Djé saison 2

Ep 14 : LES CHAMPIONS … LE RETOUR 


M Le Conte ne s'était pas moqué de nous ! L'appartement était encore mieux que le précédent, Antoine avait toujours eu envie de mon appartement … Il était bien logé mais pas aussi bien que moi ... Là, on avait la même chose, sur le même palier. Un grand appartement avec quatre chambres, un grand salon équipé, télé, vidéo, hifi … On aurait trois colocataires … Dominique et Denis était là aussi, ils occupaient l'appartement au dessus du mien, toujours ensemble. Il y avait un deuxième étage pour un total de six appartements . On avait passé quelques jours dans nos familles respectives et on était de retour , un peu en avance ! Le jour de la visite l'agent immobilier nous demandait de choisir notre cambre … Il y faisait brancher l'internet et le téléphone en illimité le lendemain … Encore un petit cadeau du château ! 

Tristan, Mathias et Manuel étaient aussi ici, ils avaient aussi un appartement avec eux aussi trois colocataires. On les retrouvait avec plaisir, ils pourraient nous raconter les dernières vacances … On s'organisait une soirée dans mon appartement !

Tristan : J'ai croisé Greg aujourd'hui … Il m'a dit que vous auriez, toi (Djé) et Antoine une petite surprise à nous montrer …  

Antoine et  moi nous regardions en rigolant …

Antoine : On leur montre ?
Moi : Ils vont être verts !

On baissait nos pantalons … Il éclataient tous de rire …

Tristan : Piégés ! vous êtes piégés ! Vous savez que les porteurs de ces trucs en métal le gardent au moins un an ?
Antoine : On sait !
Mathias : Mais Antoine, c'était nouveau pour toi, tu ne l'avait gardé que deux semaines … Et tu es déjà passé à cette étape … Un an !
Manuel : J'y crois pas … Pour Djé ça ne m'étonne qu'à moitié, mais pour Antoine … Il ne pourra pas sauter trois ou quatre fille par semaines comme l'année passée !

Antoine et moi on rigolait … Les trois autres guignols rigolaient encore plus de nous tout en s'échangeant des regards complices …

Tristan, sans rien dire baissait son pantalon … Il en avait un aussi, le même que le notre, en métal ! Ses deux complices suivaient son exemple et baissaient aussi leur pantalons … Pareil ! Nous avions tous le même dispositif en métal et on le garderait tous pendant toute l'année scolaire … !

Moi : Mais c'est quoi ce délire ?  Vous pourriez me dire ce qui se passe ici. Tout le monde est devenu fou, vous êtes aussi fou que nous ou quoi ?

Pendant le repas ils nous racontait le dernier groupe de vacances ! Il y avait des nouveaux, ils étaient seize participants et les premiers jours, comme prévus, deux participants étaient élus à la fois … Le porteur c'était encore Dominique … On rigolait beaucoup en pensant à lui, il devait en faire une tête … Pour le moment nous étions les seuls à savoir que nos trois camarades étaient porteur volontaire d'un dispositif métallique et eux étaient les seuls à le savoir pour nous !

Antoine et moi racontions notre séjour au château … Ils nous écoutaient avec un grand intérêt, excepté peut être Mathias … Lui, il avait l'air moins attentif et un peu amusé …

Manuel : Nous sommes cinq porteur volontaire avec Dominique ça fait six porteurs. Il y a six appartement dans cet immeuble. Il y a un porteur par appartement ! C'est sûrement pas un hasard !
Mathias : Nous allons devoir gérer une situation un peu spéciale ! Dans quelques jours il va y avoir ici dix sept colocataires qui n'ont probablement jamais entendu parler de ce genre de truc, et qui son probablement hétérosexuels !
Antoine : Greg avait raison, son oncle à un humour spécial !

Quelques jours plus tard, tous les locataires étaient arrivés nos colocataires pour Antoine et moi étaient tous dans le même groupe sportif … Il y avait quatre nouveaux on ne connaissait donc que les deux plus anciens ! Un était avec moi, André, l'autre logeait avec Antoine, Raphaël. Ces deux là on les connaissait, les autres étaient des premières années.

Je commençais à m'angoisser ! J'allais voir Antoine, il fallait que je lui parle ! J'arrivais à le prendre à part un peu avant la fin d'une séance d’entraînement. Je l’entraînais dans les vestiaires.

Moi : Je ne sais pas comment gérer ça !
Antoine : Oui le dispositif ! J'y ai pensé !
Moi : Et tu proposes quoi ?
Antoine : On peut faire comme tu faisais pendant trois mois. Tu sais quand tu portait le truc. On évite de prendre notre douche avec le reste de l'équipe !
Moi : Ils vont vraiment finir pas se poser des questions !
Antoine : Ils se poseront des questions !
Moi : Oui, mais il reste les colocataires. Ils sont là depuis deux jours … Pour le moment tout va bien, j'ai évité les rencontres dans la salle de bain. Je ne sais pas combien de temps je pourrais continuer comme ça ! …
Antoine : Tu préfères passer l'année à venir à te cacher, a te demander si personne ne le sait, ou encore ce qu'on dirait …

Les vestiaires s'étaient remplis, et les garçons se déshabillaient les uns après les autres et passaient sous la douche, bientôt nous étions les seuls à avoir encore nos vêtements !

Antoine : Je sais comment gérer cette situation, regarde.

En quelques seconde Antoine retirait tous ses vêtements, prenait une serviette et se dirigeait vers les douches !

Antoine : Alors, tu viens ?

Je ne savais plus quoi faire. Il revenait vers mois, il tirait sur mon t-shirs pour m'inciter à l'enlever … Hésitant, je le retirais … A moitié tétanisé, je baissait mon shirt et mon jock ! J'étais à poil dans des vestiaires, juste à coté toute mon équipe de sport se douchait et je portais un dispositif de chasteté. Antoine m’entraînait par le bras vers les couches, je suivais !

Il avançait avec le plus grand naturel. Je ne sais pas s'il était réellement décontracté mais en tous cas si ce n'était pas le cas il en avait l'air. Au début avec la buée personne ne prêtait attention à nous. On se douchait, je commençais à me détendre, et … Arriverait ce qui devait arriver … 
Quelques instants plus tard … Jérôme, un de mes colocataires étudiant de première année …

Jérôme : Mais c'est quoi ce truc que vous portez les mecs ? 

Il faisait une tête a faire peur et en même temps on avait l'impression qu'il allait éclater de rire … En fait non, c'était seulement une grimace. Il avait plus peur qu'envie de rigoler …

Dans ma tête je me disais … '' On y est, c'est parti !... ''. Je prenais la parole …

Moi : Ce truc comme tu dis c'est pour … 

Antoine me coupait la parole …

Antoine : C'est pour nous préserver, c'est pour nous aider à garder toute notre énergie. Tu crois quoi ? On est les deux meilleurs du groupe, on est les champions …  Il y a un prix à payer !

En quelques secondes tout le groupe s'était attroupé autour de nous. Nous étions au milieu de la salle … Antoine avait fait exprès de m'entraîner au centre de la douche … Tout le groupe sauf Julien qui était resté en retrait, il essayait de voir ce qui se passait mais sans se retourner, il semblait être mal à l'aise avec la nudité, il semblait aussi dissimuler un belle érection … Julien faisait aussi partie de mes colocataires, un première année , et il m'avait sembler aussi qu'il évitait, comme moi de prendre sa douche avec les autres habitants de l'appartement, comme moi mais peut être pas pour les mêmes raisons !

Les réactions du groupe étaient mitigées … Certains semblaient horrifiés et gardaient leur mains devant leurs parties comme pour se protéger … D'autre avaient une expression de surprise, bouche grande ouverte, yeux tout rond ( un peu comme le loup de Tex Avery quand il voit Cendrillon métamorphosée … ) … Un autre faisait la moue avec sa bouche ou encore fronçait les sourcilles … Ils examinaient avec attention et curiosité, il y en avait même deux ou trois qui d'un coup s'était retrouvé avec une belle érection et à voire la tête qu'il faisait je ne suis même pas sûr qu'ils s'en rendaient compte …

Il n'y avait plus que le bruit de l'eau qui coulait encore de plusieurs douches … Quand la dernière douche s'arrêtait c'était le silence total … Une première ! Un moment de silence total dans des vestiaires alors qu'une équipe complète de sportif prenait sa douche… Ça c'est pas tous les jours ! e coach était arrivé et regardait ce qui se passait sans se faire remarquer et sans comprendre tout de suite de quoi il s'agissait ! 
D'un coup une question puis une seconde et encore une troisième …

… Vous le portez depuis quand ? …
… Ça fait pas mal ? … ( Celle là c'est à chaque fois qu'on l'entend ) ... 
… Vous pouvez pas le retirer ? …
… Mais pourquoi ? …
… Mais vous pouvez pas vous branler  alors ? …
… C'est beau ! …
… Moi ça me fait peur ! …
… On est vraiment plus fort quand on porte ça ? …
… Moi, j’essaierais bien pour voire ! …

… J'en veux un aussi ! … ( Celle là on ne l'entend pas à chaque fois ! )


Julien s'était retourné et se rapprochait, il dissimulait en effet une belle érection et ne semblait pas à son aise …

Dominique débarquait sans aucune discrétion … Il se frayait un passage pour arriver jusqu'à nous. Depuis les vestiaires il avait suivi une bonne partie de la scène …
Dominique : Alors quoi, j'ai loupé quelque chose ? Ça va les mec ? ( à notre intention ) … Eh quoi les gars, vous avez vu des mecs avec une ceinture de chasteté … ? Et bien maintenant c'est fait !

C'est à ce moment que le reste du groupe remarquait que lui aussi … Il faisait face au groupe et tournait sur lui même pour que tout le monde puisse voire ! Mathias et Manuel arrivaient à leur tour, il nous rejoignaient au centre du groupe … Mathias prenant un air innocent demandait ce qui se passait et actionnait la douche en tirant sur la poignée … !

Le coach : Mais qu'est ce qui ce passe ici ? Pas de cris ! Pas de gesticulations ! Pas de chamaillerie ! Pas d'engueulades ! Pas de rigolades ! Pas de bagarres ! Vous êtes  tous calmes ! Depuis l'extérieur n a l'impression qu'il n'y a personne ici ! MAIS C'EST QUOI CE BORDEL ? 

Il est marrant le coach ! Il avait tout vu, il en avait vu d'autre également et savait parfaitement de quoi il s'agissait ! … Il convoquait tout le groupe de porteur dans son bureau ! … 

Un peu plus tard dans le bureau du coach, Antoine, Mathias, Manuel , Dominique et moi … On était au garde à vous , le coache était assis à son bureau … Voyant notre air un peu trop sérieux … 

Le coach : Repos soldats ! … C'est vraiment sérieux ce truc ?

On faisait tous oui de la tête !

Le coach : Vous savez, vous n'êtes pas les premiers … Depuis plus de dix ans j'en ai vu plusieurs qui portaient ce genre de truc … Rarement un truc en métal … ! Mais j'en ai vu d'autres … Le plus souvent ils restent discrets … Quelquefois ils viennent m'en parler … Il y en a même qui m'ont confié leurs clés … Il paraît qu'il y a des groupes qui se forment ou les participants portent ça pendant un certain temps …

Il ne connaissait pas le groupe de vacances, il en avait entendu parler mais sans plus !

Je prenais la parole …

Moi : C'est tout à fait sérieux … Antoine et moi nous sommes engagé à porter ce truc jusqu'aux prochaines grandes vacances  !
Antoine : Toute l'année scolaire !
Mathias : Nous c'est pareil !
Moi : Vous vos souvenez coach l'an dernier, le second trimestre ou j'étais si bon, je l'ai porté pendant trois mois …
Le coach : Et c'est vrai, tu étais concentré sur tes études et sur le sport pendant cette période ! … 

La discussion durait encore un moment. Le coach voulait surtout s'assurer que tout allait bien, que nous ne subissions pas de contrainte, que c'était un choix et qu'il était parfaitement assumé … Que nous le vivions bien ...

Il terminait en nous disant que si toutefois on avait du mal à supporter ça de venir le voir et qu'il faudrait alors le retirer ! …

Beaucoup de choses se passaient dans les jours qui suivaient … Un grand nombre de nos camarades venaient se renseigner auprès d'un d'entre nous … Mes colocataires m'assaillaient de questions … Julien était venu me voir en premier, nous étions à peine rentré à l'appart, il s'était dépêche pour être seul avec moi …

Julien : Tu l'a eu ou ton truc ? 
Moi : Des amis me l'on fourni !
Julien : J'aimerais bien essayer !
Moi : Je vais me renseigner si tu veux !
Julien : Ça coûte chère ?
Moi : Je sais pas c'est pas moi qui ai payé !

Julien se confiait un peu plus … Il était vraiment très timide et très réservé. Il m'avouait qu'il était très mal à l'aise avec la nudité, qu'à chaque fois il bandait, que dans les douches c'était l'horreur à cause de ça, qu'il n'allait pas à la piscine à cause de ça … De plus, il était assez bien membré et de ce fait, c'était pas discret !

Jérôme n'était intéressé que par mes performances … Si ce truc me permettait de me concentrer sur mon travail et uniquement sur mon travail … Si ce truc m'aidait à être si bon dans mon entraînement … Si c'était grâce à ce truc que j'étais le champion … Pourquoi pas !

André lui se souvenait du second trimestres de l'année précédente, André était mon colocataire de deuxième année, on se connaissait déjà, il était dans mon équipe l'année précédente ! Il me dit qu'il faisait partie de mes admirateurs l'année passée quand je battais tous les records et que mes mauvaises prestations de la fin de l'année l'avaient beaucoup déçues … Il me voyait de nouveau en forme … Il était prêt à me suivre … 

Dans les autres appartements de l'immeuble la même chose se passait … Au bout de deux semaines d'échanges et de discussions intenses les deux tiers des nouveaux résidents étaient volontaires pour essayer ! Pour ce qui du reste de l'équipe plus de la moitié de l'équipe ou plus précisément des trois équipes , première, seconde et troisième année … Les autres étudiants des années supérieures étaient installés dans un autre bâtiment, on ne les voyait que rarement, ils vivaient leur vie … Deux ou trois d'entre eux étaient venu s'informer … Parmi eux un ancien membre du groupe de vacances, il voulait remettre ça, il avait été porteur une fois … 

Je demandais à Greg d'organiser une réunions d'urgence !

La réunion se faisait à la bibliothèque avec tous les porteurs, le coach, Greg, deux autres professeurs, le directeur de l'école (!), trois représentants de parents d'élèves (!!), un psychiatre (!!!) , et trois représentants de M Le Conte … Que du beau monde … J'étais très intimidé surtout que je me retrouvais avec mes camarades au centre de cette affaire de plus quand je lui avait demandé d'organiser une réunion, je pensais à une réunion entre membre du club, pas une réunion qui impliquait les représentants de l'école  …

On nous projetait un film d'information ( en fait c'était un film publicitaire d'une demie heure ) pour permettre à tous ceux qui ne connaissaient pas le truc de savoir exactement de quoi il s'agissait ! A cette époque il y avait déjà une petite communauté de porteurs sérieux, certains très sérieux qui le portaient en permanence … Il y avait aussi une communauté de porteurs moins sérieux, on pouvait trouver un grand  nombre d'exemple sur le Net, qui eux déliraient, disaient n'importe quoi, et l'utilisaient surtout comme un jeux sexuel … 

Nous faisions évidement partie des pures, de ceux qui le portaient pour des raisons nobles, nous nous engagions à une abstinence sexuelle, seul nous était autorisé, pour des raisons de santé, un massage de la prostate avec un petit dispositif qui n'avait pas pour but de provoquer le plaisir … Surtout pas provoquer de plaisir dans cette partie du corps, ça pourrait éveiller des désirs inavouables. Je l'ai essayé ce petit bazar, on sent rien. On ne sent rien mais on éjacule, en tout cas on se vide de son sperme, c'est sans aucune sensation que le sperme coule doucement sans gicler ! Nul ! Je préfère les gode, là au moins on les sent bien même si on n'éjacule pas à chaque fois, on peut jouir … 

Des raisons morales et religieuses étaient invoquées … On parlait du viol … Évidemment de la masturbation … On nous demandait comment ça se passait .

Je prenais la parole pendant de longues minutes pour raconter les premiers jours. J'évitais toutefois certains détails qui auraient pu paraître scabreux comme le groupe de vacances était loin des idéaux moreaux il valait mieux parler de volonté d'abstinence, de la négation de la jouissance vide que donne la masturbation … En fait on était pas si purs que ça !

Mes camarades suivaient et apportaient leur témoignage …

On parlait des performances sportives, intellectuelle … Là encore on insistait sur les vertus morales d'un tel choix de vie … 

Un esprit sain dans un corps sans défaut …

A cette seconde, je me repensais à cette nuit ou avec Greg, Antoine et Charles on s'était éclaté et défoncé le cul avec les godes ceintures … On gardait la pause et on faisait bonne impression devant cette noble assemblée …

On nous demandait qui était porteur en ce moment … '' En effet c'est totalement invisible ''  entendait-on ! Antoine, Mathias, Manuel, Dominique et moi levions la main, Tristan n'était pas présent car il n'était pas élève dans cette école, nous étions suivis par Greg qui levait la main à son tour ainsi que les trois représentants de M Le Conte … 

Personne ne nous demandait de baisser notre pantalon et de monter notre dispositif. Je m'étais pourtant préparé à cette éventualité et n'avais pas mis de sous vêtements … Il est vrai que l’exhibitionnisme avait aussi été abordé pendant la réunion … Des photos étaient projetées, certaines étaient de nous mais comme on ne voyait pas les visages, nous étions les seuls à nous reconnaître. 

La réunion se terminait tard … Les participants semblaient séduits … Certains ne cachaient pas qu'ils aimeraient voire leur gamin aussi studieux, aussi sérieux que ces élèves modèles qui leur avait été présenté … Nous !

Dans la semaine qui suivait une proposition, chiffrée , parvenait à Greg et au directeur de l'école. Le château, c'était devenu le nom, la marque sous laquelle ces dispositifs étaient commercialisés, il proposait le dispositif à un prix de gros, tout à fait accessible, le prix n'était pas trop élevé. La commercialisation du dispositif n'était pas une première, on le trouvait sur le Net et dans de nombreux sex-shop. Mais, là, la clientèle visée était différente ici on soignait la présentation. Les représentants de M Le Conte lors de la réunion étaient des commerciaux. Je n'en connaissait aucun d'ailleurs, lors de notre  séjour nous n'avions pas rencontré tout le personnel, il faut dire qu'il y avait beaucoup de monde et aussi, semble-t-il un autre bureau je ne sais pas ou  !

C'était parti … Nous ne le savions pas encore mais le monde allait changer. Avant la fin du premier trimestres près d'un quart des étudiants étaient équipé, à commencer pas mes trois colocataires, ceux d'Antoine et au total les trois quart des locataires de notre immeuble !

... 

Pour ce qui est d'informer nos camarades nous étions mis à contribution … Pour ce qui est de les équiper aussi comme vous n'allez pas tarder à vous en rendre compte …



Ep 15 : NAISSANCE D'UNE MODE 



Le premier trimestre se terminait. Plus d'un tiers des élèves de première année portaient ce dispositif ! Pour les années supérieures un nombre non négligeable s'était également inscrit, mais sur ce point nous n'avions pas de statistiques. Le groupe de vacances se constituait sous la présidence de Dominique qui venait de passer les neuf derniers mois sous clé. La discrétion était plus que jamais de rigueur ... On ne pouvait pas le proposer à tout le  monde !

J'étais convoqué un soir avec tous les porteurs à la bibliothèque par Greg. 

Greg : Je vous ai demandé de venir à tous car vous l'avez constaté, Il y a maintenant du monde qui porte notre petit truc ! Il n'est pas pensable d'inviter tout le monde au château et il me semble nécessaire de préparer autre chose, en tout cas pour ceux qui choisiraient de continuer à le porter pendant les vacances !

Tout le petit groupe écoutait avec attention, on était bien sûr d'accord avec Greg mais aucun d'entre nous n'avait réfléchi à la suite à donner …

Greg : Mon oncle et moi avons pensé à organiser des vacances sportives ... Et on a pensé vous demander d'en être les moniteurs !

On se regardait tous sans savoir quoi répondre. L'idée semblait intéressante, le sport, on en faisait tous et à un très bon niveau … 

Greg : Nous avons prévu d'organiser ça dans un camp de vacances … Il y a de nombreux bâtiments pour recevoir des groupes de six ou sept par bâtiments, il y a un lac, une rivière … C'est un endroit isolé, décor magnifique, forêts, montagnes en toile de fond … 

On écoutait avec attention . 

Greg : Bien sûr, l'ambiance sera totalement différente de celle du groupe de vacances … Pas de libération, pas de vote, pas de pelotage, pas de gode, personne ne se baladera à poil. L'idée du groupe est ... faire du sport ... amitié ... santé ... plein air ... un corps sans défaut … Bien sûr les frustrations vont entraîner des besoins … Des besoins de sexe … Ce sera aussi là votre travail , faire découvrir avec beaucoup de discrétion et de tact, ces plaisirs que vous avez découvert au château … N'est-ce pas Djé ?!

Le groupe éclatait de rire en se retournant vers moi.

Manuel : Personne il ne touche pas à mon cul !
Mathias : Ouai et c'est moi que je vous le dis … 

Le groupe riait de plus belle à cette boutade, tout le monde se souvenait de Djé, du Djé de l'année précédente … Un an seulement, un an déjà et tant de changement dans ma vie ! Je rigolais aussi de bon cœur !

Djé : Moi je marche, ça pourrait être une nouvelle expérience !

Manuel, Mathias et Antoine suivaient aussi !

Antoine : Je suppose qu'on sera encadrés …
Greg : Il y aura plusieurs professionnels de l’entraînement … Tout est prévu !
Djé : On connaît la qualité de l'organisation, moi j'ai confiance !
Antoine : Et le groupe de vacances alors ?
Greg : Il aura lieu, comme d'habitude, Dominique en est le président. Il ne viendra pas au groupe de sport, de toutes façons seul les porteurs métal seront concernés pas cette proposition.
Mathias : Et Tristan ?
Greg : Il ne fait pas partie des élèves de l'école et de plus il me semble qu'il va participer au groupe de vacances … 
Djé : On n'aura pas droit d'avoir des godes et des plugs alors ?
Greg : Mais si ! Mais ce coup ci il faudra être discret c'est tout ! Vous aurez les même droits qu'au château, mais il faudra être discret ! Si vous initiez d'autre camarades il faudra le faire avec discrétion ! N'oubliez jamais que contrairement au groupe de vacances, le groupe de sport est dans l'esprit de la chasteté totale … Aussi pour le reste discrétion !
Mathias :  Combien de fois tu as dit discret là ?
Djé : Il y aura combien de moniteurs pour l'encadrement exactement ?
Greg : Ça va dépendre du nombre d'inscrit. Mais il faut savoir que le camps de vacances est suffisamment grand pour recevoir tous les porteurs actuels ! Pour le reste, il y aura un moniteur par baraquement ! On peut envisager six participants plus le moniteur par baraquement. Le groupe devra assurer lui même son propre fonctionnement, cuisine, lessive, ménage … On se chargera bien sûr de l’approvisionnement …

Tous les quatre on continuait à discuter, à s'échanger nos impressions, nos réserves, nos doutes, nos espoir pour ce nouveau séjour qu'on allait contribuer à créer comme Greg l'avait fait plus de dix ans plus tôt. On en profitait aussi pour boire quelques bières !

Dès le lendemain on appliquait des affiches un peu partout dans les espaces sportifs. Les vestiaires, les entrées de stades ou de salle de sport, le hall d'entrée de l'école … On enregistrait les premières inscriptions le jour même. La manière dont était reçue ce dispositif variait beaucoup d'un étudiant à l'autre et allait de l'enthousiasme au rejet le plus total. Dans l'école on ne parlait plus que de cela ! Toutefois il n'y avait pas de moqueries pas de railleries, même les détracteurs respectaient ce choix … Il faut dire que les champions sportifs que tout le monde admirait étaient des porteurs pour le plus grand nombre, j'en faisais partie, les filles nous vouaient presque une vénération surtout depuis qu'elles étaient au courant. 

La chasteté avant le mariage était de longue date dans les esprits, elle était plus ou moins respectée, mais de longue date c'était un élément de la morale … Alors pourquoi pas ! Ce dispositif le garantissait ! Des groupes de soutient s'étaient formés sans que leur membres ou fondateurs n'aient rien demandé à personne ! Si on cherchait on trouvait souvent derrière ces groupes l'influence de la religion ou d'un prédicateur de la morale. De nombreuses filles ne cachaient pas que c'était un critère de choix pour leur petit copain, un critère qui garantissait que le garçon saurait se comporter correctement … C'était un critère d’acceptation de la part des familles de ces jeunes filles ! On avait l'impression qu'une partie non négligeable de la population n'attendait que cela !

On avait l'impression que certains attendait qu'on leur propose de tels dispositifs pour s'en emparer, pour l'inciter à ses proches, comme ce groupe de filles qui le portait comme gravé sur leur T-shirt '' Chaste avant le mariage … mon ptit copain le porte ou c'est sans moi ''. Elle proposaient aux garçons qui voulaient les rejoindre de sceller cet accord par une bague sur laquelle chacun ferait graver le non de l'élu de son cœur au moment venu et par un dispositif de chasteté que les garçons porteraient.

Certains évidemment n'aimaient pas du tout ces nouvelles coutumes qui semblaient se dessiner !

Les discussions allaient bon train … Qui devrait, qui devra conserver les clés ? Dans un couple, la fille … Mais les familles n'étaient pas d'accord, en effet qui leur prouve que leur gamine ne va pas céder aux demande de son fiancé ? Les parents du garçon, là pareil qui prouve aux familles des filles que … ?

Les groupes qui se formaient étaient nombreux mais de petite tailles un tiers des garçons mais … Plus des quatre cinquièmes des filles d'après certaines statistiques … La pression venait de là ! Si un garçon voulait flirter la question n'était plus '' tu as des capotes ? '' mais '' Tu en porte une ? '' . Le masculin côtoyait le féminin fallait-il dire Un dispositif ou Une ceinture ( de chasteté ) ?

Les inscriptions allaient se clore environ soixante dix candidats. Les chiffres étaient remontés jusqu'à Greg qui assurait la liaison avec son oncle et le Château. Uns douzaine de moniteurs seraient donc nécessaire pour garder le quota d'un moniteur par chambre . 

Le groupe se réunissait souvent pour faire avancer les choses, les vacances approchaient. 

Djé : Dis moi Greg, tu sais je commence à m'inquiéter les vacances approchent, on a un certains nombres d'inscrits et … c'est tout … rien !
Greg : Non, ne t'inquiète pas ! Au château il y en a qui travaillent, le camps de vacances est prêt à recevoir l'équipe, les baraquements sont prêts ! Nous avons trois candidats des classes supérieures, ce sont des anciens du groupe de vacances et ils ont choisi de porter un dispositif métal … Il n'en manque que quatre … Notre camarade Charles, tu te souviens de Charles j'espère, il en fera partie ! Il y aura aussi un psychiatre, mais il ne veut pas qu'on dise qui c'est … C'est donc un des trois derniers … Ne t'inquiètes pas rien ne semble bouger mais en fait, tout bouge, deux bus ont déjà été réservés pour le transport … 

Je me souvenais de la qualité de l'organisation, c'était cette même organisation qui était à l’œuvre!

J'étais un peu dépassé par les événements, tout s'était précipité depuis plusieurs semaines … Depuis ce jour ou Antoine m'avait entraîne sous la douche à la vue de tous, depuis ce jour ou une véritable conférence avait été organisée … 

Depuis … Julien était venu me voir. Il avait été le premier de mes colocataires à porter ce dispositif !

Ce jour là, ça c'est passé … Comme ça !

Djé : Il faudra prendre des mensurations !
Julien : Au repos ou en érec... ( toujours intimidé et réservé Julien )
Djé : Les deux !

Julien, Il était rouge de confusion, hésitait à baisser son pantalon devant moi, on était seul, puis finalement se décidait … Il avait une érection !

Julien : Je suis désolé, mais, je ne peux pas le contrôler, il va falloir faire avec …

Je souriais et, très professionnel, je prenais les mesure sur Julien qui réagissait au moindre contact et ne risquait pas de débander à ce rythme là ! 

Djé : Bon, maintenant il faudrait faire les mesures au repos !
Julien : Peux pas, je peux pas ! Je suis trop excité, je suis toujours comme ça si je me déshabille !
Djé : Va te branler !

A ces mots Julien devenait rouge vif ! Et n'osait plus bouger ! 

Djé : Oui, bon, va falloir se décider …

J'admirais la bite de mon camarade, bien sûr Julien m'avait dit qu'il était bien membré, et c'était vrai ! Grosse bite très en forme, au repos elle devait déjà représenter une certaine masse, mais là, bien en forme, c'était impressionnant … Un court instant je me disais qu'il n'y aurait pas de dispositif à la taille voulue, ou même qu'on ne me croiraient pas quand je leur enverrais les mesures … 

Julien ne bougeait pas et ne débandait pas non plus !

Djé : Si tu veux, je peux intervenir ?
Julien : J... s... p... ...m !

Je le regardais, j'approchais ma main puis la posait sur la bite de Julien, j'approchais sa bouche et doucement passait ma langue sur son gland. Julien était circoncis. Il ne bougeait toujours pas. Je commençais alors à lui faire une pipe, j'étais devenu un spécialiste et j'aimais ça de plus en plus  ! Julien se laissait faire, il commençait à soupirer et à respirer plus fortement. J'appuyais des  caresses plus fortes , j'avalais la moitié de ce pénis, les caresses de ma langue autour du gland arrachaient de légers gémissements à Julien qui avait posé sa main sur ma tête et me caressait l'arrière du crane. Doucement il avait commencé à faire des mouvement de rein d'avant en arrière enfonçant ainsi sa queue dans ma bouche. Il y allait  doucement, toujours dans la retenue !

Je me disais que ce garçon était puceau, que j'avais de la chance … Enfin Julien aussi avait de la chance … 

Julien ne faisait pas partie des éjaculateurs précoces, même pour un premier essais, il lui fallait un long moment avant que son souffle ne devienne plus fort, plus rapide. Il lui fallait encore un moment avant que son souffle rapide ne se transforment en vrai gémissements puis en râle de plaisir puis, je n'attendais que cela, que la réaction finale ne se produise, Julien finissait par éjaculer une, deux, trois et pour finir quatre fois. Quatre belle giclées de sperme que je recevais dans la bouche et que je savourais !

Je me retirais, doucement j'essuyais le pénis de Julien avec un mouchoir. Julien se laissait tomber sur le canapé, la tête en arrière … Il ne débandait toujours  pas … Il respirait fort ! Il avait repris des couleurs et me regardait avec un grand sourire.

Julien : Tu sais Djé, on m'a enseigné que la masturbation est quelque chose de pas normal … Mais je ne peux pas m'en empêcher ! 
Djé : Aucun garçon ne peut s'en empêcher … Sauf bien sûr s'il porte un dispositif de chasteté !
Julien : Ce que tu viens de me faire, c'était … C'était … Ouha ! Génial ! … 
Djé : Tu n'as jamais eu de relations sexuelles ?
Julien : Non ! Jamais avant aujourd'hui ! 
Djé : N'en parles pas trop !
Julien : Je ne raconterais ça à personne ! D'ailleurs à qui est-ce que je pourrais bien le dire ! Mais ça marche pas ! Je bande toujours !

J'éclatais de rire !

Djé : Il reste encore une solution …
Julien : Je te fais confiance !
Djé : Retire tes vêtements et place toi devant moi !

Il se levait, il semblait désormais parfaitement à son aise, retirait tous ses vêtements sans ressentir la moindre gène apparente et se plaçait devant moi ! Je lui glissais la main entre les cuisses, remontais jusqu'aux fesses, glissais les doigts entre les fesse et finalement introduisais un doigt dans son l'anus. La réaction était immédiate, Julien éjaculait et je me prenais une belle giclée sur la figure ! Il n'y avait eu aucun signe préliminaire, rien pour prévenir ! Julien débandait en quelques secondes !

J'essuyais ma figure …

Djé : Bon au moins, là ça marche !

Julien rigolait ! Je prenais les mesures ! Je regardais ensuite sur le tableau des tailles et sur le bon de livraison. On m'avait en effet envoyé un colis contenant tout un tas de dispositifs de chasteté de différentes tailles. Les tailles les plus fréquentes étaient en plusieurs exemplaires, les plus extrêmes en un seul  … Et Oh ! Surprise il y en avait une ( une seule ) qui devait correspondre ! J'allais vite la chercher dans le carton qui était dans ma chambre ! 

Quand je revenais, Julien était toujours debout, les jambes écartées, il avait un grand sourire et avait totalement débandé. Je lui montrais le truc !

Djé : J'en ai un à ta taille ! On continue ?
Julien : Oh oui, on continue, je te laisse faire !

Je procédais, une couille puis deux, j'ajustais l'anneau en tirant sur la peau puis … le plus délicat la bite, j'enclenchais la cage sur l'anneau puis donnais à Julien le cadenas … On avait décidé de ce protocole, c'était le porteur qui refermait le cadenas.

Sans hésiter, avec un grand sourire, Julien se verrouillait et restait un moment sans bouger à regarder sen sexe maintenant enfermé pour plusieurs mois. Avec un grand sourire …  Il avait l'air contant.

Je me relevais  et donnais un baiser d'amitié à Julien. C'était le premier candidat que je devais équiper mais certainement pas le dernier. Un seul regret, j'aurais bien aimer me prendre cette bite dans le cul ! Je percevais le chèque pour le dispositif, remplissais le bon de commande et transmettais tout ça à la comptabilité. Un bureau destiné à la diffusion de ces dispositifs avait ouvert dans le quartier, il ne pouvait pas fournir aussi quelques porteurs métal étaient sollicités. On s'était aussi dit que pour certains ce serait plus facile de s'adresser directement à des camarades de leur âge qu'ils connaissaient et moi ' Djé ' j'étais très connu ! Dans les jours qui venaient je devais recevoir un nouveau dispositif de la taille de celui que je venais de vendre …

Pour mon autre colocataire, Jérôme, c'était plus expéditif … Jérôme me laissait faire les mesures au repos, là ça se passait tout seul ! Il était debout devant moi, pantalon baissé, le plus naturellement qui soit comme si la situation était des plus normale ! Ensuite je lui demandais de bander. Toujours aussi naturellement Jérôme se masturbait devant moi jusqu'à obtenir une belle érection. Je faisais de nouveau les mesure, regardais ensuite le tableau des tailles et allais chercher dans ma chambre le dispositif à la bonne taille. Quand je revenais quelques instants plus tard, Jérôme avait allumé la télé, il était assis sur le fauteuil le pantalon toujours baissé, il avait totalement débandé ! Je montrais le dispositif à Jérôme qui le prenait dans la main et l'observait un long moment avant de me demander comment on le mettait. 

Je lui expliquais étape par étape, Jérôme exécutait étape par étape … puis finalement posait le cadenas ! 

André aussi avait choisi de me suivre, c'était mon troisième colocataire, un seconde année comme moi, je le connaissait donc depuis l'année précédente il avait été un de mes fans lors de ce deuxième trimestre ou je battais tous les records et ne m'avait pas caché sa déception en fin d'année quand mon niveau s'était effondré ! Avant de faire les mesures et de mettre le dispositif il avait décidé de prendre une douche. Il se présentait donc tout propre tout nu devant moi ! Il faisait le mariole, en fait il avait le trac, un trac fou comme il me dira pas la suite … Il me laissait faire les mesures au repos … Peut après il commençait à bander, ça simplifiait les choses pour les mesures en érection, j'espérais que ça ne les compliquerait pas pour la suite … Je terminais les mesures et pendant que j'allais chercher le dispositif à sa taille il se précipitait dans la salle de bain pour prendre une douche froide, mais bien froide même … Quand je revenais son sexe était tout ratatiné et finalement c'était pas beaucoup plus facile à passer que s'il avait été en érection. Tout comme pour Jérôme, il suivait mes explications étape par étape. Je lui donnait le cadenas, il hésitait un moment, il tremblait un peu, puis il se décidait et refermait le cadenas !

J'ai équipé plusieurs autres camarades. La procédure était très variable selon le candidat ! La seule chose qui ne changeait pas, c'était le plaisir que je prenais à chaque fois ! Et chaque fois, c'est toujours lui qui refermait le cadenas !

Dans la chambre nous étions tous les quatre sous clé et si tout se passait comme prévu, pour une longue période. Pour moi, une aussi longue période c'était une première alors, pour mes colocs, je n'osais pas imaginer … 

Les vacances arrivaient, tous les candidat étaient équipés ! Il avait été convenu qu'ils porteraient leur dispositif jusqu'à la fin de l'année scolaire ( sauf en cas de problème ) ! Plus de six mois tout de même et pour une première fois ! 

Il y avait soixante quatorze vacanciers, deux bus très confortables de plus de quarante cinq places chacun attendaient les voyageurs le matin du départ, c'était la pagaille, c'était normal … Le coach arrivait, il était un des rares à ne pas avoir l'air contant … Il me regardait  …

Le coach : Tu imagines ça toi ? Quand j'ai accepté de venir pour encadrer, j'avais pas pensé que …
Djé : Bein oui ! Tout le monde !
Le coach : Oui, tout le monde doit en porter un … Mais moi j'y avais pas pensé !

Je ne cachais pas mon fou rire !

Djé : Tu verra coach, on fini par y prendre goût !

Les bus se remplissaient, c'était le grand départ, je téléphonais à mes camarades du groupe de vacances et je tombais sur Dominique …

Dominique : Au fait Djé, tu sais pourquoi je n'ai eu aucun vote la dernière fois que tu es venu au château ?
Djé : Non, j'ai trouvé ça bizarre, tu as des infos sur le sujet ?
Dominique : C'est à cause de Denis ! Il nous avait surpris un jour ou on baisait dans ta chambre ! Il l'a dit à tout le monde, c'était pour me punir de n'avoir rien dit ! Les enfoirés, ils savaient tout !
Djé : Je comprend mieux, et pour bien enfoncer le clou il m'ont libéré en premier …

Je rigolais bien en pensant à cette histoire au moment ou le bus démarrait !



Ep 16 : LE GROUPE DE SPORT



On chantait joyeusement dans les bus quand on arrivait au camp de vacances. Le trajet avait été long, on avait fait une pose pour un pique-nique et pour se détendre les jambes. La bonne humeur était de rigueur et même le coach avait retrouvé son sourire … Le pique-nique avait été organisé dans une forêt et le groupe avait pu avoir un aperçu de l'organisation dont était capable M Le Conte. Tout était prêt au moment ou les bus arrivaient ...

Les trois membres de son équipe ainsi que Greg nous avaient rejoint à ce moment là. On profitait de la pose pour faire les présentations, Charles était là, et j'étais très content de le revoir il ne cachait pas sa joie de me revoir ainsi que mon camarade Antoine ! Il était accompagné par Jean louis, Étienne et Nathan ( je me demandais un moment lequel des trois était le psy ). On nous présentait aussi les étudiants qui avaient déjà participé dans le passé au groupe de vacances, Alexi, Denis et Louis je savais qu'avec ces trois là nous aurions beaucoup de choses à nous dire … Avec le coach, Antoine, Mathias, Manuel on étaient au complet, les douze membres de l'encadrement prévus au départ plus le coach … 

Ce choix des membre de l'encadrement n'avait pas été en fonction de l'âge mais plus de l'expérience … Mes camarades et moi n'étions pas les plus âgés mais c'est nous qui avions le plus d'expérience dans le port du dispositif de chasteté, pour les trois étudiants des années supérieures je ne savais pas  … De plus, il ne s'agissait pas non plus de jouer les chefs mais de créer une ambiance d'équipe, de camarades. Pour ce qui était de représenter l'autorité, il y avait le coach, Greg, l'équipe de M Le Conte et les étudiants plus âgés ( plus ou moins )! 

Les bus s'arrêtaient et tous les passagers sortaient comme des furies en hurlant, un grand nombre des garçons couraient vers les baraquements puis vers le lac et continuaient à faire le tour des installations pour repérer les lieux. Ils avaient de l'énergie à dépenser et il ne leur fallait que quelques minutes pour se retrouver de nouveau autour des bus.

… 

Moi je veux être avec mon pote … 
Cette baraque là, elle est trop bien …
T'as vu là il y a des barques … 


Il fallait organiser les groupes, pour cela on laissait faire le coach, il avait l'habitude. Des groupes s'étaient déjà formés par affinités, on respectait ces choix dans la mesure du possible. Julien et André, deux de mes colocs tenaient à être avec moi alors que Jérôme préférait rejoindre plusieurs copains à lui dans une autre baraque … 

Rapidement on s'installait. Je me retrouvais chef de chambre, à la tête d'un groupe dont je ne connaissais que deux des six membres … La première soirée se passait autour d'un grand feu de bois, ça me rappelait le château un an plus tôt. Un à un les garçons rentraient se coucher, la journée avait été fatigante, ne restaient que les membres de l'encadrement !

On restait encore un moment à parler, à discuter du programme, du comportement à avoir, Nathan semblait particulièrement pertinent, je me disais que ça devait être lui le psy ! Il allait se coucher lui aussi et finalement il ne restait que Charles, Greg, Antoine et moi … 

Moi : Vous vous souvenez de ce week end au château ?
Antoine : Le soir ou Charles et moi on était sortis … et qu'on vous a retrouvé … 
Greg : Il y a des baraquements qui sont libres … et j'ai les clés !
Charles : On n'est pas venus les mains vides !!!

Quelques minutes plus tard on se retrouvait tous les quatre dans un baraquement très bien équipé, il y avait même une douche … Je prenais Charles dans mes bras, j'aime bien ce garçon ... On commençait à s'embrasser … Je lui retirais son t-shirt et lui caressais le torse, lui suçais les tétons ... Il m'embrassait dans le cou, me mordillait les lobes des oreilles … Je lui mordillais les téton, il gémissait de plaisir … Je lui retirais son pantalon … Il me déshabillait rapidement et nous nous retrouvions allongés sur le sol ... Il attrapait de je ne sais ou un gode ceinture se le mettait et doucement avec tendresse me retournait sur le ventre. 

Le plaisir de retrouver ce garçon que j'avais beaucoup apprécié, le contact de sa peau, je sentais une grande pression dans ma cage, c'était bon, frustrant mais bon. J'aurais bien eu envie de le retourner et l'enculer, mais pas avec un gode, avec ma bite ! J'avais envie de baiser pour de vrai comme avec Antoine quand on était chez lui.

Ça faisait un moment que je n'avais pas ressenti ça ! J'avais envie de le baiser … Je ressentais une pression sur mon anus … Il me mordillait doucement dans le cou … Je sentais sa langue qui me léchait l'oreille ...La pression devenait plus forte ... Je sentais mon anus se dilater, le gode entrait doucement, fermement … Je poussais un gémissement … Je retournais ma tête vers lui ... Il m'embrassait …  Je lui rendais son baiser ... Mon anus s'ouvrait et je sentais le gode s'introduire rapidement … Je voulais gueuler mais sa bouche collée sur la mienne étouffait mes cris et mes gémissements .

Il se retirait, revenait … Recommençait ! Je ne sais pas quelle taille avait le gode qu'il avait choisi mais je le sentais bien. Mon anus était tendu, ma bite allait éclater ! Si j'avais porté un de ces truc en plastique il aurait cassé, c'est sûr, mais je portais une cage en métal … Et là, pas d'issue possible ! Il me limait le cul avec des mouvements réguliers et amples. Je regardais vers mes deux autres camarades, ils étaient enlacés et se caressaient l'un l'autre. Antoine regardait dans ma direction, il se levait, lui aussi attrapait un gode ceinture et se plaçait sur Charles. Je ressentais sa présence, ses mouvements, il pénétrait Charles qui gémissait de plaisir, et le limait également. Quand Charles s'introduisait dans mon cul, Antoine se retirait et revenait à la charge quand Charles se retirait … Greg nous regardait … Il se levait à son tour prenait lui aussi un gode ceinture et se plaçait au dessus du groupe … J'entendais Antoine qui commençait à gueuler de plaisir. Je ne bougeais pas, je les laissais faire, le plaisir montait de plus en plus fort, je sentais ma bite, une pression, une tension dans ma cage que je n'avais pas ressenti depuis longtemps. Dans mon ventre c'était comme une explosion, je ne pouvais plus respirer, ils m'écrasaient tous mais je suis musclé et c'est pas pour cela que je ne pouvais plus respirer … Mon souffle était intense, j'allais hurler, je jouissais, mon pénis se contractait et j'éjaculais, je ne pouvais pas bander mais je sentais les contractions dans ma queue. Tout mon corps se contractait, je ne pouvais pas bouger mais je me contractais à la limite de la convulsion.

Je me relâchais totalement, Charles le ressentait et cessait ses mouvements. Il se retirait alors que Antoine continuait à lui défoncer le cul et se laissait tomber sur moi m'écrasant de tout son poids … de tout leurs poids ! Un moment plus tard c'est Charles puis Antoine qui gémissaient de plaisir avant de hurler à leur tour. Greg était en sueur, je devinais qu'il se retirait lui aussi et se laissait tomber sur le groupe, sur le tas que nous formions … J'étais en dessous … 

On se décollait l'un de l'autre et nous nous retrouvions allongés sur le dos au milieu du baraquement. 

Moi : Ça fait sacrément plaisir de te revoir Charles.
Charles : Moi aussi, ça fait plaisir de vous revoir Monsieur Djé !
Moi : S'il te plaît ne m'appelle plus Monsieur, devant le groupe ça va faire bizarre …
Charles : Bien Monsieur Dj... Bien Djé !
Antoine : Moi aussi je suis très contant de te revoir Charles …
...

Je me disais que c'était un anniversaire, un an, c'était il y a tout juste un an que je mettais pour la première fois un dispositif de chasteté … Un an déjà ! Puis je l'avais porté plus de trois mois, et maintenant je le portais depuis près de cinq mois …

On se prenait une douche en se savonnant l'un l'autre puis on retrouvait notre baraquement … Tous le groupe dormait paisiblement, je ne faisait pas de bruit, je n'avait pas de sous vêtement aussi, fatigué comme j'étais je décidais de dormir à poil. Je me glissais dans mon lit et … Quelle bande de guignols mes colocataires, ils l'avaient mis en porte feuille … ! Je me retrouvais à poil à refaire mon lit, j'entendais quelques fous rires mais personne ne bougeait … Bande de farceurs … 

Le lendemain matin, six heures du matin, une cloche résonnait à l'extérieure … Ils se réveillaient tous rapidement, et moi avec la nuit que j'avais passé, je faisais figure de vieux qui n'arrivait pas à se lever ! Ils sortaient tous en hurlant avec pour tout vêtement une serviette autour des hanches, certains l'avait même à la main et courraient vers les douches à poil. En quelques minutes, je ne comprenais plus tout à fait ce qui se passait, toute la colonie se retrouvait nue sous les douches dans  un baraquement central de grande taille. Ils en ressortaient l'un après l'autre en s'essuyant, tranquilles. L'encadrement regardait ça d'un air pensif, certains semblaient se dire … '' Ah ces jeunes ! ''. Je me retournais vers Greg 

Moi : Et toi Greg qui disait que personne ne se baladerait à poil !
Greg : Bein oui, je n'avais pas vu les choses comme ça !
Le Coach : Bon de toutes façons on est entre nous, et on déjà tous l'habitude de nous voir sous les douches … 

Le coach retirait ses vêtements et se dirigeait vers les douches, j'en faisais de même, les autres suivaient !

Julien qui paraissait si timide jusqu'alors, me regardait en souriant …

Julien : On avait prémédité … Plusieurs avaient proposé qu'on en profite pour passer des vacances naturistes, pour une fois qu'on pouvait en profiter, le plein air, la nature … Alors, sauf si on nous l'interdit, on aimerait bien pouvoir continuer … A poil tout le temps !
Moi : J'ai rien contre !

Plus tard, l'encadrement se réunissait et décidait de laisser faire … Il n'y avait pas de mal … Comme l'avait dit le coach … '' On est entre nous !'' 

Quand je regardais tous ces corps nus, juste couverts avec un dispositif de chasteté, tous plus beaux les uns que les autres, musclés, qui gigotaient dans tous les sens, j'avais la tête en feu ! Ce n'était pas douze ou treize mecs à poil ce coup ci mais quatre vingt six ! Quatre vingt sept avec moi ! Encore une fois j'avais l'impression que ma cage allait exploser, je bandais et j'avais bien l'impression que je n'étais pas le seul ! Mais rien ne transparaissait, rien de visible. Aucune chance de libération, pas d'issue. À cet instant je me suis dis que ce serait aussi tendu et frustrant que le château, pourtant … Ça aurait du être plus calme, sans tensions ou presque ! C'était loupé, je préférais faire un plongeon dans le lac, l'eau y était froide ...

Face à cette bande de gamins ( ces gamins ils avaient mon age ), je me sentais vieux. Ou alors c'était la nuit précédente … Antoine semblait être dans le même état que moi ! Et les autres ? Les autres … 

Le coach avait l'air un peu dépassé, pour ce qui est du dispositif de chasteté, pour le reste il était dans son éléments … Une bande de jeunes fous qui s'agitaient dans tous les sens, criants, se dépensant en faisant du sport … Là il y avait matière, on organisait une course de natation dans le lac, l'eau était froide comme je l'avais vérifié mais on était chauds. Course, foot, muscu, escalade ( il y avait un mur d'escalade dans un bâtiment ), lute ( je ne sais plus qui m'avait dit que la lute à poil, il fallait que j'essaye … Il avait raison ! ) … Enfin il y avait matière à s'occuper …

Charles avait emmené avec lui des godes ceinture ainsi que ces petit dispositifs qui servent à se vider la prostate, ces trucs sont nuls, on ne sent rien. C'est efficace mais on ne sent rien ! 

Le soir on se retrouvait épuisé, autour d'un feu on se détendait en se racontant des histoires qui font peur. Les garçons étaient regroupés, appuyés les uns contres les autres, ils n'avaient pas peur de se toucher. Avant le départ ils étaient plus réservés ! J’hallucinais, un instant j'imaginais une  énorme partouze. Je voyais tous ces garçons se caresser, s'embrasser, se frotter les uns contres les autres. Je les voyais, l'un masser la prostate de son copain, l'autre gémir, hurler de plaisir. J'en voyais un introduire un gode dans le cul de son camarade qui en redemandait. J'en voyais un autre s'empaler sur un énorme gode en gémissant de plaisir … Je bandais comme un malade, mais … Heureusement ! … 

Il va falloir que je prenne encore une douche froide moi ce soir !

Ce deuxième soir je n'étais pas le dernier à aller me coucher … Dans mon baraquement, mes camarades étaient un peu tendus …

André : Tu fais comment pour tenir toi ?
Moi : Tu veux dire quoi par là ?
André : Ça fait combien de temps que t'as pas baisé, que t'as pas tiré ton coup ?
Moi : Tu sais, il existe des moyens pour se soulager …

On continuait à discuter … Le besoin qu'à un garçon d'éjaculer de temps en temps … Le manque … Le manque qu'on éprouve quand on ne peut pas se branler, quand on ne peut même pas bander. Je leur parlais du massage de la prostate , des dispositifs qui permettaient de le faire, sans plaisir. Je ne leur cachait pas que ça pouvait aussi être très agréable mais je leur proposais le petit dispositif sans leur dire que je le trouvais nul. 

Ils étaient tendus et ils s'étaient attroupés autour de moi. Je tenais le dispositif dans la main, je leur passait, chacun l'examinait et le passait à son voisin …

Les cages de chasteté de chacun de mes camarades semblaient bien pleines, il y avait de la pression chez ces garçons … 

André : Montre !

Je demandais à André de se retourner de se pencher en avant …

André : Ça fait pas mal ?
Moi : Non, tu vas voire, ça ne fait mal du tout !

Je déposais une goûte de gel, introduisait le dispositif dans son anus, le dispositif ressemblait à un petit gode de tout petit diamètre il fonctionnait avec une pile. J'appuyais sur le petit bouton à l'extrémité, une très légère décharge électrique, André poussait une très léger gémissement de surprise, son sperme coulait de son dispositif de chasteté ! 

André : Tu as raison, on ne sent presque rien … Je pensais que … Ça soulage … Mais … Enfin … Bof !

Il jetais un coup d'œil vers Julien.

Moi : Au suivant !

J'essuyais les dispositif avec un mouchoir en papier prévu pour cela et je procédais de la même manière pour chacun de mes camarades … 

On se couchait, personne ne dormait … Un long moment plus tard …

André : Julien nous a raconté que … ça pouvait être vraiment bon … Avec juste un doigt … 

Je me relevais … 

Moi : Bon, vous en voulez plus ?

Dans la seconde, ils étaient tous assis sur leur lit, tous dirigés vers moi !

Moi : D'accord, mais vous faites exactement ce que je dis !

Tous ensemble : Oui Djé !

Moi : Trois d'entre vous vont se mettre sur le dos, les cuisses bien relevées, les trois autres vont leur masser la prostate … Je vous préviens ça va nous prendre un bon moment … Ensuite vous inversez les rôles … 

Tous ensemble : Oui Djé !

Ils prenaient position. Pour une première fois, je préférais ne pas les toucher moi même, on verrais pour la suite … Je leur expliquait bien en détail la méthode pour procéder. 

D'abord vous introduisez doucement, tout doucement un doigt dans l'anus de votre camarade, vous allez sentir la prostate, vous exercez des pressions successives avec votre doigt ! Un peut plus fort, ralentissez, un moment à un rythme plus lent puis vous reprenez, plus fort, plus rapide … Au bout de quelques minutes, les trois garçons qui étaient allongés, commençaient à gémir et à se tortiller ! Si le partenaire est d'accord, vous pouvez introduire un second doigt … Les gémissements devenaient plus forts … quand vous voyez que votre camarade a des réactions trop fortes, faites une pose ! … Attendez un moment sans aucun mouvements, recommencez plus fort … Alternez des mouvements forts puis des mouvements doux, rapides puis lents … Faites une pose … 

A ce moment une des garçons avait le souffle fort, il gémissait, son camarade ne faisait plus rien mais lui continuait à gémir puis finissait pas éjaculer en criant de plaisir … 

Les autres garçons ne bougeaient plus et le regardaient … Ils avaient compris ... Ils reprenaient ! Un petit moment plus tard les deux autres garçons gémissaient de plus en plus fort puis jouissaient à leur tour … 

Moi : Bon on fait une pose, et on inverse les rôles ! 

Ils éclataient de rire mais faisaient ce que je leur disais … 

Ils inversaient les rôles … Julien jouissait très rapidement, il avait un grand sourire, à cet instant il semblait heureux ! Chacun réagissait d'une manière et à une vitesse différentes … Mais tous parvenait à l'orgasme et tous étaient satisfaits … 

Moi : Bon maintenant que vous avez compris comment ça marche … La prochaine fois laissez vous aller, c'était un peut technique, mais c'était une première fois. Il faut se laisser aller, ne pas avoir peur, n’hésitez pas à faire hurler votre partenaire, tant que vous ne lui faites pas mal, il vous le rendra. Faites durer le plaisir, prenez votre temps, on peut faire durer le plaisir plus d'une demie heure, ou même recommencez si ça vous tente ! Maintenant il est tard, il est l'heure de dormir !

Les garçons s'endormaient presque aussitôt. Moi par contre, ils m'avaient bien allumer tous les six ! J'avais du mal à m'endormir, deux heures plus tard je me tournais et me retournais encore dans mon lit !

Le matin arrivait bien vite, et si mon équipe se réveillait en forme et s'ils fonçaient comme des fous vers les douches, moi j'étais pas en forme, une fois de plus … Ils me fatiguaient tous … Ils sont biens mignons, mais … Je profitais qu'ils étaient sous la douche pour aller chercher deux gode de petite taille, il faut savoir rester raisonnable quand on débute, et je les cachais dans mon placard, au fond d'un tiroir … Cette bande d'énervés fouille partout et par conséquent ils ne devraient pas tarder à les trouver, après ce que je viens de leur apprendre hier soir, ils devraient très vide trouver à quoi ça sert !

A la demande de Greg, on organisait un briefing entre membre de l'encadrement … Antoine avait eu la même situation que moi à régler, le coach aussi mais lui n'avait pas l'impression de s'en être aussi bien sorti que moi,  Greg aussi et nous n'étions pas les seuls … Enfin il fallait se rendre à l'évidence, il faudrait aborder le sujet ! Nathan se portait volontaire pour organiser une conférence sur le sujet devant tout le monde ! L'idée était adoptée ! Il l'avait déjà prévue et la ferait le jour même en fin d'après midi.

Ils parlaient ensemble, ils se racontaient tout les jeunes ( oui je sais ils ont mon âge ! ), le soir quand Nathan commençait sa conférence tout le monde savait de quoi il allait parler … Le groupe était toutefois très attentif, j'avais pas souvent vu ça ! Personne ne discutait, tout le monde écoutait ! Là encore c'était un spectacle que de voir tous ces corps nus, musclés, chauds, ce soir là encore j'avais l'impression que ma cage allait exploser, je bandais. Je bandais de plus en plus souvent, c'était parce que j'étais nu, parce que j'étais avec une bande de plus de soixante dix garçons magnifiques nus aussi, parce nous portions tous un dispositif de chasteté, parce que j'en portais un depuis près de cinq mois, parce que j'avais une envie de baiser de dingue ? Si vous trouvez une seule bonne raison qui pourrait expliquer pourquoi je bandais comme un dingue, vous me le dites … Là moi je craque !

Pendant la conférence je me penchais vers Antoine et lui glissais à l'oreille … '' Gode ce soir ! ''. Il pouffait de rire et me confirmait d'un mouvement de la tête. 

Dans tous les baraquements nous avions disposé deux petits godes, dans un endroit ou cette bande de fous curieux ne devrait pas tarder à les trouver ! A leur portée, pas vraiment dissimulés, des dispositifs pour se vider la prostate !

Après le repas, un feu de camp comme tous les soirs, on inventait des jeux, on se racontait des  histoires, on discutait entre nous, on allait se coucher chacun son tour quand la fatigue le demandait … Antoine et moi partions nous promener puis nous passions par le baraquement de la veille. Un peu avant d'y arriver on entendait des gémissements provenant d'un autre baraquement … On s'approchait, Antoine jetait un œil par le fenêtre …

Antoine : C'est Mathias !
Moi : Il est avec qui ?
Antoine : Je ne sais pas, je ne vois pas bien, ah si, c'est un ptit jeune !
Moi : Tu sais que les ptits jeunes, comme tu dis on notre âge ! Un an d'écart pas d'avantage !
Antoine : Pour moi c'est des ' ptits jeunes ' !
Moi : En tout cas ça me rassure de voir que nos camarades s'amusent bien aussi !

Par la suite on s'est raconté notre séjour … Je n'étais pas le seul à m'éclater, seul le coach est resté un peu réservé mais les autres se sont occupés de ses locataires … On arrivait enfin à notre baraquement. C'est Charles qui s'était occupé d'emporter des godes et il avait vu grand !

Je me mettais un gode ceinture tout en regardant Antoine avec le regard du prédateur sexuel ! Il me sautait dessus, finalement c'était lequel le prédateur ( ? ). Il me caressait, m'embrassait, nous étions allongés sur le sol, je le retournais sur le ventre et commençait à lui introduire le godes dans l'anus … Il ne résistait pas vraiment, je forçais un peu ça rentrait, il gémissait … Je forçais un peu plus fort, le gode s'enfonçait sur la moitié de sa longueur, Antoine gémissait '' Encore, vas y, plus fort '' … Je poussais encore un peu, le gode était entré totalement ! Antoine soupirait … 

On frappait à la porte ! Nous ne répondions pas ! On frappait plus fort ! Nous ne bougions pas ! On frappait encore plus fort avec insistance !



Ep 17 : ILS NE PENSENT QU'A ÇA



On ne bougeait plus … Je me décidait à répondre …

Moi : C'est qui ?
Antoine : Tu as fermé la porte ?

La porte s'ouvrait … 

Antoine : Non, t'as pas fermé la porte !

La tête de Julien apparaissait avec timidité … Il entrait lentement, il ne nous voyait pas encore !

Julien : Je peux entrer ?

Antoine pouffait de rire. J'étais allongé sur lui, un harnais accroché à mes reins, un gros gode fixé au harnais, le gros gode bien enfoncé dans le cul d'Antoine qui était allongé sur le sol … Une situation somme toute assez banale ! Non ?

Julien ne cachait pas sa surprise quand il nous apercevait ainsi.

Julien : Je vous dérange !
Antoine : Mais non, viens donc nous rejoindre ! Mais qu'est ce qui te fais penser ça ?

Je lui faisais signe de la main, il s'approchait, il s'asseyait à coté de nous !

Je continuais à limer le cul de mon camarade Antoine qui aussitôt se mettait à gémir de plaisir et à en redemander. Julien nous regardait, il semblait subjugué, fasciné, il portait sa main à son dispositif, il devait se sentir à l'étroit là dedans. Il respirait déjà déjà très fort.  

Julien s'était rapproché, je sentais sa main me caresser les fesses, sa main descendait entre mes cuisses et rapidement me caressait les couilles. Je me relevais, passais une main sur sa nuque, je le tirais vers moi et l'embrassais. Il répondait à mon baiser et se rapprochait davantage. Je n'arrêtais pas mes mouvements de vas et viens dans le cul d'Antoine qui ne ratait rien de ce qui se passait et continuait à râler de plaisir. Je me retirais, Antoine se relevait. On se retournait vers le nouvel arrivé, je le prenais dans mes bras et continuais à l'embrasser, Antoine se plaçait derrière Julien et commençait à lui caresser le torse d'une main, de l'autre il lui caressait les couilles. 

J'embrassais Julien, je lui léchais le lobe de l’oreille, je lui pinçais puis lui mordillais doucement les tétons. Antoine lui glissait une main entre les cuisses, et commençait à lui masser l'anus. Je m'attendais à une réaction rapide. Antoine enfonçait un doigt dans le cul de Julien qui violemment poussait un cri et éjaculait … Antoine ne s'arrêtait pas pour autant … Il continuait … Je prenais un peu de recul toujours en caressant le torse de Julien … Antoine avait attrapé un petit gode, il poussait doucement Julien en avant pour qu'il se penche vers moi … Julien me mordillait le torse tout en me caressant … Je lui caressais la tête, les épaules et le dos … Antoine posait le gode sur l'anus de notre camarade et doucement, tout doucement commençait à l'enfoncer … Julien hurlait mais se laissait faire … Le gode était de petite taille mais au début ça fait toujours beaucoup d'effet surtout que Julien semblait très sensible de ce coté … Le gode était entièrement enfoncé, Antoine le retirait doucement, lentement puis le repoussait de nouveau … Je sentais Julien se crisper … Antoine effectuait des mouvements avec le gode, il l'entrait, le retirait, l'entrait de nouveau … Julien gémissait, il s'était tendu, il me tenait dans ses bras et sans même s'en rendre compte me serrait de toutes ses forces. Je sentait son souffle, son visage était devenu rouge, il grimaçait, il finissait par hurler au moment ou il éjaculait une seconde fois. C'était abondant … Antoine retirait totalement le gode, Julien se laissait tomber sur le sol, il se retournait sur le dos et nous regardait en nous souriant.

Antoine et moi reprenions ou nous nous étions arrêté … Je le prenais avec vigueur, lui limait le cul avec force comme si … Comme si j'avais besoin de me défouler et je me défoulais sur son cul en fait j'avais besoin de me défouler, j'avais l'impression que mon dispositif de chasteté allait craquer ou alors c'est moi qui craquait, je me sentais à l'étroit, il y a des moment comme ça ou on a l'impression que le dispositif est trop petit, des moment il est tellement remplis ... Je bandais et je n'avais aucun espoir de me libérer ... Aucun ! … Antoine gueulait de plaisir, je finissais par sentir des convulsions au niveau de son bassin, il jutait abondamment lui aussi !

Julien nous regardait. Nous restions un moment sans bouger. Antoine finissait par se relever il prenait un gode ceinture et me tendait la main pour me relever, il me retournait, me plaçant face à un mur, se plaçait juste derrière moi, me prenait dans ses bras, mes caressait doucement le ventre et m'enfonçait le gode jusqu'à la garde en un mouvement. Je voulais crier mai je le faisait mais sans faire aucun bruit, aucun son ne sortait. Voyant ma réaction, Antoine m'attrapait le visage et n’embrassait avec fougue, ma tête était retournée en arrière, il me limait le cul de plus en plus fort, de plus en plus vite, il devait avoir lui aussi besoin de se défouler et ne s'en privait pas ! Ses violents coups de bassin finissaient par produire leur effet, je jouissais, je jouissais comme un fou, je ne jutais pas mais je jouissais … Je demandais grâce, Antoine se retirait !

Julien nous regardait, il ne disait rien, on s'asseyait en cercle sur le sol, on se regardait un long moment avant de décider de rejoindre nos baraquements et d'aller se coucher … Une petite douche rapide puis on faisait route … 

Julien marchais à coté de moi, il n'évitait pas de me toucher bien au contraire … Juste avant de rentrer dans le bâtiment, il s'approchait de moi et me donnait un baiser … On entrait et on se couchait sans bruit, il était tard et les autres dormaient déjà. 

Au petit matin, je me réveillais le premier, pour une fois … Je me levais et trouvais les deux godes sur la table … Ils ont été sages hier soir … Tout va bien ! Je n'y touchais pas ! Quand les autres se réveillaient, ils ne semblaient pas gênés l'un d'entre eux me lançait : '' C'est cool ce truc , bien mieux que le bazar à pile qui sert à se vider la prostate … ''.  Plus tard Julien me racontait que c'était quand ils avaient commencé à jouer avec qu'il était sorti faire un tour, puis il nous avait  vu, Antoine et moi … La suite on la connaît ! Bon au moins, tout le monde était détendu et ça c'était une bonne chose … 

On réunissait tout l'encadrement comme d'habitude. Les autres baraquements évoluaient tous à peu près au même rythme … Même le coach nous avouait qu'il avait essayé ! Pas le dispositif de traite de la prostate mais le gode … Au moins avec le gode on peut prendre du plaisir alors que l'autre système, c'est nul ! 

Souvenez-vous, je vous l'avais dit que je le trouvais nul le dispositif de traite ! Alors que le gode …

Bien sûr le coach évitait de participer avec les jeunes, il lui semblait nécessaire de garder un certain recul, une certaine distance … Mais il n'interférait pas, il savait s'effacer, s'absenter au moment voulu et le temps nécessaire ! C'était pas toujours facile à gérer pour lui mais il n’hésitait pas à demander conseil aux spécialistes envoyés par Mr Le Conte … Je suis sûr que lui il sait qui est le psy !

La première semaine passée tout le monde avait essayé au moins le dispositif de traite. C’était un drôle de gadget de petite taille il y avait une pile dedans, certains disaient qu'ils ressentaient une sorte de décharge électrique, très faible, mais qu'ils ressentaient un petit quelque chose. Moi, c'est simple je ne ressentait rien ! Mais c'était efficace dans les secondes qui suivaient on relâchait du sperme, même sans érection, sur ce point c'était rigolo. Ceux qui l'essayaient et qui ne portaient pas de dispositif de chasteté étaient surpris par l'efficacité du truc, sans érection, sans sensation, sans éprouver aucun plaisir, ils jutaient en quelques secondes …

Bon mais moi je reste sur mes positions, on ne ressent rien, c'est nul !

Les jours passaient vite au rythme des entraînements ! Natation, aviron, chasse au trésor, on inventait des jeux … Foot, on s'organisait des tournois … Il fallait  voire les joueurs ils étaient vêtus seulement d'un dossard pour savoir de quelle équipe ils étaient … J'avais la tête en feu quand je regardais un groupe de sportif et quelque soit l'endroit ou je regardais il y avait un groupe de sportif, il y avait un groupe qui s'agitait, qui exhibait ses muscles, ses fesses, son sexe sous clé ! 

Le soir, malgré la tension sexuelle, on dormait bien. On s'était tous dépensé toute la journée, et quand la tension sexuelle devenait trop forte je me retrouvais avec un de mes camarade, Greg, Mathias, Antoine ou un autre … Plusieurs fois j'ai retrouvé Charles dans le baraquement ou Greg nous avait emmené le premier jour. Quelquefois quelqu'un venait nous rejoindre et parfois plus. On s'est retrouvé jusqu'à six … Et si le lendemain on n'était pas en forme, il y avait la sieste, tous les jours après le repas on faisait sieste ! Quelques uns en profitaient pour se retrouver entre eux, à ce moment un gode disparaissait quelquefois … Plusieurs baraquements restaient négligemment ouverts et quand on passait à proximité on entendait des gémissements, des râles ou des cris de plaisir !

Le jour du retour approchait … Les garçons ne cachaient pas qu'ils auraient aimé que ça dure plus longtemps … Des liens s'étaient créés … Des rapprochements s'étaient fait … De nouvelles amitiés étaient nées, certains les qualifieraient de particulières mais pour les porteurs c'était permis ! La discrétion était de rigueur mais tant que les protagonistes restaient discrets, c'était permis. Une nouvelle morale était en train de naître ! 

On estimait que tous les participants avaient goûte aux gadgets qui avaient été distraitement autant que discrètement mis à leur disposition … Même le coach, c'est tout dire … Dans le bus pendant le retour je me demandait quel était le but que menait M Le Conte … Ce personnage était bizarre, Greg avait reconnu que son oncle avait un humour un peu spécial … Il était riche, on le devinait facilement à voir sa maison … Et à cette époque je n'avais pas tout vu ! … L'immeuble ou je vivais lui appartenait … C'est aussi lui qui commercialisait ces dispositifs de chasteté … J'étais perdu dans mes pensées quand Greg me tapotait l'épaule pour attirer mon attention sur un article de la presse. Nous avions passé deux semaines complètement coupés du monde.

Greg : Tu n'as pas vu la presse ! On parle de nous, de notre dispositif !
Moi : Vas y raconte !
Greg : Tu te souviens quand on est parti c'était l'euphorie, on disait que plus de la moitié des garçons portaient ce dispositif … 
Moi : Oui, j'avais même du mal à le croire !
Greg : Ces chiffres étaient exagérés, mais , rien que pour notre école on sait maintenant qu'un quart des garçons en portent un d'une manière régulière … Ce sont principalement les deux premières années qui sont concernées mais pas uniquement.
Moi : C'est moi qui fait monter la moyenne !
Greg : Tes récents résultats sportif n'y sont pas étrangers ! Mais pour ce qui est des filles, près de la moitié d'entre elles a rejoint une association qui soutient ce que certains nomment une  nouvelle mode !
Moi : C'est  évidemment plus facile pour les filles !
Greg : Ne sois pas cynique ! Tu étais volontaire … 
Moi : On m'a un peu forcé la main !
Greg : Tu le regrettes ?

J’hésitais un moment avant de répondre.

Moi : Non, je ne pense pas. Je ne regrette pas qu'on m'ait un peu forcé la main. Je n'aurais peut être pas osé faire le choix mais, non, je ne le regrette pas ! 
Greg : On m'a un peu forcé la main à moi aussi … Il y a bien longtemps !
Moi : Et tu as confirmer ce choix ?
Greg : Oui, je suis sûr que tu vas faire comme moi !
Moi : C'est addictif ce truc ! Il y a des jours ou j'aimerais pouvoir le retirer, des jours ou j'ai envie de le jeter de le détruire … Mais il y a aussi des jours ou je me demande comment je serais sans … Des jours ou, pour rien au  monde, je n'accepterais de m'en séparer !

Moi : La presse n'est pas trop dure avec cette … Nouvelle mode ?
Greg : Non, en fait l'accueil est plutôt positif , mais ça n'a rien d'étonnant !
Moi : Ah oui et pourquoi ?
Greg : Il y a les associations religieuses et morales qui encouragent l'idée, et puis …
Moi : Et puis … ? … !
Greg : Mon oncle possède plusieurs journaux !
Moi : Je me disais aussi ! Mais dis moi Greg, qu'est ce que ton oncle ne possède pas ?
Greg : Oh il y a plein de choses qu'il ne possède pas ! Mais c'est vrai qu'il est très riche !

… 

Je me disais que vraiment c'était un drôle de personnage … Ses employés ne portent tout de même pas tous un dispositif comme le mien ! ?

Je somnolais une bonne partie du retour. Le bruit, le cris, les chansons que les garçons braillaient plus qu'ils en chantaient ne parvenaient pas à me réveiller. Il y avait de l'ambiance et quelquefois, je ne sais pas si c'est le fait que je faisais partie des moniteurs, mais j'avais l'impression d'être plus vieux que cette bande de fous … Pourtant nous avions un an d'écart pas plus. A notre arrivée j'étais reposé, surtout que le voyage se terminait dans le calme. Tout le monde somnolait quand nous arrivions. On prenait nos bagages et retrouvions nos appartements . 

Dans le mien donc, nous portions tous un tel système. Chez Antoine, il y avait un colocataire qui avait refusé. Il subissait une grosse pression car, en plus, ses résultats sportifs n'étaient pas à la hauteur ! Le coach, ses camarades sportifs savaient lui faire remarquer. Le coach, lui, il était content il pouvait enfin retirer son dispositif … Il avait accepté d'en porter un mais uniquement à cause du séjour sportif … Tout le monde en portait un, il se sentait obligé de faire pareil ! 

Rapidement je remarquais que Julien cherchait ma compagnie … Il était toujours serviable avec moi. Toujours prêt à me rendre service. Ce garçon est absolument adorable. Depuis qu'il porte ce truc il a complètement changé. Il était effacé et discret avant … Il n'osait pas se déshabiller devant ses camarades et les douches communes était pour lui une véritable souffrance. Maintenant je ne le reconnaissais plus ! L'autre jour pendant l’entraînement, il fallait qu'il se change … Il l'a fait devant tout le monde, en extérieure, sans éprouver la moindre gène ! Pendant quelques instants il n'a pas hésité à montrer ses fesses et son sexe sous clé … C'était beau à voir, je me souviens que ça a provoqué chez moi une érection mais … C'est une étrange sensation que d'éprouver la sensation d'une érection contenue quand on est en public. Quand on est entre nous cette sensation est déjà presque jouissive mais en public, en extérieure, nus devant des passants ou des étrangers qui ne portent pas forcément ce truc, c'est … En y repensant il me semble que lui aussi il devait bander dans sa cage à ce moment … 

Quand on est parfaitement au repos le dispositif se balance mollement entre nos cuisses mais quand on a un peu de tension, quand le pénis tente de se relever, la pression provoque une érection, elle est contenue mais le dispositif se relève, il se balance beaucoup moins et se relève vers l'avant … En y repensant, c'est ce qui lui arrivait à ce moment là … Personne n'a fait la moindre remarque, c'est vrai qu'il n'était pas nu, il avait gardé son T-shirt. Il avait juste enlevé le bas ! Julien ne semble plus éprouver de gène avec la nudité, il semble même fier de porter ce dispositif !

Une semaine après notre retour, un soir après le repas, Julien venait me voir dans ma chambre …

Julien : Salut, je peux entrer ?
Moi : Bien sûr ! Entre installe toi !
Julien : Djé, il faut que je te demande quelque chose …
Moi : Je t'écoute !
Julien : Tu sais, c'est pas tous les jours facile …
Moi : Oh oui je sais ! Vas y je t'écoute !
Julien : C'est ce qui s'est passé … Pendant les vacances … Tu sais … Toi et Antoine …
Moi : Ça te pose un problème ?
Julien : Oh non ! Non, au contraire. J'ai aimé … J'ai beaucoup aimé …

Je lui souriais. Il était trop mignon et j'avais envie de le prendre dans mes bras.

Julien : C'est le truc qui sert à … Tu sais pour la prostate …

Je prenait un dispositif de traite dans le tiroir de ma table de nuit.

Julien : Non pas ça, ça c'est nul … Non je te parle  de … 

Il semblait gêné. J'allais au placard et prenait un gode et un harnais … Je lui montrait …

Il me faisait un oui discret de la tête. Toujours un peu gêné. Je décidais de prendre les commandes. Je m'approchais de lui, j'approchais mon visage du sien, il me regardait dans les yeux, nos lèvres allaient se toucher, elles se touchaient, je l'embrassais, il ne résistait pas bien au contraire il me rendait un baiser enflammé ! Je lui caressais la nuque, il s'approchait de moi se collait à moi et me prenait dans ses bras … Et de nouveau cette pression dans ma cage de chasteté !

Je lui retirais sa chemise, il me retirait mon T-shirt, j'ouvrais son pantalon que je laissais tomber sur ses pieds. Il me poussait sur mon lit et se laissait tomber avec moi. Nous étions enlacés sur mon lit, il n'avait pas de sous vêtements pas de chaussettes, il était totalement nus allongé sur moi à me faire un câlin. Il me léchait les tétons, me mordillait doucement le torse en descendant vers le bas de mon ventre, il ouvrait mon pantalon, me le retirait avec mes sous vêtements. Il prenait le harnais et le gode, me le tendait … 

Julien : Vas y prend moi !

Sans rien dire, je mettais le harnais, il me regardait attentivement. J'y fixais le gode … Il me prenait dans les bras … On s'embrassait, on échangeait des baisers passionnés … On se caressait avec passion. Et encore cette pression au niveau de ma bite !

Moi : Dis moi, il y a de la pression la dedans ! ( en lui montrant sa cage de chasteté )
Julien : J'ai l'impression qu'elle va exploser !
Moi : Tu sais c'est du solide !
Julien : Je sais, mais c'est bon, j'adore cette sensation !
Moi : Retourne toi !

Il se retournait, je lui lubrifiais le cul, et je posait l'extrémité du gode juste sur l'ouverture de son anus … Il soupirait … Je commençais à pousser … Il poussait un râle suivi de '' doucement, vas y doucement '' … Je poussais plus fort … Ça rentrait … Il gémissait … Je poussais encore … Il semblait pousser une plainte, une plainte de douleur … Le gode entrait rapidement jusqu'à la moité de sa longueur … Julien poussait des cris de douleur suivis de '' Oui vas y prend moi, vas y doucement mais vas y '' … Le gode entrait totalement … Julien semblait sangloter, il avait replié ses bras et cachait son visage dans ses bras entre les deux oreillers … Je me retirais avant d'y revenir, à fond de nouveau … Julien serrait les dents et ne laissait entendre que quelques gémissements … Je continuais mes mouvements, plus rapide, plus lents, plus amples, plus courts … Il fallait plus  de temps à Julien pour éjaculer que la première fois … cinq minutes plus tard il gueulait de plaisir ou il gueulait de douleur … Il gueulait, il éjaculait, il jouissait, il souffrait peut être aussi, sûrement même ! J'arrêtais, je ne bougeais plus, Julien respirait fort, il était crispé, tendu, je me retirais. Julien se laissait tomber sur le lit, il se retournait, il avait les yeux rouges, il avait pleuré, mais il avait aimé !

Je m'allongeait à coté de lui, il tremblait, je tirais une couette sur nous. Rapidement je jetais le gode ceinture dans un coin de la chambre et me blottissais contre Julien qui me prenait dans ses bras. Il avait l'air apaisé, il avait une salle tête mais il avait l'air apaisé ! 

On finissait par s'endormir. C'est ensemble qu'on se réveillait le lendemain matin. On était toujours dans les bras de l'autre !



Ep 18 : JE NE PENSE QU'A CA



J'étais devenu la star de l'école. Régulièrement j'établissais un nouveau record dans une catégorie sportive. Forcément j'étais devenu le chouchou du coach, il avait oublié la mauvaise  impression que je lui avait laissé à la fin du dernier trimestre de l'année précédente. Le champion est de retour, il me disait ! 

Mon camarade Antoine montait, lui aussi, régulièrement sur le podium, rarement à la troisième place et une ou deux fois il me piquait même la première dans une compétition amicale ! 

Pour ce qui est du programme plus scolaire, on était aussi dans le peloton de tête … 

Ceux qui nous suivaient, ils obtenaient aussi des résultats remarquables, c'étaient tous des porteurs … Je me retrouvais à la tête d'un groupe d’étudiants, un groupe d'amis, de camarade unis dans les études, dans le sport. Le week end on se réservait un peu de détente et on sortait dans un bar ou une boite de nuit… On avait nos entrées partout, on donnait l'exemple, on savait boire modérément et quand je débarquait quelque part, c'est un groupe de vingt ou trente garçons qui débarquait avec moi ! 

Les filles ne regardaient plus que nous … Évidemment, elles savaient qu'ils n'y avait rien à craindre, les filles faisaient partie des  plus ardents défenseurs de cette nouvelle mode, les dispositifs de chasteté ! Et comme je l'ai déjà dit, le plus difficile c'était pas elles qui le vivaient au quotidien …

Mes plus proches camarade étaient bien sûr Antoine, Julien aussi était devenu très proche, ainsi que toute l'équipe des premiers jours qui était toujours là … Un jour nous étions tous réunis sur le campus , installés sur le gazon ( ce n'était pas le cas sur le campus mais même quand il y avait un écriteau interdisant de marcher sur la pelouse … A nous ! On ne nous disait rien ! … ) . Une petite trentaine de jeunes athlètes en train de discuter sur les cours, sur l’entraînement ou sur les filles …

Le coach, Greg et le directeur de l'école venaient à notre rencontre, ils avaient tous les trois un large sourire … Le directeur se frayait un passage pour venir me serrer la main, je me levais par respect en lui tendant la main … 

Le directeur : Djé , vous permettez jeune homme que je vous appelle Djé ? ( je lui répondais par un large sourire ) Je suis très content de vous, de vous tous ! Mais particulièrement de vous Djé ! Vous savez, on vient de terminer les statistiques des résultats sportifs depuis la création de cette école il y a un peu plus d'un siècle … Vous êtes l'élève qui a le plus beau résultat, le plus de records établis, le plus de médailles et vous êtes très largement au dessus de la moyenne … Bravo ! Et vous n'êtes qu'en seconde année ! 

Un peu plus loin, une fille qui ne loupait rien de la scène nous criait. '' Bravo Djé, t'es le meilleur ! ''. Ses copines applaudissaient. Le directeur ne cachait ni un grand sourire ni son approbation. Ils restaient tous les trois à discuter avec nous et à nous encourager pour la suite.

Greg : Tu sais Djé, si tu continues comme ça, je vais finir par te haïr ! Le mois dernier tu as déclassé les trois records que j'avais établi il y a dix ans !
Moi : Pourtant tu es meilleur que moi, j'ai pu le voir au château !
Greg : Oui mais je ne suis plus étudiant et mon record actuel ne compte plus !... 
Moi : Je vais essayer de faire comme toi, de m'améliorer avec le temps !

C'est sur ces mots que le ce petit groupe nous laissait mais sans oublier encore un compliment et des mots d'encouragement pour chacun de nous ! 

Moi : C'est une impression ou bien ? Mais on dirait que toutes les filles du campus ne regardent que nous !
Antoine : C'est pas une impression, il y a un groupe de huit filles qui ne nous lâchent pas des yeux depuis plus d'un quart d'heure ! Les cinq qui viennent de s'installer sur le banc là bas, pareil ! Les deux qui s'approchent sur le chemin … Les quatre qui les suivent … Et plus loin, sous ce grand arbres, un groupe de garçons et de filles, vous n'avez pas remarqué que les filles ne font pas vraiment attention à leurs camarades masculins ! 
Moi : Elles me regardent toutes !

Les autres réagissaient rapidement !

… Et nous , tu crois qu'elles ne nous regardent pas …
… Moi aussi je suis beau gosse …
… J'en ai vu plusieurs qui me dévoraient des yeux …
… T'es un marrant Djé ! …

On rigolait de bon cœur !

Les journée étaient paisibles, on avait de l'énergie à revendre, pour les études, pour le sport et le vendredi, samedi soir … Il nous en restait … Je ne sortais pas tous les week-end  régulièrement j'avais besoin de me retrouver seul ou en tout petit groupe. Julien et Antoine faisaient généralement partie de ce tout petit groupe ! ...

Un soir, à la piscine, il ne restait plus que moi, je faisait des longueurs, il était tard. Le maître nageur arrivait en hurlant !

Maître nageur : Allez le dernier, on sort de l'eau, on ferme, il est temps de rentrer !

Je sortais la tête de l'eau.

M n : Ah c'est toi Djé ! Excuse moi ! Je ne voudrais pas te chasser ! Si tu veux rester, je te donne les clés !
Moi : Si ça ne pose pas de problème, ça me ferait plaisir de nager encore un moment !
M n : Avec toi, ça ne pose aucun problème ! 

Il me donnait un double des clés, quelques consignes et me souhaitait une bonne fin de soirée !

Je le suivais, fermais derrière lui pour ne pas être dérangé et revenais au bassin. Je jetais mon maillot de bain et plongeais dans la piscine. Je continuais à faire quelques longueurs tranquillement en me disant que finalement c'était le pied, j'étais le roi ! On me laissait même les clés de la piscine uniquement parce que j'avais envie de nager un peu plus longtemps … c'était partout pareil, au réfectoire on me laissait passer en premier, au resto j'avais la meilleure table … J'étais le roi ! 

C'est alors que je remarquais la présence d'une silhouette sur le bord de la piscine ! Je sursautais ! C'était Lionel, un élève de troisième année un an de plus que moi. Il me regardait avec un sourire de travers ou alors il me regardait de travers avec un sourire … Je ne saurais pas dire … 

Lionel : Tu es vraiment le roi toi maintenant !
Moi : Ça va Lionel, toi aussi tu voulais nager un peu plus ?
Lionel : J'étais dans les vestiaires, il est parti le chef de la piscine ?
Moi : Oui, on est tout seul ici !
Lionel : Tu sais, il y en a qui ne t'aiment pas vraiment !
Moi : On ne peut pas être aimé par tout le monde ! Et toi, tu as quelques chose contre moi ?
Lionel : C'était plus facile avec les filles avant que tu ne leur mette ces idées en têtes !
Moi : Je suis pas le seul responsable ! Viens donc te baigner !

Il retirait son maillot de bain et plongeait. Il arrivait vite à coté de moi !

Lionel : Au début, je voulais te mettre mon poing sur figure ! 
Moi : Je suis de taille à me défendre !
Lionel : Et moi, je ne suis pas vraiment agressif !


Lionel : Comment tu fais pour supporter ton truc ?

Lionel était bien foutu, il bandait à moitié … C'était un bel athlète même s'il était loin de mon niveau … Il était beau gosse … C'était la première fois que je me trouvais si près de lui … On se frôlait … Plus on se frôlait, plus il bandait. Rapidement il bandait ferme ! 

Mon dispositif se relevait vers l'avant, moi aussi je bandais … Mon cœur battait plus vite soudainement. Je n'avais pas touché un mec depuis plus d'une semaine et sa peau était douce !

Moi : Tu m'as l'air en forme !
Lionel : Oui, ça me fait souvent ça ! Surtout que ça fait un moment que je n'ai pas touché une fille. Elles sont beaucoup farouches depuis quelques temps. De la faute à qui !?

Il me regardait de travers !

Moi : C'est moi qui te fais cet effet ?
Lionel : Si c'est une proposition ! 

Il sortait de l'eau !

Lionel : Viens par ici si t'as pas peur de ma queue !

Je sortais de l'eau, je m'approchais et sans hésiter je commençais à lui sucer la queue ! Il sursautait de surprise mais se détendait et me laissait faire. Il était debout devant moi, je lui caressais les cuisses … J'avalais sa queue en entier … Il gémissait de plaisir … Je lui caressais les fesses … Il me prenait la tête entre ses mains … Je laissais mes mains se promener sur son ventre … Il avançait et reculait son bassin, m'enfonçait sa queue et la retirait … Je ne bougeais plus ma tête et le laissais faire … Il appuyait sur ma tête et passait ses doigts dans mes cheveux … 

J'avais envie de me prendre cette queue dans le cul. Je retirais ma tête et tentais de parler … Aussitôt il me prenait fermement la tête entre ses mains et m'enfonçait sa bite de nouveau jusqu'au fond de ma gorge … Je le laissais faire un moment et continuait à le sucer … 

Un moment plus tard je retirait à nouveau ma tête … De nouveau il me la prenait fermement et de nouveau m'enfonçait sa grosse bite dans la gorge !

Lionel : Occupe toi de ma bite, tu as l'air d'aimer ça !

Je m'exécutais … Il gémissait de plaisir … Il avait accélérer le mouvement … J'avalais non sans mal … J'avais du mal à respirer … IL semblait s'en moquer … 

Lionel : Ça fait un moment que j'ai pas baisé à cause de toi et de tes idées alors … fais moi plaisir, fais moi jouir … Oui comme ça c'est bon !

Il ne se retenais plus et me balançait des coups de reins jusqu'au fond de ma gorge … J'avalais sa queue … Il accélérais en gémissant … J'avalais, j'avais du mal … Les coups devenaient violent et il appuyait avec ses mains sur ma tête … Je ne pouvais qu'ouvrir la bouche le plus possible, et avaler … Il hurlait de plaisir, me giclait dans la gorge et arrêtait net ses mouvements … Je parvenais à respirer, j'avalais ! … On reprenait tout les deux notre souffle … 

J'avais encore sa bite dans ma bouche, je relevais les yeux, il me souriait, il avait l'air content ! Il me caressait doucement les cheveux . 

Lionel : Tu en voulais plus, et béh c'est ceinture ! A cause de toi on ne peut plus baiser comme on veut ! Les filles sont plus difficiles ! Là je me suis fait plaisir et si toi tu reste sur ta faim, c'est ma manière de me venger !
Moi : Tu es vraiment un enfoiré toi !
Lionel : Tu voulais ma quéquette dans le cul, et bien tu ne l'auras pas ! Mais moi, maintenant ça va, je me sens détendu d'un coup ! Je me casse, tu viens fermer derrière moi !

Je le regardais en souriant, j'y croyais pas ! J'avais le cul en feu et cette impression devenue quotidienne que ma cage allait exploser tant elle était devenue trop petite !

Lionel : Au moins maintenant j'ai plus envie de te casser le nez !

J'éclatais de rire, lui aussi ! 

On quittait la piscine quelques instants plus tard !

Je restais sur ma faim, ça avait tout de même été un moment agréable, mais j'avais vraiment le feu au cul. Il m'avait bien échauffé la cervelle ce guignol … Sa peau était douche … Tout de même il exagère … Il ne devrait pas avoir tant de mal à se faire une fille … Il était beau comme un dieu … Les filles sont toujours sensibles à ça … Il avait une belle gueule …  Il avait aussi un sourire ravageur quand il me regardait de travers … Il voulait me faire croire que ? … C'est un guignol, il voulait juste se faire sucer ! … Il a une belle bite quand même … Je me la serais bien prise dans le cul moi … L'enfoiré, il l'a fait exprès pour m'échauffer … Il à joué les allumeurs là ! 

Je suis pas en train de tomber amoureux moi ?

NON !

C'est un enfoiré ! ...

Je savais que j'aurais du mal à m'endormir ce soir là, on était à la veille du week-end, je décidais de sortir mais sans mon équipe … J'arrivais à mon appart, je me changeais … Julien frappait à ma porte, je le faisais entrer .

Il me regardait dans les yeux !

Julien : Toi  il y a quelque chose qui ne va pas !

Je lui racontais rapidement la soirée à la piscine ! Il éclatait de rire, fermait la porte de ma chambre, ouvrait mon armoire et en sortait un gode ceinture. Sans rien dire de plus, il retirait ses vêtements se fixait le gode.

Julien : Fout toi à poil !

Mécaniquement je m’exécutais. Julien me prenait dans ses bras, j'étais bien chaud, rapidement me retournait et me poussait sur le lit … Il avait changé le petit Julien par rapport à la première fois que je l'avais vu … Il me pénétrait avec un gode de belle taille … Il s'était penché sur moi et me tenait dans ses bras … Il m'embrassait le dos en même temps qu'il me labourait l'anus … Il me mordillait les oreilles alors qu'il me défonçait le cul … Il me caressait le torse tout en me burinant le derrière … Et c'est en me donnant de violents coup de reins qu'il me murmurait à l'oreille avec beaucoup de tendresse …

Julien : C'est de ça que tu as besoin ! Rien d'autre !

Rapidement je jouissait par le cul, j'étais pris de convulsions, de tremblements, je gueulais de plaisir juste avant de m'écrouler sur mon lit ! Ma bite allait exploser, je ne me calmais pas de ce coté là … Depuis la piscine, je n'avais pas débandé … Et là, je n'avais pas éjaculé !

Julien et moi décidions finalement de sortir, on se rhabillait rapidement et on faisait une descente au bar … Tout le fond du bar était occupé par une bande de sportifs rigolards qui n’hésitaient pas à exhiber leurs muscles devant une véritable délégation de filles, toutes plus belles les unes que les autres, qui se pavanaient devant ces garçons … Ces garçons, c'était ma bande. Avec les filles ils devaient bien être au moins la cinquante !

Je prenais un verre, discutais un moment, une fille, elle s'appelait Nathalie, venait se coller à moi, elle était câline … C'est vrai qu'elle savait qu'elle ne risquait rien … Ma cage était toujours sur le point d'exploser … Il y a des moments comme cette soirée là ou on ne se calme pas, d'autres garçons me l'ont dit aussi, ça passe pas !

Je m'excusait auprès de mes amis et m'absentais. J'avais la tête en feu, Lionel cet enfoiré, j'avais son visage devant les yeux, je sentais la douceur de sa peau sous mes doigts, le goût de sa queue de son sperme dans la bouche, j'imaginais sa queue me pénétrer le cul, je marchais rapidement et je savais ou j'allais !

Peu après j'arrivais près de la rivière, des ombres se promenaient, passaient, disparaissait entre les arbres. J’apercevais une silhouette qui était appuyée contre un arbre, je m'approchais, il se caressait l'entre jambe, je tendais la mains et lui caressait son entre jambe à mon tour, il se laissait faire. Je me penchais, lui ouvrais la braguette, sortais sa bite et le suçais sans plus de formalité !

Il se laissait faire et appuyait sur ma tête ... sa bite était de taille moyenne, j'en aurais aimé une plus grosse pour me calmer le cul … Je le suçais … Un autre homme arrivait, il ouvrait sa braguette … Je le branlait, il avait une belle queue … Le premier se retirait et sans bruit m'éjaculait sur la figure ! … Je me retournais vers le second que je suçais goulûment … Je sentais une main qui me caressait les fesses et se glissait entre mes cuisses … J'écartais les cuisses  …

… Eh il porte un de ces nouveau truc …
… C'est un chaste …
… J'ai toujours eu envie de m'en faire un … 

Plusieurs hommes s'étaient attroupés autour de moi, on m'avait baissé le pantalon, je les laissais faire … Devant moi l'homme m'enfonçait sa queue à fond … Je sentais une pressions sur mon anus … On m'enculait … Je gémissait … Rapidement je sentais le bas ventre du mec derrière moi qui me frappait les fesses en claquant bien fort … Devant moi le gars se retirait, il était remplacé par un autre … Dans mon cul, ça claquait de plus en plus fort, de plus en plus vite … Je l'entendais gémir de plaisir … Il se retirait … Sans attendre quelqu'un le remplaçait et me burinait à son tour … Je sentais ce plaisir monter dans mon ventre … On me remplissait la bouche … Je ne pouvais même pas gémir, à peine respirer … Je recevais une giclée de sperme dans la gorge, j'avalais … Une autre queue remplaçait immédiatement celle qui venait de me remplis la bouche … Un gémissement dans mon dos suivi de quelques coups violents … Il était remplacé … 

Je ne sais pas combien de temps ça a duré, je ne sais pas combien ils étaient mais je jouissais, un flot de sperme coulait de ma cage, mon cul allait exploser, je me sentais bien, enfin, je me sentais vraiment bien, j'en avais besoin … C'est de ça que j'avais besoin ce soir là …



Ep 19 : D'ETRANGES COUPLES SE FORMENT 



Je me sentais enfin soulagé, vidé, heureux ! Je me demandais si j'étais encore présentables … Combien étaient-ils quatre, cinq, ça devait être à peut près ça ! Ils s'étaient branlé sur moi, avaient éjaculé sur mon dos, sur ma figure, j'avais éjaculé, on m'avait baissé mon pantalon qui avait du traîner par terre … Je me demandais dans quel état j'étais …

En fait , je m'en moquait un peu, je me sentais bien. Je décidais donc de rentrer à l'appart directement, il n'était pas trop tard dans la soirée et je pourrais toujours rejoindre mes potes plus tard … Je repartais donc d'un pas joyeux, me prenais les pieds dans je ne sais quoi et me retrouvais allongé par terre dans un très belle mare de boue … ! 

'' Bon là au moins, je sais que je ne suis plus présentable ! '', je me relevais et repartais en faisant très attention cette fois ci ou je mettais les pieds … Je le sentais avec mes mains, j'étais couvert de boue !

Arrivé à l'appart je pouvais constater l'étendue des dégâts, je me changeais et me douchais rapidement, finalement il n'était pas trop tard pour sortir … Un peu plus tard je retrouvais mes camarades qui m’accueillaient avec des grands cris de joie ! 

… Le voilà ! …
… Tu étais passé ou Djé ? …
… On commençait à s'inquiéter …

Julien : Tiens, tu  as changé de vêtements ! 
Moi : Je te raconterai !

Bien sûr que je vais lui raconter, bien sûr que je vais me confier … Pas à tout le monde mais Julien, Antoine et quelques autres, ce sont des amis … 

Julien : Tu m'as l'air … différent de tout à l'heure ! Tu es plus souriant !
Moi : Ouai, je me sens mieux !

On s'isolait un peu et je lui racontait, il était éclaté de rire …

Julien : Tu avais vraiment une grosse envie !

On retrouvait les autres, Nathalie venait se pendre à mon coup et ne me quittait plus de la soirée. Julien aussi avait une copine Laurence … De temps en temps, elles s'autorisaient à dormir avec nous. C'était osé mais sans risque pour elles … Ça restait quelque chose d’exceptionnel ! Il faut bien comprendre que quand on porte un truc comme ce qu'on porte tous, la présence d'une fille, le contacte de son corps, surtout allongé dans un lit provoque une grande tension sexuelle qui ne peut pas se relâcher … Pour la fille, pas de problème mais, pour le mec … Ouaaaaaaa ! Je ne vous dis pas, c'est l'horreur ! C'est simple Antoine, il refuse systématiquement, il a une copine lui aussi, Anita , et il a eu beaucoup de mal à lui expliquer !

Un jour, il n'y a pas très longtemps … Anita venait me voir, c'est toujours moi qu'on vient voir quand il y a des problèmes, des explications à donner … Il est vrai que mon sérieux, mon sens aigu de la vertu mes valeurs d'abstinences ne font aucun doute pour personne … Eh oui, je suis une référence … Qui oserait imaginer que je puisse me livrer au moindre débordement de luxure et de stupre ? Même moi j'y croix pas !

Anita : Djé, il faut que tu m'expliques un truc ! ( Elle avait l'air embêtée )
Moi : Je t'écoute ma petite Anita, raconte moi tout !
Anita : Je ne sais pas si je peux !
Moi : Mais si, tu peux tout me dire !
A : Antoine et toi vous êtes amis ?
M : Bein oui !
A : Mais vraiment amis ?
M : Oui, on est très proche !
A : Bein voilà, il ne veux pas, il ne veux jamais que je dorme avec lui !
M : Oui, je vois ! Et tu te demandes … si …  tu te poses des questions sur ce qu'il ressent pour toi !
A : Il ne m'aime pas !
M : C'est pas ça ! Tu sais que Antoine n'as pas toujours eu une vie calme, je veux dire au niveau sexuel … Il a une libido très importante …
A : Bein justement, moi je comprends pas ! Il m'aime ou pas ?
M : Tu sais que nous portons un dispositif de chasteté qui interdit tout plaisir sexuel !

Il y a des détails qu'il n'est pas utile de révéler ! Nos jouets, nos gadgets, nos sauteries entre copains par exemple, ça, il vaut mieux le garder discret ! Je n'en parlais donc pas.

M : Pour moi, c'est pareil, je connais bien le problème ! Dormir auprès d'une fille que l'on pourrait désirer parce qu'on l'aime, par exemple, quand on ne peut rien faire de sexuel avec elle … C'est très dure ! Et quand je dis très dure … 
A : Mais quand vous ne portez pas ce truc, vous pouvez parfaitement vous contrôler alors pourquoi quand vous le porter ça ne marche pas …
M : Les garçons qui ne portent pas ce truc, comme tu dis, le lendemain je peux te le garantir, ils vont se masturber et ça les calme … Nous on ne peut pas !
A : Alors, c'est pas parce que il ne veut pas me voir !
M : Non, c'est le contraire ! Il adore te sentir près de lui, il adore te tenir la main, te prendre dans ses bras mais si tu en demande plus, il va devenir dingue, moi c'est pareil !
A : Mais toi tu autorise Nath à dormir avec toi de temps en temps !
M : Pas souvent, non pas souvent ! Et c'est vraiment pour lui faire plaisir … Pour moi c'est très dur, elle l'a compris, enfin j'espère ! La dernière fois j'ai pris deux douches froides et je suis parti courir vingt kilomètres uniquement pour calmer mes tensions … La chasteté c'est quelques chose de sérieux ! 
A : Elle ne m'a pas parlé de ça ! Au contraire, elle m'a dit que tu semblait très détendu !
M : C'est parce que j'ai pas voulu la réveiller … Je venais de prendre une douche après avoir fait un demi marathon, alors forcément j'avais l'air détendu, en fait j'étais épuisé !
A : Et tu ne lui a rien dit !
M : J'ai préféré ne pas l’embarrasser avec ces détails ça lui aurait gâché son plaisir !
A : Et Antoine, c'est pareil ?
M : Je pense que pour Antoine, c'est encore plus dur que pour moi ! Pour lui la frustration est terrible ! Vraiment terrible !

Elle semblait ravie de ces explications, elle était rassurée, elle me faisait une chaste bise sur la joue et allait raconter ce demi marathon à Nathalie … Ça m'arrangeait en fait que l'information lui parvienne par quelqu'un d'autre que moi, ça me laissait doublement le bon rôle … Bien sûr quand on se lance dans ce genre d'explication, il ne faut pas parler de ce que nous faisons entre nous … Surtout pas … ! Ce qui se passe entre porteurs doit rester entre porteurs ! C'est une règle à laquelle il ne faut jamais déroger ! 

Petit à petit les règles de vie d'un chaste porteur prenaient forme … Ça ne changeait rien à la frustration qu'on éprouvait mais sans ces règles, on ne pourrait pas supporter cette situation. Les filles en parlaient entre elles, avec leurs petit copains et finissaient par adopter elles aussi des règles de respect de l'intimité de leur fiancé !

Nathalie ne m'a jamais demandé de passer une nuit avec moi depuis ce jour. Ce qui ne changeait rien au fait qu'elle restait toujours aussi attachée et peut être plus encore, plus attentive a moi quand nous étions ensemble ! Enfin, pour un certain temps ! ...

Peu à peu, on trouvait normal que les porteurs soient souvent ensemble, soient très proches, même au niveau tactile … Tout le monde comprenait en effet que pour un porteur il était très difficile que sa copine lui fasse un massage ou la réciproque, par exemple, non pas parce que c'était pas agréable mais parce que c'était trop agréable, stimulant et sans issue pour lui. Mais ça n'empêchait pas les câlins, une frontière se dessinait, de nouvelles règles prenaient forme. 

Nous faisions des jaloux chez les non porteurs ! Au début certains se moquaient de nous, surtout quand il voyaient que les plus belles filles nous courtisaient, ne nous lâchaient plus … Ils se moquaient parce qu'on ne pouvait rien faire avec elles, mais, pendant qu'elles nous courtisaient, elles les ignoraient ! Et ça c'était moins drôle ! Même les mecs les plus mignons avaient un mal fou à se trouver une copine s'ils ne portaient pas ce dispositif ! Le nombre de porteurs augmentait et plus il augmentait plus c'était difficile de flirter pour les non porteurs !

Julien avait un nouvel ami, un ami masculin, au début je me disais que ce garçon en voulait à Laurence … Mais un jour ...

Je rentrais plus tôt que prévu à l'appartement, il n'y avait personne, toutes les lumières étaient éteintes mais juste avant d'allumer à l'entrée j’apercevais un filet de lumière sous la porte de sa chambre … Je tendais l'oreille … J'entendais une voix masculine … C'était pas Julien ! … '' Oui vas y, tu fais ça bien, ouah c'est bon … '' .

Mais c'est qu'il n'est plus du tout timide ce petit Julien !

Les gémissements continuaient plus forts, de toutes évidence ils pensaient être seuls dans l'appartement … Je finissait par reconnaître la voix … C'était William le nouveau copain à Julien !!! 

Moi qui pensais qu'il en voulait à Laurence … Je tombais sur mon cul … William est gay … Ça je m'en serais jamais douté … Pourtant, je l'ai vu, il tournait autour de Laurence au début … c'était pour approcher Julien … Bein on en apprend tous les jours …

Les cris devenaient plus forts … Là c'était Julien qui criait … '' Oui vas y, c'est bon '' …  Will gémissait, poussait des cris de plaisir … Julien l'encourageait … En rigolant dans ma tête je me disais, voyons lequel est en train de se faire enculer ???  Sachant qu'il y en a un des deux qui porte un dispositif de chasteté ! Hé , hé , hé ! Sacré Julien ! J'avais bien envie de les rejoindre mais je me demandais si c'était une bonne idée. Quelque chose me disait de ne pas intervenir !

Les bruits cessaient, la porte s'ouvrait, je m'étais réfugié dans ma chambre d’où je pouvais les voir sortir, ils se dirigeaient tous les deux vers la salle de bain, j'entendais l'eau couler ! J'en profitais pour sortir de ma chambre sans faire de bruit, j'ouvrais violemment la porte de l'appartement et faisait semblant d'entrer en allumant la lumière ! Ils m'avaient entendu !

Moi : Tien, il n'y a personne ici !
Julien : On est là, dans la salle de bain !

J'entrais dans la salle de bain … La vache, il ne s'était pas ennuyé le petit Julien, Will, je ne l'avais jamais vu sous la douche, il était monté comme un âne ! … Décidément, il me surprendra toujours Julien !

Julien : On vient de faire une séance de sport, et toi, ça c'est bien passé ?
Moi : Super ! Je vous prépare un rafraîchissement ?

Je les entendais murmurer … J'étais très amusé de la situation et je me demandais comment ils allaient s'en sortir . 

Moi : C'était un petit footing ?
William : ( qui sortait de la salle de bain une serviette autour du ventre ) Oui, on a fait quelques kilomètres jusqu'à la rivière !
Julien : Oui ( qui n'avait pas entendu ce qui venait de se dire ) on était à la salle de musculation !

Ça va ils s'en sortaient bien, ils avaient chacun leur version … Ils se rhabillaient puis venaient me rejoindre, je terminais de préparer le café ! Nous discutions un moment, William restait très sérieux, un peu tendu, il ne voulait rien laisser paraître … Julien avait son petit regard rieur et un discret sourire satisfait, il se doutait que j'avais compris !

Je devais me rendre compte que pour beaucoup de personnes  j'étais vraiment devenu un exemple de probité absolue, surtout parmi les non porteurs ! C'est pour cela que William, ce soir là, ne voulait rien laisser paraître, il avait peur d'être jugé ! Refuser de porter le dispositif, c'est une chose, c'est son droit … Mais baiser avec un porteur … Il devait se demander si je ne le condamnerais pas, si je ne lui reprocherais pas de venir débaucher un de mes camarades … 

La discussion continuait un long moment, on n'abordait pas le sujet du dispositif … On parlait de nos études, de nos projets, de banalités, William se détendait peu à peu ! Plus tard je le  raccompagnais à la porte, il voulait me parler …

W : Tu sais, Djé, il faut que je te dise … Je ne porte pas de …
M : Je sais, j'ai vu, mais c'est pas un problème, c'est ton choix !
W : Je ne voudrais pas que tu t'imagines que, pour moi, ton truc, c'est …
M : C'est un choix qui est personnel, il n'est pas adapté à tout le monde !
W : Moi, je sais pas, mais je pense que je ne pourrais pas !
M : Alors ne le fais pas !

Il me souriait en me regardant bien droit dans les yeux !

W : Ça te dérange pas ?
M : Mais pourquoi ça devrait me déranger, je suis qui moi pour juger les autres sur leurs choix ? Je suis rien moi ! J'ai pas à décider pour les autres, j'ai pas à leur dire ce qu'il doivent faire ! J'ai fait le fou dans le passé, il n'y a pas si longtemps ! Maintenant je me suis calmé, ce nouveau mode de vie me convient, mais je sais qu'il peut ne pas convenir à tout le monde ! Tu peux être quelqu'un de très bien même si tu ne portes pas ce truc … Tu peux aussi être quelqu'un de pas bien du tout même si tu le portes !

Là il me faisait un grand sourire. Je le saluais, Julien nous rejoignait, ils voulaient de toutes évidence s'échanger quelques mots, je les laissais … Je les entendais encore quelques instants parler sur le palier  !

William : Dis donc, il est super sympa ton pote ! A entendre tout le monde parler de lui, comme une star,  comme une référence … Je pensais que .. Je n'aurais jamais osé l'aborder ou même lui parler … Mais … En fait il est très accessible …
Julien : Je te confirme, ils est super sympa et on peut vraiment lui faire confiance !

Je n'écoutais pas la suite. Dans les semaines qui suivaient William se rapprochait de notre groupe, il était souvent avec Julien et Laurence , plus souvent avec Julien que Laurence … Mais, bon, on sait pourquoi maintenant  !

Un soir que je rentrais, il n'était pas tard, mais il faisait déjà nuit … J'entendais une vois juste derrière moi dans la rue … C'était Lionel ! 

L : Alors la star, tu te la joues toujours, viens donc par là si tu n'as pas peur !
M : Tu veux encore me casser le nez ?

Il se rapprochait, me tirait vers lui, m'attrapait dans ses bras et m'embrassait, je le serrais dans mes bras moi aussi. C'était une étreinte pleine de passion et de spontanéité, on avait l'impression d'être tous les deux en manque ! 

Moi : Alors, tu ne veux plus me casser le nez ?

Il me répondait en m'embrassant de nouveau ! 

Lionel : J'ai plus envie de casser le nez, j'ai juste envie de te défoncer le cul !
Moi : On va chez moi !
Lionel : C'est loin ?
Moi : Non c'est juste à coté !
Lionel : On y va !
Moi : On y va !
Lionel : On est parti !
Moi : On est parti !

Aucun d'entre nous ne bougeait, et on n'arrivait pas a se décrocher l'un de l'autre … Finalement on prenait la direction de mon appartement d'un pas rapide, très rapide ! On entrait discrètement et on se se glissait dans ma chambre … 

Je l'attrapais par le bras, lui retirais son blouson, il se laissait faire. Suivait son T-shirt et rapidement tout le reste. Il se retrouvais assis sur mon lit, je le suçais, il me tenait la tête fermement et me dirigeait, il prenait le contrôle de la situation.

Lionel : Enlève tes vêtements … ! 

Je ne m'étais occupés que de lui, et j'étais encore tout habillé. Frénétiquement je me débarrassais de tout ce que j'avais sur moi, tout ou presque ! Et ce presque était sous pression, il se relevait vers l'avant au lieu de pendouiller mollement comme il devrait mais, bon , c'était normal ! La peau de Lionel était douce, elle me semblait encore plus douce que la première fois. Sa queue était belle, encore plus belle que la première fois ! Il était beau, encore plus … 

Mais je suis pas en train de tomber amoureux moi ! 

Non ! On baise c'est tout ! Ce mec je m'en fou ! Je veux juste qu'il m'encule ! Qu'il me prenne dans ses bras ! Qu'il me serre contre lui ! Qu'il me caresse ! Je veux ses baisers … Sa peau … Sa langue … Ses yeux … 

C'est ce qu'il me donnait … Il m'embrassait, et il embrassait bien ( je peux vous garantir que je m'y connais ), il me caressait, me serrait dans ses bras. Je lui rendais chacune des ses caresses, chacune de ses étreintes. 

Lionel : T'es vraiment un enfoiré Djé ! Il n'y a plus moyen de se faire une fille ! Je vais t'enculer ! Tu vas voir, tu vas le regretter !

D'un mouvement rapide il me retournait sur le dos, me soulevait les jambes, plaçait mes chevilles sur ses épaules et dans un mouvement régulier me pénétrait jusqu'à la garde ! Il observait mes réactions …

Lionel : Tu aimes ça toi dis ! Tu vas voir je vais t'en donner moi !

Rapidement il se retirait puis revenait à la charge plus rapide plus violent, de plus en plus rapide, de plus en plus violent. Je me cramponnais à ses bras … Il râlait de plaisir … Je gémissais … Son visage était rouge … J'avais chaud … Je me sentais rempli … Ma prostate était en feu … Il ne me fallait que quelques instants pour parvenir à un orgasme … Quelques instants pour jouir … Je gueulais, gémissais, me mordillais les lèvres … C'était bon, c'était intense  …

Lionel était en forme et ne semblait pas sur le point de jouir lui … Il faisait un pause puis recommençait … A chaque pause, à chaque fois qu'il recommençait mes sensations devenaient plus fortes, plus intenses … J'en pouvais plus … Il me rendait fou de plaisir … J'éjaculais … Ma cage allait exploser … Mais pourquoi elle est si petite ce soir … Ma queue était compressée, écrasée la pression était à son maximum et un liquide blanc très clair continuait à couler … Mon cul allait exploser ... Je gémissais, c'était à la limite d'une plainte … J'avais l'impression d'étouffer !

Lionel me balançait de violents coups de reins en râlant plus fort, je lui disais vas y, maintenant ! C'est dans un cri et un coup de rein qui faillit me faire tomber du lit qu'il jouissait … Il se laissait tomber sur moi, je tremblais, il avait lui aussi quelques tremblements qui faisaient penser à un fou-rire … Mais, non , il ne riait pas, il reprenait son souffle … Et moi aussi !

C'était un bon coup ce Lionel ! Ouai un sacré bon coup ! On recommence quand il veut ! La vache … ! Je reprenais mes esprits !!! 

Il n'y avait personne dans le hall, l'appartement semblait vide ou alors chacun était dans sa chambre ! On passait dans la salle de bain …Quelques instants plus tard, la porte s'ouvrait, c'était Julien … Il passait sa tête dans l'ouverture de la porte de la salle de bain.

Julien : Ça va ? Tout se passe bien ?
Moi : Ouai, ouai, tout va bien, … , on vient de rentrer d'une séance de sport !
Julien : Muscu ou footing ?
Moi : Je te laisse choisir !

Il ressortait et je l'entendais pouffer de rire !

Dans les semaines suivantes Lionel, lui aussi devait rejoindre notre groupe … 



Ep 20 : Dépassé 



Rapidement ma bande passait d'environ trente membres ( porteurs ) et une vingtaine de filles à près de quarante cinq membres réguliers, les nouveau n'étaient pas forcément des porteurs et plus d'une trentaine de filles supplémentaires. C'était désormais un groupe de plus de quatre vingt , quatre vingt dix personnes qui gravitaient autour de moi … J'avais souvent l'impression de louper un épisode ! J'aurais vraiment aimé qu'on puisse faire un break...

Je ne comprenais pas toujours ce qui se passait, par moment je paniquais ? Je contactais Greg je lui laissait un message lui demandant de l'aide ! Dans la demie heure, il me répondait, me proposait de passer tout de suite me voir, ou alors de le rejoindre à la bibliothèque ! C'est là que je le retrouvais peu après … Il me faisait entrer dans un salon privé, des livres bien sûr, beaucoup de livres et quelques fauteuils, une table. Il me proposait un thé et des gâteaux !

Moi : J'ai l'impression que le monde autour de moi est en train de devenir fou ! 
Greg : C'est vrai que les choses s'emballent en ce moment !
M : J'aimerais pouvoir faire un break !
G : Si tu veux, tu peux prendre des vacances, plusieurs jours, quelques semaines, le reste de l'année … Tu te sens comment ?
M : En fait je me sens bien, j'ai du mal à suivre c'est tout ! Et puis, ces quelques semaines, je les passe ou ?
G : Au château si tu veux ! Tu auras même une dérogation pour retirer ton truc si tu veux !
M : Ton oncle est prêt à modifier ses propres règles ?
G : Mon oncle s'inquiète plus pour toi que pour ses règles … Tu peux être fier de toi, je ne l'avais entendu faire une telle proposition  ! Mais c'est vrai que tout ce qui se passe en ce moment est nouveau et nous dépasse tous un peu !

Nous parlions un long moment !

M : J'ai l'impression d'être le centre du  monde, que tout tourne autour de moi, et que tout tourne de travers !

… 

M : J'ai peur que tout s'arrête d'un coup ! Si ce n'est que ça, ce ne serait pas grave, bien au contraire ! En fait j'ai peur que cet amour que tout le monde me manifeste se transforme un jour en haine … 

… 

M : C'est une pression que je ressent de plus en plus souvent, une grande responsabilité, tu sais Greg ma vie, oui tu le sais … Je parle de ma vie privée, sexuelle … Elle est loin d'être un exemple ! Et si … Et si … 


La nuit était déjà bien avancé, nous avions parlé, parlé … Je n'avais même pas remarqué le moment ou on nous avait livré la pissa … Je me sentais mieux … Greg sait écouter, il sait répondre quand c'est nécessaire, il sait être là quand il le faut, il sait se taire aussi si c'est ce qu'il faut faire à ce moment précis ! 

On mangeait la pizza de bon cœur !

On décidait finalement que les prochaines vacances qui approchaient je les passerais au château ! Aucun de mes proches ne m'accompagnerait ! De toutes façons, le groupe de vacances était définitivement dissous ! Il n'avait plus de sens, plus d'un tiers des garçons de cette école portait ce '' truc '' ! D'autres écoles suivaient en invitant leurs élèves à suivre ce mouvement … Les filles adoraient cette idée et plus des deux tiers d'entre elles annonçaient qu'elles l'exigeraient pour leur petit copain … sinon … 

Les ventes de ce dispositif avaient explosées, et oui, les porteurs plus ou moins réguliers ne se limitaient plus aux élèves d'une ou de plusieurs écoles. On commençait à trouver des porteurs dans toutes les classes de la société ! Ils n'étaient pas encore en grand nombre mais ce n'était pas négligeable ! On nous signalait aussi que deux groupes, un en quatrième et un en cinquième année montaient chacun une équipe de sportifs de porteurs chastes ! Pour ces deux dernières années de l'école, c'était les première équipes, jusqu'à ce jour les dernières années avaient presque toutes refusé !

M : Et pour ce qui est du groupe de sport ? 
G : Pour les prochaines vacances, il sera maintenu … On emmène un groupe au ski … Si tu préfères, tu peux venir, c'est toi qui choisi !
M : Non je préfère le château, prendre un peu de recul, et me reposer vraiment de la foule ! Je n'arrive plus à être seul, ça me fera du bien !
G : Pour l'avenir, on prévoit d'organiser des séjours à chaque vacances ! Séjours réservés uniquement aux porteurs, campagne, ski , bord de mer selon les saisons et même à l'étranger … Tarifs préférentiels ... On y travaille !

Je me réservais quelques jours pour avertir tous mes camarades de mon départ imminent. On ne voulait pas les affoler, il y avait ma nouvelle copine Nathalie et mon nouveau copain Lionel. Nous formions un drôle de couple … Une fille qui avait choisi son petit copain, moi, car il portait un dispositif de chasteté … Un garçon, moi, qui portait un dispositif de chasteté donc et qui ne pouvait pas par conséquent pas avoir de relations sexuelles avec sa copine … Et un troisième larron, Lionel, que ne parvenait pas à se trouver une copine à cause de cette mode avait fini par se défouler sur le petit copain de la fille, toujours moi ! ...

Julien se trouvait dans une situation similaire, mais lui il n'avait pas à subir la pression que je subissais et qui me pesait de plus en plus ! Il n'était pas la référence, l'exemple que tout le monde regardait ! Pour lui, la situation lui convenait, il s'en amusait beaucoup !

Un autre garçon Romain semblait courtiser Antoine … A moins que … Et oui là encore, c'était pas Anita qu'il courtisait, non … Antoine me le confirmait ! Romain était plus âgé, il avait vingt cinq ans il était maçon … Il était gay, actif, beau mec, bien musclé, bien carré et Antoine  rajoutait … Bien monté !

Il y avait encore une bonne dizaine de garçons, non porteur, qui gravitaient comme en orbite autour de notre … autour de mon groupe … J'y faisait bien attention dans les jours pendant lesquels je préparait mon départ … Et il n'était finalement pas difficile de trouver le garçon avec lequel chacun s'était lié d'une amitié particulière … Chacun me le confirmait, je ne leur faisait aucun reproche, aucune morale. Je leur demandais seulement de la discrétion ! 

De nombreuses filles se joignaient aussi à mon groupe, certaines semblaient flirter avec les nouveaux mais, elles gardaient des distances, ou alor c'est que je ne comprenais plus rien ! Il fallait que je prenne un peu de recul !

Le jour prévu, Mr Le Conte m'avait envoyé une voiture … Il avait prévu de me faire voyager dans le plus grand confort … C'est une très belle limousine qui m'attendait devant mon appartement. J'avais droit à un chauffeur et à un valet de chambre pour m'aider à porter mes bagages et prendre soin de moi pendant le trajet … Quelle délicatesse de sa part, c'est à Charles qu'il avait demandé de m'accompagner …

Charles : Bonjour Mr Djé ! 
Moi : Charles, alors c'est toi qu'on a choisi pour venir me chercher ! Ça me fait vraiment plaisir !
Ch : C'est bien ce que pensait Mr Le Conte. C'est pour cela qu'il voulait que ce soit moi !
M : Ça va toi ?

Charles me regardait droit dans les yeux … 

Ch : Vous m'avez l'air fatigué, Mr Djé !
M : Arrête de dire n'importe quoi, je suis en pleine forme, je vais juste partir en vacances un peu en avance, c'est tout !
Ch : Si vous le dites Mr Djé !
M : Parfaitement ! Bon, tu m'aides à prendre mes bagages ?

Nous descendions à la voiture, Charles rangeait les bagages dans le coffre … Les voisins s'étaient réunis, ce genre de voiture c'est pas vraiment discret mais en voyant que c'était pour moi, tout le monde trouvait ça tout à fait normal !

Je disais au revoir à mes camarades comme on avait pris  l'habitude de le faire depuis quelques temps, en leur faisant une bise sur la joue, pour Lionel aussi. J'embrassais amoureusement Nathalie et je montais dans la voiture. Les vacances ne commençaient que dans une semaine aussi on avait dit à tout le monde que je partais en séminaire. Charles me tenait la portière, il allait la refermer pour monter à l'avant quand je lui demandais de monter avec moi, à l'arrière. La voiture démarrait, je n'avais jamais vu un tel luxe dans un véhicule. Je pouvais m'allonger, et je ne mettais pas longtemps avant de prendre mes aises. Charles me retirais mes chaussures. 

Charles : Vous avez besoin de vous reposer Mr Djé, détendez-vous, je veille sur vous !
M : Charles, tu m'énerves à me dire que j'ai besoin de me reposer, je suis en pleine forme ! Et puis qu'est-ce qui te fait dire que je suis fatigué ?
Charles : Vous ne m'avez pas encore demandé de ne pas vous appeler '' Monsieur '' ! … Mr Djé !

Il avait raison !

Moi : Tu as raison Charles, tu as raison … Je crois que je vais me reposer !
Charles : Ne vous préoccupez plus de rien, je veille sur vous Mr Djé !

Je fermais les yeux, faisais un large sourire satisfait … 

Moi : Au fait Charles, arrête de m'appeler Mr, tu seras mignon !

J'ouvrais les yeux et je voyais son large sourire … Ces voitures sont vraiment merveilleuses, je ne tardais pas à m'endormir et Charles alors, et bien Charles il faisait ce qu'il m'avait promis de faire, il veillait sur moi !

Je ne sais pas combien de temps je dormais, quand je me réveillais les rideaux étaient fermés et l'intérieure de la voiture baignait dans une douce pénombre … Charles avait délicatement déposé une couverture sur moi, il lisait et régulièrement jetait un regard dans ma direction. Il ne tardait pas à remarquer que je m'étais réveillé, il me souriait .

Ch : Vous avez besoin de quelque chose Djé ?
M : Pourquoi nous sommes nous arrêté ? Ou sommes nous ?
Ch : Nous ne nous sommes pas arrêté ! Nous sommes sur l'autoroute !

Je jetais un œil par la fenêtre, en effet, on était sur l'autoroute, on roulait bien même, mais ces voitures sont vraiment fantastiques, je ne ressentais pas le contact avec la route … C'était le pied !

Charles m'avait préparé une boisson rafraîchissante, je l'avalais d'un trait ! 

Charles : Vous voulez quelques chose de particulier Djé ?
Moi : Charles ne me dit pas que tu as emmené des …  ?
Charles : Voyons Djé, Vous devriez commencer à me connaître … 

Il ouvrait devant moi une petite valise de voyage qui contenait … Je me demande si c'est nécessaire de le préciser … 

Charles : Ce n'est qu'une valise d'urgence ! Ou encore ceci, je ne sais pas ce que vous avez fait à Mr Le Conte … 

Il me donnait une petite boite de cinq centimètres de coté … Je l'ouvrais, à l'intérieure il y avait une clé …

Moi : C'est ?
Charles : C'est !

Charles : Ça fait combien de temps Djé ?
Moi : Presque neuf mois !
Charles : Vous me permettez !

Sans attendre la réponse, il prenait la clé , ouvrait ma braguette, baissait mon pantalon, je n'avais pas de sous vêtements …

Charles : Je vois que Monsieur aime voyager léger !

Il me faisait rire ! Il ouvrait le dispositif et me le retirait avec beaucoup de délicatesse, il ne se produisait aucune réaction … Il passait sa langue sur mon gland … La sensation était d'une grande intensité et d'une grande douceur … Mon pénis rapidement reprenait des couleurs … Charles prenait mon pénis dans la bouche, en entier … J'avais l'impression qu'il était plus petit … 

C'est sans difficultés qu'il entrait totalement dans sa bouche … Mais rapidement il retrouvait un volume qu'il n'avait plus occupé depuis neuf mois … J'avais l'impression qu'il allait exploser … Il devenait trop gros … J'avais l'impression qu'il était plus gros  ! … 

Je ressentais une forte et agréable pression dans ma queue … Charles savait donner de la langue … Il la faisait glisser autour de mon gland … C'était doux, c'était chaud, c'était humide … 

Charles vivait peut être dans un monde ou les hommes étaient tous sous clé mais il devait certainement en sortir régulièrement, il y avait de l'expertise dans ce qu'il me faisait, il y avait forcément de l'entraînement !

Je ne tardais pas à juter dans sa bouche … En fait la sensation de plaisir montait très vite, je ne contrôlais plus rien, j'étais submergé par une explosion de plaisir … C'était bon, pendant un instant, c'était très bon !

Il s'allongeait à coté de moi … On s'embrassait … Je me relevais et lui retirais ses vêtements un par un … en rigolant, il en faisait de même … On se retrouvait nu on se caressait, rapidement je bandais de nouveau … On se faisait un gros câlin …

Moi : C'est Mr Le Conte qui t'a dit de me faire ça ?
Charles : Il m'a seulement dit de te remettre les clés au meilleur moment … Pour le reste, c'est moi qui décide ! J'avais pas envie d'attendre !
Moi : Tu sais Charles !
Charles : Oui ? 
Moi : J'aime quant du me dis tu, j'aime beaucoup ces moments avec toi !
Charles : Moi aussi, j'aime ces moments ! Tu sais, en ce moment je ne suis pas ton valet de chambre, je suis ton amant ! Mais quand je suis ton valet de chambre, s'il te plaît, laisse moi te dire '' Monsieur Djé '' … Tu seras mignon !

Je riais de bon cœur à cette boutade, je le prenais dans mes bras, je le caressais, on s'embrassait …  Une réaction naturelle ne tardait pas à se manifester … Je bandais encore … Ça ne lui faisait pas peur, il redoublait de tendresse, de caresses, de baisers … Nos mains, nos bras parcouraient l'anatomie de notre compagnon dans les moindres détails, dans les moindres recoins, y compris les plus intimes … Surtout les plus intimes ! Nos langues se caressaient avec une chaude et humide puissance, avec une grande douceur ! Nos langues passaient partout ou nos mains, ou nos bras étaient passés plus tôt, partout ou nos mains avaient caressé le corps de notre amant, y compris les recoins les plus intimes, surtout les recoins les plus intimes …

Je lui embrassais le dos, ma langue parcourait sa colonne vertébrales de haut en bas, s'attardait un long moment sur le '' bas '' puis remontait jusqu'à la racine des cheveux … Mon pénis heurtait  son anus mais ne semblait pas vouloir s'arrêter là … Je forçais … Il m'ouvrait le passage … Je sentais ce petit muscle circulaire se détendre et me caresser le gland au fur et à mesure qu'il me laissait le passage … Je sentais son anus me recevoir avec douceur, avec force, il se contractait, il se détendait … Le bas de mon ventre frappait ses fesses … 

J'étais aux anges, son corps était chaud, je le sentais vibrer … Il était allongé sur le ventre, j'étais allongé sur lui … Je me retirais, je revenais … Je me frottais contre lui … A chacun de mes mouvements je sentais mon pénis en lui, je sentais sa plus profonde intimité, il se contractais, il gémissait … Mon dieu, c'était bon … Il retournait sa tête on s'embrassait … Je jouissais, j'éjaculais de nouveau … Cet éclair de plaisir, cet instant de plaisir intense, un instant ! Je restais un long moment mon pénis toujours enfoncé dans son anus, toujours en érection … Je continuais à lui donner des baisers sur le dos, les épaules, le cou … Il réagissait à chacun de mes contacts !

Peu à peu je débandais … Je me retirais … Il se retournait et me faisait face … J'étais penché sur lui … Il me souriait … Je bandais à nouveau … Sans rien demander, je lui relevais les jambes, je posais ses chevilles au niveau de mes épaules, m'appuyais sur lui et le pénétrais … J'avais été en manque, et j'étais en train de combler ce manque … Il me regardais dans les yeux, il était beau, je sentais ma queue le remplir, il soupirais, il respirait plus fort et encore plus fort, je m'enfonçais en terminant par un violent coup de rein, il se crispait, grimaçait …

Je continuais en lui limant le cul, ma tête me tournait, j'étais dans un rêve, ses yeux, sa bouche, son sourire … Il se cramponnait à mes poignets … Il poussait des râles de plaisir … Suivaient des contractions  de tout son corps, de son anus … Il me tenait les poignets plus fort … Son souffle devenait plus fort, irrégulier … Je sentais un liquide qui coulait sur mon ventre, il éjaculait, un long filet de sperme coulait de son dispositif … C'était la dernière stimulation qui me manquait pour que je jouisse de nouveau, j'éjaculais dans son cul en hurlant, un instant encore un instant de plaisir, mon corps tremblait, je me laissais tomber sur lui, je le prenais dans mes bras, on se serrait l'un contre l'autre, on s'embrassait, on se câlinait, on se touchait, on … On ne faisait plus rien, on ne bougeait plus …

Plus tard, beaucoup plus tard !

Charles se relevait …

Charles : Nous n'allons plus tarder à arriver !
Moi : Déjà !
Charles : Presque neuf heures de route !
Moi : Déjà !
Charles : Il faut se rhabiller, qu'on soit un peu présentable … Mr Le Conte t'accorde une dérogation, mais si on sort à poil ou débraillé de cette voiture … 

Il me rhabillait, j'essayais d'en faire autant, c'était un jeu, on en faisait trop, on était maladroit … A ce moment précis, ce n'était pas mon valet de chambre qui me rhabillait, c'était un amant avec lequel je venais de passer un moment d'extase ! A cet instant il était maladroit, ce n'était pas dans ses habitudes mais j'aimais ça !

Charles : Je crois que nous sommes présentables !
Moi : Je crois que nous avons oublié quelque chose ! …

Je prenais mon dispositif , il me regardait, je baissais mon pantalon qu'on avait eu tant de mal à ajuster, c'est vrai que je ne portais pas de sous vêtements … Sans hésiter, d'un geste sûr, je me mettais mon dispositif sur moi, le verrouillais et lui donnais les clés …

Moi : Garde les pour moi !

On restait tranquilles assis, on échangeait des regards, on avait tout les deux un petit sourire ravis et complice ! Charles avait ouvert les rideaux, on arrivait, la voiture passait l'entrée, pas celle que j'avais rempruntée lors des groupes de vacances, il y en avait une autre entrée … Le portail s'ouvrait tout seul et aucun garde ne venait rien contrôler, on nous laissait passer … 

La voiture s'arrêtait devant le château, Charles me regardait … '' On y va Djé ? ''   … Il ouvrait la portière, sortait, et me tenait la portière . 

Moi : Il y a les bagages !
Charles : Mr Djé, je crois que c'est là mon travail ! Mr Le Conte doit vous attendre … ( il me faisait un clin d’œil avec un petit sourire complice ), je m'occupe de tout Mr Djé ! 

J'avais envie de l'embrasser !



Ep 21 : UN SEMINAIRE 



Je montais les marche du château quatre par quatre, Jean François m'attendait avec un large sourire, il me prenait dans ses bras pour me donner l’accolade .

JF : Je suis très heureux de te revoir. Ça va toi ?

On échangeait quelques politesses, et il me conduisait au bureau de Mr Le Conte … Les consignes étaient claires, il voulait me voir dès mon arrivée, il avait rajouté … '' N’hésitez pas à me déranger dès qu'il sera là ! ''. Il me recevait avec un large sourire !

Mr Le Conte : Ça va mon garçon, je commençais à m'inquiéter pour vous ! 
Moi : Ça va, ça va très bien même !
MLC : Ce n'est pas ce qu'on m'a dit ! Greg était inquiet ! 

La discussion continuait un long moment, en fait il avait raison … Lui et Greg s'était inquiété, j'étais en train de craquer, et à ce rythme ça pouvait terminer en dépression nerveuse … Je me sentais bien maintenant que j'étais là … Il me rassurait et me disait que tout était prévu pour me garantir un excellent séjour, on allait prendre soin de moi … Il avait toujours été très courtois mais là il était chaleureux …

Il m'invitait à lever le pied, comme il disait ! Il me proposait un programme de remise en forme, grasse matinée jusqu'à huit heures si je voulais et plus si nécessaire, du sport pour garder la forme, on oublie les records et la compétition, et cours de rattrapage, là encore juste pour ne pas perdre de niveau, juste pour ne pas prendre de retard … Il avait trouvé un professeur rien que pour moi, un professeur qui adapterait l'emploi du temps juste pour moi ! 

Il avait pris contact avec ma famille et mes proches pourraient avoir de mes nouvelles et me contacter à tout moment du jour et de la nuit ! Je n'avais plus qu'à me laisser aller. Je retrouvais Charles dans ma chambre, on m'avait donné une autre chambre que l'été dernier, plus petite mais cette fois j'étais seul … Il terminait de me préparer un petit nid douillet … 

Charles : On a le temps de se détendre avant le repas, tout est prêt … S'il te plaît Djé, enlève tes vêtements .
Moi : Charles ! Après le voyage que nous avons eut !
Charles : ( en rigolant ) Mais tu penses qu'à ça ! Allons, enlève tes vêtements … 

Je me déshabillais, il m'entraînait dans la salle de bain. La chambre était plus petite mais la salle de bain était plus grande, une douche ET une baignoire ( et une grande ) … Il avait fait couler un bain, je m'installais … Il me demandais si je voulais enlever mon truc … Je choisissais de le garder, c'est alors que sans prévenir il mettait en marche la machinerie … C'était une baignoire avec bain bouillonnant !!! C'était le pied ! Absolument divin !  

Charles : Je te laisse un moment, je t'ai préparé un jus de fruit, si tu as besoin de quelques chose, tu cris, il y a un détecteur de bruit, et j'accours ! 
Moi : Et le souper …
Charles : Je m'occupe de tout ! Toi tu te détends ! Et ne m'oblige pas à utiliser la force !

Il me faisait rire !

Moi : Je voudrais bien voir ça, comment tu penses faire pour m'obliger à me détendre de force ?
Charles : Arrête donc de dire des bêtises et détend toi !

En sortant il mettait un peu de musique douce, je me laissais aller, je somnolais …

… 

Je sentais une caresse douce et forte à la fois sur mes épaules, je me réveillais, c'était Charles qui était revenu et qui avait choisi une méthode douce pour me réveiller … Il est vraiment adorable ce garçon !

Charles : J'ai envie de te faire un massage, tu me fait confiance ?
Moi : Ok, je te laisse tripoter mon corps … 

Il me séchait, je m'allongeais sur une table prévue pour cela qui était dans la salle de bain et je m'abandonnais totalement à ses mains … Ses mains je connaissais leur douceur et j'aimais leur contact mais là … Il se surpassait, je ne m'attendais pas à ça ! Rien de sexuel, ça change un peu, mais c'était absolument merveilleux ! Il ne disait rien, pour ne pas me distraire du plaisir qu'il me donnait … Quand il terminait j'avais l'impression que chaque muscle de mon corps était détendu, je me sentais tout mou, tout doux, infiniment bien !

Moi : Tu as appris à faire ça ou !
Charles : Ça fait partie de la formation d'un bon valet de chambre ! Tu as aimé ?
Moi : C'était divin !
Charles : Allez, on s'habille, c'est l'heure de souper, ils vont t'attendre …
Moi : On est en retard ?
Charles : Non mais, tu sais que tu m'épates là, j'ai reçu des consignes précises et on m'a dit … '' Si il est en retard on n'en fera pas un drame, ça peut arriver ! '' ! Je n'ai jamais entendu Mr Le Conte dire ça avant ! Tu lui as fait quoi ? Vas y raconte, tu sais que tu peux tout me dire !
Moi : Je te jure que j'ai rien fait !
Charles : Je sais, je connais toute ton histoire … Mais on peut dire qu'il t'a à la bonne notre big boss !

C'est propre comme un sous neuf, en costume, beau comme un pape que je descendais vers la salle à manger … J'étais vraiment heureux de me retrouver là, je connaissais bien les lieux et je m'y sentais à mon aise … Même le costume pour le souper me paraissait normal pour ne pas dire indispensable … Jean François m'attendait en bas des escaliers ainsi que Nathan, celui là je ne l'avais pas revu depuis les vacances sportives à la montagne …

JF : Tu connais Nathan ?

On se serrait la main !

Moi : Nous nous sommes rencontré lors du premier groupe de sport !
Nathan : On avait passé de bons moments ! 

On en était encore à se remémorer nos souvenirs de vacances au moment ou on nous invitait à prendre place dans la salle à manger … On m'avait placé entre Jean François et Nathan et on continuait la discussion en toute décontraction ! Mr Le Conte était charmant comme à son habitude, mais je trouvais qu'il était peut être plus chaleureux avec moi …

Dehors, c'était l'hiver, il ne faisait pas trop froid, la soirée se terminait, Nathan et moi, devant un feu de cheminée à discuter en dégustant un thé chinois absolument succulent !

Avant de nous quitter, Nathan me demandait s'il pourrait me voir le lendemain, à l'heure qui me conviendrait … On prenait rendez-vous … Je commençait à comprendre, il me faisait parler, c'était lui le psy … Pendant tout le reste de mon séjour, j'ai discuté avec lui plus d'une heure par jour … Au début, je ne voulais pas parler puis, j'ai commencé à me livrer, a la fin je n’hésitais plus à me confier totalement, il sait faire parler les gens, il sait les écouter, il sait leur dire les mots qu'ils ont besoin d'entendre ! Je pense que, aujourd'hui, Nathan est certainement la personne qui me connaît le mieux !

Le lendemain matin, Charles arrivait dans ma chambre vers six heures et demis du matin, il était en tenue de sport, il entrait sans faire de bruit, j'étais à la fenêtre je regardais le parc, il faisait nuit mais la lune lui donnait un éclairage féerique … Il jetais un regard sur le lit et le voyant vide il regardait autour de lui et se dirigeait vers la salle de bain … 

Charles : Djé ! Mince il est pas là, il est ou ?
Moi : Je suis là !
Charles : Tu m'as fait peur, je ne te retrouvais pas !
Moi : Il est tôt, tu ne devais pas me réveiller plus tard ?
Charles : Si mais, je me suis dit que comme tu avais l'habitude de te lever très tôt … Tu es réveillé depuis longtemps ?
Moi : Vers six heures !
Charles : Tu as bien dormi ?
Moi : Tu n'est plus mon valet de chambre , là tu es ma nounou !
Charles : Je veille sur toi !
Moi : Tu ne voulais pas me surprendre nuitamment ?
Charles : Et m'en prendre à virginité !
Moi : Et me faire subir les derniers outrages ?
Charles : Le déshonneur !
Moi : Un viol sauvage contre ma volonté ?
Charles : Mais c'est une idée ça !

On s'était rapproché à chaque phrase, on se touchait presque à la dernière, en réponse je l'embrassait sur la bouche, il m'attrapait, me soulevait et me jetais sur le lit … 

Charles : Je vais te faire subir les derniers outrages, ceux qui déshonorent une femme !
Moi : Ça tombe bien, je suis un mec !
Charles : Tu as regardé dans le tiroir du bas, là, l'armoire ?
Moi : Non !

Je me levais pour aller voir … 

Moi : Charles ! Je te reconnais bien là !

Il y avait une demie douzaine de gode et quelques plugs, une ceinture …

Charles était allongé sur mon lit, il me regardait en rigolant ! Je prenais la ceinture, un gode et je me jetais sur lui … 

Moi : Je veux que tu me prenne tout de suite ! 
Charles : Tu veux, tu veux, et si moi je veux pas !
Moi : Je sais que tu veux aussi !
Charles : Et comment tu sais ça toi ?
Moi : Sinon, tu ne serais pas entré comme ça dans ma chambre avec le but évident de me faire subit les derniers outrages !
Charles : Tu as raison, je vais me lâcher, tu vas voir ce que tu vas voir …

Il me retournait rapidement sur le dos, il arrachait ses vêtements et les jetais au sol, me retirait sans ménagement mon pyjama …

Moi : Ne me faites pas de mal, c'est promis, à l'avenir je dormirai à poil !

Nous étions à poil, il me chevauchait, il tenait mes mains au dessus de ma tête, se penchait sur moi et me donnait des baisers sur tout le visage … Je me laissais faire … Il lâchais mes mains et me caressait le torse … Je gardais les bras en croix … Il m'embrassais dans le coup … Je sentais ses baisers qui descendaient vers mes tétons … Je sentais ses dents qui me mordillaient les tétons … Ses mains me caressaient le ventre passaient du nombril aux reins en me soulevant du lit puis recommençaient … Ses caresses descendaient vers les fesses, les cuisses puis ses mains se faufilaient vers mes fesses me soulevant là encore … Il passait mes jambes par dessus ses épaules … Il me soulevait les fesses des deux mains et brusquement … Je sentais ses deux pouces me pénétrer l'anus … Je sursautais et poussais un petit cri de plaisir … Il y introduisait ensuite son index et son majeur et me massait l'anus … Il enfonçait deux doigts bien à fond et me massait maintenant la prostate … Je gémissais de plaisir … Puis c'est le gode qu'il enfonçait, doucement mais sûrement, bien a fond, il jouait avec, le ressortait, le rentrait, il s'était accroché la ceinture, il se penchait alors sur moi, fixait le gode qu'il m'avait bien enfoncé dans mon cul à la ceinture et commençait à bouger son bassin d'avant en arrière … Je gueulais … C'était bon, je me cambrais … Je Râlais ''… Non … Arrête …'' Il savait ne pas m'écouter ! Et ne se calmais que quand il voyais un filet de sperme couler doucement de ma cage … Ce matin là encore j'étais à l'étroit la dedans mais je n'avais pas envie de la retirer … Sans j'aurais joui pendant une minute, avec je venais de jouir pendant près de trois quart d'heure ! 

C'est vrai que c'est addictif ce truc, hier j'avais vraiment apprécié, mais pas tous les jours … Non pas pas tous les jours, de temps en temps, seulement de temps en temps ! En ce moment j'avais la possibilité de la retirer quand je voulais, jusqu'à quand ? On verra bien !

Je remarquais que Charles portait une clé accrochée autour de son coup ! 

Moi : C'est ?
Charles : Oui, c'est ! Tu la veux ?
Moi : Non ! Par pour le moment !
Charles : C'est quand tu veux !


Moi : Dis moi Charles, ça va être comme ça tous les matins ?
Charles : Tu crois que tu tiendrais le coup ?
Moi : Non !
Charles : De temps en temps !
Moi : Oué, là c'est d'accord !
Charles : Bon, on se lève, on prend un petit déjeuner et on fait un peu de sport, histoire de garder la forme … Moi, je suis chaud, j'ai déjà fait une séance de presque une heure avant de passer te voir ! 

On descendait et comme prévu, petit déjeuner puis sport. On se couvrait bien, dehors il faisait froid mais bien couverts c'était agréable et revigorant. Je me sentais vraiment bien ! La pression avait déjà disparue ! Si Mr Le Conte me l'avait proposé à ce moment, je serais resté au château pour toujours !

Plus tard, je passais un long moment à la piscine, comme je portais mon dispositif il n'y avait pas de problème … On attendait de moi que je le porte si je devais retirer mes vêtements, comme c'est le cas le plus souvent quand on va à la piscine ! Dans ma chambre ou habillé, je pouvais faire comme je voulais ! Finalement je ne l'ai pas retirer, le problème, mon problème, c'était pas ça !

Je retrouvais plusieurs habitants du château que j'avais déjà rencontré, c’était une occasion de prendre des nouvelles et de me faire de nouveaux amis … C'est à la piscine que me retrouvais Daniel, un homme dans la quarantaine, je ne le connaissait pas celui là, il arrivait en compagnie de Charles qui nous présentait.

Charles : Mr Djé, je me doutais que je vous trouverais ici ! Je vous présente Daniel il désire vous parler … Je vous laisse faire connaissance … Mr Djé, si vous avez besoin de quelque chose …
Moi : Merci Charles ! Tout va bien !
Daniel : Bonjour Djé, je serais si tu veux bien, ton professeur particulier !
Moi : Je suis gâté, Jean François supervise mon entraînement sportif avec Charles un valet de chambre personnel, un psy qui prend soin de mon moral et maintenant un professeur particulier, mais il ne fallait pas, non il ne fallait pas ! ( d'un air désabusé tout en rigolant ) … C'est trop, c'est trop !   
Daniel : Nathan souhaite de garder ici un mois, tu devrais donc louper deux semaines de cours … Il m'a dit d'y aller doucement, j'ai vu tes notes, elles sont plus qu’excellentes … En gros pour résumer on a quatre semaines de temps pour te faire suivre deux semaines de cours … On peut y aller doucement, c'est très réaliste ! 
Moi : Ça marche, on fait comme ça !

Les quatre semaines qui devaient suivre se passaient dans une grande douceur, je ne m'étais jamais autant détendu, autant reposé ! Mon moral remontait un peu plus chaque jour. Tout doucement, sans même m'en rendre compte, je reprenais un rythme intensif dans mon entraînement sportif … Charles et Jean François se chargeaient de me freiner, en douceur … Nathan veillait et c'est lui qui dirigeait le programme. Se consignes étaient claires, il les avait reçues de Mr Le Conte, '' Ne penser qu'à une chose : mon bien être '' 

Un dimanche matin, peu avant mon retour ! Charles avait passé la nuit avec moi, nous étions allongé l'un à coté de l'autre sous la couette, dehors il neigeait. C'est très rare et le parc entièrement blanc était particulièrement beau …

Charles : Mr Le Conte m'a demandé si je voulais bien t'accompagner !
Moi : M'accompagner ?
Charles : Oui, pour prendre soin de toi !
Moi : Mr Le Conte m'offre les services d'un valet de chambre !?
Charles : Il m'a choisi car il sait que je t'aime beaucoup et que c'est réciproque !
Moi : J'ai rien contre, mais je ne comprend pas vraiment …
Charles : Il va t'en parler, je voulais seulement savoir si l'idée ne te rebute pas !
Moi : Au contraire ! Mais tu feras quoi ? Tu habiteras ou ?
Charles : Avec toi, dans l'appartement !
Moi : Mais il y a quatre chambres et elles sont toutes occupées ! Mr Le Conte n'a tout de même pas prévu que … Non ce n'est pas son genre !

Charles éclatait de rire …

Charles : Non mais l'appartement aussi, il va t'en parler …

Le lundi suivant Mr Le Conte me demandait de passer à son bureau pour me parler … 

On parlait longuement, en fait, au moment ou je suis arrivé j'étais réellement en train de faire une dépression … Il avait décidé de reprendre les choses en main … 

MLC : J'ai beaucoup réfléchi. Ce n'était peut être pas une bonne idée de vous loger avec trois colocataires non porteurs … Ça c'est bien passé mais la pression est trop forte … Je voudrais vous proposer un autre appartement avec moins de colocataires ou même aucun, avec toutefois suffisamment de place pour que vous  puissiez recevoir des amis …
Moi : Sans colocataires, je veux bien mais ce sera au dessus de mes moyens !
MLC : Nous n'aborderons jamais ce genre de détails entre nous désormais. Je vous ais un peu placé dans une situation qui aurait pu vous conduire à une dépression nerveuse et si vous voulez bien je vais veiller à ce que vous alliez bien, au moins jusqu'à la fin de vos études … J'ai un appartement qui correspond parfaitement à ces nouveaux critères dans l'immeuble en face de celui que vous occupez. Trois chambres, trois salles de bain, une très grande terrasse sans vis à vis. Il est à vous, s'il vous convient. Vous me donnerez votre réponse après l'avoir visité !
Moi : Mais ! Euh ! 
MLC : Bien je vois que cela vous intéresse ! Je pensais également vous confier aux bons soins de Charles … Je sais que vous vous entendez très bien. Je sais aussi que quand vous êtes seuls il vous tutoies et vous appelle par votre prénom !
Mois : Oué ! Eu pardon ! Je voulais dire oui, je l'aime beaucoup !
MLC : Si vous n'y voyez pas d'objection, j'aimerais que Nathan passe vous voir de temps en temps !
Moi : Bien sûr. Oui, je l'aime beaucoup aussi !
MLC : Mon neveux Greg habite l'appartement du dessous, le choix de l'appartement vient de lui … Il pourra aussi garder un œil sur vous, il m'a dit que vous vous entendez très bien ! 
Moi : Oui c'est sûr, j'aime beaucoup Greg également !
MLC : Je vois que vous aimez bien tout le monde … Je suis très sérieux, je vous ai entraîné dans une aventure qui aurait pu vous faire beaucoup de mal, aussi je souhaite veiller à ce que tout se passe bien maintenant !

J'acceptais ses propositions, un peu sonné, c'était généreux, un grand appartement pour moi tout seul avec un valet de chambre … On croit rêver!

On m’apprenait qu'une compétition inter-universitaire était organisée et commençait le jour même de mon retour. J'insistais pour pouvoir y participer … J'étais en pleine forme, et je ne voulais pas rater ça ! Pour rien au monde !

Nathan, Jean François, tout le monde était d'accord … on organiserait donc mon départ l'après midi la veille, pour que je voyage reposé on me promettait une voiture confortable. Charles me rappelait même que j'avais déjà goûté à ce confort …

Mais le jour du départ, au dernier moment, la limousine n'était pas disponible. C'était la cata ! Deux chauffeurs, Charles et moi attendions dans le hall ! Mr Le Conte décidait de me laisser sa voiture personnelle .

Moi : Dommage, j'avais bien aimé la limousine moi !
Un chauffeur : Vous savez, Mr Le Conte possède d'autres voitures … 
Charles : Si c'est sa voiture personnelle, ça devrait être supportable … Tu vas voir Djé, elle n'est pas mal non plus !

Les deux chauffeurs rigolaient en l'entendant ! Nous étions donc quatre à attendre la voiture dans le hall d'entrée, il faisait froid, dehors la neige avait tombé toute la journée … 

Une voiture arrivait !

Un chauffeur : Je crois que c'est pour nous ! Oui, c'est la voiture personnelle de Mr Le Conte !
Charles : Bien ! Tu vas voir Djé, elle est bien aussi celle là, ça devrait aller !

Quand je voyais la voiture, je restais bouche bée !

C'était bien la voiture personnelle de Mr Le Conte … Une Rolls !



Ep 22 : LA CRISE



Deux chauffeurs pour pouvoir faire le trajet d'un trait, on ne ferait pas de pause ( sauf urgence ) … On arrivait dans l'après midi … On passait en premier voir le nouvel appartement, je croyais rêver, comment refuser un cadeau pareil … Charles avait déjà choisi sa chambre, après m'avoir proposé la meilleur bien sûr. Les deux chauffeurs prévoyaient de s'installer dans la troisième, ils prévoyaient de ne repartir que le lendemain matin … Greg n'était pas chez lui … Il avait quitté le Château deux  jours plus tôt.

C'est donc finalement en Rolls Royce qu'on arrivait un peu plus tard au restaurant ! Je m'attendais à un accueil bruyant et jovial, au lieu de cela … Le serveur du restaurant …

Luis : Mais qu'est ce que tu fous là Djé … Tout le monde est catastrophé … Toute l'équipe … Ils ont essayé de te joindre … On savait que tu devais arriver aujourd'hui et tous, ils te cherchent partout !

La compétition de demain, pas de problème ils étaient stressés ! Ce n'est qu'une compétition inter universitaire, franchement ils paniquent vraiment pour pas grand chose !

Moi : Écoutes, Luis, je viens de faire un voyage épuisant dans un véhicule particulièrement peu confortable, aussi, mes deux chauffeurs, mon valet de chambre et moi aimerions nous restaurer ! 
Luis : Tu roules en Rolls toi maintenant ? ( l'air un peu dégoutté )
Moi : Je roule avec ce que je trouve ! Bon, ils paniquent un peu avant la compétition c'est pas si grave !
Luis : Non ça semblait plus grave ! … Tu as dit deux chauffeurs ?… 
Un des chauffeurs : Diplômés ... chauffeurs de Rolls … par la société Rolls Royce …
Luis : Un valet de chambre ? ! … Bon j'essaye plus de comprendre moi ! Si vous voulez bien me suivre, ta table est libre …

Je regardais mon téléphone, il était débranché, il y avait plus de deux cent messages, et tous d'aujourd'hui ! Je me disais qu'on verra ça demain . On mangeait de bon appétit, ce restaurant est super ! Au moment du dessert plus d'une quinzaine de mes coéquipiers débarquaient à grand fracas … 

Charles : Je comprends si tu étais un peu fatigué avec cette bande de fous, ils sont agités tout de même … et bruyants !

Julien : Djé, on a appris que tu étais sur la route, on te cherche partout, c'est une catastrophe … Tu ne peux pas imaginer … Greg est totalement affolé, il m'a dit qu'il n'osait même pas appeler son oncle … Ça veut dire quoi ?

A ces mots tout le monde à ma table se redressait, la situation devait être grave ! Tous les compagnons de Julien étaient au téléphone … Je soupirais et terminait mon café tranquillement !

Alexandre : Je viens d'avoir des nouvelles, il faut se rendre immédiatement à la salle de gym !
Joël : Tu viens Djé, on est en voiture, ils te diront tout là bas, moi je peux pas !
Moi : Mais quoi, il y a un mort ou quoi ? ( je commençais à m'inquiéter )
Julien : Non, non personne n'est mort, mais … ( se retournant vers Charles ) … Il est pas malade ? il va bien ?
Charles : Oui il va très bien, non il n'est pas malade !

Son téléphone sonnait … Charles répondait …

Charles : Bonsoir Mr Le Conte … Oui nous sommes bien rentrés … Non , personne … Mon dieu ! … Oui, oui, bien sûr … Tout de suite Mr Le Conte … ( il raccrochait ) … Djé, il faut y aller !
Alexandre : J'ai une place dans la voiture, tu viens …
Moi : Ça va, j'ai ma voiture ! Julien, tu viens avec moi, je veux que tu m'expliques … 

On quittait la table et j'avais l'impression que leur mâchoires allaient se décrocher quand il m'ont vu monter dans la Rolls … Pendant le trajet Julien me racontait, Charles aussi, il venait d'être mis au courant par le big boss … 

Un ami qui travaillait dans le journal local avait lu un article qui devait être publié le lendemain, il en avait fait une copie, voilà, entre autre, ce qu'on pourrait y lire.

'' Nous apprenons avec certitude que le champion, le célèbre étudiant connu sous les surnom de Djé ne participera pas à la compétition … Le moral de l'équipe est au plus bas … Djé est actuellement dans un état lamentable … On nous a parlé de dopage, ce qui serait la meilleure explication pour justifier un tel succès sportif … L'abus régulier des ces drogues n'a pas eut d'effets que sur son corps, ils est dans un état de dépression nerveuse grave, certaines sources très sérieuse nous affirment même que son état pourrait s'avérer encore plus grave, on nous parle de délire obsessionnel … En d'autres mots, notre ami Djé est fou à lier ! ''

J'entrais dans la salle de gym, brusquement il n'y avait plus un bruit, on me regardait comme si j'étais un fantôme … Greg, le coach, le directeur de l'école étaient là !

Je me plaçais au milieu de la salle, au centre du groupe !

Moi : On vient de me raconter un peu ce qui se passe … D'abord je tiens à vous dire que je vais très bien, je ne souffre d'aucune dépression, je ne me drogue pas et je ne  me dope pas d'avantage. Vous me connaissez tous, vous m'avez tous vu à l'entraînement et vous savez tous d’où vient ma réussite … De mon travail … ! Depuis un mois je me suis mis au vert, tout simplement, je n'ai pas laissé tomber mon entraînement et je suis au top ! Demain, nous allons participer à un tournois sportif, je ne sais pas qui manipule l'information pour nous nuire, nous éclaircirons ce point plus tard ! Mais demain nous allons gagner ! 

Tout le monde m’applaudissait ! Mes amis me faisaient confiance ! On se détendait et on partageait le plaisir de se revoir. Greg me proposait de me déménager le soir même dans le nouvel appartement pour être plus tranquille . Charles s'en chargerait avec les chauffeurs !

Antoine : Quoi ? Djé, Julien me dit que tu roules en Rolls maintenant toi?
Moi : Même que j'ai deux chauffeurs ! Je te raconterai … 

On ne tardait pas trop, demain, compétition … Au moment ou on sortait, la Rolls revenait, ils avaient terminé de déménager mes affaires … La voiture s'arrêtait, un des chauffeurs en descendait et m'ouvrait la portière, en fait la portière s'ouvre toute seule mais le chauffeur est présent à coté pour m'aider à monter, ça fait classe, je vous dis pas ! … Je crois que je n'oublierai jamais la tête qu'ils on fait tous … Même Greg !

Greg : Tu en as de la chance, il me l'a jamais prêté à moi !

Greg montait également il n'était pas venu en voiture aussi il en profitait. Pour lui, c'était pas la première fois qu'il montait dans cette voiture, mais son oncle ne la lui avait jamais prêté … Arrivé à l'appart … Il me demandait de débrancher mon téléphone pour que personne ne me dérange, les journalistes peuvent être terribles ! Il me disait qu'il fermerait l'accès de l'immeuble et que personne ne viendrait me déranger …

A l'appart, un des chauffeur me demandait s'ils pouvaient utiliser le bain bouillonnant ? Je lui répondais que oui, bien sûr … 

Charles : Bain bouillonnant, on y va aussi ?
Moi : Oh oui, c'est une idée ça !
Charles : Bien, il n'y en a qu'un, c'est dans ta chambre !

J'éclatais de rire, c'était pour ça qu'il m'avait demandé l'autorisation ! On se retrouvait à quatre dans la baignoire, elle est de très belle taille. Rapidement je remarquai que les deux chauffeurs ne portaient pas ce dispositif que tous les employés sont sensés  porter ! L'un d'entre eux m'expliquait.

… On était en congé et on nous a demandé de revenir au dernier moment … 

Charles s'approchait d'un des chauffeurs alors que l'autre s'approchait de moi, rapidement ils bandaient … Il me caressait la cuisse ... je luis caressait la queue … l'autre chauffeur s'était assis sur le rebord de la baignoire et Charles lui faisait une pipe … Je faisais signe à mon partenaire d'en faire autant … je le suçais goulûment … ils appréciait … On s'allongeait sur un tapis de sol très confortable … mon partenaire était très tendre, très doux, très câlin et j'adore ça … Doucement sans me brusquer il me retournait sur le ventre, écartait mes jambes en prenant le temps de bien me caresser les cuisses … Il remontait ses mains vers mes fesses … Me caressait les reins … Les fesses … Puis, un doigt … Un doigt qu'il m'enfonçait et qu'il agitait rapidement … Ma prostate commençait déjà à frétiller … Je gémissait de plaisir … Puis deux doigts qu'il agitait séparément, puis ensemble massant simultanément les deux cotés de ma prostate … Mon corps se crispait se contractait … Je sentais cette sensation profonde qui me remplissait l'intestin … une chaleur qui me remontait et remplissait tout mon ventre … Ensuite je sentais sa queue qui poussait contre mon anus, c'était plus gros, beaucoup plus gros, plus long, bien plus long … Je le laissait passer en laissant mon anus se décontracter … il me remplissait … A chacun de ses mouvements mes sensations devenaient plus fortes … Il était costaud, il pesait lourd … J'aimais sentir son corps qui m'écrasait avec sa queue plantée jusqu'au fond de mon cul … Je sentais un plaisir monter, puis monter encore, je gémissait, je pleurais et je gueulais …

Je jouissais, pas seulement pendant un instant … Je jouissais, mon ventre était en feu et je jouissais … je jouissais depuis un moment  quand il se lâchait en moi … Je jouissais quand il se retirait … Quand je me retournais sur le dos la sensation ne diminuait pas  dans ma cage  … Et là je jouissais, je veux dire que là, j'éjaculais … et c'était bon … J'avais le souffle coupé, je ne bougeais  plus … 

Il me relevait et me jetait sur mon lit ! C'est là que je me réveillais le lendemain matin, mon chauffeur était allongé à coté de moi … Je le regardais dormir longuement, il était beau, pas seulement en costume de chauffeur, là c'est sûr qu'il était beau, mais à poil aussi !

Je me levais, il était encore tôt, dans sa chambre, Charles dormais dans les bras du second chauffeur … Un court instant je me disais … Tout va bien ! J'entendais frapper à la porte. Doucement j'entre ouvrais la porte, c'était Greg … Il avait une salle tête … Je le laissais entrer, j'étais nu mais je ne suis même pas sûr qu'il le remarquait …

Greg : Djé, c'est la cata. Il faudra faire une prise de sang. Il faut que tu sois fort. Tu tiendras le coup. Dis moi que tu tiendras le coup. Ils vont tenter de te démolir. J'ai demandé à Nathan de venir. Il pourra t'aider. Il faut que l'équipe reste soudée. Eux aussi ils vont être testés. L'accusation dopage tu sais. Il y aura la télé. Cette histoire à fait venir la télé. Dans le public tout le monde pense que tu es un tricheur. Moi je sais que c'est pas vrai. On va le prouver. Ne t'inquiète pas. On va le prouver. Et toi comment tu vas. Ça va ? Dis moi, ça va ? Dis moi quelque chose ! … 

Moi : Tu veux un café ?

Il me regardait l'air bête, j'avais même l'impression pendant un instant qu'il n'avait pas compris ma question ! Je me dirigeais vers la cuisine, il me suivait.

Moi : Tu sais Greg, je ne me shoote même pas à l'aspirine alors, le test … C'est quand ils veulent ! Nathan à fait du très bon travail avec moi, ceci dit, ça me fera toujours plaisir de le revoir même si je ne l'ai quitté que depuis hier … A moins que tu ais des nouvelles sur l'équipe, l'équipe elle était soudée et tout à l'heure elle le sera encore plus, ça je m'en charge … Pour le reste ça se passe dans le domaine de la calomnie, l'accusation mensongère et l'intention de nuire … C'est avec des avocats qu'il faudra régler le problème  !

Je lui servais un grand café ! Pendant un long moment Greg restait là immobile, semblant ne pas réagir ! Mon chauffeur sortait de ma chambre entièrement nu et voyant Greg, il semblait comme saisie, embarrassé et devenait tout pâle.

Moi : Alors on se réveille, au fait c'est quoi ton nom ?

David : David… Bonjour Mr Ducran ( d'un ton hésitant et confus ).
Greg : B...jour !
Moi : Installe toi David, tu veux du café ou autre chose je te laisse te servir, tu connais mieux la maison que moi, c'est toi qui a aidé au déménagement …

Suivait Charles et son chauffeur, le second chauffeur réagissait comme le premier qui lui ne se posait plus de question et déambulait à poil dans la cuisine cherchant ce qu'il fallait pour préparer le petit déjeuner …

David : Dis moi louis, la confiture, la brioche, c'est toi qui les a rangé ?
Louis : Dans le placard à ta droite … Bonjour Mr Ducran !
Charles : Mr Ducran !
Greg : B.....r !
Charles : Ça n'a pas l'air d'aller lui !
Moi : A mon avis il n'a pas dormi de la nuit !

On avait le temps, on prenait le petit déjeuner tranquillement. Greg réagissait doucement, il était épuisé, en effet il n'avait pratiquement pas dormi de la nuit et puis, il y avait le stress.

Moi : Greg, il faudrait que je parle à ton oncle !
Greg : Oui, je pense qu'il voudra te parler aussi !  

Je téléphonais au coach, on convenait de n'avertir personne sur ma présence, personne des médias, mais je lui confirmais ma présence pour la compétition ! Je téléphonais à mes parents pour leur dire de ne surtout pas croire les conneries qu'ils pourraient entendre dans les médias ! Le téléphone de Charles sonnait … C'était Mr Le Conte … Ça y est, la journée commençait ! Je contactais aussi le directeur de l'école et prévoyais d'aller le chercher pour qu'on arrive au stade ensemble !

Charles me donnait le téléphone …

MLC : Vous allez bien Djé ?
Moi : J'ai le gnac ! Je vais les bouffer … Je me sens très bien, je voulais vous appeler !
MLC : Bien !
Moi : Vous me croyez quand je vous dis que ce n'est qu'une campagne de calomnie !
MLC : Je n'en ai jamais douté !
Moi : Les médias vont comprendre, ils ne vont pas tarder à savoir qui est '' le fameux Djé ''. Greg m'a dit que des tests anti-dopage sont prévus ?
MLC ! Dans la matinée, ça peut arriver à n'importe quel moment !
Moi : C'est parfait, je les attends ! Pour le reste il s'agit de calomnie et d'intention de nuire. Il ne faut pas laisser passer ça !
MLC : Je suis heureux de vous voir aussi combatif ! Deux avocats seront sur place et je vous envoie  aussi une garde rapprochée …
Moi : Une garde rapprochée ?
MLC : Je vous laisse la surprise !

Charles me proposait d'emmener Greg chez lui, de le doucher, le rendre présentable, je les laissais partir … Les chauffeurs recevaient un message leur demandant de rester sur place à ma disposition aussi longtemps que nécessaire … On était toujours tous à poil … Il y avait beaucoup de tension sauf peut être là ou j'avais l'habitude d'en avoir de la tension, ma cage de chasteté n'était pas sous tension mais vraiment pas et c'était rare le matin ! A  l'intention des chauffeurs …

Moi : Vous êtes deux, ça tombe bien ! Greg a sa voiture mais il n'est pas question de le laisser conduire, un d'entre vous conduira la Rolls, l'autre la Mercedes … On aura peut être d'autres passagers … Et maintenant à la douche, allez vous préparer !

Ils se levaient et rentraient dans ma chambres, c'est vrai que c'est là qu'ils avaient laissé leurs vêtements. On sonnait à la porte ! Je me disais : '' mais c'est la panique ce matin, décidément mon séjours dans mon nouvel appartement commence bien ''. Je décrochais l’interphone … C'était Jean François … Je lui ouvrais ! 

Il arrivait dans l'appartement, la porte sur le palier était restée ouverte, je le voyais, je lui faisais l'accolade, il était suivi de quatre personnages énormes, à coté, lui passait presque pour un nain … Pourtant Jean François … Je leur serrais la main. Ils commençaient à rigoler en me voyant nu …

JF : Ça a l'air d'aller toi, tu es presque habillé, c'est bien !
Moi : C'était un peu la panique ce matin . 
JF : Tu devrais t'habiller un peu ! 

Il rentrait dans ma chambre pour m'apporter un vêtement, en ressortait les mains vides …

JF : Djé, il y a deux hommes nus dans ta chambre.
Moi : Oui je sais, c'est parce qu'il n'y a qu'un seul bain bouillonnant et c'est dans ma chambre !
JF : Je crois que je vais me contenter de cette explication !
Moi : Tu n'as pas d'autre choix ! Bon ça se passe comment !
JF : On t'emmène discrètement au stade, tu rentres par une porte dérobée …
Moi : Comme un voleur ? … Comme un tricheur ?

J'allumais la télé, il y avait déjà la retransmission en directe sur la chaîne locale. C'était la première fois que ce genre de manifestation sportive passait à la télé, et en direct en plus ! Et c'était à cause des accusations et du scandale qu'elles provoquaient.

Moi : Pas question !Vous avez une voiture ?
JF : On a loué une Mercedes avec chauffeur, il nous attend en bas !
Moi : Bien ! Dans la Rolls, un chauffeur évidemment Jean François et moi, on passera chercher le directeur chez lui ! Dans la Mercedes à Greg, un chauffeur, Greg n'est pas en état de conduire, Charles et un garde du corps . Dans l'autre Mercedes, le chauffeur et les trois autres gardes !

Jean François me regardait, il ne savait plus quoi dire !

Moi : Nous passerons par devant, par la grande porte, en premier une Mercedes suivie de la Rolls suivie de la seconde Mercedes ! Des questions ?

Vous imaginez la scène, un jeune homme, presque un gamin, à poil portant un dispositif de chasteté devant cinq gardes du corps dont quatre faisaient plus de plus de deux mètres de haut, en train de donner ses consignes, les deux chauffeurs restaient en retrait, et ces sept personnages écoutaient le gamin comme si c'était leur chef !

Plus tard Jean François m'avouera que ce jour là, je l'avais complètement bluffé !

Moi : Bon, je vais peut être pas y aller comme ça, je vais m'habiller !

Tout le monde éclatait de rire ! Charles débarquait il était en short !

Charles : Tu es toujours à poil toi ! Bon Greg va mieux, mais il veut conduire, il n'est pas en état de conduire !
Moi : Tout est prévu, va t'habiller tu viens avec nous !

On ne mettait que quelques instants pour s'habiller, on descendait, au passage on récupérait Greg, en effet il était présentable, je lui arrachait les clés des mains et les donnait à un des chauffeurs et on prenait la route … On avertissait le directeur qu'on passait le chercher juste derrière chez lui, il y avait des journalistes devant ! Puis on faisait route vers le stade … 

Le directeur : Vous vous déplacez en Rolls maintenant Djé ? (j'acquiesçais) Et si je vous disais que j'ai l'impression d'être tombé dans un monde de fou après avoir loupé quelques épisodes !
Moi : Je connais ça Monsieur le directeur, je connais ça ! ...



Ep 23 : LA COMPETITION



Le convoi arrivait devant le stade, on suivait le direct à la télé, la presse ne réagissait pas tout de suite … D'une pression sur un petit bouton on  avait teinté les vitres de ma voiture et personne ne pouvait voir qui était à l'intérieur. Mon équipe était déjà là et personne n'avait parlé à la presse … Les voitures arrivaient devant le stade, un couple en noir nous attendait …

JF : Tu vas faire connaissance avec Joss et Justine … Les deux avocats que Mr Le Conte nous a envoyé … Tu vas voir … Justine, elle a l'air froide et distante, avec ses amis c'est un amour mais attention dans son métier, face à ses adversaires, sa froideur reste ce qu'il y a de plus humain en elle … Au dernier procès qu'elle a plaidé, la partie adverse est sortie en larmes du tribunal ! Joss est son assistant, lui aussi il sait faire peur à tour le monde ! 

… 

JF : Sauf à nous bien sûr !

Comme j'avais prévu, les voitures prenaient position devant le stade, les gardes du corps sortaient et prenaient position à coté de ma voiture, JF en sortais donnait ses ordres à ses hommes et ouvrait ma portière, le directeur en sortait à son tour, je suivais … 

J'étais accueilli par des cris, des cris de soutiens '' Djé, on est avec toi ! … '' … ''Tricheur, tu devrais avoir honte ! … '' … Il y en avait pour tous les goût ! Une journaliste tentait d'approcher avec un micro … Un garde la repoussait … Je lui faisait signe de la laisser m'approcher … Le cameraman suivait … JF ne m'aurait certainement pas obéi sur ce coup … Je voyais un éclair de panique dans les yeux de Justine … Face à la journaliste … Elle me posait une question à laquelle je ne répondais pas ! 

Moi : Je tiens à vous féliciter, vous savez colporter les ragots et les calomnies qu'on vous demande de répandre … Aurez vous le courage et l’honnêteté de me présenter des excuses quand la vérité ne fera plus aucun doute sur mon innocence et mon excellent état de santé ? 

Je me détournais sans attendre sa réponse ... C'était du direct … Cette phrase devait passer en boucle toute la journée … Justine me lançait un regard rassuré et impressionné ! Si je disais la vérité la presse me mangerait dans la main dans les deux jours … Le directeur me soutenait … On entrait dans le stade … Mes gardes du corps faisaient barrage personne ne pouvait plus m'approcher …  Greg et Charles avaient suivi, les chauffeurs garaient les voitures … Je retrouvais mes camarades dans les vestiaires … J'avais le visage grave.

Comme la veille, je prenais la parole, je les encourageais, je les rassurais sur moi, ça, c'était pas difficile ils me connaissaient tous … Je remontait leur moral, on allait gagner, on était les meilleurs ! Haut les cœurs !

Première course, j'en était, le cent mètre … je battais le dernier record que j'avais établi quelques semaines plus tôt . Antoine ne lâchait rien, il ne me lâchait pas, il battait également mon dernier record précédent, il arrivait juste après moi mais vraiment de très peu … 

Je me retournais vers lui … '' Mais t'es un enfoiré toi, tu as failli me doublé ! ''. Il éclatait de rire … On se prenait par le cou d'un geste amical ! Le troisième était aussi de notre équipe ! Je levais un bras en marque de victoire !

Dans le public, c'était des acclamations … Mais on entendait aussi des insultes ! 

Dans le reste de la journée, les épreuves se suivaient, je ne participais pas à toutes, il ne faut pas exagérer ! Je suis balaise mais je suis pas Superman … A chacune de mes participations je me plaçais dans les trois premiers . Dans le plus mauvais résultat que nous avions, il n'y avait qu'un seul membre de notre équipe dans les trois premiers, c'était moi en deuxième position … Pour toutes les autres courses nous étions au moins deux dans les trois premiers ! En gymnastique, les résultats était à peine moins bons … 

Les insultes augmentaient en même temps que nos victoires … Comment une telle équipe pourrait avoir autant de victoires sans se doper ? Mon statut passait de dénoncer de dopage à suspecter de dopage puis accusé de dopage pour terminer par … Dopé ! … Les prises de sang avaient eu lieu en fin de matinée … Des analyses rapide devaient donner un premier résultat avant la fin de la journée … 

Le soir, les résultats n'étaient pas prêts …

A la télé Justine était reçu au journal télé, c'est avec un tact inouï, sans même sembler le dire qu'elle faisait remarquer que des tests anti-dopage avaient en effet été pratiqué sur une seule équipe … Que la fédération montrait là sa neutralité légendaire que tout le monde lui connaissait … Scandale ! Mais c'était vrai, l'autre équipe n'avait pas été testée ! Elle le serait finalement aussi le lendemain matin, plus le choix !

Le soir de la première journée toute l'équipe se retrouvait au réfectoire, il nous était entièrement réservé … Mes gardes du corps mes chauffeurs, Charles … Greg dormait dans un coin … Je recevais un coup de téléphone de Mr Le Conte …

MLC : Ça va Djé ?
Moi : Je pète le feu … Vous avez vu on leur a foutu la pâtée ! Ils ne sont pas prêts de revenir !
MLC : J'ai une bonne nouvelle, c'est pas une surprise mais comme ça on est tranquille ! Les tests sont tous négatifs !

J'annonçais la nouvelle à mon équipe qui ne réagissait même pas … Évidemment on le savait nous, qu'on ne se dopait pas !

MLC : La compétition se prolonge encore demain, Vous êtes sûr que vous allez bien Djé ? Vous êtes en forme pour demain ?
Moi : Demain, je ne concours pas, il y a natation, javelot, lancé du poids et quelques autres … 
MLC : On a des chances ?
Moi : En natation une troisième ou deuxième place, ce serait bien, ils sont très forts … Au javelot, aucune, lancé du poids peut être !
MLC : Bien bon courage, bonne chance et prenez bien soin de vous ! 

Il était décidé que l'équipe dormirait sur place, un dortoir avait été préparé (à cause de la presse) mais Charles insistait pour que je dorme chez moi, il tenait à s'occuper de moi … On quittait l'équipe tôt, il fallait être en forme, je ne concourais pas mais il y avait encore la presse à affronter ! Le chauffeur de la Mercédes louée était parti mais on avait gardé la voiture ! On prenait la route, j'attrapais Antoine au passage .

Moi : Tu veux que je te raconte, la Rolls … ? 

Un garde jetais Greg sur son épaule et l'embarquait comme un paquet ! A l'appart JF couchait Greg qui avait vraiment besoin de dormir, il avait couru toute la journée. Les gardes s'installaient au rez de chaussée, ainsi que les chauffeurs,  personne n'entrerait dans l'immeuble! JF prenait la troisième chambre, Charles venait faire un massage à Antoine, il devait concourir en natation le lendemain!

Antoine : Tu as des mains de fée Charles, je ne savais pas …

Charles aussi était épuisé, tout comme Greg il avait couru toutes la journée et avait aussi assisté les masseurs de notre équipe ! 

Charles : Vous me permettez de me retirer dans ma chambre Mr Djé ?
Moi : Tu m'as l'air vraiment fatigué …
Charles : Oui Monsieur, la journée a été dure ! Bonne soirée Mr Djé, Mr Antoine … 

Antoine : Il nous a appelé Monsieur !
Moi : Il doit être mort de fatigue .

Je m'allongeais à coté d'Antoine, et lui caressait le torse.

A : Ça t'as manqué ?
M : Oui, ça fait longtemps !

Il me laissait faire … Il passait une main derrière ma tête … On s'embrassait … On se collait l'un à l'autre … Il me caressait le dos depuis la nuque jusqu'aux fesses puis remontait en me massant avec les doigts … Je luis mordillais les tétons … Il gémissait de plaisir … Je lui caressais les fesses … il m'embrassait sur le ventre, le nombril … les …


On se réveillait, nos bras encore emmêlés autour du corps de l'autre, il était cinq heures du matin ! 

Moi : Ça c'est terminé comment hier soir ?
Antoine : Je crois qu'on en était là !

Il me serrait dans ses bras et m'embrassait goulûment dans le cou ! Je poussais un cris aigu de surprise et de plaisir … je le serrais fort moi aussi … Je lui mordillais l'oreille … Il me renversait sur le dos, me chevauchait, me caressait le corps en m'embrassant un peu partout … Je le retournais sur le dos et lui rendais sa politesses … C'étaient des cris de joie, et de plaisir que nous poussions … Joie des retrouvailles, plaisir de nos caresses … Je le retournais sur le ventre et lui rapprochais les cuisses … il tournait sa tête sur le coté, je profitais de son sourire de profil … Je prenais un gode, de taille moyenne … Le lui enfonçais doucement … Il fronçait les sourcils … Plus profond … Son sourire se transformait en grimace de plaisir … A fond ! … Il ouvrait la bouche mais ne faisait aucun bruit … Je ressortais le gode puis l'enfonçais de nouveau … Il poussait de petits gémissements … J'accélérais le mouvement … Il gémissait plus fort … Des mouvements plus amples … Des gémissements plus intenses … Des mouvements plus rapides … Des cris plus forts … Je continuais avec de mouvements rapides et amples … Antoine gueulait … Son visage se déformait en véritables grimaces … Il contractait son bassins en criant … '' C'est bon, oui, c'est bon … Aaaaah … Oui ! … Il tremblait … Encore quelques contractions qui ressemblaient à des convulsions …  On ne bougeait plus, je lui laissais le gode planté dans le cul ! Il avait éjaculé, abondamment éjaculé !

Antoine : T'es con ! On n'aurait pas dû !
Moi : Pourquoi ?
Antoine : Toi, tu ne concours pas aujourd'hui … Moi si !
Moi : Je rigolais ! C'est des conneries tout ça ! Tu t'es déjà trouvé moins bon en sport parce que tu avais jouis quelques heures plus tôt ?
Antoine : C'est ce qu'on dit !
Moi : C'est des conneries … Bien sûr, si tu y as passé la nuit, comme on l'a déjà fait souvent à une époque, je ne dis pas. Mais c'est uniquement parce qu'on ne dormait pas ! Tu vas voir, tu seras en forme et tu  vas nous rapporter une médailles …
Antoine : C'est une coupe ! 
Moi : … une coupe ! Et ce sera la plus grosse !
Antoine : Il n'y en a qu'une !
Moi : Alors tu nous la ramènes ! 
Antoine : Je vais te rendre la politesse ! Tu vas voir !
Moi : Pas le temps, debout, on se prépare, douche !

Je passais dans la salle de bain. Je l'entendais râler !

Antoine : Mais, il est con, il a même pas retiré le gode de mon cul, j'y crois pas … Djé t'es un farceur mais tu vas voir, je me suis vengé. Finalement j'ai bien fait de me venger avant … 

On prenait une douche, on enfilait un pantalon de training  et on se retrouvais dans la cuisine à préparer le petit déjeuner. On prenait des nouvelles des autres étages, les gardes préparaient des steaks …  Greg était en forme … Je prenais les messages  sur mon téléphone …

Moi ; Ah la garce !
Antoine : Qui ça ?
M : Nathalie !
A : Pourquoi ?
M : Elle m'a largué !
A : Ah la garce !
M : Écoute moi ça  …  Djé, tu me fais honte, ta tricherie me dégoûte, heureusement Lionel est là … Je ne veux plus te voir !
A : La garce ! … Lionel ?
M : Remarque, elle est pas folle …
A : Pourquoi ?
M : Lionel, c'est un bon coup, tu peux me croire, je l'ai pratiqué quelques temps !

Jean François arrivait à son tour … 

JF : Salut les gars Charles n'est pas encore levé. C'est son boulot ce que vous êtes en train de faire là  les gars.
Moi : On le réveillera en dernier, il n'a pas arrêté de courir hier ! Je peux te garantir qu'il était épuisé !

JF n'en rajoutait pas … Quelques instants plus tard, Charles arrivait …

JF : Alors, on se sent mieux, on est bien reposé ?
Charles : Je vous prie de m'excuser Mr Djé ! Vous avez bien dormi ? Monsieur Laclaque, Mr Antoine ! 

Il prenait son service sans attendre …

Charles : Je vois que vous avez revu votre copine Mr Djé !
Djé : Ma copine, bein ça risque pas, elle m'a largué … La garce ! Elle est partie avec Lionel !
Jean Françoi : ( sur un ton autoritaire )  Charles, il serait temps que tu apprennes que Mr Djé comme tu dis s'appelle Brosso, et que ce doit être Monsieur Brosso !
Charles : Bien Mr Laclaque !

Je restais sans voix !

JF: Elle t'as largué, et tu le prends bien ?
Moi : Mais c'est de l'histoire ancienne, c'était hier !
JF : Mais alors, qui t'as fait ce suçon dans le cou ?

Je regardais Antoine, il se mordait les lèvres pour ne pas rigoler …

Moi : (en regardant ailleurs) Je me le demande moi aussi !

On allait s'habiller dans ma chambre …

Moi : Antoine tu es un enfoiré !

Là il craquait, il ne pouvait plus se retenir, il éclatait de rire, il était plié !

Moi : Mais c'est d'un drôle (et me regardant dans le miroir), et tu ne m'as pas loupé en plus ! T'es vraiment un  Guignol ! 

Je ressortais, il me suivait toujours éclaté de rire !

Moi : Tu imagines si Nath ne m'avais pas largué, je lui aurais dit quoi moi ?

Plus j'en rajoutais, plus il rigolait ! 

Je retrouvais JF.

Moi : Bon, on fait comme hier.
JF : Oui, mais on n'aura pas besoin de ton valet de chambre, sa présence n'est pas justifiée !
Moi : Tu t'es déjà fait massé par lui ?
JF : Non ? 
Moi : Tu devrais, il est exceptionnel ! Il vient avec nous !

Jean François se retournais vers Charles qui lui confirmait ce que je venais de dire de la tête … 

JF : La télé a donné les résultats des tests, ils sont tous négatifs …
Moi : On le savait déjà !
JF : C'était pas officiel … 

Greg partait en avance, il passait chercher le directeur qui serait ravis des nouvelles ! Charles partait avec lui .

Deux voitures, même protocole que la veille …On sortait de la voiture, j'étais encadré on avançait vers l'entrée. Justine était sur notre chemin, elle répondait à la journaliste télé de la veille. J'entendais la journaliste lui demander si elle pouvait me  pauser une question. D'un geste de la tête je faisais '' oui '' … Après les résultats du test la situation était moins grave que la veille, Justine laissait faire !

La journaliste : Djé, vous avez vu les résultats des test, avez vous des commentaires ?

Je ne répondais pas !

La journaliste (visiblement mal à l'aise) : Monsieur Djé, sil vous plaît … 
Moi : Je voulais seulement savoir si vous auriez le courage et l’honnêteté de me présenter des excuses pour les calomnies que vous avez largement répandues ? Je constate que non !

Je tournais les talons et rentrais dans le stade ! Elle voulait me suivre, le bras d'un garde faisait barrage. Ma réplique d'hier, les résultats du test, nos performances de la veille et cette nouvelle réplique passaient en boucle toute la journée mais sur une autre chaîne de télé … J'avais gagné le combat médiatique par KO !

Je me réfugiais au fond des vestiaires, je me sentais bien mais comme je concourais pas … Je suivais les épreuves sur un transistor portatif … On s'en sortait mieux que prévu ! J'entendais du bruit … 

… Mr Djé ? …
Moi : Je suis là … 
C'était David et Louis mes deux chauffeurs !
David : On est venus vous dire au revoir, Mr Le Conte nous rappelle !
Louis : On a été très heureux de travaille pour vous ces deux jours !

Je les attrapais tous les deux par le col, les tirais à moi, j'en embrassais un puis le second … Ils m'attrapaient à leur tour, me caressaient partout, m'embrassaient dans le cou. Je pensais à mon suçon ! Une main se glissait sous ma chemise, une autre se glissait sur mes fesses. Je laissais faire. Une troisième main m'ouvrait mon pantalon qui tombait. Quatre mains soulevaient mon T-shirt et ma chemise qui se retrouvaient à coté de moi en un instant … 

Des lèvres m'embrassaient toujours … Je vous ai déjà dit que je ne porte pas de sous vêtement ? … D'autres lèvres m'embrassaient le torse, me mordillait les tétons alors qu'une main se glissait entre mes fesses, me caressait les couilles, un doigt se glissait dans mon derrière (je sais pas à qui il était). Je me concentrais sur un torse que je caressais en glissant mes mains sous ses vêtements, il les enlevait, je l'embrassais et passais ma langue et mes lèvres partout ou j'avais passé mes mains.

Je passais au second qui avait retiré le haut, je le caressais et l'embrassais de la même manière, je le léchais. Mon pantalon était rendu plus loin, mes chaussures aussi, j'étais entièrement nu, ou presque. Toujours ce ' ou presque ' et je ressentais cette pression contre ma bite, cette tension qui avait disparue depuis la veille à cause de tous ces événements. C'était bon cette pression, je sentais que je pouvais exploser !

Un autre pantalon tombait, je prenait une queue dans ma main, elle était bien ferme, bien dure, je me penchais et je la suçais avec délectation. Le dernier pantalon tombait, je passais à la seconde bite puis revenais à la première … J'alternais, deux, trois ou quatre mains me guidaient, m'appuyaient sur la tête … Un bassin se relevait et une queue de belle taille s'enfonçait dans ma gorge … Je passais à l'autre queue. Des mains me caressaient le dos, le ventre, le cul. Un doigt se glissait dans mon cul ...

Je sentais un des hommes se glisser derrière moi … Je suçait la queue devant moi … Je sentais une pression sur mon anus … Il poussait, il rentrait, il s'enfonçait doucement mais fermement et sans attendre plus me limait avec force … Un flot de chaleur me remplissait jusqu'au nombril … Deux mains me tenaient fermement la tête, me forçaient à avaler cette queue … 

Derrière, il se retirait, il s'allongeait sur le dos, et me demandait de m'asseoir sur sa bite … Je le faisais sans hésiter … La sensation était particulière intense et douce à la fois … Un flot de sperme coulait de ma cage … Il me tirait vers lui et je m'allongeait sur son corps, il me caressait des épaules jusqu'au cuisses … Son camarade nous regardait, il était debout en face de moi … Il s'allongeait sur moi, m'écartait les cuisses et se glissait entre … Je sentais sa queue qui remontait jusqu'à mon anus déjà dilaté, déjà occupé … Il poussait .. Je hurlais … Il s'enfonçait … 

Je gueulais, je tremblais, je pleurais … C'était bon … C'était douloureux au début, cette douleur intense qui précède cette explosion de jouissance … Ou une jouissance qui suit une douleur intense … J'avais la bouche ouverte, je respirais fort, je n'avais plus de souffle, je sentais ma queue exploser dans sa cage, non, je sentais ma cage résister à l'explosion de ma queue … J'avais mal, c'était bon … Ma queue se contractait, j'éjaculais. Chaque contraction provoquait une sensation de douleur, de plaisir, de … Je sais pas, je sais plus !

L'homme au dessus hurlais en contractant tous ses muscles, il jouissait, il éjaculait dans mon cul et se laissait tomber sur moi … Le second continuait les mouvements de son bassin, il finissait lui aussi à se contracter, à me serrer dans ses bras de toutes ses forces, à gémir quand il jouissait à son tour dans mon culs … 

Un peu plus tard, on se relevait, mes deux camarades m'aidaient en me prenant par la main, j'avais du mal à me tenir debout, j'avais les yeux enflés, mon visage était rouge … 

On se douchait, ils étaient joyeux ! Moi j'étais comme assommé. Un orgasme, c'est intense, et celui-ci était … Waou ! Deux d'un coup, deux en même temps, je ne l'avais jamais fait ça ! On s'embrassait pour se saluer, des au revoir, pas des adieux. C'est au moment ou l'animateur radio se demandait ou j'étais, on ne me plus voyais nulle part, que je sortais des vestiaires … Mes yeux était encore rouge et ça se voyait !



Ep 24 : ON FETE LE VICTOIRE



Je gardais un écouteur dans l'oreille pour pouvoir suivre ce qui se disait …

La radio

Un voix masculine : On me dit que Djé, le champion … vient de réapparaître, il a une salle tête … oui je le vois d’où je suis, il a vraiment une salle tête, on dirait qu'il a pleuré !
Une voix féminine : Peut être son état dépressif, on sait maintenant qu'il ne se dope pas mais, pour moi, on aura du mal après ça à me faire croire qu'il n'est pas dans une état dépressif à le voir comme ça !

Je sursautais en entendant ça ! Justine arrivait vers moi, elle semblait inquiète. 

Ju : Djé, tu sais ce que la radio dit de toi, en ce moment même ? Tu vas me faire le plaisir de disparaître, de te passer le l'eau sur la figure et ne réapparaître que quand …
Djé : Vous aussi maître, vous écoutez la radio ?

Elle aussi avait un écouteur dans l'oreille … Je lui montrait le mien ...

Djé : Laissez moi faire !

Elle avait l'air affolée de la légèreté de ma réaction. Je jetais un regard rapide dans la foule et très vite je repérais … Les commères … Un groupe de filles qui étaient surnommées ainsi, je vous laisse deviner pourquoi … Non, vous n'avez pas deviné ? C'est simple si on voulait que quelque chose soit répété dans tout le campus, il suffisait de le leur confier tel un secret … Elles savaient être très efficaces.

C'est en prenant un air encore plus triste que je passais à proximité de ce groupe. Liliane ne me lâchait pas du regard. Une chance je trouvais des lunettes de soleil dans ma poche, nous sommes en hiver ! Au moment où elle m'interpellait, je mettais mes lunettes en fuyant son regard … Merde, elles étaient cassées … Tant mieux, j'aurai l'air encore plus misérable !

Lil : Djé, ça ne va pas ?

Je baissais la tête et lui faisait signe de ne pas m'approcher ! Elle mordait à l’hameçon, j'aurais parié la Rolls que ça marcherait, au risque de me faire engueuler par Mr Le Conte, vu que c'était pas la mienne ! Elle me tombait dessus ne me laissant aucune chance de fuir !

Lil : Djé, je vois bien que quelque chose ne va pas ! Tu viens ici tout de suite que je te réconforte !

Elle est arrogante et suffisante et c'est si facile de la manipuler !

Moi : Non, Liliane, tout va bien, laisse moi !
Lil : Mais tu as vu ta tête, et ces lunettes ridicules !

Elle me les retirait .

Lil : Mais tu as pleuré ! 

Elle me prenait dans ses bras, je me laissais faire !

A la radio 

Voix masculine : En tout cas Djé semble savoir où trouver du réconfort, d’où je suis je le vois dans les bras d'une fille, pas mal en plus, une belle blonde …
Voix féminine : Voyons tu sais très bien qu'il ne peut rien faire avec elle … (rires joyeux)

Avec Liliane je laissais monter la sauce puis je finissais par me confier !

Moi : C'est Nath (dans un sanglot) elle m'a largué ! (dans un autre sanglot … Bon j'en rajoutais)
Lil : Mon pauvre, tu n'as pas de chance … 
Moi : Elle est partie avec Lionel ! … Hier ! (en larmes, avec Liliane on en fait jamais trop)
Lil : Forcément,  mais mon pauvre toi tu pouvais rien faire avec elle, lui au moins il est pas impuissant !
Moi : Il faut que je te laisse, mais tu me promets, tu ne dis rien à personne …
Lil : Promis mon petit Djé, je suis une tombe !

'' ... Impuissant …'' ! C'est quand même une garce cette Liliane ! Mais bon, elle est efficace . Quand elle dit, je suis une tombe, on peut considérer que la moitié de la fac est déjà au courant ! Je rentrais à nouveau dans les vestiaires. Justine me retrouvais .

Justine : Mais tu fais quoi là Djé ? Tu me fais plaisir et tu arrêtes tes conneries, jusque là tu gérais bien la situation, mais là … 

La radio 

Voix féminine : J'apprends que nous nous sommes trompé, c'est pas une crise de dépression, la copine de Djé vient de le larguer, juste avant une compétition, et d'une manière, je ne vous raconte pas ... 
Voix masculine : D'une certaine manière, ça me rassure car comme on dit une de perdue …
Autre voix féminine : Non mais je t'en prie. Djé est trop mignon, nous sommes avec lui et je suis sûr qu'il ne tardera pas à en trouver une autre bien mieux .

Je regardais l'avocate avec un regard triste … Elle était stupéfaite ! Puis lui faisait un grand sourire !

Jus : Tu es fort Djé, tu es fort … Il faudra que tu me dises comment tu as fait ça !
Moi : Je me passe de l'eau sur la figure et j'essaye ne pas me réconforter trop vite !

Je relevais mon col, cachais mon suçon, me retournais vers Justine … 

Moi : Si on voit ça alors que je suis en train de pleurer ma copine, ça va paraître bizarre, non ?
Jus : Tu es fort Djé, si un jour tu es dans les affaires je ne voudrais pas avoir à négocier contre toi !

On sortait, j'entendais Justine marmonner … '' ... Et il n'a que vingt ans le gamin ... ''

La seconde journée n'était pas aussi glorieuse que la première, on était moins bon dans ces épreuves mais on raflait tout de même plus des deux tiers des médailles ou coupes sur toute la compétition !  Au fait, Antoine nous l'a ramenée sa coupe … C'était un grand succès, en deux jours l'opinion public s'était retourné. Face à ce résultat la chaîne me présentait des excuses … 

J'étais porté en triomphe, on me donnait une énorme bouteille de champagne pour arroser l'équipe... Devant les caméras je faisais l'andouille … J’hésitais … Je ne voulais pas … '' On va pas gaspiller du bon champagne   ! ''. Tout le monde rigolait  … On me criait  '' t'inquiète pas Djé y en a d'autre '' … J'arrosais tout le monde ! 

La fête se prolongeait tard dans la nuit, on riait … Nathalie débarquait, tout le monde s'écartait devant elle en la regardant de travers, elle venait vers moi …

Nath : Bravo Djé !

Je baissais mon col ! Ses yeux lui ressortaient de la tête !

Nath : Je vois que tu n'as pas traîner pour me remplacer !
Moi : Pourquoi, j'aurais dû ?

Voyant cela deux filles se jetaient dans mes bras, je les rattrapaient …L'une  lui disait … '' Merci Nath … '', l'autre rajoutait … '' Merci Nath … ''. Furieuse Nathalie sortait sans rien rajouter … Les deux filles me faisaient une bise sur la joue, elles sortaient toutes les deux avec des amis à moi … Je rajoutais … '' Merci les filles '' ! Tout le monde rigolait … La fête reprenait de plus belle !

Je rentrais tard, j'avais un peu bu, pas autant que je buvais un an et demis plus tôt, mais un peu-beaucoup tout de même. Julien et Antoine m'accompagnaient … 

Moi : Vous savez les gars, étrangement, j'ai pas envie de me faire un mec ce soir, là, j'ai fais quoi aujourd'hui pour ne pas avoir envie de baiser ? D'habitude, quand je fais la fête, que je bois un peu, je ne rentre pas tout seul ! Il y a même des soirs ou je me fais deux mecs, bon, je ne parlerai pas du soir ou je m'en suis fait quatre ou cinq, en plus de Julien, en fait ce soir là, il y en avait peut être cinq ou six … J'sais pas  !

Ils se bidonnaient à m'entendre, il me fallait la largeur de la rue pour avancer, ils étaient chacun de leur coté pour me rattraper si besoin …

Moi : Ah oui, je me souviens, je me suis fait les deux chauffeurs ! Oué ! C'était cool ! Deux d'un coup, en même temps, dans le cul ! Ou la, Ouah, là ça fait mal ! Vous avez déjà essayé ça les gars, deux d'un coup ! 

Ils rigolaient de plus en plus, il ne me croyaient pas. 

Moi : Si, si vous pouvez me croire les potes. Et il faut me croire, ça fait mal … J'ai adoré ! Faudra que je recommence ça moi ! Surtout qu'ils sont balaises ! Balaises, je veux dire bien montés … 

On arrivait chez moi, je traversais la route, allais à la porte de mon ancien appartement, sortais la clé de ma poche … Je me retournais vers mes copains …

Moi : La clé, elle est en panne ! Elle marche plus ! Vous en avez pas une meilleur ! Peut être qu'elle est cassée ! Y a pas d'piles dans les clés ? C'est quoi qu'elle marche plus ?

Ils étaient pliés de rire … 

Julien : Il ne sait même plus où il habite !
Antoine : Djé, maintenant tu habites en face !
Moi : En face ! Non ! J'vous crois pas ! Burp !

Ils arrivaient tous les deux sur moi me soulevaient en me prenant chacun par un bras, me faisait traverser la route et me posait en douceur devant la porte de mon immeuble. Je voulais me retourner et retraverser la route. Julien me retenait, Antoine me prenait la clé, ouvrait la porte !

Moi : Comment t'as fait ça toi, t'as les clés ?

Ils étaient morts de rire, ils me soulevaient à nouveau et me faisaient entrer. Je gueulais …

Moi : J'veux pas aller là moi, J'veux  aller à la maison !
Julien : Les voisins vont finir par gueuler s'il continue !
Antoine : Le seul voisin, c'est Greg !

Ils me portaient jusqu'à mon appartement, je gueulais toujours la même chose ! On entrait !

Antoine : On va le mettre dans son lit .

Julien entrait dans une chambre en ressortait !

Julien : Il y a déjà quelqu'un dans le lit !
Antoine : C'est Charles !
Julien : Non c'est pas Charles, c'est le gars balaise qui était avec les gardes du corps ! 
Antoine : C'est Jean François alors, c'est que c'était pas la bonne chambre !

Ils finissaient par me jeter sur mon lit, me déshabillaient, je ne me laissais pas faire, je gueulais … Les  têtes de Jean François et de Charles apparaissaient dans l'ouverture de ma porte …

JF : Mais qu'est ce qui se passe ici ?
Julien : C'est rien, il est bourré comme un goret (chez moi on dit goret pour parler d'un cochon, on peut aussi dire rond comme une queue de pelle, mais je préfère pas car là, il saurait ou se la mettre la queue de pelle … Note du narrateur). 

JF : Bon mais essayez de ne pas faire trop de bruit les jeunes …

Je finissais par me retrouver, difficilement, complètement à poil ! Ils étaient là, amusés à me regarder … 

Julien : Dis moi Antoine tu crois qu'on peut dormir ici ? 
Antoine : Pourquoi pas !
Moi : Vous habitez loin ?
Julien : De l'autre coté de la rue !
Moi : C'est loin, vous devriez rester dormir ici, en plus il fait froid dehors, et moi je sais pas où je suis !  

A ces mots ils se regardaient, incrédules … Rapidement ils se déshabillaient et se jetaient sur le lit … Ils se jetaient sur moi, me caressaient partout, me léchaient les tétons, me mordillaient, m'embrassaient sur la bouche, sur le nez, sur les yeux, dans le cou !

Moi : Vas y doucement, j'ai un suçon, je sais plus qui m'a … mais bon … Il faut attendre que ça cicatrise !
Antoine : Attend, j'ai une vengeance à assouvir … 

Il prenait un plug de taille moyenne et me l'enfonçais doucement mais fermement, Julien continuait à me caresser, m'embrasser pour me faire taire, je me détendais. Pendant toute la journée j'avais gardé une étrange et douce sensation dans mon cul. Il avait été vraiment bien stimulé ce matin et ce plug ne rentrait pas seulement sans résistance, il me provoquait aussi un plaisir immédiat, j'avais l'impression que ma cage allait exploser, je sentais ma bite se contracter, tenter en vain de se redresser, je la sentais pousser désespérément contre les parois de la cage, je jouissais instantanément deux giclées de sperme parvenaient à l'embouchure de ma cage suivies par un flot de ce liquide blanc qui coulait pendant un long moment … Je me sentais bien, je ne savais pas où j'étais mais j'étais bien !

Mes deux camarades n'en restaient pas là ! Je les observais d'un œil ! Ils étaient debout au pied de mon lit, ils s'approchaient l'un de l'autre les mains se touchaient, les mains rencontraient les bras, les torses, les lèvres s’effleuraient puis, alors que les bras s’étreignaient, les lèvres se collaient l'une à l'autre … Leurs corps se frottaient, se caressaient … L'un retenait son camarade par les reins, l'autre lui passait la main derrière la tête, les épaules … C'est accrochés l'un à l'autre comme indécollables qu'ils se laissaient tomber sur mon lit à coté de moi, je jubilais et surtout n'en manquait pas une miette.

Antoine attaquait en premier … Il glissait une main entre les fesses de son partenaire, l'autre soupirait doucement de plaisir … Il lui introduisait un doigt dans l'anus, l'autre relevait la tête en arrière en gémissant doucement … Un deuxième doigt suivait, les gémissements devenaient plus audibles … 

J'étais parfaitement détendu, je somnolais à moitié, la tête me tournait … Plus la moindre pression du coté de mon dispositif, je jetais un œil, mon pénis le remplissait bien mais rien de dépassait, rien n'essayait de sortir … Je me caressais les testicules, la cage, je sentais la peau de ma queue par les orifices d'aération mais tout restait calme …

Quand je relevais les yeux, Antoine avait enfilé le gode ceinture et il s'introduisait doucement dans l'anus de Julien qui était penché en avant … Il avait vraiment changé Julien en moins de six mois … Il en redemandait, il ne cachait pas son plaisir … Vas y ... doucement … Ouiiiii … Encore … Aaaa ! … Antoine savait faire monter le plaisir, je l'avais pratiqué aussi comme chacun sait ! Antoine décrochait le gode de sa ceinture, passait une seconde ceinture gode autour de Julien en prenant soin de glisser la sangle arrière pour retenir le gode qu'il laissait en place … 

C'est avec un gode planté dans le cul que Julien se fixait un autre gode à sa ceinture … Je sais il faut être équipé pour ce genre de soirée, mais Charles est très prévoyant … Julien introduisait à son tour le gode dans le cul d'Antoine qui le recevait en gémissant … '' Ohhh, oui, vas y, j'adore, oui vas y bien à fond '' … Les mouvements régulier de Julien ne provoquaient pas seulement un plaisir chez Antoine mais il se faisait plaisir à lui-même … 

Toujours cette sensation dans mon anus, depuis ce matin, je me sentais rempli, depuis que les deux chauffeurs m'avaient fait découvrir ce nouveau plaisir … Là, la sensation devenait plus forte, je me sentais vraiment rempli, c'était vraiment bon, j'avais l'impression que j’allais jouir de nouveau … 

Antoine avait repris sa position initiale et lui aussi se gardait le gode dans le cul, je voyais un liquide blanc couler de la cage de Julien, il fermait les yeux, respirait fort, son souffle était fort … Les mouvements d'Antoine devenaient plus lents, plus fatigués, il relevait la tête respirait bruyamment aussi … Les deux garçons semblaient se synchroniser, ils respiraient en cœur, plus fort, encore plus fort … Et c'est ensemble qu'ils poussaient un cri de plaisir, je voyais de profil une giclée de sperme s'éjecter de leurs dispositifs en même temps puis, le sperme coulait longuement …

Je sentais que j'allais jouir à mon tour, toujours l'impression d'avoir le cul bien rempli … et une pression qui doucement augmentait au niveau de ma cage … Toujours, oh oui, ça vient, je le sens, ça vient …


Je me réveillais avec un léger mal de crane . Le souvenir de cette soirée me revenait rapidement. Julien dormait sur le ventre à ma gauche, un instant j'admirais ses fesses je les lui caressais. Antoine dormait sur le dos de l'autre coté, je passais ma main sur sa cage …

Je me relevais, et toujours cette sensation dans mon culs … Oh oui, c'était bon … Je me dirigeais vers la salle de bain … Souvent après s'être fait enculé on garde la sensation d'une présence, un peu comme si le gode, la bite était toujours là … Au début quant on n'est pas habitué, c'est de la douleur mais ensuite, c'est bon pendant un long moment … Mais ça n'avait jamais duré si longtemps . J'arrivais à la salle de bain … Je hurlais !

Moi : Antoine, tu es vraiment un enfoiré tu m'as laissé le plug dans le cul toute la nuit !

Je l'entendais se réveiller, et déjà il rigolait comme une baleine !



Ep 25 : CHASTE



On se retrouvait dans le salon pour le petit déjeuner … Charles était déjà levé et avait tout préparé, quatre petits déjeuners nous attendaient … Peu après, jean François nous rejoignait …

JF : Alors les jeunes on a fait la fête hier soir ? 
Moi : J'en ai encore mal à la tête !

Les deux autres rigolaient …

Moi : Au fait, Charles, tu as toujours la clée ?

Il me la donnait et je la donnait à Jean François . En lui demandant de la ramener la ou elle devait être …

JF : Il faudra que je te parle avant de partir Djé !
Moi : Je t'écoute !
JF : En tête à tête !

On prenait notre petit déjeuner, il y avait comme un froid … Charles était très … Protocolaire, un peu coincé, distant … En tout cas il n'était pas comme d'habitude !

Mes camarades me laissaient, ils n'avaient qu'une rue à traverser on se reverrait vite … Je restais avec Jean François !

JF : Tu sais Djé, tu ne seras pas toujours une étudiant … Tu es destiner à devenir un dirigeant. Tu m'as bluffé au moment ou tu as pris la direction des opérations avant d'aller au stade le premier matin, tu as bluffé Justine avec ta manière d'utiliser et de manipuler la presse, de lui faire savoir sans même le dire que t'a copine t'avait largué pour mettre fin au ragots sur une éventuelle dépression nerveuse … Si on rajoute à cela tes résultats dans tes études, ton charisme et ton charme qui font craquer tout le monde et pas seulement les filles … Tu sera un jour un dirigeant ! 
Moi : J'adore quand on me parle comme ça ! Mais je sens qu'il va y avoir un 'mais' !
JF : Un jour tu seras peut être même mon patron, un jour, mais en attendant tu as des choses à apprendre !
Moi : Je me disais aussi !
JF : Je pense à tes relations avec Charles !
Moi : Pardon !?
JF : Je veux dire la manière dont tu te comporte avec lui et réciproquement, on dirait deux copains ! Il est là à ton service, tu es le boss, et du dois respecter une certaine distance avec lui !
Moi : On reparlera de tout ça quand je serai le boss, quand je serai ton patron, mais pour le moment je suis un étudiant en commerce qui va passer sans problème en troisième année …
JF : Ça ne durera pas !
Moi : … Charles est un homme adorable et très sérieux dans son travail, je lui fait confiance et je ne me vois pas lui parler ou le traiter de haut … Et si je dois devenir un jour un dirigeant, j'ai l'intention, en attendant, de diriger moi même ma vie quand je suis chez moi !
JF : Ne te méprends pas sur mes …
Moi : Charles fait très bien son travail, même si je le tutoies, même si il me tutoies. Je l'ai vu à l’œuvre, il est disponible, efficace, très sérieux, de bon conseil, il ne laisse pas sortir sans que je sois impeccable, il veille à mon équilibre alimentaire, à ma tranquillité et fait largement tout ce qui rentre dans ses attributions … 


Suivait un long silence … Puis Charles arrivait …

Charles : Monsieur Laclaque, votre taxi ne vas plus tarder, j'ai préparé vos bagages !
Moi : Là tu vois de quoi je parle, je ne me vois pas, surtout quand on est en tête à tête …
Charles : Monsieur Brosso, vous désirez quelque chose ?
Moi : ( a l'intention de Jean François) C'est bien ce je dis ! Charles, il faudra qu'on parle quand notre hôte sera parti !
JF : Bon ça va, j'ai compris, je ne dis plus rien ! Bon je vais vous laisser ! Dis moi Djé, on te verra au château cet été ?
Moi : Si je suis invité, pourquoi pas !
JF : Invité, mais tu l'es ! Tu te souviens du jour ou tu as débarqué avec ton amis Antoine l'été dernier ( je rigolais en revoyant la scène dans ma tête )( Episode 11 ), Mr Le Conte vous a dit '' On se revoit dans un an et on en reparle '' , vous êtes tout les deux invités ! Et puis il y la clée, là c'est moi qui l'ai mais, on te la restituera  si tu le désires !

On se saluait, et je me retrouvais seul avec Charles … Il était embarrassé, il s'était fait engueulé par Jean François à cause de la relation que nous avions … Il lui avait reproché de me tutoyé et de m'appeler par mon prénom … 

Charles : Je pense qu'à la fin de l'année scolaire, ils vont me placer à un autre poste … Je le regrette mais il est probable qu'on ne se revoit plus très souvent !
Moi : On verra ça à la fin de l'année, je dois me rendre au château … On verra ça !


Charles : Dis moi Djé, tu t'entends parler ? Tu as changé, tu as beaucoup changé depuis un an !
Moi : Comment ça j'ai changé ?
Charles : C'est plus un gamin, c'est plus un petit jeune que j'entends parler là, c'est un chef, c'est un dirigeant ! Tu sais ce que tu veux maintenant ! Même quand tu dis : '' On verra ça '' ! 
Moi : Au fait, tu fais quoi toi pendant les vacances ?
Charles : On a encore le temps d'y penser, c'est dans plus de deux mois … En tout cas, j'ai des vacances à prendre en retard, et je les passerai en dehors du château, histoire de changer d'air … Tu veux qu'on se voit, qu'on passe un moment ensemble ?
Moi : Si tout se passe comme je l'espère, on devra se supporter encore un moment aussi il me semble que s'éloigner l'un de l'autre quelques semaines nous fera le plus grand bien !


Charles retrouvais son sourire. Dans les semaines suivantes le calme revenait, la presse, les médias n'osaient plus dire de mal de moi … Les ragots, les accusations, c'était du passé … Je reprenais le cours de ma vie, j'étais débarrassé de Nathalie … Je ne me sentais plus obligé de donner le change, je sortirai avec une fille quand je pourrai faire quelque chose avec elle … ! Dans ma situation, tout le monde trouvait finalement normal que je me consacre à mes camarades, mes amis et mes coéquipiers … Évidemment on n'entrera pas dans les détails … Surtout pas !

Le dernier trimestre avançait, j'étais redevenu le roi. Charles prenait soin de moi, je prenais du temps pour moi, quand je sortais j'étais toujours entouré d'une bonne cinquantaine de camarades , de suiveurs mais je le faisais plus rarement … Je privilégiais des soirées plus intimes entre proches, c'était plus reposant ! 

Mon nouvel appartement me permettait de recevoir mais c'était toujours un petit groupe, jamais plus d'une douzaine de convives. Greg en faisait souvent partie, Antoine, Julien aussi, ces deux là étaient mes plus proches amis mais Dominique ou Denis, mes deux premiers colocataires venaient souvent ainsi que Mathias, Tristan et Manuel …

Deux fois, quelquefois trois fois par semaines, j'organisais une soirée, un repas … Enfin quand je dis que j'organisais c'est Charles qui organisait d'ailleurs je ne savais pas qui finançait les repas, on ne me demandais jamais rien … En général il y avait trois habitués parmi les très proches les autres  ne faisaient pas partie de ce cercle restreint … Charles assurait le service dans une ambiance très détendue !

Les semaines qui suivaient, je restait chaste, je veux dire vraiment chaste … Les godes restaient dans leur tiroir. Charles me faisait régulièrement des massages, c'était chaud, vraiment chaud, ces soirs là, j'avais souvent la cervelle en feu, j'avais le feu au cul aussi … Mais cette tension me gardait mon esprit en éveille , autant dans mes études que dans le sport … Je continuais à progresser on me disait souvent qu'à ce rythme il faudrait envisager les Jeux Olympiques … 

Plus la frustration sexuelle s'accumulait plus mon esprit semblait s'éveiller. Je ressentais mon corps comme jamais. La tension dans ma cage devenait permanente et jouissive … Une jouissive frustration … Une énergie qui s'accumulait dans ma bite, dans ma tête et qui semblait se répandre dans chacun de mes muscles … Je gardais un contrôle parfait de mon corps, j'étais parfaitement zen !

Deux, trois, quatre semaines se passaient ainsi. Un soir ou seuls les plus proches, ceux que j'ai cité plus haut étaient autour de la table, nous étions entre intimes … Julien avait invité William, ils étaient toujours ensemble ces deux là ! Antoine était venu avec Romain, je vous ai déjà parlé de ce garçon, plus petit que moi, il est maçon, un visage franc, un large sourire, il était bien bâti, bien carré, bien musclé, et sur le dernier point je voulais bien croire Antoine … Bien monté !

Antoine me paraissait encore plus beau qu'il m'avait semblé plus tôt … Pourtant, je le connaissais bien, je connaissais bien son corps, mes doigts, mes lèvres l'avaient souvent parcouru dans ses moindres détails , dans les moindres recoins dans les recoins les plus intimes. Ce soir là, il portait une chemise, les boutons du haut étaient ouverts, je pouvais voir une partie de son torse. Ma mémoire caressait sa peau, celle que je ne pouvais pas voir ce soir là … Je lui caressais l'épaule, j'effleurais son bras, je redescendais le long de ces muscles si bien proportionnés jusqu'à son coude … Au passage, je donnais un baiser au creux de ce coude pour continuer en parcourant de mes lèvres son avant bras … Je sentais la douceur de sa main qui me caressait la joue. Cette main qu'il posait doucement sur l'avant bras dénudé de son voisin de table et amant le jeune et tout aussi beau Romain …

Je me sentais bien, je continuais à participer à la conversation, personne ne pouvait deviner le déroulement de mes pensées. Mon esprit était en éveil, parfaitement concentré sur la discussion, attentif à mes hôtes alors que pourtant mon esprit suivait la main d'Antoine qui caressait l'avant bras de Romain … Dans sa cage, ma bite se manifestait par une pression qui n'avait que le but de faire exploser cette cage, c'était doux, c'était fort, c'était dur ! C'était invisible !

Je suivais la main d'Antoine qui caressait doucement un court instant l'avant bras de Romain puis je continuait seul, les muscles de son bras … Il portait un T-shirt serré qui ne cachait rien de sa musculature parfaite … Je m'attardais un instant sur son épaule ou je déposais un baiser … Je caressais ensuite ses pectoraux, lui frôlais les tétons qui se dresseraient c'est sûr … Déposais un autre baisser au milieu de son ventre juste au dessus du nombril … Il était parfait, il avait une plastique de rêve ! Je comprenais Antoine ! 

Romain se levait pour aller aux toilettes, son pantalon moulant ne cachait pas cette bosse entre ses cuisses tout en laissant paraître leur musculature parfaite … De dos, ce sont ses fesses qui me laissaient rêveur … Était-il passif, avec un cul pareil … Était-il actif, avec la bite que cette bosse semblait promettre …  A cet instant, j'étais jaloux d'Antoine … Ma bite allait exploser ma cage … Je passais le sel à mon voisin de table sans qu'il ait besoin de me le redemander !

Julien semblait très amoureux aussi ce soir là. Je les revoyais sous la douche la première fois que j'avais vu William à l'appartement, ils étaient nus, je revoyais cette grosse bitte molle qui pendait entre ses cuisses … Je l'imaginais en érection … Ce devait être quelque chose … Finalement heureusement qu'il y a encore des garçons qui refusent de porter ce truc … !  Enfin, quand je dis heureusement , les porteurs ne représentent qu'une petite minorité des garçons et des  hommes , même si ce soir chez moi ce sont les non porteurs qui étaient en minorité  … Si un jour je deviens le patron de Jean François, comme il disait, il faudra organiser secrètement une résistance au port de ce dispositif … Un association par exemple … Ça serait vraiment dommage qu'on ne trouve plus de mec pour nous défoncer le cul !

On terminait la soirée dans la partie salon … Charles avait rangé la table en moins de temps qu'il ne faut pour le dire et venait me demander l'autorisation de disposer du reste de sa soirée … Je n'ai pas l'habitude de lui refuser quelque chose et je n'arrive pas à le traiter comme un employé … 

Nous étions samedi soir et la soirée traînait, mes hôtes me laissaient les uns après les autres , j'aurais bien retenu Romain, avec ou sans Antoine, quand ils sont venus m'embrasser pour me saluer … Je me retrouvais seul … Je me sentais bien, un peu fatigué mais bien ! Plus de cinq semaines d'abstinence totale … Je me sentais fort … Je me sentais tendu, mais calme … Tendu mais décontracté … Je me sentais comme un félin … Un félin parfaitement décontracté, qui peut en une fraction de seconde bander tous ses muscles et se transformer en une boule de nerf … 

Lors d'une course quand la détonation du starter se fait entendre, tous mes muscles se contractent alors et je fonce comme une fusée, je ressens la présences de mes adversaires, j'entends leurs souffles derrière moi … Et je fonce, rien ne peut me retenir, rien ne pleut me ralentir … Je passe la ligne d'arrivée, les autres me suivent, de peu, mais me suivent … Ils sont derrière, je suis devant ! Même si cet enfoiré d'Antoine est de moins en moins loin derrière … Mais bon lui c'est un ami alors il a le droit !

Ce soir là, je décidais de ne pas sortir et d'aller me coucher … Dans ma chambre, je prenais un plug de belle taille … Je me disais : '' Ça fait longtemps '' … Je devais m'y reprendre à deux reprise pour me l'enfiler … Aussitôt je me sentais bien rempli … Je m'installais un long moment dans le bain bouillonnant avant de m'asseoir en tailleur au milieu de ma chambre, le plug de vingt cm de long sur sept cm de diamètre bien planté dans mon culs !

Je restais là un long moment à méditer sur ces derniers mois, sur tout ce qui m'était arrivé depuis plus d'un an, sur ce qui pourrait se passer dans les mois à venir … Rapidement la présence du plug se faisait sentir, les contractions de mon ventre tentaient de le pousser vers l'extérieur, je serrais les fesses … Je le sentais bouger, il pressait contre ma prostate et provoquait un plaisir qui grandissait, une chaleur envahissait mon ventre, mon souffle devenait plus fort, le plug poussait vers la sortie de nouveau, je serrais les fesses plus fort. Je respirais fort, ma bite allait exploser la cage ne résisterait pas, c'était grandiose, c'était intense … 

Le plug poussait encore vers la sortie avec  plus d'insistance j'avais du mal à résister et je serrais les fesses de toutes mes forces … Elle lâchaient, j'éjaculais, une puis deux et encore deux autres giclées de spermes parvenaient à  la sortie de ma cage, elles étaient suivies pas un flot de ce jus blanc qui s'était montré si discret depuis plus de cinq semaines … Sans m'en rendre compte je râlais de toutes mes forces … Je jouissais par la queue, je jouissais pas le cul, je jouissais … C'était un plaisir intense qui se répandait dans tout mon corps, je tremblais, le plug sortait en dilatant mon anus, je jouissais encore par le cul … 

J'étais assis sur le sol, le plug reposait par terre et ne pouvait pas sortir totalement, mon anus restait dilaté à son maximum, un flot de liquide blanc clair continuait à couler de ma cage, j'avais le souffle court, je tremblais, j'avais chaud, j'avais froid et un râle de plaisir sortait de ma gorge à la manière d'une plainte … Je restais un long moment à trembler, sans parvenir à bouger … Je reprenais mon souffle !

Enfin, je me levais, le plug restait sur place. J'allais me laver, la tête me tournait. Je me sentais vidé, mais je me sentais bien, très bien ! Après ça, je ne tardais pas à m'endormir !

Je me levais en premier, préparais le petit dèj. Charles arrivait un peu plus tard. 

Charles : Oh ! Je vous prie de m'excuser Mr Djé …
Moi : Charles ! Ça va on se calme ! JF est pas là … Assis toi et prend ton petit dèj avec moi si tu le veux bien, sinon fais ce que tu veux, on est dimanche !

Je lui racontait ma soirée, puis me confiais à lui sur cette abstinence totale que je venais de vivre  …

Charles : Je ne savais pas que tu avais passé une telle période dans la plus totale chasteté, surtout que tu es équipé avec des jouets pour te distraire ! J'avais bien remarqué que tu était tout calme sur ce sujet, mais je pensais que tu te défoulais au sport ! Dans les vestiaires, sous les douches !
Moi : Je n'aurais jamais cru ça possible il y a un an !
Ch : Mais tu te sens comment ?
Moi : Bien, je me sens bien ! 
Charles : Pas de manque ?
Moi : Si, certainement ! Mais je me sens bien ! Hier, à table, j'étais comment !
Charles : Tu étais très en forme , attentif à ce qui se passait, tu participais à la discussion …

Je lui racontais mes pensées ! Il éclatait de rire.

Charles : Oui, finalement, tu es en manque mais tu n'en soufre pas … Plusieurs amis m'ont déjà raconté de telles sensations … Le manque agit alors comme un stimulant … Mais je peux te garantir que personne ne pouvait rien voir … Tu avait vraiment l'air d'être présent avec nous !
Moi : Mais j'étais présent avec vous ! Et toi, ça se passe comment ?
Charles : Moi, ça se passe très bien, justement hier soir … J'avais un rendez-vous !
Moi : Vas y raconte … Si c'est pas indiscret !
Charles : Un prof de ton école !
Moi : Lequel, je veux tout savoir ! 
Charles : Tu sais le nouveau professeur de littérature qui donne des cours aux quatrièmes et cinquièmes années …
Moi : Non, connais pas !
Charles : Et bien, c'est lui ! Je te fais confiance, tu n'en parles pas !

… 

On recevait une note à l'école, on devait faire un stage en entreprise avant le début de l'année suivante … C'était la panique, à chaque fois c'est la panique, tous les ans les étudiants passaient des semaines à chercher, à faire des courriers, à téléphoner et si on en croyait les plus anciens, c'était vraiment la galère … Le directeur me demandait dans son bureau … Il me demandait, il ne me convoquait plus, les autres ils les convoquait mais moi … ! Il n'y a pas à dire, je suis le roi !

Ce n'était peut être pas une convocation mais j'y répondais sans attendre …

Le directeur : Entrez, je vous en prie, installez vous !
Moi : Que se passe-t-il Monsieur le directeur ?
L d : Rien de grave, je vous rassure ! Vous avez entendu parler du stage qu'il va falloir passer … 
Moi : Comme tout le monde !
L d : Et bien cette année, rien ne se passe comme d'habitude ! Depuis votre dernière prestation devant les médias, notre école est devenue très célèbre … J'ai plus de quatre cent propositions … Évidement vous avez le privilège de choisir en premier … On effectue en ce moment une présélection vous retirer les sociétés qui ne serraient pas sérieuses  mais il devrait en rester au moins trois cent … Pour une fois, mes élèves n'auront pas à se fatiguer pendant des jours pour trouver un stage !
Moi : J'en ai de la chance !
L d : Il faut aussi que je vous parle de quelque chose … L'année prochaine une nouvelle section sera ouverte, on agrandi ! Un cours pour les premières, seconde et troisième années ! Exclusivement réservés aux porteurs. Je suppose que vous serez candidat pour une place en troisième … 
Moi : Évidemment, mais pour le moment je n'ai pas été contacté. Mais qui organise cela, c'est l'école ou bien …
L d : Ou bien ... Il s'agit d'un mécène qui a décidé d'investir !
Moi : On connaît son nom ?
L d : Ça ne vous dira rien, c'est un industriel très riche, un noble, un certain compte …
Moi : Mr Le Conte ?
L d : Oui, c'est comme ça qu'il signe … Ça vous dit quelque chose ?
Moi : Oui, ce n'est pas un noble, c'est son nom, Le Conte en deux mots ! Je le connais très bien, il ne m'a pas encore contacté je pense qu'il ne va pas tarder mais, de toutes façons je dois le voir dans l'été !
L d : Vous m'étonnerez toujours mon jeune ami ! J'aimerais beaucoup rencontrer ce Mr Le Conte, vous pensez que ce serait possible ?
Moi : Je ne sais pas, je vais lui en parler, c'est promis. Mais au fait vous vous souvenez de sa voiture, vous avez déjà circulé dans sa voiture …
L d : La Rolls ?
Moi : On avait un petit problème de véhicule, il m'a prêté sa voiture personnelle ! C'est un étrange personnage ! Et si j'en crois certains, il est très riche !

Le soir, à la maison Charles m'informait que j'avais reçu une lettre de Justine !



Ep 26 : DEUX ANS DEJA  


Je m'installais dans un fauteuil et ouvrais la lettre !

Justine me disait qu'elle serait heureuse de m'avoir comme stagiaire … Et oui, elle était au courant du stage que je devais faire, je ne l'avais appris que le jour même … Ils exagèrent, nous les étudiants on est toujours avertis en dernier … Enfin ! Elle me proposait de loger chez elle pendant cette période si c'était nécessaire, je la suivrais dans tous ses déplacements … Elle me disait de faire valider mon passeport (on ne sait jamais) … Elle me donnait même son numéro de portable …

Évidemment, j'acceptais sans hésiter … Je lui téléphonais le soir même … Le stage commencerait deux semaines après le début des vacances. J'aurais le temps de passer quelques jours avec ma famille . C'était une chose de faite … D'habitude les étudiants galèrent pendant des semaines avant de trouver un stage, on m'en proposait un sans que je prenne la peine de chercher et mes camarades avaient l'embarras du choix !

Il restait encore un bon mois et demis avant les vacances … On reprenait notre quotidien. Le matin au saut du lit un footing avec mes anciens colocataires puis chacun se préparaient pour partir aux cours. Plusieurs fois par semaine j'organisais une soirée chez moi, heureusement que Charles était là, il préparait le repas et c'était toujours une merveille … Ces soirées devenaient légendaires, pour mes plus proches elles étaient fréquentes pour les autres ces soirées étaient devenue très populaires. Je m'arrangeais pour que chaque membre de l'équipe parmi les porteur soit invité à tour de rôle, qu'on n'oublie personne … J'invitais même le directeur de l'école, ce soir là Greg bien sûr était là ainsi que quelques professeurs dont le coach.

J'avais passé cinq semaines dans la plus totale abstinence, dans la plus totale chasteté. J'étais certainement le seul, enfin on ne sait jamais. Après cette fameuse soirée la tension ne diminuait pas, je me sentais toujours aussi bien, toujours aussi fort . Je décidais donc de continuer ce mode de vie pour le mois et demi à venir, jusqu'aux vacances ...Tous les jours, cent fois par jour,  je sentais la pression dans ma cage. Tous les jours je continuais à avoir cette sensation ! Je prévoyais le programme, à la fin de l'année scolaire je demanderais mes clés, je partirais alors en vacances et je me lâcherais un peu … Deux semaines dans ma famille, deux semaines chez Justine puis … Retour au château, retour sous clé pour une nouvelle année … Je ne sais pas si j'avais hâte d'arriver à ma libération ou hâte de me retrouver de nouveau sous clé …

C'est addictif ce truc, je n'étais pas libéré et je pensais déjà à la prochaine période que je passerais sous clés ! 

La dernière semaine arrivait .

Charles : Dis moi Djé, il faut que je te demande quelque chose de très important !
Moi : Tout ce que tu veux !
Ch : Demain, c'est samedi, et je voudrais ne pas te voir de la journée !
Moi : C'est gentil ce que tu me dis là ! Alors comme ça tu ne veux plus me voir ?
Ch : Tu as tout compris, je t'ai préparé un sac à dos spécial, il y a tout ce dont tu auras besoin, tenue de sport, vêtements de rechange … Tout quoi !
Moi : Mais c'est une blague ?
Ch : Non, c'est très sérieux, fait moi confiance.
Moi : D'accord mais il faut que tu m'expliques …
Ch : Fais moi confiance, ça veut dire … Pas d'explication !

Il fallait vraiment que je lui fasse confiance pour accepter sa requête ! Très vite je remarquais que quelque chose de bizarre se passait … Mes camarades étaient particulièrement collants … Je dis bien collants, ils ne me lâchaient pas une seconde … Ils semblaient se relayer et ne me laissaient jamais seul … Et ce jusqu'à la fin de l'après midi où progressivement ils se rassemblaient tous autour de moi ! Quand je dis mes camarades, je veux dire tous mes camarades, tous les porteurs de mon équipe, arrivaient aussi les porteurs de première année, de troisième année et les quelques porteurs des années supérieures … Plus de deux cent cinquante étudiants me suivaient sur le chemin de mon appartement, aucun ne semblait surpris … Je faisais semblant de ne rien remarquer ! 

Je faisais toujours semblant de ne rien remarquer quand les premiers entraient dans le hall de mon immeuble et me tenaient la porte, j'entrais, les autres suivaient … J'arrivais à la porte de mon appartement suivi de deux cent cinquante étudiants rigolards qui faisaient semblant de rien, d'être là par hasard … Je me retournais …

Moi : Bon là ça va, je voudrais bien qu'on m'explique ce qui se passe !

Tous en cœur s'écriaient … '' Surprise '' ! … La porte s'ouvrait, Charles m’accueillait, j'entrais et sans que je comprenne ce qui se passait toute la bande entrait à son tour … L'appartement est grand mais tout de même, heureusement j'ai une très grande terrasse, elle est immense et se retrouvait vite remplie, le toit de l'immeuble avait  aussi été mobilisé pour l'occasion, et on avait assez de place … Un banquet avait été préparé, il y avait plusieurs serveurs, Charles ne faisait pas le service, il supervisait … Je le regardais …

Moi : Alors c'était donc ça !
Charles : On t'a préparé une petite soirée !

On passait une soirée joyeuse, tout le monde partait en vacances, le directeur de notre école passait nous voir, il avait emmené un petit quelque chose pour chacun des participants … La clé … Il n'avait pas la clé pour moi et  mes plus proches camarades, notre clé était au château et on la recevrait ou on irait la chercher … 

Tard dans la nuit, tout le monde était parti, j'étais dans le bain bouillonnant … Charles arrivait …

Ch : Je te dérange ?
Moi : Non, au contraire, tu viens me rejoindre ?
Ch : Avec plaisir !


Ch : Tu sais Djé, j'ai reçu un courrier du Château, pour la prochaine rentrée, ils me remplacent auprès de toi … Tu auras toujours un valet de chambre mais ce ne sera pas moi !
Moi : Je vais bientôt y passer, je vais en parler au big boss !
Ch : Les ordres viennent de lui ! Tu as reçu tes clés ?
Moi : Non, mais, je vais les demander quand j'y serai ! Et toi, tu ne les demande toujours pas !
Ch : Je prends deux mois de vacances et cette fois ci, j'ai demandé mes clés, je les ai reçues aujourd'hui !
Moi : Tu veux bien te libérer ?
Ch : Tu voudrais me voir …
Moi : Pas seulement te voir !
Ch : C'est une proposition ?

Je lui souriais. Il se levait et allait chercher sa clé … Il reprenait place à coté de moi et me la donnait … 

Ch : Tu me libères ? Attention, on est sur du quatre ans !

Je le libérais, ma cage allait exploser, je ne l'avais jamais vu nu en fait … C'était une première … Au début, pas de réaction … Sa bite restait mole un moment, je la caressais puis je la prenais dans ma bouche et rapidement je sentais ma bouche se remplir … Ça prenait de l'ampleur cette affaire, c'était agréable. C'était la première fois que je touchais un homme depuis la dernière compétition près de trois mois plus tôt, je m'étais bien fait plaisir un mois et demis plus tôt mais là, c'était pour de vrai ! Surtout que depuis cette soirée j'étais resté totalement abstinent !

Je le suçais avec gourmandise … Il réagissait bien … Il gémissait de plaisir, me caressait la tête … Ce plaisir qu'il m'avait donné dans la voiture quelques mois plus tôt, j'étais décidé à le lui rendre et avec les intérêts … Je ne voulais pas le lâcher … Je passais ma langue autour de son gland … Je prenais sa queue bien profond, je la sentais rentrer jusqu'au fond de ma gorge puis, à nouveau, quand elle ressortait je passais ma langue autour de son gland … Je la caressais vigoureusement avec la main, puis doucement … A ce rythme il ne devait pas tarder à éjaculer, il voulait se retirer, je retenais fermement, il insistait en me disant … '' Je vais jouir '', je ne lâchais pas et c'est dans ma bouche qu'il éjaculait un flot généreux de sperme, je savourais longuement et j'avalais … Je n'avais pas arrêté de le sucer … Il avait le souffle fort et gémissait, il était allongé sur le sol la tête en arrière …

Il convulsait, et me demandait d'arrêter de le sucer … J'avais le feu au cul … Ma cage était sous pression … Ma queue allait exploser … Depuis trois mois je ne m'étais accordé qu'une fois un petit plaisir avec un gros plug … Je l'embrassais sur le ventre au dessous du nombril et remontais … Je n'avais pas l'intention d'en rester la … Il me laissait faire … J'arrivais aux tétons … Il bandait toujours … Il me prenait dans ses bras … On s'embrassait sur les lèvres et le reste du visage … On restait là immobile un long moment puis on recommençait … Des caresses, des baisers, des étreintes … Il me retournait sur le ventre et me chevauchait … Il bandait toujours, ma cage résistait à la pression … Sans plus attendre il me pénétrait … Il me pénétrait doucement, lentement, je sentais chaque centimètre de sa queue s'enfoncer en moi … Je le sentais me remplir, c'était bon … Plus de cinq semaines depuis la dernière fois que … C'était bon, du sperme coulait doucement de ma cage … C'était bon mais ce n'était pas un orgasme … J'éjaculais sans vraiment jouir … C'était bon, très bon … Il finissait par un coup de rein qui m'arrachait un cri.

Il continuait ensuite en me limant vigoureusement … Il me défonçait le cul sans ménagement … J’en redemandais … Il se lâchait … Je relevais la tête et je gueulais de plaisir … Il accélérait le mouvement … Il se retirait totalement, m’embrassait dans le creux des reins et revenait, bien à fond, en un mouvement rapide qu'il terminait par un violent coup de rein … 

Ce n'était pas la première fois qu'on baisait ensemble, mais sans gode, avec sa queue, c'était la première fois. Si un jour je dois être son boss, je lui demanderai de ne pas porter ce truc c'est sûr !

Mon cul, mon ventre se remplissait d'une sensation de plaisir qui me submergeait, ce n'est plus seulement ma cage qui allait exploser, je jouissais … Ce plaisir envahissait mon ventre et remontait dans mon torse, mes poumons, mon cœur, je tremblais, je ne contrôlais plus mes gestes, je convulsais, je me tordais de plaisir sous ses coups de butoir … J'éjaculais mais ce coup ci, je jouissais … 

Charles passait une main par dessus mon épaule, me prenait par le cou et me tirait vers lui. Il ne calmait pas pour autant ses coups de rein … Toujours aussi violents, toujours aussi forts, ses coups de reins me submergeaient de plaisir … Je gueulais plus que ne gémissait, c'est une plainte qui laissait croire que je pleurais qui sortait de ma bouche … Les coups devenaient plus secs, son souffle s'accélérait, il gueulait, je pleurais, je jouissais toujours et lui venait me rejoindre, il jouissait aussi, il jouissait enfin  …

Il se laissait tomber sur moi et m'écrasait avec une extrême douceur. Il était toujours en moi, je le sentais, je tremblais pourtant je n'avais pas froid. Il respirait fort dans mon oreille, puis peu à peu il se calmait, il me couvrait de baisers … Brusquement il devenait très doux, très câlin. Il se retirait.

En rigolant, on replongeait dans le bain bouillonnant … Il se rapprochait de moi, je le prenais dans mes bras … Il me caressait en insistant sur ma cage qui était sous pression, toujours sous pression … 

Ch : Tu vas le retirer ?
Moi : Et comment ! Je ne vais plus le garder longtemps, je le retire pour toutes les vacances !
Ch : Et tu le retires quand ?
Moi : Et bien, je le retire …
Ch : Tu vas partir passer deux ou trois semaines dans ta famille ?
Moi : Oui, et …
Ch : Tu passes ensuite deux semaines chez Justine ?
Moi : Oui mais, je ne l'aurais déjà …
Ch : Tu passe ensuite au Château ou tu vas probablement rester quelques temps …
Moi : Oui mais … J'avais pas pensé à ça, quand on est au Château c'est … 
Ch : Érection interdite !
Moi : Mais alors je vais le retirer quand ce truc ? …

Il rigolait …

Ch : Bienvenu au club !

Le lendemain je préparais ma valise, Charles arrivait dans ma chambre …

Charles : Tu te prépares à partir, tu sais que tu peux laisser tes affaires ici si tu veux … L'appartement t'es réservé. 
Moi : Si  c'est comme ça, j'emporte rien …
Charles : Il est vrai que Monsieur Brosso aime voyager léger !
Moi : Arrête de me chambrer, bon d'accord j'ai toujours pas de sous vêtements !
Charles : Tu n'est plus mon boss alors j'ai bien le droit de te taquiner un peu ! Non ?
Moi : Tu vas me manquer Charles !
Charles : Toi aussi tu vas me manquer !
Moi : Dis moi, si tu avais le choix … Tu aimerais rester à mon service ?
Charles : Avec le plus grand plaisir ! Mais c'est pas nous qui décidons !
Moi : En tous cas, je ne me gênerai pas pour donner mon avis ! Si le big boss me donne un appartement et un valet de chambre, j'entends bien donner mon avis !


Charles : Tu pars maintenant ?
Moi : Oui, si on ne se revoit pas à la rentrée , ... , on se reverra bien au Château !
Charles : Tu iras chercher ta clé ?
Moi : Je dois passer voir ma famille, je la demanderai après !
Charles : Après tu vas passer deux semaines chez Justine !
Moi : Je sais, j'avais oublié, tu m'énerves !
Charles : Bon courage, je suis avec toi, de tout cœur, je connais, j'y suis passé !
Moi : Là, tu te moques ?
Charles : Moi ! Mais je n'oserais jamais Monsieur Brosso !

On se faisait l'accolade pour se dire au revoir … Il se moquait un petit peu, ça ne faisait aucun doute ! Je gardais les clés de l'appartement. 

Je descendais d'abord saluer Greg, lui, il ne préparait pas ses bagages, il n'avait pas le choix, il avait renoncé à partir en voyage à cause de la préparation des nouveaux cours qui devaient ouvrir l'année suivante … Ensuite je faisais route vers l'immeuble en face … Je retrouvais Antoine qui terminait de préparer ses bagages. 

Moi : Alors, ça se passe comment pour toi ?
Antoine : Vacances, stage, et ensuite je passe au château récupérer ma clé …
Moi : Pourquoi tu n'y passes pas en premier !
Antoine : C'est Romain, il préfère que je reste comme ça pendant les vacances !
Moi : Romain ! Et tu ne le largues pas !
Antoine : C'est en train de devenir sérieux cette affaire, entre nous ! On part en vacances ensemble , ensuite il reprend le boulot et moi je pars en stage …
Moi : Alors là tu m'épates !
Antoine : Oui je sais, je n'aurais jamais cru moi non plus ! Mais bon, toi, tu ne l'as pas vu sous la douche …
Moi : Je ne demande que ça !

On se souhaitait de bonnes vacances … Un au revoir plus calme que le départ en vacances de l'année précédente … Je passais à l'appartement d'en face, Julien en sortait, il avait un grand sourire …

Julien : Salut Djé, c'est les vacances, c'est les vacances, je suis content !!!
Moi : Tu m'as l'air joyeux !
Julien : Oué, je pars en vacances avec William ! C'est super ! Tu sais, il ne porte toujours pas notre truc ! 
Moi : Oui je sais . 
Julien : Un moment il y a pensé !
Moi : Alors il va rejoindre notre groupe !
Julien : Non, moi je veux pas … On s'amuse plus comme ça !
Moi : Alors amusez-vous bien, on se retrouve à la rentrée ! Au fait tu l'as gardé ?
Julien : Je suis en vacances, je vais m'amuser, non je ne l'ai pas gardé !

Dominique et Denis partaient en vacances ensemble, Dominique aussi l'avait retiré ! Je rencontrais ensuite Tristan, Mathias et Manuel … De ces trois là seul Mathias l'avait gardé.

J'étais un peu triste de cette fin d'année, cette année avait été riche en événement ! En découvertes sur moi même, je n'aurais pas imaginé en arriver où j'en étais ! Mes camarades avaient tous ou presque retiré leur truc et devaient être en train de se branler joyeusement, de rattraper le temps perdu ! Charles allait repartir lui aussi et je n'étais pas sûr de le revoir avant longtemps … 

Cette année avait été vraiment remplie, et je vivais une sorte de fin de règne. Bien sûr l'année prochaine je serai de nouveau le roi mais ce jour là je me sentais un peu perdu. Je montais dans ma voiture mais je ne parvenais pas à me décider … 

Je passais voir le coach, il était content de me voir, lui aussi était sur le départ prévu pour le lendemain je restais  un long moment à discuter avec lui, je finissais par le laisser il me souhaitait de bonnes vacances ! 

Ensuite je passais voir le directeur, lui aussi était content de me voir, il me rappelait ma promesse au sujet de Mr Le Conte. Il ne prenait pas vraiment de vacances, ces nouveaux cours à préparer, ça représentaient plusieurs classes à organiser pour la rentrée prochaine … Je le rassurais en lui disant que Mr Le Conte avait une logistique étonnante et que la plus grosse partie du travail devait déjà être faite …

J'avais retardé mon départ au maximum et il était temps que je me décide. J'avais le cœur serré quand je quittais la ville, une année particulière pour moi se terminait. Mais plus je m'en éloignais, plus le plaisir, la joie de revoir ma famille me motivait … C'est vrai, j'étais seul dans ma voiture, j'étais un peu jaloux d'Antoine et de Julien Ils s'étaient trouvé un copain … Eux !

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