Djé saison 3

Ep 27 VACANCES A LA MAISON



Je roulais depuis plus d'une heure et j'avançais bien quand à la sortie d'une ville je voyais un auto-stoppeur. Selon son écriteau il allait au même endroit que moi. Je m'arrêtais et le laissais monter.

C'était un étudiant qui allait passer des vacances au bord de la mer, il venait de terminer les cours, il avait un sac à dos bien rempli avec un matériel de camping complet … Tout ce qui lui fallait sur le dos … On faisait rapidement connaissance. Il s'appelait Régis .

Re : Tu vas sur la cote ?
Moi : Je vais voir ma famille !
Re : Tu en as de la chance d'habiter à la mer !
Moi : En ce moment je suis à la fac .

Il me regardait avec attention …

Re : Mais je t'ai déjà vu toi ?
Moi : On m'a aperçu à la télé … 
Re : Quand ? Dis m'en plus.
Moi : Il y a quelques mois, lors d'une compétition inter universitaire !
Re : Ça me dit quelque chose … D'habitude on parle pas de ces compétitions à la télé.
Moi : Exact, c'était la première fois !
Re : Je me souviens, oui tu faisais partie de l'équipe qui a gagné, un record de médailles et de coupes ils ont dit …
Moi : Oui, on a fait fort ce jour là !
Re : Mais, c'est toi qu'ils appelaient le champion, c'est toi qui … !
Moi : Oui, c'est moi qui …
Re : Comment tu m'as dit que tu t'appelais ?
Moi : Jérémy !
Re : Jérémy, celui que tout le monde appelle Djé !

Tout en conduisant, je souriais et acquiesçait de la tête … Un long moment il ne disait plus rien, il regardait la route d'un air pensif en souriant. A chaque fois que je jetais un œil il me répondait par par un regard interrogateur et un petit sourire …

Re : Alors c'est toi qui portes …
Moi : Ouai! C'est moi qui porte …
Re : Et tu le portes ? … Pas toujours ? … Tu le retires de temps en temps ? …
Moi : Oui, je te rassures, je le retire de temps en temps.
Re : Tu le portes … Je veux dire en ce moment ?
Moi : Oui, en ce moment je le porte !
Re : Et c'est quand que tu l'as retiré la dernière fois ?
Moi : Voyons, la compétition c'était il y a trois mois … La dernière fois, c'était un mois plus tôt !
Re : Ça fait quatre mois ! La vache ! Mais ça te rends pas dingue, si on supporte pas ce truc, on fait quoi ?
Moi : Ceux qui ne supportent pas ne le portent pas, il ne faut pas, surtout pas !
Re : Mais, toi, tu fais partie de ceux qui veulent que tout le monde porte ce genre de truc, non ?
Moi : Oh que non ! La règle est simple, si tu ne le supportes pas ne le porte pas ! Si ça doit te rendre malheureux ne le porte pas ! Et si on te prétends le contraire, si quelqu'un veut te convaincre, ou pire te contraindre envoie le braire et dis lui bien que c'est moi qui t'ai dit ça !
Re : Whoua ! Moi qui croyais que tu étais un fanatique !
Moi : Un fanatique …  Peut être oui … Mais uniquement pour moi … Je ne veut pas convaincre les autres … Essaye, ça te plaira peut être mais je te le dis, si ça doit te rendre malheureux ou si tu dois en souffrir ne le garde pas !

On continuait la discussion encore un long moment, je lui racontais certaines de mes sensations , cette impression d'éveil que j'avais découvert lors d'un repas, cette frustration qui pouvait devenir jouissive, cette tension apaisante …

Re : Tu essayes de me convaincre là ! Oua tu fais vraiment bien ton boulot, j'aurais presque envie d'essayer !
Moi : Te convaincre d'essayer, oui je veux bien ! On découvre en effet des sensations incroyables, mais si ça ne te convient pas, je te le répète ne le garde pas ! Tu en souffrirais et ça c'est pas le but !


Re : Toi, tu n'en souffre pas ?
Moi : Non, moi je n'en souffre pas sinon … 
Re : Personne ne te contraint ?
Moi : Il ne manquerait plus que cela ! C'est un choix et je ne l'ai pas fait en un jour, j'ai mis un certain temps …

Je lui racontait sans entrer dans les détails mon parcours, ma période de débauche et les conséquences sur mes études. Je lui racontais qu'on avait su me forcer un peu la main, mais que celui qui m'avait forcé la main était le premier à me libérer si je ne me sentais pas bien … Je lui racontait sans mentir, j'occultais seulement certains passages qui étaient et devaient rester privés !

Un peu plus d'une heure plus tard on faisait une pause pipi !

En pleine campagne, pas de circulation, personne à l'horizon … 

Re : Et tu arrives à pisser avec ce truc ?
Moi : C'est très bien étudié, sans problème !
Re : Je peux voir ?

Je pissais devant lui sans gène, c'est vrai que depuis un an de demis, j'en ai vu d'autres. Il semblait fasciné, il pissait devant moi et rapidement bandait … Je me disais, ' Bien foutu le ptit gars ' … Il se caressait la queue …

Re : Ça ne te manque pas ça ?

Je regardais, je ne disais rien … Il se masturbait doucement, décalottait à chaque mouvement puis décalottait complètement … Il crachait alors dans sa main et commençait à s'astiquer le gland … Il se branlait sur la longueur de sa queue puis revenait sur son gland … Sa queue se relevait fièrement maintenant … Ma bite remplissait bien sa cage … Il se masturbait vigoureusement en me regardant avec un sourire légèrement provocateur … Il commençait à respirer plus fort … Je regardais sa queue, je n'en perdais pas une miette … Quelques gémissements et deux puis trois giclées de sperme retombaient devant lui. Il riait de plaisir, de satisfaction ou peut être amusé de voir ma tête … Ma cage devait exploser … Je lui faisais un large sourire, il n'en revenait pas !

Moi : Si ça me manque, j'ai la cervelle en feu mais …

Plus tard sur la route, je lui expliquais, enfin j'essayais de lui expliquer ce que je ressentais … A la fois la frustration et le plaisir … La force que j'en retirais … Il n'avait pas l'air convaincu …

On faisait  une seconde pause plus tard dans un fast-food. Puis quelques heures plus tard je le laissais, j'étais presque arrivé. Il me quittait en me disant …

Re : Tu sais Djé, je crois que … un jour … je suivrais ton conseil … J'essayerai … Juste pour savoir mais pas longtemps … C'est pas pour moi ça !

Il n'y avait pas eu de moquerie, pas de réaction négative sans pour autant que l'accueil soit positif … On parlait dans la presse de cette nouvelle mode et pas seulement dans mon école ou dans le milieu étudiant … Je ne devais pas tarder à m'en rendre compte !

J'arrivais dans ma famille. C'était des retrouvailles, je m'installais rapidement, je voyageais léger aussi j'avais vite fait de vider mes bagages … Mes parents ne cachaient pas la fierté qu'ils éprouvaient depuis mon succès lors de la dernière compétition … J'étais le champion, et j'étais passé à la télé … Dans le quartier on ne parlait plus que de ça … Pas un mot sur mon dispositif même pas la moindre allusion … 

Mon frère Luc ne voulait plus me lâcher de la journée … Il est plus jeune que moi, il allait avoir dix sept ans, il était fier de mes médailles …

Luc : Tu peux pas savoir … Tout le monde parle de toi … Tu es une star …
Moi : Et on parle de mon truc ?
Luc : Ouai ! Un peu ! Mais le pasteur nous a parlé de ça ! Et finalement ça inspire plus de curiosité qu'autre chose !
Moi : Les filles ?
Luc : Pas seulement les filles ! Les mecs aussi, il y en a certains à qui ça fait peur, d'autres qui sont déjà volontaires …
Moi : Qui sont volontaires ? Et il y a beaucoup de volontaires ?
Luc : Il y en a au moins un !
Moi : Au moins un ?
Luc : J'aimerais bien voir ce que ça donne !

Mon frère et moi nous sommes déjà souvent vus nus, sous la douche, dans des vestiaires ou encore dans notre chambre quand on se change … Depuis toujours, c'est quelque chose de normal … C'est donc naturellement, puisqu'on était dans la chambre que je baissais mon pantalon …

Luc : Tu ne portes pas de slip ? Moi, la dernière fois que j'ai fait ça, j'ai eu une érection et je me suis senti mal. Je te dis pas, je suis sûr que tout le monde l'a remarqué. Mais là ça ne risque pas ! 

Il regardait attentivement … Je remontais mon pantalon .

Luc : C'est génial ce truc … Ça fait pas mal … Ça ne gène pas tes mouvements … 

Suivaient toutes les questions habituelles que j'entends depuis le jour où avec Antoine on s'était retrouvé sous les douches … Je lui répondais longuement … On passait la soirée à discuter … On dormait dans la même chambre, il semblait très excité … Il n'arrivait pas à s'endormir .

Personne ne m'avait parlé de mon dispositif, et comme je le disais pas même un allusion mais Luc, quand on s'est retrouvé entre nous il n'arrêtait pas … Il ne me parlait que de ça … Finalement il terminait, juste un peu avant de s'endormir, par … '' Dis Jérémy , tu pourras m'en avoir un aussi , ils sont drôlement chères dans le commerce … ? '' …

Le lendemain matin, on prenait notre douche ensemble … Il avait une belle érection …

Luc : Tu m'excuses  mais là, je ne peux pas me contrôler …
Moi : Tu sais, c'est pas grave tu sais, on s'est déjà vu en forme … Alors tu as du mal à te contrôler, c'est pour ça que tu veux porter un de ces truc ?
Luc : Non, je me contrôle d'habitude. Enfin pas toujours le matin, mais ça c'est normal ! Non c'est pas ça, en plus je me suis pas branlé hier soir !
Moi : Tu te branles tous les jours ?
Luc : Ouai ! Mais hier , j'ai pas voulu t’embarrasser !
Moi : J'en ai vu d'autre, et si je me souviens bien … On a déjà fait des concours de branlette … 
Luc : (En rigolant) Oui mais maintenant, toi tu ne peux pas concourir !

Ensuite, on faisait le tour des copains … et des copines aussi … C'étaient de grandes retrouvailles … Les garçons se montraient curieux, les filles se montraient enjôleuse … Décidément, toutes les mêmes, quand elles voient qu'elles n'ont rien à craindre … Bon et puis il ne faut pas non plus oublier que je suis très mignon en plus d'être célèbre !

La première à me tourner autour était Hélène, une fille que je connaissais depuis la maternelle … Elle était devenue une vraie bombe, on se retrouvait à la plage, là je vous rassure je portais un maillot de bain. Le dispositif était quasiment invisible à ce qui se disait, certains me disaient même qu'ils ne remarquaient rien. C'était pour me rassurer car on le voyait bien tout de même ! Et si une fille aux seins nus venait se frotter à l'un d'entre nous, juste pour taquiner, presque sans pensée coquine, j'étais le seul qui ne manifestait aucune réaction érotique !

Je la prenais alors dans mes bras, Hélène me le faisait régulièrement, je l'embrassais sans avoir à me sentir embarrassé … Rapidement Hélène et moi nous retrouvions sur une plage naturiste. Là on se laissait aller … On se faisait bronzer des heures entières, quand j'étais sur le ventre on ne remarquait rien. Quand j'étais sur le dos ou debout je suscitais des réactions de curiosité. Il n'était pas rare qu'un homme ou qu'une femme vienne me parler, et là, des questions, toujours les même. Certains voulaient juste s'informer, d'autres avaient visiblement envie d'essayer … Certaines voulaient juste s'informer, d'autres auraient voulu le proposer à leur compagnon … Elles discutaient alors souvent un moment avec Hélène qui se donnait de l'importance …

On restait un long moment allongé , elle se blottissait dans mes bras , elle posait sa tête sur mon torse et me laissait lui caresser le ventre , les seins , les cuisses et même un peu plus … Je la masturbais alors doucement , ma main sur son sexe , je lui introduisais un doigt et lui stimulais les parties les plus intimes. Elle hésitait à me caresser les cuisses …

Hélène : Jérémy, je n'ose pas … 
Moi : Mais vas y ma puce, ose, fait comme moi. Moi j'ose … Tu aimes ?
Hélène : Oui, c'est divin. Vas y continue, j'adore !
Moi : Tu me dis … 

Elle glissait alors doucement sa main vers le haut de mes cuisses, rapidement me caressait la base du sexe, juste sous l'anneau de mon dispositif … Elle passait ensuite à mes testicules qu'elle prenait à pleine main et les massait en les pressant doucement dans sa mains …

Hélène : Je te fais pas mal ! 

En réponse je l'embrassais …

Moi : Si tu me fais mal, je pleure … Et je te promet pas d'avoir l'air viril à ce moment, tu auras l'air fine …

On éclatait de rire, elle se retournait et se jetait sur moi … Ses seins me chatouillaient les tétons, son sexe me caressait les cuisses … Je la prenais dans mes bras … On s'embrassait longuement puis on se relevait pour aller se baigner, je sentais de nombreux regards sur nous, et probablement, sur moi !

Ma cage allait exploser mais il fallait avoir un œil averti pour remarquer quelque chose … Hélène faisait la fière devant les autres filles, leurs regards semblaient particulièrement envieux. Si elles voulaient faire la même chose avec leur copain, les réactions seraient beaucoup plus spectaculaires et elles perdraient vite le contrôle de la situation alors que là, Hélène restait seule maîtresse de ce qui se passait !

Je lui laissais le meilleur rôle, j'avais compris depuis longtemps que celui qui semblait passer en second plan, celui qui semblait avoir le plus petit rôle était en fait celui que l'on regardait, qu'on enviait. Et je savais qu'il me suffirait de claquer les doigts pour revenir au premier plan et redevenir le maître le leader ! Mais les filles adorent jouer car elles adorent tricher, je la laissais jouer, je la laissais croire que c'était elle qui trichait !

Ces journées étaient éprouvantes pour les nerfs, les stimulations sexuelles étaient quotidiennes. Pendant les semaines et même les mois précédents, depuis la compétition, mon abstinence était totale à l’exception de deux petits écarts, un plug et la très belle queue de Charles … Mais j'évitais alors les stimulations sexuelles ! Maintenant, mon abstinence était totale également, je n'avais pas emporté de gode ou de plug, et les stimulations sexuelles étaient permanentes ! 

C'était un enfer délicieux, ma cage était tout le temps sous pression, toujours relevée vers l'avant … Il n'y avait aucune douleur mais un certain inconfort à la longue … Les caresses autant celles que je donnais que celles que je recevais étaient à la fois la douceur, une extrême douceur et une douleur moral, un feu dans la tête, un besoin qui m'était refusé, un désir qui ne serait pas assouvi, une envie qui en resterait là.

Mon esprit restait en éveil, rongé par le désir, par l'envie … Rongé mais pas gâté ! J'étais conscient, ultra conscient des autres, du moindre regard, du moindre geste, du moindre mot sans pour autant souffrir d'une sensibilité anormal qui aurait pu me conduire à surinterpréter ce qui se passait autour de moi ! J'étais conscient, ultra conscient de mes sensations de chaque contact physique, chaque contacte de la peau, autant ceux que je recevais que ceux que je donnais ! Le moral était au beau fixe ! Je me sentais bien, en manque mais bien !

Sur la plage, les habitués ne faisaient plus guerre attention à moi. On se saluait, on discutait souvent … Là encore comme à la fac tout le monde me connaissait, et tout le monde semblait m'apprécier … Je ne prenais pas la peine de dissimuler d'une quelconque manière mon dispositif et même j'en étais fier !

Peut-on jouir sans aucune stimulation sexuelle physique ? Uniquement par des contacts physiques autres, les bras, les cuisses, le torse, les tétons. Par moment quand Hélène me touchait, la sensation était forte, très forte !

La zone naturiste ne se limitait pas à la plage, les chemins qui y conduisaient étaient aussi classés zone naturiste … Je m'y promenait librement, y faisait du footing. Deux fois le tour, huit kilomètres, en passant par tous les chemins. Une fois le matin, une fois dans l'après midi … Je ne relâchait pas mon entraînement …

Luc nous avait rejoint à plusieurs reprise sur la plage … Je me souviens d'un jour en particulier. J'étais allongé sur le dos, Hélène avait posé sa tête sur mon ventre, juste au niveau du nombril. Je la caressait passant ma main depuis le haut de ses cuisses jusqu'à ces seins sur lesquels je m'attardais toujours un peu. 

Au début, tout se passait bien pour Luc. Il nous regardait et rapidement se ratatinait sur lui même , il avait l'air gêné, il s'était assis les jambes repliées. Il regardait de tous les cotés inquiet … Puis il finissait pas se lever en prenant soin de garder ses mains devant ses parties pour tenter de dissimuler une érection, il nous dit rapidement '' Je reviens '' et partait vers les buissons dans lesquels il disparaissait un long moment …

Hélène : Qu'est-ce qu'il a ?
Moi : Un besoin incontrôlable ! Rien de grave, il va revenir, il sera plus détendu !
Hélène : Tu n'as pas de besoin incontrôlable toi ?
Moi : Oh que si ma puce, oh que si … Mais moi je sais rester stoïque !

On rigolait … En effet Luc revenait, il avait une belle grosse molle qui pendait entre ses cuisses, un petit sourire satisfait. Il s’asseyait à coté de nous …

Moi : Alors Luc ça va mieux, tu me sembles plus détendu …
Luc : Enfoiré, te moque pas ! Mais tu fais comment toi ?
Hélène : Il sait rester stoïque !

On rigolait tous les trois de bon cœur ! 



Ep 28 VACANCES A LA MAISON 2



Un jour  sur la plage un homme plus âgé que moi, un peu plus de quarante ans, venait me voir, je le connaissais bien on avait déjà parlé à plusieurs reprises . Il avait un grand sourire, et était encore habillé, pas moi .

Henri : Salut Djé, j'ai quelque chose à te montrer !
Moi : Non tu ne vas pas te mettre à poil, on est tout de même sur une plage … Naturiste ...
Henri : Arrête de dire des conneries Djé, tu sais ton truc qui me fait fantasmer, … , j'en ai acheté un … La taille que tu m'as conseillé … Je trouve ça super … Je le porte depuis trois jours !

En parlant, il retirait ses vêtements et en effet … Il avait l'air content de lui ! On parlait un long moment, sa femme était très contente aussi et c'est elle qui avait la clé … Elle arrivait quelques instants plus tard …  Ils me demandaient s'ils pouvaient s'installer à proximité pour qu'on puisse discuter . Je leur faisait signe de nous rejoindre . Le reste de l'après midi on se détendait, les femmes appréciaient tout particulièrement … On se laissait aller aux caresses, ni lui ni moi ne risquions de réactions déplacées … Jeannette, sa femme, arborait fièrement la clé suspendue à son cou par une chaîne en or que son mari lui avait offert pour l'occasion ! La fameuse clé objet de fantasme pour tous les porteurs de clé .

Quand je me levais pour aller me tremper les pieds, Jeannette me suivait …

Jea : Tu sais Djé, c'est génial … Trois jours seulement et déjà je vois une grosse différence … C'est dans la tête, enfin surtout dans la sienne … Le jour même ou il l'a mis, à l'instant ou il a refermé la cage, il a changé, il est devenu plus câlin .
Moi : Moi, la première fois je me suis dit que j'étais fou d'avoir accepté .
Jea : Et tu l'as gardé combien de temps ?
Moi : Plus de trois mois !
Jea : Il ne la gardera pas si longtemps !
Moi : Quel protocole avez vous choisi ?
Jea : C'est simple, en général il est trop rapide, pas assez attentif, préliminaires trop courts … Je te choque pas Djé ? ( Je faisais non de la tête ) Aussi, maintenant il faudra qu'il fasse monter mon désir avant que je le libère, et pas trop souvent de toutes façons ! Mais bon on a pas choisi de durées particulières ce sera entre deux fois par semaines et deux fois par mois … Il ne le sauras pas à l'avance !
Moi : Il avait l'air câlin là !
Jea : Il a changé en trois jours, je te dis pas !

En effet Henri, tout comme moi avait passé l'après midi à caresser sa femme, aucune réaction déplacée, la femme en profitait !

Pendant la deuxième semaine, je rencontrais plusieurs autres porteurs, un était de mon âge les deux autres étaient plus âgés quarante cinq et cinquante ans … Ils étaient tout les trois accompagnés de leurs femmes . D’instinct on se regroupait, sur la plage on formait une sorte de club … 

Le plus jeune, Pascal, se confiait rapidement . Pas aux autres mais à moi au départ . On marchait sur le rebord de l'eau tranquillement … 

Pascal : Je sais pas comment aborder le sujet …
Moi : Tu peux me parler librement ! Tu sais tu ne me choquera pas !
Pascal : Il y en a, parmi les porteurs, qui utilisent des … gadgets ?
Moi : Des gadgets ? Du genre ? … Des trucs qu'on s'enfile dans le cul ?

Il éclatait de rire pour cacher son embarras .

Pascal : Comment tu dis ça toi !
Moi : Je t'avais dit que tu ne me choquerais pas ! C'est ça que tu voulais dire ?
Pascal : Oui c'est bien ça ... ça soulage !?
Moi : Oh oui, ça soulage … IL y en a plus d'un ! Mais tu es tout rouge d'un coup !
Pascal : C'est le soleil !
Moi : Mais non c'est pas le soleil, tu es déjà bronzé, c'est pas le soleil !
Pascal : Comment du dis ça toi ! 
Moi : Je le fais de temps en temps .
Pascal : Ouai mais il faut pas le répéter !
Moi : On a une règle, ce qui se passe ou ce qui se dit entre porteurs doit rester entre porteurs ! Et je te rassure, tous les porteurs que je connais …
Pascal : Non … Tous ! Et toi tu le fais souvent !
Moi : En fait, je suis rendu à un autre niveau depuis quelques temps …

Je lui racontais, toujours en retirant quelques détails, les derniers orgasmes que j'avais eu …

Pascal : En plus de quatre mois ! Whoua ! T'es pas seulement champion dans le domaine du sport ! Je suis impressionné ! Mais c'est pas facile à supporter au début, j'ai jamais pu le supporter plus d'une semaine d'affilée … 

Dans les jours qui suivaient Henri venait me voir, il me racontait comment ça se passait avec son truc … Je lui donnais des conseil et surtout lui conseillais de le retirer si ça posait vraiment des problèmes … Mais là, j'étais aussi obligé d'en parler avec sa femme qui avait la clé ! Les deux derniers plus âgés portaient leur truc depuis plusieurs mois et avaient donc acquis de l'expérience . Ils en faisaient profiter les autres … 

J'aimais bien me promener dans les chemins de cette zone naturiste quelques jours avant mon départ, je faisais mon footing quotidien je retrouvais un revenant … Régis … Il avait voyagé dans la région et de passage dans le coin, il profitait du soleil a poil !

Re : Alors Djé, ça va toi depuis l'autre jour ?
Moi : Régis, je vois que tu n'as pas suivi mes conseil, je suis donc un si mauvais vendeur ?
Re : Arrête de dire de conneries et viens donc par là …
Moi : Naïvement, je le suivais dans un buisson … 

Rapidement il bandait .

Re : Regarde ça, tu es sûr que ça te tente pas ?

Je craquais, je commençait à le sucer, il se laissait faire … Ma bite se manifestait c'était de plus en plus inconfortable . Par moment ça devenait douloureux, comme aux premiers jours !

Re : Tu fais ça bien en plus ! Vas y Djé, t'es le meilleur, c'est toi le champion !

J'avais attrapé ses couilles et je tirais dessus, pas trop fort, pas pour lui faire mal … Juste un peu pour l'obliger à se cambrer … J'avalais sa queue sur toute sa longueur, je sentais son gland me caresser le palais avant de s'enfoncer dans ma gorge … Il gémissais de plaisir … Je recommençais encore … Le masturbais en massant doucement son gland décalotté … Je lubrifiais avec beaucoup de salive puis reprenais plus fort … Je le suçais encore puis le massais de nouveau … Je massais son gland plus fort, je le prenais au creux de la main que je refermais bien puis le massais d'un geste de rotation … Il tentait d'écarter ma main, je tirais plus fort sur ses couilles … Je sentais le plaisir monter en lui … Je lubrifiais et je recommençais plus fort … Il gémissait et rapidement me giclait à la figure … Il débandait aussitôt … 

Re : Tu fais ça bien dis donc mon gars , c'est pas la première fois … Vous devez bien vous amuser entre vous ! Je t'aurais bien enculé mais bon, là , j'ai plus envie . Je me sens soulagé !
Moi : Tu viens nous rejoindre quand tu veux !
Re : Je viens comme je suis ?
Moi : Non, il faudra te couvrir et fermer le cadenas !
Re : Alors là ça ne risque pas ! 

Dommage, je me serais bien pris cette bite dans le cul, ça commence vraiment à faire long cette affaire … Je retournais rejoindre le groupe après avoir piqué une tête dans l'eau, histoire de faire disparaître toutes les traces de cette rencontre … 

Je m'installais Hélène posait doucement sa tête sur mon ventre, je bandais ferme, je sais qu'elle l'a remarqué … Mais elle ne se posait pas de questions, sa présence ou son contact suffisaient à justifier ma réaction … Ma tension ne diminuait pas, j'étais fou de désir … Je savais qu'il n'y avait aucune chance de soulagement avant … Avant je ne sais pas quand ! 

Ce jour là je me laissais aller à caresser Hélène comme je le faisais de temps en temps … Je posais ma main sur son sexe, j'introduisais un doigt et la stimulais manuellement, avec beaucoup de douceur, je prenais bien mon temps, je lui caressais le ventre en remontant jusqu'à ses seins . Voyant cela mes camarades en faisaient de même … Je sentais les seins d'Hélène se durcir sous mes doigts et je la sentais gémir ! Les autres filles commençaient à gémir également … Hélène  posait sa main su le mienne pour me guider, on ne se pressait pas … Son souffle devenait fort, elle commençait à pousser de véritable cris, je l'embrassais pour la bâillonner . Elle me serrait fort contre elle en me tenait par le cou . Elle mouillait, je la sentais vibrer, elles jouissait, totalement essoufflée elle me disait d’arrêter, j'arrêtais ! Elle restait là, allongée sur moi, ses seins étaient durs, on s'embrassait, je la sentais se détendre … Les autres filles ne tardaient pas à se retrouver dans même état … Un peu plus tard elles nous laissaient pour aller se rafraîchir dans l'eau … 

Moi : C'est pas ça qui va nous calmer nous ! 

Ils rigolaient tous, on échangeait nos sensations, on était tous sous tension ! Toutes les cages étaient sous pression !  

Mon frère venait nous voir régulièrement, il en profitait pour discuter avec mes nouveaux amis . Il ne me reparlait pas de mon truc pas avant la dernière nuit que j'ai passé à la maison, mon frère était allongé dans son lit moi dans mien …

Luc : Tu te souviens quand je t'ai demandé si tu pouvais m'avoir un de ces truc ?
Moi : Oui, je m'en souviens très bien !
Luc : Tu me promets d'y penser, j'ai vraiment envie de porter un truc comme toi !
Moi : Je vais voir ce que je peux faire ! 

On continuait à en parler une bonne partie de la nuit, je lui disais de ne pas se forcer, que si ça n'allait pas il ne devait pas insister … La taille du dispositif … c'était facile, nous sommes frères et si j'ose dire, on chausse pareil ! Il me ressemblait et quand on nous voyait l'un à côté de l'autre il n'y avait pas de doute sur le fait qu'on était frères !

Le lendemain je me préparais à repartir dans la matinée … J'avais de la route, Justine habitait dans une ville pas très loin de ma fac, ça me faisait quelques centaines de kilomètres à refaire dans l'autre sens … Je disais au revoir à tout le monde Hélène était venue … En m'embrassant elle me glissait à l'oreille … '' Je ne suis pas prêt de t'oublier Djé '' … C'était un flirt de vacances et on sait ce que devient ce genre de flirt quand les vacances sont finies …

Je reprenais la route dans l'autre sens … Une bonne partie de la journée et je serais chez moi, à mon appart avant le soir, il m'était réservé pour tout l'été … Mon frère me demandait s'il pouvait venir avec moi !

Luc : Jeremy, tu m'as dit que tu avais de la place … Moi aussi je suis en vacances … Je pourrais voir ou tu vis … Visiter ton campus … Juste une semaine, deux semaines, trois …  Dis quelque chose …

Je rigolais, en fait c'était une bonne idée, ça ne pausait aucun problème …

Moi : Si tu veux !
Luc : Oué ! Super ! 

Il courait chercher son sac, il était déjà prêt, le jetais dans la voiture et s'installait à la place passager … Tout content de partir en voyage ! Il ressortait de la voiture pour embrasser nos parents, il avait réussi à les convaincre, ils avaient dit oui sous réserve que j'accepte, et on faisait route !

Moi : Mais pourquoi tu ne m'en as pas parlé hier ?
Luc : En fait, j'y ai pensé ce matin en me levant … Je me suis dit que … Et puis j'avais peur que tu  dises non !
Moi : Mais pourquoi j'aurais dit non ? Ça me dérange pas que tu viennes ! Au contraire ! On ne se voit plus trop souvent depuis deux ans … 
Luc : Tu me présenteras tes copains ? … Tu me feras visiter ton école ? … Il y a des coins sympa ? … Tu sors ou le soir ? … C'est une grande ville ? … C'est pas la campagne ? ...

Et il était comme ça pendant tout le voyage … Ah ces jeunes !

On faisait une pause dans un fast-food, puis une seconde pour se dégourdir les jambes. Luc n'avait pas le permis de conduire il n'était pas question de se relayer. Quand on arrivait, il ne disait plus rien. Il regardait partout, il découvrait la ville, je passais devant l'école pour lui montrer le campus, on n'avait pas le temps de s'arrêter, je lui faisais seulement faire un tour. On s'arrêtait, de l'autre coté de la rue, il remarquait un écriteau au dessus de la porte ' Cité universitaire, logement étudiants '. Il prenait donc son sac et traversait la route …

Moi : Tu vas ou là ?
Luc : Bein, c'est pas là que tu habites ? ( il me montrait l'inscription )
Moi : Non, c'est pas là, c'est ici !
Luc : Résidence … Tu habites dans une résidence !
Moi : Et encore tu n'as rien vu !

On entrait. Greg descendait les escaliers au moment ou nous arrivions.

Greg : Déjà de retour, ton séjour s'est bien passé ? ( On se faisait la bise )
Moi : Super, j'ai ramené mon petit frère avec moi … Luc, Greg  ( Je les présentais ). Greg lui faisait la bise également !

On discutait un moment, je prenais des nouvelles sur l'avancée du projet … On se quittait et Greg nous invitait pour le souper !

Luc : Il a l'air sympa ton voisin, il fait quoi dans la vie !
Moi : Il est prof à mon école !
Luc : Et tu fais la bise à tes prof toi maintenant !
Moi : Et encore t'as rien vu !

On montait au second …

Moi : Au premier, il y a Greg … Moi je me suis trouvé une petite place au second …
Luc : Il n'y a qu'une seule porte par palier ?
Moi : Évidement, il n'y a qu'un seul appartement par étage !
Luc : Mais ils sont grands comment les appartements ?
Moi : Je te le dis comme je le pense, tu n'as rien vu !

J'ouvrais …

Moi : On n'est pas trop à l'étroit … Salle à manger avec coin salon de plus de cent mètres carré, cuisine de quarante, trois chambres de vingt cinq, la mienne en fait un peu plus de trente, une grande salle de bain par chambre … Enfin, ça va c'est supportable …
Luc : Et tu as combien de colocataires ?
Moi : Aucun mais j'ai un valet de chambre !
Luc : Tu déconnes. Et il est ou ?
Moi : En vacances !

Il faisait le tour de l'appartement à toute vitesse, passait dans toutes les chambres, il ressortait de ma chambre … 

Luc : Mais c'est quoi cette salle de bain de ouf dans ta chambre ?
Moi : Bain bouillonnant, je sais, c'est cool !
Luc : Mais c'est un truc de fou, j'y crois pas ! Tu as un balcon, il y a une grand baie vitrée là ?
Moi : Et encore t'as rien vu ! ( J'ouvrais le volet déroulant ) Un balcon, oh non, mais une terrasse de deux cent mètres carré et la possibilité de l'agrandir en utilisant le toit de l'immeuble … C'est ce qu'on à fait à la fin de l'année, il y avait plus de deux cent cinquante invités !
Luc : Je te crois pas ! C'est  un truc de fou ! Tu es devenu un parrain de la mafia ou bien ! 

Il faisait le tour de la terrasse .

Luc : Et tout ça pour une personne, juste pour toi !
Moi : Avec Charles on était deux !
Luc : Charles c'est qui ça ?
Moi : Mon valet de chambre !
Luc : C'est vrai je l'avais oublié celui là ! Je te crois pas !

On se préparait pour descendre chez Greg . Un homme en livret nous ouvrait la porte …

Stéphane : Monsieur Ducran n'est pas encore arrivé, mais il m'a demandé de vous recevoir …

C'était le valet de chambre de  Greg … Il nous installait sur la terrasse nous servait un rafraîchissement … La terrasse de Greg était plus petite que la mienne mais son appartement faisait presque le double … Un peu plus tard on sonnait à la porte, une très jolie jeune femme entrait , Stéphane la recevait avec beaucoup d’égards. Elle nous rejoignait … 

Sophie : Bonsoir, je m'appelle Sophie, tu dois être Djé et toi Luc ?
Luc : ( décontracté ) Non, c'est le contraire !
Sophie : ( amusée ) C'est vrai que vous vous ressemblez !
Luc : Moi je vous connaissais pas mais je ne vous aurais pas confondu !
Sophie : Il est amusant ton frère !
Moi : Il est encore très jeune, dix sept ans, c'est l'adolescence, il ne faut pas lui en vouloir ! Et tu es donc une amie de Greg ?
Sophie : Non, je suis sa sœur, sa jeune sœur . On a presque dix ans d’écart !



Ep 29 SOPHIE



Elle était tout simplement magnifique, rayonnante, charmante, cultivée … J'étais sous le charme !

Greg arrivait un peu plus tard . 

On passait à table. Stéphane cuisinait aussi bien que Charles, le repas était divin. On parlait de ce projet, ces nouveaux cours … Les inscriptions étaient toujours ouvertes,  mais il y avait une condition … Porter le dispositif de chasteté … Des séjours de vacances étaient prévus pour ceux qui choisissaient de porter le '' truc '' également pendant les vacances … 

Sophie : Alors Greg ton projet avance ?
Greg : Les nouveaux cour ? Oui ça avance !
Moi : Mais il s'agit de quoi exactement, on ne m'a pas donné de détails !
Greg : En fait, pour faire court, on ouvre une nouvelle école !
Sophie : Pour les premières années de son fonctionnement, elle sera sous la tutelle de ton école actuelle, ensuite, elle fonctionnera seule !
Greg : On t'a pas expliqué Djé quand tu t'es inscrit ?
Moi : Non mais j'ai l'habitude d'être toujours le dernier à être au courant ! Et quand doit-on s'inscrire ?
Greg : Tu n'es pas inscrit ?

Sophie rigolait …

Moi : Bein non ! On ne m'a parler de rien 
Sophie : Mon pauvre on t'a oublié !
Greg : Mais pourtant je croyais que …

Il allait vérifier !

Greg : Pourtant tu es inscrit, en tête de liste … En fait tu es le premier inscrit !
Moi : On ne me dit jamais rien à moi !

On finira par apprendre plus tard que c'était dû à une erreur de secrétariat … Ma présence semblait tellement logique, tellement évidente que mon nom avait été inscrit au tout début. Par la suite personne ne me faisait parvenir de bulletin d'inscription, pourquoi l'aurait-on fait, j'étais déjà inscrit !

Greg : Je suis désolé, mais si ça ne te convient pas, on peut te désinscrire et te trouver une place dans les cours habituels !
Moi : Bien sûr que non, je me serais inscrit tu le sais très bien !
Sophie : Si ça commence comme ça ! ( en rigolant )

Luc ne disait pas grand chose (pour une fois),  il écoutait et s'informait de tout !

Je devais commencer mon stage le lendemain, et je demandais à Greg s'il pouvait faire visiter le campus à mon frère … Sophie se proposait pour s'occuper du petit … Le petit réagissait à se surnom et nous faisait bien rire … 

Un peu plus tard dans la soirée Luc me demandait s'il pouvait rentrer et s'il pouvait profiter de ma salle de bain … Sophie nous laissait également, elle retrouverais Luc le lendemain à l'école. Cette fille était vraiment adorable et j'aurais bien pris la place de mon frère s'il devait passer la journée suivante avec elle … Je restais donc avec Greg à discuter longuement Stéphane avait disparu et je finissais même par l'oublier … 

Je ne sais pas à quel moment les choses ont un peu déraper, je me retrouvais dans les bras de Greg et lui dans les miens … Je ne sais plus qui a commencé mais quand il posait ses lèvres sur les miennes je n'avais pas envie de détourner mon visage … Je lui rendais son baiser … Ma cage était sur point d'exploser !

Greg : Tu te souviens de ce soir au château ?
Moi : Antoine et Charles nous avaient rejoint !

Il m'embrassait dans le cou … Je lui mordillais le lobe de oreille … Il gémissait … Je le caressais … Il m'ouvrait ma chemise … Je glissais ma main contre son corps … Il m'embrassait les tétons … Je lui caressais la tête … Il faisait glisser ma chemise … Je lui retirais la sienne … Il m'attirait contre lui … Je le serrais très fort … Sa peau contre ma peau était douce … Je l'embrassais à mon tour dans le cou … Je me retenais de lui faire un suçon … Il ouvrait mon pantalon … Je glissais ma main dans le sien … '' Tu me chatouille ! '' … '' C'est toi qui a commencé '' … '' C'est pas vrai, c'est toi ! '' … 

De toutes évidences on n'était pas d'accord ! ...

Il faisait tomber mon pantalon sur mes pieds … Je lui ouvrais son ceinturon et en faisait de même !

Greg : C'est une habitude on dirait !
Moi : Quoi ?
Greg : Tu ne portes pas de sous vêtements !
Moi : J'aime voyager léger !

Il me pelotait les fesses … Je le serrais fort contre moi et l'embrassais … Il me glissait un doigt entre les fesses … Je le repoussais sur le canapé … Je l'embrassait sur tout le corps, doucement en commençant par les  épaules pour terminer par le bas de son ventre … Je lui caressait les couilles … Il gémissait de plaisir … Il était lui aussi sous pression dans sa cage !

Il me retournait et je me retrouvais sous lui allongé sur le dos sur le tapis . Il me chevauchait … Il me caressait avec douceur et fermeté comme s'il me massait … Les épaules, les bras, le torse, les tétons, le ventre, il passait ses mains dans mon dos et me mordillait le ventre … Je gémissais … Je me tordais de plaisir .

Ses mains descendaient vers mes cuisses et me les caressait … D'abord le devant de mes cuisses … Puis ses mains glissaient vers l'intérieur, elles remontaient et s'attardaient dans cette zone sensible tout en haut de mes cuisses et la base du mon sexe … Un doigt se glissait dans la raie de mes fesses . C'était presque douloureux dans ma cage !

Il pausait mes chevilles sur ses épaules et maintenant me massait les cuisses puis les fesses … il introduisait un doigt, puis deux dans mon cul … Je penchais la tête en arrière et gémissais de plus en plus fort … Il attrapait, je ne sais ou, un plug de beau diamètre et surtout long de plus de vingt centimètres … Mes gémissements se transformaient en plainte quand il me l'enfonçait dans le cul … C'était tellement bon … 

On m'avait chauffé comme un malade depuis des mois … Je le laissais faire, j'étais aux anges et il s'en rendait compte … Le plug était bien en place, je le sentais qui me remplissait bien et me donnait des sensations terribles à chacun de mes mouvements … 

Je retournais Greg sur le dos, le chevauchais à mon tour et lui rendait coup pour coup ce qu'il venait de me faire … Il à adoré … Un plug identique traînait par hasard à coté de nous sur le sol, Stéphane serait-il aussi léger dans son ménage que Charles en tous cas sur ce point ? Doucement je le glissait dans le cul de Greg qui gémissait en poussant des petits cris à chaque respiration !

On s'enlaçait, à genoux, face à face, chacun une main dans le dos son partenaire et l'autre main qui massait le plug en exerçant des pressions régulières … Rapidement notre souffle devenait plus fort, on râlait de concert, on s'embrassait . Je l'entendais pousser de vrais cris de plaisir et en même temps je sentais un liquide chaud couler sur ma cuisse, il éjaculait, il jouissait … Il n'en fallait pas d'avantage pour provoquer chez moi une réaction similaire … Je jouissais également … Chacun arrêtait de masser le plug de l'autre … On se relevait, on passait dans la salle de bain rapidement … Encore quelques câlins puis je laissais Greg et remontais chez moi !

Ça faisait un moment … Je me sentais mieux . De plus en plus le port de mon dispositif devenait douloureux ! Pas en permanence, seulement par moment quand j'étais vraiment stimulé, quand la stimulation durait trop longtemps . A l'appart, pas un bruit, je jetais un œil dans la chambre de Luc,  personne ! Dans ma chambre,  personne ! Il s'était endormi dans le bain à remous … Je hurlais … 

Moi : Debout, c'est l'heure de se lever, t'as bien dormi !

Il sursautait …

Luc : C'est malin ! Tu as failli me faire peur, il est quelle heure ? C'est maintenant que tu rentres ? Tu as pris une douche !

Mais c'est qu'il est observateur mon petit frère !

Luc : Tu as demandé à Greg ?
Moi : Demandé quoi ?
Luc : Le truc que tu portes, tu sais, le dispositif de chasteté .
Moi : Mais comment tu sais que  c'est à lui qu'il faut le demander ?
Luc : C'est lui qui organise la création de ces nouveaux cours . Tu crois peut être que j'ai pas écouté ce que vous disiez ce soir ?
Moi : Tu es un petit malin toi !
Luc : Je suis sûr qu'il en porte un aussi ! Dis tu lui demandes .
Moi : Promis, je lui demande la prochaine fois que je le vois !
Luc : De toutes façons, moi je vois sa sœur demain alors, si tu lui demande pas …

Il fallait qu'il reste à discuter, il s'était assis par terre à poil bien sûr . Je me déshabillais moi aussi et me mettais au lit  …

Luc : C'est vraiment super beau ce genre de truc !
Moi : Et c'est pour ça que tu veux en porter un ?
Luc : Non … C'est pour explorer de nouvelles sensations ! Il paraît que …
Moi : Bon, tu me laisses dormir maintenant …
Luc : Oui, oui, je vais me coucher dans ma chambre, j'y vais tout de suite …

… Mais toi la première fois …
… Et cette sensation de gène, ça a duré longtemps …
… Et au bout de deux semaines …
… Tu n'avais pas prévu au départ …
… Et au bout d'un mois …


Moi : Luc !
Luc : Oui Jérémy .
Moi : Fout moi la paix et va te coucher dans ta chambre !
Luc : J'y vais tout de suite …
… Et au début , tu n'avais …
Moi : Dégage !

Il finissait enfin par me laisser . Après cette soirée avec Greg, j'avais vraiment besoin de dormir, je me sentais détendu, je ne bandais plus, je n'éprouvais plus la moindre gène, je dormais paisiblement . Le lendemain Luc tambourinait à la porte de ma chambre … Pas pour rentrer, il était déjà dans ma chambre mais pour me réveiller, il était à l'intérieur et il tapait à la porte en hurlant …

Luc : Debout, c'est l'heure, allez on se lève !
Moi : Mais c'est pas vrai, tu es pas un petit peu fou toi, tu as vu l'heure qu'il est ?
Luc : Justement, il y a Greg dans la pièce à coté …

Je me levais en catastrophe, en effet … J'étais presque en retard … Je me douchais en quelques minutes et encore moins pour m'habiller et j'étais prêt …

Greg : En tout cas ton frère, il est efficace pour ce qui est de te sortir du lit ! ( il rigolait ) 

Greg et Luc avaient préparé le petit déjeuner … et on s'installait tranquillement dans la cuisine .

Greg : Tout va bien on n'est pas en retard, on est encore dans les temps ! Je viens d'avoir Justine au téléphone, on à convenu que je te conduisait au tribunal, elle t'y retrouve tout à l'heure … Ensuite je prends le petit …
Luc : Le petit ?!
Greg : Sophie le prend en garderie à l'école …
Luc : En garderie ?!
Greg : J'espère qu'il va être sage ! S'il te plaît Luc arrête de me couper la parole tu seras mignon !
Luc : Chuis pas mignon !
Moi : Allons Luc, tu ne vois pas qu'il te fait marcher !

Greg rigolait, j'en faisait autant, Luc faisait la grimace mais on sentait qu'il avait lui aussi envie de rigoler . Peu après, on prenait la route … Greg me laissait comme prévu devant le tribunal et repartait avec le ''petit'' à mon école, Joss arrivait quelques instants plus tard . 

Il était en avance. Il m'expliquait que c'était une affaire très simple, une entreprise avait signé un contrat pour exploiter un brevet appartenant à Mr Le Conte mais ne respectait pas les termes du contrat, Justine allait donc demander l'annulation du contrat … Ça risquait de mettre cette entreprise en difficultés mais, bon, rien ne lui interdisait de respecter ses engagements …

Justine arrivait peu après, on attendait. En fait, au tribunal on a passé plus de temps à attendre que devant le juge … Pour Justine l'affaire était claire, elle demandait la stricte application des textes de lois ainsi que les termes du contrat … Et elle l'obtenait … J'étais déconcerté, tout paraissait si simple …

Joss : Tu sais Djé, avec ma patronne, les choses sont souvent très simples …
Moi : Pour moi c'est surprenant et très nouveau …

Finalement le travail de Justine était … comment dire … quand je voyais ça je me disais que j'avais bien fait de ne pas faire d'études de droit … Pfffrrr. Ce qu'on voit à la télé, ces envolées lyriques d'un avocat qui par son discours, sa conviction, la force de sa voix ou de ses arguments … Tout ça c'est du flan ! Le travail de Justine consistait surtout à rédiger des contrats en des termes qui ne présenteraient aucune équivoque … A s'assurer que les contrats étaient respectés et dans le cas contraire les faire respecter devant le juge … Il n'y avait pas à plaider, juste à rappeler les engagements pris dans le contrat et de quelle manière ils n'étaient pas respectés !

Par moment je me demandais si je n'aurais pas mieux fait de faire un stage à la friterie du coin ! Surtout que la bas le cuisinier était canon ! Le soir arrivait vite, j'avais classé des dossiers, ouvert du courrier, fait attendre deux visiteurs, pris le café et dîné avec Joss … Je rentrais le soir Luc était avec Sophie, ils avaient sympathisé ces deux là …

Moi : Salut les jeunes , la journée s'est bien passée ?
Luc : Oh oui ! Ce matin j'ai donné un coup de main à ton école, on m'a présenté ton directeur, j'ai rencontré Mathias il m'a dit qu'il te connaissait, il a l'air sympa Mathias. Et après on est allé se  faire bronzer avec Mathias et Sophie, ensuite on est revenu et j'ai dit à Sophie que tu allais nous inviter au restaurant … Dis tu nous invites au resto ?
Sophie : Ne l'écoute pas Djé, il un peu fou fou ton frère, tu n'est pas obligé de nous inviter, on n'en avait même pas parlé .
Moi : Oh et puis … C'est une bonne idée … Resto pour tous ! Je me change et on y va … 

On arrivait au resto peu de temps après, en me voyant arriver Luis venait nous ouvrir la porte …

Luis : Ça va Djé , ça faisait longtemps , tu étais en vacances on m'a dit ?
Moi : Je suis arrivé hier . Je te présente Luc, mon petit frère et Sophie la sœur de Greg .
Luis : Jeune homme ! Mademoiselle ! Je ne savais pas que Greg avait une petite sœur. Tu veux ta table habituelle ?

Luis nous installait .

Luc : Ta table habituelle ! Il nous ouvre la porte ! Ça se passe toujours comme ça avec toi ? Avec l'accueil que ton directeur m'a réservé quand il a su que j'étais ton frère … 
Sophie : Il semble que notre ami Djé soit très populaire ici !
Luc : J'étais prévenu mais ça surprend quand même !

Sophie nous racontait son travail, elle était venu porter main forte à son frère. C'était pas simple, il fallait organiser les salle de classe, recruter des enseignants ( porteurs ), Le plus laborieux était l'interna … les installations sportives existaient déjà, mais il fallait s'organiser si on voulait que tout le monde puisse s’entraîner. Son oncle était un mécène pour cette école depuis longtemps au travers de ses divers sociétés, ce qui lui ouvrait de nombreuses portes …

Moi : Au fait, le directeur ne vous a pas demander si vous pouvez lui présenter Mr Le Conte ?
Sophie : Il ne sait pas que nous sommes ses neveux !
Moi : Un jour il finira bien par l'apprendre, et ce jour là, je veux voir la tête qu'il va faire !
Sophie : Il souhaite rencontrer mon oncle ?
Moi : Oui, il m'en à déjà parlé !
Sophie : Ça finira par se faire !

Sophie étudiait le droit , le commerce ainsi que cinq langues étrangères, elle en parlait déjà couramment trois … Elle avait de l'avance dans ses études … Elle était vraiment cultivée … Elle était aussi très douce … Elle faisait preuve de patience … Contrairement à son frère qui ne s'intéressait qu'à la littérature et à la philosophie, elle voulait reprendre la direction des affaires de son oncle … Elle en était une des principales héritières avec son frère, il y avait bien un troisième héritier mais sa part dans l'entreprise était moins importante, ce qui le mettait tout de même à l'abri du besoin … 



Ep 30 LE STAGE



Luc voyait Sophie tous les jours, ils sympathisaient ces deux là … Le matin il rendait service à mon école, et l'après midi il allait se baigner à la rivière faisait du tourisme, visitait une exposition ou un musée. En quelques jours il avait ses entrées partout, on le présentait en précisant que c'était mon frère et toutes les portes s'ouvraient devant lui. Il ne me cachait pas qu'il aimait cette popularité. En un mot il s'éclatait !… 

Pour moi ce stage c'était une corvée … Non pas que l'ambiance était désagréable mais c'était le boulot, c'était juste un travail de bureau, de paperasseries … Je ne voyais pas les choses comme ça ! Justine était adorable avec moi ! Le midi on se retrouvait souvent au resto, sinon il y avait Joss, on ne me laissait pas tout seul ! Un jour au resto pendant la première semaine.

Justine : Alors Djé, ces trois premiers jours … 
Moi : Je ne voyais pas les choses comme ça !
Justine : Ça surprend au début, mon travail consiste surtout à rédiger des contrats et veiller à leur application … 
Moi : Et ces envolées lyriques … Ces avocats qu'on voit dans les films ?
Justine : C'est dans les films, c'est du cinéma !

On parlait aussi de tout autres choses …

Justine : Au fait tu vas bientôt faire connaissance avec mon fils.
Moi : Tu as un gamin ?
Justine : C'est plus vraiment un gamin … Il a ton âge !

J'ouvrais des yeux tout ronds.

Moi : Mais tu l'as eu quand tu étais gamine ou quoi !
Justine : Allons Djé, je n'ai pas voulu trop attendre, mais je n'était plus une gamine, loin de là ! 
Moi : Mais tu as quel âge ?
Justine : On ne t'as jamais dit qu'il ne faut surtout pas pauser ce genre de question à une dame ! Tu mériterais une gifle !
Moi : Mais enfin … Ça va j'ai compris, c'est une blague, tu n'as pas de gamin aussi vieux … Tu te moques de moi !
Justine : Mais enfin Djé, quel âge tu me donne ?
Moi : A peine plus de trente ans !
Justine : Tu es mignon finalement ? C'est l'âge qu'on me donne d'habitude mais je viens de passer mes quarante huit ans !
Moi : J'y crois pas, tu es splendide !
Justine : ( en rigolant ) Vas y répète moi ça, j'adore !
Moi : C'est pas une blague, ça m'épates ! Tu es vraiment magnifique ! Je croyais que toi et Joss aviez le même âge …
Justine : Lui, il a un peu plus de trente ans … Tu sais, c'est un porteur !
Moi : Je m'en doutait, je sais pas pourquoi, mais je m'en doutait ! Et ton fils ?
Justine : Jessy, je pense que c'est pas pour lui, en tout cas pas pour le moment !

Quelques jours plus tard, Justine devait s'absenter jusqu'au lendemain et me demandait de l'accompagner, je lui servirais de secrétaire … Joss était absent, il négociait un contrat je ne sais où. Je lui servais aussi de chauffeur …

Justine : Dis moi, tu portes ton truc pour quelles raisons, la motivation, la frustration … 
Moi : Un peu les deux … Ça motive c'est sûr et la frustration donne des sensations assez fantastiques.
Justine : Et tu te livres à des jeux libertins ?
Moi : Justine, tu me gênes !
Justine : Cette tête que tu faisais quand tu es sorti des vestiaires pendant la compétition … Les deux chauffeurs qui étaient sortis peu avant avec un grand sourire … J'ai entendu, d'un d'entre eux faire un commentaire …
Moi : Bon d'accord, j'avoue, je plaide coupable votre honneur !
Justine : J'aime bien les jeux libertins, et justement, je pensais … 
Moi : C'est quoi exactement ce que nous allons faire … 
Justine : Toi, je ne sais pas mais moi, je vais m'envoyer en l'air !
Moi : C'est du propre ça … Une honnête mère de famille trentenaire !
Justine : Tu en rajoutes, parle moi plutôt de la frustration de te sentir emprisonné ? 
Moi : Ça c'est quelque chose de très fort !

Je lui parlais des sensations que j'avais éprouvé après de longues période de totale chasteté … Elle semblait fascinée … On parlait ensuite de mes préférences sexuelles, les filles oui, les garçons aussi … 

Justine : Tu aime les jeux érotiques !
Moi : En fait, c'est à cause d'un jeu érotique si j'en suis là !
Justine : Et tu aimes ?
Moi : Il y a des jours ou je me demande qu'est-ce-que je suis venu faire dans cette galère, et d'autres …
Justine : Tu recommencerais ?
Moi : Sans hésitation !
Justine : Moi aussi j'aime les jeux érotiques … Un jour j'ai invité Joss à un de ces jeux que j'aime bien … Frustration pour lui et plaisir pour moi !
Moi : Il a aimé ?
Justine : La première fois il en à presque fait une jaunisse !
Moi : Et la seconde … ?
Justine : Il en a redemandé !

Elle avait un petit sourire malicieux en disant cela ! Nous avions roulé pendant plusieurs heures … On s'arrêtait pour le dîner. On reprenait encore l'autoroute pendant une petite heure, on passait une ville, un village, un bourg … Je ne savais plus ou j'étais, elle me guidait, une grille d'entrée, un jardin, une grande maison moderne, luxueuse !

On n'avait pas pris de bagages, on descendait, un homme genre balaise venait vers Justine les bras grand ouverts. Il la prenait dans ses bras l'embrassait et venait me serrer la main … Justine nous présentait.

Henri : C'est ton stagiaire ? Enchanté Djé, moi c'est Henri

Il nous faisait entrer, on passait au salon, Henri nous servait un petit verre.

Henri : Alors, c'est toi le fameux Djé !
Moi : Oué, c'est moi !
Henri : Alors il sera notre public ? ( à l'intention de Justine )
Justine : Il m'a dit qu'il aimait bien les jeux érotiques !
Henri : Oui mais tu lui as dit que lui ne jouait pas !
Moi : De quoi vous parlez ?
Henri : Toi tu regardes, c'est tout !

Il mettait de la musique et commençait à danser avec les déhanchements d'un strip-teaser, Justine le rejoignait et commençait alors une danse sexy à vous faire tomber les cheveux de la tête ! Justine se frottait contre lui, il la prenait dans ses bras, la retournait contre lui, lui caressait le dos, les fesse ou le ventre, les seins selon la position qu'elle prenait …

Lui debout, elle debout devant ! Elle lui tournait le dos. Il posait son menton sur son épaule, elle tournait la tête, ils s'embrassaient … Ses mains couraient sur le ventre de Justine depuis son sexe jusqu'à son cou. Il s'attardait sur ses seins. Il avait de grosses mains mais ça ne l'empêchait pas d'être d'une grande douceur, il lui ouvrait son corsage … Elle avait passé ses mains dans le dos d'Henri, elle relevait la tête en arrière et l'embrassait … Il ouvrait son soutien-gorge et le lui retirait avec délicatesses. Elle était face à moi, torse nue entièrement livrée aux caresses d'Henri … Je bavais à moitié en regardant cela … Ma cage allait exploser et me provoquait une certaine douleur ! Elle me regardait en me souriant, elle appréciait cette situation, ces caresses, ce contact chaud, doux et viril !

Elle était vraiment bien foutue ! Quarante huit ans, c'était pas vrai, elle m'avait fait marcher ! Ma cage était sous pression !

Elle se retournait et c'était elle qui maintenant déshabillait son amant … Elle ouvrait sa chemise, glissait une main en dessous … elle se serrait for contre lui, lui embrassant le torse, remontait ses mais sur ses épaules et faisait glisser la chemise. Ils se retrouvaient alors tous les deux torses nues, enlacés, ils se caressaient, s'embrassaient avec tendresse et de plus en plus de passion … Mon cœur battait très fort.

Henri tombait à genoux devant Justine, il enfonçait son visage entre ses cuisses, il déboutonnait sa jupe et la faisait tomber avec ses sous vêtements … Il gardait son visage bien enfoncé entre les cuisses de Justine dont le visage exprimait du plaisir. Justine lui caressait les cheveux, appuyait sur sa tête, et écartait bien les cuisses. Elle n'aurait eu qu'à claquer les doigts pour que je le remplace !

Il se relevait en déposant doucement un baiser sur le ventre de Justine touts les centimètres, doucement, il prenait bien sont temps … Justine lui retenait la tête et lui caressait les cheveux … Il déposait enfin un baiser plein de tendresse sur les lèvres de Justine … J'avalais ma salive …

Justine toujours sans précipitations lui donnait un baiser dans le cou, puis plus bas en se mettant à genoux l'embrassait à son tour, ouvrait son pantalon, avec délicatesse en sortait un bite de très grosse taille … J'étais en transe … et la prenait dans sa bouche sans frémir et sans difficultés apparentes … Là c'est moi qui frémissait …

Je me demandais si la meilleur place était celle d'Henri ou celle de Justine … Entre les deux, j'hésitais … Entre les deux, oui … Ce serait là finalement la meilleure place … 

Ils étaient nus. Henri était devant moi, devant, lui tournant le dos, Justine … Le pénis d'Henri, un gros morceau, dépassait entre les cuisses de Justine, elle le caressait d'une main se caressait en même temps. Il l'embrassai, lui caressait les seins, le ventre … 

Justine : Ça va Djé ?
Moi : Fa teu p't'aller !
Henri : Ça a l'air d'aller !

Justine se retournait et faisait face à Henri, il la soulevait doucement, elle passait ses jambes dans le dos d'Henri, et tout doucement il l'empalait sur sa bite. Elle râlait de plaisir, se retenait à son cou en serrant bien ses jambes … Commençait une nouvelle danse ou Henri soulevait puis reposait Justine à un rythme régulier qu'il accélérait ou ralentissait. Je restais sans voix le souffle court !

Henri s'asseyait sur le canapé, Justine ne le lâchait pas, toujours empalée sur son énorme bite … Ils faisaient une pause puis recommençaient avant de faire de nouveau une pause … Justine restait assise sur la bite de son amant !

Justine : Dis moi mon petit Djé, tu  pourrais me servir un verre, tu serais mignon !
Moi : Chui prèt mignon toi !

Je remplissait un verre en tremblant puis le buvais d'un trait. Je réalisais alors que le verre, c'était pas pour moi, j'en reversais un second et l'apportait à Justine qui rigolait, elle m'avait vu faire ! 

Henri : ( d'un air amusé ) Pendant que tu es debout, tu pourrais m'en servir un aussi, s'il te plaît ?

Je m’exécutais sans rien dire. Au point ou j'étais, je préférais ne plus rien dire plutôt que de bafouiller.

Justine : Tu devrais te déshabiller aussi Djé, ça va te détendre !
Moi : Sui prétendu du pout moi ! 

Ils éclataient de rire avant de reprendre leurs mouvements et leurs caresses … Je me déshabillais machinalement … Ma cage était à la pression maximale et se relevait bien en avant, tout semblait en ordre mais je ressentais un véritable douleur de ce coté là. Pas autant que les premiers jours plus d'un an plus tôt mais c'était vraiment désagréable !

Je restait là, debout en face d'eux, la table de salon entre nous, j'avais l'air bête je suppose. Je les fixais sans pouvoir détacher mon regard … Justine se relevais, se retournait, me regardait avec un petit sourire malicieux, écartait les jambes et revenait sur son amant, s'asseyait sur ses genoux en introduisant doucement le pénis d'Henri dans son sexe … J'étais à la première loge … Je voyais chaque centimètre s'introduire. Justine semblait aux anges, elle bougeait alors son bassin de haut en bas puis de coté puis d'avant en arrière puis tout ça à la fois, Henri en faisait autant, les mouvements s'accéléraient, leurs souffles devenaient irréguliers, le mien était court, Justine râlait de plaisir, Henri avait le souffle irrégulier, Justine hurlait, elle jouissait, Henri ne lâchait rien, quelques instants plus tard il gueulait également au moment ou il jouissait … Les mouvements redevaient plus tendre, plus doux, plus lents … Je suffoquais, j'avais du mal à avaler ma salive ! 

Justine se relevait, un long filet de liquide blanc fuitait au moment ou le pénis d'Henri ressortait. Toujours avec son petit sourire malicieux, elle se retournait vers moi …

Justine : Tu nous accompagne à la salle de bain Djé, tu pourrais nous tenir la serviette !
Moi : G...... !
Justine : Ça va Djé ?
Moi : G... O... !
Henri : Ça a l'air d'aller ! ( avec un petit sourire malicieux )

Je les suivais dans la salle de bain … Ils laissaient largement la porte de la douche ouverte, je les regardais se laver l'un l'autre, ils se caressaient, s'enlaçaient, se rinçaient …

Justine : Tu peux me passer la serviette mon petit Djé ?

Je lui tendais le shampooing .

Justine : C'est presque ça, on va y arriver !
Moi : G... H... !
Justine : Je suis tout à fait d'accord avec toi Djé !

Je lui tendais une serviette, elle la prenait en me caressant doucement le torse depuis ma gorge jusqu'à ma cage, qui restait sous pression depuis maintenant un bon moment !

Henri : Tu m'oublies bonhomme !
Moi : … !!

Je lui tendais une autre serviette, il la prenait en me donnant une vigoureuse claque sur une fesse .

Henri : Tu devrais prendre une douche froide toi !

Ils ressortaient de la salle de bain en se séchant et en rigolant …

Henri : J'adore la tête qu'il font tous à chaque fois, il me fait penser à Joss !

Finalement je prenais une douche froide, bien froide … Je n'avais aucune issue possible, je ne pouvais pas me branler, je n'avais pas de gode non plus, aucun copain avec qui … C'était un vrai cauchemar, ma bite me faisait mal, la pression était à son maximum et ne baissait pas … C'était le pied ! J'adore et je comprend Joss qui en redemande !

Mais je vais me libérer quand moi ? Encore  une semaine de stage, ensuite je vais passer un séjour au château, je connais les lieux et je n'y resterais pas juste une journée mais plusieurs semaines, ensuite on sera presque à la fin des vacances, je reprend dans les cours réservés aux porteurs … AAAAhhhhhhh ! 

Mais qu'est-ce-que je suis venu faire dans cette galère moi ! ... ( Il y avait longtemps ! Note Du Narrateur )

Pendant ce temps, Henri et Justine s'étaient habillé ! Il m'attendaient pour sortir, on se faisait une soirée resto … Dans ma cage, la pression ne baissait pas … Justine me proposait des vêtements qui appartenaient à son fils, nous faisions la même taille. Je me retrouvais tout beau, tout propre, tout neuf, tout tendu, toujours sans sous vêtements mais ça on s'en moque ! J'avais pas eu une telle envie de baise depuis … Je ne sais plus depuis combien de temps mais là ça devenait dur, c'était génial !

Je servais toujours de chauffeurs, on m'indiquait la route, on arrivait rapidement à un restaurant de très grande classe … Je sens que je vais finir ma m'y faire moi au luxe … D'abord la Rolls, ensuite un appartement de grande classe, un valet de chambre … Et maintenant on me sort dans des restos de grand standing … Finalement c'est pas une galère cette histoire !

Pendant le repas on discutait, on faisait connaissance Henri et moi.

Henri : Alors tu  habites ou le stagiaire ?
Henri : Alors tu vas bientôt faire connaissance avec mon gamin, Jessy !
Moi : Toi aussi tu as un gamin qui s'appelle Jessy ?
Henri : Justine et moi on l'a fait ensemble !
Moi : Je me doutais depuis tout à l'heure que vous saviez comment il fallait s'y prendre !:
Henri : Mon ex femme avait raison quand elle m'a dit que tu était un marrant !
Moi : Ton ex femme ?

Justine était éclatée de rire à coté d'Henri …

Henri : Mon ex, Justine …
Moi : Vous pourriez m'expliquer, là je ne comprend plus rien !
Justine : On à divorcé …
Henri : On ne pouvait plus se supporter …
Justine : Le poids de la vie de couple et tout et tout …
Moi : Bon d'accord mais maintenant tout semble être rentré dans l'ordre, vous pourriez vous remarier !
Henri : C'est ce qu'on s'est dit !
Justine : Aussi on s'est remarié !
Henri : Ensuite on a divorcé !
Justine : On ne pouvait plus se supporter !
Moi : Je commence à peu prêt à comprendre la situation !
Henri : Et tu sais combien ça coûte un divorce ?
Justine : Surtout quand le conjoint est avocat !
Henri : Hola ma grosse ! Tu es avocate aussi !
Justine : Tu m'as dit '' ma grosse '' espèce d'impuissant …
Henri : Tu me traite d'impuissant! Tu vas voir ce que tu vas voir !
Justine : Tu crois que tu me fais peur peut être !

Je savais plus quoi dire, le ton montait !

Henri : T'as jamais eu peur de personne !
Justine : Alors quoi, tu veux faire quoi !
Henri : Te retourner sur la table et abuser de toi par tous les orifices !
Justine : Je me doutais bien que tu pensais à ce genre de truc mais … ( puis sur un ton très calme ) On est dans un restaurant !
Henri : Pas de chance, tu ne perds rien pour attendre !

Le ton retombait … Ils éclataient de rire …

Henri : Mon amour, tu as vu la tête qu'il à fait ton stagiaire …
Justine : Arrivé à ce moment, Joss avait déjà complètement paniqué lui …
Moi : C'est malin !
Henri : Juste  une question stagiaire, pour savoir, entre elle et moi tu préfère te retrouver ou ?
Moi : Bien sûr si je ne portais pas mon truc ?
Henri : C'est évident ! Si tu retire ton '' truc '' entre elle et moi, tu choisis quoi ?
Moi : Entre elle et toi !
Henri : C'était la question …
Moi : C'était ma réponse …
Henri : Comprends pas ?
Moi : Entre elle et toi, elle devant, toi derrière !

Ils éclataient de rire …

Henri : Tu as de l'humour Djé, tu n'es pas seulement un petit malin, tu es aussi un petit vicieux … Et j'aime ça !



Ep 31 LUC



Justine était pas seulement vicieuse mais un petit peu sadique … Elle aimait bien chauffer les garçons qui l'entouraient et qui portaient un dispositif de chasteté. Henri lui n'en portait pas ! Il aimait bien aussi chauffer les garçons qui en portaient. Ces deux là formaient un couple un peu spécial, deux fois divorcé mais toujours ensemble !

Le retour était jovial, ils avaient un peu bu … J'étais resté sobre, pas le choix c'est moi qui conduisait … On s'installait sur la terrasse, il n'y avait aucun vis à vis, Henri sortait les bouteilles de Champagne,les flûtes et en servait quatre …

Henri : Vas y Djé, je t'en sers deux, tu as du retard sur nous …

Rapidement ils se retrouvaient à poil, je regardais ça avec envie, encore une fois de plus ma cage me faisait mal ! Je picolais, Henri et Justine se mélangeaient de nouveau, ils ne s'étaient pas vus depuis près de deux semaines, Henri était en déplacement à l'étranger . 

Henri : Allez met toi à poil Djé !

Je m'exécutais, sans conviction, je savais que cette bande d'enfoirée en voulait à ma … à ma sérénité . '' Bande d'allumeurs ! '' .

Henri s'était allongé sur le dos sur un tapis très épais … Justine s'était assise sur lui en s’empalant confortablement. J'avais envie d'être à sa place … Celle de Justine ? Celle d'Henri ? Les deux peut être … Les deux en même temps .. Le pied ! 

Elle se penchait sur lui, ses seins lui chatouillaient les tétons, elle l'embrassait avec tendresse sur tout le visage, lui caressait les bras, les cotés de son torse … Ce n'était que tendresse, douceur, câlin … Henri relevait, se mettait en position assise les jambes allongées, Justine restait en place et en profitait pour passer ses jambes dans son dos …

Henri : Tu nous sers un verre mon petit Djé ? Et n'oublie pas de t'en servir au moins deux !
Moi : Y en a plus, la bouteille est vide !
Henri : (en embrassant Justine) Tu pourrais aller voir dans le bar, la salle à coté, il en reste, tu peux me croire, rapporte en deux ou trois on sera tranquille un moment .

En effet il y avait un bar dans la salle à coté et au moins deux cartons de champagne au frais ! Je ramenais trois bouteilles … Je leur servais un verre chacun et j'en buvais deux coup sur coup avant de m'en servir deux autres …

Henri retournait Justine sur le dos et commençait à la limer doucement puis de plus en plus vigoureusement. Ils semblaient m'avoir oublié et ne se souvenaient de moi que quand ils faisaient une pause et me demandaient de leur servir un verre. Ma queue allait exploser, ma cage me faisait toujours un peu mal, je tentais de la réajuster en tirant sur la peau comme je le faisais les premiers jours … Ça me soulageait un peu mais sans plus … Je me versais un verre, mon téléphone sonnait ! Un verre dans la main, le téléphone dans l'autre, une gène entre les cuisses j'allais répondre dans un endroit  plus calme … C'était Luc !

Luc : Ça va Jérémy ?
Moi : Ouai ! Ça va ! (sur un ton sec et agacé)
Luc : Bein dis donc, t'en as pas l'air !
Moi : Qu'est-ce-que tu me veux ?
Luc : Bonjour la bonne humeur ! Bon tu as eu une journée difficile ! Je voulais savoir quand tu rentres …
Moi : J'en sais rien moi, comme c'est parti, c'est deux là … Je veux dire cette affaire là risque de se prolonger … Demain c'est vendredi … Ça m'étonnerait pas que ça se prolonge tout le week-end !
Luc : Bon, je vais donc devoir me débrouiller tout le seul … oui tout seul ...
Moi : Arrête un peu de jouer les martyrs, tu n'est plus un bébé … Tu devrais survivre, tu as assez d'argent, le frigo est plein … Si tu as vraiment un problème tu appelles Greg et tu me contactes … Ok !
Luc : Ça marche, a lundi Jérémy !

C'est le seul qui ne m'appelle pas Djé celui-là … J'entendais crier … '' A boire, on à soif ! '' Je revenais avec deux nouvelles bouteilles … Je les retrouvais tous les deux allongés sur le dos cote à cote, ils étaient en sueur, le souffle court ! Je remplissais les quatre verres, il en buvaient un chacun je buvais les deux autres . A ce rythme là je ne tardais pas à m'endormir sur le transat sur la terrasse … C'est le soleil qui me réveillait le lendemain matin, j'avais un couverture sur moi … Ils sont peut être bien excités ces deux mais ils sont attentionnés … C'est déjà ça ! J'avais par vraiment mal à la tête mais quelque chose dans le genre …

Je cherchais la salle de bain, je trouvais d'abord la chambre. Henri et Justine dormaient paisiblement enlacés. Ça changeait un peu de les voir à la fois enlacés et calmes ces deux là … Je prenais une douche passais à la cuisine et me préparais un petit déjeuner, il y avait tout ce qu'il fallait … Je retournais ensuite me détendre et je somnolais jusqu'au moment ou on venait me réveiller … C'était Justine … 

Justine : Ça va Djé, tu as bien dormi ?
Moi : Super, il est quelle heure …
Justine : L'heure de rentrer ! Henri est parti , il avait un rendez-vous important ! Nous on se fait un resto et route ! Tu es en forme ?

J'avais récupéré, je me sentais bien … Comme prévu, on se faisait un resto et on faisait route … Le retour était calme, Justine gardait un sourire de satisfaction pendant tout le trajet … On arrivait en fin d'après midi et Justine me donnait quartier libre jusqu'à lundi . C'est un peu fatigué que je rentrais à la maison … 

Personne, Luc n'était pas encore rentré. Je décidais de prendre un bain, je m'imaginais dans le bain bouillonnant … J'entrais dans ma chambre et commençais à me déshabiller, j'entrais dans ma salle de bain il me restait encore mon pantalon, je tombais sur mon petit frère déjà dans le bain moussant mais pas tout seul, il était collé à un autre garçon qu'il tenait de très prêt, chacun avait le bras sur l'épaule de l'autre . Quand il me voyaient, il sursautaient …

Luc : Non, c'est pas ça, je vais t'expliquer !

Je me retirais et allais l'attendre dans la cuisine, il me semblait inutile de les mettre mal à l'aise tout les deux … Luc arrivait dans les secondes qui suivaient la serviette autour des hanches … IL avait l'air un peu affolé …

Luc : C'est pas ça, non, c'est pas ce que tu crois, … C'est …
Moi : Luc, mon petit bonhomme, tu n'as jamais remarqué que quand quelqu'un se fait surprendre dans une situation comme celle-là, il dit toujours la même chose … ' c'est pas ce que tu crois ' … Et d'après toi, je crois quoi ? Et ensuite, je voudrais bien savoir ce que tu vas me dire pour m'expliquer ce que c'est donc … Toi, avec un garçon, dans la même baignoire … Bon jusque là ça peut être tout à fait banal … Mais quand les deux garçons sont enlacés, c'est un peu moins banal … Et en plus tu avais ta bouche posée sur la sienne ! … J'aimerais bien entendre la suite !
Luc : Bon, c'est un petit peu ce que tu crois !

J'éclatais de rire !

Moi : Un petit peu, on avance … ( je continuais à rigoler en voyant sa tête )
Luc : D'accord, j'étais en train de m'envoyer en l'air avec un gars que j'ai rencontré il y a quelques jours …
Moi : Et bien voilà, on y arrive … Alors comme ça, tu es gay ?
Luc : T'es pas fâché !
Moi : Mais ça n'a aucune importance bonhomme ! Aucune !
Luc : C'est vrai ! Je vais te présenter ! Il s'appelle Bob !

Pendant ce temps là, Bob s'était rhabillé … Luc retournait dans ma chambre, je les entendais bavarder un moment. Les deux garçons ressortaient de ma chambre, Bob était un beau garçon de l'âge de mon frère, j'ai à peine eu le temps de l’apercevoir, qu'il changeait de couleur, devenait tout pâle …

Bob : Merde, Msieu Djé ! Je suis mort ! Je vous en prie Monsieur Djé, je vous promet que, non, je ne recommencerais jamais, je vous jure … S'il vous plaît Monsieur Djé … Je veux pas d'histoire moi, je savais pas, excusez moi Monsieur Djé, je vous jure … 

Il n'avait pas fini sa phrase qu'il était déjà sorti de l'appartement et se sauvait à toutes vitesses … Je me retournais vers mon frère …

Moi : Il a l'air gentil, mais … 
Luc : Mais tu lui as dit quoi pour … ?
Moi : J'ai rien dit, j'ai même pas eut le temps … Il est toujours comme ça ?
Luc : Non, d'habitude il est cool … Je vais voir !
Moi : A poil ?
Luc : Bon je vais m'habiller d'abord !

J'allais jusqu'à la fenêtre et je voyais notre nouvel ami Bob qui détallait comme un dératé !

Moi : C'est plus la peine, il est rendu loin ! Bon chaque chose en son temps, je voulais prendre un bain moi !

Luc ressortait de ma chambre, il s'était habillé …

Moi : Il est rendu loin … Moi je prend un bain, et toi tu viens m'expliquer … Ah ! Ah ! Ah ! C'est pas du tout ce que je pense … Franchement ce qu'il ne faut pas entendre !

Quelques instants plus tard Luc revenait, il n'avait pas retrouvé son copain Bob ! Il me rejoignait dans le bain, il avait l'air un peu embarrassé ! 

Moi : Alors tu racontes !
Luc : Pourquoi tu as fais ça ?
Moi : Mais j'ai rien fait !
Luc : Il avait peur de toi !
Moi : Je te jure que j'ai rien fait, et je ne le connais même pas !

Suivait une longue discussion, Luc me soupçonnait de je ne sais quoi, lui-même ne savait pas de quoi d'ailleurs . Il finissait par m'accorder le bénéfice du doute, et me racontait . Il avait rencontré Bob à la rivière le lendemain de son arrivée … Je connais le coin … Ils s'étaient revus tous les jours et ça se passait bien entre eux … Luc n'en avait jamais parlé dans la famille mais il ne s'intéressait pas aux filles . Il était gay depuis toujours. J'hésitais à lui parler plus de moi … Finalement je n’osais pas ! Bob travaillait dans une sandwicherie pour se payer son permis de conduire, il avait un peu plus de dix huit ans ! Il était donc majeur … 

Moi : Il est majeur et toi mineur. C'est peut être pour ça qu'il a eu peur ?
Luc : Tu crois ? Oui peut être … Non, je ne lui ai pas dit mon âge ! Enfin, je ne pense pas !
Moi : Comment tu sais qu'il à plus de dix huit ans ?
Luc : Il m'a dit qu'il travaillait pour se payer le permis parce qu’il venait d'avoir l'âge.
Moi : Et toi tu ne lui aurais pas répondu que tu ne pouvais pas encore le passer ?
Luc : C'est possible ! Mais bon, ça n'explique pas pourquoi il a eu peur de toi !
Moi : J'ai ma petite idée !

Finalement je lui racontais la rencontre avec William le copain à Julien … 

Luc : Et Julien, c'est un porteur ?
Moi : Ben oui !
Luc : Il y a beaucoup de gay qui portent ce truc ? 
… C'est bien vu dans le milieu des porteurs ? 
… On nous dit que c'est pas accepté ! 
… On nous raconte que les porteurs sont des modèles de vertu ! 
… Et toi tu as déjà fait des expériences sexuelles de ce genre !


C'était inévitable … Je lui confirmais que oui ! Je lui parlais du petit truc qui sert à se vider la prostate … Il me demandait de lui raconter ce qu'on ressentait … je lui faisais un briefing comme j'en ai fait si souvent depuis le début de cette affaire … 

Luc : Demain je demande à Greg ! … Tu sais, moi je le vois tous les jours !

On était en début de week-end aussi je proposais à mon frère de sortir. On se faisait une pizza, puis on allait dans le bar ou j'ai mes habitudes, on rencontrait Tristan, je lui présentais mon frère Luc. J'avais bien l'impression qu'il n'en aurait pas fallu beaucoup plus pour que Tristan ne drague mon petit frère, et Luc s'en était rendu compte …

Luc : Dis moi Jérémy, il est gay ton copain Tristan ?
Moi : Tu as remarqué toi aussi !
Luc : J'ai comme l'impression qu'il avait envie de me draguer!
Moi : Pourquoi tu dis ça ? Parce qu'il t'a fait la bise ?
Luc : Parce qu'en me faisant la bise il a essayé de m'embrasser sur la bouche !
Moi : Ah ! Tristan, il ne changera jamais !
Luc : Il est mignon, c'est pas un porteur ?
Moi : Si, tu sais il y en a un certain nombre ici !

On croisait également Romain, le copain d'Antoine. Il venait de rentrer … On se faisait la bise …

Romain : Laisse-moi deviner Djé, c'est ton frère là qui est avec toi ?
Moi : Tu as deviné juste, je te présente Luc, … Romain … ! Mais comment tu as deviné ?
Romain : Vous ne vous ressemblez presque pas ! Non, franchement il y a un air de famille !
Moi : Tu as des nouvelles d'Antoine ?
Romain : On était dans sa famille, ils sont sympa, sa mère cuisine bien, j'ai pris au moins deux kilos ! 
Moi : Je connais, ils sont adorables ! Et maintenant il fait quoi ?
Romain : J'ai pas tout compris, il est parti au Château il a dit (?) . C'est là bas qu'il va faire son stage dans la conception 3D. Ne m'en demande pas plus, je sais pas ce que c'est que le Château !

On passait la soirée tout les quatre, Tristan, Romain, mon petit frère et moi ! Luc faisait connaissance avec mes deux camarades. 

Tout naturellement Luc apprenait sans broncher que Romain était gay … lui aussi ! Qu'il sortait avec un porteur, Antoine, qui avait une copine … Que William, qui devait prochainement rentrer pour faire son stage, était gay … lui aussi !qu'il sortait avec un porteur, Julien, qui avait une copine … Que c'était le cas pour un certain nombre d'entre nous … Luc semblait très excité par ce genre d'histoire …  

Tristan lui racontait le groupe de vacances … Luc apprenait alors comment j'étais rentré dans cette histoire, il entendait parler du Château, là c'est Romain qui écoutait avec attention … Luc en apprenait plus, beaucoup plus sur ma vie privée … Mes frasques à l'époque ou je suivais Antoine dans les soirées avec des filles … Mes relation un peu spéciales avec mes colocataires … Et même certains événements que je croyais confidentiels … 

Luc rigolait …

Luc : Tu m'as caché tout ça ! Ben c'est du propre ! Jérémy, moi aussi je veux rejoindre ce groupe ! Demain je demande à Greg !

On lui racontait le groupe de sport … La Rolls … Le valet de chambre … Et là, heureusement qu'Antoine n'était pas là, sinon il aurait tout appris sur nos relations avec Charles … Enfin Bref, à la fin de la soirée Luc était affranchi, il savait comment je vivais et il avait plus que jamais envie de me suivre …

Sur le retour on parlait … Il me confiait qu'il était passif, quelquefois actif, mais principalement passif … Il rêvait de porter un dispositif de chasteté depuis la première fois qu'il en avait entendu parler dans la presse … On parlait aussi de moi ce jour là dans la presse … C'est vrai que j'étais célèbre, pendant un moment on avait beaucoup parlé de moi … Je lui racontais plus de détails sur ma vie et mes expériences sexuelles … Je lui expliquais la règle … Ce qui se passe entre porteurs doit rester entre porteurs … 

Au bout d'un moment, Luc s'arrêtait. Il avait l'air un peu plus grave …

Moi : Il y a quelque chose qui ne va pas ?
Luc : Bob, c'est là qu'il travaille !
Moi : Tu veux lui parler ?
Luc : Oui, je veux lui parler, mais demain, là il travaille !
Moi : Moi je vais lui parler !
Luc : Non, S'il te plaît Jérémy !
Moi : Tu tiens à lui ou pas ?
Luc : Oui, je tiens à lui ! Mais je sais pas quoi …

J'entrais dans la sandwicherie, Bob était derrière le comptoir, il devenait tout pâle en me voyant !

Bob : Monsieur Djé, je ne savais pas Msieur Djé …
Moi : Ça va Bob ?
Bob : Oui … ça … va … 
Moi : Luc aimerait te parler mais il n'ose pas !
Bob : Je vous jure Msieu Djé, je le reverrais plus, je vous jure, je ne recommencerais plus …
Moi : Moi qui croyais que tu aimais bien mon frère !
Bob : C'est pas ça Msieu Djé, je l'aime bien votre frère mais … Je veux pas chercher la merde moi !
Moi : Tu travaille demain ?
Bob : Pas demain midi …
Moi : Bien ! Tu es donc invité à dîner à la maison ! Pas de problème ?
Bob : Non ! Mais … 
Moi : Alors demain midi, à la maison, avec le sourire, et ne t'inquiète pas c'est pas toi qu'on va manger !
Bob : Bien Msieur Djé !



Ep 32 IL EST CHAUD LE FILS A JUSTINE



Le lendemain mon frère et moi passions une partie de la matinée à préparer le repas. C'est pas Bob qu'on allait manger alors ... Un poulet ferait l'affaire, et comme ça au moins je ne risquais pas de me mettre mon frère à dos !

A l'heure prévue on frappait à la porte. Luc courrait ouvrir. Comme prévu, c'était Bob … Il s'était bien habillé, il n'avait pas vraiment l'air à son aise, un peu penaud il avait apporté une bouteille de vin … Et du bon en plus ! Je le recevais avec le sourire.

Moi : Entre Bob, met toi à ton aise. Ça va toi ?
Bob : Ça va Monsieur Djé, et vous ça va ?
Moi : S'il te plaît Bob, appelle moi Djé … Personne ne dit Monsieur Djé, c'est ridicule !
Bob : Bien Monsieur … Bien Djé !

Il faisait un temps magnifique aussi on s'installait sur la terrasse. Bob commençait à se détendre, Luc nous servais un rafraîchissement et s'installait avec nous. On bavardait, je me renseignait sur notre hôte, ses projets, ses études, sa famille. Il terminait ses études secondaires, il était en avance d'une classe par rapport à mon frère mais il avait aussi un an de plus ... 

On passait à table, l'ambiance se détendait totalement. Bob parvenait à me tutoyer … Non sans difficulté ! On finissait par aborder notre dernière rencontre … dans mon bain bouillonnant … Aussitôt Bob retrouvait son air embarrassé, Luc lui pausait la main sur son bras. Le premier  réflexe de Bob était d'abord de retirer son bras … Mais voyant que je ne réagissais pas, là encore il se détendait …

Moi : Tu es parti bien vite hier ?
Bob : On m'avait dit tellement de chose et je ne savais que Luc était ton frère sinon, je ne serais pas sorti avec lui …
Moi : Mais pourquoi, il ne faut pas avoir peur !
Bob : On dit beaucoup de choses sur toi.
Moi : En bien ou en mal ?
Bob : Tout le monde te présente comme un exemple de moralité, on nous dit que tu ne commets aucune faute morale …
Moi: On raconte donc surtout beaucoup de conneries ! Je n'ai rien de parfait.

Je lui racontais, bien sûr sans entrer dans les détails, la vie que j'avais mené un an plus tôt … Surtout sans entrer dans les détails … Ça le rassurait, je commençais à ne plus être un monstre de vertu à ses yeux, ce monstre de vertu que certains voulaient voir en moi et montrer aussi comme un exemple … Je devenais le grand frère de son petit copain … Un grand frère sympathique, ouvert et très tolérant ! 

Une fois de plus je constatais que de nombreux moralistes utilisaient mon image … Sans me demander ce que j'en pensais ils faisaient de moi un exemple de vertu, de morale, de probité, une sorte de personnage idéal dépourvu de mauvaise pensée, dépourvu de tout vice ou de tout défaut … Un corps parfaitement saint avec un esprit parfaitement pure … Un saint homme … La presse et les médias m'avaient lâché la grappe et c'était les prédicateurs qui prenaient le relais … Ceux là sont largement aussi dangereux, si un jour mon image ne correspond plus à ce qui leur convient ils n’hésiteront pas à me lapider sans jugement … Ils n'hésiteront pas à me reprocher de ne pas respecter les engagements que je n'ai pas pris … Les promesses que je n'ai pas faites … Finalement ce que je craignais il y a quelques mois, la dernière fois que j'étais allé au Château, était sournoisement en train de se produire … Il faudra y mettre de l'ordre ! 

Je lui expliquais comme je l'avais déjà fait et comme je devais le faire souvent par la suite que je n'étais pas un exemple … Que le fait de porter ce genre de truc était un choix personnel … Qu'il ne convenait pas à tout le monde … 

Un peu plus tard dans l’après midi les deux jeunes me laissaient et allaient se promener … A la rivière sûrement !

Je recevais un peu plus tard un appel de Justine, son fils venait d'arriver en ville, elle souhaitait me le présenter et m'invitait pour le souper. En attendant je faisais un peu de sport, footing, muscu et je passais une petite heure à la piscine … On a une rivière très praticable mais si c'est pour faire de l'entraînement la piscine c'est ce qu'il y a de mieux, et en plus avec un temps pareil il n'y a personne. Tout le monde est à la rivière et moi j'ai mes entrées à la piscine. 

Le soir venu j'arrivais chez Justine. Elle n'habitait pas très loin et quant elle m'avait proposé de loger chez elle on ne savait pas encore que je pourrais garder l'appartement pour les vacances. Je me présentais en costume, bien habillé, comme au Château … Un majordome me faisait entrer … Décidément tout le monde a son majordome dans ce milieu … Bon ça va je commence à en avoir l'habitude, c'est vrai quoi moi aussi j'en ai un majordome ! 

Je m'installais. Peu après un jeune homme, dans mes âge, plus vieux peut être mais à peine, arrivait … Il était plutôt mignon et je remarquais un petit air de famille avec Justine et il avait le menton d'Henri … Il venait me serrer la main avec un grand sourire !

Jessy : Djé je suppose … Ravi de faire ta connaissance …
Moi : Tout le plaisir est pour moi Jessy !
Jessy : Tu m'as reconnu ?
Moi : Tu ressembles à tes parents !
Jessy : C'est vrai que tu connais aussi mon père …

On sympathisait  rapidement, il aimait faire du sport, lui aussi faisait des études, on avait presque le même âge, il était très sympathique et très beau gosse … Je savais de qui il tenait ça et s'il était aussi bien monté que son père … Wouah ! Cette idée me rappelait par une forte pression à mon entre jambe que je portais toujours ce petit truc … Jessy n'était pas timide, il me proposait de me faire visiter la maison … C'était une grande maison, grand garage au sous sol, grand salon, grande bibliothèque, grand … Tout était grand dans cette maison … Sa chambre était sous les toits, ce qui ne voulait pas dire sans confort, il y était tranquille et avait une vue superbe sur le parc et sur la ville plus loin, la nuit avec les lumière des lampadaires il devait avoir une vue magnifique …   

J'admirais le paysage au moment ou d'un geste rapide, il me retournait face à lui et posait ses lèvres sur les miennes … Je le laissais faire et lui rendais son baiser … On se prenait dans nos bras … et pendant un long moment on se caressait, il me pelotait les fesses , me suçait le lobe de l'oreille . Je sentais une bosse durcir au niveau de son entre jambe en même temps que la pression devenait forte, très forte au niveau de mon petit dispositif, presque douloureux … 

Jessy : Suce moi la queue !

Il ouvrait son pantalon, je ne me faisais pas prier … Elle était belle, comme je l'avais espéré … Sa bite aussi il la tenait de son père ! Rapidement je l'avalais jusqu'à la garde … On était brusquement très tendus, excités presque hystériques. Tout allait vite comme si on avait du temps à rattraper, comme si on avait du attendre des jours alors qu'on se connaissait depuis moins d'une  heure … Je le suçais avec plaisir, elle était bonne, elle était belle … Il appuyait sur ma tête pour bien m'enfoncer sa bite jusqu'au fond de la gorge, je ne résistais pas, j'avalais ! J'étais à genoux devant lui, il me poussait contre le mur, je me retrouvais assis sur les fesses la tête appuyée contre le mur. Il me tenait la tête  avec ses deux mains et d'un mouvement décidé de son bassin m'enfonçait sa queue fermement, la ressortait et recommençait. Je restais concentrer pour que ça passe, je bavais poussait des cris de déglutitions et des râles étouffés. C'était désagréable par moment, mais c’était tellement bon à d'autres moment … Il ne se retenait plus, il y allait bien à fond, il savourait son plaisir … Il gémissait des '' Oh , oui … '', '' C'est bon … '' … Par moment il gardait sa bite bien enfoncée au fond de ma gorge, il appuyait bien, je ne pouvais plus respirer, je ne pouvais plus me dégager … Mais avant que je ne manque d'air il se retirait, me laissait un instant de répits et recommençait … On ne s'était pas déshabillé, il avait sa braguette ouverte, c'est tout … Je bavais de plus en plus, c'était à la fois le paradis et l'enfer … Je n'aimais pas mais je ne voulais pas arrêter, j'adorais ça et j'aurais voulu arrêter, faire une pause … Quelques mouvements particulièrement violents que j'ai encaissé je ne sais pas comment et il éjaculait dans ma bouche … Encore un ou deux mouvements, presque une convulsion de son bassin, et une deuxième giclée puis une dernière … 

Il restait encore un petit moment dans cette position sa queue bien enfoncée dans ma bouche, j'avais du mal à respirer, je ne bougeais pas, j'avalais … Il débandait, je bandais plus fort encore dans mon dispositif, il me donnait une petite claque sur la joue avant de ma caresser les cheveux et de se retirer … J’étais hagard … J'étais content mais j'avais une drôle de tête comme je pouvais le constater quelques instants plus tard devant un miroir … On s'essuyait, je me passais de l'eau sur la figure et reprenait forme humaine … Devant le miroir, l'air ravis, il me donnait un dernier baiser dans le cou … On descendait pour passer à table.

Ce soir là à table, je ne sais pas si Justine a remarque quelque chose, elle me connaît et elle connaît son fils, elle s'en moque un peu aussi  !

On discutait de tout et de rien, de mon stage, de mes projets, de ceux de Jessy, de Greg et de sa sœur et aussi du procès. Monsieur Le Conte avait décidé de ne pas en rester là, pour ce qui est du scandale et des accusations de dopage dont j'avais été victime. Un procès était en cours, et l'affaire commençait enfin à avancer. L'équipe adverse était en cause … Le directeur de l'autre école était directement impliqué … Justine m'expliquait que Mr Le Conte était particulièrement en colère et que elle-même et plusieurs de ses collègues négociaient un dédommagement … J'étais le principal intéressé et je risquais de recevoir un de ces jour un chèque d'un montant non négligeable …  

Oué, c'est super, je vais être riche ! Je pourrais même rouler en voiture de luxe avec ça ! Bon c'est vrai que c'est déjà fait ça … Je profite de ce moment pour vous confirmer que ça fait déjà un bon moment que je ne comprends plus rien dans cette histoire … Franchement il n'y a pas deux ans je rentrais dans cette école, en colocation. Ben oui en colocation le budget était serré … Je ne connaissais personne … J'étais puceau et à ce sujet j'ai pas oublié ceux qui se sont bidonnés joyeusement devant leur écran quand j'ai eu la maladresse de l'avouer … J'ai les noms … Aujourd'hui je vis une vie de débauche … Ben si quand même un peu, j'ai peut être un dispositif de chasteté mais je me fais défoncer le cul régulièrement et pas plus tard qu'aujourd'hui j'ai sucé une grosse queue … Si ça c'est pas de la débauche … Il m'arrive de rouler en Rolls et je conduis régulièrement des Mercedes. Tout le monde me connaît dans la ville et me traite comme un véritable prince … J'habite une appartement de grand bourgeois avec un majordome, en ce moment il est en vacance mais ça va pas durer, et je vais bientôt recevoir une petite fortune … Là j'ai pas l'impression d'avoir loupé un épisode, j'ai l'impression loupé la moitié de la série … 

Mais, comment dire … C'est génial, j'adore cette vie, c'est le pied !

Un peu plus tard dans la soirée, Jessy et moi faisions une petite sortie … Je l’emmenais dans mon bar habituel … A l'entrée, tout le monde me saluait … Comme d'habitude ! On me laissait la meilleur place … Comme d'habitude ! On nous servait en premier … Comme d'habitude ... !

Jessy : Ben dis donc, ma mère m'avait dit que tu étais populaire, mais à ce point … Là tu m'épates !
Moi : (prenant un air faussement désabusé) Oui, je sais, c'est pas une vie, c'est toujours comme ça ! Tu n'imagines pas … Et en plus ta mère me dit que je vais recevoir un gros chèque et que je vais être riche … Tu te rends compte ? C'est pas une vie !

Il éclatait de rire .

Jessy : Tu es sérieux ?
Moi : NON ! J'adore cette vie ! Il y a juste un petit truc qui me tracasse ..
Jessy : Oui, mais encore !
Moi : Le regard de tous ces gens, certains sont en train de me déifier, ils attendent de moi des choses que je n'ai pas envie de leur donner et de plus je n'ai fait aucune promesse. Si un jour je venais à les décevoir ils n’hésiteront pas à me lapider !
Jessy : Il faut que tu casses cette image de toi, sans tout casser, ce sera délicat mais d'après ma mère tu sais gérer ce genre de situation … Le jour de la compétition tu avais été bluffant devant les journalistes … 

Jessy avait raison. Ces gens qui parlaient de moi il me faudrait les faire taire en parlant à leur place. Si c'est de moi qu'on parle, c'est à moi d'en parler … On m'avait déjà à de nombreuses reprises demandé de faire des conférences … Je pense que je vais en parler à Monsieur Le Conte, il saura m'indiquer quelques personnes de bons conseil !

On passait une soirée décontractée, beaucoup de personnes venaient me saluer je les présentais à Jessy. Il constatait à chaque instant ma popularité et ne cachait pas son étonnement … On était une veille de week-end aussi on traînait, après le bar une boite de nuit … Les fille me tombaient dans les bras, plusieurs ne négligeaient pas mon camarade Jessy, d'abord il était très beau garçon et ensuite il était en ma compagnie … 

On rentrait tard, Jessy me raccompagnait jusque chez moi. Arrivé chez moi …

Moi : Dis mois Jessy , je crois que je vais te faire le coup du dernier verre !
Jessy : Le coup du dernier verre ?
Moi : Je peux te proposer un dernier verre avant que tu ne rentres ?

Il éclatait de rire.

Jessy : Ça va j'ai compris ! 

Puis prenant un air très sérieux !

Jessy : Ce n'est pas de refus, un dernier verre, oui mais rien qu'un, il faut savoir rester raisonnable, après je rentre … 
Moi : On va être sage !

Nos lèvres se rapprochaient … Nos lèvres se touchaient … On se ressaisissait et on entrait … On n'avait à peine franchi la porte de mon appartement qu'on s'était déjà sauté l'un dessus l'autre … On s'embrassait, il glissait une main sous ma chemise, j'avais passé mes bras sous sa veste … Rapidement je l'entraînais dans ma chambre … D'un œil rapide je m'assurais qu'il n'y avait personne dans ma baignoire (on ne sait jamais) … et je commençais à le déshabiller … 

Rapidement je lui retirais sa veste et glissait mes mains sous sa chemise … Sa peau était chaude et douce, il me répondait par un sourire et des baisers sur les yeux, le front, les lèvres … Ma veste tombait et ma chemise suivait … Il se retrouvait, chemise ouverte et le pantalon sur les cheville, suivait son caleçon … Je commençais à lui sucer la bite … Il bandait ferme … De ses deux mains il me dirigeait, d'un mouvement régulier de son bassin il m'enfonçait sa queue dans la bouche et la retirait … Quand je me relevais, il dégageait ses pieds et en quelques instants il était nu devant moi … Rapidement mon pantalon tombait à son tour puis le reste, je me retrouvais nu également devant lui, sa peau était douce, son étreinte était chaude, ma cage était prête à exploser et me faisait un peu mal … 

Il me repoussait sur le lit et se laissait tomber sur moi, tout en douceur, tout en chaleur, tout en tendresse, il me prenait dans ses bras et je refermais les miens sur lui … On roulait l'un sur l'autre , je me retrouvais au dessus, il me caressait le dos, les fesses, les cheveux. Il se retrouvait au dessus de moi, et à mon tour je lui caressais les cheveux, les fesses, le dos, je l'embrassais dans le cou, il m'embrassait les épaules …

Je lui mordillais les tétons et lui arrachais quelques discrets gémissements de plaisir. Il me répondait par des baisers dans le cou et descendait le long de mon corps, mes tétons, mon ventre, des caresses, des baisers, il me mordillait doucement au niveau de mon nombril, continuait à descendre pour ne s'arrêter que juste au dessus de ma cage, il semblait la contempler un moment …

Jessy : Tu porte ça depuis longtemps …
Moi : Quelques mois !
Jessy : Et tu n'as jamais envie de …
Moi : Non j'ai pas envie de parler en ce moment !

Je le retournais sur le dos, le chevauchais, et je lui rendais ces câlins qu'ils venait de me donner … Je ne m'arrêtais pas juste au dessus son sexe . Arrivé là, j'avalais son pénis, il ne cachait pas que ça lui plaisait … Nous étions resté jusque là d'une extrême douceur mais là le rythme s'accélérait … Il appuyait sur ma tête, doucement tout d'abord puis plus fermement. Il soulevait son bassin imperceptiblement pour commencer suivaient des mouvements plus amples plus rapides … J'avais mal au niveau de ma cage, la base de mon pénis me faisait mal … Comme aux premiers jours !

Il me retournait sur le dos et me chevauchait … Il me chevauchait la tête, les jambes repliées, mes bras coincés sous ses jambes, sa queue bien enfoncée dans ma gorge … Ses testicules s’écrasaient mollement sur mon nez et je pouvais contempler son cul . Il avait de très jolie fesses ! On était en position de 69, il me caressait les cuisses et me gobait les couilles … Il se relevait par intermittence, sa queue ressortait de ma gorge ce qui me soulageait puis il se laissait retomber et me replissait la bouche de nouveau jusqu'à la gorge … par réflexe j'essayais de me dégager, je ne pouvais pas bouger, bien sûr si j'avais vraiment voulu, j'avais la force de le soulever et de basculer sur le coté mais … C'était désagréable mais je ne voulais pas qu'il s'arrête, pas encore !

Il se retirait brusquement, me relevait les jambes, plaçait les chevilles sur ses épaules, c'est la position que je préfère, et sans prévenir me pénétrait rapidement … Je râlais de plaisir … Il était bien monté tout comme son père … Je n'avais pas eu le père mais je me faisais défoncer par le fils … Il me faisait un peu mal, mais sans plus, et j'aimais ça … J'aime sentir chaque centimètre s'introduire et me dilater l’extrémité les intestins . J'aime sentir mon anus se dilater sous la pression que procure un pénis de près de cinq centimètre de diamètre … Il était vraiment bien monté et j'aime ça !

Il accélérait le mouvement, ses va et viens dans mon cul devenait rapide. Je ressentais une chaleur, un plaisir qui montait en moi, rapidement je perdais le contrôle de mes sensations, j'éjaculais, je jouissais, c'était bon, Jessy ne ralentissait pas, je jouissais encore plus, Jessy continuait, je jouissais par mon anus et ce plaisir durait encore et durait encore quand Jessy éjaculait à son tour et jouissait en moi !

Sans prendre la peine de se retirer il me lâchait les jambes et se laissait retomber sur moi … Son contact était chaud et doux . On s'assoupissait un long moment … On ne se relevait que pour se prendre une douche rapide avant de se mettre au lit. J'avais toujours un peu mal à la base de mon pénis … 



Ep 33 LE CHATEAU ON Y RETOURNE



Je me réveillais détendu et reposé le lendemain matin, Jessy dormait paisiblement à coté de moi, il était vraiment beau et je me lassait pas de le regarder, j'avais envie de l'embrasser mais je n'osais pas le réveiller. Je finissais par me lever, j'enfilais rapidement un pantalon de training et sortais de la chambre, au passage je jetais discrètement un œil dans la chambre de Luc, il était dans son lit mais il n'y était pas seul … 

IL faudra préparer un petit déjeuner pour quatre !

Peu après Luc me rejoignait dans la cuisine !

Luc : Dis moi Jeremy, il faut que je te parle … 

Il avait l'air embarrassé !

Luc : Il faut que je te dise quelque chose .
Moi : Vas y je t'écoute .
Luc : Euh ! Tu sais hier soir … enfin …
Moi : Tu n'es pas rentré tout seul ?
Luc : Comment tu as deviné ?
Moi : J'ai jeté un œil aussi rapide que discret dans ta chambre … Pas pour t'espionner je te rassures, juste pour savoir si tu étais bien rentré … Rassure-moi, c'est bien Bob, tu n'as pas changé de petit copain j'espère ?
Luc : Non c'est bien Bob, on avait prévu de nous lever plus tôt que toi, tu n'aurais même pas su qu'il avait dormi ici … 
Moi : Nous serons donc plus nombreux que prévu au petit déjeuner …
Luc : Wow, tu le prends bien, c'est cool, je vais prévenir Bob !
Moi : Luc !

Luc se retournait vers moi …

Moi : Il faut que je dise quelque chose moi aussi … Je ne suis pas rentré seul non plus hier soir …

C'est à ce moment que Jessy sortait de ma chambre complètement nu !

Luc : Ouai, j'ai pigé !

On se retrouvait donc à quatre quelques minutes plus tard autour d'une table pour le petit déjeuner. Seul Bob était déjà habillé il avait prévu de se sauver comme la première fois que je l'avais vu, les deux  autres et moi étions juste vêtus d'un pantalon de training torses nues ! C'était un petit déjeuner très décontracté. Seul Bob ne semblait pas tout à fait à son aise au début mais ça ne devais pas durer … Il a l'air gentil ce garçon et c'est vrai que s'il n'était pas déjà en main avec mon frère, j'en aurais bien fait mon quatre heure !

Moi : Alors Luc, tu es toujours décidé à porter un truc comme le mien ?
Luc : Toujours, et j'en ai parlé à Greg !
Bob : Luc tu veux mettre un de ces truc toi aussi ?
Luc : Oui et je suis bien décidé, ça te dérange pas ?
Bob : Moi non mais, moi je veux pas mettre ce truc !
Jessy : Quelle famille !
Moi : Tu sais, c'est pas forcément facile !
Bob : Et tout le monde ne le supporte pas ! Comme tu me l'a expliqué Djé !
Moi : Exactement !
Luc : Je saurai si c'est pour moi uniquement si j'essaye !

Cette simple discussion provoquait déjà chez moi cette pression, cette tension que je connaissais si bien au niveau de mon entre jambe. Je me souvenais du début de la dernière année scolaire, il y avait plein de nouveau volontaires, c'était une période excitante. J'ai mis sous clé un bon nombre de jeune de mon âge. Cette fois ci, il s'agissait de mon frère … Ma bite se manifestait et en plus on était le matin et comme chacun sait … Érection du matin ... érection du matin ... ! Mais comme je l'ai souvent dit ça restait invisible, totalement invisible. Entièrement nu la cage se relevait et on pouvait si on avait l’œil remarquer un petit quelques chose mais avec le moindre vêtement sur soi ça restait totalement invisible !

Moi : Dis moi Bob, ça te dérange pas que ton petit copain porte ce genre de truc ?
Bob : Bein … C'est à dire que … Vu nos relations … Non, pas vraiment …

Jessy et moi éclations de rire … On était suivis par les deux autres …

Moi : Et bien, j'en apprends des choses sur mon petit frère …
Luc : Et moi j'apprends beaucoup aussi de mon grand frère …

Nos nouveaux camarades restaient avec nous une bonne partie de la matinée puis nous quittaient pour rejoindre leurs familles. Luc et moi restions à discuter. Il y tenait vraiment à essayer ce truc, je ne savais pas si il le porterait d'une manière définitive. A son âge il devrait être un des plus jeunes porteurs … On décidait finalement de sortir faire un tour, quelques plongeons à la rivière, un peu de détente sous un arbre dans le parc partout des gens nous saluaient, Luc restait toujours impressionné par ma popularité, surtout qu'il en profitait … S'il arrivait quelque part et qu'on le reconnaissait il était lui aussi reçu comme un prince … Le ptit frère à Djé, on disait !

Nous ne devions pas rester longtemps seuls dans le parc, plusieurs filles venaient discuter avec nous … Elle nous demandaient si mon petit frère portait lui aussi … Luc s'empressait de répondre que c'était prévu pour dans peu de temps ! Elles semblaient apprécier la réponse, et ne cachaient pas qu'elles le trouvaient très mignon ! Plus tard sur la route du retour …

Luc : Tu sais Jeremy, on y prend vite goût à cette vie … Tu es traité comme un prince … Dans les boites, les bars, les restaurants … Partout tu as tes entrées …
Moi : C'est aussi une responsabilité, et quelquefois c'est lourd à porter.
Luc : Moi ça me plairait bien ! Tu crois que je pourrais m'installer chez toi ?
Moi : T'installer chez moi ?
Luc : Je suis plus un gamin, il y a une excellente école secondaire, c'est le directeur de ton école qui me l'a dit, je pourrais y terminer mon second cycle et ensuite je continue sur l'école supérieure … 
Moi : Tu as calculé ton coup ? Es-tu sûr que tu serais admis en second cycle ici ?
Luc : Ton directeur m'a clairement dit qu'on trouverait facilement une place pour le petit frère de Djé !
Moi : Et les parents, ils en diront quoi ?
Luc : Bon, là j'aurai besoin d'un peu d'aide pour les convaincre ! Mais si tu m'aides, je suis sûr que ça pourrait se faire .
Moi : On verra, je sais pas, il faut y réfléchir, en tout cas c'est pas moi qui vais décider !

Luc n'était qu'à moitié satisfait de ma réponse … 

La semaine suivante se déroulait calmement, je terminait mon stage au bureau de Justine, c'est moi qui conduisait la voiture, j'aime bien ces belles voitures Allemandes … Je l'accompagnait également pendant des négociations et lors de la signature de diverses contrats … Elle prenait la peine de tout m'expliquer … C'était plus intéressant que pendant la première semaine ou franchement je m'étais un peu fait … chier … Mais là cette deuxième semaine ça se passait mieux ! Évidemment Justine savait ce qui s'était passé entre moi et son fils mais ça ne la dérangeait pas …

Le stage se terminait donc rapidement, je ne revoyais pas Jessy qui n'avait fait qu'un passage rapide. Mais Luc, cette espèce de bourrique, me réservait quelques surprises … Pendant que je bossais comme un fou dans mon stage, suant sang et eau … Oui bon, je sais, j'en rajoute un peu … Donc pendant que j'étais en stage, lui il sympathisait avec à peu près tout le monde, c'est vrai qu'il est adorable, il n'est pas du tout du genre voyou ni timide … Mon directeur l'appréciait beaucoup et ne le cachait pas, mais ce n'était pas seulement parce que c'était mon frère … Sophie craquait pour lui, ils étaient très proches, ça m'inquiétait un peu. Il est gay et elle ne le savait pas ! Greg aussi était sous son charme … 

Ces trois là il les voyait tous les jours, comme je l'ai raconté plus tôt Luc donnait un coup de main à l'école le matin et le reste de la journée il faisait … vacances … Il était en vacances, aussi c'est normal … 

Mon stage se terminait … Je me préparais à partir pour le château, Luc faisait aussi ses bagages …

Moi : Bon Luc, tu as aimé ce séjour ?
Luc : Oh oui, c'était génial ! … Tu sais j'ai téléphoné aux parents … Ils sont d'accord pour que je reste avec toi pour le reste des vacances … 
Moi : Avec moi ? !
Luc : Bein oui, je vais pas rester tout seul ici, ça, ils ne le veulent pas !
Moi : Mais je pars pour le château, tu en as déjà entendu parler … 
Luc : Greg m'a confirmé qu'on m'autorisait à y séjourner … Mr Le Conte souhaite faire ma connaissance !

Je ne savais plus quoi dire … Bourrique, mon frère est une bourrique, il m'avait préparé cette petite surprise … J'y croyais pas … Je n'avais pas vu souvent Greg ou Sophie pendant cette deuxième semaine … Justement Greg frappait à la porte … Je le faisait entrer …

Moi : Dis moi Greg, je viens d'apprendre que mon frère vient avec moi au château …
Greg : Oui, mon oncle veut faire sa connaissance, ma sœur et moi lui avons parlé de lui et voilà … Tu ne le savais pas qu'il venait aussi ? Il ne t'avais pas prévenu ?
Moi : Il vient de me le dire !
Greg : Il nous avait dit que tu étais d'accord !
Moi : Luc tu voulais me prévenir au dernier moment ? ( en gueulant pour être sûr qu'il m'entende depuis sa chambre )
Luc : Javais peur que tu refuses ! ( en criant aussi ) 
Moi : Luc tu es une bourrique !
Luc : Moi aussi ça me fait plaisir de t'accompagner !

Je levais les yeux au plafond, Greg éclatait de rire … L'affaire était réglée, il venait … Greg et sa sœur restaient pour continuer à préparer la rentrée des classes un mois et demis plus tard . Il y avait du travail … Nous, on prenait la route pour un long trajet, on faisait une pause dans un routier, je commençais à connaître la route, on arrivait en fin d'après midi. J'étais un peu fatigué, Luc était enthousiaste. Il regardait tout sans rien dire avec de grands yeux pleins de curiosité …

Luc : Alors c'est là que tout à commencé ?

Deux employés de maison venaient nous accueillir montaient nos bagages, on m'avait réservé la chambre que j'avais à mon dernier séjour, Luc était logé juste à coté et Antoine était installé dans la chambre de l'autre coté. Mr Le Conte avait demandé à voir mon frère dès son arrivée, il était à la fois tout excité et un peu intimidé … Il revenait dans sa chambre plus d'une demie heure plus tard, il passait par ma chambre pour me raconter, on lui avait donné une petite boite dont on connaît tous le contenu … Pas besoin de lui donner le moindre conseil, il était très bien documenté … Largement plus que moi la première fois … Dans nos chambre, tout était prêt, nos costumes, il ne faut surtout pas oublier que ici, on s'habille pour passer à table …

Je retrouvais Antoine qui passait se changer avant le repas, il travaillait dans la conception, son stage il le passait ici finalement, il y avait eu un changement de programme. On se retrouvait tous les trois dans la bibliothèque, je lui présentais mon frère …

Antoine : Luc ! Ton frère ?Alors Luc comment ça se passe jusqu'ici ?
Luc : C'est bizarre ce truc … J'aime bien, mais c'est bizarre …
Moi : Tu n'as pas eu de problème pour le passer ?
Luc : Bein, si, au début je bandait grave … 
Antoine : Tu verras, avec le temps, c'est encore plus bizarre … C'est un truc de dingue !
Luc : On le sent en permanence ce truc !
Antoine : On le sent toujours en permanence, même un mois, trois mois … 
Luc : Pour toi aussi Jeremy ?
Antoine : C'est qui Jeremy ?
Moi : Antoine, mais c'est moi Jeremy ! Et oui pour moi c'est pareil Luc, tu verras !

Pendant le repas, l'attention des participants allait surtout vers mon frère, tout le monde voulait mieux le connaître et n'hésitait pas à lui poser tout un tas de questions … Ses projets, ses goûts, s'il faisait du sport … On mangeait toujours aussi bien à la table de Mr Le Conte !

Après le repas Luc et moi choisissions de nous retirer dans notre chambre, la fatigue du voyage se faisait sentir … Allongé sur mon lit je ne tardais pas à m'endormir … 


C'est une douce caresse sur mon bras qui me réveillait … Antoine était à coté de moi, il me souriait …

Antoine : Ça fait longtemps qu'on ne s'est pas vu tous les deux.

Il se penchait et me donnait un baiser. Je me souvenais de ce soir ou ou j'avais parcouru son corps par la pensée, ou je l'avais caressé sans le toucher … Mais aujourd'hui il était là, en chair et en os, il était vrai, je sentais sa chaleur, la douceur de sa main sur mon bras. La tendresse de ses lèvres sur les miennes, son souffle … Tout comme ce soir là autour de la table chez moi … Ce n'était plus ma mémoire qui lui caressait la peau, ma main remontait doucement sur son avant bras, arrivé à son coude elle se glissait sous la chemise et continuait jusqu'à son épaule … Il riait, je le chatouillais … Il me souriait, avec ses yeux  avec ses lèvres, je lui rendait son sourire … Sa main parcourait mon corps, elle remontait depuis le nombril jusqu'à mon cou ouvrant devant elle chaque bouton de ma chemise. Je riais, il me chatouillait .

Puis j'ouvrais sa chemise et la lui retirais, la mienne tombait aussi sans que je sache qui l'avait retirée. Nous étions enlacés déjà à moitié nus. Il me couvrait de baisers, je ne résistais pas, je luis donnais un baiser dans le cou, juste derrière l'oreille, avec beaucoup de douceur, je remontait l’extrémité de ma langue depuis ce baiser jusque sous le lobe de son oreille que je suçait délicatement. Il me répondait par un petit gémissement de plaisir.

Il me repoussait sur le lit, me chevauchait et en me maintenant les mains au dessus de ma tête couvrait mon visage de baisers très tendres …

Moi : Tu me fais pas de suçon !
Antoine : Pourquoi, c'était drôle …

Il m'embrassait dans le cou et je lui disais … '' Nonnnnn , c'est bonnn … '' … Entre deux baisers il me promettait que non, et continuait à m'embrasser … Il relâchait mes mains qui redécouvraient la douceur de sa peau, de ses bras, de ses épaules, de son dos, je glissais une mains dans son pantalon alors que l'autre ouvrait sa ceinture … Douce surprise, lui  aussi avait choisi de voyager léger … La base de mon pénis me faisait mal, la pression était forte de ce coté là. Il s'était retiré, ses mains me caressaient les tétons, sa langue me chatouillait le nombril . 

Il ouvrait mon pantalon, je relevais le bassin, le pantalon glissait et je me retrouvais nu …

Antoine : Tu voyage toujours léger !
Moi : Toi aussi, j'ai l'impression !

Il me caressait l'intérieur des cuisses et sa langue glissait à la base de mon sexe, il me gobait les couilles, je bandais ferme, c'était douloureux mais ces caresses étaient tellement … Wouaw ! Ça faisait longtemps que je ne m'était pas ainsi laissé, abandonné à des mains aussi expertes ! Quand on fait l'amour, c'est toujours meilleur avec quelqu'un qu'on aime, qu'on connaît bien et qui nous connaît bien aussi  ! 

Il me glissait un doigt dans le cul, je sursautais, il n'avait pas prévenu et dans ces caresse rien ne laissait deviner que déjà ... Un deuxième doigt suivait et aussitôt une forte impression de me sentir rempli montait de ma prostate … C'était bon ! D'une main il me caressait tout le corps et me provoquait quelques soupirs de satisfaction,  de deux doigts il me massait la prostate et obtenait quelques gémissements de plaisir, il me mordillait les hanches et le ventre en m'arrachant des cris de jouissance qui se terminaient bientôt en hurlements quand je jouissais par la prostate mais aussi par ma bite qui se contractait et lâchait une puis deux et enfin trois jets de spermes … Je tremblait, j'avais le souffle court, je n'avais rien vu venir, il me connaît bien Antoine, il connaît la moindre de mes réactions … Il avait décidé de me faire un petit cadeau de bienvenu, et il savait comment s'y prendre !

Je frissonnais encore de bonheur quand, sans ménagement, il me jetait au milieu du lit. Sans ménagement mais sans violence, il s'allongeait alors juste derrière moi, me prenait dans ses bras et tirait la couette sur nous … Un dernier baiser dans le cou et je ne tardais pas à m'endormir … 

Le lendemain matin on n'avait pas bougé quand on frappait à la porte . Antoine hurlait '' Entrez '' avant que j'ai le temps de réagir, un valet de chambre entrait.

James : J'espère que vous avec bien dormi Monsieur Brosso … Je vois que Monsieur Martin à sans doutes peur de dormir seul dans le noir … Allons Monsieur Martin, ce genre de fantaisies n'est  plus de votre âge … Je suis venu vous réveiller pour la première séance de sport … Monsieur Martin, pourquoi ne suivez-vous pas l'exemple du jeune Monsieur Luc Brosso, il est déjà sous la douche lui ! Enfin … !

Puis le valet de chambre ressortait …

Antoine : Gna, gna, gna, moi je préférais Charles, il est sympa Charles !
Moi : C'était quoi, j'ai pas tout compris ? Il s'est passé quoi là ?

On avait le temps de se préparer, voyant que Antoine était avec moi dans la chambre James avait laissé les deux tenues de sport. Quelques instants plus tard la porte s'ouvrait brusquement et c'est en hurlant que Luc faisait éruption dans la chambre !

Luc : Allez debout la limace c'est l'heure de …

Il nous voyait tout les deux nus au milieu de la chambre, nos vêtements éparpillés partout sur le sol, on sortait de la douche …

Luc : Ouai, je vois ! C'est sûr que la probité légendaire de mon grand frère vient de prendre une claque là ! Mais bon, c'est bien beau tout ça mais on m'a dit que Mr Le Conte n'aime pas qu'on soit en retard ! Allez, dépêchons, dépêchons !

Il n'avait pas l'air particulière choqué Luc, en fait la probité et lui ne risquaient pas de se mettre en ménage. Il était peut être pire que moi sur ce point !



Ep 34 LE CHATEAU ET SES HABITANTS 
( oui je sais je me répète )



La dernière fois que j'avais quitté le Château c'était les dernières morsures de l'hiver, il neigeait, il faisait froid. Là nous étions en été et les activités sportives en extérieur étaient particulièrement agréables, les grandes baies vitrées de la piscine restaient ouvertes en permanence et même la nuit il n'était pas rare d'y croiser quelqu'un . 

Le stage d'Antoine avait été annulé, pour des problèmes techniques pas très bien définis, Mr Le Conte lui avait alors proposé de faire un stage ici, au Château dans la petite section '' Conception et Design ''. Le développement des ventes avait obligé la société '' Le Château '' qui commercialisait les dispositifs de chasteté à étudier l'esthétique des produits et une petite équipe s'était constituée … Comme je n'avais rien à faire de spécial je suivait Antoine. 

C'était génial, ils travaillaient sur des programmes de CAO, DAO et d'autres ''AO'' dont j'avais jamais entendu parler … Rapidement je me mettais au travail avec Antoine, rien que pour le plaisir, je n'avais rien de spécial à faire, alors … Il y avait des imprimantes 3D et même plusieurs modèles qui imprimaient des objets en métal … Là c'était le top !

Je discutait avec les concepteurs de mes problèmes de douleurs de plus en plus fréquentes. Je n'étais pas le seul à m'en plaindre, ça provenait d'un problème de conception selon eux. Il suffisait de le régler, ils y travaillaient déjà mais sans succès ! Je décidais de me mettre au travail avec Antoine, on ferait un projet de conception d'un dispositif nouveau et qui devrait être ultra confortable … 

Avec Antoine ça discutait dur …

Moi : Le problème c'est le diamètre …
Antoine : La taille uniquement t'es sûr ?
Moi : Pas uniquement la taille, mais il faut que l'ouverture soit plus petite, légèrement plus petite que le reste de la cage. Comme ça quand la chose prend de l'ampleur elle reste confinée dans la cage et la pression à la base est évitée …
Lui : La chose prend de l'ampleur,  comment tu dis ça toi !
Moi : Je vais étudier cette partie …


Antoine : Il ne faut pas négliger la taille des ouvertures destinées à l'hygiène, elles sont trop grandes sur les modèles actuels, et les barreaux qui constituent la cage sont un peu trop fins … Plus épais ils exerceront une pression plus douce …
Moi : Tu as raison, et surtout il ne faut pas oublier l'extrémité de la cage, c'est une partie sensible ou la pression est importante …
Antoine : Et c'est également une zone sensible ...

On prenait notre travail au sérieux, notre emploi du temps … Sport le matin, travail conception, repas, sieste, sport. L'après midi travail conception, détente, souper, détente … On était bien occupé mais on savait se garder un peu de temps pour nous.

Pendant ce temps là, mon petit frère ne voulait pas rester inactif, se tourner les pouces c'est pas pour lui … Il mettait son nez partout dans le fonctionnement du Château, depuis la cuisine jusqu'à l'entretien des jardins en passant par le secrétariat ! Il est pas fou mon petit frère, il y avait un cuisinier craquant, deux jardiniers super bandants torse nue au soleil en plein air ( je vous laisse imaginer ), et je repérais aussi un comptable très mignon … 

L'après midi on se retrouvait à la piscine ou dans le parc, on pouvait enlever nos vêtements dans une partie du parc destinée à la détente et aux activités sportives. 

Luc : Dis moi Jeremy, tu es d'accord pour que je reste avec toi, dis ? S'il te plaît ?

Cette question il me la posait tous les jours.

Luc : Tu sais je prends pas beaucoup de place et je te jure que je serai sage …

Ou encore …

Luc : Je ferai le ménage et la vaisselle, pas la cuisine ça je sais pas faire mais je me rendrai utile, je te jure !

Finalement je craquais !

Moi : Et les parents ils diront quoi ? 
Luc : Si tu dis non c'est même pas la peine de leur demander !
Moi : Ça c'est pas faux ! Il faudrait leur demander .
Luc : Oui mais toi, tu en penses quoi ? Toi !
Moi : Tu me fatigues, c'est vrai que j'aimerais bien mais les parents eux ils ne voudront jamais!Il n'y a aucune chance !
Luc : Tu es d'accord alors ? Tu es d'accord ?
Moi : OUI ! Je suis d'accord mais uniquement si papa et maman sont d'accord !
Luc : Ouééééé ! … Maman est d'accord !

Moi : Tu lui as déjà demandé ?
Luc : Bein oui, tu sais elle a tellement d'admiration pour toi qu'elle est d'accord, je lui téléphone tous les jours, j'ai fini par l'avoir à l'usure …

Comme pour moi, il m'avait eu à l'usure … C'est un petit malin mon petit frère … C'est vrai qu'il est adorable, tout le monde l'aime, moi aussi je l'aime … C'est une bourrique quelquefois mais bon …

Moi : Et papa, il est d'accord papa ?
Luc : Papa, il dira ce que maman a dit !
Moi : Ça c'est vrai, tu ne lui a pas demandé ?
Luc : Non !

Luc repartait tout contant en chantant et en dansant … '' J'vais aller vivre chez mon frère , j'vais aller vivre chez mon frère … '' . Antoine avait tout écouté sans rien dire …

Antoine : J'ai comme l'impression que tu t'es fait avoir !
Moi : J'en ai bien l'impression moi aussi ! C'est une bourrique mais je l'adore !

Mes moments de détentes les plus intimes je les passais avec Antoine. On se retrouvais dans ma chambre ou dans la sienne … La première semaine … 

Moi : Tu as des godes ?
Antoine : Non, j'en ai parler à James … Il m'a répondu … '' Enfin, voyons Monsieur Martin, trouvez vous vraiment que ce genre de dispositif soit d'une utilisation convenable, je serais très déçu si … Enfin je préfère ne même pas y penser … ''… 

Je rigolais, l'imitation qu'il en faisait était excellente .

Antoine : Gna, gna, gna … Moi je te le dis je préférais Charles, lui au moins il était sympa !
Moi : On sait ou c'était rangé … 
Antoine : Tu penses à quoi ?
Moi : Une expédition nocturne !
Antoine : Samedi soir, James est toujours en week-end le samedi et dimanche, il quitte le château le samedi matin …

Le samedi suivant on descendait faire notre entraînement sportif comme d'habitude, on connaissait l'emploie du temps de James, il faisait une dernière tournée des chambres, vêtements propres, un peu de rangement dans nos chambres puis il quittait le Château … On jouait les espions et Luc qui n'avait rien compris à ce qu'on faisait jouait lui aussi les espions en nous espionnant. Bon, on n'était pas très doués comme espions et lui l'était plus que nous. On ne remarquait rien !

Le soir venu, Antoine me rejoignait dans ma chambre avec une lampe de poche et une tenue de sport très moulante de couleur sombre … J'avais moi aussi enfilé une tenue du même genre, on se prenait pour des ninjas, hé hé !

C'est presque dans le noir qu'on sortait de ma chambre, je me faufilais jusqu'au bout du couloir, je marchais courbé sur la pointe des pieds, Antoine arrivait derrière moi en faisant de même. Il me heurtait et me faisait presque tomber !

Moi : Mais ça va pas, fait gaffe !
Antoine : Je fais gaffe, mais il fait noir !
Moi : Tu as une lampe !
Antoine : C'est pour le grenier, ici on pourrait nous voir !
Moi : Il n'y a personne !
Antoine : Alors pourquoi tu parles tout bas, pourquoi tu marches sur la pointe des pieds,  pourquoi tu …
Moi : Tais toi, j'ai entendu un bruit !


Antoine : Bein moi j'entends rien !
Moi : Fausse alerte !

On repartait, en y repensant je me dis qu'on ne devait pas être très discret mais certainement … ridicules ! On passait les escaliers de la même manière, l'étage supérieur puis le suivant, on arrivait au grenier. Antoine allumait sa lampe !

Moi : C'est par là !
Antoine : Non, c'est par là !
Moi : Il y avait une montagne de cartons !
Antoine : Tu crois qu'ils les ont jeté ?
Moi : Non, je suis sûr qu'ils ne jettent jamais rien ici !

On fouillait un moment, puis …

Antoine : Oué, j'ai trouvé ! Tout est là ! 

Je m'approchais, il avait trouvé ! La lumière s'allumait et on entendait une voix qu'on ne reconnaissait pas … '' Vous faites quoi là les gars ?'' … Je hurlais, je ne m'y attendais pas … Antoine hurlait également il en lançait sa lampe en l'air. On se retournait … C'était Luc !

Luc : Vous faites quoi là les gars ?

On était tétanisé pendant encore quelques secondes. Il nous regardait et à voir notre tête il commençait à rigoler … Un gode tombait d'un carton juste derrière Antoine …

Luc : Ah ouai, je vois, c'est super, j'en veux un, je peux, vous saviez qu'il y en avait, … 

Moi : Mais qu'est-ce que tu fais ici ?
Antoine : Ça fait longtemps que tu nous suis ?
Luc : Depuis que vous êtes sortis de la chambre, j'étais toujours à trois mètres derrière vous ! J'ai cru que j'allais exploser de rire quand tu as dit à Antoine que tu avais entendu un bruit … C'était moi … Je ne sais pas comment vous avez fait pour ne pas me voir !
Moi : Je t'avais dit que tu n'étais pas discret !
Antoine : C'est ça, maintenant c'est de ma faute, Mais c'est toi qui faisait un de ces vacarmes !

Luc s'était approché du carton, il avait pris un gode de taille moyenne, il ne s'occupait plus de nous, il l'avait lubrifié et notre petite dispute se trouvait interrompue par un soupir de plaisir qui venait de Luc … Il était en train de s'asseoir sur le gode qu'il avait posé sur une chaise …

Luc : Ohhh, ouiiii, c'est bon …

Antoine et moi nous regardions l'air bête.

Antoine : Il ne perd pas le nord le ptit frère !

Finalement on suivait son exemple ! On se choisissait chacun un bon gode à notre goût … Je les aime de belle taille, du genre, on en fait pas le tour avec les doigts. Luc avait l'air surpris par le modèle qu'il me voyait choisir, le sien était de plus petite taille ! Je retirais mes vêtements, plaçait mon gode en position sur le sol, me mettais à genoux, me positionnais, l'anus juste au dessus du gode et doucement m’empalais, doucement sans forcer le gode s'enfonçait dans mon cul. Luc ouvrait de grands yeux, il n'en revenait pas ! Antoine me regardait faire puis se décidait.

Il avait choisi un gode un peu plus gros que le mien, Luc regardait ça sans y croire, Antoine s'allongeait sur le dos, il relevait les jambes et se lubrifiait le cul, il posait l'extrémité du gode juste sur son anus, il appuyait le gode, se détendait et doucement centimètre après centimètre il introduisait cet énorme gode jusqu'au bout, en entier, il râlait de plaisir … Il prenait son pied !

Luc s'était arrêté, il nous regardait sans y croire, il s'était enfoncé son gode sur le tiers de sa longueur. Il reprenait, il le retirait puis l'enfonçait de nouveau un peu plus loin, il recommençait, toujours un peu plus profond. Il tremblait, il respirait fort, à chaque fois qu'il dépassait la limite précédente il semblait suffoquer, il faisait une pause et recommençait. Il finissait par s'enfiler son gode jusqu'à la garde !

Je reprenais mes mouvements, je me relevais puis me rasseyais sur mon gode, il entrait complètement avant de ressortir sur presque toute sa longueur puis je recommençais … J'avais le souffle court, je gémissais de plaisir, ça faisait un moment que je n'avais pas fait ça plus de vingt centimètres dans le cul c'était bon ! Antoine qui me regardait décidait de me suivre, il prenait la même position, à genoux, le gode posé sur le sol qui lui rentrait dans le cul. Comme moi, il écartait les jambes et chaque fois qu'il se laissait retomber c'est un gode énorme qui lui rentrait dans le cul, plus de vingt cinq centimètres. Luc nous copiait, il prenait lui aussi la même position, je menais, ils me suivaient ! Chacun de nous gémissait de plus en plus fort, poussait par moment des cris de plaisir, des cris de plainte.

C'est Luc qui le premier poussait un cri de jouissance, je le voyais vibrer, trembler, frissonner, il semblait pleurer et faisait une énorme grimace mais ne baissait pas le rythme, un long filet de liquide blanc coulait de sa cage de chasteté. Il finissait pas se laisser retomber, son gode lui rentrait complètement dans le cul. Dix huit bon centimètres ! Il ne bougeait plus !

Quelques minutes après c'est Antoine qui par ses gémissements de plus en plus forts nous signalait qu'il allait jouir. Je commençait moi aussi à me manifester je respirait fort, mon souffle devenait irrégulier tout comme Antoine. Puis Antoine poussait un cris et une giclée de sperme était éjectée de sa cage, je regardais ça sans arrêter mes mouvements puis je me mettais à vibrer, à trembler à mon tour, je jouissais, je me laissais retomber sur mon gode en hurlant, je sanglotais quand le sperme s'éjectait par l'orifice de ma cage … C'était bon !

On restait encore un bon moment sans bouger, mon anus se contractait me donnant encore quelques émotions. Quand je me relevais je poussais un cri au moment ou mon gode s'éjectait de mon cul, mes deux camarades avaient la même réaction. 

On se laissait retomber sur le sol, on se regardait, on avait tous la banane, je pense que mes deux camarades devaient se sentir aussi bien que moi ! 


Moi : L'expédition à été périlleuse mais ça en valait la peine ?
Antoine : Ouai, on pourra recommencer ?
Moi : On ferait mieux de s'équiper, comme la dernière fois  …
Antoine : Alors, Luc tu ne dis plus rien.
Luc : C'était une première pour moi !
Antoine : Tu ne t'es jamais fait sodomisée ?
Luc : Oh si, bien sûr, mais ça, pas encore.
Moi : Et tu as aimé ?
Luc : Je suis prêt à recommencer … Demain … Pas ce soir !

On reprenait notre souffle puis chacun se servait en gode, j'en prenais plusieurs, des plugs aussi … On descendait du grenier comme on était monté … Antoine et moi en mode ninja, Luc nous suivait à trois mètres comme à l'aller … Il ne prenait pas la peine d'essayer de se cacher, il était plus futé que nous, il n'y avait personne !

Je m'étais plaqué contre le mur, je surveillais à droite . Antoine était plaqué contre l'autre mur et surveillait de l'autre coté …

Moi : Personne de mon coté, et toi Antoine ?
Antoine : Pareil ! Je vais ouvrir la porte de ma chambre !

Luc avait ouvert la porte, il entrait dans sa chambre, et nous lançait …

Luc : Bon dormez bien les gars, si vous rencontrez 007 vous lui dites que moi je suis rentré me coucher, dormez bien et à demain !

On paniquait et on se faisait du cinéma, pas lui !

C'est vrai que cette nuit là j'ai bien dormi … Le lendemain on se retrouvait tous les trois dans ma chambre, on décidait de se faire un petit déjeuner comme on l'avait fait l'année précédente, il y avait Charles à cette époque … Je ne savais pas ou ranger les godes pour que James n'y mette pas son nez . C'est lui qui rangeait dans ma chambre et c'est vrai que je préférais Charles moi aussi, j'espère que Mr Le Conte ne va pas m'obliger à accepter James.

Finalement c'est Luc qui nous donnait la solution …

Luc : Il suffit de ranger les gadgets dans nos sacs à dos, je peux vous garantir que James n'y touche qu'avec dégoût, il ne risque pas de fouiller dedans …

Il avait raison, James n'y avait jamais touché … Finalement il est plus futé qu'il en a l'air mon petit frère, j'ai peut être bien fait d'accepter de le prendre chez moi !



Ep 35 LE PROTOTYPE



La visualisation 3D c'est cool ! J'adore ces programmes, Antoine et moi avancions dans notre travail. Pour Antoine C'était son stage, moi, le mien je l'avais déjà fait et je regrettais presque mais, bon, je ne vais pas changer mon rapport de stage, je ne voudrais pas vexer Justine … Elle a été adorable avec moi, et son fils est trop sexy. On était bien vu par l'équipe de conception, les responsables nous laissaient utiliser les imprimantes 3D. Pas le modèle métal mais les autres, enfin une à la fois, il ne faut pas exagérer … Eux aussi ils travaillaient !

Notre maquette avançait, au bout d'une semaine on imprimait le premier modèle … C'était pas tout à fait ça … En fait notre prototype n'était pas utilisable, les différentes parties ne s’emboîtaient pas correctement ! C'était un loupé mais on n'en restait pas là ! Les techniciens qui nous encadraient nous expliquaient nos erreurs et nous encourageaient à continuer …

Vers le milieu de la seconde semaine le premier prototype viable sortait . L'équipe technique était impressionnée, selon les ingénieurs c'était viable, totalement viable … Pour une production en série il faudrait redessiner les différentes parties pour pouvoir les mouler mais ça c'était leur travail, pour des stagiaires comme nous c'est à dire des amateurs, nos études n'étaient pas dans ce domaine, nous nous en sortions plus que bien ! Je décidais le l'essayer !

Moi : Voyons, les clés, elles sont ou les clés ?
Un des technicien : C'est la sécurité qui les garde !
Moi : Ok, je connais bien le chef de la sécurité !

J'arrivais au bureau de Jean François. Je frappais, il me laissait entrer.

JF : Tiens Djé, ça se passe bien pour toi ? Tu as besoin de quelque chose ?
Moi : Il me faudrait mes clés !
JF : Tu nous quittes ?
Moi : Non mais il faut que j'essaye un nouveau modèle.
JF : Un nouveau modèle ?
Moi : On l'a conçu Antoine et moi !

Je lui expliquait rapidement, il me donnait ma clé, et je revenais aussitôt au bureau des conceptions. En quelques secondes je retirais ma cage de chasteté, on ne se gênait pas, je le faisais devant tout le monde. J'enfilais aussitôt le prototype, je n'avais même pas le temps de bander, aucune réaction. Érection interdite, j'avais respecté le règlement … Et là …

Moi : J'ai bien l'impression qu'on a fait du bon boulot !
Antoine : Ça fait quoi ?
Moi : C'est très confortable … Il faudrait voir à l'usage …
Antoine: Moi aussi je veux essayer !
Moi : C'est moi qui l'ai !
Antoine : Bon d'accord, je m'en imprime un aussi !
Moi : On peut en faire deux, Luc est en phase d'adaptation, c'est un moment qui n'est pas forcément facile et quelquefois douloureux, il pourra nous dire si ce modèle est plus facile à supporter !

Finalement on lançait l'impression de quatre exemplaires. En attendant on partait se détendre, on avait bien travaillé. Ce nouveau truc semblait tout à fait confortable et je ne sais pas ce qui me stimulait alors mais je sentais venir une érection. La nouvelle cage était de même taille que la précédente et se remplissait vite, pourtant je n'éprouvait pas cette gène, cette douleur à la base de mon pénis … Rapidement la cage se retrouvait sous pression … C'était agréable … Je faisais part de mes sensations à Antoine … On se rendait à la piscine.

Plusieurs personnes remarquaient mon dispositif et n’hésitaient pas à me demander si c'était un nouveau modèle ! Un groupe se formait autour de nous ! 

… Moi aussi de temps en temps j'éprouve des douleurs …
… A la base du pénis sur le coté gauche …
… Sur le coté droit …
… Non là moi ça va, il me va très bien …

On échangeait nos impressions …

Mois : Vous savez, c'est un prototype, pour l'instant … il est en phase de test … On verra par la suite … 

L'objet était joli, le dessus n'était pas lisse mais en relief et il reproduisait la forme d'une belle bite repliée vers l'avant, à l'endroit du gland, le dispositif reproduisait un relief également … De retour dans ma chambre j'essayais un maillot de bain, le résultat était bluffant, je fonçais dans la chambre à Antoine pour lui montrer … 

Antoine : Mais, tu l'as retiré, tu vas te faire allumé toi!

Je baissais mon maillot de bain, je ne l'avais pas retiré !

Antoine : Mince ! Il est totalement invisible ! Tout au plus on pourrait croire que tu traîne une grosse molle ou que tu es bien doté … 
Moi : Je suis bien doté !
Antoine : On voit quand même une belle bosse !
Moi : C'est un maillot de bain, on voit toujours une belle bosse avec un maillot de bain !
Antoine : Ouai ! Peut être ! 
Moi : Tu me fatigues !

Je ressortais de sa chambre et revenais quelques instants plus tard avec un short, pas un short moulant mais pas non plus le modèle trop large …

Moi : Alors ! La on voit quelque chose ?
Antoine : Ouai ! La d'accord c'est totalement invisible ! Mais si tu continue comme ça tu ne seras pas habillé pour le repas ! ...

Aussitôt après le repas on courrait voir si les autres exemplaires étaient prêts. Ils l'étaient ! Je courrais au bureau de Jean François pour avoir les clés pour Antoine et Luc, on se retrouvait tout les trois vers l'heure de la sieste dans ma chambre …

Luc d'abord retirait le dispositif qu'il portait depuis dix jours, et aussitôt avant de bander il mettait le nouveau modèle … 

Luc : Ça change tout, il est réellement plus confortable. L'autre me faisait un peu mal là … Et de ce coté ici, oui juste ici … 

Il nous montrait en même temps les zones qui étaient douloureuses. Antoine suivait, a son tour il mettait le modèle qui restait. Aussitôt il réagissait comme Luc, comme moi !

Antoine : Wouah, j'y crois pas, c'est vraiment plus confortable ! L'autre on le supporte bien, on s'habitue mais là ! Wouah, génial ! Je crois qu'on a fait du bon boulot … C'est un grand confort !
Moi : On l’appellera … Le GC du Château …
Luc : Explique, là moi j'ai pas compris !
Moi : Le GC … Le Grand Confort … Du Château … Le Château c'est la marque qui diffuse ces produits …
Luc : Ok, là j'ai compris !

Luc expliquait qu'il ne disait, enfin qu'il ne nous disait rien mais que … C'était pas facile à supporter tous les jours, les érections matinales, la nuit il se réveillait, souvent dans la journée s'il venait a avoir une érection … Et là, justement il avait une érection, il ressentait la pression, une douce et ferme pression, implacable et confortable il disait ! En l'écoutant je me dirigeais vers mon armoire, j'ouvrais mon sac à dos, j'en sortais un gode de taille moyenne et deux gros … Je lançais le plus petit à mon frère qui le recevais en faisant un sourire bête . Un des deux gros à Antoine, je me gardais le dernier !

Luc tripotait le gode avec les mains tout en faisant un large sourire. Antoine s'approchait lui posait une main derrière la tête et le tirait vers lui. Luc se laissait faire, ils s'embrassaient tendrement … Brusquement la pression dans ma cage montait en flèche. La gène douloureuse que je ressentait de plus en plus depuis plusieurs semaines ne se manifestait pas, la pression devenait intense mais la cage restait confortable, très confortable. La pression, l'impossibilité de me stimuler, le confort, c'en était jouissif et l'excitation que je ressentais n'en était que plus forte !

Luc et Antoine s'étaient rapprochés et chacun tenait l'autre dans ses bras, ils se caressaient, s'embrassaient. On devinait la tension que leurs cages retenaient … Luc était sur le dos, Antoine le recouvrait, ils se frottaient l'un à l'autre, les bras se déplaçaient de la tête aux fesses en passant par le torse, s'attardaient sur les tétons, s'attardaient sur le menton sur la gorge, un baiser s'échangeait alors sur la bouche . Les caresses reprenaient de plus belle, plus rapide plus frénétiques, plus intenses … Mon cœur battait très fort et je sentais chacune de ses pulsation dans ma queue que compressait ma cage …

Je les regardais, je me caressais le torse, mon gode était en position sur une chaise, je m'asseyais, je hurlais de plaisir au moment ou le gode dilatait mon anus et qu'il entrait au plus profond de mon intimité. J'avais l'impression que mon cul allait exploser. C'était sans doutes à cause des deux autres il me chauffaient bien là et j'avais introduit le gode un peu vite, ça me faisait mal, mais je ne voulais pas le retirer ! Mon cul allait exploser, ma cage allait exploser elle aussi ! Douleur, frustration … le pied !

Antoine s'était retrouvé sur le dos, Luc le chevauchait à son tour, le couvrait de baiser, Antoine lui rendait ses baisers, ses caresses . Leurs membres se mélangeaient. Antoine se relevait, assis jambes écartées, Luc s'était assis entre ses cuisses et passait ses jambes dans le dos d'Antoine, ce n'était plus que câlins, baisers, caresses, étreinte. J'hésitait à les rejoindre ...

Antoine retournait mon frère sur le dos, lui écartait les jambes, prenait son gode … Je me dirigeais vers mon armoire en sortais un harnais et le lançais à Antoine !

Moi : Antoine, on avait oublié çà l'autre jour !
Antoine : Woué, un gode ceinture , ( à l'intention de Luc ), tu connais ?
Luc : Non !
Antoine : Tu vas voir !

Antoine s'enfilait le harnais, j'en enfilais un aussi. Il y fixait le gode, je faisait de même avec un gode plus gros. Luc avait compris, il se laissait faire, Antoine lui relevais les jambes et positionnait le gode juste sur l'anus de Luc, doucement il poussait, doucement mais fermement, Luc laissait retomber sa tête et faisait une grimace qui ne cherchait pas à dissimuler une certaine douleur. 
Le gode entrait, Luc hurlait, le gode s'enfonçait lentement, Luc haletait, le gode continuait sa course, un gémissement suivi d'un nouveau cri. Luc semblait suffoquer, mais il demandait pas qu'on arrête le gode était bien entré, bien à fond, Luc poussait une longue plainte … Je me positionnais juste derrière Antoine et me joignait au duo !

Antoine se laissait retomber sur Luc, leurs visages se touchaient, ils s’embrassaient. Je poussais doucement mon gode contre l'anus d'Antoine, d'abord une légère résistance, ensuite un gémissement puis le gode s'enfonçait et le gémissement se transformait en plainte et en râle de plaisir. Quand j'arrivais au fond Antoine avait relevé son torse en s'appuyant sur ses mains, la tête en arrière il avait la bouche ouverte mais aucun bruit n'en sortait ! Luc lui caressait les bras, il gémissait lui aussi. Je me retirait avec un mouvement lent. Le gode ressortait presque en entier. Antoine se retirait lui aussi, Luc gémissait, son gode ressortait de son cul en même temps que le mien rentrait à nouveau. Antoine s'empalait sur mon gode en gémissant de plaisir !

On recommençait ces mouvements, doucement au début puis plus vite, et plus vite encore ! Luc avait un visage paniqué, il grimaçait, il râlait, son souffle était rapide et fort il poussait un gémissement qui ressemblait à une plainte ! Son souffle était irrégulier, il râlait, semblait pleurer, pour finir il jouissait, du sperme giclait hors de sa cage, il se contractait, tous ses muscles se crispaient avait des convulsion puis finalement demandait à Antoine d'arrêter et de se retirer. 

Antoine se retirait totalement. Luc ne bougeait plus il était comme amorphe, il nous regardait, nous faisait un sourire. Je ne m'étais pas retirer et sans prévenir je reprenait mes mouvements de va et vient … Antoine poussait un cri de surprise, Luc avait un fou rire, il avait l'air jovial, satisfait.

Antoine se penchait sur mon lit à coté de mon frère et je le limais sans ménagement. C'est en titubant que Luc allait s'installer sur un fauteuil, de plus loin il pouvait suivre ce qui se passait. Je limait encore un long moment Antoine avant qu'il ne se relève, ne me repousse doucement de la main et demandait à Luc de lui lancer le gros gode qu'il avait au début … J'avais compris, je retirais le harnais, je m'allongeais sur le dos, j'écartais les jambes et prenait la position qui était celle de Luc un peu plus tôt. 

C'est avec un gode plus gros que Antoine me faisait subir la même chose qu'à mon frère … Je m'étais déjà bien dilaté aussi il y allait direct bien à fond en un mouvement violent ! Luc avait l'air fasciné, il en sursautait, il ne loupait rien, je râlais de plaisir, c'était bon, je caressait les bras d'Antoine en le regardant bien dans les yeux … Le plaisir était total, ma cage était sous pression mais je n'éprouvais aucun désagrément, une douce et ferme pression, une agréable pression, je me laissais aller aux plaisirs que me prodiguait Antoine !

Luc se plaçait juste derrière Antoine. Un regard sur ma droite et je constatais qu'il avait récupéré mon harnais … Antoine se cambrait et prenait de grandes respirations, je devinais ce que mon frère faisait. Un grimace sur le visage d'Antoine, Luc s'introduisait … Un cris, Luc s'enfonçait, doucement, Antoine penchait la tête en arrière … Un dernier cri suivi d'un gémissement, Luc était en place bien à fond. Il commençait les mêmes mouvements que ceux que je faisais un peu plus tôt, quand il se retirait Antoine se retirait, je sentais son gode ressortir en me massant l'anus ! Antoine grimaçait quand son cul se remplissait. Le rythme accélérait, j'en prenais plein le cul et j'aimais ça, brusquement j'étais pris d'un tremblement sur tout le corps, je ne contrôlais plus rien, je jouissais, je ne jutais pas mais je jouissais, Antoine commençait à trembler à son tour, il ne bougeait plus son bassin, il fermais les yeux, il poussait une longue plainte puis se laissait tomber sur moi ! Le moindre de ses mouvements me faisait trembler encore plus, j'étais à bout de souffle . Luc se laissait  tomber sur Antoine, j'étais à la meilleure place, j'étais en dessous, ils m'écrasaient, je me sentais bien. Luc d'abord se relevais puis Antoine, moi je ne bougeais pas … Je restais sur mon lit allongé sur le dos les bras en croix, j'étais au ciel !

Luc s'était installé sur le fauteuil, Antoine était dans la même position que moi mais sur le sol. 

Luc : On ne s’ennuie pas avec vous les mecs !
Antoine : Alors tu as aimé ?
Luc : Je suis prêt à recommencer …
Moi : Moi j'ai pas la force …
Antoine : Moi non plus !
Luc : Moi non plus mais je voulais dire … demain … ou après demain … enfin un autre jour quoi !

On rigolait … Il nous fallait un long moment avant de nous relever, on prenait une douche, Luc allait se détendre à la piscine, Antoine et moi retournions à notre bureau après être passé restituer les clés à la sécurité … Jean François me fait confiance mais la règle est toujours … Érection interdite !  J'en profitais pour lui montrer le résultat de notre travail, il était impressionné et me félicitait avant de m'encourager pour la suite.

Au bureau on admirait longuement le fruit de notre travail le dernier dispositif était sur notre table de travail … Frénétiquement on en modifiait le design, on imaginait un petit bouclier interchangeable qui  pourrait être fixé sur le devant pour … changer de look ! On dessinait un modèle qui devrait se montrer totalement invisible … L'avant du dispositif reproduisant parfaitement le relief d'un pénis, un peu comme le modèle qu'on venait de réaliser mais en plus réaliste encore … Dans notre enthousiasme on lançait plusieurs impressions …

Moi : Bon, je crois que là on a bien travaillé ! Le premier modèle il est là, si on allait …
Antoine : Il y avait deux prototype quand  on es parti ! Il est ou le deuxième ?
Moi : On nous l'a volé !
Antoine : Mais qui à bien pu faire ça ?

Ça y est on se faisait encore tout un cinéma. On était à la limite de la panique quand les techniciens du design arrivaient … On leur sautait presque dessus …

Moi : C'est une catastrophe on nous a volé un prototype !
Antoine : Il était là, vous vous souvenez ? Il était là juste avant qu'on s'en aille !
Moi : Vous avez vu quelqu'un ?

Les deux techniciens éclataient de rire …

Le premier : Mais enfin, personne ne peut entrer, on est au château …
Le second : On a emmené un des prototype pour le montrer … 
Le premier : C'est du très bon travail, Mr Le Conte nous a d'abord félicité …
Le second : Ensuite on lui a dit que c'était votre idée ! 
Le premier : Il vous transmet ses félicitations … Chapeau les gars !

Le dispositif que nous avions imaginé n'avait pas la serrure incorporée contrairement au dispositif en métal que nous portions avant ! Plusieurs modifications s'imposaient . Avec les techniciens on définissait la partie qui devait être modifiée . Antoine et moi planchions sur le sujet et eux commençaient à travailler sur les moules … L'après midi avançait vite, Luc passait nous voir, il avait mis son costume …

Moi : Tiens Luc, tu es bien habillé toi, tu vas ou ?
Luc : Dans moins de vingt minutes on passe à table !

Là c'était la panique, on laissait tout sur place et on fonçait se changer . On arrivait juste à temps, quelques instants de plus et on était en retard … Mr Le Conte le remarquait !

MLC : Et bien les garçons qu'est-ce qui vous arrive ?
Moi : Excusez nous Mr Le Conte mais on a failli être en retard !

Je lui racontais ! 

MLC : On m'a montré le fruit de votre travail, c'est du très bon boulot, toutes mes félicitations ! Je pense qu'on devrait pouvoir faire quelque chose avec ça !



Ep 36 UNE COLLECTION DE CAGES



Pendant le reste de la deuxième semaine de stage on terminait de mettre au point notre prototype final … Notre nouvelle cage s'avérait réellement plus confortable par rapport à tout ce que j'avais essayé avant … Je n'avais plus la moindre douleur, ce qui ne veut pas dire que je ne la sentais pas . Je la sentais tout le temps, c'était presque un plaisir que de bander dans ce truc, la pression était douce, forte et c'est sans douleur qu'elle ne laissait aucun espoir ! Ça ne me déprimait pas, mais au contraire ça me stimulait, ça m'encourageait, ça me donnait l'envie d'aller de l'avant !

On redessinait complètement la partie supérieure qui devait recevoir le dispositif de fermeture qui remplacerait le cadenas. On avait redessiné l'avant pour lui donner un aspect réaliste, on voulait que sous un simple maillot de bain la cage soit totalement invisible et après de nombreux essais on obtenait un résultat bluffant puis on recommençait cette partie, seul le modèle métal recevrait des boucliers de décoration à l'avant pour changer le look, le modèle plastique lui n'aurait pas cette possibilité … On dessinait donc plusieurs modèles, au total on en imaginait une bonne douzaine qui partaient du modèle invisible jusqu'au modèle décoré de formes géométriques. Pour le modèle métal on le reprenait pour pouvoir y adapter les bouclier de décoration … 

Enfin bref on n'arrêtait pas, on ne voyait pas passer les jours . Ils défilaient à une vitesse nos journées étaient bien remplies, Luc avait pris sont rythme de croisière il continuait à se rendre utile le matin et se réservait l'après midi pour sa détente. J'avais vraiment l'impression que ces trois ou quatre derniers jours de stage s'étaient passés en un clignement de paupières ! Un jour Mr Le Conte qu'on ne voyait jamais en dehors de son bureau et des repas passait nous voir … 

MLC : Ça se passe bien les garçons ?
Moi : Oh oui MLC, ce stage est vraiment passionnant.

Il y avait tout un tas de prototype sur notre table de travail. 

MLC : Et vous Antoine, comment avez-vous trouvé votre stage.
Antoine : C'est vraiment génial, on ne voit pas le temps passer, regardez ces prototypes …

On présentait à MLC tous nos prototypes, nos dessins, nos idées, nos projets …

MLC : Mais dites moi Antoine, c'est bien votre stage ?
Antoine : Oui, c'est mon stage !
MLC : Et votre camarade est venu vous aider ?
Moi : On peut le voir comme ça !
MLC : Mais ces modèles que vous avez réalisés, ils sont de qui ?
Antoine : Nous deux !
Moi : Oui, nous deux, un lance une idée, l'autre la rattrape la retourne et la renvoie en l'air !
Antoine : Le, second  la rattrape à son tour et on recommence !
Moi : Et ainsi de suite … 
MLC : Mais dites moi Antoine, votre stage, il dure combien de temps ?
Antoine : Deux semaines Monsieur Le Conte !
MLC : Deux semaines …

On acquiesçait de la tête avec un grand sourire !

MLC : Mais alors, votre stage Antoine il devrait prendre fin quand pour être précis …
Antoine : Euh … Ça ne devrai plus être long … Je ne sais plus …
MLC : En fait votre stage devrai prendre fin il y a environ trois semaines …

On se regardait, on était incrédules, on avait débordé sans s'en rendre compte .

MLC : Mais vous n'avez donc pas envie de prendre des vacances les garçons ? C'est bien mais n'oubliez pas dans deux semaines c'est la rentrée à la fac … Bon je vous laisse, vous avez fait du très bon travail, nous en reparlerons bientôt et je pense que vous ne regretterez pas votre passage ici cette année …

Moi : Dans deux semaines la rentrée, j'ai rien vu moi !
Antoine : Moi c'est pareil …
Moi : Mais c'était génial !
Antoine : Oué moi je me suis éclaté !

On était content et on reprenait notre travail on voulait finir cette ' collection ' et comme on était proche du but … Au final la collection se constituait de douze modèle plastique, un anatomique ( invisible sous un maillot de bain ) et onze avec des formes fantaisie, suivaient deux modèles métal , un anatomique et un pouvant recevoir des bouclier de décoration suivaient encore douze boucliers un anatomique et les autres de formes géométriques ! 

Les techniciens avaient travaillé avec nous pour préparer les moules, ils étaient en cours de fabrication et on les attendait … Nos prototypes étaient imprimés, aussi les serrures, contrairement aux modèles métalliques actuels, n'étaient pas solidaires du dispositif car il n'était pas possible de les imprimer et nous avions décidé que les modèles définitifs conserveraient cette particularité ! 

Franchement, ça avait de l'allure . On était fier quand on présentait notre travail final à Monsieur Le Conte. Il était impressionné et ne le cachait pas. Il nous restait encore un peu plus d'une semaine avant le retour en fac … On trouvait toujours James casse pied et je décidais d'aller aux nouvelles  au sujet de Charles … Au Dîner, je demandais à Mr Le Conte si je pourrait aborder le sujet de Charles et de ce qu'il prévoyais pour moi.

J'avais jeté un froid, Jean François ne disait plus rien, et tous les regards plongeaient dans les assiettes sauf celui de Mr Le Conte qui m'invitait à passer dans son bureau aussitôt le repas terminé … Il me recevais très bien, avec le sourire ! 

Moi : Monsieur Le Conte, je vous ai demandé de me recevoir pour y voir un peu plus clair si vous le permettez … J'ai cru comprendre que vous me laissiez l'appartement ?
MLC : Oui et avec beaucoup de plaisir, je pense que vous le méritez … Surtout après les problèmes dans lesquels j'ai failli vous entraîner … Vous aurez aussi les service d'un valet de chambre …
Moi : Charles est un homme très sympathique très sérieux et avec qui je m'entends très bien !
MLC : Charles ne sera plus à votre service !
Moi : Mais pourquoi, c'est lui qui à demandé à … 
MLC : Non, au contraire il est volontaire pour cette mission, mais avec Jean François nous pensons que James serait plus convenable …
Moi : Ah non, s'il vous plaît pas James, il est parfait au niveau professionnel mais c'est une casse pied ! Mais pourriez vous me donner une bonne raison pour que Charles ne revienne plus à mon service ?
MLC : Vous êtes trop proches !
Moi : Et alors ! Ce n'est pas nouveau ! Si vous l'avez placé à mon service il y a quelques mois c'est précisément pour ça, parce que nous nous entendions bien ! C'était aussi pour qu'il veille sur moi et je peux vous assurer qu'il le fait très bien !

La discussion continuait encore un long moment, il était de moins en moins décidé, je lui faisait remarqué que Charles Faisait parfaitement son travail, que de ce coté il était totalement irréprochable. Il en convenait. Je terminais ainsi …

Moi : Je suis trop jeune pour avoir une valet de chambre qui soit toujours au garde à vous devant moi, aussi, si vous voulez m'en confier un, il faut que j'ai avec lui un autre rapport, un rapport de confiance bien sûr mais aussi d'amitié et même d'affection … C'est Charles que j'aimerais avoir à mes cotés !

Il finissait par me l'accorder !

On parlait ensuite d'Antoine … Le travail que nous avions fait tous les deux l'avait impressionner et plus encore même …

MLC : Si vous chercher un travail dans la conception et le design, je vous en trouve un tout de suite …

Il continuait …

MLC : J'avais largement sous estimé les capacités de votre amis Antoine, j'ai pensé qu'il pourrait loger avec vous, il y a trois chambres, avec votre frère vous serez trois …
… 
James logera, pardon je voulais dire Charles pourra loger au rez de chaussé, il y a un grand appartement qui n'est occupé que par Stéphane, vous connaissez ( je faisais signe que oui), le protocole sera ainsi respecté …
Bien sûr si Antoine préfère rester ou il habite actuellement, libre à lui mais toutefois aucun loyer ne lui sera plus demandé !

On était d'accord, quelques détails encore, je lui disait que mon directeur aimerait beaucoup le rencontrer et il me confirmais qu'il viendrait à l’inauguration. La discussion avait duré un peu plus d'une heure. Antoine m'attendait un peut inquiet …

Antoine : Alors … ?

Je lui racontait tout, il était d'accord et enthousiaste !

Antoine : Tu t'imagines, les soirées autour d'un bon repas comme tu en faisait régulièrement, j'y venais souvent mais maintenant ce sera à chaque fois ! C'est génial !
Moi : Et en plus il y aura Charles !
Antoine : Moi je veux la chambre du fond !
Moi : Pas question, c'est la mienne !
Antoine : Oui je sais mais c'est la seule qui a un bain bouillonnant !
Moi : Justement, j'ai l'avantage de l'ancienneté …

Il continuait à réclamer encore un bon moment. C'était juste pour le plaisir de me taquiner, en fait il était très content, il me disait qu'il n'aurait jamais osé rêver à ça ! Un secrétaire de Mr Le Conte passait …

Le secrétaire : Monsieur Antoine … Monsieur Le Conte aimerait vous voir s'il vous plaît ;
Antoine : Il me veut quoi ? 
Moi : Ça va pas être facile, tu vas voir il est de très mauvaise humeur, courage !
Antoine : Déconne pas ! Tu vas me foutre les boules ! Tu déconnes là ?

Il ressortait du bureau trois quarts d'heure plus tard avec le sourire !

Moi : alors il ne t'as pas mangé ?
Antoine : Tu es vraiment un guignol ! Il était pas de mauvaise humeur du tout ! Il voulait juste me féliciter sur mon travail et me dire ce que tu m'avais déjà expliqué ! J'ai l'impression qu'il nous aime bien !
Moi : Tu m'étonnes mais c'est normal, on est adorable !

Un peut plus tard dans la journée Mr Le Conte demandait à Luc de passer dans son bureau pour parler de son avenir. Luc était très décontracté au moment ou il entrait dans le bureau. Mon frère n'est pas un garçon qui panique ou s'angoisse facilement, Antoine et moi on se fait souvent du cinéma, lui c'est plus rare. Il entrait donc tout content dans le bureau et en ressortait une heure plus tard avec un grand sourire … 

Mr Le Conte l'avait félicité pour son comportement. Il n'avait en effet aucune obligation, excepté celle de respecter les règles, mais il avait chercher à se rendre utile, dans tout un tas de service du Château et avait su se faire apprécié de tout le monde … 

C'était déjà la dernière semaine avant le retour à la fac … J'avais reçu des nouvelles de Charles, il venait de revenir de ses vacances, et préparait l'appartement pour notre retour. Il ne me cachait pas qu'il était très content de revenir à mon service … La semaine commençait calmement, le temps était magnifique, j'étais allongé sur mon lit, on frappait à ma porte … C'était Mathias !

Moi : Mais Mathias, qu'est ce que tu fais ici ?
Mathias : Tu me manquait trop, je n'ai pas résisté à venir te voir !

Ce n'était certainement pas ça mais bon Mathias peut être être marrant quand il veut !

Moi : Vil flatteur ! Alors tu es venu ici pour moi, et tu voudrais que je te crois !

Il s'asseyait sur mon lit à coté de moi. On discutait longuement . 

Mat : Tu vas voir, le montage de la nouvelle école a bien avancé, c'est un truc de fou, tu verras ! J'en avais marre et j'ai décidé de prendre quelques jours de repos …
Moi : Tu as travaillé sur l'organisation avec Greg ?
Mat : Greg, Sophie et bien d'autres, tu vas voir tu ne vas par reconnaître le quartier !

On s'était allongé sur le dos et on continuait à discuter … Ma main venait à toucher son bras … Il me jetais un regard, suivait un sourire enjôleur ! Je l'aime bien Mathias, il est mignon, il est câlin, je lui sautait dessus et me retrouvais sur lui à le chevaucher . On riait de la joie de se revoir, du plaisir de se toucher, je le chatouillais, il me caressait les cuisses .

Mat : J'ai beaucoup travaillé et ça fait longtemps que je n'ai pas touché un homme .
Moi : Tu peux me toucher si tu veux !
Mat : Vrai ?

Je concluais cette discussion en posant mes lèvres sur les siennes. Il me rendait mon baiser avec beaucoup de douceur. Rapidement nos mains se promenaient le corps de notre partenaire. Je me rappelait la douceur de sa peau. Il faisait beau et chaud et nous étions légèrement vêtus, il ne nous fallait pas longtemps pour nous débarrasser de nos vêtements … 

Mat : Wouah, c'est nouveau ça ( en voyant ma nouvelle cage ), un nouveau modèle ?
Moi : Un prototype qu'on a réalisé avec Antoine .
Mat : Il est là lui aussi ? Je peux voir de plus prêt ?

Il n'attendait pas la réponse et se penchait sur mon entre jambe, il me caressait les cuisse, passait  ses mains autour du dispositif, me caressait les couilles pour voir s'il y avait une réaction. Ses mains étaient douces et la réaction se manifestait par un souffle plus fort de ma part et un léger gémissement que je poussais. Il m'embrassait sur le ventre, il remontait vers le nombril puis encore un peu plus haut, il s'attardait sur mes tétons qu'il me mordillait . Je lui caressait les cheveux. Il remontait jusqu'à ma gorge qu'il me léchait et m'embrassait … Ma cage était sous pression sans douleur ni gène. Confortable et frustrant, comme j'aime !

J'avais oublié combien il pouvait être doux le petit Mathias. Ça faisait longtemps qu'on n'avait pas passé un moment comme celui là tous les deux. Je le prenais fort dans mes bras, il se laissait faire, on se retrouvait allongé l'un contre l'autre, on partageait un long et tendre moment de douceur, je l'embrassait sur les lèvres, lui sur mes yeux. Puis sur la tempe, lui sur la joue. Puis juste en dessous du lobe de l'oreille, il frissonnait et me rendait mon baiser sur la nuque en me caressant la moité du visage avec la main. 

De la main je constatait le niveau de pression que contenait sa cage. Il relevais le bras, j'embrassai tout le flanc, le mordillais et descendait jusqu'en haut de sa cuisse . Il m'encourageait en me caressant le dos, il glissait un doigt entre mes fesses en partant du haut de mes fesses, il remontait ensuite sa main tout le long de ma colonne vertébrale puis recommençait. Je passais ma langue tout autour de son sexe en suivant l'anneau qui maintenait son dispositif, il frissonnait de nouveau.

Je lui glissait la main entre les fesses et rapidement introduisait un doigt dans l'anus, il se cambrait et semblait apprécier. Suivait un deuxième doigt, il poussait un long gémissement, je lui mordillais l'intérieur des cuisses, il tremblait par intermittence. Je lui massais vigoureusement la prostate, faisait une pause et recommençais … Il se crispait, poussait des petit cris de plaisir, se détendait et reprenait au moment ou je lui massais à nouveau la prostate … 

Ce jeux devait durer encore un long moment,  Mathias s'était allongé sur le dos légèrement de coté, il avait écarté les jambes et en avait replié une me laissant un accès facile à son cul. Il se caressait le corps et me laissait faire. Son dispositif de chasteté se relevait, il bandait ferme. 

Son souffle devenait plus fort, son dispositif semblait se contracter en se relevant brusquement plusieurs fois de suite … Une giclée de sperme était expulsée, un cri de plaisir, une grimace sur son visage, quelques convulsions … Il jouissait. Je sentais son corps se crisper avant de se détendre totalement. J'aime sentir le corps de mon partenaire au moment ou il jouit …

Je le repoussais sur le dos, m’asseyais à califourchon sur le haut de ses cuisses et on continuait à discuter, il me caressait les cuisses, je lui caressais les avant bras …

Mat : C'était pas prévu ça !
Moi : C'était pas prévu non plus de te voir !
Mat : Je suis très content de te revoir.
Moi : Moi aussi, ça faisait un moment !
Mat : Au fait, ton frère qu'est ce qu'il devient, il espérait pouvoir venir habiter avec toi.
Moi : Il est là, et c'est réglé, il vient s'installer avec moi !
Mat : Il doit être content !
Moi : Mais toi, tu ne m'a pas dit ce que tu faisais ici …
Mat : Je suis venu voir mon oncle !
Moi : Tu as un oncle qui travaille ici, dis moi, c'est qui ? Je connais presque tout le monde ici !
Mat : Mr Le Conte !
Moi : Je le connais celui là, c'est le big boss ! Ton oncle c'est qui ?
Mat : Mr Le Conte !

Je restais stupéfait !

Moi : Ton oncle c'est Mr Le Conte !
Mat : Tu es lent à la détente … ( il rigolait ) En fait c'est un grand oncle, je suis le cousin germain de Greg et de Sophie ... Pour être très précis je n'ai pas de lien directe avec cette famille … Le père de Greg avait une sœur qui m'a mis au monde hors mariage, c'est pas un drame en soi, mais elle est morte en me mettant au monde. Les parents de Greg et de Sophie on décidé de m'élever, je n'étais pas vieux quand ils ont eu leur accident et Mr Le Conte à décidé alors de me prendre dans la famille et de faire de moi le troisième héritier ! C'est ma famille et c'est tout, même si je n'en porte pas le nom et Mr Le Conte est mon oncle !



Ep 37 LE CLUB DES QUATRE 



Avec Mathias on retrouvait Antoine et Luc à la piscine … C'était les grandes retrouvailles, Luc avait rencontré Mathias au début des vacances à mon école et ils étaient heureux de se revoir.

Mathias : Mais c'est pas vrai je rêve, vous avez tous un nouveau dispositif, j'en veux un moi aussi !
Antoine : C'est un prototype on le teste !
Mathias : Moi aussi je veux tester !
Moi : Je ne pense pas qu'on puisse t'en trouver un.
Antoine : Mais pourquoi ?
Moi : Tu as pensé à la taille ? On les a conçus pour nous, nous avons tous les trois la même taille et ce dispositif doit être parfaitement ajusté pour être confortable !
Antoine : C'est vrai mais on doit pouvoir en imprimer un à la bonne taille, il suffit de modifier quelques paramètres … On essaye ?
Mathias : Oh oui les gars essayez !

On se rendait tous la quatre au bureau d'étude, il était vide mais trois imprimantes métal chauffaient fort. C'était du matériel incroyable capable d'imprimer des objet en titane avec une précision d'un vingtième de millimètre … Elles étaient toutes en service .

On s'installait à notre poste de travail, depuis plus d'un mois qu'on était là, on avait nos habitudes. On reportait les nouvelle cotes à notre plant et rapidement l'ordinateur nous montrait en relief le résultat … Ça semblait fiable, on lançait l'impression … Les techniciens arrivaient à ce moment, on restait un moment à discuter avec eux, ils travaillaient sur ce dernier détail eux aussi, les différentes tailles … Pour les tailles les moins demandées il ne prévoyaient pas de réaliser de moule, le plus simple restait encore de les imprimer à la demande mais les tailles les plus demandées seraient réalisées en série … 

Juste avant de partir un des techniciens, Frank nous lançait … 

Frank : Vous allez gagner du fric avec ça les gars !

On se regardait, '' gagner du fric '' ?

Il nous expliquait que quand un employé faisait un tel travail il recevait une prime, nous on n'était pas employé mais on serait payé quand même . 

Frank : Ne vous inquiétez pas le service comptable de Mr Le Conte est irréprochable, c'est même pas la peine de réclamer, il vous contactera … 

En repartant …

Moi : Un peut d'argent ne fait jamais de mal !
Antoine : C'était pas prévu ça, qu'on gagne du fric !
Moi : Tu crois que ça va faire dans les combien ?
Antoine : Je sais pas ! Quelques centaine … Quelques milliers de DI ( Dollars Internationaux ) … ?
Moi : Quelques milliers ? 
Antoine : Je sais pas , je dis ça comme ça !
Moi : Remarque quelques milliers ça serait cool ! C'est toujours bon à prendre !
Antoine : Tu as un budget serré ?
Moi : En ce moment ça va … Je ne paye plus le logement, plus aucune facture, plus la bouffe … Mon budget c'est juste de l'argent de poche … Et toi, ça va être pareil !
Antoine : Ça va être la grande vie moi je te dis !
Moi : Attention, il ne faut pas mollir, on n'est pas obliger d'être les meilleurs, mais si on se laisse aller et qu'on retombe comme il y a un an on se fait jeter !
Antoine : J'ai pas envie de me laisser aller !
Moi : En plus on aura le 'ptit' sous notre responsabilité …

Luc réagissait vigoureusement à cette dernière réflexion … Depuis qu'on était sortis du bureau, Mathias et Luc nous écoutaient sans rien dire, mais là, il se faisait entendre le 'ptit' frère. Antoine et moi rigolions de bon cœur !

Mathias : Eux aussi, ils t'appellent le 'ptit' comme Sophie et Greg !
Luc : Bon ça va tu vas pas t'y mettre toi aussi !


Dans la soirée on retrouvait Mathias dans la salle à manger, il arborait un grand sourire de satisfaction …

Mathias : Il est vraiment génial votre truc, je le porte depuis une heure et il est vraiment confortable, c'est à peine croyable. Je n'avais aucune difficultés à supporter l'autre, mais celui là … C'est incroyable, ça va être un gros succès j'en suis sûr !

On était les quatre premiers à tester ce nouveau dispositif de chasteté, une sorte de club des quatre. Bien, on était les premiers mais certainement pas les derniers ...

Arrivait la veille de notre départ. Antoine, Luc et moi étions convoqué à l'accueil … C'est là que les nouveaux arrivants reçoivent leur dispositif et le verrouillent. Ils avaient imprimé trois dispositif de chasteté en métal, les techniciens de la conception étaient là aussi ils voulaient s'assurer que tout marchait parfaitement … On retirait le dispositif que nous portions et enfilions le nouveau dispositif. Un anneau à la base du sexe, rien de nouveau … Suivait la cage en titane modèle anatomique, on y glissait notre queue en se disant que c'était pour un bon moment. Il avait été décidé de nommer ce nouveau modère … Confort Titanium … Par Le Château … ou encore … C.T.C …

A ce moment je me souvenais de la discussion avec Charles au moment de mon départ en vacances, j'avais prévu de retirer mon truc pour les vacances et finalement, les vacances étaient finies … 

On enclenchait la cage sur le premier anneau, comme sur les autres modères. Sur le dessus de la cage il y avait un espace creux et circulaire au dessus duquel étaient gravées les trois lettres ' C.T.C ' et  en dessous, en plus petit ' Le Château '. on y positionnait la serrure qui avait la forme d'une petit pièce de monnaie d'environ six millimètres d'épaisseur … Clic ! C'était verrouillé ! Plus rien ne bougeait, plus rien de dépassait .

De nombreuses pensées se bousculaient dans ma tête. Luc ne le portait que depuis quelques semaines … On était parti pour au moins trois mois … Antoine ne l'avait pas retiré depuis plus d'un an, depuis le jour ou nous étions entrés comme des voleurs dans le parc du Château et lui c'était le moins probable des porteurs. Il s'y était tellement habitué qu'il ne parlait plus de le retirer, et ce, depuis longtemps ! Et moi, depuis plus d'un an je ne l'avais retiré qu'une seule fois, dans la limousine, il y avait Charles avec moi ce jour là !

On retournait dans nos chambres pour préparer nos sacs à dos … J'avais oublié qu'ils étaient pleins, nos sacs à dos … C'est là qu'on avait caché les godes … Ceci dit, Luc avait eu une bonne idée, James n'y avait pas touché. Mon Frère et Antoine débarquaient dans ma chambre presque en même temps, avec leurs sacs à dos !

Antoine : Il faudrait peut être remonter tout ça au grenier … Si James voit ça il va nous faire toute une histoire …
Luc : Et il est déjà assez casse pied quand on ne le provoque pas ! Là, j'ose pas imaginer !

Machinalement on inspectait le contenu de nos sacs, on déposait les godes un par un sur mon lit …

Luc : Je sais pas comment vous faites pour vous enfiler un truc pareil dans le cul … Moi j'aime bien mais là, c'est vraiment trop gros, on ne peut même pas en faire le tour avec les doigts !

Je prenais le gode qu'il nous montrait en disant ça, je le lançais à Antoine et tel un défis …

Moi : On lui montre !
Antoine : Ok , enlève tes fringues ! 
Moi : Mais pourquoi moi ?
Antoine : C'est ton idée … !

Je retirais d'un geste mon T-shirt, suivait le pantalon … J'étais à poil … Je vous ai déjà dit que je ne porte pas de sous vêtements ? … Il me semble que oui maintenant que j'y pense !

Antoine : Allez en position, tu te penches en avant, les mains sur le lit, tu écartes les jambes …
Moi : C'est bon là, tu n'en fait pas un peut trop .
Antoine : C'est moi qui ai le bazars dans les mains et c'est toi qui va l'avoir dans le cul alors non, j'en fait pas trop ! 

Luc s'était installé sur le fauteuil, de là bas il ne loupais pas une miette. Antoine lubrifiait abondement le gode, le posait juste sur mon anus …

Moi : Je me demande …
Antoine : Allons bon quoi encore ?
Moi : Je me demande si c'est bien sain tout ça ?
Antoine : Comme si c'était la première fois ! 
Moi : Non je veux dire … Toi, ok … Mais Luc … C'est mon frère … Je me demande si c'est bien sain, si c'est bien naturel quoi … 
Luc : A mon avis c'est aussi naturel que des concours de branlettes comme on en a déjà fait ou encore de s'enfermer la bite dans un dispositif de chasteté … 

Il avait raison !

Antoine : Bon ! On peut y aller ? Tu respires bien à fond Djé !
Moi : Je respire à fond, pourquoi tu dis ça, arrête de faire du cinéma, tu … AAAAAhhhhhhh !

L'enfoiré venait de pousser violemment sur le gode, j'avais l'impression que mon cul allait se déchirer. Ça faisait mal, vraiment mal, je me laissais tomber sur le lit …

Moi : Arrête, tu me fais mal !
Antoine : Voilà comment tu donnes l'exemple ! Allons un peu de tenue, on se détend, on se calme, on arrête de se plaindre, et on ouvre bien son cul. Là j'ai juste passe le gland !

Il poussait encore un peu … Je hurlais !

Moi : Non là tu vas trop vite …

Il se retirait. Je me relevais, j'étais rouge, Antoine faisait l'andouille, Luc rigolait .

Moi : Non mais c'est pas drôle, ça fait mal !
Antoine : Chochotte, tu fais un caprice … ( se retournant vers  Luc ) … C'est toujours comme ça avec les filles … 

Je me tordais de douleur. Il m'avait fait mal le con … La douleur finissait par passer … On reprenait !

Antoine poussait de nouveau le gros gode, j'avais tout de même choisi un gros modèle, mais bon au départ c'était pas pour moi. Le gland du gode passait, je soupirais, je respirais fort, je râlait et pas seulement de plaisir ! Antoine continuait à enfoncer le gode, doucement mais fermement ! Luc n'en loupait pas une miette, quand je jetais un œil dans sa direction je le sentais un peu tendu, il devait être sous tension, sa CTC devait le travailler. C'était confortable mais on la sentait bien tout de même quand on bandait. Sans douleurs mais pas forcément sans sensation ou sans frustrations … Il devait se sentir frustré le petit Luc !

Je sentais chaque centimètre de l'énorme gode que j'avais choisi, il m’explosait les entrailles, je le sentais entrer jusqu'à mon estomac je sentais mon anus se dilater à l’extrême, et chaque centimètre me donnait l'impression de me déchirer l'anus ! C'était bon, terrifiant mais bon ! Là je faisais confiance à Antoine, il ne disait plus rien, il restait concentré sur mes réactions, il y allait en fait avec une grande douceur, c'était violent mais c'était fait avec douceur !

Luc gigotait sur son fauteuil. Je relevait le dos le gode était complètement entré . 

Moi : Alors Luc, ça ne rigole plus là !
Luc : Ouai … Ouch … Terrible … Ça fait peur … Wouah ! 

Je m'allongeais sur le dos, les jambes écartées et bien relevées. Antoine continuait à me masser l'anus avec le gode en le retirant et en l'enfonçant de nouveau … Il y allait doucement, il accélérait le mouvement mais savait rester raisonnable … Le gode était énorme et pouvait me blesser. Antoine restait concentré et quand il m'entendait gémir puis haleter puis gémir encore, mais plus fort, quand il ressentait mes convulsions dans tout mon corps, quand il m'entendait crier puis hurler, il savait que je jouissait, il savait qu'il pouvait faire durer le plaisir et il le faisait. Luc ne bougeait plus, il avait l'air tétanisé, complètement absorbé par le spectacle. Antoine remarquait à je ne sais quel signe que je manifestais qu'il était temps de tout arrêter ! Doucement il retirait le gode … J'avais joui et je jouissais encore à ce moment, j'avais éjaculé et certainement avec violence. Je baissais les yeux, je n'avais pas éjaculé, pourtant je l'avais senti … 

Au moment ou Antoine retirait totalement le gode un flot de sperme coulait de ma cage sans me procurer la moindre sensation. J'étais essoufflé, mon cœur battait tellement fort qu'il semblait vouloir éclater. Je me laissais retomber sur mon lit, Luc se laissait retomber au fond du fauteuil il avait presque l'air essoufflé lui aussi, Antoine était assis à coté de moi, il passait doucement sa main sur mon torse provocant chez moi de véritables convulsions au moindre contact !


Luc se relevait brusquement … 

Luc : Vous avez vu l'heure qu'il est ! James est réglé comme une horloge et dans dix minutes il va franchir cette porte pour mettre un peu d'ordre dans la chambre !

C'était la panique ! Luc et Antoine faisaient disparaître les godes dans les sacs à dos. Les sacs à dos sous le lit. J'essayais de me relever, j'avais le vertige, je retombait sur le lit … Il me soulevaient tous les deux et au moment ou James ouvrait la porte nous disparaissions tous les trois dans la salle de bain … Je trouvais la force de crier …

Moi : James s'il te plaît, je vais préparer mon bagage, aussi il me semble inutile de faire le moindre rangement ce soir, Pourrais-tu reporter le rangement de la chambre à demain ?
James : Bien Monsieur Brosso !

Antoine hurlait !

Antoine : Eh, James tu fais pareil pour ma chambre !
James : Bien Monsieur …
Luc : Et pareil pour moi !
James : Bien Monsieur … Brosso … 

James passait sa tête dans l'ouverture de la porte .

James : Si vous me permettez … Mais combien êtes vous ici ?

On s'était installé dans la baignoire équipée du bain bouillonnant …

Antoine : C'est la seule des trois chambres à avoir un  bain bouillonnant !
James : Si vous me permettez Monsieur, le bain bouillonnant fonctionne mieux quand on y met de l'eau !
Luc : On sait … C'était prévu !

James repartait et on éclatait de rire au moment ou il fermait la porte derrière lui … Quelques instants plus tard la porte de la chambre s'ouvrait à nouveau …

Moi : James, s'il te plaît …
Mathias : C'est pas James, c'est moi ! ( il apparaissait dans l'ouverture de la porte ) Il est dans ma chambre … Il est casse pieds … Mais pourquoi vous avez pas mis d'eau dans le bain bouillonnant ?

On éclatait de rire. Mathias était déjà habillé. On prenait une douche rapide. J'avais repris mes esprits … Je n'avais aucune sensation de pression au niveau de ma CTC mais j'avais encore l'impression que mon cul était bien rempli ! Chacun courait dans sa chambre pour terminer de s'habiller. On se retrouvait dans la salle à manger, on n'était pas en retard !

En sortant de table je me penchais vers mes camarades …

Moi : Ce soir opération commando ! On ramène le matos au grenier !
Mathias : Qu'est-ce qu'il raconte ?
Luc : C'est rien je t'expliquerai !

Minuit passé, le Château était plongé dans l'obscurité, plus de bruits on aurait entendu un termite au travail s'il y en avait eu un … Sur la pointe des pieds, en tenue de ninja comme la fois précédente et les bras pleins de mes godes, je me glissais en rasant les murs jusqu'à la porte de la chambre d'Antoine … Je grattais discrètement à la porte, pas de réaction, je grattait plus fort et j'entendais hurler …

Antoine : C'est bon entrez !

J'ouvrais la porte et je lui criais tout bas …

Moi : Mais ça va pas, il faut rester discret !
Antoine : Oh excuse moi, j'y pensais plus ! ( sur le même ton, je l'entendais à peine )

Il était en tenue lui aussi. On ressortait, Antoine se glissait jusque au premier couloir en rasant les mur, sur la pointe de pieds, en se penchant. Il avait lui aussi les bras pleins de ses godes . Je frappais deux coups puis trois coups à la porte de Luc. Il ouvrait !

Luc : Pourquoi tu frappe comme ça à ma porte …
Moi : Comme prévu, deux puis trois …
Luc : On n'a rien prévu de tel ! Mais bon, ça y est, il sont repartis …

Je rejoignait Antoine, prenait position de l'autre coté du couloir. Une porte claquait derrière nous, on sursautait ! On se retournait … C'était Luc.

Luc : Quoi ? Je ferme la porte de ma chambre !

On reprenait, je faisait signe à Antoine, lui à gauche, moi à droite, il allait s'élancer ! On entendait frapper à une porte. On se retournait … C'était Luc …

Moi : Bon Luc, maintenant tu ne fait plus de bruit, tu vas nous faire repérer !
Luc : Tu sais Jeremy, il doit y avoir au moins cent cinquante chambre dans cette maison, si tu veux vraiment déranger tout le monde ça va nous prendre une bonne partie de la nuit …

On ne répondait plus, Antoine se glissait au bas des escaliers, je le suivais puis le doublait, je me glissait ainsi jusqu'au premier palier entre les étages, il faisait de même et s'arrêtait au palier de l'étage supérieur … Ainsi de suite jusqu'au grenier. De temps en temps un gode nous échappait des mains, il fallait le ramasser dans le noir sans perdre les autres …

Au grenier on n'avait pas besoin de chercher, j'entendais Luc qui baillait puis une voix qui n'était pas la sienne ! '' Ah ouai, je vois le genre, c'est impressionnant !''

On sursautait, on hurlait, tous les godes se retrouvaient par terre ! Luc allumait la lumière, on se retournait … C'était Mathias …

Mathias : J'aurais pas vu, j'y aurait pas cru !
Moi : C'est malin ! Et tu nous suis depuis longtemps ?
Luc : J'ai frappé à sa porte pour l'avertir …
Antoine : Bon on a assez rigolé ! Mais Luc, tu n'as même pas emmené tes godes ?

Luc se retournait, il avait son sac à dos … Il s'était montré plus futé que nous le p'tit frère … On rangeait les godes et on repartait sans nous occuper d'avantage de Luc et de Mathias … Ils nous suivaient en discutant. Luc racontait notre première expédition et on entendait les fous rires de Mathias … 



Ep 38 : LE CLUB DES QUATRE RETOURNE A L'ECOLE 

( Ensuite je ferai : le club des quatre à la montagne ... le club des quatre au bord de la mer … puis … Non bon là je déconne )



La rentrée était dans quelques jours, nos sacs à dos étaient pleins … je veux dire que nos sacs à dos étaient pleins de nos vêtements et affaires personnels, on n'avais pas gardé les godes … On sortait de nos chambres .

Luc : Je n'ai pas gardé de gode, on aurait peut être du !
Moi : Ne t'inquiètes pas à l'appartement il y aura Charles et il est prévoyant !
Antoine : Il y en aura pour tout le monde !
Luc : Il est comment Charles ? L'espère qu'il n'est pas comme James … Il est bien James … Mais il est casse  pieds !
Antoine : Tu verras, Charles il est super, avec lui on rigole bien !

Avant de dire au revoir à tout le monde on passait jeter nos bagages dans la voiture … Elle n'était plus là ! Je paniquait ! Je trouvais rapidement un employé du Château qui traînait à l'accueil …

Moi : Ma voiture, on a volé ma voiture, j'ai plus de voiture, elle était là j'en suis sûr ! …

Antoine qui devait m'accompagner paniquait également !

Antoine : On va faire comment pour rentrer ? Mais il faut qu'on soit rentrés dans deux jours ! C'est une catastrophe !
Le valet : Mais enfin je vous en prie ne vous affolez pas …
Moi : Quoi ma voiture a disparu et vous voulez que je reste calme !
Le valet : Je vous assure que …
Moi : Mais j'y crois pas ! On est au Château, comment une telle chose est arrivée ? Et toi Luc, tu ne dis rien ?
Luc : Elle était rangée au garage, un chauffeur nous l'apporte, elle sera là dans quelques instants !

Mathias arrivait, il avait prévu de rentrer avec nous … 

Mathias : Ils n'ont pas encore ramené la voiture ?
Luc : Elle arrive, un chauffeur est allé la chercher !
Moi : Vous n'auriez pas pu prévenir ?
Luc : On t'a prévenu, hier Mathias nous a tout expliqué mais, comment dire, vous étiez en mode ninja et vous étiez complètement dépassés ! Je ne sais par quoi mais vous étiez complètement dépassés !

Se retournant vers l'employé que nous avions embarrassé !

Luc : Excuse les José mais ils terminent les vacances et ils sont très détendus et reposés !

Antoine éclatait de rire .

Antoine : Alors là Djé, là il se fout de ta gueule !
Moi : Pas que ! De toi aussi ! Tu paniquait toi aussi !
Antoine : Mais c'est toi qui me faisait paniquer !
Mathias : Mais qu'est-ce qui se passe ? Qu'est-ce qui leur arrive encore ?

La voiture arrivait ! 

Moi : Mais ils ont fait quoi avec ma voiture, regardez comment elle est !
Luc : En effet tu as raison, c'est une horreur, c'est affreux je n'ose même pas regarder … Je crois qu'ils l'ont lavée !

Ils éclatait de rire tous les trois. En effet ma voiture était magnifique, c'est à peine si je la reconnaissais. Bon je me calmais. On passait rapidement dire au revoir à tout le monde puis on faisait route … On prévoyait de se relayer au volant, seul Luc n'avait pas son permis!

On parlait de tout et de rien pendant le trajet, j'expliquais à Mathias la nouvelle situation …

Moi : Donc Antoine va s'installer à l'appartement et Luc aussi.
Mathias : Et donc ton frère va terminer son second sicle dans notre école secondaire … Et tu as pensé à confirmer l'inscription ?
Moi : Euh …
Mathias : Je vois, tu sais, quelquefois tu as le sens de l'organisation très … pointu !
Moi : Mais comment on va faire, on est dans la merde !
Luc : La dernière fois que j'ai téléphoné a ton directeur, il n'y a pas une semaine, il m'a confirmé qu'il s'était occupé de tout … Tout est réglé !
Mathias : Ce qui est bien avec vous trois dans le même appartement c'est qu'il y en aura au moins un qui à la tête sur les épaules !

Antoine et moi répondions à cette dernière réplique en faisant la moue !

Comme on le faisait à chaque trajet, pause resto, pause pipi, pause détente, on arrivait tôt dans l'après midi. Charles venait nous accueillir avec un large sourire …

Charles : Je vois que vous avez su faire entendre votre point de vue Monsieur Brosso, je suis de nouveau à votre service !
Luc : Non ! Là il me fait vraiment penser à James !
Moi : Alors là Charles, ça commence mal !

Il me faisait l’accolade …

Charles : Je suis très content de te revoir Djé ! Tu sais, j'y croyais pas !
Moi : La c'est mieux !

Il faisait l'accolade à Antoine, on lui présentait Luc …

Charles : Alors le voilà donc celui-la. C'est donc toi qu'on appelle ' le ptit '  !
Luc : Toi tu as vu Sophie et Greg …

Charles faisait l'accolade à Luc en l'embrassant sur les deux joues et en disant …

Charles : Sophie m'a demande de t'embrasser de sa part, elle est repartie il y a deux jours ! ( se retournant vers moi ). Recevrons-nous notre ami Mathias au souper ce soir ?

Charles n'oubliait pas de saluer chaleureusement Mathias. Il me disait qu'il s'était permis d'inviter Greg au souper … 

Charles : Greg voulait absolument vous parler à toi et à Antoine au sujet de l'école, j'ai été obligé d'accepter mais je lui ai dit que vous seriez certainement fatigués, il m'a promis de ne pas traîner trop tard !
Moi : Décidément tu sais prendre soin de nous !

Charles avait déjà préparé la chambre de Mathias dans l'immeuble en face … Nous serions les seuls étudiants de cette nouvelle école à ne pas être en internat. Il y a toujours des privilégiés … On s'installait sur la terrasse … Luc partait dans la cuisine pour nous rapporter des rafraîchissement il revenait les mains vides quelques instants plus tard …

Luc : C'est Charles, il m'a dit de m'installer sur la terrasse qu'il nous apportait les rafraîchissements !
Moi : Mais alors Mathias si tu fais partie de cette famille, pourquoi tu n'as pas d’appartement comme c'est mon cas ?
Mathias : C'est un choix personnel, mais il suffirait que je le demande à mon oncle. De plus mon frère Greg m'a proposé plus d'une fois de m'installer chez lui, son appartement est aussi grand que celui-ci, et plus même je pense, la terrasse est plus petite !
Antoine : Quoi ? Ton frère Greg ? Greg c'est pas ton frère !
Luc : Là moi je ne comprends plus rien, on pourrait m'expliquer ?

Mathias leur expliquait …

Antoine : Alors c'est pour ça que c'est Charles qui a préparé ta chambre avant notre arrivée !
Luc : Et c'est pour ça que tu travaillais aussi à la mise en œuvre de l'école !
Mathias : Exactement ! 
Moi : Et c'est pour ça que tu as aussi tes entrées au Château …
Mathias : Voilà !

Greg ne traînait pas, rapidement on passait à table ! Il en profitait pour faire le point … Il y avait deux classes de première année d'un total de soixante quinze élèves, deux classes de seconde années avec quatre vingt trois élèves et soixante cinq élèves pour la troisième année … Une quatrième année sera ouverte l'année prochaine et une cinquième et dernière l'année suivante … Par la suite on verra si l'école ainsi créée ouvre des cours jusqu'au doctorat … Rien n'était prévu à ce niveau aujourd'hui. Plus de deux cent vingt étudiants … Chaque classe serait divisée en deux groupes pour réduire le nombre d'élèves par classe … On visait l’excellence … Les professeurs étaient recrutés, Greg en connaissait plusieurs, c'étaient des anciens camarades du groupe de vacances . 

Les bâtiments avaient été construits en un temps record … Greg ne nous en disait pas d'avantage … IL nous disait … '' Il faut le voir pour le croire '' …

Nous utiliseront les installations sportives déjà existantes … Les salles de cours on été construites, et à une vitesses incroyable, c'est du préfabriqué mais c'est très fonctionnel et très confortables … L'internat est une merveille. Des chambres de deux lits, spacieuses, coin bureau, petit coin salon . Les élèves seront en partie isolés avec à leur disposition tout le nécessaire pour travailler. Salle de repos, de détente, salon vidéo, réfectoire … Et tout ça c'était déjà construit … Je ne sais pas combien de fois Greg répétait … '' … un truc de fous … '' … '' … il faut le voir pour le croire … '' !

Je n'avais qu'une seule envie … aller voir mais il se faisait tard et la fatigue de la route se faisait sentir … Tout le monde retrouvait son lit ! 

Charles venait frapper à ma porte … Il entrait dans ma chambre …

Charles : Monsieur Brosso, il faut que je m'entretienne avec vous ...
Moi : Houla ! Charles là tu m'inquiètes !
Charles : Écoutes Djé, tu es mon boss et là c'est une démarche protocolaire, alors tu ne m’interromps pas, s'il te plaît !
Moi : Ok ,Ok ,Ok, mais là tu me fais peur !
Charles : Donc … Mr Brosso comme vous le savez j'étais en vacances et j'avais choisi de retirer mon dispositif, je vais donc le remettre, vous le faire constater et vous confier les clés … Ça va, tu comprends ce que je te raconte ?
Moi : Et moi je fais quoi ?
Charles : Toi, tu constates, tu attestes et tu transmets les clés au Château …
Moi : Tu veux dire que … En ce moment … Tu ne portes pas … Ton truc!
Charles : Tout à fait, et je vais …

Je lui sautais dessus, je l'embrassais, je le retournais, je le poussais sur mon lit . 

Moi : Une dernière fois avant le retour en cage ?

Il me tirait vers lui, je lui tombais dessus, il me recevais dans ses bras, on s'embrassait avec passion ! Je glissais mes mains sous sa chemise, il soulevait la mienne et me la retirait. Il m'embrassait les épaules, je l'embrassais dans le cou juste derrière l'oreille. Il rigolait, je le chatouillais …

Je lui avait retiré sa chemise, je promenais mon visage sur tout son torse, je le touchais à peine, du bout de mon nez je le chatouillais, il me répondais par des petit sursaut et des petits rires, je l'embrassais du bout des lèvres, ma langue s'attardait sur ses tétons, il me caressait doucement les cheveux .

Il me retournait, je me retrouvais allongé sur le dos, il me rendait chacun de mes baisers ... Ma cage allait exploser, elle ne me faisait plus mal mais je sentais bien la pression que le nouveau dispositif exerçait contre mon pénis. Il me mordillait doucement le ventre jusqu'en haut de mes cuisses juste en dessous de la ceinture . Mon pantalon glissait sur le sol …

Charles : Je vois que Monsieur Brosso aime toujours voyager léger …

Je vous ais déjà dit que je … Oh oui ! Plus d'une fois même … Il m’écartait les cuisses me les caressait longuement ne touchant que subrepticement mes testicules puis il m'embrassait longuement une cuisse puis l'autre, a chaque passage il me léchait et me gobait les couilles. Le plaisir montait ! Son pantalon tombait sa bite se relevait … Je ne me lassais pas de l'admirer …

Je décidais de l'admirer de plus prêt et rapidement je la gobais jusqu'à la garde. Je le suçais longuement avec un grand plaisir. Il ne cachait pas non plus le sien … Avec des gémissements il me montrait son plaisir, avec des caresses très douces et ferme sur la tête, il me dirigeait des deux mains. Il soulevait son bassin et m'enfonçait sa queue bien à fond dans la gorge. Brusquement ses mouvements devenaient plus rapides, plus fermes. Ses mains se refermaient sur ma tête comme s'il ne voulait pas que je me dégage, je n'en avait pas l'intention … J'entendais un long râle de plaisir, je recevais une giclée de sperme dans la bouche, il continuait encore quelques mouvements, se laissait retomber, j'avalais !

Je restais sans bouger, sa queue diminuait en taille et ramollissait, elle était bien dure quelques instants plus tôt et là, elle redevenait toute molle, encore de grosse taille mais toute molle, toute douce. Je la suçait encore un peu sans provoquer de nouvelle réaction … Je remontait mon visage contre son corps en le caressant du bout de mon nez jusqu'à son visage. On s'embrassait encore, sur la bouche puis sur tout le visage, avec douceur, avec tendresse. Je l'avais sentir frémir et j'avais aimé ça. La pression dans ma cage restait intense, douce mais intense … J'aurais aimé … 

Nos deux corps se frottaient l'un contre l'autre, nos deux corps se caressaient par un mouvement lent, la peau est douce, la peau est chaude, il m'entourait des ses bras, je ne voulais pas le lâcher. Je ressentait quelque chose qui semblait durcir et se redresser entre ses cuisses … Il bandait de nouveau … Il me retournait sur le ventre en continuant à m'embrasser à me mordiller là ou ça chatouille, là juste en dessous de la nuque, juste entre les deux omoplates. Il me faisait frisonner, je m'allongeais, j'écartais les bras, il écartait mes jambes et me caressait les fesses .

Peu après je sentais un doigt se glisser entre mes fesses, il se glissait rapidement dans mon cul, je gémissait de plaisir et me détendais encore plus. Si je me détends encore je vais devenir liquide ! Un second doigt retrouvait le premier et ils commençaient à me masser la prostate. Doucement d'abord puis plus fort, de nouveau avec douceur et tout recommençait … Les doigt se retiraient, Charles s'allongeait sur moi, je sentais une forte pression sur mon anus, comment aurais-je pu me détendre davantage ? J'étais déjà tout mou. 

Il m'enfonçait doucement son pénis dans le cul. La veille j'avais été bien stimulé par Antoine et son énorme gode aussi Charles n'entrait pas seulement avec aisance mais il provoquait immédiatement en moi un immense plaisir qui rapidement se transformait en orgasme … Je jouissais en quelques instants, Charles s'en rendait compte et continuait à me limer le cul et plus en plus vite sans me ménager. Je convulsais de plaisir et ne contrôlais plus mes gestes ou les mouvements de mon corps. Je sentais ma cage exploser, j'éjaculais mais je ne savais pas si cette fois ci c'était pour de vrai … Je sentais ma bite se contracter, je la sentais qui pressait désespérément contre ma cage, je la sentait qui parvenait à juter malgré tout. Charles poussait des râles de plaisir dans mon oreille il jouissait lui aussi dans mon cul. Je ne le sentais pas frémir tant je frémissais moi-même, il retombait lourdement sur moi ! Plus personne ne bougeait !

On restait longtemps comme ça, immobiles, puis on se levait on allait à la salle de bain … Quand j'en ressortais Charles avait déjà mis son dispositif, il m'attendait pour le verrouiller …

Charles : Monsieur Brosso comme vous pouvez le constater …
Moi : Tu es sûr Charles ? ( je m'approchais de lui, le caressait doucement d'une main ) … Tu es sûr ?
Charles : Alors toi Djé, le protocole et toi ça fait deux.
Moi : Je suis allergique au ''tropocole'' … Surtout quand on est tous les deux … Surtout quand on vient de …

Je lui donnais un baiser, juste entre épaule et son téton. Il me rendait mon baiser, verrouillait son dispositif et me donnait la clée.

Charles : Tu n'auras qu'à la donner à Greg il saura quoi en faire !

Je prenais Charles par la main et l'attirais vers le lit, je n'avais plus envie de dormir seul ce soir ! C'est dans ses bras que je m'endormais ! 

Le lendemain matin j'étais réveillé par Luc qui frappait à ma porte en hurlant. Il était déjà dans ma chambre et semblait trouver cette méthode de réveille à son goût. Charles et moi on sursautait. 

Moi : Mais Luc, ça va pas ! Tu es un grand malade !
Charles : Ça c'est un réveil tonique … Il est quelle heure ?
Luc : Je peux prendre un bain bouillonnant dis, je peux dis Jérémy ?

Charles regardait le réveil et se laissait retomber sur le dos, j'en faisais de même … Il était très tôt !

Moi : Tu as vu l'heure ?
Luc : Oué ! Ça fait un moment que je regarde le réveil et je n'arrive pas à me rendormir aussi …
Moi : Oui, d'accord mais c'est pas une raison !
Luc : Au début j'avais prévu de me glisser dans ta salle de bain sans faire de bruit mais quand je vous ai vu … J'ai pas pu résister … 
Charles : C'est un marrant ton petit frère. Bon moi je me lève au point ou en est !

Charles se levait. Luc le regardait avec avidité, je voyais dans ses yeux qu'il était sur le point de craquer … Il faut dire que Charles … Il est canon !

Charles : Si tu me permets Luc, vous allez tous vous lever d'ici peu aussi je te conseille d'attendre d'avoir fait ton entraînement sportif avant de prendre un bain bouillonnant … Ce sera plus agréable, à votre retour un petit déjeuner complet et équilibré vous attendra et c'est ensuite un bain bouillonnant à la bonne température qui t'attendra …

Luc : Ça c'est une idée. Tu as l'air plus cool que James toi !

On se retrouvait dans la cuisine tous les trois à attendre le café que Charles préparait … Seul Luc était presque habillé il avait un pantalon de sport. Je lui expliquait qu'on commençait toujours la matinée par une séance de sport puis le petit déjeuner ensuite on partait aux cours …

Charles : Bien il va falloir penser à réveiller Antoine .
Luc : Je m'en charge … 

Il fonçait dans la chambre d'Antoine, y entrait, on l'entendait hurler et frapper à la porte depuis l'intérieur … La porte se rouvrait et on entendait finalement Antoine gueuler … 

Charles : ( en me regardant, pas encore vraiment réveillé ) Rassure moi Djé, ça va pas être comme ça tous les matins ...



Ep 39 : LE CLUB DES QUATRE VISITE LE CAMPUS

( J'ai pas résisté avec ... le club des quatre … LOL )



Luc était content de son coup. On descendait au triple galop pour notre footing quotidien. Antoine et moi avancions à notre rythme, sans forcer, on y allait doucement. Luc était loin derrière, il tirait la langue et avait un mal fou à nous suivre … 

Antoine : Il est pas résistant le p'tit !
Moi : Nous on est les champions du campus aussi … Il va falloir l’entraîner, il y a du boulot …
Antoine : Il n'empêche qu'il est en avance sur toi !
Moi : Comment ça ?
Antoine : Ça fait un bon moment qu'il n'est plus puceau du cul lui !
Moi : Peuhhh ! Tu m'embêtes !

On passait par les hauteurs de la ville, un endroit superbe très vert d’où on pouvait apercevoir la rivière d'un coté et le campus de l'autre … On s'arrêtait net ! 

Moi : C'est pas croyable ! Tu as vu ça !
Antoine : J'y crois pas ! On savait que l'organisation de Mr Le Conte pouvait être efficace mais là …

Luc arrivait un peu plus tard …

Luc : Vous êtes pas cool les mecs, pouvez pas m'attendre … ( Il reprenait son souffle ) … Mais c'est joli ici, on voit toute la ville … Oué on voit ta fac Jeremy … Mais ces bâtiments, là, à coté, ils n'étaient pas la avant ?
Moi : Non ils n'étaient pas là !

Luc commençait lui aussi a voir l'étendu du travail … En effet Greg avait raison, il fallait le voir pour le croire ! On revenait à l'appartement. On sonnait, Charles nous ouvrait, il était en tenue et avait préparé le petit déjeuner. 

Charles : Vous vous êtes débarrassé du p'tit ? Vous ne l'avez pas noyé j'espère ?
Moi : Alors là Charles je te préviens on va lui répéter ça, je suis sûr que ça va lui plaire !
Antoine : C'est une petite nature il n'arrive pas à nous suivre !
Charles : Dois-je vous rappeler que c'est vous qui détenez les records de la fac depuis sa création il y a un siècle !

Luc arrivait un moment plus tard, il était en sueur, il soufflait comme un phoque qui termine une longue apnée, il s'appuyait contre le mur de la cuisine et reprenait son souffle.

Charles : Malgré tous les efforts de Djé et d'Antoine je vois avec plaisir que tu as retrouvé la maison. Ils on essayé de te perdre, ils sont joueurs ! Le petit déjeuner est prêt, désires-tu autre chose, une bonbonne d’oxygéné par exemple …  

Luc : Antoine avait raison, on rigole bien avec toi !
Charles : ( en me regardant ) Je confirme … Petite nature !

On prenait une douche pendant que le p'tit terminait son petit déjeuner. Charles le chouchoutait … On ne voulait pas traîner davantage il fallait qu'on voit de plus près le travail qui avait été fait ! On sautait dans la voiture et en quelques minutes on était sur le campus. On y entrait sans se préoccuper de l'écriteau qui disait '' INTEDIT AU PUBLIC '' … Il fallait vraiment le voir pour le croire !

Une partie du parc avait disparue sous les nouveaux bâtiments. En premier une barre d'immeuble de trois étages, c'était ouvert, on y entrait ...  Hall d'accueil puis secrétariat déjà équipé, ordinateurs, bureaux, totalement équipé …

Moi : C'est bizarre, c'était pas fermé !

À l'étages les salles de cours étaient équipées aussi … de l'autre coté du bâtiment une grande partie du parc était toujours là … Ensuite, et c'était le plus impressionnant … L'internat … On s'y rendait .

On était à mi chemin quand on entendait hurler plus loin derrière nous …

Un garde : Plus un geste ! Vous allez ou là ? Vous vous croyez ou ? 

On ne bougeait plus, on l'attendait …

Moi : Ça ne te rappelle rien ça ?

Antoine commençait à rigoler …

Antoine : Ça va devenir une habitude, et tu vas voir dans deux minutes on va nous traiter comme des princes …

Le garde : ( il se rapprochait mais il était encore loin ) Je vois qu'il y en a un qui se marre ! Ouai mais ne fais pas le mariole toi … 

Il s'approchait, il nous reconnaissait ! 

Le garde : Ah c'est vous … Djé, Antoine, il fallait le dire … Excusez moi mais hier soir on a vu que les portes ne fermaient pas correctement alors … On monte la garde !

Il venait jusqu'à nous pour nous serrer la main ! Et on discutait un moment ! Avant de reprendre notre visite car, bien sûr, il nous laissait continuer … Dans son talkie-walkie on entendait une voix, il répondait … '' Pas de problème c'est Djé et Antoine, tout va bien '' !

On visitait ensuite l'internat … Deux barres d'immeubles quinze appartements en façade autant de l'autre coté soit trente par niveau … on faisait le compte … trois niveau soit quatre vingt dix … cent quatre vingt étudiants … On se regardait … On était loin du compte … On entrait dans le bâtiment, on le traversait … il y avait une deuxième barre d'immeuble de l'autre coté … Le compte était bon, on pouvait loger trois cent soixante étudiants … 

Moi : J'y crois pas, ils ont construit ça en moins de deux mois !
Antoine : Il fallait vraiment le croire pour le voir !
Moi : Moi j'aurais dit le voir pour le croire !
Antoine : J'ai dit quoi ?

Il regardait partout l'air incrédule, il avait la bouche ouverte ce qui ne lui donnait pas un air très malin mais je devais être comme lui ! J'hallucinais complètement ! Je l'entendais crier …

Antoine : Il y a encore un autre bâtiment juste derrière … 

On ressortait de l'autre coté … En effet, il était plus petit, c'était les installations de détente, salon vidéo, salles pour les clubs, etc … Un autre garde arrivait . Je lui lançait …

Moi : Moi c'est Djé et lui c'est mon pote Antoine ! 
Le garde : Oui je sais mon collègue m'a prévenu … 

Il nous saluait …

Le garde : Impressionnant non ?
Moi : J'y crois pas !
Le garde : Vous auriez vu ça, c'était de la folie … Tout est en préfabriqué ! C'est démontable ils ont dit ! C'est fait avec des blocs un peu comme un jeu de construction, deux blocs par appartement plus un pour le couloir … Plus de trois cent blocs pour chacune de ces deux barres d'immeuble … C'était livré par d'énormes camions ... Deux blocs par camion … On a eu jusqu'à vingt camions en une journée … J'ai jamais vu ça ! J'aimerais bien connaître le gars qui est derrière tout ça . 

Mon téléphone sonnait .

Moi : Allo ! Charles … Non … Il est là … Oui d'accord … Personne ne le connaît ici on va l'attendre à l'entrée du campus … Oui … Évidemment … Tu peux lui confirmer qu'on l'attend … Mais dis moi, tu as vu le truc qu'ils ont construit ? C'est vraiment un truc de malade, j'y crois pas !

Je raccrochait ! A l'intention du garde !

Moi : Tu voulais savoir qui était derrière tout ça … Et bien ça peut se faire, il arrive !
Antoine : Mr Le Conte ?
Moi : Il s'est fait livrer sa voiture dans la nuit et son chauffeur est allé le chercher à l'aéroport, Greg n'est pas là ! 

On se retrouvait devant le campus … La rolls arrivait et se garait telle un paquebot qui rentre au port … C'est vrai que c'est impressionnant ce genre de voiture. La portière s'ouvrait … Luc en sortait comme une furie en dansant et en criant …

Luc : J'adore cette voiture ! J'en veux une pareil !
Un garde : C'est pas lui ?
Antoine : Non lui, c'est le petit frère de Djé !

Suivait Mr Le Conte … Il avait l'air amusé ...

MLC : On m'a dit que vous m'attendiez Djé, Antoine … (il saluait tout le monde) Alors voilà donc ce bâtiment … Je voulais le voir par moi-même … Ça m'a l'air tout à fait satisfaisant … Vous l'avez visité ?

Les employés arrivaient les uns après les autres. On attendait l'arriver des premiers étudiants pour la journée … J'étais resté à l'entrée, je m'étais laissé distraire et les autres m'avaient distancés et avaient commencé la visite. Le directeur arrivait vers moi …

Le dir : J'ai vu la Rolls, il est là ?
Moi : Il était là tout de suite, il ne devrait pas être bien loin !

On rattrapait le groupe et je faisais les présentations. Le directeur assurait alors la visite guidée … 

Luc venait me voir …

Luc : Tu as vu, c'est vraiment incroyable quand on est parti ils venaient juste de niveler le terrain … Et maintenant …

Bob arrivait … Il avait un grand sourire, Luc aussi avait brusquement un grand sourire … 

Bob : On vient de me dire que tu étais revenu ! 
Luc : Et je vais resté. Tout est réglé, j'habite chez mon frère.

Ils se serraient la mains mais je sentais qu'ils auraient préféré faire autre chose. Luc invitait son camarade à visiter le bâtiment … Je reprenais ma visite au niveau de l'internat … Un peu plus tard je retrouvais un des gardes que j'avais vu plus tôt …

Le garde : Djé ?
Moi : Oui ?
Le garde : Non rien, une impression, de loin j'ai vu quelqu'un que j'ai pris pour toi, il visitait l'internat là bas, mais il devait être plus jeune, une ressemblance sans doute … 
Moi : Mon frère sans doute, tout le monde nous dit qu'on se ressemble !

J'allais justement visiter ce bâtiment moi aussi. Les chambres étaient plus grande et plus confortables que ce qu'on voit habituellement dans les bâtiments réservés aux étudiants. Elles étaient toutes identiques, un grand couloir traversait le bâtiment sur toute sa longueur et desservait les chambres de chaque coté … En passant près d'une porte j'entendais des murmures, je tendais l'oreille, c'étaient des gémissements. Je poussais la porte. Il y avait deux garçons allongés sur le sol, ils étaient torse nues, assez mignons, belles musculatures, un peu plus jeunes que moi. 

L'un était à califourchon sur son camarade et lui caressait le torse, je le voyais de dos et il me cachait le visage de son partenaire. Il se relevait et laissait tomber son pantalon et ses sous vêtements … Il a un beau cul le mec ! Ouai, il avait de très belles fesses. Je me demandais lequel serait actif, d'où j'étais ils ne pouvaient pas me voir … Celui qui était sur le sol se redressait et, toujours assis sur le sol suçait longuement son camarade … Celui-ci lui tenait la tête et appuyait dessus en même temps qu'il avançait son bassin … Le second avait du mal à avaler la queue, manque d'entraînement ou grosse queue, je ne parvenait pas à voir s'il était bien monté … En tous cas, il semblait apprécier et gémissait à chaque mouvement de son bassin.

Le second toujours assis sur le sol, les jambes allongées ouvrait son pantalon et, sans arrêter de sucer son copain, se soulevait les fesses en s'aidant des ses mains pour faire glisser son pantalon. Le premier se retournait, il avait une grosse queue ! Bien grosse, bien raide, bien droite, un beau morceau quoi ! Comme je les aime ! Il a les même goûts que moi le p'tit jeune … 

Le second parvenait enfin a retirer son pantalon, tient lui aussi il aime voyager léger … Comme moi ! En effet j'ai déjà du vous dire que je ne portais pas de sous vêtements, et bien je ne suis pas le seul … La preuve … Il se relevait, se penchait en avant, c'était agaçant je ne parvenais toujours pas à voir son visage … Un première année ?  Il était déjà équipé d'un dispositif  ? Son camarade avec sa grosse queue se positionnait et la lui enfonçait doucement bien à fond. L'autre râlait, c'est fou comment le son résonne dans un appartement vide. Il continuait en se retirant complètement et revenait à la charge doucement d'abord et plus vite, il recommençait sans trop accélérer. Il y allait doucement, c'était des jeunes … Ça viendra, avec l'entraînement ça viendra ! 

Il se penchait sur son camarade, je devinais qu'il le prenait dans ses bras. Je ne pouvais en effet par voir le haut de leur corps … Et bien sûr, de fait je ne voyais pas leur tête … Il semblait le serrer bien fort, je ne voyais que le mouvement de son bassin qui faisait de petits allers et retours, petit mais très rapides … J'aurais pu voir leurs visages mais alors ils m'auraient vu eux aussi … 

Sans se retirer, le garçon qui était derrière relevait son camarade et continuait à le buriner doucement mais fermement ! Ils se retournaient et je voyais le second garçon de face … Il portait un dispositif CTC ! 

Nous sommes trois à porter un tel dispositif et si ce n'est pas Antoine … !
Ils gémissaient de plaisir, je voyais mon frère éjaculer dans son dispositif deux giclées de sperme étaient éjectées de son CTC, à entendre les gémissements de son camarade je supposait que lui aussi il jouissait … 

Discrètement je me retirais et continuais ma visite à un autre étage … Il sait s'amuser le p'tit ! Et avec son copain, il y a de quoi faire … 

Je retrouvait les deux gamins à la sortie du bâtiment, ils descendaient l'escalier devant moi, ils se tenaient par la main. 

Moi : Eh les gars vous devriez être plus discrets !

Ils se retournaient, Bob changeait de couleurs, c'est décidément une habitude chez lui ! Il changeait même de couleur plusieurs fois. Il devenait d'abord tout blanc, j'ai cru qu'il allait s'évanouir. Puis il devenait tout rouge, j'ai cru qu'il allait avoir une attaque.

Moi : Vous vous tenez par la main les gars ! C'est pas bien grave, moi ça ne me dérange pas mais si vous voulez éviter les quolibets vous devriez éviter de faire ça en public … Alors vous en pensez quoi ? C'est impressionnant ce qu'ils ont fait en deux mois à peine ... 
Bob : Je tr..v. ..ss. … 
Moi : Tu n'as pas l'air en forme mon garçon, tu devrais prendre l'air … Allons ça ne me dérange pas du tout si tu sors avec mon frère … Évitez seulement de trop l'afficher … Tu devrais reboutonner ta chemise on pourrait se demander ce que vous avez fait dans le troisième appartement du premier étage …
Luc : Djé … ! ( il avait l'air en colère d'un coup et c'était la première fois qu'il m'appelait comme ça )
Moi : Bon moi je vous laisse, sinon ton copain va avoir une attaque et tu vas m'en vouloir !
Luc : Tu faisais quoi dans cet appartement ?
Moi : Mais moi je faisais rien, j'ai entendu du bruit et j'ai jeté un œil c'est tout !
Luc : Et tu nous as reconnu !
Moi : Nous sommes trois à porter un CTC ! Au fait Bob, tu en penses quoi de ce truc ? C'est joli non ? Tu aimes ?
Bob : PPPPas pp..r moi !
Moi : Bon je vous laisse, tu passes à la maison quand tu veux Bob !

Je les laissais, Luc me regardait de travers. 

Je retrouvais le groupe officiel qui arrivait à la seconde barre de l'internat … Je me joignais à eux … On croisait de nouveau mon frère et Bob …

MLC : Viens donc par là Luc et dis moi ce que tu en penses !

C'était la première fois que j'entendais Monsieur Le Conte tutoyer quelqu'un qui n'était une des ses proches ou un membre de sa famille. Luc n'avait plus le choix, il venait nous rejoindre … Je faisais signe à Bob de ne pas rester tout seul et de nous suivre. A l'avant du groupe Mr Le Conte, le directeur de la fac et mon frère discutaient, à l'arrière j'essayais de discuter avec Bob qui avait toujours  un peu de mal à se décontracter avec moi ! Je lui expliquait que s'il devait continuer à fréquenter mon frère on finirait par se voir très souvent … Il me demandait qui étaient ce personnage, je lui expliquait. Je l'invitais à dîner le jour même ! Et envoyais un message à Charles pour qu'il ne soit pas surpris !

Moi : Tu sais, tu es marrant Bob, chaque fois que je te vois tu change de couleur, tout à l'heure tu es devenu tout blanc puis tout rouge, c'est rigolo, ça fait décoratif mais c'est pas vraiment naturel ?

Je parvenais à le faire rire !

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