autre bière, il y avait dans la boite deux colliers dorés.

Didier : Attention c'est pas de la merde, c'est de l'or 18 carras. Il y en a pour une petite fortune là.
José : Deux jolis bijoux, élégant, juste assez discret pour que si tu ne connais pas le truc tu ne remarques rien.
Didier : On ne sait pas encore qui va porter ce collier ou celui-ci …
Moi : Si on le sait !
José : Alors mets le !

Je terminais ma bière et on m'en donnait une autre. Sans hésiter je prenais le collier au cadenas et le refermais, j'en profitais pour tester le tout petit cadenas bijou, il marchait bien.

Moi : Mais les clés pour le dispositif, elles sont ou ?
Didier : Tu les verras plus tard, elles sont avec le dispositif.
Moi : Je peux les voir ?
Didier : Non ! Pas avant l'arriver de Marc !
Moi : J'aurais bien aimé voir à quoi ça ressemble ce truc. Vous n'avez pas des photos ?
José : Si tu me permets Didier ?
Didier : Ah oui !  Il ne faut pas l'oublier le porteur du truc est sous l'autorité du non porteur pour tout ce qui concerne le sexe. Si je demande à José de te sucer la queue, il le fera !

A ces mots je sentais déjà ma queue se manifester. Elle me disait … : '' Mais oui c'est une bonne idée ça … demande lui de le faire … ''. Je me repositionnais sur mon fauteuil, je me sentais brusquement un peu à l'étroit dans mon pantalon. J'avalais une bonne gorgée de la nouvelle bière qu'on venait de me servir. 

José se levait et baissait son pantalon, il me montrait le truc. C'était un choc, l'objet était joli, ma queue protestait de plus en plus fort. Là c'était clair je bandais … 

Moi : Et si tu lui demande … de passer l'aspirateur ?
Didier : Je me le prends dans la figure. Attention c'est pas mon esclave ! Juste mon …
José : Jouet sexuel !
Didier : Ouai … Jouet sexuel … c'est le mot qui convient …
José : Et il peut me prêter !
Didier : Cool ! Non ?
Moi : Cool !  … T'as pas une bière ?

J'avalais d'un trait la dernière gorgée !

On était trois et la discussion continuait encore un long moment, Marc était retenu longtemps, aussi quand il arrivait il y avait il y avait six bières sur la table basse devant nous, ainsi que près de quarante canette vides bien rangées dans le pack, prêtes à partir pour le recyclage … Yo !

Marc : Excusez moi les mecs … Une urgence, et ils ne voulaient pas me laisser repartir.
Moi : Oué le voilà, tu sais ça me fait plaisir de te voir, tu m'a manqué, je t'aime toi tu sais … Hips !

Je me levais, je titubais … Marc regardait le pack de canette de bières vides …

Marc : D’accord j'ai compris, reste assis toi ! Ça sera plus sûr ! 



UN JEU A LA CON 04



Je retombais lourdement dans le fauteuil. 

Moi : Ya pu rien a boirrr ?
Marc : Et ça ne lui suffit pas ! Il en a bu combien ?
Didier : Euuuuuh ? !
José : J'chai pas !

Ils ne valaient pas beaucoup mieux que moi sur ce coup !

Marc : Lamentable, vous êtes tous lamentables .
Moi : Oui mais tussss … Tu ssssais comment çasseu pass !
Marc : Mon pauvre, tu ferais mieux de te taire tu n'arrives même plus à parler !
Moi : SSSSi on passsait aux chossssses ssssérieuses ! T'as vu j'ai le collier !
Marc : Et tu vas mettre le dispositif de chasteté !
Moi : … Oué … !

José me tendait une autre bière et en ouvrait deux autres, Marc levait les yeux au plafond mais laissait faire.

Marc : Je vais me prendre une bière moi aussi … S'il en reste ?

José continuait le service. 

Marc : Bon, je ne sais pas quoi dire moi. Surtout dans l'état ou vous êtes tous les trois ! Il a vu le dispositif ?
José : Oui je lui ai montré !
Didier : Non on voulait t'attendre !
Marc : Ce qui est bien avec vous deux c'est que la réponse est toujours claire !
Moi : Oué, il me l'a montré … hips !
Marc : Et tu es d'accord ?
Moi : Oué ! A fond ! Je ssssuis partant !
Marc : Attention ! Tu es bourré mais je vais en profiter, tu sais ?
Moi : Oué ! A fond ! J'sssuis … 
Marc : D'accord … 
Moi : Oué, c'est ce que je voulais dire … d'accord … 

Marc soupirait longuement puis.

Marc : Bon c'est pas loyal de profiter de la situation mais c'est pas grave je vais en profiter quand même. J'ai rédigé les règles que je souhaite proposer ! Tu veux lire ?
Moi : Oué ! A fond ! J'sssuis … Fais voir !

Marc me donnais trois feuilles pleine de lettres. Je peux le dire aujourd'hui car j'avais bien l'impression que j'assurais grave, mais je n'étais pas en état de lire un texte. 

Je faisais semblant ...

Quelques instants plus tard Marc se retournait vers moi !

Marc : Mais qu'est-ce que tu fabriques ?
Moi : Ne copie pas !

J'étais en train de signer chacune des pages après avoir paraphé '' lu et approuvé '' … J'avais déjà fait deux signatures et deux paraphes mais j'en étais toujours à la première page. 

Marc éclatait de rire. Et continuait à discuter avec ses camarades. Un peu plus tard je ne sais pas qui me retirait les trois feuilles des mains. J'étais toujours à la première feuille simplement je l'avais retourner et continuait à parapher, elles n'étaient imprimer que d'un côté mais ça, je ne l'avais pas remarqué !

Marc : Bon tu es d'accord toi ?
Moi : … Euuuh … Hips … Oué je suis ton homme … 
Marc : Mon jouet sexuel tu veux dire !
Moi : Oué pareil !

Sur ce il sortait une petite boite qui présentait bien. Papier glacé, en noir avec de très belles inscriptions … Purity Keeper Companie … PK CC 45 Série limitée …

Je regardais la boite et déjà j'avais comme un pincement de cœur ! Je récupérais un peu et dessoûlais un petit peu. J'avalais ma salive … Hips ! … Marc ouvrait la boite et me la tendait. Je regardais hésitant son contenu. Le même truc que portait José … '' La vache ! Alors ça y est … On y est ! '' …  Marc sortait le truc et le mettait dans ma main, j'hésitais même à le toucher … 

Marc : Bon maintenant tu enfile le gros anneau là … Ça marche comme un cock-ring … Tu sais … Un cock-ring …

Je faisais oui de la tête et on m'a dit plus tard que je faisais une grimace à faire peur … Finalement je baissais mon pantalon et j'enfilais le cock-ring comme Marc avait dit … Je ne me souviens  plus trop là mais bon … Je ne bandais plus, mais plus du tout … 

Marc me donnait la cage de chasteté. Je recommençais à faire ma grimace , on me l'a dit plus tard ! J'ai quelques vagues souvenirs de ce passage, au moment ou je mettais ma queue dans la cage de chasteté … Finalement ça passait juste, les mesures que Marc avait faites étaient justes. Il me donnait le cadenas, une petit dispositif gros comme une petite pièce de monnaie qui se logeait sur la partie supérieure de la cage et … C'était bon, j'étais sous clé !

Marc : Maintenant tu es mon jouet pour … 

Il me tendait un dé à six faces … Je le lançais il tombait sur le six … 

Marc : Six cycles ! Didier je te prête François !
Moi : Qué !
Didier : Bien José, si tu veux bien nous tenir la chandelle … Ce soir pour toi c'est ceinture, tu n'auras pas droit à la quéquette !

Didier se plaçait devant moi, il ouvrait son pantalon et sortait sa queue, il bandait déjà. Sa queue se balançait devant mon nez.

Marc : Vas y suce le, mon pauvre trésor tu ne vas pas jouer les vierges ! C'est pas la première fois !

Je sortais ma langue et commençais à lui lécher le bout de sa bite, ça je m'en souviens, ensuite je passais ma langue autour de son gland, je le rentrais dans ma bouche. Juste le gland au début puis un peu plus. Je passais ma langue autour de sa queue. La léchait, un côté puis l'autre, le dessus, le dessous. Je m'attardais longuement sue le frein, puis lui gobais la queue. 

Je retirais ma tête et lui gobais une couille, je le léchais, lui gobais l'autre couille puis les deux. Là il me disait qu'il appréciais moins. J'avalais sa queue jusqu'à la gorge, il me guidait avec ses mains derrière ma nuque. Il me tirait vers lui, j'avalais maintenant sans aucune difficulté. Il en profitait pour accélérer le mouvement et me donnait des coups de bassin que j'encaissais au fond de ma gorge …

Didier : Il est bien entraîné !
Marc : Je l'ai bien dressé, tu aimes ?
Didier : J'adore !

José avait retiré ses vêtements et restait planté là comme un majordome qui attend les ordres. Marc était à poil également. Didier avait le pantalon sur les chevilles et avait retiré le haut. J'étais le dernier encore habillé !

Didier s'éloignait pour repousser son pantalon et me donnait l'ordre de retirer également mes vêtements. Ensuite il me demandait de me retourner et de me pencher en avant. Je m’exécutais, c'était une étrange sensation, j'obéissais et … j'aimais ça !

Je me penchais et m'appuyais contre un fauteuil, Didier lubrifiait sa queue et sans plus de formalité me l'enfonçait dans le cul, fermement, avec force. Il me l'enfonçait sur toute sa longueur. Marc regardait d'un air amusé il avait un grand sourire. Il s'installait sur le fauteuil et me demandait de le sucer. Je le suçais et quand sa queue s'enfonçait dans ma bouche le queue de Didier s'enfonçait dans mon cul. 
Marc me prenait fermement la tête et me guidait, je ne résistais pas je me laissais faire. Les deux garçons se synchronisaient et Marc appuyait sur ma tête  avec force au moment ou Didier enfonçait sa queue dans mon cul. Aucun des deux ne cherchait réellement à me faire plaisir. Ils ne me caressaient pas, et si Didier se frottait contre mon dos c'était pour son propre plaisir.

José regardait ça de loin sans bouger. Son dispositif était sous pression, il se relevait et se balançait tout seul sans que José ne bouge pratiquement. On sentait son désir, il avalait sa salive. Quelle place aurait-il préféré, la mienne , celle de Marc ou celle de Didier ?

Marc relevait son bassin violemment à chaque fois que mes lèvres touchaient la base de sa bite, je la recevais avec violence dans la gorge, c'était pas très agréable ! Didier accélérait le mouvement et devenait violent. Je tentais de le retenir avec une main, il me faisait mal. Il attrapait ma main et me la retenait dans le dos, forçait encore et donnait toujours des coups violents. Il me faisait vraiment mal !

Je tentais de le retenir avec mon autre main. Il la saisissait alors et me tenant fermement les deux mains dans mon dos il redoublait de violence, je voulais râler mais Marc en profitait, j'étais coincé, je ne pouvais plus me relever et s'il lâchait ma tête je retombais en avant, sa queue me défonçait la bouche. Il s'en amusait et redoublait des coup de bassin. Son souffle devenait soudain rapide, il appuyait sur ma tête, je ne pouvais presque plus respirer et je recevais dans la gorge un belle giclée de sperme puis une seconde et encore une autre mais moins forte.

Marc : Avale !

J'avalais. Didier me tenait fermement contre lui, bien serré, il râlait de plaisir, il venait de jouir dans mon cul. 

J'avais mal à la mâchoire, j'avais mal au cul … Ça commençait bien ce jeu à la con !



UN JEU A LA CON 05



Le lendemain matin je n'avais plus seulement mal au cul et à la mâchoire, j'avais aussi mal à la tête … José était allongé à côté de moi, je m'approchais de lui et me blottissait tout contre lui. Il passait un bras sous ma tête et me caressait le dos. Je sentais une gêne au niveau de mon entre jambe …

Les souvenir de la veille me revenaient. Je passais ma main et découvrait le dispositif PK … Je l'avait presque oublier ça moi. Je me souvenais vaguement, quelques images me revenaient en mémoire. J'avais mal à la tête et me sentais un peu … Beuh ! …

Je caressais doucement José, ma main descendait vers son sexe, et je tombait sur son dispositif de chasteté… C'est vrai qu'il en portait un lui aussi ou alors c'est moi aussi qui en portais un depuis la veille …

Nous restions encore un moment là sans bouger. Je le câlinais un petit moment et il se laissait faire … Finalement je me levais, je me demandais ou pouvait être mon doudou officiel … Marc … 

Il me manquait Marc, je me levais et décidais de le chercher. Je le retrouvais rapidement dans la chambre à côté, il était allongé sur le dos, la tête tournée sur le côté, une jambe légèrement repliée, un drap froissé sur le corps, son sexe au repos … Il était beau et je restais là un moment à l'admirer … Je me disais … 

'' C'est mon doudou, il est beau ! ''

Et je l'admirais comme ça, sans bouger, probablement avec un air d'abruti. Bon ! Mais avec la soirée de la veille, il ne fallait pas m'en demander d'avantage ! Je passais a main sur mon ventre et tentais de me gratter les couilles. 

Moi : Mais qu'est-ce que c'est que ce … ,

Je l'avais oublié ce truc ! Je décidais d'aller voir ça de plus prêt dans le miroir de la salle de bain. Je peux vous garantir qu'à ce moment je ne bandais pas … Pourtant l'érection du matin … Vous savez, enfin si vous êtes un garçon on a du vous en parler quoi ! … Parce que comme chacun sait … ''Érection du matin : … euh ... érection du matin ! '' … 

Désolé mais j'ai la gueule de bois et je ne pourrais pas faire mieux comme maxime du jour ! Bon il y a aussi la branlette du matin. J'aurais bien envie de me branler moi. J'arrivais dans la salle de bain … Mais c'est que j'ai mal au cul moi, mais qu'est-ce que j'ai fait hier pour avoir mal au cul comme ça ?

Devant le miroir c'était le choc …

Je restait pétrifié un moment, j'en oubliait presque mon mal de tête et mon mal de cul !

Le truc que j'avais vu sur José hier … Il y avait le même sur moi … La vache … Et dedans il y avait ma bite … Ça avait l'air bien fixé ce truc … Mes couilles pendaient mollement ( comme d'habitude ), de ce côté tout allait bien … Mais ma bite était … Je ne pouvait pratiquement plus y toucher … En tout cas je ne pouvait pas bander … 

Jusqu'à ce moment précis … Erection du matin comme je disait et bien c'était pas ça, ça restait mollasson, mais brusquement à voir ce truc j'avais une violente envie de bander. Je sentais la pression monter, par les ouvertures d'aération la peau de ma queue gonflait et faisait comme de légers gonflements. Légers gonflement, pourtant je bandait dur d'un coup et le dispositif se relevait, il ne pendouillait plus mollement comme au moment ou j'étais entré dans la salle de bain.

J'éprouvais un peu de gêne mais aucune douleur. J'éprouvais aussi une grosse envie mais aucune chance de me stimuler normalement comme je sais si bien le faire. 

Moi : Bon ça ne va durer que huit jours !
José : Qu'est-ce que tu racontes ?

Il entrait dans la salle de bain … Son dispositif se relevait et se balançait de droite à gauche.

José : Alors tu aimes ? Sensations bizarre ! Tu vas voir, ça devient vite addictif ce truc.

Je le regardais sans rien dire.

José : Avec Didier on alterne car on aime ça tout les deux mais si il y en a un qui s'éloigne, il voyage de temps en temps pour son travail, on porte le truc tout les deux et on bloque le compteur … Tu vas voir je te dis tu vas aimer !

Je regardais l'air bête mon reflet dans le miroir. Je trouvais l'image excitante mais … L'image, c'était moi et vue de l'intérieur ma main qui caressait ce dispositif, c'était peut être excitant mais je ne trouvais pas ça drôle !

Je retournais vers la chambre et repassait devant la  porte ou dormait Marc. Je l'admirais encore un moment, il bougeait, il ne devrait plus tarder à se réveiller. Il bandait maintenant !

Je n'hésitait pas longtemps, m'approchais et commençait à lui sucer la queue. C'est tout ce que je pouvais faire. Rapidement elle se raidissait, d'un œil je regardait son visage, il dormait toujours c'était un réflexe ! Je continuais, je prenais sa queue dans ma bouche avec la douceur que je connaissais. C'est pas comme quand il m'avait enculé la veille au soir …

Sur toute sa longueur jusqu'au fond de ma gorge, je l'entendais gémir. Je la caressais et je massais son gland quand je relevais la tête. Puis je recommençais, un peu plus vite … Une caresse plus forte … Un peu plus lentement en prenant bien le temps d'avaler sa bite, en appuyant ma tête contre son ventre, les lèvres refermées à la base de sa bite … 

Il me caressait les cheveux … Un réflexe ? Je relevais un œil … Non c'était pas un réflexe ! Il me regardait en me souriant.

Marc : Tu fais toujours ça aussi bien et ta façon de me réveiller était tout simplement parfaite. Fait gaffe je risque d'y prendre goût et je pourrais bien te demander ça tous les jours …

Il me guidait doucement avec la main, je reprenais, encouragé j'accélérais le mouvement … Je prenais sa queue bien à fond puis relevais la tête, je reprenais mon souffle en le caressant avec ma main, je massais son gland bien lubrifié de ma salive et je recommençais. Il gémissait de  plaisir, il ne faisait aucun mouvement sauf me caresser les cheveux. Il ne relevais pas son bassin et se livrait totalement passif à mes caresses buccales.

Il me caressait les cheveux et la joue, ses mains se promenaient sur mon visage et sur ma tête. Il continuait sur mes épaules, j'aime bien ce contacte, la paume de sa main à la fois douce et virile. Il appuyait légèrement sur ma tête, sans me contraindre, juste pour m'inviter à garder sa queue dans ma bouche plus longtemps. C'est ce que je faisais.

Je respirais bien à fond, puis j'appuyais mon visage contre son ventre, sa bite me rentrait dans la gorge, je restais comme ça le plus longtemps possible. Ma langue, ma gorge avait des sortes de convulsion et il y réagissait, il réagissait bien même … Il appuyait sur ma tête mais quand j'avais besoin de la relever il ne m'en empêchait pas et me laissait libre de mes mouvements.

Je finissais par faiblir, j'avais mal à la mâchoire … Depuis la veille je ne sais pas combien de fois j'avais fait ça. Quand je sentais son souffle accélérer le courage me revenait, j'y mettais du cœur, il me répondait par des gémissements plus intenses et des caresses plus fortes et plus pressantes sur mes cheveux.

Quelques mouvements du bassin et c'est au moment ou mes lèvres touchaient la base de sa queue que je le sentais gicler dans ma gorge, un court instant il retenait ma tête avec force. Une seconde giclée puis une troisième plus petite et il me lâchait. 

Je me concentrais pour rester encore quelques instants dans cette position, il appréciait ça j'en suis sûr puis je relevais mon visage. Il me regardait avec un grand sourire.

Marc : Finalement c'était une bonne idée de te proposer ce jeux !

Didier s'était réveillé, et il regardait la scène en se masturbant lentement. 

Marc : Vas y fait lui la même chose, je te prête à Didier encore ce matin si il veut !

Il me prête ! Il me prête ! Mais c'est vraiment un enfoiré lui … Je sentais la pression qui augmentait dans ma cage de chasteté, j'avais mal à la tête, mal au cul, mal à la mâchoire … Et il me prêtait …

Ouai bon ça va pas durer un mois cette histoire. Didier me tendait sa bite, j'hésitais quelques instants en remettant ma mâchoire en place puis je replongeait, je la prenait à son tour sur toute sa longueur jusqu'au fond de ma gorge … Plus violent, lui, il appuyait fermement sur ma tête et soulevait son bassin sans ménagement.

José : Bon moi je vais faire du café !

Il était juste derrière moi, je l'avais complètement oublié celui-là ! Marc se levait et sortait de la chambre … Didier ne me lâchait pas avant d'avoir cracher sa purée dans ma gorge …

J'avais encore plus mal à la mâchoire, toujours mal au cul, toujours mal à la tête, j'avais  une violente envie de ma branler ! Il ne faut pas vous étonner si j'ai l'air un peu ronchon …

Fichu jeux à la con !



UN JEU A LA CON 06



On prenait le petit déjeuner, Marc avait l'air content de lui ! 

Didier : Tu as l'air de bonne humeur toi marc ?
Marc : Super j'ai un nouveau jouet ! 
Moi : J'aurais jamais du dire oui à ton truc … Moi j'y crois pas ça va pas marcher …
Marc : Tu m'as coûté une fortune alors tu fais un effort ! Il ne te plais pas ton collier en or !
Moi: C'est pas le collier … C'est … 

Je tripotais ce truc qu'ils m'avaient mis entre les cuisses.

Marc : Mais tu vas voir tu vas aimer. Quand ce sera mon tour tu ne voudras même plus le retirer .
Moi : Mouais … Je suis pas convaincu … Je peux pas passer mon tour ?
Marc : Fait au moins l'effort d'essayer tu ne le portes que depuis hier soir seulement … 
José : Faites pas attention les gars, il est ronchon ! C'est la gueule de bois !
Moi : Je ne me souviens pas de toute la soirée, j'ai picolé comme un … J'ai mal à la tête, j'ai mal au cul, j'ai mal à la mâchoire je me sens barbouillé … Et j'ai envie de me branler ! Alors c'est pas un peu normal si je suis ronchon !

Un peu plus tard Marc et Didier nous laissaient en nous disant …

Didier : Bon les filles essayez d'être sage pendant notre absence. 

On en profitait pour prendre une douche, se rendre présentables ( moi surtout ) et prendre deux comprimés contre le mal de tête ( moi uniquement ).

José : Tu as fini par te décider, tu sais j'ai eu du mal à y croire quand Didier m'a dit ça.
Moi : Oui je suis le premier surpris, j'aurais jamais du accepté. C'est dingue ce truc ! Bon c'est pour combien de temps ? … Une semaine ?
José : ( en rigolant ) Mais tu es drôle toi ! Plus, bien plus !
Moi : Mais tu es pas un peu fou dans ta tête toi !
José : On t'a donné le règlement que vous avez adopté hier.
Moi : Que Marc a adopté !
José : Enfin tu as ton mot à dire ! 

Il me donnait les trois feuilles du protocole que Marc m'avais proposé la veille.

Moi : Mais c'est quoi ce truc c'est tout gribouillé dessus on ne peut même plus lire. Qui est l'abruti qui a gribouillé dessus ?
José : Mais c'est toi !
Moi : Pfff …

J'essayais de lire ce que j'avais essayé d'écrire …

José : Tu as du mal à te relire … Mdr … C'est un peu normal …
Moi : '' Bu et déplacé '' … Là on dirait … '' Plus et apprécié '' …
José : Je crois que tu essayais d'écrire '' Lu et approuvé '' mais tu avais du mal …

Il rigolait .

Je me rappelais un petit quelque chose dans ce genre mais j'étais pas vraiment sûr .

Moi : Bon ! C'est pas grave ! C'est quoi cette histoire de protocole ?
José : C'est le type de jeux que vous avez choisi. Par exemple avec Didier on alterne toutes les cinq semaines. Ça peut paraître long cinq semaines mais quand on aime on ne compte pas …
Moi : Causes toujours !
José : Marc lui a pensé mettre une dose d'aléatoire … 
Moi : Bein voilà autre chose !
José : On commençait par toi ! C'était établi ! Il paraît que tu sais pourquoi ! Ensuite on tire aux dés le nombre de sessions …
Moi : Sessions ? 
José : Une session c'est la durée minimale … A début on pense à session – semaine mais en fait deux semaines est une durée minimale pour que dans la tête du porteur ça bouillonne un peu …
Moi : Et j'ai fait combien ?
José : Six !
Moi : Six sessions ? Mais ça fait douze semaines ça ! Quatre mois … ! Non mais ça va pas se passer comme ça ! Tu vas voir quand il va revenir l'autre guignol ! Je vais lui faire bouffer son truc moi !
José : Trois mois ! Pas quatre mais tu devrais laisser faire … Juste pour voir ! Tu sais tu pourrais être surpris, Tu ne risques rien et si tu craques … Il y a toujours moyen de tout retirer …

Je n'avais pas l'air convaincu et lui il rigolait de plus en plus … Le clown ! 

Je finissais finalement par céder et décidais de laisser une change … Peut être pas pour les douze semaines mais bon un moment … On restait à discuter encore un long moment avant que les deux autres ne reviennent. 

Marc : Alors les filles ça se passe bien !

Didier rigolais, lui et Marc avaient aussi discuté entre eux.

Marc : Dans trois semaines je te prêterai à José. Ils font l'échange dans trois semaines. Nous c'est dans …
Moi : Deux fois six douze . Là tu m'a bien enculé sur le coup !
Marc : Sur le coup ? Pas que ! … Je t'ai bien enculé tout simplement ! Tu ne te souviens pas cette nuit !
Moi : Enfoiré ! Bon d'accord je veux bien essayer ton truc mais peut être pas douze semaines …

Dans les jours qui suivaient c'était la folie dans ma tête. Tous les matins je me levais et la première chose que je ressentais c'était ce truc, je voulais me toucher me branler et … 

Ce n'était pas douloureux, ça ne gênait pas dans mes mouvements. Il parait que ce mode de vie est de plus en plus en vogue depuis la création de cette société … La Purity Keeper Compagnie … Moi je dis que c'est une mode et que ça va passer, c'est une société qui est apparue il n'y a que quelques années. Non mais franchement c'est ridicule !

C'est un jeune, un sportif, il paraît que c'est un champion qui assure la promotion de ce truc … Lui il le porte en permanence, il doit être un peu fêlé dans sa tête lui aussi … 

Dans la semaine qui suivait je voyais Marc régulièrement, il passait me voir et je dois dire que ça j'appréciais … Il me sortait … Me ramenait et me défonçait le cul et la mâchoire … Mais il savait aussi me donner de la tendresse.

On rentrait, pas tard quand on était en semaine. Il me prenait dans ses bras, m'embrassait et glissait ses main dans mon pantalon, sous la ceinture sur mes fesses. Je me blottissais tout contre lui, on s'embrassait avec passion. La pression sa manifestait dans ma cage de chasteté et j'avais envie de me faire sucer, une envie qui augmentait chaque jour.

On se relâchais, il m'ouvrait mon pantalon et lui ouvrais sa chemise et chacun déshabillait l'autre.

Au moment ou je baissais son pantalon, je m'accroupissais devant lui et prenais sa queue dans ma bouche, il bandait déjà, je la suçais, je la léchais en insistant longuement sur le gland. Il gémissait de plaisir ! Je bandais à mort dans ma cage, et j'avais l'impression que quelque chose allait casser, devait casser. Ce n'était pas douloureux mais c'était intense, un truc de fou...

Il me guidait avec ses mains et avançait son bassin en même temps qu'il tirait ma tête vers lui, sa queue me rentrait jusqu'au fond de la gorge et j'aimais ça, j'aimais ça à chaque fois un peu plus ! Je l’attrapais par les fesses, tout en haut des cuisses et je le tirais vers moi. IL avait vraiment l'air d'aimer et appuyais plus fort encore sur ma tête quand il sentais que je le tirais vers moi.  

Il me prenait par un bras et me tirait doucement pour que je me relève, me prenait dans dans ses bras. C'était un gros câlin qu'on partageait, un gros câlin … On se caressait l'un l'autre avec beaucoup de douceur et de tendresse. Il me prenait par les épaules et me faisait pivoter sur moi-même.

Marc : Retourne-toi et allonge toi sur le lit … Écarte les jambes …

Je me laissais tomber en avant. Sa main me caressait les cuisses et remontait jusqu'à mon cul, il y glissait un doigt, puis deux. Je frissonnais de plaisir, c'était bon, à chaque fois c'était bon ! Rapidement j'en redemandais. Il le savait et faisait durer le plaisir. Longuement et doucement il me dilatait le cul et quand il retirait ses doigts c'était pour s'allonger sur moi. 

Ma bite protestait dans sa cage, sa peau était douce contre la mienne, son corps chaud et lourd. Il m'écrasait avec douceur et confort, sa queue pressait contre mon anus. Après cette introduction je me détendais facilement et je le sentais s'introduire lentement en moi, je le sentais me remplir, sa queue massait mon anus et le plaisir montait. J'y avais droit plusieurs fois par semaine depuis que je portais ce … Truc . C'était le côté le plus agréable ! 

Je sentais chaque centimètre entrer et quand sa bite appuyait contre ma prostate … c'était ! C'était ! Whaow ! Ohhhhh ….. ! Ouiiiiiii ….. ! Encorrrrrreeee !

Il restait encore un long moment dans cette position, puis commençait à me limer le cul, doucement puis plus fort, lentement puis violemment. A nouveau avec douceur et encore avec énergie. Le plaisir montait, explosait dans mon ventre …

Souvent j'éjaculais alors, mais pas toujours. Par contre … Toujours … je prenais un plaisir et j'avais l'impression qu'à chaque fois je prenais encore plus de plaisir … 

Finalement cette histoire avait des bons côtés  même si c'était un jeu à la con … 



UN JEU A LA CON 07



Les deux premières semaines avaient passé rapidement. J'avais le feu au cul et le feux dans ma tête. Ma cage était sous pression presque en permanence. Dans la journée, un contact, un homme qui me frôlait, un regard échangé, la vue d'un morceau de peau comme un avant bras couvert d'un léger duvet qui devait être doux … Et je bandais à en faire exploser ma cage de chasteté … 

Ça se voyait, tout le monde le remarquait, ça sautait aux yeux, c'était tellement évident, visible, une bosse énorme se formait dans mon entre-jambe ! Je paniquais quelquefois, mais, si je vérifiais dans un miroir, dans une vitre, une vitrine … Je me calmais, on ne voyait rien ! C'était invisible et personne ne se doutait, personne ne pouvait s'en douter. La PK vous promet que le dispositif est invisible et je peux vous confirmer qu'on ne la voit pas.

La PK vous promet aussi que le dispositif ne gêne pas vos mouvements, je vous le confirme également mais ça ne veut pas dire qu'on ne le sent pas ! On le sent en permanence, on ne peut pas l'oublier. 

'' Il sera présent autour de votre queue autant que dans votre tête … '' . J'ai lu ça quelque part, je ne sais plus ou mais je sais que c'est vrai, je le vérifie tous les jours.

Ce soir là, pour fêter la deuxième semaine, je devais retrouver Marc chez lui. Il m'avait promis une petite fête, et il m'avait promis à José aussi ! Il devait me prêter à José … Il ne faut pas oublier que je suis un jouet sexuel moi maintenant ! Pfff !

Didier et José étaient là et Marc m'accueillait avec chaleur, il me faisait un gros câlin et me donnait un long baiser amoureux. Didier et José aussi me faisaient un gros câlin.

Moi : Ça va vous ? Ça fait un moment qu'on ne s'est pas vu !
José : Et toi ça va ? Tu supportes !
Moi : C'est un truc de fou ! J'ai envie de bander, de me branler, de défoncer un cul, de me faire sucer comme un malade. C'est toujours sous pression ce truc ! Je deviens dingue mais à part ça tout va bien !

Ils rigolaient tous de ma réponse ! 

Moi : Alors vous inversez les rôles ce soir ?
Didier : On t'attendait. Normalement on procède ainsi … Celui qui ne porte pas a droit à un dernier plaisir avant les cinq semaines d'abstinence qui se présentent puis il met son dispositif. Il donne alors la clé à son partenaire qui ouvre son cadenas et le donne au premier. Celui-ci le referme sur son propre dispositif PK et se retrouve verrouillé. Il ne reste plus au second qu'à retirer alors le dispositif qu'il porte depuis cinq semaines. Il à droit à son tour à un petit plaisir … En fait tous le plaisir qu'il souhaite, c'est lui qui commande ! Ensuite on échange les colliers .
Moi : Je vois !
José : Mais puisque tu es là on va procéder autrement … Je vais retirer mon dispositif. On va te baiser jusqu'à plus soif … Tous les trois ! … Puis Didier va mettre son dispositif pour cinq semaines !

José se déshabillait entièrement, Didier lui donnait la clé, il ouvrait et retirait son dispositif …

José : ( A mon intention ) Suce moi !

Je me laissais tomber sur les genoux devant lui et prenait sa queue dans ma bouche, avec la langue je lui caressait le gland. Il ne bandait pas … Je continuais, j'aspirais sa queue ( un peu comme avec une nouille … lol ) et la prenait entièrement dans ma bouche … Là je sentais qu'elle commençait à prendre de l'ampleur et rapidement elle me remplissait la bouche.

José avait attrapé ma tête et me retenait fermement, sa queue gonflait, il avait fallu un moment de mise en route mais maintenant que c'était parti … Elle gonflait jusqu'à ma gorge et je ne pouvais plus respires, je m'étais laissé surprendre. Je tentais de me retirer et José finissait pas me lâcher, je reprenais mon souffle en râlant et remettais ça. Eux ils rigolaient de m'entendre râler !

Mon cœur battait à tout rompre, ma queue tentait encore de forcer contre la cage, de toutes ses forces, mais il paraît que ces dispositifs sont indestructibles … Mon dispositif se relevait et je me sentais un peu à l'étroit dans mon pantalon … José s'énervait, avec force il tirait ma tête vers lui, il balançait son bassin en avant en même temps puis se retirait et repoussait ma tête, recommençait encore et encore.

Je me concentrait pour garder la bouche grande ouverte et rentrer mes dents, je ne pouvais rien faire d'autre, je ne contrôlais plus rien. Il s'amusait, j'étais son jouet … C'était le pied !

Je ne cherchais pas à résiste, d'autres mains me caressait les épaules le dos , se glissaient sur mon torse et entraient dans mon pantalon. Je sentais un doigt qui se glissait entre mes fesses alors qu'une main ouvrait mon pantalon, s'introduisait et me malaxait les couilles …

Les mouvements de José devenaient plus violents, il respirait plus fort et je le sentais venir, il jouissait dans ma bouche. Une première giclée, il ne mollissait pas et continuait à me limer la bouche, une seconde giclée suivie d'une troisième. Il retenait ma tête contre son ventre de toutes ses forces, je l'entendait respirer fort et râler de plaisir. Un autre giclée arrivait directement dans ma gorge, je le sentais trembler, frémir … Un dernier mouvement du bassin et je prenais une dernière giclée dans la bouche. 

Il lâchait tout et se laissait tomber sur le fauteuil, il était essoufflé, j'étais hagard !

Marc : Voilà qui commence bien … Pour la mise en bouche …
Didier : José, tu as giclé … ?
José : Cinq fois !
Moi : ...E ...onfirme ...inq ...ois ! La vache ! … Il ...a à ...oité ...éboîte la ...âchoire !
Marc : Bon et bien … Après cette première mise en bouche si on passait à table. François tu retires tes vêtements su sera plus beau !

Ils étaient déjà tous à poil, j'en faisait de même pour passer à la suite. Ils passaient tous dans la salle à manger … Quand Marc avait parler de passer à table … Il s’agissait bien de passer table … Moi je m'attendait à autre chose ! … 

Il avait fait ça bien Marc. Ça c'est tout lui ça, mon doudou quand il fait quelque chose, il aime le faire bien.

Marc : C'est pas parce qu’on va baiser notre ami François qu'il faut manquer de convivialité. Installez vous, vous allez vous régaler …

Entre chaque plat on faisait une pause.

Après l'entrée Marc me demandait d'aller sucer Didier. Il s'installait sur un fauteuil, écartait bien les jambes et me laissait faire, il bandait déjà bien ferme quand je commençais. Au début il ne faisait rien mais au bout d'un moment il me caressait les cheveux puis appuyait sur ma tête, doucement d'abord, il me guidait la tête avec force par la suite. Je me retrouvais rapidement dans la même situation qu'un moment plus tôt … Je me concentrais pour garder la bouche grande ouverte … Je lui caressais les cuisses, il est musclé Didier ! Il y allait de bon cœur, il savait qu'à la fin de la soirée il serait sous clé pendant cinq semaines. Il en profitait, il se lâchait à son tour, j'encaissais. J'avais du mal par moment et j'avais tendance à résister avec mes mains, il forçait alors encore plus, ma position n'était pas confortable et je n'était pas en position de force.

Je n'avais pas d'autre choix que d'encaisser et, quand il me giclait dans la bouche, d'avaler ! … J'avalais ! Il me faisait un grand sourire quand je me relevais, attrapait ma tête pour m'embrasser, là je n'essayais pas de résister !

Didier : Si je peux me permettre un commentaire … Marc, ton jouet fonctionne très bien, vraiment très bien !

Tout le monde éclatait de rire, moi je m'essuyais la bouche et me remettais la mâchoire en place ! Je retournais à ma place, Marc servait le plat principal … On se régalait en effet !

Après le plat de résistance, c'est Marc qui me disait …

Marc : Tu pourrais me sucer la queue à mon tour tu serais mignon !

Comment le lui refuser, il avait dit '' tu serais mignon '' … De plus cette queue là je la connais bien, je l'ai beaucoup pratiquée. Il le savait et me laissait faire sans intervenir, du début à la fin. Je passais ma langue autour de son gland, autour de sa queue quand le me l'enfonçait dans la bouche, je la massais avec force et douceur quand elle ressortait. J'insistais sur son gland que je massais aussi en le lubrifiant bien avec ma salive. Je savais comment le faire grimper aux rideaux et je le sentais se contracter, je l'entendais gémir, il sursautait et finalement il me giclait dans la bouche … 

Moi : ( dans ma tête ) Il aime pas quand je fais ça moi. L'enfoiré et toute cette histoire à commencé à cause de ça … Bon pour l'instant je dis rien mais il va voir quand ce sera son tour … Il va voir !

J'avalais !

Moi : ( toujours dans ma tête ) Je ne sais pas pourquoi il fait toute une histoire ? J'aime bien moi quand mon doudou me gicle dans la bouche ! Et puis maintenant j'ai mal à la mâchoire et je sens que c'est pas fini … Tout à l'heure je vais encore avoir mal au cul. J'étais encore un peu ronchon moi mais finalement c'est vrai quoi, cette histoire c'est vraiment un jeu à la con !



UN JEU A LA CON 08



Ça ne loupait pas ! Après le dessert Marc me prenait par la main et m'entraînait dans le salon. 

Marc : Met toi à quatre patte là, au milieu du salon … On va t'enculer !
Moi : Tu vas pas me casser je suis un jouet de luxe moi !
Marc : Mais non, j'ai tout prévu, j'ai au moins un litre de gel !

Moi : ( dans ma tête ) Il abuse quand même, il abuse … Mais il va voir comment je vais me venger dans … Dix semaines … Bon je sais pas si je vais tenir aussi longtemps moi !

Je me retrouvais en position. Marc commençait, il me caressait les fesses, me donnait une claque. Je sursautais … D'un geste vis il glissait deux doigt dans mon cul et sans attendre il les agitait rapidement. Ils les glissait bien à fond et me massait la prostate, les deux doigts ensembles dans le même mouvement ou les deux doigts séparément, comme quand on nage et qu'on bat des jambes … 

Rapidement je réagissais, me cambrais et gémissais de plaisir. Depuis deux semaines il m'avait préparé, il prenait son rôle à cœur et aimait bien jouer avec moi. Le plaisir montait rapidement.

Il arrêtait tout et je l'entendais …

Marc : Qui veux passer en premier ?
Moi : ( dans ma tête ) Et voilà dans une heure je vais encore avoir mal au cul ! C'est à prévoir ! 

Je sentais deux mains qui se posaient sur mes reins. Je relevais la tête et fermais les yeux. 

Moi : ( dans ma tête … Toujours ) C'est qui ? … M'en fou ! De toutes façons ils vont tous me passer sur le corps. C'est à prévoir là encore ! …
Une caresse sur mes fesses, une pression sur mon anus, je me détendais il entrait en force, rapide, violent, je râlais, son ventre frappait mes fesses … Je gueulais. Il poussait fort dans mon cul et ma bite poussait encore plus fort contre ma cage mais avec moins de résultat. J'avais mal mais ça restait supportable, Marc m'avait bien entraîné depuis deux semaines.

Depuis deux semaines je m'étais pris sa bite dans le cul en moyenne quatre fois par semaine. La douleur passait vite et je ressentais le plaisir de me sentir rempli, bien rempli … Je tournais la tête, c'était José qui se penchait alors sur moi pour m'embrasser, il me souriait et me regardait dans les yeux puis se retirait, revenait avec force et commençait des mouvements de va et vient. Il était en manque lui aussi, ça faisait un moment qu'il n'avait pas fait ça et pour cause … Il avait du temps à rattraper et ne s'en privait pas. 

Au bout de quelques instants il se lâchait et me balançait des coup de rein sans aucun ménagement, sans aucune retenue. Le plaisir montait rapidement, ma bite tentait toujours de démolir la PK mais c'était sans espoir !

Il me tenait fermement par les hanches et me tirait vers lui à chaque fois qu'il enfonçait sa queue dans mon cul, il me tirait de toutes ses forces, j'entendais ses râles à chaque mouvement. Là moi je dégustais, c'était bon mais pas que …

Didier se posait devant moi, il bandait …


Didier : Suce moi ! En attendant que la place soit libre …

Avant que j'ai le temps de répondre il approchait sa queue de ma bouche, je l'avait à peine ouverte qu'il m'enfonçait sa queue violemment. Il suivait le mouvement de son camarade et m'enfonçait, lui aussi sans ménagement, sa queue jusqu'à la garde en même temps que José me la fourrait dans le cul !

Je ne savais pas à quoi me retenir, je ne trouvais que les cuisses de Didier que le tenais fermement. Ça m'empêchait de tomber en avant mais ne m'aidait pas à le retenir ou à le repousser quand il poussait de toutes ses forces.

Je ne me disais plus … '' je vais avoir mal à la mâchoire ou au cul '', je ne me disais plus rien, je restais simplement concentré pour ne pas tomber en avant , pour synchroniser ma respiration, pour ne pas vomir, pour … Ma queue continuait à faire pression contre tout ce qui l'entourait, en vain ! Le plaisir contre ma prostate montait et je commençais à trembler de plaisir. Ma respiration devenait plus forte plus rapide mais la bite de Didier m'empêchait de la synchroniser, je manquais d'air, j'essayais de me dégager, Didier me retenais, je sentais ses réactions, il avait l'air de rigoler. Moi je  pleurais, je bavais, je jouissais par le cul, je ne jutais pas ( enfin je pense ), je sentais ma queue fermement enfermée dans sa cage. Les coups de bassin de José étaient violents, vraiment violent et je l'entendais râler de plaisir puis gueuler de plaisir au moment ou il jouissait dans mon cul. Il ne bougeait plus pendant quelques instants, Didier en faisait de même. José se retirait de mon cul, Didier se retirait de ma bouche et allait remplacer son camarade.

Sans perdre de temps Didier arrivait et d'un mouvement rapide et violent il me pénétrait et commençait, je devrais plutôt dire, continuait ce que son camarade avait commencé. Tout comme quelques instants plus tôt il me tirait vers lui au moment ou il m'enfonçait sa queue bien à fond. Il ressortait complètement puis revenait à la charge, d'un coup son ventre claquait contre mes fesses. Il appuyait de toutes ses forces son bassin contre mes fesses, j'avais le souffle coupé et le plaisir, l'intense plaisir ne retombait pas, je jouissais, je jouissais encore et là je jouissais depuis un bon moment … Il me serrait contre lui en me serrant fort dans ses bras, il s'était penché sur moi et m'embrassait sur l'épaule, dans le coup. Il me mordillait doucement et quand je tournais ma tête vers lui il me donnait un baiser passionné.

Je jouissais, j'en pouvais plus, cette intense plaisir ne diminuait pas ! J'avais presque l'impression que le plaisir s'intensifiait encore. J'avais l'impression d'éjaculer … ou de pisser … en fait rien ne se passait de ce côté. Ma bite était encore bien développée mais ne faisait plus vraiment pression contre sa cage … Mais ma prostate elle était en feu … C'était l'orgasme, l'extase. Didier jouissait à son tour pendant ce baiser passionné qu'il me donnait, je le sentais vibrer, trembler, se relâcher, me relâcher …

Il ne bougeait plus, pendant un long moment il ne bougeait plus puis se retirait doucement. Je me sentais alors léger, vidé, comblé … Je me laissais tomber sur le sol les bras en croix, les fesses à la vue de tous, je passais ma main sur mon cul, le reste de sperme en coulait.

Je restais là un moment sans bouger, puis finissait par me retourner sur le dos, je m'appuyais sur le fauteuil, je me sentais tout mou. Dans sa cage ma bite prenait toute la place, mais ne poussait plus, j'avais une grosse molle. Je m'amusais à appuyer avec mon doigt dans les trous d'aération, ma bite était toute molle … Je n'avais pas juté, j'avais joui oui mais, je n'avais pas juté ! Je me sentais bien et presque bizarrement je n'avais pas mal au cul. Je me sentais vraiment bien !

Sur un autre fauteuil José était en train de sucer Marc qui semblait apprécier, je les regardais et j'appréciais ce spectacle ! D'habitude c'est moi qui le suce et je sais combien il aime ça. José semblait faire ça bien aussi … Certainement pas aussi bien que moi. Faut pas déconner quoi ! Moi je suis un pro ! 

A ce spectacle ma queue ne manifestait pas d'avantage ! 

Didier s'était laissé tomber sur le canapé, sur le dos, la tête posée sur un coussin et il laissait tomber son bras sur la moquette. Il avait l'air essoufflé, pas autant que moi mais il s'était bien donné … Moi j'avais bien reçu !

Je lui caressais le bras, tournais la tête vers moi, il avait un sourire doux et l'air complètement détendu …

Moi : Ça va ?

Son sourire s'élargissait et il finissait par éclater de rire.

Didier : Avec ce que tu viens de te prendre dans le cul, c'est à toi qu'il faudrait poser la question.

Il tournait son regard vers le plafond et rapidement recommençait à rigoler … je l'entendait qui marmonnait … '' Ça va … Lui alors … '' … Je rigolais à mon tour comprenant l'absurdité de ma question … En tout cas moi ça allait bien … très bien.

On entendait un peu plus tard les gémissements de plaisir de Marc, on regardait ce qui se passait. José avait juste le temps de retirer sa tête et prenait dans la figure deux belle giclées de sperme.

Pendant un long moment plus personne ne bougeait, plus personne ne disait plus rien. Pas un bruit on somnolait quand …

Marc : ( en se relevant soudainement et en parlant très fort ) Qui veut un digestif ?

On sursautait de surprise, moi je sursautait mais ne bougeait pas d'avantage . J'étais KO !

José : Bon passe à la suite ! Didier, c'est ton tour !
Didier : Ouai on passe à la suite … Tu as le cadenas ?

Moi je ne bougeais toujours pas, et je me disais … dans ma tête .. ;

Moi : la suite, la suite ! On dirait que ça les amuse bien ce jeu … Moi je suis trop fatigué pour réclamer mais je vous le dis comme je le  pense c'est un jeu à la con !



UN JEU A LA CON 09



C'est avec le sourire que Didier passait le cock-ring … Moi je ne me souvenais plus comment j'avais fait pourtant c'était seulement la veille au soir … Mais bon ...

On voyait qu'il avait l'habitude quand il enfilait sa queue dans le tube de chasteté, José lui tendait le cadenas et gardait la clé. Suivait ensuite les colliers, ils terminaient pas un baiser sur la bouche. 

Marc et moi on regardait ça, Marc semblait sous le charme. Moi je ne savais plus quoi dire ni quoi penser … J'avais moins mal à la tête mais pour le moment j'avais renoncé à penser, j'essayais même pas !

Je me retournais vers Marc, 

Moi : Ils ne tirent pas les dés eux ?
Marc : Ils n'ont pas le même protocole que nous. Eux inversent les rôles toutes les cinq semaines. Nous on le joue au dé. Tu as fait six, six sessions de deux semaines ça fait ? 
Moi : Je sais pas !
Marc : Oui je vois ! Deux fois six … 
Moi : Oui ça doit être ça ou pas loin …
Marc : Bon c'est pas grave, pour le moment il y a un bug … Ça doit être la bière d'hier soir ! 
Moi : J'ai tiré six … Tu es sûr ? J'aurais pu tirer un deux ou un un ?
Marc : Oui tu aurais …
Moi : C'est pas du jeu, je ne m'en souviens même pas ! Je veux tirer le dé à nouveau …

Marc hésitait un moment …

Marc : Bon d'accord mais si tu refait un six encore on additionne !
Moi : Non ça va faire dix, ça fait beaucoup ça dix .
Marc : Deux fois six … dix ?
Moi : Je sais pas mais dix ça fait trop !
Marc : Et neuf alors ?
Moi : Ouai ! Là ça va ! Deux fois six … neuf ! Là ça va !
Marc : Il y a des jours ou je préfère renoncer à comprendre avec toi ! Bon alors juste un jet de dé, si tu refais un six on passe à dix … C'est bien ça ?
Moi : Et tu m'embrouille pas la tête toi je t'ai à l’œil !
Marc : Tu révises les règles de la l'addition et de la multiplication et c'est moi qui t'embrouille dans ta tête ? Oui admettons !

Marc sortait une petite boite d'un tiroir et me donnait un dé à six faces dans la main …

Marc : Un lancé de dé … Un seul … Si tu fais moins de six il compte sinon on additionne ce qui fera … dix donc on a dit !
Moi : On n'a pas dit neuf ?
Marc : Oui tu as raison ! Deux fois six … Neuf ! C'est vrai ça, tu m'as à l'œil ! On ne te le fait pas à toit ... 

Je lançais le dé … Il tombait sur le six … je restais sans voix ! Marc le rattrapait rapidement, il lui échappait des mains et tombait sur le sol … Encore un six …

Moi : C'est pas de chance il fait que des six ton dé.

Marc l'avait rangé dans sa boite …

Marc : Non !
Moi : Ouai bon bein là il n'a fait que des six !

Marc ressortait à nouveau le dé de sa boite … Je relançais le dé … Il tombait sur le un.

Moi : J'ai fait un ! J'ai fait un!
Marc : tu vois qu'il ne fait pas que des six … 
Moi : J'ai fait un !
Marc : Ça ne compte pas ! On avait dit un seul lancé !

Didier et José ne disaient plus rien ils étaient pliés de rire. Plus tard ils m'ont dit que j'avais vraiment l'air nigaud, que je ne comprenais rien !

Marc : Donc ça nous fait ?
Moi : Euh … De quoi tu parles là ?
Marc : Dix sessions de deux semaines … Ça nous fait … vingt semaines … Il en reste dix huit ! 
Moi : J'ai fait le con là ? Mais ! On avait dit neuf !
Marc : Deux fois neuf ça fait bien dix huit ?
Moi : Euh … Je sais plus moi ! … Tu crois que ça fait ça ?
Marc : J'en ai bien l'impression. Ensuite tu as le malus …
Moi : Allons bon ! C'est quoi encore ce truc !
Marc : Une pénalité, c'est moi qui l'ai inventé … Dans maintenant dix huit semaines on va tirer au sort. On va mettre deux papiers pliés dans un bocal … celui qui tire le papier sur lequel est dessiné un cadenas portera le dispositif … La durée sera déterminée par un dé … Tu me suis bien là ?
Moi : Non, vas y continue !
Marc : Si c'est celui qui porte déjà on rajoutera un autre petit papier au tirage suivant et il tirera deux papiers … Et ce jusqu'à cinq papier pour lui et un pour son partenaire … Ça augmente ses chances de perdre . Eh , éh ,éh ! 
Moi : La prochaine fois il y en aura ? …
Marc : Deux papier mais si tu tire le cadenas on en rajoute un la fois d'après … Jusqu'à avoir six papier cinq pour celui qui perd régulièrement et un pour l'autre . On revient à deux papier si celui qui tire ne portait pas déjà … Toi comprendre ?

Je réfléchissais longuement …

Moi : C'est tordu ton truc !
Marc : Oui je sais mais je suis tordu .
Didier : On n'a jamais pensé à introduire un malus dans notre jeu nous …
José : On essayerait tout les deux de perdre !
Didier : Tu as raison, avec nous ça ne marcherait pas !

Passé ce week-end il me restait encore presque cinq mois avant d'espérer une libération … Quand je réalisais vraiment j'avais du mal à encaisser mais bon, au bout de quatre semaines je me serais damné pour pouvoir tirer mon coup, me branler ou enculer … C'est simple j'aurais enculé n'importe quoi, j'aurais même couché avec une femme c'est tout dire ! Mais j'y trouvais une contrepartie !

Je voyais Marc au moins deux fois par semaines en plus des Week-end … Et là c'était … Ba Ba Boum !

Un jour on se promenait en extérieur dan la forêt. Sans prévenir Marc m'attrapait la main et me tirait dans un coin tranquille. Il ouvrait sa braguette sortait sa bite et ses couilles, s'appuyait sur un arbre …

Marc : Suce moi !

Sans poser de question je m’exécutais … Il avait une violente envie, ça faisait partie du jeu, je commençais à le sucer il m'attrapait la tête avec deux mains ne pensant qu'à son propre plaisir il me baisait la bouche … Je dit bien me baisait … J'avais à peine ouvert la bouche qu'il y fourrait sa queue toute entière. Ce n'était pas la première fois que je me l'avalais jusqu'au fond de la gorge mais d'habitude je prend le temps, j'y vais doucement … Là non ! Il faisait des mouvements du bassin, violent et rapide, il appuyait de toutes ses forces avec ses mains, j'avais du mal à respirer il me prenait par surprise, ne me laissait pas le temps de m'adapter … C'était juste une violente envie, il se soulageait rapidement dans ma bouche, me donnait un mouchoir pour que je l'essuie puis remontait sa braguette … On reprenait notre promenade, je devais faire une drôle de tête pendant un moment … Mais … Bon … Ça fait partie du jeu, et j'aimais de plus en plus me faire traiter comme une pute … 

Attention je ne fais pas la cuisine ni la vaisselle, je ne passe pas l'aspirateur … Je me fais seulement défoncer le cul. Je suis un sex-toy pas un robot ménager !

Un autre soir dans une boite gay, Marc rencontrait un vieux pote à lui que je ne connaissais pas … Ils avaient bu deux verres chacun qu'il me prêtait à son pote ! Un géant, un black, deux mètres de haut qu'il faisait … Bien le mec. Bien bâti et quand il m'a entraîné dans la back-room je me suis fait une frayeur … Il était monté comme un âne. Lui il m'a pris avec douceur, enfin douceur au début, ça n'aurait pas passé autrement, il avait une queue énorme. Je l'ai senti passer mais j'ai fini par apprécier. Je ne m'étais jamais senti rempli comme ça, il m'a dilater l'anus comme une brute, et m'a éclaté la  prostate comme jamais. 

Le lendemain j'avais encore du mal à m’asseoir ce qui faisait rire Marc. 

Les semaines passaient et je me souvenais de ce que m'avais dit José le premier soir … ''  ça devient vite addictif ce truc '' … Je devenais accro ! Le matin je bandais ferme dans la cage, c'était sans douleur, sans aucune gênes, libre de tous mes mouvements, mais je sentais cette pression douce et forte contre mon pénis. En permanence pendant les premières semaines j'avais cette sensation dans ma tête et je finissais vraiment pas aimer … 

Ensuite on ne l'oublie pas, on ne l'oublie jamais complètement, on s'habitue, on vit avec, on agit tout à fait normalement, mais cette idée, cette sensation n'est jamais bien loin.

Un jour j'étais chez Marc, il était parti faire quelques courses en urgence. Je l'attendais en regardant la télé et je me souvenais du dé, il l'avait rangé dans une boite dans le tiroir de … Ce meuble il me semblait !

J'ouvrais le tiroir, la boite était là en effet, je l'ouvrais. Il y avait un dé à l'intérieur. Mécaniquement je le prenais et le lançais sur la table . 

… Un …
… Quatre …
… Deux …

J'allais ranger le dé dans sa boite quand elle m’échappait des mains, je la ramassait il y avait une double fond … ! Et dans le double fond un autre dé …

Je lançais le second dé …

… Six …

De nouveau …

… Six …
… Six …
… Six …

Moi : L'enfoiré ! Il a triché, il m'a roulé !

Je l'entendais qui ouvrait la porte, rapidement je remettais les dés dans la boite et la rangeait à sa place …

Il avait acheté quelques bouteilles de très bon vin, on avait rendez-vous chez un couple d'amis qui ne jouent pas à ces jeux fantaisistes comme celui auquel on jouait. Deux garçons super canons, Marc m'avait dit qu'il me prêterait à des copains si j'étais sage … 

J'avais envie d'être sage … Bon le jeu est truqué mais depuis le début je vous le dis moi que c'est une jeu à la con … Mais là j'avais vraiment envie de voir jusqu'où il allait  pousser la tricherie. C'est vrai que c'est addictif ce truc !

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