LE DERNIER JOUR 1
Bon maintenant que je l'ai écrit cette petite série … Je la diffuse ! C'est une petite histoire qui m'est passée dans la tête un matin dans on lit. C'est vrai aussi qu'on est en plein hiver et que le soleil nous manque, la pluie, la brise, le froid, la neige, le vent ( oui je sais j'en rajoute l'hiver n'a pas été trop rigoureux ) … Bref dix épisodes, dix textes plus courts que ceux que je propose d'habitude … Et un par jour … Allez c'est parti !
Les journées étaient encore longues, le soleil savait prendre le temps de nous souhaiter une bonne soirée. Ce soir là il ne finissait pas de descendre sur la mer, il ne restait plus que moi sur la plage et il semblait me destiner à moi seul ses derniers rayons encore chauds et doux.
Une brume légère se levait sur l'horizon et j'aurais presque pu regarder le soleil en face, il formait un disque orangé juste au dessus de la mer. C'est à cet instant que les couleurs deviennent plus intenses, le bleu du ciel plus profond se prépare pour laisser apparaître les étoiles et je savais ou regarder pour voir la toute première d'entre elles, l'étoile du berger. C'est peu après la disparition du soleil sous la mer qu'elle apparaît.
Je passais ma main sur mon torse, une caresse douce, un peu comme celles que le soleil me donnait depuis un bon moment maintenant … Mais pas aussi douce toutefois, les siennes sont particulières, et elles colorent la peau d'une jolie teinte ambrée.
Je ne sais pas laquelle de ces caresses me provoquait cet effet mais lentement ma queue se relevait, sans doute voulait elle également saluer le soleil, je la caressait. Elle se redressait avec plus de force. Je refermais ma main dessus, d'un geste lent je tirais la peau vers la base de ma bitte et je dégageais le gland, il n'était pas bronzé lui, pas besoin. Rapidement au grand air il séchait totalement et devenait tout lisse et tout doux, maintenant qu'il était dégagé de ce col roulé qui avec ce temps ne servait pas à grand chose.
Je le caressais à son tour, je sentais sa douceur du bout des doigts. En réponse mas queue se contractait semblant encore prendre en volume, durcissait et se relevait contre mon ventre. Je crachais dans ma main plusieurs fois puis la paume ainsi lubrifiée je me caressais avec force la queue en insistant sur son gland. Zone particulièrement sensible, ma respiration devenait rapidement plus forte. Je prenais mon temps, il n'y avait personne pour me déranger.
Je crachais encore une ou deux fois et je continuais à masser ma queue avec douceur, puis avec force, je refermais fermement ma main dessus puis c'était une caresse très douce … J'alternais les mouvements doux et les caresses fermes. J'insistais sur le gland puis je me massais les testicules avant qu'une réaction finale ne se manifeste.
Sans m'en rendre compte je respirais plus vite, plus fort. Je me concentrait sur les sensations que je me donnais, surtout au moment ou toute la paume de ma main passait sur mon gland. Là je sentais ma queue frémir, et je sentais mon corps trembler. Je n'insistais pas, prenais ma queue à pleine main que je refermais avec force.
Ma main se déplaçais de plus en plus vite le long de ma queue, fortement refermée dessus. La peau suivait. Puis je refermais ma main sur mon gland qui était maintenant recouvert de salive et glissant. Je refermais ma main de toutes mes forces et la ramenait vers la base de ma queue. Là c'était fort, la peau ne glissait pas sous ma main et était tirée, tendue sur la longueur de ma queue et mon gland caressé avec force provoquait chez moi de petites convulsion, je tremblais de plaisir, un plaisir qui devenait plus intense à chaque passage.
Je crachais de nouveau sur la queue et j'accélérais le mouvement. À chaque passage sur mon gland je refermais ma main de toutes mes forces, je tremblais de plaisir mais je ne lâchais rien. Ma main se déplaçait très vite désormais et je respirais fort.
Je faisais une pause …
Ma queue dégoulinante de salive se balançait de haut en bas, d'avant en arrière, par secousses, en suivant les battements de mon cœur, je respirait fort et les battements de mon cœur étaient rapides. Le soleil allait toucher l'horizon. Nous étions le quinze du mois de septembre. La journée avait été très belles, à peine avait on ressenti une baisse de la température. Si le soleil n'était pas si bas dans la journée, on aurait pu se croire en plein été. Mais il n'y avait plus que moi sur la plage. La météo n'était pas très réjouissante pour la semaine à venir, pluie et brouillard léger. On ne reverrait plus le soleil pendant au moins une semaine … Ensuite ce serait l'hiver … Enfin, l'automne ! Mais c'est un peu pareil, on ne peut plus aller à la plage .
Ma queue commençais à diminuer en volume, je reprenais, avec la même énergie que quand j'avais arrêté quelques instant plus tôt. Au moment ou ma main passait avec force sur mon gland je tremblais. Il n'était pas si dur et je le sentais s'écraser mollement entre mes doigts, ce n'était pas moins agréable et j'insistais longuement sur mon gland, je refermais mes doigt autour comme pour l'empêcher de reprendre tout son volume et je faisais glisser mes doigt avec force.
C'est à ce moment que j'ai poussé mon premier gémissement de plaisir.
Je reprenais ensuite le massage de ma queue, sur toute la longueur, parfois avec douceur, parfois avec force. Je resserrait ma main de toutes mes forces ou je me caressais avec douceur. Je finissais par ressentir cette sensation si difficile à définir, comme un passage, un instant au delà duquel on ne contrôle plus rien … Je continuais frénétiquement à me masturber, mon souffle redevenais très fort et très rapide et c'est dans un éclair de plaisir que j'éjaculais avec force, une fois, deux fois puis trois fois … Quelques giclées plus petites suivaient, je tremblais de plaisir.
C'est à ce moment que j'ai poussé mon second gémissement de plaisir, plus long et plus fort que le premier.
Je sentais le goût de mon sperme sur mes lèvres, je m'étais tout pris sur la figure. Je passais ma langue, reprenais mon souffle et me levais pour me diriger vers la mer. L'eau était fraîche, j'y plongeais et nageais quelques instants. Quand j'en ressortais, toutes les traces du petit plaisir que je m'étais accordé avaient disparues, sauf peut être … Je bandais encore, une grosse bitte molle se balançait entre mes jambes à chacun de mes pas.
Mais bon je ne vais pas me plaindre, c'est pas désagréable tout ça … surtout que …
Ted m'avait dit … Teddy c'est mon doudou, ça fait un moment qu'on est ensemble.
Donc … Ted m'avait dit …
Ted : C'est d'accord Jimmy, je te donne tout l'été pour toi, tu fais ce que tu veux … Mais dès que la saison de la plage est terminée … Tu es à moi.
Il avait rajouté que la mi-Septembre était une bonne date, que si … éventuellement … Il faisait beau j'aurais droit à une semaine supplémentaire, la troisième semaine de Septembre … Sinon …
Je me séchais rapidement, le soleil allait bientôt disparaître derrière l'horizon et il me semblait pouvoir déjà deviner la présence de l'étoile du berger. Je m'habillais, oh que du léger … Un short large en tissus léger et souple … Le reste de mes affaires allaient dans le petit sac à dos et je faisais route vers la voiture.
J'étais détendu, je me sentais bien. A chacun de mes pas je sentais ma queue se balancer sous le short. Je jetais un œil de temps en temps, ce n'était pas totalement invisible … Je ne bandais pas, non, mais j'avais gardé cette grosse molle depuis que j'étais sorti de l'eau, une grosse bitte molle qui se balance lourdement, en fait j'en profitais avant que … Je me gardais un souvenir pour demain …
LE DERNIER JOUR 2
On voyait arriver les tout premiers nuages, à l'Est le ciel devenait bleu marine, la nuit annonçait son arrivée et plusieurs étoiles brillaient dans le ciel quand j'arrivais à la voiture.
Ted n'était pas encore à la maison au moment ou je rentrais, j'en profitais pour me doucher et retirer tout le sel et le sable que j'avais sur moi.
Ted c'est mon doudou, je l'aime bien et il a une grosse queue …
Au moment ou je sortais de la douche je l'entendais, il arrivait à son tour. Je l'appelais, je lui criais que j'étais sous la douche il arrivait quelques instants plus tard dans la salle de bain. Il me faisait un grand sourire, s'approchait de moi. Il passait sa main sur ma poitrine, je ne prenais pas la peine de me cacher de lui, bien au contraire, je laissais tomber la serviette.
Sa main courait sur le côté de mon torse, glissais sur mes hanche, passait dans mon dos, se posait sur mes reins et il me tirait vers lui. Je ne résistais pas et au moment ou mon corps se posait contre le sien, je posais mes lèvres sur les siennes et le prenais dans mes bras à mon tour.
C'est que je ne l'ai pas vu depuis ce matin Ted. Moi je suis en vacances mais mon doudou il travaille, en plus on n'a pas les mêmes horaires et il n'y a que le week-end qu'on peut vraiment se retrouver …
Ou le soir comme aujourd'hui, quand il rentre du travail. On se réserve toujours un moment de tendresse, un câlin. Ses mains me caressaient mes fesses, me malaxaient les fesses en fait plus qu'elles ne me les caressaient. Mais j'aime bien moi la manière qu'il a de me malaxer les fesses. Il y allait toujours avec douceur, son doigt se glissait sur mon cul, s'attardait sur ma rondelle mais sans vraiment tenter d'y pénétrer. ( Eh ! Pourtant il a le droit si il veut ! C'est mon doudou. )
Ted : Il a fait chaud aujourd'hui, je vais prendre une douche.
Sans rien répondre je glissait mes main contre son corps, soulevait ses vêtements, il ne résistait pas et levait les bras en l'air, je le déshabillait proprement, sans même ouvrir les boutons de sa chemise. Il se retrouvait torse nue devant moi. De nouveau on se prenait dans les bras, nos baisers étaient chauds, nos caresses étaient douces. Je l'embrassais sur son torse, son cou. Je bandais, il me caressait les couilles et prenait ma queue dans sa main, il me masturbait un peu, je le laissais faire.
Sans plus attendre j'ouvrais son pantalon et m'accroupissant je le lui faisais tomber sur les chevilles. Il bandait lui aussi et je prenais sa queue dans ma bouche et commençait à lui sucer la queue comme il faut. ( Eh ! Évidemment que j'ai le droit si je veux ! C'est mon doudou. )
Il me caressait les cheveux, balançait à peine son bassin d'avant en arrière, il se retenait mais le réflexe faisait qu'il se balançait un peu tout de même. Je me relevais.
Moi : Une douche tu disais ?
Ted : Oui, tu viens d'en prendre une !
Moi : J'y retourne, je vais te frotter le dos … Mais pas que !
Nos caresse devenaient plus fermes, avec le savon nos mains glissaient encore plus rapidement sur le corps de l'autre, ce n'était pas seulement le besoin de laver l'autre qui nous guidait, c'était aussi et surtout l'envie de lui faire plaisir, nos langues se caressaient, nos mains se glissaient dans les partie les plus intimes du corps de l'autre.
Il me lavait longuement les fesses, mais cette fois ci ses doigts ne se contentaient pas de passer contre ma rondelle, ils s'y attardaient, ils insistaient. Un doigt se glissait à l'intérieur de mon petit cul, je lui mordillait le cou et je gémissait. Je sentais ma queue se relever, se contracter, elle se plaquait presque sur mon ventre et rencontrait la sienne.
Je lui lavait longuement le sexe, je le caressais, tirais sur la peau et c'est un beau gland qui apparaissait, je le massais avec une forte quantité de savon. Je ne suis pas ridicule tout nu vous savez mais Ted il a une grosse queue, très grosse même. Il dépasse les vingt trois centimètre sur plus de cinq. Je ne vous dis pas à sucer, il faut savoir faire. Et justement je sais faire !
Il se retournait, avec mes mains je lui avait largement lavé le dos, maintenant je lui lavais et lui caressais le torse. Je revenais souvent à la queue, à ses couilles et je l'embrassais avec passion dans le dos, juste entre les omoplates. Vous savez là, ça chatouilles, et ça le faisait sursauter, il rigolait et quant il tournait la tête vers moi j'en profitais pour lui voler un baiser. ( Je vous dis que j'ai le droit , c'est mon doudou ! ).
Ma queue se relevait juste sous les couilles, je faisais de petits mouvement du bassin et je sentais ma queue glisser entre ses cuisses, il les refermaient, c'était comme un slow, une danse que nous exécutions avec lenteur, il gardait la tête tournée vers moi, nos lèvres étaient soudées l'une à l'autre, il avait relevé un bras et me caressait les cheveux.
Il se retournait et j'en faisais de même. C'est lui qui maintenant me lavait et me caressait le torse, je bandais et il me caressait les couilles et la bitte avec force. Il avait abondamment savonné et c'est avec beaucoup de force qu'il refermait sa main autour de ma queue. Il insistait sur mon gland et je tremblais, me saisissais, un peu comme des convulsions. De légères convulsions, je voulais retenir sa main avec la mienne mais il ne lâchait pas. Je gémissais de désir et déjà je sentais le plaisir arriver … Il arrêtait tout !
Je sentais sa queue glisser entre mes cuisses, elle est plus longue que la mienne et quand il avançait son bassin elle me soulevait les couilles. Je resserrais mes cuisses et m'appuyais contre le mur de la douche. Encore du savon et je la sentais bien glisser, mais c'est vrai qu'elle est bien plus large que la mienne aussi. Il reculait son bassin et sa queue se relevait contre mes fesses.
Il prenait un peu de recul et je le sentais passer son gland entre mes fesses, de haut en bas, il appuyait un peu au moment ou il arrivait à l'ouverture de mon petit cul et reprenait. Un doigt ou deux entraient dans mon cul, je gémissais en me disant … '' Il va m'enculer, oué, il va m'enculer '' … ( C'est mon doudou et si il veut, il a le droit ! )
De nouveau il glissait sa queue entre mes cuisses et me prenait dans ses bras. Mon cœur battait très fort, j'avais cru qu'il allait m'enculer … Mais c'est vrai qu'il sait faire monter le désir. Je bandais comme un fou, j'avais éjaculé, j'avais joui mais … J'étais prêt à … J'avais envie de recommencer ! Depuis dix minutes j'avais vraiment envie ( enfin dix minutes … On était déjà sous la douche depuis plus d'une demie heure ) .
Je ne me branlais pas, je ne me caressais pas les couilles, et la bitte pas plus … Je me concentrait sur son plaisir. Quand il appuyait son corps sur le mien je passais une main dans mon dos, pour le retenir, pour le caresser ou juste pour le toucher … Lui me laissait faire, il ne se stimulait pas, j'étais là pour ça. Mais il savait me procurer du plaisir, ses caresses, ses baisers, sa queue qui glissait entre mes cuisses, celle là je n'attendais que le moment ou il se déciderait à me l'enfoncer dans le cul. ( Et ça ne serait pas la première fois … Bein quoi ? C'est mon doudou ! )
Il avait envie de me faire languir … Il me retournait ver lui, je bandais et ma queue heurtait la sienne, il bandait aussi. Il me prenait dans ses bras, me donnait un gros câlin, arrêtait la douche.
Ted : Tu as trouvé quelqu'un sur la plage ?
Je faisais non de la tête.
Ted : Tu t'es branlé ?
Je faisais oui de la tête.
Ted : Il y a longtemps ?
Moi : Une heure.
Ted : Et tu veux recommencer ?
Je faisais oui de la tête.
Ted : Bien ...
LE DERNIER JOUR 3
On se séchait, chacun séchait l'autre … Surtout sans oublier de l'embrasser à chaque fois que l'opportunité se présentait c'est à dire à chaque instant. On se caressait aussi, je bandais toujours et mon doudou Ted bandait aussi. C'était beau à voir, il a une grosse bitte.
On passait dans la chambre, il me tendait un short léger, comme celui que je portais à la plage, il en enfilait un également. Le tissus était très léger, très fin et ne dissimulait pas notre érection.
Ted : On se calme, on passe à table, on se calme. Ne soit pas si pressé … C'est bon de savoir attendre un peu.
On préparait le repas, on était torse nue avec sur nous juste un short très fin. Je finissais par débander enfin en partie, en partie seulement je continuais à bander mou, j'avais toujours une grosse bitte bien molle, bien lourde qui se balançait à chacun de mes mouvement. Je gardais un œil sur mon doudou … C'est Ted mon doudou …
Il était dans le même état que moi et chaque fois qu'il me frôlait, il me donnait une douce caresse et quelquefois un baiser. Il savait faire monter le désir, j'en pouvais plus, je respirais déjà fort, mais je me contrôlait. Ted aime bien cette situation, il aime bien jouer avec la frustration, avec ma frustration. J'avais envie de bander, de le sucer, de me prendre sa queue dans la bouche et dans le cul. Il le sait l'animal, il le sait mais c'est lui le chef, c'est lui qui commande et il veut juste faire monter le désir encore plus. Je devais seulement me contrôler.
Il faut aussi reconnaître que j'aime bien ce genre de situation, c'est frustrant mais c'est jouissif. Et au moment ou on conclu, au moment ou on joui enfin, c'est … Terrible !
Cet animal ( là je parle de Ted ) prenait bien son temps, pour préparer le repas, pour mettre la table, pour me frôler, face à face je sentais sa queue qui touchait la mienne au travers du fin tissus. Il se contrôlait bien le bestiau ( là je parle toujours de Ted ) moi, j'avais du mal et il prenait un plaisir évident à voir tous mes efforts pour contrôler mon érection. Il se délectait de mes efforts et quand son torse touchait le mien il me donnait un baiser sur les lèvres ou dans le cou ou encore … là ou il avait envie … D'abord Ted il a le droit de m'embrasser ou il veut, c'est mon doudou !
On finissait par passer à table, son bras caressait souvent le mien, façon ... '' Ne bouge pas j’attrape le sel '', ou encore '' Je prends le pain, je ne te dérange pas ? ''.
Il savait faire monter le désir, Le bestiau, et à la fin du repas quand il m’autorisait enfin à le toucher, et plus seulement à le frôler mais vraiment le toucher, le caresser, je perdais le contrôle et bandais comme un fou, il en faisait de même en me prenant dans ses bras !
On se lâchait enfin, je le cramponnais dans mes bras, il en faisait de même. Je l'entraînait dans la chambre, le poussais sur le lit, il rigolait, je lui retirais son short, me jetais sur sa queue et la prenais dans la bouche. Il me caressait les cheveux, appuyait doucement sur ma tête et soulevait son bassin. Je sentais sa queue s'enfoncer au fond de ma gorge, par moment mon nez s'écrasait contre son ventre, j'appuyais alors mon visage, je sais qu'il aime bien quand je le suce comme ça.
C'est une position qu'on ne peut pas garder bien longtemps aux risques d'étouffer. Mais je sais qu'il aime ça et moi aussi j'aime bien, pas tous les jours mais de temps en temps. Et en plus ça lui fait plaisir …
Je relevais la tête, puis la baissais de nouveau, sa queue sortait de ma bouche puis entrait jusqu'au fond de ma gorge. Je l'entendais gémir, il avait posé ses deux mains de chaque côté de mon visage et suivait mon mouvement sans me contraindre, il ne me guidait pas, je savais parfaitement ou j'allais, il me suivais, c'est tout.
Je n'oubliais pas de lui caresser le torse avec mes deux mains libres, je remontais jusqu'à sa poitrine, ses tétons. Je lui pinçais doucement les tétons, il ne faut pas faire mal, et je sentais sa queue réagir à chaque fois.
Il gémissait de plaisir. Puis il me soulevait la tête …
Ted : C'est à moi maintenant !
Je ne comprenais pas tout de suite, il ne me suce pas d'habitude, notre relation est basée sur une situation actif-passif. Devinez qui est le passif … Eh, éh, éh … En un mot, je le suce il m'encule … C'est clair comme situation, non ?
Là, ce jour là, il me faisait signe de m'allonger sur le lit, il m'écartait les jambes, se plaçait juste entre mes genoux, me caressait les cuisses. Je bandais de plus en plus, ses mains remontaient tout en haut de mes cuisses, ses pouces se glissaient juste à la base de mon sexe. Il appuyait avec délicatesse et me soulevait mes couilles vers l'avant, il refermait ses mains, me massait les couilles juste avant de me masser la bitte. Ils baissait enfin son visage vers ma queue et la prenait tendrement dans la bouche.
J'étais tétanisé, ravis mais tétanisé ! C'est qu'il ne m'avait pas habitué à ça mon Ted ( Ted c'est mon doudou ! ). Il me le faisait bien de temps en temps mais en fait c'était assez rare. Très rare et vous allez comprendre pourquoi !
Je n'étais pas habitué mais je dois dire que je ne trouvais pas ça désagréable pour autant. J'aimerais bien qu'il me fasse ça plus souvent. Mais je sais que lui il n'aime pas vraiment, ce soir il avait envie de me faire plaisir et je devinais pourquoi. Il voulait sans doute me laisser un bon souvenir.
Il prenait ma queue dans sa bouche, je sentais sa langue qu'il passait sur le dessus de mon gland ou juste en dessous. Il fait ça bien, il devrait vraiment le faire plus souvent. Quand il relevait la tête, je tremblais de plaisir et j'avais le souffle fort, il me couvrait alors de baisers depuis le bas de mon ventre jusque sur les tétons qu'il mordillait avec douceur, je sentais ma queue réagir au contact de ses dents sur mes tétons.
LE DERNIER JOUR 4
J'avais la tête en feu, je voulais participer mais il me maintenait dans cette position, il me chevauchait, me caressait le torse, il me regardait droit dans les yeux avec un grand sourire. Il se penchait vers mon visage, m'embrassait …
Ted : Allez on change de position. Tu vas prendre le contrôle …
Il s'allongeait alors sur le dos, les jambes presque jointes.
Ted : Suce moi, maintenant c'est ton tour … Ou le mien, ça dépend comment on voit les choses.
Je ne faisais pas de manière pour m'exécuter, et pendant un long moment je lui massais la queue, je la suçais, je la prenais dans ma bouche. Il m'encourageait en me caressant doucement les cheveux.
Ted : Relève toi, pose un pied de chaque côté de moi et assieds toi la dessus !
La encore je m'exécutais. Il bandait ferme, il lubrifiait bien sa queue, me donnait ce qu'il fallait pour me lubrifier le cul … On y venait enfin, accroupi je prenais position, je sentais sa queue presser contre mon cul. J'avais comme l'impression que mon cul se contractait, un peu comme si par timidité il n'osait pas trop se dilater, pourtant je ne suis pas timide, en tous cas pas avec mon doudou … ( Mon doudou c'est Ted et il a une grosse queue ).
J'appuyais mon cul sur sa bitte, je sentais la résistance, c'est vrai qu'elle est grosse la queue à Ted. J'appuyais plus fort et brusquement je sentais mon cul se dilater, s'ouvrir brutalement. C'était un peu douloureux mais à peine. C'était bon, c'était une sensation que je connaissait bien et que j'aimais beaucoup. La sensation que mon anus allait se déchirer, que ça ne passerait pas, que … Mais je savais que ça passait, suivait une violente impression de se sentir rempli au moment ou son énorme queue s'enfonçait bien à fond.
En général à ce moment ou manque d'air, on souffle fort, on tremble. Je me sentais rempli, c'est toujours un petit moment de panique. Je me dis à chaque fois que c'est trop gros, trop long mais … C'est tellement bon !
Maintenant j'étais à genoux, les jambes repliées de chaque côté de son bassin, je me retenais un peu encore. Je ne m'appuyais pas complètement sur lui, sa queue n'entrait pas encore en entier … C'est que c'est un gros morceau !
Au début je bandais mais peu à peu je me calmais et ma queue se faisait plus petite, elle redevenait toute molle et reprenait sa taille normale. J'avais gardé une grosse molle depuis le début de cette soirée, maintenant j'avais une petite molle. La grosse dure c'est dans le cul que je l'avais …
Ted soulevait son bassin par intermittence, au début le mouvement était léger mais il devenait plus violent, plus ample, plus rapide. Maintenant quand il relevait son bassin sa queue entrait bien à fond et je la sentais passer. C'était intense, c'était intensément bon. J'avais l'impression que j'allais jouir, je ne bandais plus du tout mais j'avais envie d'éjaculer, rien ne venait.
Ses coups de bassin devenaient vraiment violent maintenant, quand il soulevait son bassin, par réflexe je me soulevais aussi. Il se soulevait de plus en plus haut et sans prévenir attrapait mes pieds et tirait mes chevilles sous ses épaules. Je retombais de tout mon poids sur sa queue, je râlais de plaisir, je gueulais de surprise, je gémissais aussi de douleur. C'était rentré en entier, bien à fond. Elle est énorme sa queue, et chaque fois ça me fait le même effet. Je le sentais rigoler, ça l'amuse toujours ce genre de situation … Il a su rester très simple mon doudou, un rien l'amuse.
Il relevait son torse et repliait ses jambes en tailleur, je refermais mes jambes dans son dos et me serrait très fort contre lui. Il commençait alors à se balancer sur ses fesses doucement mais avec régularité. A chacun de ses mouvements son énorme queue me massait la prostate en plus de me remplir le cul jusqu'à la gorge.
Je gémissais de plus en plus fort, je sentais monter un plaisir intense du fond de mon cul, un plaisir qui remplissait mon ventre, m'envahissait semblait vouloir faire exploser mes côtes pas l'intérieur, puis continuait dans chaque partie de mon corps, j'étais pris de convulsions mais là, c'étaient de vraies convulsion. On se caressait, on s'embrassait et au moment ou il jouissait en moi je l'ai senti trembler, convulser lui aussi.
Il se laissait alors retomber sur le dos, moi je ne bougeais pas, j'avais toujours sa queue bien enfoncée dans mon cul, mes jambes sous ses épaules, j'avais du mal à retrouver mon souffle. Peu à peu je me calmais, j'étais en sueur, lui aussi. Je ne bandais plus du tout, lui il bandait toujours ça je peux vous le garantir, je sentais toujours sa queue qui se contractait par moment dans mon cul.
Il reprenait son souffle. Tendait le bras et attrapait dans le tiroir de la table de nuit une petite boite que je ne reconnaissais pas. Il la posait sur son ventre, je sentais sa queue se contracter, ou alors c'était mon anus qui réagissait.
Ted : Vas-y, je te regarde …
Je sortais de la boite un cock-ring, je regardais Ted bien droit dans les yeux. D'un geste j'y passais une couille, en douceur c'est une zone sensible … Je tirais sur la peau et mon testicule s'installait confortablement, je continuais à tirer doucement sur la peau et je faisait rouler le second testicule au travers de l'anneau … Oups, là on le sens passer, c'est pas que ça fait mal mais ça fait toujours un peu bizarre au moment ou le testicule passe, il y a juste la place qu'il faut.
Pour la suite il ne faut surtout pas bander sinon à ne marche pas. Donc là on a les deux couilles passées dans le cock-ring, il faut maintenant y glisser la bitte … On appuie, on pousse sur la peau, de l'autre côté on tire un peu. Ça fait un peu gymnastique je sais … Pour finir je me retrouvais avec le cock-ring bien en position à la base de mon sexe.
Je ne bandais toujours pas, avec ce gros bazar dans le cul je me sentais calmé. Lui il ne débandait toujours pas.
Il prenait alors dans la boite l'autre partie du dispositif. La cage de chasteté … L'objet était très beau, il était à ma taille, je l'admirait un moment, c'était la première fois que je le voyais. Vous connaissez peut être … Il est argenté, gris argenté, très lisse, sur le dessus on peut lire les lettres '' C PK C '' . Il est fait en titane, totalement inaltérable, aéré, on peut le garder en permanence.
Vous ne connaissez pas ? C'est la Purity Keeper Compagnie qui produit ces trucs, c'est une nouvelle mode, il font de la pub partout dans la presse. C'est pas donné ce genre de truc, mais c'est mon doudou qui me l'a payé. Comme je vous disais notre relation est du genre … ' Je le suce, il m'encule ' …
Je glissais ma queue dans la cage, j’enclenchais la cage sur le cock-ring, j'entendais un petit clic. Ted posait dans le petit trou au dessus du dispositif le cadenas, c'est gros comme une pièce de monnaie de cinq centimes sur environ six millimètres d'épaisseur. J'appuyais dessus, un nouveau petit clic …
J'étais verrouillé dans mon dispositif PK pour toute la saison froide.
Ted : Ça y est tu es prêt pour l'Ocktober !
Moi : L'Ocktober, c'est dans deux semaines !
Ted : Bon d'accord on est en avance mais de toutes façons on va jouer les prolongations … Non ?
Moi : Jusqu'à quand ?
Ted : Tout l'hiver, tout l'automne, tout le printemps … Tu ne le retireras que la prochaine fois que tu iras à la plage …
Je ne répondais pas, je baissais les yeux vers mon dispositif, un peu résigné mais c'est ce qui était prévu …
LE PREMIER JOUR 01
Un an plus tôt, juste un an plus tôt, on avait eu le même temps, une température plus que douce, il avait fait beau et chaud. Je m'étais rendu à la plage, comme je le fais à chaque fois qu'il fait beau et que je suis libre en été.
Quelquefois j'y fais des rencontres. Il faut reconnaître que c'est un endroit propice, au moins à la plage on voit à quel genre de Monsieur on à affaire … Surtout que moi je vais dans une plage naturiste et puis, quand je dis Monsieur c'est uniquement parce que les Madames ne m'intéressent pas.
Je l'ai tout de suite repéré.
Il avait fier allure, il avait une grosse bitte !
Sa démarche montrait une assurance de mâle, et il avait une grosse bitte qui se balançait lourdement devant lui à chaque pas !
Il était grand, sa queue semblait ne plus finir !
Il était musclé, il devait bien faire dans les cinq centimètre de large !
Il était beau, je ne pouvais plus détaché mon regard de sa queue !
Ses muscles étaient bien dessinés mais … En fait ce premier après midi j'ai pas vu s'il était musclé, grand ou encore … Je n'ai vu que sa queue ! C'était du lourd et moi j'aime bien. Je ne savais même pas s'il m'avais remarqué ce jour là.
Mais le lendemain je m'installais dans un endroit d’où je pourrais le voir mieux et ou on pourrait me voir. Il était là, comme la veille. Ce second jour, j'observais un peu plus le reste du bonhomme. Il avait une bonne tête, bien carrée mais pas exagérément, il avait aussi un visage doux. Il avait les yeux marron. Ses cheveux brun étaient courts. Il était de très belle carrure, les épaules étaient larges, les bras musclés, je rêvais déjà de m'y blottir. Il avait de belles cuisses et sans être monsieur muscle, il était bien proportionné et on voyait bien dessinés quelques muscles sur son torse et son ventre. Une belle fourrure recouvrait tout ça, une belle grosse bitte qui se balançait lourdement et vous avez là l'homme idéal !
Il ne m'en fallait pas plus pour être amoureux !
Ce jour là il me remarquait, je suis plutôt mignon c'est normal. Ou alors c'est parce que je ne le lâchait pas du regard. Je le voyais sourire, il jetais un œil vers moi puis se caressait la queue. Je la voyais grossir.
Il se contrôlait et même s'il ne bandait par très dur, sa queue prenait déjà de la place. Je salivais d'envie. Il s'allongeait sur le côté, dans ma direction, et je voyais sa queue retomber au point de toucher sa serviette, il semblait alors m'oublier, il lisait un moment.
Un peu plus tard il se relevait brusquement, sa queue se balançait, c'était vraiment beau à voir, là je bavais d'envie! D'un pas assuré il se dirigeait vers l'eau, tranquillement tout en se dandinant de la queue il venait à passer près de moi … '' Salut, tu devrais de baigner, j'y suis allé tout à l'heure, elle est bonne ! ''.
C'est à moi qu'il avait parlé ?
Je me levais et lui emboîtais le pas, un peu comme un zombi. Mais moi j'étais moins discret, moi je bandais. Ceci dit, je ne sais pas si j'étais vraiment moins discret, je suis bien monté mais ça n'a rien à voir avec lui, lui c'est un monstre, un géant, lui c'est pas normal ça. Personne n'est aussi bien foutu que ça ! Je ne sais pas si en fait même si je bandais, finalement, je n'étais pas plus discret que lui malgré tout.
On se retrouvait dans l'eau.
Vous connaissez son nom je parle de lui dans mon texte précédent, '' le dernier jour ''. C'est Ted, Teddy pour les intimes, ou alors c'est le contraire …
Ted : C'est impressionnant ?
Moi : Oh oui très impressionnant ! Je ne lâchais pas des yeux son énorme pénis.
Ted : Je trouve aussi …
Moi : Et moi donc …
Ted : Il fait beau ?
Moi : Oui c'est vraiment très beau !
Ted : Je parlais du temps !
Moi : Oh pardon … Moi je … ( je relevais la tête, voyais son visage et me noyais dans ses yeux )
Ça y était j'étais amoureux ! Il était beau, il était beau de partout !
Il éclatait de rire.
Ted : C'est pas du temps que tu parlais toi ?
Moi : Euh … Non …
Ted : Ça te tente ? ( en montrant sa queue d'une main )
Moi : Ouai … Tu parles ! Ouai ! Ah que ouai !
Ted : Pas peur ?
Moi : Moi ! Même pas peur !
Ted : Je te préviens je suis actif, exclusivement actif !
Là je ne répondais rien mais je ne le lâchais pas des yeux. Quand on remontait sur la plage, il m'invitait à venir m'installer à côté de lui.
On terminait l'après midi à discuter, il me laissait le toucher, il me montrait une érection, j'y tâtais. Elle n'était pas seulement bien grosse, elle était aussi bien dure. Au retour de la plage il me suivait chez moi, on n'avait plus de temps à perdre l'été prenait fin.
J'avais à peine fermé la porte qu'il m'attrapait le bras, me tirait vers lui, me prenait dans ses bras et m'embrassait.
Ted : Tu sais, c'est pas facile de trouver quelqu'un qui est capable de l'encaisser, elle est bien grosse. Tu es plutôt mignon et toi, si tu en es capable tu pourrait bien devenir mon favori !
Il savait comment me parler. Je tombais à ses pieds, à genoux. J'ouvrais aussitôt son pantalon, j'en sortais sa queue, elle était au repos mais même au repos elle était de très belle taille. Il était circoncis, je prenais son gland dans ma bouche et aspirait. Rapidement il prenait du volume, rapidement j'avais la bouche pleine, je passais ma langue sur son gland et ses réactions me disaient que ça lui plaisait. Il me caressait les cheveux.
J'essayais d'en prendre le plus possible dans la bouche, déjà son gland bloquait à l'entrée de ma gorge et je ne devais avoir qu'un tout petit bout de sa queue dans la bouche. Enfin c'est l'impression que j'avais. Mais les soupirs que poussait Ted me confirmaient que tout allait bien pour lui. Il était viril, mais à ce moment je pouvais voir qu'il était également très doux, il me caressait les cheveux sans tenter de me prendre de force. Il devait savoir que de toutes façons ça ne rentrerait pas en entier.
Ted : Tu crois que dans le cul ça va rentrer ?
Je retirais ma tête et lui répondais … '' Il n'y a qu'un moyen de le savoir … ''. En quelques secondes il avait retiré tous ses vêtements, j'en faisais de même. On était encore dans l'entrée, je l'entraînait dans un endroit plus confortable. Dans la véranda, il y fait chaud et il y a des fauteuils, il me suivait sans résister. Je prenais du gel lubrifiant, là il en faudrait … Là c'est lui qui prenait en main les opérations. Il me tirait vers lui, me retournait mon dos contre lui. Sa queue se glissait entre mes cuisses, il me tirait et se collait à lui. Je bandais mais à sa queue que je pensais, il est un peu plus grand que moi et il m'embrassait dans le cou.
Ted : Penche toi en avant.
Je m'appuyais sur les accoudoirs d'un fauteuil, je le sentais me lubrifier le cul, il m'introduisait un doigt et l'agitait. Suivait un second doigt ou deux peut être, je ne sais pas mais c'était large. Je respirais fort mais je le laissais faire. Je ne vous cacherais pas que j'avais un peu peur quand même … '' Même pas peur '' … C'était pour la frime, il faisait cinq bons centimètre de large et plus de vingt de long. Mais il y allait doucement, il savait qu'il pouvait blesser. Ou alors c'était à ce moment là que son partenaire se dégageait sous l'effet de la douleur, le laissant sur sa faim.
Il posait l'extrémité de sa queue juste sur ma rondelle, je me détendais dans ma tête, je respirais bien à fond et je me détendais dans mon corps. Je sentais une pression de dingue contre mon cul. Je respirais bien à fond, je sentais mon anus se dilater, je me détendais et essayais de ne pas résister.
Brusquement je sentais mon cul s'ouvrir, ce n'était pas sans une certaine douleur mais ce n'était pas non plus sans un certain plaisir. Je gémissais. Là je vous jure j'ai vu des étoiles !
J'avais le souffle coupé, mon anus sur le point de se déchirer et je sentais quelque chose d'énorme entrer, s'enfoncer en moi. Cette sensation était terriblement agréable, je me sentais rempli, je sentais mes entrailles se faire remplir et j'aime ça. Toujours cette impression que mon cul allait se déchirer.
Ted me serrais contre lui, me caressait tout le corps, sauf ma bitte et mes couilles qu'il évitait, mais à part ça tout le reste y passait. Son ventre s'écrasait contre mes fesses. Ses bras m'entouraient avec force et douceur.
Je tentais d'ouvrir la bouche pour crier peut être, pour hurler mon plaisir … Aucun son ne sortait de ma bouche. Il se retirait puis revenait, toujours avec des mouvements amples et lents, il savait qu'il pouvait blesser et y allait doucement.
Sur la plage, on s'était touché, on s'était frôlé, on s'était un peu caressé, on s'était bien échauffé la cervelle et Ted ne tardait pas à jouir dans mon cul. J'ai bien apprécié que ça ne dure pas trop longtemps, je ne vous dis pas … Il fallait pouvoir se la prendre dans le cul celle là. J'ai bien aimé aussi quand il s'est retiré.
Un long filet de sperme coulait sans fin de ma queue qui avait déjà repris une taille plus modeste, je n'y avait pas fait attention mais j'avais débandé depuis un long moment !
LE PREMIER JOUR 2
On est resté encore un long moment comme ça, sans bouger. J'avais la tête en feu et le cul … Je ne vous dis pas ! Je sentais mon cul totalement dilaté, c'était une sensation très agréable, maintenant c'était très agréable. Quelques instants plus tôt j'étais à la limite de la panique. Maintenant je me sentais bien, j'avais joui avec sa bitte dans le cul sans juter puis j'avais juté sans jouir quand il s'était retiré. J'avais ses bras autour de moi. J'avais ses lèvres qui m'embrassaient partout ou elle pouvaient se poser. J'avais … Je me sentais comblé. J'étais bien !
Le temps de récupérer, je l'entraînais sous la douche. Sa peau était salée et rugueuse, elle devenait douce et lisse. Je le lavais, il en faisait de même. Je le shampooinais, il en faisait de même. On hurlait pour ne pas se mettre de savon dans les yeux, on riait, on se chatouillait, on se caressait, on s'embrassait, on bandait. De nouveau j'étais bien, dans ses bras, sa queue impressionnant se relevait entre mes cuisses, moi je ne bandais pas, là je ne bandais plus. Je sentais toujours mon cul dilaté, j'avais toujours cette impression d'avoir un gros truc dans le cul. Je m'abandonnais dans ses bras, j'étais bien !
On s'installait sur un sofa, toujours dans la véranda, je me blottissais dans ses bras, de la main il me caressais avec tendresse, je lui caressais le bras. Par moment il passait une main sur mon sexe, il le prenait alors à pleine main, refermait sa main dessus, sans me faire mal ce n'était pas le but, puis il lâchait tout. Si je venais à bander, il n'insistait pas.
Ted : Tu sais, je suis actif, exclusivement actif !
Moi : J'ai vu que tu étais actif !
Ted : Ça te dérange pas ? Tu ne m'enculeras jamais !
Moi : Non ! Moi je suis passif, je suis surtout passif !
Ted : Cool !
…
Ted : C'est ton cul qui m'intéresse tu sais !
Moi : Au moins c'est franc !
Ted : Et tu m'as impressionné, je ne trouve pas souvent des mecs qui sont capable d'encaisser comme tu l'as fait !
Moi : Avec toi c'est sûr … C'est du lourd, genre démonte pneu !
Ted : De camion !
Je rigolais. Il m'agrippais mon sexe, et me serrait fort.
Moi : Doucement là !
Il n'en tenait pas compte et continuait à me serrer fort tout en m'embrasant. Je supportais, il me faisait un peu mal mais je supportais, j'y prenais presque un peu de plaisir, en fait, j'y prenais du plaisir.
Il me lâchait, m’allongeait sur le dos et me chevauchait, je bandais.
Ted : Tu vois c'est ça que j'aime pas trop …
En disant cela il me tripotait la bitte et les couilles.
Moi : Ça ?
Ted : Bein oui, tu bandes.
Moi : Mais c'est parce que tu m’excites
Ted : Oui mais moi je préfère les mec … soumis … Le mâle c'est moi !
Moi : Et tu n'aimes pas que le mec que tu encules bande ?
Ted : Non !
Moi : Tu as peur de la concurrence ?
Ted : C'est pas ça ! Non mais … Un mec avec une grosse bitte ça suffit, et c'est moi qui ai la grosse bitte !
Moi : Oui, mais j'en ai une aussi moi ! Et on ne va pas l'enlever !
Ted : Ah non tu ne serais plus un mec, et moi j'aime les mecs uniquement !
Moi : T'es pas un peu compliqué dans ta tête toi ?
Je lui caressais la bitte, il bandait de nouveau, j'avais du mal à y croire. Un truc de cette taille, j'en avais déjà eu dans la main mais à chaque fois c'était en plastique …
Il me regardait avec des yeux farceurs. Je me disais : '' Qu'est ce qu'il va me sortir comme conneries là … '' . Finalement il se penchait et attrapait son sac de plage. Il fouillait dedans et en sortait un maillot de bains de petite taille.
Je me disais : '' C'est pas sa taille ça ou alors c'est un de ces truc qui ne couvre presque rien … Ça doit être marrant à porter ce truc . ''.
Ted : Tu veux pas l'essayer ?
Il me laissait me relever, je regardais le truc. C'était un jock-strap, vous savez c'est sous vêtements entièrement ouverts sur les fesses. Devant ça maintient bien tout le matos mais au niveau des fesses c'est grand ouvert, je me disais qu'il devait être sexy avec ça sur lui.
Je devinais rapidement que ce n'était pas sa taille, mais ce truc était très élastique. J'avais du mal à y glisser ma queue, je bandais mais c'était amusant, finalement on était à l'aise avec ce truc sur soi. Je dis '' On '', oui, je sais je devrais dire '' Je '' mais c'est vrai qu'il avait l'air à l'aise avec ce truc sur moi … Lol !
Il bandait ferme de nouveau à ce moment. C'était moi qui lui faisait cet effet ? Si c'est le cas, je ne ne porte plus que ce genre de sous vêtements là c'est sûr. Il me tirait vers lui en attrapant ma main. Il se relevait et je me retrouvais de nouveau dans ses bras. Ma queue ne voulait pas rester dans ce sous vêtement, en le mettant quand on ne bande pas ça devait marcher mais là je l'avais mis et je bandais déjà avant.
Il me serrait fort contre lui, il me glissait à l'oreille …
Ted : Tu penses qu'on peut remettre ça ?
Moi : Je ne sais pas !
A cet instant je sentais ma queue se contracter encore plus, elle dépassait bien droite, bien raide de mon jock-strap. Ouai je suppose que si je le met quand je ne bande pas, ce truc bien ajusté devrait retenir l'érection. Il faudra que j'essaye.
En attendant je lui rendais chacun de ses baisers et je frémissais déjà de désir et un peu aussi de crainte. Je l'avais senti passer tout à l'heure, j'avais eu des moments de panique et si je me sentais bien là, je sentais aussi mon cul se contracte, se dilater puis se contracter de nouveau … Je sentais la panique me reprendre.
Dans ses bras j'étais un pantin, il me retournais en me guidant par les épaules, je suivais le mouvement, résigné … Je me penchais en avant, je m'appuyais de nouveau sur mon fauteuil. Je respirait bien à fond, bien lentement et de nouveau je me détendait dans ma tête …
Le le sentais me lubrifier le cul, tout de suite il y allait fort, il y glissait deux doigts puis presque aussitôt un troisième. C'était bon, c'était super bon. Jusque là pas de panique …
Quelques instants plus tard je sentais sa queue qui frappait à la porte, sont gland appuyait sur mon cul, je savais qu'il ne resterait pas dehors bien longtemps. En effet il poussait pour entrer, mon cul se dilatait rapidement cette fois, ce n'était pas douloureux mais c'était intense, je sentais le muscle se dilater, se distendre et la panique revenait dans ma tête, je tremblais.
De nouveau j'avais l'impression que mon anus allait se déchirer et une masse énorme m'envahissait le ventre, j'allais exploser sous la pression interne. Je sentais sa queue glisser contre l'ouverture distendue de mon cul, c'était pas le moment de serrer les fesses. Il venait de commencer, il ne devait pas être bien profond mais c'était déjà énorme et je sentais alors son ventre s'écraser contre mes fesses.
La vache ! Il était à fond, là je comprenais mieux pourquoi la sensation était si forte. Pas de douleur, mais c'était tout de même la panique dans ma tête … Dans ma tête et dans mon ventre aussi … Dans mon ventre et dans mon cul.
Il se retirait doucement, je hurlais de plaisir. Il ressortait presque … En fait je ne sais pas, ça c'est ce que je ressentais, mais je ne savais pas vraiment ce qui se passait. Sa queue devait être ressortie, je ne la sentais plus dans mon cul. Il passait un bras autour de mon cou, me tirait vers lui, il m'embrassait dans le haut de mon dos, sur l'épaule, il me pinçais doucement le téton, je relevais la tête et la tournais vers lui, on s'embrassait sur la bouche. Sa queue s'enfonçait de nouveau bien à fond, en fait elle n'était pas entièrement ressortie. Il me bâillonnait avec ses lèvres. Je convulsais, j'étais pris de de tremblement, déjà je jouissais comme un fou, comme jamais !
Quand nos lèvres se séparaient, je gémissait, je gueulais, je crisais, j'étais en larmes, je tremblais, je me cramponnais. Son ventre frappait mes fesses, cette fois ci il ne se contentait pas de les toucher avec douceur, il les frappait mais toujours avec douceur … Je m'effondrais sur le fauteuil ! Ted est musclé il me retenait fermement par le bassin. Il se retirait de nouveau.
Je devinais qu'il devait lubrifier de nouveau. J'avais la tête dans le fauteuil, j'avais le souffle court, je tremblais toujours et ne parvenais pas à me contrôler. Ted glissait ses deux mains entre mes cuisses, par devant moi, juste à la base de mon sexe, je sentais ses mains se refermer, il me tirait ensuite vers lui, le mouvement était plus rapide et sa queue glissait sans résistance jusqu'au fond de mon gros intestin. Je hurlais de plaisir. C'était la panique dans ma tête, c'était le délire dans mon cul et dans mon corps, dans chaque partie de mon corps, depuis les orteils jusqu'au cheveux, c'était l'extase.
Je jouissais, je gueulais … '' Encore ! '' … '' Oui c'est bon !'' … '' Vas y défonce moi le cul '' ...
LE PREMIER JOUR 3
J'avais joui comme jamais, mais ce qui est marrant c'est qu'avec un truc aussi gros dans mon cul, je ne jutais pas. J'avais l'impression d'éjaculer mais rien ne venait. C'est seulement au moment ou il se retirait que je jutais mais la je ne jouissais pas, je jutais seulement. C'est aussi à ce moment que ce bien être envahissait tout mon corps, pas parce que je jutais mais parce qu'il se retirait.
Un grand vide suivait, un grand bien être aussi. Je m'effondrais sur le sofa, je ne bougeais plus, je tremblais pourtant il faisait chaud.
Ted était alors pris d'un élan de tendresse, il me caressait doucement le dos, les épaules, les fesses mais là il savait rester très sage. Je récupérais, je reprenais mon souffle. Au bout d'un moment je me retournais sur le dos. Il continuait à me caresser.
Il glissait une main dans mon jock-strap, je ne bandais plus, il remettais ma queue bien place, comme elle devait être. Toute molle, toute docile, elle ne résistait pas et formait une bosse régulière.
Ted : Voilà ! C'est comme ça que ça doit être !
Je baissais les yeux, je souriais, j'étais amusé par la situation. Je passais ma main sur mon sexe, la queue en position repos était rabattue vers le bas, sur les couilles. C'est vrai que le jock-strap qu'il m'avait donné était bien serré, un tissus très élastique. Il n'y a pas que le plastique qui est fantastique, le lycra aussi c'est génial. C'était finalement très confortable...
Ted : Tu … Ça te dérange pas de le porter à chaque fois qu'on se retrouve ?
…
Ted : On se reverra j'espère !
Je faisais oui de la tête. On restait encore un long moment à se toucher, se caresser, se sourire … Bein oui après une baise virile à faire peur on partageait enfin un moment de grande tendresse, un câlin, un peu de romantisme dans un monde de brutes !
Ted : Tu verras, si tu le met bien comme il faut quand tu ne bandes pas encore, tu verras, ça contient bien l'érection. J'aime bien moi comme ça !
Moi : Cool !
Pendant un long moment on ne bougeait pas, on se regardait dans les yeux. J'aime bien son côté nounours, j'ai une belle fourrure moi aussi. Il finissait par se relever brusquement, je sursautais.
Ted : On bouge, je t'invite à manger quelque chose quelque part !
On s'habillait rapidement, Ted est d'un naturel prévoyant il a tout ce qu'il faut pas s'habiller dans sa voiture. Il ne nous fallait pas bien longtemps pour être prêt à sortir.
Dans ces villes au bord de la mer il y a toujours un port, un remblais ou une promenade qui surplombe une plage. Des crêperies, des restaurants, des pizzerias … On choisissait finalement une pizzeria … Une bouteille de vin italien plus tard … On était devenu un couple.
Ted, je l'avais trouvé beau comme un dieu à poil et je l'appréciais autant bien habillé, sa chemise ne cachait pas sa poitrine poilue, sa veste légère ne cachait pas sa carrure, son pantalon de toile légère ne cachait pas … Ouai, on devinait facilement qu'il y avait du monde là !
Je bandais mais il avait raison, son truc retenait bien les érections, rien ne dépassait, mais si je passais ma main sur ma braguette je sentais que c'était bien dur, je bandais, je me sentais bien …
Peu à peu dans la soirée, le ciel s'était couvert, on ne voyait plus les étoiles mais la températures restait douce. Ted me ramenait chez moi. Dans la voiture, avant de le quitter, on se faisait un dernier câlin, je ne résistais pas à l'envie de le peloter un peu et pressais doucement sur son sexe à travers son pantalon. Il en faisait de même.
Ted : Tu vois, ça contient bien l'érection mon truc !
En effet je bandais, mais ça c'était à cause de Ted ! Depuis ce jour il m'a toujours fait cet effet !
Je me couchais, je me sentais bien, un peu seul dans mon grand lit mais bien. J'avais toujours l'impression d'avoir quelque chose de gros et de doux dans mon cul, c'était bon. Je bandais ferme, bein oui je ne vais pas dormir avec le jock-strap, je dors toujours à poil moi. Brusquement je me redressais dans mon lit …
'' Mais je ne sais pas ou il habite moi Ted, j'ai pas son téléphone, je ne connais même pas son nom … ''
'' C'est pas grave, je lui demanderai demain à la plage ! … ''
Je me rendormais.
Le lendemain il pleuvait, le ciel s'était couvert pendant la nuit, il pleuvait à verse. J'allais tout de même à la plage, pas pour me faire bronzer, pas pour me baigner non plus. Il n'y avait personne, le parking était presque vide, sa voiture n'était pas là. J'ai passé l'après midi à me morfondre. J'avais mis le jock-strap … Au cas ou ! Je me promenais un long moment, j'espérais apercevoir Ted à chaque instant mais … Rien !
Le jour suivant, la température avait chuté, il faisait presque froid et il y avait de l'orage. Je passais à la plage, mais le parking était totalement vide, je n'insistais pas.
Plusieurs jours avaient passé, l'automne s'annonçait et le soleil semblait ne plus vouloir revenir. Le jock-strap que je portais me rappelait cette dernière rencontre à la plage, les vacances allaient se terminer, j'avais rencontré Ted un week-end et la semaine suivante allait se terminer. On sonnait à la porte. C'était Ted !
C'est avec un grand sourire que je l'accueillais. Il était bien habillé, comme pour sortir. Je lui offrais un verre.
Ted : Ça va toi ?
Moi : Et toi ?
Ted : Ça va !
Moi : Moi aussi ça va !
…
Ted : Tu as fait quoi cette semaine ?
Moi : Rien il ne faisait pas beau … Et toi ?
Imperceptiblement on s'était rapproché l'un de l'autre.
Ted : J'ai travaillé, j'étais en déplacement !
Moi : Tu as pensé à moi ?
Il m'attrapait les couilles au travers de mon pantalon.
Ted : Tout le temps ! Tu portes toujours le truc que je t'ai donné ?
Moi : C'est très confortable !
Ted : Fais voir !
Je me déshabillais entièrement, il me regardait, ce truc c'est pas mal, c'est confortable et ça contient bien l'érection, j'avais une belle bosse, très élégante, tout a fait à son goût, je bandais mais ma queue ne se relevait pas. Il baissait son pantalon et la sienne se relevait tout de suite.
Je me penchais dessus sans attendre et lui suçais le gland, il est gros mais j'aime bien ça moi les grosse queue, je parvenais à prendre la moitié de sa bitte dans la bouche au moment ou il retirait sa chemise. Il se relevait alors pour retirer le reste de ses vêtements. Je reprenais …
Avec douceur il me caressait les cheveux, il ne me forçais pas à avaler sa queue en entier, j'aime bien ça chez Ted, il sait que ça ne rentre pas en entier. Il me laissait faire et il en profitait.
Au bout d'un long moment il me disait simplement : '' Retourne toi je vais t'enculer !'' . Il est directe, et au moins on sait ce qu'il veut. J'aime bien ça chez Ted !
Je prenais position un peu la boule au ventre, il est trop bien monté, je sais qu'il peut faire mal si il veut, il peut même faire très mal. Mais Ted il est aussi très doux, il me préparait le cul comme il convient avant de s'introduire doucement. Toujours cette impression que mon ventre va exploser, cette dilatation à l’extrême de ma rondelle, il prenait son temps mais il prenait aussi position … Bien à fond, son ventre écrasé contre mes fesses.
Cette fois ci il me serrait dans ses bras en me caressant partout. Il ne se privait pas de me tâter la bitte et les couilles au travers du jock-strap. Au début la bosse était un peu molle mais elle durcissait, ma queue pressait contre le tissus, elle voulait se redresser avec de plus en plus de force mais le vêtement est solide, et ses efforts ne servaient à rien. J'avais une bosse au niveau de l'entre jambe, une belle bosse mais rien de plus. Ted s'amusait à me la tripoter avec fermeté, avec force, il me la cramponnait bien et tout en me limant le cul, il serrait bien fort ma bitte et mes couilles dans sa main. C'était à la limite de la douleur, mais c'était tellement bon.
Mon cul allait exploser, mon anus se déchirer, et mon sexe était écrasé dans sa main. Je jouissais, toujours sans juter mais je jouissais. Il finissait aussi par jouir dans mon cul, là je l'ai senti passé, il a eu un réflexe très violent, et comme vous le savez il peut faire mal. Là il m'a fait mal ! Il s'est retiré et c'est alors que j'ai juté, mon sperme suintait à travers le tissus. Son sperme coulait de mon anus.
LES JOURS SUIVANTS 1
On passait le week-end ensemble, on ne se lâchait pas. Sa queue, j'y ai eu droit deux fois par jours. Je ne vous dis pas ces deux jours ont été intense. Le premier soir, le vendredi, on est sorti. Tout d'abord il m'est rentré dans le cul comme je vous racontais juste avant, ensuite on est sorti. On est rentré tard, juste le temps de se faire un câlin, juste un câlin. Il avait l'air fatigué de sa semaine, je n'ai pas insisté, je savais que j'avais Ted pour moi tout seul pour encore deux jours.
Je l'ai regardé dormir un long moment, j'étais tout excité et je ne pouvais pas dormir mais lui il s'est endormi en quelques instants. J'avais retiré mon jock-strap, comme je vous disais je dors à poil. Je finissais pas m'allonger à côté de Ted, il se retournait vers moi et passait un bras sur moi. Il ne s'était pas réveillé. J'étais bien.
Le lendemain matin ce sont ses caresses qui me réveillaient.
Ted : Tu n'as pas gardé ton jock-strap …
Moi : Je dors toujours à poil.
Ted : Grrrrr !
Il m'embrassait tendrement et en même temps il roulait sur moi, il m'écrasait de tout son poids … Ce contact à la fois doux, lourd et virile me faisait bander immédiatement. Lui il bandait déjà.
Ted : Tu auras droit à un gage !
Moi : Moi ?
Ted : Oui, je vais t'enculer !
Moi : Ça c'est ce que j'appelle un gage moi !
Sans attendre plus longtemps, il posait mes chevilles sur ses épaules. C'est une position que je connais bien et que j'aime tout particulièrement mais personne ne m'a jamais pris avec une bitte comme celle de Ted dans cette position.
Il me repliait les jambes sur moi, mes genoux se retrouvaient contre mon torse, les jambes étaient presque jointe, le cul bien ouvert, bien offert même. Ted lubrifiait abondamment, je savais par expérience que dans cette position ça rentre toujours bien à fond, on le sent bien. Avec une telle bitte, j'avais un peu peur et dans mon cœur je sentais une panique qui naissait. Il prenait position, sa queue bien en forme il la posait sur ma rondelle qui paniquait à sont tour pour finalement avec douceur pousser sa queue qui rentrait lentement, doucement mais avec force en un mouvement jusqu'à la garde.
Je hurlais, j'ai encore vu des étoiles, il y allait doucement, lentement mais il y allait en un seul mouvement, presque sans préliminaires … De nouveau je paniquait dans ma tête, de nouveau j'avais peur que ça déchire mais tout se passait bien. C'était intense mais ça passait. De tout son poids il appuyait son bassin sur mon cul. De tout son poids il poussait contre mes fesses, sa queue bien enfoncée qui m'écrasait la prostate. Un plaisir me submergeait.
Je tremblais, je laissait tomber ma tête sur l’oreiller, je me cramponnais à ses bras, à ses épaules. Il écartait mes jambes et se penchait sur moi pour m'embrasser, il le faisait avec passion, je le retenais contre moi, mes mains autour de son cou. Il soulevait son bassin, sa queue ressortait puis il s'appuyait de nouveau et sa queue s'enfonçait. Je hurlais, c'était de plaisir, un plaisir intense, un plaisir de fou et un peu de panique également. Au moment ou son bassin s'appuyait de nouveau sur mes fesses ma prostate hurlait, mon anus allait exploser, c'était trop. Là je ne pouvais plus, je tentais de me dégager mais dans cette position je n'avais pas d'appuis pour le repousser et il était trop lourd.
Il se retirait, d'un mouvement plus rapide cette fois ci, je reprenais mon souffle, une nouvelle dose de lubrifiant, je redoutais la suite, il enfonçait alors sa queue d'un mouvement rapide bien à fond. De nouveau je hurlais. En s'appuyant sur mes jambes il se relevait, comme s'il faisait des pompes, puis se laissait retomber, sa queue me limait le cul.
J'étais un peu coincé, mais je n'avais pas l'intention de me dégager. Mon cul s'habituait à ce mouvement, à la violence de ce mouvement. Les sensation restaient particulières et le plaisir de plus en plus fort. Je respirais fort, à chaque fois que sa bitte s'écrasait sur ma prostate j'avais envie que tout s'arrête, qu'il se retire. Mais à chaque fois que sa queue se retirait je voulais le retenir, je voulais que de nouveau il s'enfonce bien à fond. Je jouissais mais là ce n'était pas seulement un instant de plaisir, mais un plaisir qui montait, montait et ne redescendait pas. C'est tout mon corps qui jouissait pendant de longues minutes.
Quelques violent coups de reins de la part de Ted me ramenait sur terre avec douleur. Il éjaculait dans mon cul et lâchait quelques mouvements non contrôlés très douloureux pour moi, à cause de la taille de son machin, la taille XXL !
Il se retirait, j'allongeais mes jambes. Je jutais à n'en plus finir, je ne bandais plus mais je jutais. Je l'avais bien senti passer le dernier coup de rein, là j'avais un peu mal au cul. Ted redevenait alors très doux, très tendre, il me caressait tout le corps avec la main. Tout le corps sauf mes couilles et ma bitte, au début je tremblais, me contractait d'une manière incontrôlable à chacun de ses contactes. Un peu plus tard je me détendais et ma respiration redevenait normale. Mon cœur battait fort pendant encore un long moment.
Ted s'allongeait à côté de moi et nous partagions un long moment de tendresse et de douceur. J'aime bien ça chez Ted moi ! Il me plaisait de plus en plus ce garçon.
On venait de passer la mie Septembre et l'automne était bien là. Depuis quelques temps je m'amusais à découvrir de nouvelles sensations grâce à une sorte de cage à bitte … Vous avez sans doute entendu parler des ces nouveaux dispositifs de chasteté masculine produits par la société PK, ça coûte une petite fortune vous savez. Je n'osais pas investir dans un truc pareil à cause du prix aussi j'avais fabriqué un dispositif maison en PVC. Bein oui je suis bricoleur, ça aide. J'ai aussi fabriqué tous les meubles que j'ai chez moi … C'est tout dire !
Avant de rencontrer Ted je prévoyais de participer au Locktober. Il était là allongé sur mon lit, sur le dos il était vraiment beau, il avait totalement débandé mais c'était toujours une grosse molle qui s'étalait sur sa cuisse. Grosse molle, ouai, avec Ted, grosse toujours mais molle pas toujours. Je me levais prenais un peu de temps pour bien le reluquer, il est vraiment beau le mec !
Moi : Alors tu n'aime pas ma bitte.
Ted : Non, c'est pas ça … Mais … C'est quand tu bandes …
J'ouvrais en grand la porte de ma penderie, elle n'est pas très profonde mais suffisamment pour que je disparaisse entièrement à l'intérieur.
Moi : Tu voudrais que je porte tout le temps ce jock-strap ?
Ted : Je trouve que les mecs sont sexy avec ce genre de truc !
Moi : Et en plus c'est pratique !
Ted : Pratique ?
Moi : C'est ouvert derrière !
Il rigolait. Pendant que nous parlions j'avais pris mon dispositif de chasteté maison, j'y passais mes couilles, j'y glissais ma queue. Je me sentais bien, terriblement bien. C'est un plaisir qui continuait dans mon ventre, bien dilaté, bien rempli, bien vidé, bien … Oui bien, je me sentais vraiment bien. Toujours en discutant, je glissait ma queue dans la cage. J'avais un petit pincement de cœur, une hésitation, j'ajustais bien le dispositif. J'hésitais encore un moment …
Moi : C'est la bosse qui te fait fantasmer ?
Ted : Ouai ! La bosse, et le fait que le mec il ne se branle pas !
Moi : Tu ne veux pas que tes partenaires se branle ?
Ted : C'est surtout que … Ouai ça me fait délirer qu'ils ne se branle pas.
Moi : Ils n'ont pas le droit de se faire plaisir ?
Ted : C'est moi qui leur fait plaisir ! Je ne t'ai pas donné de plaisir ?
Moi : Je ne dis pas le contraire !
Ted : Il m'avait bien semblé aussi que tu avais aimé !
Il ne pouvait toujours pas me voir, le cadenas était en position, les clés étaient dessus mais il n'était pas encore refermé. J'hésitais.
Je retirais le cadenas et retirais également la cage. J'hésitais encore, je ne bougeais plus …
Ted : Tu trouves ce que tu cherches ?
Moi : Ouai je trouve, je trouve …
Finalement je remettais la cage, de nouveau j'y glissais ma queue, je ne bandais pas encore mais je sentais que ça allait venir si je continuais comme ça. De nouveau, avec des gestes rapides cette fois, je replaçais le cadenas. Les clés étaient toujours dessus. D'un pas en arrière je sortais de mon placard, je me retournais vers Ted, j'écartais les jambes, j'étais bien en vue, il ne pouvait pas louper ça !
Moi : Et ça ! Ça ne te fais pas fantasmer ça ?
Il me regardait, je voyais un large sourire illuminer son visage, sa queue gonflait rapidement, il avait l'air d'aimer.
Ted : Alors là j'adore ! C'est pas un modèle PK ? C'est toi qui l'a fait ! Il est pas mal ce truc … Fais voir ça de plus prêt !
Je m'approchais pour bien lui montrer. Il me tripotais les couilles un moment, il bandait et c'était beau à voir. J'entendais un clic et quand je regardais, les clés n'étaient plus sur le cadenas.
Ted : Je prends le contrôle des opérations !
Il ouvrait sa main devant moi pour bien me montrer que c'est lui qui avait les clés, il refermait son point et me souriait.
LES JOURS SUIVANTS 2
Ted est devenu bien plus câlin à partir de ce jour. Le reste de la journée il était d'une grande douceur, chaque fois qu'il me touchait ou me frôlait c'était avec tendresse. En plus il ne s'en privait pas.
Nous avons d'abord pris une douche, il me frottait le dos, glissait un doigt entre mes fesses. Puis il me frottait le torse et longuement, ça l'amusait de me tripoter les couilles, il les savonnait longuement, les massait avec douceur.
Il me serrait fort dans ses bras avant de sortir de la douche …
Ted : Tu peux le garder combien de temps ton truc ?
Moi : Je ne sais pas ! En théorie il n'y a pas de limite …
Ted : Pas de limite ?
Moi : Non je peux assurer l'hygiène par les trous d'aération, le truc est parfaitement ajusté, il est à la bonne taille … Donc …
Ted : Donc dans les pub de la PK c'est pas des conneries ? Il disent qu'on peut porter leur truc sans aucune limite dans le temps.
Moi : Oui mais leurs trucs ils sont en titane, ils sont garantis sans aucune réaction au contacte prolongé avec la peau.
Ted : Et ton truc à toi ?
Moi : En théorie le matériaux est neutre, donc ça devrait être pareil.
Ted : Et tu l'as gardé combien de temps … Au plus long …
Moi : Quatre semaines !
Ted : Non stop ?
Moi : Non stop !
Ted : Et là tu prévoyais combien de temps !
Moi : Le mois de Septembre n'est pas fini, si on rajoute Octobre, ça fera six.
Ted : Ou plus …
Moi : Ou plus ?
Ted : Plus !
Je me demandais ce qu'il me réservais l'animal, il avait une idée dans la tête.
Moi : Et tu veux me coacher ?
Ted : Je vais t'encourager !
Il me donnait encore un baiser plein de passion, je sentais déjà ma queue protester dans sa prison, pourtant ça ne faisait pas longtemps. Je mesurais déjà la durée que ça représentait, six, sept, dix semaines … Il n'aime pas me voir bander, c'est pas rassurant ça !
Moi : Au fait j'ai pas d'autres clés …
Ted : Ne t'inquiète pas elles sont en sécurité, je les garde …
Moi : Ouai ! Mais non ! C'est que ! C'est pas ça mais !
Il me prenait dans ses bras, je sentais ses muscles qui me serraient fort contre lui, Ted dégageait une force incroyable mais aussi une grande douceur. Je ne me sentais pas écrasé dans ses bras, je m'y sentais bien, je m'y blottissait.
Ted : Alors doudou, tu disais quoi au juste ?
C'était la première fois qu'il m'appelait doudou ! Je craquais … Je sentais ma queue se révolter dans sa cage, mon dispositif se relevait avec force, des bourrelets de peau ressortaient par les trous d'aération, ça formait des sortes de boules, c'était rigolo, pas vraiment désagréable, pas vraiment confortable non plus mais à part ça, ça allait !
Il m'avait appelé Doudou, je fondais, je me laissais faire, je le laissais faire, je renonçais à résister …
Ted : Je prends la direction des opérations ?
Je faisais oui de la tête.
Moi : Il faudra tout de même me libérer de temps en temps. Histoire de s'assurer que tout va bien … Et c'est pour la tête aussi …
Il me faisait oui de la tête et me donnait un baiser sur les lèvres. Il est câlin mon Doudou ! Maintenant Ted c'est mon Doudou et je crois que je deviens accro à mon Doudou.
Dans le reste de la journée on faisait un peu de sport, on allait courir à la plage, il ne faisait pas beau mais … Enfin, il ne faisait pas beau pour se baigner, il n'y avait plus de soleil, le ciel était couvert, on ne pourrait pas bronzer mais il ne faisait pas encore froid. Le midi on s'est arrêté dans une crêperie et le reste de la journée on a fait un peu de tourisme.
J'ai fait plein de photo de Ted ce jour là.
Le soir, en arrivant à la maison je bandais comme un fou. Là je ne contrôlais plus rien. Ma queue poussait de toutes ses forces contre ma cage. C'est normal, à chaque fois que j'ai mis ce truc ça m'a fait la même chose mais il me semble que ce jour là c'était plus violent. Il y avait Ted !
Il y avait le contacte de sa main, il y avait son corps que je heurtais souvent avec douceur, il y avait un caresse dans le dos, dans mon dos ou dans son dos … Il y avait les baisers que nous échangions régulièrement. Il y avait sa main qui souvent prenait la mienne et se laissait faire quand c'est moi qui la prenait.
La dernière fois il n'y avait pas tout ça. Et pourtant si je me souviens bien, déjà la dernière fois les premiers jours n'étaient pas beaucoup plus faciles. A chaque fois je bandais. C'est dans les heures qui suivaient que c'était le plus dur, c'était dans les jours qui suivaient que j'avais le plus envie de retirer mon dispositif. Ensuite je me suis habitué !
Je me suis habitué, tous les week-end Ted et moi les passions ensemble. Il était toujours aussi câlin, viril mais câlin.
Il était viril quand il me prenait dans ses bras, il était viril quand il me serrait contre lui. Viril quand il bandait contre moi, quand il me laissait lui faire plaisir. Je n'arrivais pas à me prendre sa queue en entier dans la bouche et je n'y parviens toujours pas mais c'est pas grave, ça lui fait tout de même plaisir. Et dans mon cul elle rentre.
Il faut bien lubrifier, il faut pousser un peu, il faut forcer … Mais quand elle entre, je ne sens plus que cela. La peur a disparu, mais il me reste toujours cette étrange sensation dans mon estomac au moment ou il se prépare, pendant ces quelques instants je n'ai rien à faire, rien d'autre que de le regarder, l’appréhension a tout le temps de monter et de m'envahir. Je me demande à chaque fois dans quelle position il va vouloir me prendre ? C'est lui qui décide de cela aussi. Il décide quand et comment.
Il y a des positions moins faciles que d'autre. Il peut me replier sur moi même, les chevilles sur ses épaules. Il peut aussi, toujours en me repliant en deux, serrer mes deux chevilles l'une contre l'autre, mettre mes deux chevilles sur une seule épaules. Mon cul est alors plus resserré, mes sensations et les siennes ne sont que plus fortes. Il écarte aussi mes jambes, sur le dos je peux plus facilement le caresser quand il se penche sur moi. Je referme alors mes jambes dans son dos.
De temps en temps, il aime aussi m'allonger sur le dos, les jambes bien jointes, il place alors ses genoux à l'extérieur des mes cuisses et au moment ou il me pénétre … Je ne vous dis pas … Là c'est pas pour les débutants ...
Mon cœur bat toujours très fort au moment ou je sens son gland contre mon cul. Ma queue pousse toujours de toutes ses forces contre ma cage à ce moment également.
Il me caresse doucement les couilles, joue un peu avec ma cage puis il pousse lentement mais fermement. Mon cul se dilate alors, c'est violent, c'est intense. C'est à la limite entre la douleur et l'extase, même si la douleur n'est quelquefois pas si loin de l'extase. S'il force trop ou trop vite, la douleur devient insupportable. Mais il sait faire Ted, il sait faire et ne force pas trop. Enfin le plus souvent il ne force pas trop …
Le plus souvent c'est une extase affolante. Affolante oui, toujours l'impression que ça pourrait déchirer, même si je m'habitue à ses dimensions. Ce n'est pas seulement une impression, s'il y allait un peu trop fort, il pourrait réellement me blesser mais si je me suis habitué à ses dimensions, lui connaît mes limites et il prend le plus grand soin pour ne pas les atteindre.
Quelquefois au moment ou il joui dans mon cul, un geste lui échappe, un mouvement de son bassin plus violent qu'il ne le voulait m'arrache un cri, un hurlement. Là il me fait vraiment mal, là je cri et ce n'est pas de plaisir. Mais le plus souvent c'est bon, c'est tellement bon !
Les semaines ont passé. L'Ocktober s'est déroulé dans les règles, comme il convient … Six semaines s'étaient écoulées … Un soir, Ted, toujours aussi câlin était allongé à côté de moi.
Ted : Tu as battu ton record !
Moi : Ouai !
Ted : Tu m'avais demandé de te libérer de temps, tu te souviens ?
Moi : Bein oui, j'ai pas oublié, ça ne risque pas !
Ted : On joue les prolongations ?
Moi : Je m'attendais à ce que tu me propose une pause !
Ted : Tu m'as l'air bien … Dans ta tête je veux dire, tout se passe bien de toutes évidences … Et dans ta cage il me semble que c'est pareil …
Moi : Donc pour moi c'est ceinture !
Ted : Ça me fait plaisir que le prenne bien !
C'était reparti pour le No-vember. Pfff … Encore une de ces traditions nouvelles dans un certain milieu. Pfff … J'avais rien à dire !
Il faut reconnaître que en effet, tout se passait bien. J'avais toujours des érections, plusieurs fois par jour quelquefois. Quand je sentais Ted contre moi, ça pouvait même durer un long moment à chaque fois.
Il m'offrait, j'avais renoncé à lui en faire la demande, une semaine de liberté pour Noël. J'avais gardé mon dispositif quinze semaines non stop, c'était un record pour moi, un record que je ne pensais pas pourvoir atteindre seul, il m'avait bien encouragé ... Je vous confirme que tout allait bien dans ma tête autant que dans ma queue.
LES JOURS QUI VONT VENIR 1
Par la suite, il m'a libéré trois fois. Sept semaines encore sous clés pour aller jusqu'à la mie Février. Là il ne me libérait qu'un week-end. Cinq semaines plus tard nous étions fin Mars. De nouveau sept semaines et nous avions passé la mie Mai. L'été était de retour et là il me restituait la clé. J'avais le droit de m'amuser comme je l'entendais jusqu'à la mie Septembre. A ce moment il me renfermait pour huit mois. C'est ce qui était prévu ! C'est aussi ce que je redoutait au moment ou il remettait les clés entre mes mains.
Cette libération spéciales au milieu du mois de Février reste gravée dans ma mémoire. Il m'avait défoncé le cul comme il sait si bien le faire. Il en profite, il ne m'a jamais caché qu'il avait un mal fou à se trouver un partenaire capable de se prendre sa queue jusque qu'à la garde comme il aime le faire, comme j'aime me la prendre … Ensuite pendant que je récupérais, il me câlinait puis me donnait ma clé. Je la gardais deux jours pendant lesquels je pouvais en disposer sans lui rendre de compte.
En Mars, c'était un peu différent, il avait de toutes évidences envie de s'amuser avec son jouet. Il m'appelait '' Mon Doudou '' mais dans ses bras je me sentais avant tout comme un jouet qu'il pouvait poser dans cette position ou dans cette autre position, ici ou là. Enfin, j'étais un jouet entre ses mains et j'aimais ça !
J'étais bien excité, je l'avais sucé, caressé pendant un long moment, il avait fait preuve de beaucoup de tendresse et m'avait donné lui aussi beaucoup de caresse. Il était allongé sur le dos, les cuisses très légèrement écartées, il bandait ferme, je l'avais bien stimulé … Il me tendait un tube de gel.
Ted : Tu sais à quoi ça sert ! Assoies toi sur ma queue !
Je le regardais, un pincement au cœur, un appréhension naissait dans mon ventre. Il réitérait sa demande …
Ted : Empale toi sur ma queue, je veux sentir tes fesses s'écraser contre mon bassin !
Je tremblais un peu en lui lubrifiant abondamment la queue puis en me lubrifiant le cul. Je prenais ensuite position, j'avais déjà le souffle court pourtant je n'avais encore rien fait. Je plaçais un pied contre ses hanches, je le chevauchais, puis je m'accroupissais. Je me plaçais pour que son gland se place juste contre mon cul. Je respirais bien à fond plusieurs fois, puis, très lentement je repliais un peu plus les jambes. Sa bitte poussait contre mon cul. Là c'est moi qui contrôlait la pression, ça semble plus facile dit comme ça mais je n'étais pas habitué et puis, avec un gros truc comme la bitte à Ted ce n'est jamais facile. Mon cul résistait !
J'avais l'impression que mon cul savait qui commandait à ce moment et que s'il décidait de résister je renoncerais … Ted m'encourageait de son regard et de son sourire. Je poussais plus fort, j'avais les fesses bien écartées et un moment sans prévenir mon cul se détendait. La moitié de la queue de Ted s'enfonçait subitement, m'écartelait l'anus. Je hurlais de douleur, j'étais pourtant habitué ou en tous cas j'aurais du l'être mais avec une gros bazar comme le pieux surdimensionné de Ted rien n'est jamais gagné !
Je me contractais, je voulais me dégager, mon pied glissait et tombais sur la queue de Ted, je me retrouvais empalé, bien empalé, bien à fond comme il me l'avait demandé. J'ai poussé un cri, je me cambrais, je ne disais plus rien et je faisait des grimaces à faire peur. Ted ne bougeai pas, il me laissait faire !
Je finissais par me détendre ? C'est alors que Ted relevait son torse et me prenait dans ses bras. Je croisais les jambes dans son dos. Il s'allongeait de nouveau prenait ma clé qu'il avait dans la main, m'ouvrait mon dispositif, retirait la cage et me disait de retirer le cock-ring, il y a des opérations qu'il est préférable de faire soi-même …
Ted : Maintenant, masturbe toi !
Je ne bandais plus à ce moment, mais j'obéissais. Rapidement je bandais, je bandais bien même. Il balançait son bassin d'avant en arrière, il appuyait le bas de son dos contre le lit ce qui relevait sa queue vers l'avant, elle entrait bien à fond. Ou relevait le dos, sa queue était alors attirée vers l'arrière, elle ressortait et la pression contre ma prostate diminuait.
Je me masturbais, il continuait ce mouvement. Mon cœur battait vraiment fort, j'avais envie de jouir mais rien ne venait. Ted accélérait doucement le mouvement mais sans l'amplifier. Plus rapide, c'est tout !
Par réflexe je serrais les cuisses ce qui diminuait la pression contre ma prostate. Vous avez déjà essayé de vous branler avec un gros gode dans le cul ? La pression interne peut empêcher l'éjaculation, c'est pour cela que je n'avais jamais éjacule avec la queue de Ted dans mon cul et que je ne jutais que quand il se retirait. Rien ne venait sauf le plaisir, on continuait. Ted n'était pas pressé de jouir, je devinais qu'il voulait me voir jouir avant lui, je me branlais de plus en plus vite, de plus en plus fort.
Finalement mes efforts on payé ce soir là, je ne sais pas combien de temps il m'a fallu pour y arriver mais ça en valait la peine, j'ai joui comme jamais ! C'était un truc de fou, je tremblais, je gémissais, je râlais, je sentais la queue de Ted se contracter dans mon cul et je hurlais … Mais je ne jutais pas !
Ted se relevait alors une seconde fois, il me penchais en arrière et repliait ses jambes en tailleur. Je me retrouvais allongé sur le dos, encore tremblant et frémissant de plaisir, il était au dessus de moi, sa queue encore bien en place, il se retirait et là enfin je jutais, je jutais et mon ventre se recouvrait de mon sperme, cinq semaines, c'est long cinq semaines mais c'est le temps qui s'était passé depuis la la dernière fois que j'avais joui par la bitte. Mon souffle était fort.
Ted faisait preuve de tendresse en me caressant tout le corps, et m'enculait de nouveau, j'ai hurlé de nouveau quand il est entré, j'ai gueulé quand il m'a limé le cul, j'en ai redemandé à chacun de ses mouvements puis je me suis effondré sur moi-même quand après avoir joui il s'est retiré.
Il m'a laissé le temps de récupérer puis il a posé mon dispositif sur mon ventre, je comprenais le message …
Encore sept semaines passaient et il me donnait la clé, c'était la saison de la plage, je pourrais retirer mon dispositif à ma guise, je devrais seulement l'avoir sur moi à chaque fois que je serais avec Ted, sauf sur la plage bien sûr.
Je ne vous cacherais pas que je me suis fait quelques plaisirs quand j'étais seul dans la journée, j'y avait droit et je ne m'en privais pas. Ted le savait !
J'ai fait aussi quelques rencontres sur la plage, j'ai défoncé quelques culs, je me suis fait sucé plusieurs fois aussi, j'y avait droit et je ne m'en privais pas. Ted le savait !
Puis est arrivé ce jour dont je vous parlais au début de ce récit, j'étais allé à la plage, ce dernier jour le soleil était magnifique même si quelques nuages annonçaient déjà l'Automne. J'avais pris une douche, puis Ted était arrivé, nous avons pris une douche ensemble, je l'ai caressé, je l'ai embrassé en lui frottant le dos, il en a fait de même. Ensuite on s'en habillé pour passer à table, il voulait faire durer, faire monter le plaisir. Ensuite il m'a sucé la bitte, je lui avais sucé la bitte également ce soir là, puis, lui allongé sur le dos, je m'étais empalé sur lui. Puis …
Il avait sorti le petit dispositif, pas le mien mais un dispositif qu'il m'avait acheté dans un bureau de la PK, il ne m'avait pas prévenu, c'était pour marquer l'anniversaire, il connaissait ma taille le farceur, il oubliait de me donner la clé, quel distrait quand il veut celui-là. Il était convenu que je le garderait huit mois non stop ...
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